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Vendredi dernier, Obama a poursuivi la politique de George Bush en autorisant des frappes aériennes au Pakistan par des avions sans pilote. Il va sans dire que cette attaque, comme toutes les autres, a aussi fait des dommages collatéraux. Lorsque ces frappes militaires étaient réalisées sous l'ère Bush, la gauche déchirait sa chemise en accusant l'ancien président d'être un criminel de guerre. Mais la gauche a tellement adulé Obama, qu'aujourd'hui elle ne peut pas le dénoncer de la même manière qu'elle dénonçait Bush. Voilà peut-être un avantage de la présidence d'Obama: sa canonisation par les médias fait en sorte qu'il pourra poursuivre la guerre contre le terrorisme sans avoir à s'inquiéter de la réaction des gauchistes. Un luxe que George Bush n'a jamais eu. |
T’as-tu lu le billet du Brouilleur d’ondes aujourd’hui?
http://philbelanger.blogspot.com/2009/01/verdict-et-sentence-sans-procs.html
C’est pas grave.
En réalité y a seulement Israel qui n’a pas le droit de causer des dommages collatéraux en pourchassant des terroristes qui l’attaquent et qui se cachent même derrière des civils pour se protéger!
Toutes les autres nations peuvent elles le faire sans que les « pacifistes » lèvent le petit doigt.
All right, M. Proulx. Ton M. Bélanger vient de se retrouver dans ma liste de favoris…..
C’est bizarre qu’Hétu ne parle jamais de c’est histoire depuis l’élection d’Obama. Il est trop occuper a faire la cheerleader.
Le problème est que les attaques de drones tuent lus de civils que de résumés terroristes. On ne lutte pas contre le terrorisme, on l’encourage à se développer.
En plus, les « signatures strikes » sont des frappes incertaines : on présume qu’on tue un terroriste, mais on en a pas la preuve hors de tout doute raisonnable.
Pour Bush, le drone était une arme tactique parmi d’autres… Obama en a fait une arme qui décide de sa stratégie… Résultat : les morts innocents s’accumulent.
Et puis les organisation gauchistes aux USA comme Code Pink s’en prennent à Obama, peu importe ce que votre propagande prétend. Voici un discours d’Obama interrompu par une « gauchiste » qui refuse que son pays participe à des crimes :
http://www.youtube.com/watch?v=s3Y_GZLCFEM
En passant, Nixon n’a pas ouvert l’Amérique à la Chine, c’est la Chine qui a entreprit un rapprochement avec les Américains par peur d’une invasion soviétique (les soviets avaient massés 1 million d’hommes à la frontière Nord, une invasion de la Chine était imminente).
La diplomatie chinoise a simplement appliqué ses préceptes confucéens millénaires : s’allier avec des barbares lointains pour contrer des barbares tout près.
Dalton B est-tu moron par choix ou par naissance? Nixon est le seul qui piuvais faire ce pas du coté américain.
qqchose.de.pourri as-tu quelque chose d’intelligent à me dire?
Mais rendons à César ce qui lui appartient : Nixon a bien saisi l’occasion que lui tendaient les Chinois.
D’ailleurs, Nixon est probablement le président qui fut le plus compétent dans le domaine de la géopolitique internationale (le pire étant Bush fils, suivi de près par Clinton et Reagan).
Surtout pas Obama et ses relations avec la Russie…
En passant, tout le travail diplomatique qui a mis la table à la visite de Nixon s’est fait par Henry Kissinger lors de rencontres secrètes étalées sur deux ans. Kissinger, celui qui, selon David, ne mérite aucune considération ni crédibilité… hum
« Surtout pas Obama et ses relations avec la Russie… »
Aucun président ne pourrait quoi que ce soit contre la Russie. L’Amérique a perdu son hégémonie, elle n’est plus le gendarme du monde.
Concernant Obama, son repositionnement vers l’Asie démontre une bonne lecture géopolitique.
Obama n’est pas le plus compétent en la matière (comme j’ai dit, Nixon est dur à battre), mais certainement pas le pire.
La technologie militaire américaine désuète :
http://www.youtube.com/watch?v=sNRMO70Hw0s
Oubliez ça l’hégémonie américano-coccidentale, c’est terminé
Dont feed the troll…
« Dont feed the troll… »
Tous les analystes américains en géopolitique admettent le déclin de l’hégémonie américaine et la venue d’un ordre mondial multipolaire, donc fondamentalement instable.