Pendant que Barack Obama agit comme si le Honduras était une colonie américaine, le président démocrate conspire pour que les discussions sur la mise en place de nouvelles sanctions contre l'Iran soient retirées de l'ordre du jour du sommet du G8 qui se déroulera cette semaine en Italie. Ces sanctions étaient l'un des principaux items à l'agenda du sommet.
Le chef de l’état-major interarmes des Etats-Unis, l’amiral Mike Mullen, craint les retombées d’une attaque contre les installations nucléaires iraniennes.
Dans une interview accordée à la chaîne télévisée Fox news, il a estimé qu’une telle offensive risquait de déstabiliser la région et que ses conséquences
étaient imprévisibles. Toutefois, il a ajouté qu’un Iran nucléaire était une option tout aussi dangereuse.
Six mois d’administration « Barack Hussein Obama »
Le président Obama a un projet personnel. Mais quel est-il ?
Lors de la campagne électorale, le vice président Biden avait dit qu’il fallait s’attendre à un « bide » à l’issue des six premiers mois, vu l’ampleur des
changements envisagés.
Pour le Moyen Orient, la Maison Blanche préconise la détente avec tous les protagonistes, l’ouverture et le dialogue avec les anciens ennemis et la rigueur
d’un franc parler avec les amis. Cette approche du type « prêchi-prêcha » donne en effet un « bide » comme résultat. Certains parlent de « naïveté » ou d' »inexpérience »
du Président, pour l’excuser ou se rassurer. Nous avons émis l’hypothèse qu’Obama « roulait » pour un désordre mondial, sans gendarme, à l’issue duquel l’Islam
sortirait renforcé, a fortiori si c’est un Islam shiite, à vocation apocalyptique et messianique.
Parce qu’en 6 mois d’administration des affaires du Moyen Orient, Obama aaffaibli les Etats-Unis, qui abandonnent leurs amis pour faire plaisir à leurs
ennemis, et pactisent avec leurs ennemis, au service d’une paix irréelle. Pendant ce temps, l’islamisme gagne du terrain, lentement mais sûrement. Al Qaeda
qui était à bout de souffle est sortie du coma: il n’y a qu’à voir en Irak, depuis l’annonce du départ des troupes américaines, les attentats reprennent
de plus belle, actionnés par al Qaeda et par l’Iran, semant le désordre un peu partout en pays musulman.
– L’Afghanistan et le Pakistan sont sur la sellette. Les rebelles talibans parlent d’utiliser les armes nucléaires récupérées contre les Etats-Unis.
– Le Soudan et le Qatar ont fait allégeance à l’Iran qui étend son influence sur tout le Moyen Orient. Condamné par un tribunal international des Nations
Unies, le président soudanais ose se pavaner au Qatar à la barbe de Ban KiMoon, sans que personne ne s’en inquiète.
– La Somalie vient d’adopter la Sharia’h, comme certaines régions du Pakistan, et…certains quartiers de Grande Bretagne, des Pays Bas ou d’ailleurs en Occident.
– L’état terroriste « Hezbollah » n’a pas dit son dernier mot au Liban, les élections ne lui ayant pas permis de s’emparer légalement du pays. Car entre temps
il fait souche et étend ses tentacules en Amérique latine, auprès des Libanais shiites expatriés et de leurs émules. Avec deux terroristes recherchés à
bord, la disparition d’un avion d’Air France dans « le trou noir » de l’Atlantique n’est-elle pas liée à la base navale française d’Abou Dhabi, face à l’Iran?
Parce que le système islamique fonctionne déjà dans le monde où 57 états musulmans ont relevé la tête, depuis qu’Hussein est au pouvoir aux Etats-Unis et
depuis son discours du Caire du 4 juin 2009. Hussein ne cesse de magnifier et de flatter l’Islam rétrograde, celui du voile et des dictatures, et il fait
la courbette devant le roi d’Arabie saoudite. « C’est grâce à vous tous, états Musulmans, que l’Occident est ce qu’il est. C’est grâce aux découvertes de
l’Islam que l’Occident a pu se développer », dit-il …
Parce que lentement mais sûrement l’islamisme envahit le monde, avec un allié objectif, Hussein Obama. Erdogan a mis 7 ans pour transformer un état laïc
en un état islamique en Turquie, lentement, pour habituer l’Occident, sans le traumatiser. Combien de temps, Obama mettra-t-il pour asservir l’Occident
à l’Islam? Un mandat ou deux ?
Et, en attendant, pour expliquer son « bide », Obama, comme tant d’autres, utilise la même recette qui marche, Israël doit évacuer la Cisjordanie et cesser
les implantations, même pour un développement naturel de sa population, sinon il est rendu responsable de la situation qui se détériore au Moyen Orient.
(2)
Notes
(1) Quand vous recevez des milliards $ de l’Onu et de nombreux états et institutions, pourquoi voulez-vous raisonnablement créer un état qui poserait des
problèmes aigus de survie politique et économique et s’alignerait fatalement sur la terreur du Hamas.
(2) Israël ne contrôle directement que 10 % des Palestiniens et occupe moins de 10% de la Cisjordanie habitable et 0% de la bande Gaza depuis 2005. Pourquoi
alors tout ce foin dans les médias mondiaux ? N’y a t-il pas d’autres sujets plus sérieux ? Ou alors on recherche l’éternel et habituel bouc émissaire…
« La politique étrangère d’Obama est déjà un échec. Pourquoi le Président refuse-t-il de la reconsidérer ?
Pourquoi, lorsque le sang coule dans les rues iraniennes, Obama veut-il toujours apaiser les mollahs ? Pourquoi, alors que le Vénézuéla menace d’envahir
le Honduras pour supporter Zelaya, Obama se tient-il du côté de Zelaya contre les démocrate honduriens ? Pourquoi, alors que les Palestiniens refusent
toujours le droit à l’auto-détermination au peiuple hébreu, veut-il priver 500’000 Israéliens de leur logement ? Pourquoi, alors que la Corée du Nord menace
d’utiliser ses missiles balistiques contre les Etats-Unis, refuse-t-il d’autoriser l’USS John McCain à aborder le navire nord-coréen illégal que [les Américains] trace[nt]
depuis deux semaines ? Pourquoi, alors que le gouvernement du Soudan continue d’assassiner des Darfuris, cette administration clame-t-elle que le génécide
au Darfour est terminé ?
La seule réponse logique à cette question est que la politique étrangère de Barack Obama est la plus dogmatique depuis Carter. Si, lorsqu’Obama a pris
ses fonctions, on pouvait s’interroger sur sa vision internationale – pragmatique, ou dogmatique -, les six premiers mois de sa présidence permettent
de lever les doutes. Obama est mû par une idéologie extrémiste et antiaméricaine qui le pousse à minimiser l’importance de la démocratie et se ranger du
côté des dictateurs anti-américains contre les alliés de son pays.
Comme Carter avant lui, Obama pourra un temps cacher ses échecs de politique étrangère à son opinion publique , car celle-ci sera occupée à mesurer ses
échecs en politique intérieure. Mais au final, sa dévotion aveugle à son idéologie radicale le conduira aux extrêmes ; ses échecs prendront alors une dimension
critique.
Et ils s’effondreront avec lui. »
Caroline Glick,
THE JERUSALEM POST
je pense que tout est dit dans ces bouts d’articles. Non ?
Bathya
Si ton cher pays a si peur de l’Iran…ben attaquez la vous devriez pas etre la a demander de l’aide faites vos guerres tout seul et foutez nous la paix
@Badaboum
Ils ne peuvent même pas se défendre sans que le monde les condamne. Ils sont en train de se faire voler leurs terres petit à petit.
Et vous devriez lire ça:
http://www.antagoniste.net/?p=5927
Et si vous pensez qu’en se bouchant les yeux et les oreilles, la menace s’en ira, vous vous trompez. Ce n’est pas non plus en faisant la carpette devant les terroristes/dictateurs qu’on vivra dans un monde plus libre.
@ Badaboum:
Ne vous en faites pas, je ne vous demande absolument rien !
Pour les idiots utiles, tout va bien, tou va bien…
Depuis qu’Obama est à la maison blanche, tout n’a jamais été si bien…
Mais oui, tout le monde est beaux, tout le monde est gentils… C’est bien connu n’est-ce pas ?
Sachez que je ne cherche pas du tout à vous convaincre. D’ailleurs, je ne cherche à convaincre personne ici.
Je fais qu’informer….
Puis vous n’êtes pas obligé de me lire si ce que j’écris vous déplais à ce point.
Regardez ailleurs, mon cher…
Mais, venez pas pleurnicher lorsque l’islam vous asservira à la dhimmitude… Mais nous, nous le refusons en Israël.
Oubliez jamais une chose: lorsqu’ils auront détrui Israël se sera votre tour…
Israel est le rempart de l’occident. Si il tombe, vous tomberez aussi…
Les grands malheurs ont commencé par les juifs, mais ils ne ce sont jamais terminés par eux… Ne l’oubliez jamais !
Si vous pensez que c’est qu’israel qui est concerné par le fou ahmadinejad, c’est bien là votre erreur.
Lisez ou plutôt, écoutez ceci:
Le Washington Times révèle que les valeureux combattants du jihad en sont réduit à acheter des enfants
pour les transformer en chair à patée en les envoyant tuer d’autres musulmans sur les marchés .
Où sont les protestations des foules musulmanes outragées ? Que fait donc l’Organisation de la Conférence Islamique contre ces Talibans qui “ternissent
l’image de l’islam” ?
Le chef des Talibans au Pakistan
, Baitullah Mehsud, achète des enfants, parfois aussi jeune que 7 ans, pour servir de “
kamikazes ” afin d’alimenter la vague croissante d’attaques contre les cibles Pakistanaises, Afghanes et Américaines, ont annoncé le Département de la défense américain
et des officiels pakistanais.
Un haut fonctionnaire pakistanais, qui a parlé à condition de ne pas être nommé en raison de la nature sensible du sujet, a déclaré que le prix courant pour les enfants
destinés à servir pour des attentats à la bombe était de 7,000 à 14,000 dollars – des sommes énormes pour le
Pakistan
, où le revenu par habitant est d’environ $ 2600 par an .
“[Mehsud] a transformé les attentats-suicide en production industrielle, un peu comme la sortie de la chaine des voitures Toyota “, a récemment déclaré un haut fonctionaire du Département de la défense US….
Source :
Washington Times
l’islam est pire que les nazis …
Et voilà pour l’Iran.
Filmé à l’insu de ses acteurs, sorti clandestinement d’ Iran
, cette vidéo représente Mahmoud Ahmadinejad
, à Qom, en compagnie de son mentor, l’Ayatollah Mesbah Yazdi, ainsi que d’un cénacle d’élèves et de fidèles.
La vidéo est sortie d’
Iran
via internet. Elle daterait du 13 juin 2009, soit le lendemain de la proclamation de la victoire de Mahmoud Ahmadinéjad aux élections.
http://www.dailymotion.com/swf/x9ojqd_video-clandestine-sortie-diran-ahma&related=0
Si après ça vous décidez d’ignorez bien vous fasse; mais mon devoir est d’informer le maximum de gens que possible.
je ne le fais pas pour vous, car je sais que cela est inutile; mais vous n’êtes pas (pour notre plus grand bien), le seul qui lis ce blogue…
Composez avec nous, sinon nous laisserons faire Israël (info # 010707/9)
Par Stéphane Juffa
© Metula News Agency
Les propos tenus par le vice-président américain, Joe Biden, sur la chaîne ABC, dimanche, marquent un changement de cap cardinal vis-à-vis du dossier iranien, quoiqu’en disent les responsables de l’administration Obama, à commencer par Biden lui-même.
Biden a ainsi insisté sur l’affirmation selon laquelle la pression exercée par Israël et d’autres pays n’affectera pas le dialogue prévu avec l’Iran. Le vice-président a déclaré dans ce sens que « Washington croit que ce dialogue sert les intérêts de l’Amérique, autant que ceux d’Israël et du reste du monde ».
D’autres officiels US ont, plus clairement encore, informé leurs interlocuteurs israéliens habituels de ce que, sur les bords du Potomac, on était parfaitement conscient de la frustration, qui va grandissant, en Israël, en Europe et dans les pays du Golfe, face à l’entêtement du Président.
Parmi les préposés étasuniens à la question de l’atome iranien, on ne cache plus que les chances de s’entendre avec les ayatollahs « ne sont pas grandes ».
En Israël, dans le milieu du renseignement, on estime que ces chances de parvenir à un arrangement sont désormais nulles. Ce sentiment a été renforcé par les événements liés à l’élection truquée d’Ahmadinejad.
On explique qu’on a pu constater l’intransigeance extrême du clergé qui dirige la Perse, et aussi, que pour justifier leur maintien aux affaires, les durs qui ont réprimé les manifestations vont devoir se montrer encore plus durs relativement à un compromis sur l’atome.
Ceci dit et observé, côté américain de l’Atlantique, on refuse toujours de céder aux deux exigences de Jérusalem, maintes fois analysées dans ces colonnes : fixer une date butoir au dialogue diplomatique, et expliquer ce que l’on va faire s’il échoue.
A Washington, dans l’administration Obama, on explique que parler de sanctions et d’option militaire pendant que l’on discute indisposerait les ayatollahs, et leur ferait douter de la bonne foi des USA dans leur intention affichée d’arriver de à un accord.
Certes, mais je l’ai rapporté un peu plus haut, Israël n’est plus seule à faire pression sur le Président pour qu’il modifie son approche naïve du problème. L’Allemagne, la Grande-Bretagne et la France, qui reçoivent en permanence des mises à jour sur l’avancée du projet de l’atome iranien de la part d’Israël, de même que le Japon et la Russie, s’inquiètent fortement de la mollesse de Barack Obama.
Ce qui les effraie le plus, c’est de voir les Iraniens tester des fusées interplanétaires les unes après les autres, tandis qu’ils sont privés de toute défense contre cette menace.
Des Européens privés de défense antimissiles par une autre décision de la Maison Blanche, celle de ne pas déployer les missiles antimissiles prévus en Tchéquie et en Pologne, afin de ne pas fâcher Vladimir Poutine.
Plus encore que cette vulnérabilité à court terme, la France, l’Angleterre, l’Allemagne et les pays arabes ont saisi que l’impérialisme chiite iranien sera indétrônable et sa marche en avant irréversible dès qu’il aura fabriqué sa première bombe atomique.
Avec dix millions de Basij-SS à l’intérieur – un milicien pour sept habitants ! – pour réprimer dans le sang toute velléité de démocratiser le régime, et la bombe, pour menacer toute entité qui voudrait freiner la marche en avant des séides de la « révolution islamique » à l’étranger, le monde, s’il n’intervient pas, prend un risque existentiel.
Faute de mettre un terme au processus d’enrichissement de l’uranium en Perse, la Dictature Islamique, usant de ses premières bombes comme d’autant de parapluies de dissuasion, deviendra rapidement une puissance mondiale, exigeant l’islamisation de la Terre depuis un siège de membre permanent au Conseil de Sécurité.
Forts de cette certitude, les Européens et les Etats du Golfe se sont encore rapprochés de Jérusalem, au point où ils font pratiquement cause commune sur ce dossier, suite à la publication, la semaine dernière, dans le Washington Post, d’un article de John Bolton.
Bolton est l’ancien ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU ; il a son franc parler, il est Républicain, mais tout le monde, dans la capitale fédérale, aussi bien que dans les chancelleries européennes, sait qu’il en connaît un bon bout en matière de politique étrangère. Et surtout, que Bolton ne balance pas des déclarations tonitruantes dans le seul but de faire parler de lui.
Or, dans l’article en question, il a écrit : « Une attaque israélienne est désormais le seul moyen d’arrêter le programme nucléaire de l’Iran ».
Les Européens vont faire pression sur Obama pour que, durant la session de l’Assemblée Générale des Nations Unies qui se tiendra en septembre, – et pas aux Calendes grecques -, les USA soient contraints d’ouvrir l’enveloppe rouge des « sanctions paralysantes à l’encontre de Téhéran, et autres mesures… », au cas où aucun progrès tangible ne serait obtenu lors des discussions avec les ayatollahs.
Les Européens s’assureront également que l’annexe militaire figure effectivement dans le rapport de l’Agence Internationale pour l’Energie Atomique (filiale de l’ONU), qui doit aussi être rendu public en septembre.
Face à cette levée de boucliers, ainsi qu’aux nouvelles en provenance du Moyen-Orient – celles rendues publiques et les autres – faisant état du passage de sous-marins stratégiques israéliens par le Canal de Suez, et de l’autorisation de survol, garantie par l’Arabie Saoudite à l’Etat hébreu, démontrant la constitution avancée d’une alliance militaire entre les pays arabes et Israël, la Maison Blanche ne pouvait pas rester à l’écart.
Cela explique les propos principaux de Joe Biden à ABC, selon lesquels les USA « ne s’opposeraient pas à Israël, si cette dernière choisissait d’utiliser l’action militaire afin d’éliminer la menace nucléaire iranienne ».
Voilà un tour de passe-passe intéressant venant de l’administration Obama : plutôt que de dire à Khameneï « hâtez-vous de parvenir à un accord avec nous, sinon on vous envoie les GIs’ », ce qui équivaut à négocier avec un rameau d’olivier dans une main et une grenade dans l’autre, le gouvernement US dit aux ayatollahs : dépêchez-vous de vous entendre avec nous, car « Israël, qui est une nation souveraine, peut déterminer par elle-même ce qui est dans son intérêt, et ce qu’ils décident de faire en relation avec l’Iran et n’importe qui d’autre (Joe Biden) ».
Le vice-président a totalement fermé la parabole, puisque, dans la même interview, il a lancé « La balle est dans leur camp (celui des Iraniens). S’ils choisissent d’accepter les conditions du P-5 [les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité : USA, Russie, Angleterre, France, Chine. Ndlr.], cela signifie qu’ils ont décidé de changer de voie (…) ».
Et s’ils n’ont pas décidé de changer de voie, eh bien, « les Etats-Unis ne peuvent pas dicter à une autre nation souveraine ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas faire s’ils se sentent menacés par un autre pays (Joe Biden) ».
George Stephanopoulos, le journaliste d’ABC a posé trois fois la même question au vice-président, parce qu’il ne croyait pas ses oreilles au sujet de la nouvelle licence de frapper les installations iraniennes, que l’administration US venait d’accorder à Israël, en direct dans son émission.
On est, sur ce dossier également, précisément revenu à ce qu’était la position du gouvernement Bush. Nous possédons des enregistrements de Condoleezza Rice prononçant, mot pour mot, il y a un an de cela, ce que Biden a dit dimanche.
Mais l’administration Obama se garde de dépasser ce que celle de Bush avait concédé : interrogé par Stephanopoulos qui voulait savoir si les USA permettraient à Israël de survoler l’Irak, Joe Biden a refusé de répondre.
C’est très important sur un plan tactique, certes, mais moins qu’auparavant. Moins qu’avant que le roi Abdallah 1er d’Arabie Saoudite n’ait autorisé les bombardiers portant l’étoile bleue de David à faire usage de son espace aérien.
L’espace aérien saoudien conduit de la frontière israélienne jusqu’au Golfe, face à l’Iran. Les aviateurs hébreux n’ont besoin de rien d’autre ; ils pourront avitailler leurs appareils à leur aise, et les conduire vers les aéroports que deux Etats du Golfe ont mis à leur disposition dans l’objectif de débarrasser la région de la menace de Khameneï.
Je ne désire pas entrer dans les détails dans ce papier, mais je suis en mesure d’affirmer que la coopération stratégique et tactique entre ces différentes entités n’aura pas attendu le jour du début de l’assaut israélien pour se manifester.
Il ne passe, en effet, pas une semaine durant laquelle les pilotes israéliens ne viennent titiller et tester les défenses déployées par les Gardiens de la Révolution. Jusqu’à plus ample démontré, ils n’utilisent pas le chemin de fer pour parvenir aux confins de la Perse.
La carte du Golfe persique (source Wikipedia)
En fait, avant même que ne soient émises les déclarations de Biden, Jérusalem n’avait plus besoin de l’aval de Washington pour mener une opération militaire en Iran.
Mardi 07 juillet [06:50:00 UTC]
Oubliez jamais une chose: lorsqu’ils auront détrui Israël se sera votre tour…
Israel est le rempart de l’occident. Si il tombe, vous tomberez aussi…
Impression de Deja Vu…hmmmmm…McCarthy…Viet-Nam….McNamara….wep ca fitte
Si la « theorie des dominos » a pas marche en 68 elle sera pas plus valable en 2009…Bathya sort un autre argument
Juste un p’tit mot pour dire qu’il y avait un rassemblement organisé par la communauté iranienne de Québec ce soir devant le parlement.
En plus de dénoncer la situation en Iran, les organisateurs en ont profité pour mieux la faire connaître aux passants. Il y a effectivement plusieurs personnes qui ont pris la peine de s’arrêter pour parler avec les iraniens qui étaient sur place.
Les organisateurs ont distribué des feuilles sur lesquelles était écrite leur position:
En ce qui concerne les points 4, 5 et 6, bien que les organisateurs les ont inclus sur la feuille, ils ne se font pas d’illusion.