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Citation de Richard Tol, professeur d’économie spécialisé dans les changements climatiques pour l’Université Sussex et ancien membre du GIEC: « Consensus or near-consensus is not a scientific argument. Indeed, the heroes in the history of science are those who challenged the prevailing consensus and convincingly demonstrated that everyone else thought wrong. A claim of consensus serves a political purpose, rather than a scientific one. » |
Le consensus scientifique est un argument sans valeur. Il y a deja eu un consensus scientifique au sujet de la terre plate et aussi au sujet de la theorie geocentrique de l*univers. La verite n*est pas affaire de consensus.
Le consensus est beaucoup plus que la planète se réchauffe, que le climat change et que le CO2 peut influencer le climat, mais le consensus est moins fort quand il est question des causes, des modèles climatiques et des prédictions.
Il me semble que toutes les fois qu’il y a un rapport qui contredit le GIEC (rayonnement cosmique, énergie solaire, etc) la réponse des « réchauffistes » est que ce rapport dit vrai, mais que cet effet est responsable de 10-20% du réchauffement pas plus. Mais si on additionne toutes ces confirmations réduites du GIEC, il me semble que l’effet anthropique perd un peu en importance.
Pis l’excuse que le hiatus vient des océans, il me semble que si le fond des océans se réchaufferait, le niveau d’eau augmenterait plus vite que dans le passé (plus des molécules se réchauffent, plus elles prennent de l’expansion), mais le niveau d’eau n’augmente pas plus vite que dans le passé.
Je suis pas un expert, mais il me semble qu’il y a trop de questions et d’ambiguïtés pour qu’on prendre des mesures radicales court-terme de réduction de gaz à effet de serre. Au lieu de se ruiner et de ralentir l’économie à construire des centrales solaires inefficaces et couteuses, ce serait peut-être moins radical et plus posé d’investir pour le futur dans la recherche de nouvelles technologies.
Sauf au Québec.
« Sauf au Québec. »
Société distincte, même concernant les lois de la physique.
Après le refroidissement climatique, la destruction de la couche d’ozone et le réchauffement-changement-dérèglement climatique, quel va être le prochain cheval de bataille des alarmistes? L’acidification des océans.
http://www.contrepoints.org/2014/09/18/181196-rechauffement-climatique-enterrement-premiere-classe-par-lomm
J’avoue que c’est une excellente idée! Ils vont pondre quelques études qui montrent que l’acidification a augmentée dans les 15 dernières années puis ils vont aller voir les sceptiques en leur disant « Cmon, essayez donc de nous contredire la dessus »
Je ne suis pas océanographe, mais j’imagine qu’il va être(pratiquement)impossible pour les sceptiques de trouver des données empiriques(le carottage océanique est moins significatif que le carottage glaciaire ou terreste ^^)pour contredire les thèses carbo-centriques.
« Personne ne peut nous contredire, donc nous avons raison, fin du débat », diront-ils. Il faudra alors leur enseigner le critère(très rabat-joie) de la réfutabilité de Karl Popper.
C’est exactement l’approche que toutes les religions utilisent.