Wedge issue: un « wedge issue » est un enjeu social, souvent controversé, qui divise et polarise la population. Les « wedge issue » ont pour but d’affaiblir l’unité d’une population avec pour objectif d’inciter les individus polarisés à se choisir un camp et à devenir des militants actifs. Les campagnes électorales qui utilisent ces questions litigieuses le font pour exploiter et exacerber des tensions au sein de la population et se préoccupent seulement de l’attitude des gens qui peuvent voter pour eux.
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Le Parti Québécois est dangereux, intolérant et liberticide, mais le 4 septembre prochain Pauline Marois sera à la tête d’un gouvernement qui, s’il n’est pas majoritaire, pourra probablement compter sur l’appui de Québec Solidaire. En bref, ce sera la deuxième grande noirceur.
Comment le PQ aura-t-il réussi ce tout de force alors qu’il y a un an à peine on prédisait la fin de ce parti ?
La réponse à mon sens est plutôt simple: dans cette campagne, le PQ aura été le seul parti à utiliser efficacement des « wedge issue ». Dans le cas présent, les « wedges » utilisés furent ceux de la langue et du référendum.
Ce qui ressort de la campagne péquiste ce sont leurs positions radicales en matière de langue (fermeture des CÉGEPs anglophones, faire des immigrants ne parlant pas français des citoyens de seconde classe, rendre la loi 101 encore plus liberticide) et leur obstination à vouloir un référendum… Des enjeux qui ne laissent personne indifférent et qui divisent profondément la population. On oblige chaque personne à prendre position dans un camp ou dans l’autre, impossible de rester sur la ligne de touche.
Dans une lutte à trois, la « wedge politics » est particulièrement efficace. Non seulement elle permet de motiver la base électorale du parti, que ce soit pour avoir des bénévoles, recueillir des dons ou tout simplement pour s’assurer de faire sortir le vote, mais en plus cette polarisation de l’électorat fait en sorte que ceux qui sont contre la position adoptée vont diviser leur vote chez les deux autres partis restants. Quand on fait de la « wedge politics » nul besoin d’avoir un enjeu populaire, une position qui peut polariser efficacement la population n’a besoin que d’être partagée par seulement 30% de l’électorat pour donner une victoire électorale.
Avec la langue et la souveraineté, le PQ a fait plaisir à ses caribous qui ne représentent 30-35% de l’électorat québécois. La majorité qui n’est pas d’accord s’est éparpillée à la CAQ et au PLQ.
Le « wedge issue » du PQ a été d’autant plus efficace que ni le PLQ ou la CAQ n’ont joué efficacement cette carte.
Du côté du PLQ, on espérait sans doute faire des carrés rouges un « wedge issue », mais Jean Charest a été victime de l’efficacité de la Loi 78 qui a brisé la nuque du mouvement étudiant. Sans leur « wedge », la campagne libérale est devenue fade, sans saveur, sans éclat et complètement inintéressante. On n’excite pas les passions de l’électorat en annonçant un programme pour avoir des taxis écologiques ou pour ouvrir un site web sur l’information locale…
Pourtant, même sans les carrés rouges, le PLQ aurait pu faire des syndicats et de la fin de la culture de la gratuité au profit d’un système utilisateur-payeur des « wedge issue » tout aussi redoutables que ceux utilisés par le PQ. Mais Jean Charest a plutôt opté pour une campagne beige qui n’a intéressé personne, chaque annonce ayant rapidement sombré dans l’oubli vu leur nature convenue…
Le thème des syndicats a été repris par François Legault quand il a accusé, lors du débat, Pauline Marois d’être la reine du statu quo et des syndicats. Cette réponse a immédiatement polarisé l’électorat et, l’espace d’un instant, changée la dynamique de la campagne en interpellant la population sur un enjeu qui, à mon avis, est encore plus puissant que celui de la langue et du référendum.
En parlant des syndicats, Legault a lancé un gros steak bien juteux à sa base électorale tout en obligeant l’ensemble de la population à se choisir un camp: vous êtes avec les syndicats ou vous êtes avec ceux qui veulent faire le ménage. Au Québec, tout le monde a une opinion sur les syndicats et en plus ils sont peu populaires suite à leurs frasques dans le monde de la construction et de l’éducation. Mais depuis, la CAQ a malheureusement modéré ses ardeurs…
Diviser, polariser et mobiliser; voilà comment une élection se gagne et pour le moment, le PQ est celui qui a eu le plus de succès sur ce terrain. D’autant plus que le PQ a ouvert un nouveau « wedge » depuis hier: conservateurs contre progressifs.
La CAQ vient de modérer d autres de ses ardeurs . Prete a revoir ses positions avec les étudiants. Vote par anticipation pourrait jouer des tours,,,
Pas sûr tant que ça que le PQ sortira vainqueur le 4 septembre! Je prédis même qu’il finira troisième, pour le bien de tous. Je ne dis pas que les deux autres grands partis sont bons, mais le PQ c’est profondément n’importe quoi. Pas capable de cette mentalité du Québec assiégé par les « méchants » anglophones. C’est impossible d’être autant fermé au reste du monde… je ne veux pas que ma province ressemble au pays de Chavez.
correction mineure : c’est la fermeture des cégeps anglos à ceux qui n’y ont pas droit (comme au primaire et au secondaire).
mais pour le reste : Ayn Rand disait que seuls les argumentateurs les plus constants gagnent. Force est de constater que les socialistes ont le haut du pavé et que QS/PQ est plus fort que les autres partis
La CAQ continue de modérer ses ardeurs avec les étudiants. Vote par anticipation peut etre pas une si bonne idée….surprises de derniere minute
Connerie. Si le parti québecois gagne, c’est qu’il a promis d’abollir les taxes que le parti Libérale a introduit et de faire payer les RICHES en lieu et le place. Le cerveau primaire du bon petit québecois taré, près a`croire n’importe quoi pourvu qu’on lui dise que le riche est coupable de tout les crimes contre l’humanité et qu’il doit donc payer pour faire la volonté des fonctionnaires syndiqués. Le parti socialiste Français a utilisé les même techniques contre les retraite de Sarkozy et ça a très bien fonctionné. Si La tromperie socialiste est vieille comme le monde, c’est parce qu’elle fonctionne très très bien.
c’est triste de voir comment la langue est un si grand enjeux. un « anglais » nous derange tellement, qu’il faut demander l’intervention du gourvernement? il faut les empecher de travailler ou ils veulent dans leur propre pays? on ne pense pas qu’ils nourissent leur famille, qu’ils sont normal.
ca me fait suer de parler a ceux qui veulent pas appremdre le francais, mais pas a ce point la quand meme.
On ne gagne pas une élection en promettant de baisser les impôts.
C’est vrai que Hollande a utilisé les mêmes techniques contre Sarkozy, mais depuis son élection, il n’a tenu aucune promesse. C’est ce que fera Marois sauf pour les chicanes avec le fédéral.
Voilà à quoi ça ressemble de la propagande de droite: « fermeture des CÉGEPs anglophones, faire des immigrants ne parlant pas français des citoyens de seconde classe, rendre la loi 101 encore plus liberticide »
Mensonge, mensonge et encore mensonge. Et il n’y a pas un seul ado attardé qui fréquente ce blogue qui a osé être suffisamment honnête pour le relever.
« la fin de la culture de la gratuité au profit d’un système utilisateur-payeur »
Mensonge, mensonge et encore mensonge. Les services publics ne sont pas gratuits. Pour les avoir ça prend des impôts et des emprunts que la collectivité doit payer. Tout le monde sait cela, sauf les ados attardés qui fréquentent ce blogue.
Le problème est que le PQ n’est pas assez divisé par QS et ON.
Malgré toute les défauts de Charest, je ne peux croire que 30%-35% des gens votent pour un partie comme le PQ.
Pauline Marois est pour moi la pire chef à tout les niveaux et le PQ est un retour en arrière en politique.
Salut Réjean, tu fais quoi de bon en ce moment ?
« Et il n’y a pas un seul ado attardé qui fréquente ce blogue qui a osé être suffisamment honnête pour le relever. »
la loi 101 préserve les libertés?
« Les services publics ne sont pas gratuits. »
47% des gens ne paie aucun impôts, alors ça déênd de qui tu parles
On ne gagne pas une élection en promettant de baisser les impôts.
Au Québec et en France, oui. Surtout si on ajoute que les gros vilains riches vont enfin casquer, alors là, c’est l’orgasme assuré….
Je ne crois pas que tu comprenne le québecois moyen. JAMAIS AUCUNE ALLÉGATION DE CORRUPTION N’AURAIT TOUCHÉ LES LIBÉRAUX S’ILS N’AVAIT PAS AUGMENTER LES TAXES SUR LA SANTÉ et autres. Même chose pour Sarkozy. Et Gilles Laplante a raison: Le PQ utilise les même tactiques qui ont mis Hollande au pouvoir et ça fonctionne clairement…
Après les élections Guy A et sa clique vont démolir la CAQ comme ils ont démolis l’ADQ. On aura pas le choix de faire une coalition libéralo-caquiste sinon Marois va rentrer majoritaire au printemps. Libéraux et caquiste vont devoir y penser. Les mandats péquistes majoritaires sont longs et coûtent chers à l’économie. Ne prenons pas de chance et unifions nous nous après les élections pour les 5 prochaines années de grand ménage.
Je persiste et signe: au Québec un parti ne gagnera jamais des élection en promettant des baisses d’impôts.
En 2007 le PLQ a monter la taxes et es tarifs de toute sorte. Qu’est-ce qui a rendu l’ADQ populaire ? Pas leurs promesses fiscales, mais les accommodements raisonnables.
C’est carrément de la désinformation.
« fermeture des CÉGEPs anglophones »
Faux. Bloquer l’accès aux non anglophones au cégeps anglophones. Mesure impopulaire même parmi les péquistes, principalement parce que mal ciblée. Plutôt que les immigrants qui choississent déjà plus les cégeps francophones qu’anglophones de toute façon, ça bloque la voie aux quelques milliers (pas plus: 8000 en tout, une goutte d’eau au Qc) de francophones et d’allophones qui visent une carrière internationale ou des études universitaires à l’étranger, ou de gens voulant faire carrière au Canada hors Québec mais voulant profiter des plus bas frais de scolarité au pays d’abord. L’impopularité de la proposition, le fait que tout ça ne toucheraient en fait que 8000 personnes/année font qu’elle qui risque fort de tomber aux oubliettes en cours de mandat, on repassera pour le véritable wedge issue.
« faire des immigrants ne parlant pas français des citoyens de seconde classe »
Pure démagogie. Le PQ veut rendre la connaissance de la langue officielle du Québec nécessaire pour briguer une élection comme candidat (à tous les niveaux, sauf au fédéral qui n’est évidemment pas de ressort provincial) – et à a part d’irriter fort les anglophones qui dans le fond ne sont même pas concernés par la mesure, cette mesure ne fait guère de remous. C’est loin d’être « radical » ou de faire des immigrants non francophones des citoyens de troisième classe, ça s’inscrit en droite ligne avec la philosophie canadienne en la matière, d’autant que PET n’a pas délégué des pouvoirs en immigration au Qc pour que le Qc ne fasse rien avec, mais pour qu’il puisse prendre au niveau provincial les mesures appropriées à notre situation linguistique unique au Canada, donc des mesures pour favoriser une immigration francophone. Plusieurs pays favorisent les immigrants parlant leur langue officielle de la même façon, capables de fonctionner dès le départ dans leur pays d’accueil, sans frais supplémentaires pour les contribuables pour leur apprendre la langue officielle.
Plusieurs états/pays vont plus loin et font même de la connaissance de leur langue officielle une condition pour obtenir le droit de vote (dont les E.U. dont le test de citoyenneté est essentiellement un test de culture anglophone et de connaissance fonctionelle de l’anglais). Pour être candidat au Canada, il faut être citoyen canadien. Pour être reçu citoyen, il faut entre autre être démontrer qu’on est fonctionnel dans une des deux langues officielles au pays (les provinces canadiennes sont libres de déterminer la ou les langues officielles dans leurs champs de compétence.)
Le PQ ne veut qu’étendre les mêmes principes en vigueur au niveau fédéral à la langue officielle du Qc (qui est officellement unilingue au niveau provincial, comme la plupart des provinces du ROC d’ailleurs).
On peut s’interroger sur l’utilité sinon au niveau symbolique d’officialiser ce qui est, de fait, pratiquement la norme au Québec depuis des années. Comme la majorité des immigrants sont tenus d’étudier dans le réseau français de toute façon, ça ne touche finalement que très peu d’immigrants, essentiellement ceux de pays anglophones. Et combien exactement d’Anglais ou d’Australiens viennent s’établir au Québec dans une communauté strictement anglophone et sans volonté d’apprendre la langue officielle? Très peu. Quant à la communauté anglophone de souche, elle est devenue fortement bilingue. Finalement la mesure n’est que de mettre un sceau officiel sur une situation de fait.
« Le mouton gris » vient de faire sortir le chat du sac. L’objectif, quand ces gens parlent d’imposer le principe de l’utilisateur-payeur est le suivant : faire payer les plus pauvres – ceux qui ne payent pas d’impôt. Je n’ai jamais lu de leur part aucune critique que ce soit à propos des riches. Leur promesse électorale : que les riches s’enrichissent au dépens des pauvres. Comme ils sont sympathiques ces gens de l’extrême-droite libertarienne. N’est-ce pas là de la violence que d’attaquer les plus démunis pour permettre aux riches de s’enrichir ?
Les tenants de l’extrême-droite seraient d’accord, à n’en pas douter, à payer plus cher l’offre de services pour la santé et l’éducation, comme c’est la cas aux États-Unis, en autant que cela permettrait de faire payer les pauvres. Leur maxime n’est pas « Faisons payer les riches » mais « Faisons payer les pauvres ». L’extrême-droite au pouvoir et il va falloir faire venir Medecins sans frontière pour soigner les bas salariés ! Comme ils sont sympathiques ces libertariens.
Je suis convaincu que David va répéter ce que la comtesse Delaforte disait à Mme de Staël : « Il me faut l’avouer, chère amie, je ne connais que moi qui aie toujours raison. » Quant à nous, nous nous détournons un instant pour surmonter notre nausée.
C’est ce que je dis, fermer les CÉGEP anglos.
C’est ce que je dis, ils veulent créer des citoyens de seconde classe.
Moi je vote pour ce parti là demain matin.
« L’objectif, quand ces gens parlent d’imposer le principe de l’utilisateur-payeur est le suivant : faire payer les plus pauvres – ceux qui ne payent pas d’impôt. »
et?
« eur promesse électorale : que les riches s’enrichissent au dépens des pauvres. »
qqn connait une réplique intelligente à ce commentaire stupide?
« N’est-ce pas là de la violence que d’attaquer les plus démunis pour permettre aux riches de s’enrichir ? »
Oui, mais ce n’est pas ce que le capitalisme prône
« Quant à nous, nous nous détournons un instant pour surmonter notre nausée. »
je te comprends. l’argumentation socialiste est tellement facilement détruite que ça rend vite malaldee
HAHAHAHAHA!!!!
Québec Solidaire aura au plus 2 députés!!! Je doute que ce soit assez pour donner une majorité au PQ s’ils n’ont pas la majorité. Québec Solidaire nuit plus au PQ qu’il ne l’aide puisqu’il prendre des votes qui iront vont fort possiblement au PQ s’il n’existait pas.
Faux, cela implique que les nouveaux arrivants, seulement parce que le Québec n’Est pas un pays et ne contrôle donc pas sa citoyenneté que cela sonne étrange. Tous les citoyens canadiens d’origine non francophone pourront continuer à se présenter (les maires du west-islands, les chefs cris et compagnies).
Marois c’était trompé comme d’habitude dans son discours quand elle à présenter cette mesure.
Et ça reste une loi honteuse et raciste. C’est une loi digne des péquistes.
Ce genre de loi est peut-être raciste (elle ne parle pas de race cependant, mais oui on pourrait y voir du raciste caché par la langue), mais elle est commune partout sur terre.
Je ne défends pas cette loi, mais je trouve étrange de la considérer plus raciste ici qu’aux états-unis, Canada, Finlande, Suède, Japon et a peu près tous les pays du monde qui demande des compétences minimales dans une langue officiel aux étrangers qui font une demande de citoyenneté, et qui demande par la suite d’être citoyen pour pouvoir se présenter aux élections.
Le Québec serait un pays qu’il n’aurait pas eu à considérer cette loi bizarre.
On t’as montré à plusieurs reprises que c’était faux.
Quel pays n’a aucune exigence linguistique pour les nouveaux-arrivant faisant des demandes de citoyennetés ?
Aucun.
Donc, tous requièrent au nouveau arrivant un minimum linguistique dans une langue officielle pour obtenir le droit de voter et de se présenter, comme ce que le PQ veut instituer.
C’est peut-être raciste/xénophobe, je ne sais pas, mais c’est ultra commun dans pas mal toutes les nations du monde et il y a aussi une forme de logique, comment être citoyen :
La citoyenneté est le fait pour une personne, pour une famille ou pour un groupe, d’être reconnu comme membre d’une cité (aujourd’hui d’un État) nourrissant un projet commun auquel ils souhaitent prendre une part active. La citoyenneté comporte des droits civils et politiques et des devoirs civiques définissant le rôle du citoyen dans la cité et face aux institutions. Au sens juridique, c’est un principe de légitimité : un citoyen est un sujet de devoir.
Sans être capable de comprendre la langue de la cité ?
Personne ne fait ça. Si un candidat ne peut te parler dans une langue que tu comprends, ne vote pas. That’s it !
Calisse c pas compliquer le moron, tu te presente le citoyen decide, pas un fonctionnaire liberticide.
Alors vous dites qu’aucun pays demande un minimum linguistiques à un nouvel arrivant pour obtenir ça citoyenneté ?
à moins que vous dites que les pays qui demande un minimum linguistiques aux nouveaux arrivant pour devenir citoyen, n’exige pas d’être citoyen pour avoir le droit de se présenter aux élections ?
J’en doute.
Vous verrez que la plupart des pays demande d’être citoyen pour avoir le droit de vote (au municipal habituellement c’est moins compliqué):
http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_de_vote_des_%C3%A9trangers
Et vous verrez que bien des pays demande des aptitudes (La france par exemple) minimales dans une langue officiel pour accordé la citoyenneté.
Le canada par exemple:
http://www.ehow.com/how_8263634_obtain-canadian-dual-citizenship.html
You may be asked to prove your proficiency in either French or English through a phone interview with an immigration officer.
En France:
http://www.dailymotion.com/video/xn9cex_test-de-langue-pour-obtenir-la-nationalite-francaise_news
En Angleterre:
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/politics/4391710.stm
Prospective new citizens already need to demonstrate sufficient working knowledge of English to help them get on.
Ce n’est ni le cas des USA et des pays membres de l’union euro.
Ça me rappel le commentaire stupide publié ya 2 jours sur le mur facebook du Parti Conservateur du québec. J’espère que ce n’était pas vous!
Vous parler des élections européennes qui permettent de voter partout en Europe les citoyens d’Europe, c’est différent. (Ou encore des élections au municipal).
Les élections nationale de France il faut être citoyen de France et pour devenir citoyen français, si vous êtes un nouvel arrivant vous devez passer un test de français.
Regardé ce vidéo:
http://www.dailymotion.com/video/xn9cex_test-de-langue-pour-obtenir-la-nationalite-francaise_news
Au législative français, ont doit bien avoir la citoyenneté français:
http://www.assemblee-nationale.fr/elections/2012/index.asp
Pour voter, il faut être électeur, c’est-à-dire :
être agé de 18 ans au moins ;
être de nationalité française ;
jouir de ses droits civils et politiques.
Je ne suis pas Luc Harvey… Cesses de m’insulter.
Blâmer Pauline Marois pour le Métropolis, c’est comme blâmer les américains pour le 11 septembre: stupide et irresponsable. C’est jouer le jeux des terroristes.
La preuve que personne n’a d’exigence comparable à celles du PQ: l’UE permet le droit de vote et d’éligibilité aux élections locales à tous les citoyens de l’Union vivant dans un autre pays membre.
En clair, rien n’empêche un Britannique qui ne parle pas un mot d’espagnol de devenir maire de son village de la Costa del Sol, pour peu qu’il y ait été résident depuis X temps.
http://www.antagoniste.net/2012/08/27/les-pequistes-des-bluenecks/#comment-290260
Les règles au municipal sont souvent plus souples dans certains pays (au canada elle sont plutôt rude). Mais de toute façon vous avez besoin de préciser venant de pays membres et élections locales (donc un canadien, un chinois, etc…) devra être lui citoyen pour avoir le droit de se présenter ?
Je parle d’élection législative nationale. Je ne comprends pas ce qui n’est pas claire:
Ou est votre désaccord dans ces phrases:
êtes vous d’accord avec:
A) Pour voter ou vous présenter au législative français, vous avez besoin d’avoir la nationalité française. (comme c’est dit ici: http://www.assemblee-nationale.fr/elections/2012/index.asp)
B) Les nouvels arrivants en france doivent passer un test d’aptitude française pour obtenir la nationalité, comme c’est montré dans le vidéo.
C) Avec A et B, on voit que la France demande au nouveaux arrivants un minimum de français pour obtenir la nationalité française et les droits de votes / présentations aux élections nationales françaises (présidentiel, législative), je ne parles pas d’élection locale ou européennes.
D) Cela est assez commun de part le monde.
Bon, puisque tu insistes tant, Luc, j’ai souvenir d’une mesure très controversée en Allemagne quand j’y étais: exiger la connaissance minimale de l’allemand pour obtenir un permis de séjour sur la base du regroupement familial… On parlait de 200 mots!
Municipale et national, les règles sont les mêmes.
http://www.assemblee-nationale.fr/elections/2012/index.asp
Pour voter, il faut être électeur, c’est-à-dire :
être agé de 18 ans au moins ;
être de nationalité française ;
jouir de ses droits civils et politiques.
derteilzeitberliner et ça c’est juste pour un permis de séjour…
En allemagne il faut aussi obtenir la nationalité pour avoir les pleins droits politiques:
http://www.integration-in-bonn.de/fr/sejour-et-naturalisation/naturalisation-acquisition-de-la-nationalite-allemande.html
Naturalisation
Il y a beaucoup d’arguments en faveur de la naturalisation allemande: en tant que citoyen allemand on jouit de tous les droits politiques et sociaux et on peut participer à part entière à la vie politique. On peut ainsi briguer toute fonction politique, et la participation à toutes les élections, que ce soit au niveau fédéral, ou au niveau du Land est possible.
On doit avoir vécu 8 ans en Allemagne et :
Des connaissances approfondies de la langue allemandes doivent être justifiées (Zertifikat Deutsch ou Deutschtest für Zuwanderer/Niveau B1).
200 mots.