7 Janvier 2009 à 7:18 pm
Marc Nadeau de Majorité silencieuse en entrevue pour parler du Hamas:
Encore une fois, excellente entrevue! On partage la même opinion au sujet d’Obama!
Je suis pas certain non plus qi’il va être très enthousiaste contrairement à ce que pensent nos nonos de gauche locaux, de libérer Omar un tueur présumé de soldat américain en Afghanistan!
Demander des efforts aux soldats de son pays en Afghanistan et libérer un ennemi ça paraît mal!
LES NAZISLAMISTES DU HEZBOLLAH OUVRENT UN 2ÈME FRONT!
JERUSALEM, 8 janvier (Xinhua) — Des explosions ont été entendues après une sirène de raid aérien a déchiré jeudi matin le nord d’Israël, peu après que trois roquettes eurent frappé cette zone.
Des témoins oculaires ont indiqué qu’une roquette est tombée près d’un kibbutz dans la Galilée occidentale, sans faire de blessés ni de dommages, alors que la police a noté qu’elle n’a pas découvert de lieu où est tombée la roquette.
Auparavant, les médias israéliens ont rapporté qu’il s’agissait d’un deuxième barrage de roquettes lancées depuis le Liban sur le nord d’Israël.
Quelques heures plus tôt, trois roquettes ont été lancées depuis le sud du Liban sur le nord d’Israël, dont une sur la ville de Nahariya. Des sources israéliennes ont indiqué que deux personnes étaient légèrement blessées et plusieurs autres souffraient du choc.
Les autorités israéliennes ont instruit les habitants locaux de rester près des abris, et les écoles auraient été fermées.
L’armée israélienne a ouvert feu dans l’incident précédent et une enquête est en cours. Les évaluations initiales ont indiqué que le barrage semble avoir été lancé par des groupes palestiniens, bien qu’il ne puisse pas être exclu si le Hezbollah leur avait demandé de le faire, a rapporté le quotidien local The Jerusalem Post.
Les incidents ont suscité des spéculations selon lesquelles l’Etat hébreu pourrait ouvrir un deuxième front autre que l’actuelle opération dans la bande de Gaza.
Est-ce qu’on avait pas garanti à Israel que le Hezbollah serait désarmé?
C’était pourtant une condition du cessez le feu non?
Une fois de plus on voit ce que vaut la parole de l’ONU!
J’espère qu’Israel ne se laissera pas faire et n’hésitera pas répliquer avec toute la force nécessaire!
Les missiles continuent de tomber, deux soldats de morts du côté de Tsahal, des blessés grave dû a des tirs de missiles etc etc etc…
Même entre eux ils ne s’entendent même pas.
Selon des officiels du Hamas, le groupe a rejeté la proposition du Caire de placer le point de passage de Rafiah sous l’autorité des forces de sécurité du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
De même, la solution avancée par l’Egypte de déployer des troupes internationales dans la bande de Gaza dans le cadre d’un accord de cessez-le-feu avec Israël a également été refusée par le mouvement islamiste.
Il faut le détruire une fois pour toute.
En effet, en Syrie et au Liban, les responsables du Hamas affirment qu’ils n’accepteront jamais un accord de cessez-le-feu sur le long terme. La raison étant qu’ils veulent « conserver leur droit de répondre aux agressions israéliennes. »
Même l’Égypte ne veut pas ouvrir ses frontières. Mais, qui condamne ? Qui le mentionne ?
Selon plusieurs sources égyptiennes, Souleiman a informé la délégation du Hamas – composée entre autres d’Imadal Alami et de Mouhammad Nasser – que l’Egypte n’avait pas l’intention de rouvrir Rafiah, à moins que les forces de sécurité d’Abbas ne soient autorisées à y retourner.
Le point de passage est tombé entre les mains du Hamas au cours de l’été 2007. Des membres de l’organisation terroriste étaient alors parvenus à en expulser les forces de police de l’AP.
Le porte-parole du Hamas Fawzi Barhoum a affirmé que son mouvement s’opposait au retour des partisans du Fatah à Rafiah, comme prévu selon l’accord signé en 2005 : après le retrait israélien de la bande de Gaza, le point de passage devait être géré par l’AP, sous surveillance internationale.
Alors Israël ne doit pas céder d’un pouce, puisque cet ancien accord avait lamentablement échoué. Il faut que les américains s’impliquent plus. Il faut une force américaine également. Il faut casser le hamas une fois pour toute.
D’après Barhoum, La branche armée du groupe terroriste, Izzadin Kassam, a également rejeté la proposition égyptienne, affirmant que le Hamas considérerait ces forces internationales comme des troupes d’occupation hostiles. De fait, le groupe lancerait des attaques contre elles.
J’ai bien peur que ce conflit de merde, est loin de se régler. Il va même s’intensifier. Le hezbollah ou parti palestinienne au Liban, ont lancé des katiouchas sur le nord, aujourd’hui…
Et bien sûr le monde ont appelé Israël à vous savez quoi ? La retenu !…
Pour eux, faut qu’Israël cesse de se défandre, mais eux ils promettent de ne rien céder, ni arrêter.
Décidément on a atteint la folie à l’état pure. Je t’agresse avec une arme, mais ne te défends pas.
Un haut responsable du Hamas a affirmé jeudi que les membres du Mouvement de la résistance islamique ne se rendraient jamais et continueraient de livrer combat contre les forces israéliennes dans la Bande de Gaza.
Pendant ce temps, l’Iran est content.
L’Iran a toutes les raisons de se réjouir du conflit à Gaza puisqu’il détourne l’attention de son programme nucléaire, d’après Yossi Kuperwasser, un ancien chef des renseignements militaires.
Pour lui, l’Iran se trouve derrière la situation à Gaza. « Les Iraniens sont responsables de cette opération pour avoir fourni de l’argent et des armes au Hamas », explique-t-il.
Il a également évalué que le coup infligé au Hamas ne le mettait pas dans une situation critique : « Nous n’avons pas frappé suffisamment fort pour créer un impact stratégique sur sa capacité de continuer d’agir. »
Concernant l’école de l’ONU frappée par Israël mardi entraînant la mort de 40 personnes, Kuperwasser et le président du Centre de Jérusalem des affaires publiques Dore Gold ont déclaré qu’il existait des preuves de plus en plus manifestes que les forces israéliennes avaient été attaquées dans une rue adjacente.
« On doit répondre au feu quand on est attaqué. Personne ne peut croire qu’Israël tirerait délibérément sur une école », a expliqué le spécialiste militaire.
Hélas, des imbéciles le croient.
Gold a ajouté qu’Israël ne devrait pas ignorer les lacunes de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l’ONU qui n’a pas réussi à bloquer le passage d’armes. Au Liban, l’arsenal du Hezbollah est en effet bien plus important aujourd’hui qu’en 2006. « Israël ne veut pas répéter cette erreur avec le Hamas. »
Voilà pourquoi, seul les américains pourraient faire stoper cela. Les européens sont vendus aux terroristes et les arabes on n’en parle pas.
Il a en outre expliqué qu’au niveau international, la plus petite victoire du Hamas injecterait « une dose d’adrénaline dans les veines de l’Islam radical » qui mettrait en danger la sécurité de tous les pays du Moyen-Orient.
Gold a aussi défendu le siège de Gaza en déclarant que si Israël ouvrait l’accès à Gaza, des bateaux transportant des armes iraniennes pourraient débarquer dans le port de Gaza.
En réponse à une question du Jerusalem Post sur la non-évacuation des enfants de Gaza, Gold a déclaré que le rôle des civils, en particulier des enfants, était l’un des pires aspects du conflit.
Le Hamas utilise délibérément les enfants comme boucliers humains. Les preuves sont de plus en plus tangibles. « Quand vous avez à faire à un ennemi comme le Hamas, une société comme Israël est confrontée à des dilemmes. »
La trêve.
Israël aimerait obtenir un certain nombre de « garanties » du Caire parmi lesquelles le début du démantèlement de l’industrie des tunnels de contrebande le long du couloir de Philadelphie qui sépare Gaza de l’Egypte.
Une centaine de tunnels ont été détruits depuis le début de l’opération « Plomb durci ». Il en resterait environ 200.
Pour l’heure, plusieurs ingénieurs militaires américains – servant de conseillers aux Egyptiens – et Gilad discuteront avec les Egyptiens de la possibilité de développer une présence américaine permanente à la frontière entre l’Egypte et Gaza.
Si la trêve n’aboutissait pas, Israël intensifiera son opération, de source israélienne.
D’autant que les propositions françaises et égyptiennes restent ambiguës.
Oui, car ceux de l’Égypte et de la France semble très différente. Sans oublier, que le hamas ne veut pas accepter que les frontières soient surveillées.
L’accord française:
– la suite de l’opération militaire ;
– la mise en place d’un mécanisme visant à empêcher la contrebande ;
– l’engagement israélien à un cessez-le-feu unilatéral ;
– une riposte israélienne qu’en cas de reprise des tirs par le Hamas ;
– la reprise des pourparlers sur l’ouverture des points de passage après une période initiale de calme.
L’accord de L’Égypte :
La proposition égyptienne se fonde sur les idées suivantes : un cessez-le-feu mutuel, la volonté de parler de dispositifs aux frontières, l’ouverture des points de passage et une rencontre urgente entre des représentants israéliens et palestiniens pour empêcher la répétition de toute action militaire.
Donc rien de sûr dans celle de l’Égypte.
Surtout que Abbas ne contrôle rien à Gaza et que le hamas ne veut pas discuter…
Puis remarquez : il dit bien une volonté de seulement parler d’un dispositif aux frontières. Donc, Israël ne doit pas accepter une proposition aussi peu clair.
Une salve de roquettes Katiouchas s’est abattue sur le Nord du pays. Deux personnes ont été légèrement blessées à Naharya.
Un terroriste palestinien a tenté d’incendier une station service de Mishor Adoumim, à l’est de Jérusalem. S’emparant d’une pompe, il a aspergé d’essence le sol de la station et le pompiste qui se trouvait sur place avant d’allumer un feu. Le pompiste, lui-même un Palestinien, a été brûlé aux bras et au visage mais ses blessures ne sont pas profondes. Des pompiers, dépêchés sur les lieux, ont fort heureusement maîtrisé les flammes avant qu’elles ne se
propagent aux réservoirs de carburant. Les forces de sécurité, présentes dans le secteur, ont tiré sur le terroriste et l’ont abattu. Le pompiste blessé a été évacué à l’hôpital Hadassah Har Hatsofim (Mont Scopus) de Jérusalem.
Tout aurait pu se terminer de façon tragique; c’est le sentiment des pensionnaires de la maison de retraite de Naharya où une roquette de type Katioucha a explosé. L’engin a atterri dans la cuisine après avoir traversé le toit de l’établissement. Au même moment, les 22 personnes âgées qui y vivent se préparaient
à prendre leur petit-déjeuner dans la salle-à-manger, qui se trouve à l’étage inférieur. Finalement, cette attaque a fait trois blessés légers, et huit autres étaient en état de choc. Une des blessées s’est cassé la jambe en tentant de s’échapper et des dommages sérieux ont été causés à l’établissement.
Le directeur a indiqué que tous les locataires seraient transférés dans une autre maison de retraite.
C’était un miracle que l’école était fermée !
Un missile Grad, tiré depuis la bande de Gaza, s’est abattu jeudi matin sur une école d’Ashkelon. L’engin a explosé dans le gymnase de l’établissement; fort heureusement, personne ne s’y trouvait au moment de l’attaque. Un peu plus tard, une roquette est tombée dans une localité du conseil régional d’Eshkol.
Quatre personnes ont été blessées, deux assez sérieusement et les deux autres légèrement.
Par ailleurs une autre a atterrie sur un jardin d’enfant.
L’horreur atteint un degré de plus.
Les efforts déployés pour l’instauration d’un cessez-le-feu à Gaza déplaisent fortement aux forces de sécurité qui combattent en ce moment, sans relâche, les terroristes qui harcèlent la population civile du sud d’Israël et introduisent impunément des armes sophistiquées à travers les tunnels clandestins creusés entre l’Egypte et la bande de Gaza.
Réagissant aux informations sur une trêve éventuelle, les chefs militaires ont souligné jeudi matin qu’ils n’avaient pas accompli totalement leur mission sur le terrain. “Si nous maintenons notre pression militaire sur le Hamas, nous obtiendrons de bien meilleurs résultats à la fin de notre opération”, ont-ils
affirmé.
Et ceci, malgré les pertes que continue de subir Tsahal:
Après avoir franchi les deux premières étapes de l’opération “Plomb durci”, les combattants attendent le feu vert du gouvernement pour étendre leur intervention terrestre. Les officiers supérieurs ont estimé que même si le Hamas avait déjà subi de lourdes pertes, il continuait à résister et qu’il n’y avait donc
aucune raison d’interrompre les combats.
L’un des responsables a souligné : “Jusqu’à présent, on peut se féliciter des résultats obtenus sur le terrain mais le Hamas n’a toujours pas été écrasé. Ceux qui prennent les décisions doivent tenir compte de cela.”
En dépit de l’attitude du Hamas qui, comme on l’a constaté à maintes reprises, ne se soucie nullement du sort de la population civile de Gaza et exploite même la situation à son profit, Israël fait une fois de plus preuve de clémence en accordant une trêve humanitaire pour permettre aux habitants de Gaza
de s’approvisionner en denrées de base et en équipements de toutes sortes.
Cette interruption momentanée, maintenue jusqu’à 16 heures, est observée scrupuleusement par Tsahal. Cela n’empêche pas le Hamas d’interdire aux Palestiniens de sortir de chez eux en prétendant qu’il s’agit peut-être d’une “manœuvre” israélienne pour les surprendre et les attaquer !!
De leur côté, les terroristes violent régulièrement cette “trêve” : mercredi après-midi, quarante minutes après le début de ce cessez-le-feu provisoire, un commando du Hamas a ouvert le feu sur une unité de Tsahal dans le Nord de la bande de Gaza. Les soldats ont riposté immédiatement et un hélicoptère
a survolé le secteur pour prendre pour cible les agresseurs. Fort heureusement, l’incident s’est terminé sans blessés mais le message était clair pour Tsahal: le Hamas ne respecte rien.
Autre preuve : l’organisation terroriste, qui a dénoncé en début de semaine l’attaque de l’armée israélienne sur une école de l’UNRWA, alors que chacun sait que des terroristes s’y étaient réfugiés pour tirer des roquettes sur le Sud d’Israël, a visé jeudi matin une école d’Ashkelon et a endommagé un gymnase.
Fort heureusement, aucun élève ne se trouvait dans l’établissement mais des adolescents, jouant à proximité, ont dû se coucher par terre, n’ayant pas d’abris à leur portée, et ont entendu nettement l’explosion.
Dans des conversations en cercle fermé, des gradés de Tsahal ont laissé entendre qu’il ne fallait surtout pas cesser les combats à ce stade de l’opération. “Au cours de ces dernières années, le Hamas a subi des coups par ci, par là, mais il n’a jamais été frappé comme cette fois, dans une action d’envergure”.
Il faut exploiter cette opération jusqu’au bout, il faut la terminer avec le sentiment d’avoir affermi notre force de dissuasion face au Hamas”.
Abu Jundal, interrogé par Al Jazzera.
Si cela peut vous rassurer, ce n’est pas moi qui l’ai faite mais un journaliste palestinien vivant à Gaza et travaillant pour le Times On Line et la CNN
Arabe -sic-, Al Jazeera.
Pour lire l’article dans son intégralité (et en anglais),
cliquez ici.
Abu Jundal (EN PHOTO) attend dans une rue de Gaza City, non armé et avec des habits de civils. Seul son gillet noir à poche multiple et sa barbe donne une indication sur qui il est réellement; un commandant du Hamas profitant d’un jour de congé au beau milieu d’une guerre avec Israël. La méthode de « travail »:
« On fait travaille en roulement. Hier, j’ai travaillé de 22h à 5h ce matin. Nous ne travaillons qu’à 10% de nos capacités. Il y a toujours quelqu’un qui peut venir nous remplacer sur les différentes lignes de combat. » Le journaliste ajoute « qu’en plus de servir au front, les combattants du Hamas doivent
continuer à subvenir à leurs familles en leur donnant de quoi manger et du fuel. »
Les combats: Son unité ne se sert pour l’instant que de lance-roquettes, de mines anti-personnelles et de mortier. Le terroriste ajoute « Les israéliens ne sont pas à pied, ils sont surtout dans les tanks ou encore dans des hélicoptères. »
« Une unité israélienne est rentré dans une maison ou il y avait des combattants du Hamas. Il y a eu une petite bataille et l’un d’entre nous à fait exploser sa ceinture d’explosifs. Nous avons des centaines d’Islamikazes qui attendent de pied ferme les israéliens. Ces derniers ont le choix: être tuer, être blesser ou être enlever ».
Pour combattre la supériorité de la machine de guerre Israélo-Américaine, le Hamas à préparé ce que les chefs d’escadrons appellent des « surprises ». Il refuse d’en dire trop mais il dit que la priorité du Hamas est de kidnapper des soldats israéliens pour ensuite les utiliser en monaie d’échange. Il rappel
la réussite de l’opération quiavait mené à l’enlèvement, (ndlr: il y à 925 jours),de Gilad Shalit. « Nous faisons tout ce que nous pouvons pour arriver à enlever les soldats et par là-même détruire le mythe d’une armée israélienne invincible »
Le hezbollah au secours du hamas :
Le Hamas est en train de perdre pied totalement dans les affrontements contre Israel. Plusieurs centaines de terroristes ont étés captures par les soldats israéliens, leurs infrastructures sont quasiment toutes détruites, leur ravitaillement en arme n’est plus possible… Leur seul chemin de survie est de
créer un deuxième front, au nord d’Israel. Ils doivent croire que l’intensité des combats dans Gaza baissera d’un cran et qu’une partie des soldat de l’armée de défense israélienne sera démobilisé de Gaza pour aller servir au Nord d’Israel…
Mardi, le premier ministre israélien, Ehoud Olmert, avait lancé un avertissement au Hezbollah contre toute éventuelle ouverture d’un nouveau front à la frontière nord d’Israël. « Que nul ne se méprenne quant à notre détermination sur tous fronts ». Israël a décidé de mobiliser des dizaines de milliers de réservistes, et ces effectifs pourraient en partie être affectés à la défense de la frontière nord du pays en cas d’attaque du Hezbollah, selon la radio
israélienne. De son côté, le gouvernement libanais, a d’ores et déjà fait savoir que le Liban ne souhaitait pas être entraîné dans une nouvelle guerre et, selon le
porte parole du gouvernement, la formation chiite adhérait à cette position. Apparemment, non !
par JSS publié dans :
Monde Arabe / Liban
En tout cas l’UE a vraiment peur que ça éclate chez eux…
Les ministres européens des Affaires étrangères entendent faire appel auprès du président américain élu Barack Obama pour qu’il accorde la priorité à la crise de Gaza dès son entrée en fonction, a annoncé le ministre italien des Affaires étrangères Franco Frattini.
Ça tout l’air que, Désolée le Darfour, République du Congo etc, vous devrez attendre.
à Ein Hashlosha, 2 blessés sérieusement atteints sont évacués en hélicoptère, les 2 autres plus légèrement touchés sont transportés
en ambulance vers l’hôpital Soroka de Béersheva.
»Nous combattrons jusqu’à l’arrêt des contrebandes à Gaza », a déclaré la présidente de la Knesset Dalia Itzik au président du Parlement européen Hans-Gert Pöttering. »Le Hamas est une organisation terroriste meurtrière qui utilise la population comme bouclier humain », a-t-elle ajouté. Elle a envoyé une lettre dans le même sens aux eurodéputés, et a l’intention d’envoyer une délégation diplomatique défendre les positions israéliennes dans
les grandes capitales européennes.
Un autre qui a hâte d’aller rejoindre les 70 vierges.
Mohammad Nazal, un responsable du bureau politique du Hamas basé à Damas, a déclaré jeudi que le mouvement islamiste « ne se rendra jamais et combattra de maison en maison contre les soldats de Tsahal ».
Afghanistan : 17 civils dont des femmes et des enfants ont été tués lors d’une opération américaine dans l’est du pays.
Qui peut m’expliquer que l’ONU et personne condamne cela ?
Tsipi Livni appelle la communauté internationale à soutenir l’Etat hébreu dans la lutte contre le terrorisme. S’adressant à des ambassadeurs étrangers lors d’une réunion jeudi à Tel-Aviv, la ministre israélienne des Affaires étrangères a affirmé que la lutte contre le Hamas prendrait du temps et qu’Israël
ne conclurait pas d’accord avec une organisation terroriste.
De source diplomatique, on apprend que les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne ont proposé jeudi matin aux pays arabes un projet de résolution appelant à un cessez-le-feu immédiat à Gaza.
Le département d’Etat américain a exhorté jeudi Israël à prolonger les horaires d’accès de l’aide d’urgence dans la Bande de Gaza, afin d’améliorer la situation humanitaire du territoire palestinien.
Ouais, c’est ça pour qu’ils reprennent leur souffle ?
Les infos viennent de : actuallité Israël, Jérusalem Post, Guysen Israël news et de JSS.
Document: La population palestinienne otage du Hamas
Au lendemain de sa décision unilatérale de ne pas reconduire la trêve avec Israël, le Hamas diffusait, à travers ses médias, mais aussi à travers des tracts distribués dans la rue, un commentaire se raillant d’Israël et de son incapacité à faire face aux tirs incessant de roquettes palestiniennes: « L’ennemi
est dans un tel état de confusion qu’il ne sait que faire (…) leur fragile cabinet s’est réuni dans le cadre d’une tentative désespérée de trouver une réponse aux roquettes, alors que des milliers de colons se réfugient dans les abris. Avec la volonté de Dieu, ces abris seront leurs tombes »(1). Ainsi, la proposition de reconduction de la trêve par Israël à été considérée comme un aveu de faiblesse et ce sont plusieurs centaines de milliers de
civils israéliens qui vivent sous la terreur des roquettes Qassam et Grad (2) du Hamas. Mais l’Etat Major et le gouvernement israélien ont bien compris une chose: l’Opération Plomb Durci devra engendrer le moins possible de pertes collatérales pour engendrer une réussite totale des objectifs militaires et diplomatiques. Cette consigne sera strictement appliquée par les soldats israéliens, malgré le fait que le Hamas se serve des civils palestiniens comme
d’un bouclier humain.
L’une des branches du Hamas, les Brigades Ezzedim Al Qassam, a récemment publié un article sur la version anglaise de son site internet
(3) décrivant la stratégie du Hamas concernant les tirs de roquettes et la possible réponse israélienne.
L’article explique comment la « défense israélienne, lorsqu’elle pénétrera dans Gaza, servira la cause du Hamas. En réponse aux israéliens, les Brigades Ezzedim Al Qassam recevront le soutien de toute la population palestinienne. Le Hamas à prit tout le temps nécessaire à construire les scénarios possibles
auxquels l’armée israélienne fera appel. » Et le plus important, l’article met clairement en évidence, que « la réponse de l’armée israélienne aux tirs incessants de roquettes fera réagir la communauté internationale. Cette dernière condamnera Israël et donnera de la légitimé au Hamas » (en tant que « force régionale
importante »). L’article explique aussi que « le Hamas ne reconnaîtra alors plus une minute de plus la légitimité du président du Fatah, Abou Mazen, lorsque se présidence arrivera à échéance le 9 janvier prochain. »
Lors de son apparition dans l’émission « C Dans L’Air » (4) diffusée le lundi 5 janvier 2009; Pierre Servent(5), spécialiste international des conflits, le dit très clairement: » La partie de Tsahal est militaire, mais elle a aussi intégrée la dimension politique, sans doute avec la volonté de casser la colonne vertébrale du Hamas. Pour cela, (…) Tsahal fait preuve de maîtrise et de retenue même si on est tous là, à déplorer les victimes civiles. Ce qui
montre bien qu’ils (les israéliens) essayent de détruire le Hamas et dans le même temps, de ne pas se mettre à dos, une population qui, peut-être, en à ras-le bol du Hamas et qui pratique une stratégie anti-cité. C’est-à-dire, qui prend en otage sa propre population, qui se trouve ensuite frappée par Tsahal
et qui, lui-même frappe non pas des objectifs militaire israéliens, pourtant à porté de tir de Gaza; mais plutôt des villes, des cités israéliennes. » Et Christophe Barbier (6) de reprendre: » Cela a un nom. Frapper des victimes civiles en face et offrir sa population en victime, en kamikaze, cela s’appelle
une stratégie terroriste ».
Même son de cloche du côté des ONG qui surveillent la riposte israélienne de près. Ainsi, Palestinian Media Watch (7) diffuse une vidéo d’un discours de Fathi Hamad, membre important du Hamas, dans laquelle il clame, avoir constitué un bouclier de femmes, d’enfants et de vieillards pour protéger les jihadistes du Hamas. « Pour le peuple palestinien la mort est devenue une industrie dans laquelle les femmes et les enfants excellent. Par conséquent, (les palestiniens) ont créés un bouclier humain composé de femmes et d’enfants, de personnes âgées et de jihadistes; comme s’ils disaient à l’ennemi sioniste « nous désirons
la mort tout autant que vous aimez la vie ».
Le Hamas n’en est pas à son coup d’essai. Pour lui, les civils palestiniens sont une enveloppe qui protège les activités militaires et terroristes. Pendant l’opération « Hivers Chaud » déjà, la télévision Al-Aqsa appelait les Gazahouis à former une chaîne humaine autour et sur des bâtiments que Tsahal menaçait
de détruire. Suite à quoi, Ismaïl Haniyeh en personne, se vanta de pouvoir envoyer des centaines et des milliers de Palestiniens sur le toit des maisons et caches appartenant à l’organisation terroriste. Déjà en place à cette époque, le chef d’Etat-major israélien, Gaby Ashkenazi, avait alors déclaré (3 mars 2008): « Tsahal a envoyé des avertissements (messages écrits ou radiophoniques) dans la bande de Gaza avant le début de l’opération », prévenant la
population civile de se tenir éloignée des sites de lance-roquettes et perdant ainsi un précieux effet de surprise. Dans sa Note d’Analyse concernant l’opération Plomb Durci, le 4 janvier 2009, l’ESISC écrit: « les bombardements sont précédés par le largage de milliers de tracts, les habitants sont prévenus par téléphone
lorsque des immeubles utilisés pour cacher des armes abritent également des civils. L’immeuble n’est frappé qu’après l’évacuation. » (8)
Aujourd’hui, personne ne réfute le fait que le Hamas se sert de sa population comme de bouclier humain, de chaire à canon. Dans le même temps, l’Etat d’Israël fait très attention à éviter les pertes civiles humaines. Malgré tout, il est quasiment impossible, lors d’une opération militaire d’une pareille envergure,
que les civils ne soient pas touchés. D’autant plus quand ils sont mis en avant par les miliciens. Par ailleurs, le Droit International stipule que si un lieu est une cible militaire légitime, il ne cesse pas de l’être parce que des civils se trouvent à proximité. Dans l’article 28 de la IVème Convention
de Genève (9), il est dit : « La présence de personnes protégées [civils, personnels humanitaires…] ne doit pas être utilisée pour immuniser certains objectifs ou zones d’opérations militaires. » Qui plus est, le fait d’utiliser des civils comme bouclier humain, ne serait-ce qu’en se plaçant au cœur de la population
civile pour tirer des engins explosifs, constitue une traîtrise en Droit international. Ceux qui choisissent de procéder ainsi doivent porter la responsabilité des dommages causés aux civils que leur décision engendre.
La réponse du berger à la bergère, à travers l’opération Plomb Durci, est donc très simple. Israël se sert de son outil militaire pour contraindre le Hamas à déposer les armes sans pour autant viser volontairement des civils. Dans un article du Wall Street Journal, Alan Dershowitz résume parfaitement la situation
dans laquelle Israël a été mise par le Hezbollah (10): « Selon les lois de la guerre, un nombre indéterminé de combattants peut être éliminé pour sauver ne fut-ce qu’un seul civil ». De son côté, le Hamas se sert délibérément de civils palestiniens pour mettre en avant sa stratégie de communication envers les médias du monde entier. De cette manière, le Hamas espère pouvoir crier au massacre et contraindre Israël à cesser son opération.
Ce type de stratégie est également mise en avant pour unifier un peuple autour de son leader, bien que ce dernier soit largement critiqué au sein même de sa population. Si cette stratégie fonctionnait parfaitement, Israël serait contraint d’arrêter son opération dans la bande de Gaza avant même d’avoir neutralisé toutes les forces terroristes (et par là-même d’avoir atteint ses objectifs) et le Hamas pourrait ainsi reprendre ses activités sans craindre
de nouvelles ripostes israéliennes. Dans ce cas, le Hamas pourrait célébrer une réelle victoire sur Israël. Une image totalement différente de ce qu’elle présentera quand elle annoncera victoire (les terroristes n’avouent jamais leurs défaites (11)), après le départ d’Israël de Gaza; si l’Etat Hébreu arrive à ses fins…
1. Khaled Abu Toameh, « Hamas mocks Israel non-response to Kassams », Jerusalem Post, 25 décembre 2008.
2. Les roquettes Grad ont une portée de 40km. Elles sont construites par l’Iran et la Chine.
Lorsque le chef terroriste du Hamas Nizar Rayyan a été éliminé dans une attaque de l’armée de l’Air, ses quatre femmes et onze de ses enfants sont morts avec lui. D’après ses autres enfants qui ont survécu à l’opération, la mort des petits Rayyan n’était nullement accidentelle : Rayyan père les avait entraînés
à mourir avec lui en “martyrs”.
Les membres de la famille qui ont échappé à l’opération et au projet de leur “généreux” père ont confié aux médias arabes que quelques jours avant sa mort, Rayyan avait demandé plusieurs fois à ses enfants : “Qui veut mourir en martyr avec moi ?” Et les enfants auraient répondu : “Oui, papa, nous voulons tous
être avec toi morts ou vifs.”
Une fille du terroriste palestinien, Wala, a affirmé que même les plus petits voulaient mourir avec leur père. “Si vous aviez demandé à ma petite sœur de quatre ans, Aisha, qui est morte dans l’attaque, elle vous aurait dit qu’elle préférait mourir en martyr”, a prétendu Wala dans une interview accordée
à l’agence de presse Ma’an.
L’une des brus de Rayyan a affirmé que ce dernier lui avait également offert une chance de mourir avec la famille. Alors qu’elle était en visite dans la grande maison familiale, son beau-père lui avait demandé si elle voulait mourir avec lui, ses femmes et ses enfants. Elle avait accepté, mais peu après
elle avait quitté les lieux, juste avant le raid de Tsahal, ratant de peu son billet pour le “paradis des martyrs palestiniens”.
Il s’avère que lorsque Rayyan a offert à sa bru “l’opportunité” de mourir avec lui, il avait déjà reçu un coup de fil de Tsahal l’avertissant qu’il devait évacuer sa maison qui allait être bombardée incessamment.
Les onze enfants qui sont morts “de leur propre gré” avec leur père étaient âgés d’un à seize ans. Un autre fils est mort plusieurs années auparavant, envoyé par son père perpétrer un attentat suicide dans la bande de Gaza. Deux Israéliens ont été tués dans l’attaque.
Rayyan était l’un des prédicateurs du Hamas et il croyait que ceux qui mouraient en combattant Israël étaient des ”martyrs” et allaient directement au paradis. Il encourageait ses ouailles à avoir plusieurs femmes et le plus d’enfants possible pour fournir les futurs soldats de la lutte contre Israël ! Il encourageait
également le Hamas à prendre le contrôle de la Judée Samarie et à perpétrer des attentats suicides à l’intérieur de la ligne verte. Toute une tradition de haine…
Je vous mets ici ce qu’une israélienne ressent elle aussi.
Ne vous gênez pas pour diffusez.
Point de vue de Francine Kaufmann
Chers amis dont certains ont pris la peine de m’exprimer leur solidarité en ces jours difficiles. Je voudrais vous faire part de mon regard sur le conflit actuel, soit pour vous informer, soit pour vous permettre de dire à vos propres amis et connaissances ce qu’une Israélienne éprouve en cette période si
Cela dit, je vis ici et m’informe au quotidien et je sais bien que nous avions atteint un point de non retour et qu’il fallait que l’armée entre en action : face aux tirs permanents de missiles sur des villes et villages, avec des portées sans cesse croissantes (aujourd’hui un rayon de 40 kms), de plus en plus
d’Israéliens avaient perdu confiance dans leur Etat et disaient à voix haute que nos dirigeants les avaient abandonnés à leur triste sort.
Le sud d’Israël se sentait sacrifié pour que le centre et le nord puissent prospérer et vivre normalement. Depuis huit ans, les jardins d’enfants, les écoles et les institutions d’enseignement supérieur du sud du pays ne peuvent plus étudier normalement, les affaires tournent au ralenti ou ferment, les récoltes
pourrissent sur pied faute de pouvoir être traitées de manière régulière.
Quand elles en ont la possibilité, des familles entières quittent le pays pour ne plus vivre dans l’angoisse quotidienne de devoir fonctionner entre deux alertes. Mais les prix des appartements ont tellement chuté que les habitants les plus pauvres ne peuvent trouver acheteur ou locataire pour choisir de
vivre ailleurs, là où ils seraient plus à l’abri.
Les traumatismes sont profonds et irréversibles (énurésie, cauchemars, états de choc devenus permanents).
Les abris d’il y a dix ans (déjà en nombre insuffisant) ne sont pas adaptés aux perfectionnements technologiques des missiles « Grad ». Circuler dans la rue (trottoir et chaussée) est devenu un risque que beaucoup ne peuvent pas courir et handicapés, personnes âgées restent murés chez eux à proximité d’un abri
ou d’une chambre protégée s’ils en ont une.
Ce sont des bénévoles venus de tout le pays qui se mobilisent pour faire leurs courses et s’occuper d’eux, entre deux alertes, ou pour offrir une animation aux enfants et adolescents terrés des jours durant dans les abris.
Et pourtant, il est difficile de faire comprendre cette situation aux téléspectateurs de l’étranger, face aux terribles images qui viennent de Gaza. On leur dit que les Israéliens sont « soudain » devenus fous et se livrent à un massacre programmé de la population. On ose parler de Shoa ! On parle de réaction
« disproportionnée ».
Lorsque du côté israélien des missiles détruisent tout (maisons, voitures, animaux dans les fermes, routes, jardins d’enfants) mais qu’il n’y a pas de « victimes » parce qu’une grande partie des habitants vivent une partie du temps (et depuis des années) dans leurs familles ou chez des amis plus au nord d’Israël,
ou parce qu’ils n’étaient pas momentanément sur place, que les conducteurs d’autobus et de taxis ont accéléré en début d’alerte et poussé leurs passagers vers le premier abri, leur véhicule explosant ou les vitres et les portes volant en éclat quelques secondes à peine après la chute du missile… peut-on mesurer la peur, la cruauté, la souffrance des uns et des autres ?
Qui peut nous donner des leçons sur la meilleure manière de défendre une population civile contre un ennemi qui considère que notre seule existence en tant qu’Etat juif est une « occupation », une infraction aux lois de l’Islam qui veut qu’un territoire ayant appartenu aux musulmans (« Dar el islam ») ne puisse
plus être souillé par un régime non musulman : le ’hamas ne peut se contenter de rien moins que de la disparition de l’Etat d’Israël (sa charte est claire à ce sujet, ainsi que les déclarations de ses dirigeants).
Que nous ayons évacué militairement la bande de Gaza ainsi que les localités juives de la région (avec leurs habitants) depuis des années n’a servi à rien.
Toute aide humanitaire d’Israël aux populations civiles de Gaza n’est pas rapportée. La confiscation des fonds internationaux destinée à la population au profit de la classe dirigeante du ’hamas est passée sous silence. Les bénéfices rapportés par les tunnels de contrebande creusés depuis plus d’une dizaine
d’années (et non depuis le début du siège israélien en septembre 2008) rapportent des millions aux trafiquants d’armes et de biens…
Israël est un pays tenu par le droit international et par son éthique à respecter les règles de la guerre : ses soldats sont en uniforme et concentrés dans des bases militaires. A part de terribles erreurs de tir (dont nos propres soldats sont souvent aussi victimes), l’armée israélienne met un point d’honneur
à distinguer combattants armés et civils.
Le ’hamas est une organisation protéiforme, sans foi ni loi, qui utilise le terrorisme pour désorganiser la vie quotidienne des civils de la société dont ils veulent la perte : ses combattants sont en civil et vivent délibérément mêlés aux civils. Ils n’hésitent pas (nous en avons souvent la preuve) à utiliser
hôpitaux, ambulances, mosquées, écoles pour y entreposer armes, quartier général, sachant qu’ils placent ainsi Israël devant des choix impossibles : respecter
le droit d’asile ou se défendre en attaquant des lieux symboliquement marqués.
Je ne suis pas très optimiste pour la suite des combats car j’ai peu d’illusions sur le sort des armes. Mais je ne suis pas suicidaire et je suis certaine de notre bon droit. Nous ne pouvions pas rester plus longtemps les bras croisés face aux attaques quotidiennes de fanatiques prêts à mourir en martyrs pour que leur vision de l’islam triomphe…
S’ils prennent en otage leur propre population, cela ne doit pas nous empêcher, après tant d’années de mises en garde, de tenter d’affaiblir leur puissance de tir et leur conviction qu’ils l’emporteront contre not re Etat réduit à l’impuissance par des considérations éthiques.
Prendre les armes pour se défendre implique d’être prêts à mourir mais aussi à tuer d’autres êtres humains et à détruire leur environnement. C’est le prix à payer pour ne pas nous laisser peu à peu détruire. Puisse Dieu nous protéger et puisse la communauté internationale comprendre les enjeux véritables
de cette lutte « disproportionnée » parce que la désinformation présente les agresseurs comme des victimes innocentes et les agressés (qui ont choisi de se défendre par les armes) comme des génocidaires.
Demain, je pars enseigner à l’université sans savoir qui de mes étudiants ou de mes collègues sera mobilisé ou absent parce que la circulation est impossible.
Les plans d’un carnage annoncé, ont été déjoué par Tsahal
Lors de l’investigation d’une maison occupée par des terroristes, dans le nord de la Bande de Gaza, les soldats de Tsahal ont trouvé un document présentant un plan de tactique du Hamas. Ce plan prévoyait notamment de poster des commandos terroristes et des snipers près des mosquées, et de poser des charges
explosives dans des lieux de concentration de civils palestiniens, afin de provoquer un carnage à l’arrivée de soldats israéliens. Les médias internationaux vont-ils en faire état?
Un peu de baume au coeur, cela ne fait pas de mal. Dans le concert d’incompréhension, d’hypocrise et de protestations à travers le monde, le Sénat américain a apporté un peu de lumière en votant à l’unanimité une résolution affirmant “le droit d’Israël à se défendre contre le terrorisme”. Cette résolution initiée
conjointement par les deux partis, Républicain et Démocrate, stipule également la demande d’un cessez-le-feu, mais “qui garantisse que le Hamas ne puisse plus à l’avenir tirer sur le territoire israélien”.
De toute façon, Israël ne doit pas accepter cela. Non seulement le plan est ambigu, mais rien ne serait certain que la contrebande d’armes cesseraient. J’espère qu’Israël ne mettra pas l’ongle dans cette engrenage !…
Le plan dit ceci :
Elles se résumeraient ainsi : dans un premier temps, arrêt total des combats des deux côtés pour un temps
limité, avec ouverture d’un couloir humanitaire. Ensuite, ouvertures de pourparlers par l’intermédiaire de l’Egypte, sur le « causes de la dégradation de la situation et les moyens d’éviter l’escalade à l’avenir », ainsi que sur l’ouverture progressives des points passage, et dans un troisième volet, une tentative de réconciliation des principales factions palestiniennes.
De la poudre aux yeux, dont Israël ne semble pas trop se laisser ambarquer.
Du moins, pour le moment.
C’est une vérité qui ne dérange pas d’un poil ni Falardeau, ni Kadhir ni personne à Radio Canada.
La certitude de posséder la vérité – les israeliens sont le méchants – de la gauche est inébranlable!
Marc Nadeau de Majorité silencieuse en entrevue pour parler du Hamas:
http://radioego.com/ego/listen/1521
Mindelle Jacob du Edmonton Sun sur le conflit a Gaza. Avertissement, ce n’est pas du hetutistan…
http://www.edmontonsun.com/News/Columnists/Jacobs_Mindelle/2009/01/06/7928141.html
Excellente vidéo.
Encore une fois, excellente entrevue! On partage la même opinion au sujet d’Obama!
Je suis pas certain non plus qi’il va être très enthousiaste contrairement à ce que pensent nos nonos de gauche locaux, de libérer Omar un tueur présumé de soldat américain en Afghanistan!
Demander des efforts aux soldats de son pays en Afghanistan et libérer un ennemi ça paraît mal!
Est-ce qu’on avait pas garanti à Israel que le Hezbollah serait désarmé?
C’était pourtant une condition du cessez le feu non?
Une fois de plus on voit ce que vaut la parole de l’ONU!
J’espère qu’Israel ne se laissera pas faire et n’hésitera pas répliquer avec toute la force nécessaire!
http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-01/08/content_794674.htm
Les missiles continuent de tomber, deux soldats de morts du côté de Tsahal, des blessés grave dû a des tirs de missiles etc etc etc…
Même entre eux ils ne s’entendent même pas.
Selon des officiels du Hamas, le groupe a rejeté la proposition du Caire de placer le point de passage de Rafiah sous l’autorité des forces de sécurité du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
De même, la solution avancée par l’Egypte de déployer des troupes internationales dans la bande de Gaza dans le cadre d’un accord de cessez-le-feu avec Israël a également été refusée par le mouvement islamiste.
Il faut le détruire une fois pour toute.
En effet, en Syrie et au Liban, les responsables du Hamas affirment qu’ils n’accepteront jamais un accord de cessez-le-feu sur le long terme. La raison étant qu’ils veulent « conserver leur droit de répondre aux agressions israéliennes. »
Même l’Égypte ne veut pas ouvrir ses frontières. Mais, qui condamne ? Qui le mentionne ?
Selon plusieurs sources égyptiennes, Souleiman a informé la délégation du Hamas – composée entre autres d’Imadal Alami et de Mouhammad Nasser – que l’Egypte n’avait pas l’intention de rouvrir Rafiah, à moins que les forces de sécurité d’Abbas ne soient autorisées à y retourner.
Le point de passage est tombé entre les mains du Hamas au cours de l’été 2007. Des membres de l’organisation terroriste étaient alors parvenus à en expulser les forces de police de l’AP.
Le porte-parole du Hamas Fawzi Barhoum a affirmé que son mouvement s’opposait au retour des partisans du Fatah à Rafiah, comme prévu selon l’accord signé en 2005 : après le retrait israélien de la bande de Gaza, le point de passage devait être géré par l’AP, sous surveillance internationale.
Alors Israël ne doit pas céder d’un pouce, puisque cet ancien accord avait lamentablement échoué. Il faut que les américains s’impliquent plus. Il faut une force américaine également. Il faut casser le hamas une fois pour toute.
D’après Barhoum, La branche armée du groupe terroriste, Izzadin Kassam, a également rejeté la proposition égyptienne, affirmant que le Hamas considérerait ces forces internationales comme des troupes d’occupation hostiles. De fait, le groupe lancerait des attaques contre elles.
J’ai bien peur que ce conflit de merde, est loin de se régler. Il va même s’intensifier. Le hezbollah ou parti palestinienne au Liban, ont lancé des katiouchas sur le nord, aujourd’hui…
Et bien sûr le monde ont appelé Israël à vous savez quoi ? La retenu !…
Pour eux, faut qu’Israël cesse de se défandre, mais eux ils promettent de ne rien céder, ni arrêter.
Décidément on a atteint la folie à l’état pure. Je t’agresse avec une arme, mais ne te défends pas.
Un haut responsable du Hamas a affirmé jeudi que les membres du Mouvement de la résistance islamique ne se rendraient jamais et continueraient de livrer combat contre les forces israéliennes dans la Bande de Gaza.
Pendant ce temps, l’Iran est content.
L’Iran a toutes les raisons de se réjouir du conflit à Gaza puisqu’il détourne l’attention de son programme nucléaire, d’après Yossi Kuperwasser, un ancien chef des renseignements militaires.
Pour lui, l’Iran se trouve derrière la situation à Gaza. « Les Iraniens sont responsables de cette opération pour avoir fourni de l’argent et des armes au Hamas », explique-t-il.
Il a également évalué que le coup infligé au Hamas ne le mettait pas dans une situation critique : « Nous n’avons pas frappé suffisamment fort pour créer un impact stratégique sur sa capacité de continuer d’agir. »
Concernant l’école de l’ONU frappée par Israël mardi entraînant la mort de 40 personnes, Kuperwasser et le président du Centre de Jérusalem des affaires publiques Dore Gold ont déclaré qu’il existait des preuves de plus en plus manifestes que les forces israéliennes avaient été attaquées dans une rue adjacente.
« On doit répondre au feu quand on est attaqué. Personne ne peut croire qu’Israël tirerait délibérément sur une école », a expliqué le spécialiste militaire.
Hélas, des imbéciles le croient.
Gold a ajouté qu’Israël ne devrait pas ignorer les lacunes de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l’ONU qui n’a pas réussi à bloquer le passage d’armes. Au Liban, l’arsenal du Hezbollah est en effet bien plus important aujourd’hui qu’en 2006. « Israël ne veut pas répéter cette erreur avec le Hamas. »
Voilà pourquoi, seul les américains pourraient faire stoper cela. Les européens sont vendus aux terroristes et les arabes on n’en parle pas.
Il a en outre expliqué qu’au niveau international, la plus petite victoire du Hamas injecterait « une dose d’adrénaline dans les veines de l’Islam radical » qui mettrait en danger la sécurité de tous les pays du Moyen-Orient.
Gold a aussi défendu le siège de Gaza en déclarant que si Israël ouvrait l’accès à Gaza, des bateaux transportant des armes iraniennes pourraient débarquer dans le port de Gaza.
En réponse à une question du Jerusalem Post sur la non-évacuation des enfants de Gaza, Gold a déclaré que le rôle des civils, en particulier des enfants, était l’un des pires aspects du conflit.
Le Hamas utilise délibérément les enfants comme boucliers humains. Les preuves sont de plus en plus tangibles. « Quand vous avez à faire à un ennemi comme le Hamas, une société comme Israël est confrontée à des dilemmes. »
La trêve.
Israël aimerait obtenir un certain nombre de « garanties » du Caire parmi lesquelles le début du démantèlement de l’industrie des tunnels de contrebande le long du couloir de Philadelphie qui sépare Gaza de l’Egypte.
Une centaine de tunnels ont été détruits depuis le début de l’opération « Plomb durci ». Il en resterait environ 200.
Pour l’heure, plusieurs ingénieurs militaires américains – servant de conseillers aux Egyptiens – et Gilad discuteront avec les Egyptiens de la possibilité de développer une présence américaine permanente à la frontière entre l’Egypte et Gaza.
Si la trêve n’aboutissait pas, Israël intensifiera son opération, de source israélienne.
D’autant que les propositions françaises et égyptiennes restent ambiguës.
Oui, car ceux de l’Égypte et de la France semble très différente. Sans oublier, que le hamas ne veut pas accepter que les frontières soient surveillées.
L’accord française:
– la suite de l’opération militaire ;
– la mise en place d’un mécanisme visant à empêcher la contrebande ;
– l’engagement israélien à un cessez-le-feu unilatéral ;
– une riposte israélienne qu’en cas de reprise des tirs par le Hamas ;
– la reprise des pourparlers sur l’ouverture des points de passage après une période initiale de calme.
L’accord de L’Égypte :
La proposition égyptienne se fonde sur les idées suivantes : un cessez-le-feu mutuel, la volonté de parler de dispositifs aux frontières, l’ouverture des points de passage et une rencontre urgente entre des représentants israéliens et palestiniens pour empêcher la répétition de toute action militaire.
Donc rien de sûr dans celle de l’Égypte.
Surtout que Abbas ne contrôle rien à Gaza et que le hamas ne veut pas discuter…
Puis remarquez : il dit bien une volonté de seulement parler d’un dispositif aux frontières. Donc, Israël ne doit pas accepter une proposition aussi peu clair.
Une salve de roquettes Katiouchas s’est abattue sur le Nord du pays. Deux personnes ont été légèrement blessées à Naharya.
Un terroriste palestinien a tenté d’incendier une station service de Mishor Adoumim, à l’est de Jérusalem. S’emparant d’une pompe, il a aspergé d’essence le sol de la station et le pompiste qui se trouvait sur place avant d’allumer un feu. Le pompiste, lui-même un Palestinien, a été brûlé aux bras et au visage mais ses blessures ne sont pas profondes. Des pompiers, dépêchés sur les lieux, ont fort heureusement maîtrisé les flammes avant qu’elles ne se
propagent aux réservoirs de carburant. Les forces de sécurité, présentes dans le secteur, ont tiré sur le terroriste et l’ont abattu. Le pompiste blessé a été évacué à l’hôpital Hadassah Har Hatsofim (Mont Scopus) de Jérusalem.
Tout aurait pu se terminer de façon tragique; c’est le sentiment des pensionnaires de la maison de retraite de Naharya où une roquette de type Katioucha a explosé. L’engin a atterri dans la cuisine après avoir traversé le toit de l’établissement. Au même moment, les 22 personnes âgées qui y vivent se préparaient
à prendre leur petit-déjeuner dans la salle-à-manger, qui se trouve à l’étage inférieur. Finalement, cette attaque a fait trois blessés légers, et huit autres étaient en état de choc. Une des blessées s’est cassé la jambe en tentant de s’échapper et des dommages sérieux ont été causés à l’établissement.
Le directeur a indiqué que tous les locataires seraient transférés dans une autre maison de retraite.
C’était un miracle que l’école était fermée !
Un missile Grad, tiré depuis la bande de Gaza, s’est abattu jeudi matin sur une école d’Ashkelon. L’engin a explosé dans le gymnase de l’établissement; fort heureusement, personne ne s’y trouvait au moment de l’attaque. Un peu plus tard, une roquette est tombée dans une localité du conseil régional d’Eshkol.
Quatre personnes ont été blessées, deux assez sérieusement et les deux autres légèrement.
Par ailleurs une autre a atterrie sur un jardin d’enfant.
L’horreur atteint un degré de plus.
Les efforts déployés pour l’instauration d’un cessez-le-feu à Gaza déplaisent fortement aux forces de sécurité qui combattent en ce moment, sans relâche, les terroristes qui harcèlent la population civile du sud d’Israël et introduisent impunément des armes sophistiquées à travers les tunnels clandestins creusés entre l’Egypte et la bande de Gaza.
Réagissant aux informations sur une trêve éventuelle, les chefs militaires ont souligné jeudi matin qu’ils n’avaient pas accompli totalement leur mission sur le terrain. “Si nous maintenons notre pression militaire sur le Hamas, nous obtiendrons de bien meilleurs résultats à la fin de notre opération”, ont-ils
affirmé.
Et ceci, malgré les pertes que continue de subir Tsahal:
Après avoir franchi les deux premières étapes de l’opération “Plomb durci”, les combattants attendent le feu vert du gouvernement pour étendre leur intervention terrestre. Les officiers supérieurs ont estimé que même si le Hamas avait déjà subi de lourdes pertes, il continuait à résister et qu’il n’y avait donc
aucune raison d’interrompre les combats.
L’un des responsables a souligné : “Jusqu’à présent, on peut se féliciter des résultats obtenus sur le terrain mais le Hamas n’a toujours pas été écrasé. Ceux qui prennent les décisions doivent tenir compte de cela.”
En dépit de l’attitude du Hamas qui, comme on l’a constaté à maintes reprises, ne se soucie nullement du sort de la population civile de Gaza et exploite même la situation à son profit, Israël fait une fois de plus preuve de clémence en accordant une trêve humanitaire pour permettre aux habitants de Gaza
de s’approvisionner en denrées de base et en équipements de toutes sortes.
Cette interruption momentanée, maintenue jusqu’à 16 heures, est observée scrupuleusement par Tsahal. Cela n’empêche pas le Hamas d’interdire aux Palestiniens de sortir de chez eux en prétendant qu’il s’agit peut-être d’une “manœuvre” israélienne pour les surprendre et les attaquer !!
De leur côté, les terroristes violent régulièrement cette “trêve” : mercredi après-midi, quarante minutes après le début de ce cessez-le-feu provisoire, un commando du Hamas a ouvert le feu sur une unité de Tsahal dans le Nord de la bande de Gaza. Les soldats ont riposté immédiatement et un hélicoptère
a survolé le secteur pour prendre pour cible les agresseurs. Fort heureusement, l’incident s’est terminé sans blessés mais le message était clair pour Tsahal: le Hamas ne respecte rien.
Autre preuve : l’organisation terroriste, qui a dénoncé en début de semaine l’attaque de l’armée israélienne sur une école de l’UNRWA, alors que chacun sait que des terroristes s’y étaient réfugiés pour tirer des roquettes sur le Sud d’Israël, a visé jeudi matin une école d’Ashkelon et a endommagé un gymnase.
Fort heureusement, aucun élève ne se trouvait dans l’établissement mais des adolescents, jouant à proximité, ont dû se coucher par terre, n’ayant pas d’abris à leur portée, et ont entendu nettement l’explosion.
Dans des conversations en cercle fermé, des gradés de Tsahal ont laissé entendre qu’il ne fallait surtout pas cesser les combats à ce stade de l’opération. “Au cours de ces dernières années, le Hamas a subi des coups par ci, par là, mais il n’a jamais été frappé comme cette fois, dans une action d’envergure”.
Il faut exploiter cette opération jusqu’au bout, il faut la terminer avec le sentiment d’avoir affermi notre force de dissuasion face au Hamas”.
Abu Jundal, interrogé par Al Jazzera.
Si cela peut vous rassurer, ce n’est pas moi qui l’ai faite mais un journaliste palestinien vivant à Gaza et travaillant pour le Times On Line et la CNN
Arabe -sic-, Al Jazeera.
Pour lire l’article dans son intégralité (et en anglais),
cliquez ici.
http://www.timesonline.co.uk/tol/news/world/middle_east/article5462121.ece
Introduction:
Abu Jundal (EN PHOTO) attend dans une rue de Gaza City, non armé et avec des habits de civils. Seul son gillet noir à poche multiple et sa barbe donne une indication sur qui il est réellement; un commandant du Hamas profitant d’un jour de congé au beau milieu d’une guerre avec Israël. La méthode de « travail »:
« On fait travaille en roulement. Hier, j’ai travaillé de 22h à 5h ce matin. Nous ne travaillons qu’à 10% de nos capacités. Il y a toujours quelqu’un qui peut venir nous remplacer sur les différentes lignes de combat. » Le journaliste ajoute « qu’en plus de servir au front, les combattants du Hamas doivent
continuer à subvenir à leurs familles en leur donnant de quoi manger et du fuel. »
Les combats: Son unité ne se sert pour l’instant que de lance-roquettes, de mines anti-personnelles et de mortier. Le terroriste ajoute « Les israéliens ne sont pas à pied, ils sont surtout dans les tanks ou encore dans des hélicoptères. »
« Une unité israélienne est rentré dans une maison ou il y avait des combattants du Hamas. Il y a eu une petite bataille et l’un d’entre nous à fait exploser sa ceinture d’explosifs. Nous avons des centaines d’Islamikazes qui attendent de pied ferme les israéliens. Ces derniers ont le choix: être tuer, être blesser ou être enlever ».
Pour combattre la supériorité de la machine de guerre Israélo-Américaine, le Hamas à préparé ce que les chefs d’escadrons appellent des « surprises ». Il refuse d’en dire trop mais il dit que la priorité du Hamas est de kidnapper des soldats israéliens pour ensuite les utiliser en monaie d’échange. Il rappel
la réussite de l’opération quiavait mené à l’enlèvement, (ndlr: il y à 925 jours),de Gilad Shalit. « Nous faisons tout ce que nous pouvons pour arriver à enlever les soldats et par là-même détruire le mythe d’une armée israélienne invincible »
Le hezbollah au secours du hamas :
Le Hamas est en train de perdre pied totalement dans les affrontements contre Israel. Plusieurs centaines de terroristes ont étés captures par les soldats israéliens, leurs infrastructures sont quasiment toutes détruites, leur ravitaillement en arme n’est plus possible… Leur seul chemin de survie est de
créer un deuxième front, au nord d’Israel. Ils doivent croire que l’intensité des combats dans Gaza baissera d’un cran et qu’une partie des soldat de l’armée de défense israélienne sera démobilisé de Gaza pour aller servir au Nord d’Israel…
Mardi, le premier ministre israélien, Ehoud Olmert, avait lancé un avertissement au Hezbollah contre toute éventuelle ouverture d’un nouveau front à la frontière nord d’Israël. « Que nul ne se méprenne quant à notre détermination sur tous fronts ». Israël a décidé de mobiliser des dizaines de milliers de réservistes, et ces effectifs pourraient en partie être affectés à la défense de la frontière nord du pays en cas d’attaque du Hezbollah, selon la radio
israélienne. De son côté, le gouvernement libanais, a d’ores et déjà fait savoir que le Liban ne souhaitait pas être entraîné dans une nouvelle guerre et, selon le
porte parole du gouvernement, la formation chiite adhérait à cette position. Apparemment, non !
par JSS publié dans :
Monde Arabe / Liban
En tout cas l’UE a vraiment peur que ça éclate chez eux…
Les ministres européens des Affaires étrangères entendent faire appel auprès du président américain élu Barack Obama pour qu’il accorde la priorité à la crise de Gaza dès son entrée en fonction, a annoncé le ministre italien des Affaires étrangères Franco Frattini.
Ça tout l’air que, Désolée le Darfour, République du Congo etc, vous devrez attendre.
à Ein Hashlosha, 2 blessés sérieusement atteints sont évacués en hélicoptère, les 2 autres plus légèrement touchés sont transportés
en ambulance vers l’hôpital Soroka de Béersheva.
»Nous combattrons jusqu’à l’arrêt des contrebandes à Gaza », a déclaré la présidente de la Knesset Dalia Itzik au président du Parlement européen Hans-Gert Pöttering. »Le Hamas est une organisation terroriste meurtrière qui utilise la population comme bouclier humain », a-t-elle ajouté. Elle a envoyé une lettre dans le même sens aux eurodéputés, et a l’intention d’envoyer une délégation diplomatique défendre les positions israéliennes dans
les grandes capitales européennes.
Un autre qui a hâte d’aller rejoindre les 70 vierges.
Mohammad Nazal, un responsable du bureau politique du Hamas basé à Damas, a déclaré jeudi que le mouvement islamiste « ne se rendra jamais et combattra de maison en maison contre les soldats de Tsahal ».
Afghanistan : 17 civils dont des femmes et des enfants ont été tués lors d’une opération américaine dans l’est du pays.
Qui peut m’expliquer que l’ONU et personne condamne cela ?
Tsipi Livni appelle la communauté internationale à soutenir l’Etat hébreu dans la lutte contre le terrorisme. S’adressant à des ambassadeurs étrangers lors d’une réunion jeudi à Tel-Aviv, la ministre israélienne des Affaires étrangères a affirmé que la lutte contre le Hamas prendrait du temps et qu’Israël
ne conclurait pas d’accord avec une organisation terroriste.
De source diplomatique, on apprend que les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne ont proposé jeudi matin aux pays arabes un projet de résolution appelant à un cessez-le-feu immédiat à Gaza.
Le département d’Etat américain a exhorté jeudi Israël à prolonger les horaires d’accès de l’aide d’urgence dans la Bande de Gaza, afin d’améliorer la situation humanitaire du territoire palestinien.
Ouais, c’est ça pour qu’ils reprennent leur souffle ?
Les infos viennent de : actuallité Israël, Jérusalem Post, Guysen Israël news et de JSS.
à diffusez.
Document: La population palestinienne otage du Hamas
Au lendemain de sa décision unilatérale de ne pas reconduire la trêve avec Israël, le Hamas diffusait, à travers ses médias, mais aussi à travers des tracts distribués dans la rue, un commentaire se raillant d’Israël et de son incapacité à faire face aux tirs incessant de roquettes palestiniennes: « L’ennemi
est dans un tel état de confusion qu’il ne sait que faire (…) leur fragile cabinet s’est réuni dans le cadre d’une tentative désespérée de trouver une réponse aux roquettes, alors que des milliers de colons se réfugient dans les abris. Avec la volonté de Dieu, ces abris seront leurs tombes »(1). Ainsi, la proposition de reconduction de la trêve par Israël à été considérée comme un aveu de faiblesse et ce sont plusieurs centaines de milliers de
civils israéliens qui vivent sous la terreur des roquettes Qassam et Grad (2) du Hamas. Mais l’Etat Major et le gouvernement israélien ont bien compris une chose: l’Opération Plomb Durci devra engendrer le moins possible de pertes collatérales pour engendrer une réussite totale des objectifs militaires et diplomatiques. Cette consigne sera strictement appliquée par les soldats israéliens, malgré le fait que le Hamas se serve des civils palestiniens comme
d’un bouclier humain.
L’une des branches du Hamas, les Brigades Ezzedim Al Qassam, a récemment publié un article sur la version anglaise de son site internet
(3) décrivant la stratégie du Hamas concernant les tirs de roquettes et la possible réponse israélienne.
L’article explique comment la « défense israélienne, lorsqu’elle pénétrera dans Gaza, servira la cause du Hamas. En réponse aux israéliens, les Brigades Ezzedim Al Qassam recevront le soutien de toute la population palestinienne. Le Hamas à prit tout le temps nécessaire à construire les scénarios possibles
auxquels l’armée israélienne fera appel. » Et le plus important, l’article met clairement en évidence, que « la réponse de l’armée israélienne aux tirs incessants de roquettes fera réagir la communauté internationale. Cette dernière condamnera Israël et donnera de la légitimé au Hamas » (en tant que « force régionale
importante »). L’article explique aussi que « le Hamas ne reconnaîtra alors plus une minute de plus la légitimité du président du Fatah, Abou Mazen, lorsque se présidence arrivera à échéance le 9 janvier prochain. »
Lors de son apparition dans l’émission « C Dans L’Air » (4) diffusée le lundi 5 janvier 2009; Pierre Servent(5), spécialiste international des conflits, le dit très clairement: » La partie de Tsahal est militaire, mais elle a aussi intégrée la dimension politique, sans doute avec la volonté de casser la colonne vertébrale du Hamas. Pour cela, (…) Tsahal fait preuve de maîtrise et de retenue même si on est tous là, à déplorer les victimes civiles. Ce qui
montre bien qu’ils (les israéliens) essayent de détruire le Hamas et dans le même temps, de ne pas se mettre à dos, une population qui, peut-être, en à ras-le bol du Hamas et qui pratique une stratégie anti-cité. C’est-à-dire, qui prend en otage sa propre population, qui se trouve ensuite frappée par Tsahal
et qui, lui-même frappe non pas des objectifs militaire israéliens, pourtant à porté de tir de Gaza; mais plutôt des villes, des cités israéliennes. » Et Christophe Barbier (6) de reprendre: » Cela a un nom. Frapper des victimes civiles en face et offrir sa population en victime, en kamikaze, cela s’appelle
une stratégie terroriste ».
Même son de cloche du côté des ONG qui surveillent la riposte israélienne de près. Ainsi, Palestinian Media Watch (7) diffuse une vidéo d’un discours de Fathi Hamad, membre important du Hamas, dans laquelle il clame, avoir constitué un bouclier de femmes, d’enfants et de vieillards pour protéger les jihadistes du Hamas. « Pour le peuple palestinien la mort est devenue une industrie dans laquelle les femmes et les enfants excellent. Par conséquent, (les palestiniens) ont créés un bouclier humain composé de femmes et d’enfants, de personnes âgées et de jihadistes; comme s’ils disaient à l’ennemi sioniste « nous désirons
la mort tout autant que vous aimez la vie ».
Le Hamas n’en est pas à son coup d’essai. Pour lui, les civils palestiniens sont une enveloppe qui protège les activités militaires et terroristes. Pendant l’opération « Hivers Chaud » déjà, la télévision Al-Aqsa appelait les Gazahouis à former une chaîne humaine autour et sur des bâtiments que Tsahal menaçait
de détruire. Suite à quoi, Ismaïl Haniyeh en personne, se vanta de pouvoir envoyer des centaines et des milliers de Palestiniens sur le toit des maisons et caches appartenant à l’organisation terroriste. Déjà en place à cette époque, le chef d’Etat-major israélien, Gaby Ashkenazi, avait alors déclaré (3 mars 2008): « Tsahal a envoyé des avertissements (messages écrits ou radiophoniques) dans la bande de Gaza avant le début de l’opération », prévenant la
population civile de se tenir éloignée des sites de lance-roquettes et perdant ainsi un précieux effet de surprise. Dans sa Note d’Analyse concernant l’opération Plomb Durci, le 4 janvier 2009, l’ESISC écrit: « les bombardements sont précédés par le largage de milliers de tracts, les habitants sont prévenus par téléphone
lorsque des immeubles utilisés pour cacher des armes abritent également des civils. L’immeuble n’est frappé qu’après l’évacuation. » (8)
Aujourd’hui, personne ne réfute le fait que le Hamas se sert de sa population comme de bouclier humain, de chaire à canon. Dans le même temps, l’Etat d’Israël fait très attention à éviter les pertes civiles humaines. Malgré tout, il est quasiment impossible, lors d’une opération militaire d’une pareille envergure,
que les civils ne soient pas touchés. D’autant plus quand ils sont mis en avant par les miliciens. Par ailleurs, le Droit International stipule que si un lieu est une cible militaire légitime, il ne cesse pas de l’être parce que des civils se trouvent à proximité. Dans l’article 28 de la IVème Convention
de Genève (9), il est dit : « La présence de personnes protégées [civils, personnels humanitaires…] ne doit pas être utilisée pour immuniser certains objectifs ou zones d’opérations militaires. » Qui plus est, le fait d’utiliser des civils comme bouclier humain, ne serait-ce qu’en se plaçant au cœur de la population
civile pour tirer des engins explosifs, constitue une traîtrise en Droit international. Ceux qui choisissent de procéder ainsi doivent porter la responsabilité des dommages causés aux civils que leur décision engendre.
La réponse du berger à la bergère, à travers l’opération Plomb Durci, est donc très simple. Israël se sert de son outil militaire pour contraindre le Hamas à déposer les armes sans pour autant viser volontairement des civils. Dans un article du Wall Street Journal, Alan Dershowitz résume parfaitement la situation
dans laquelle Israël a été mise par le Hezbollah (10): « Selon les lois de la guerre, un nombre indéterminé de combattants peut être éliminé pour sauver ne fut-ce qu’un seul civil ». De son côté, le Hamas se sert délibérément de civils palestiniens pour mettre en avant sa stratégie de communication envers les médias du monde entier. De cette manière, le Hamas espère pouvoir crier au massacre et contraindre Israël à cesser son opération.
Ce type de stratégie est également mise en avant pour unifier un peuple autour de son leader, bien que ce dernier soit largement critiqué au sein même de sa population. Si cette stratégie fonctionnait parfaitement, Israël serait contraint d’arrêter son opération dans la bande de Gaza avant même d’avoir neutralisé toutes les forces terroristes (et par là-même d’avoir atteint ses objectifs) et le Hamas pourrait ainsi reprendre ses activités sans craindre
de nouvelles ripostes israéliennes. Dans ce cas, le Hamas pourrait célébrer une réelle victoire sur Israël. Une image totalement différente de ce qu’elle présentera quand elle annoncera victoire (les terroristes n’avouent jamais leurs défaites (11)), après le départ d’Israël de Gaza; si l’Etat Hébreu arrive à ses fins…
1. Khaled Abu Toameh, « Hamas mocks Israel non-response to Kassams », Jerusalem Post, 25 décembre 2008.
2. Les roquettes Grad ont une portée de 40km. Elles sont construites par l’Iran et la Chine.
3. http://www.alqassam.ps/english/
Source JSS.
Voilà, tout est dit.
Lorsque le chef terroriste du Hamas Nizar Rayyan a été éliminé dans une attaque de l’armée de l’Air, ses quatre femmes et onze de ses enfants sont morts avec lui. D’après ses autres enfants qui ont survécu à l’opération, la mort des petits Rayyan n’était nullement accidentelle : Rayyan père les avait entraînés
à mourir avec lui en “martyrs”.
Les membres de la famille qui ont échappé à l’opération et au projet de leur “généreux” père ont confié aux médias arabes que quelques jours avant sa mort, Rayyan avait demandé plusieurs fois à ses enfants : “Qui veut mourir en martyr avec moi ?” Et les enfants auraient répondu : “Oui, papa, nous voulons tous
être avec toi morts ou vifs.”
Une fille du terroriste palestinien, Wala, a affirmé que même les plus petits voulaient mourir avec leur père. “Si vous aviez demandé à ma petite sœur de quatre ans, Aisha, qui est morte dans l’attaque, elle vous aurait dit qu’elle préférait mourir en martyr”, a prétendu Wala dans une interview accordée
à l’agence de presse Ma’an.
L’une des brus de Rayyan a affirmé que ce dernier lui avait également offert une chance de mourir avec la famille. Alors qu’elle était en visite dans la grande maison familiale, son beau-père lui avait demandé si elle voulait mourir avec lui, ses femmes et ses enfants. Elle avait accepté, mais peu après
elle avait quitté les lieux, juste avant le raid de Tsahal, ratant de peu son billet pour le “paradis des martyrs palestiniens”.
Il s’avère que lorsque Rayyan a offert à sa bru “l’opportunité” de mourir avec lui, il avait déjà reçu un coup de fil de Tsahal l’avertissant qu’il devait évacuer sa maison qui allait être bombardée incessamment.
Les onze enfants qui sont morts “de leur propre gré” avec leur père étaient âgés d’un à seize ans. Un autre fils est mort plusieurs années auparavant, envoyé par son père perpétrer un attentat suicide dans la bande de Gaza. Deux Israéliens ont été tués dans l’attaque.
Rayyan était l’un des prédicateurs du Hamas et il croyait que ceux qui mouraient en combattant Israël étaient des ”martyrs” et allaient directement au paradis. Il encourageait ses ouailles à avoir plusieurs femmes et le plus d’enfants possible pour fournir les futurs soldats de la lutte contre Israël ! Il encourageait
également le Hamas à prendre le contrôle de la Judée Samarie et à perpétrer des attentats suicides à l’intérieur de la ligne verte. Toute une tradition de haine…
Bathya, le Hamas applique le même genre de lavage de cerveau que les « sectes » de tout poil.
L’OTS, les Davidiens de Waco,le massacre de Jonestown et maintenant celui de la famille de Rayan!
Et dire que Falardeau est ses pareils font l’apologie d’un tel disjoncté!
Je vous mets ici ce qu’une israélienne ressent elle aussi.
Ne vous gênez pas pour diffusez.
Point de vue de Francine Kaufmann
Chers amis dont certains ont pris la peine de m’exprimer leur solidarité en ces jours difficiles. Je voudrais vous faire part de mon regard sur le conflit actuel, soit pour vous informer, soit pour vous permettre de dire à vos propres amis et connaissances ce qu’une Israélienne éprouve en cette période si
Cela dit, je vis ici et m’informe au quotidien et je sais bien que nous avions atteint un point de non retour et qu’il fallait que l’armée entre en action : face aux tirs permanents de missiles sur des villes et villages, avec des portées sans cesse croissantes (aujourd’hui un rayon de 40 kms), de plus en plus
d’Israéliens avaient perdu confiance dans leur Etat et disaient à voix haute que nos dirigeants les avaient abandonnés à leur triste sort.
Le sud d’Israël se sentait sacrifié pour que le centre et le nord puissent prospérer et vivre normalement. Depuis huit ans, les jardins d’enfants, les écoles et les institutions d’enseignement supérieur du sud du pays ne peuvent plus étudier normalement, les affaires tournent au ralenti ou ferment, les récoltes
pourrissent sur pied faute de pouvoir être traitées de manière régulière.
Quand elles en ont la possibilité, des familles entières quittent le pays pour ne plus vivre dans l’angoisse quotidienne de devoir fonctionner entre deux alertes. Mais les prix des appartements ont tellement chuté que les habitants les plus pauvres ne peuvent trouver acheteur ou locataire pour choisir de
vivre ailleurs, là où ils seraient plus à l’abri.
Les traumatismes sont profonds et irréversibles (énurésie, cauchemars, états de choc devenus permanents).
Les abris d’il y a dix ans (déjà en nombre insuffisant) ne sont pas adaptés aux perfectionnements technologiques des missiles « Grad ». Circuler dans la rue (trottoir et chaussée) est devenu un risque que beaucoup ne peuvent pas courir et handicapés, personnes âgées restent murés chez eux à proximité d’un abri
ou d’une chambre protégée s’ils en ont une.
Ce sont des bénévoles venus de tout le pays qui se mobilisent pour faire leurs courses et s’occuper d’eux, entre deux alertes, ou pour offrir une animation aux enfants et adolescents terrés des jours durant dans les abris.
Et pourtant, il est difficile de faire comprendre cette situation aux téléspectateurs de l’étranger, face aux terribles images qui viennent de Gaza. On leur dit que les Israéliens sont « soudain » devenus fous et se livrent à un massacre programmé de la population. On ose parler de Shoa ! On parle de réaction
« disproportionnée ».
Lorsque du côté israélien des missiles détruisent tout (maisons, voitures, animaux dans les fermes, routes, jardins d’enfants) mais qu’il n’y a pas de « victimes » parce qu’une grande partie des habitants vivent une partie du temps (et depuis des années) dans leurs familles ou chez des amis plus au nord d’Israël,
ou parce qu’ils n’étaient pas momentanément sur place, que les conducteurs d’autobus et de taxis ont accéléré en début d’alerte et poussé leurs passagers vers le premier abri, leur véhicule explosant ou les vitres et les portes volant en éclat quelques secondes à peine après la chute du missile… peut-on mesurer la peur, la cruauté, la souffrance des uns et des autres ?
Qui peut nous donner des leçons sur la meilleure manière de défendre une population civile contre un ennemi qui considère que notre seule existence en tant qu’Etat juif est une « occupation », une infraction aux lois de l’Islam qui veut qu’un territoire ayant appartenu aux musulmans (« Dar el islam ») ne puisse
plus être souillé par un régime non musulman : le ’hamas ne peut se contenter de rien moins que de la disparition de l’Etat d’Israël (sa charte est claire à ce sujet, ainsi que les déclarations de ses dirigeants).
Que nous ayons évacué militairement la bande de Gaza ainsi que les localités juives de la région (avec leurs habitants) depuis des années n’a servi à rien.
Toute aide humanitaire d’Israël aux populations civiles de Gaza n’est pas rapportée. La confiscation des fonds internationaux destinée à la population au profit de la classe dirigeante du ’hamas est passée sous silence. Les bénéfices rapportés par les tunnels de contrebande creusés depuis plus d’une dizaine
d’années (et non depuis le début du siège israélien en septembre 2008) rapportent des millions aux trafiquants d’armes et de biens…
Israël est un pays tenu par le droit international et par son éthique à respecter les règles de la guerre : ses soldats sont en uniforme et concentrés dans des bases militaires. A part de terribles erreurs de tir (dont nos propres soldats sont souvent aussi victimes), l’armée israélienne met un point d’honneur
à distinguer combattants armés et civils.
Le ’hamas est une organisation protéiforme, sans foi ni loi, qui utilise le terrorisme pour désorganiser la vie quotidienne des civils de la société dont ils veulent la perte : ses combattants sont en civil et vivent délibérément mêlés aux civils. Ils n’hésitent pas (nous en avons souvent la preuve) à utiliser
hôpitaux, ambulances, mosquées, écoles pour y entreposer armes, quartier général, sachant qu’ils placent ainsi Israël devant des choix impossibles : respecter
le droit d’asile ou se défendre en attaquant des lieux symboliquement marqués.
Je ne suis pas très optimiste pour la suite des combats car j’ai peu d’illusions sur le sort des armes. Mais je ne suis pas suicidaire et je suis certaine de notre bon droit. Nous ne pouvions pas rester plus longtemps les bras croisés face aux attaques quotidiennes de fanatiques prêts à mourir en martyrs pour que leur vision de l’islam triomphe…
S’ils prennent en otage leur propre population, cela ne doit pas nous empêcher, après tant d’années de mises en garde, de tenter d’affaiblir leur puissance de tir et leur conviction qu’ils l’emporteront contre not re Etat réduit à l’impuissance par des considérations éthiques.
Prendre les armes pour se défendre implique d’être prêts à mourir mais aussi à tuer d’autres êtres humains et à détruire leur environnement. C’est le prix à payer pour ne pas nous laisser peu à peu détruire. Puisse Dieu nous protéger et puisse la communauté internationale comprendre les enjeux véritables
de cette lutte « disproportionnée » parce que la désinformation présente les agresseurs comme des victimes innocentes et les agressés (qui ont choisi de se défendre par les armes) comme des génocidaires.
Demain, je pars enseigner à l’université sans savoir qui de mes étudiants ou de mes collègues sera mobilisé ou absent parce que la circulation est impossible.
Bien à vous
Francine Kaufmann
Les plans d’un carnage annoncé, ont été déjoué par Tsahal
Lors de l’investigation d’une maison occupée par des terroristes, dans le nord de la Bande de Gaza, les soldats de Tsahal ont trouvé un document présentant un plan de tactique du Hamas. Ce plan prévoyait notamment de poster des commandos terroristes et des snipers près des mosquées, et de poser des charges
explosives dans des lieux de concentration de civils palestiniens, afin de provoquer un carnage à l’arrivée de soldats israéliens. Les médias internationaux vont-ils en faire état?
Un peu de baume au coeur, cela ne fait pas de mal. Dans le concert d’incompréhension, d’hypocrise et de protestations à travers le monde, le Sénat américain a apporté un peu de lumière en votant à l’unanimité une résolution affirmant “le droit d’Israël à se défendre contre le terrorisme”. Cette résolution initiée
conjointement par les deux partis, Républicain et Démocrate, stipule également la demande d’un cessez-le-feu, mais “qui garantisse que le Hamas ne puisse plus à l’avenir tirer sur le territoire israélien”.
De toute façon, Israël ne doit pas accepter cela. Non seulement le plan est ambigu, mais rien ne serait certain que la contrebande d’armes cesseraient. J’espère qu’Israël ne mettra pas l’ongle dans cette engrenage !…
Le plan dit ceci :
Elles se résumeraient ainsi : dans un premier temps, arrêt total des combats des deux côtés pour un temps
limité, avec ouverture d’un couloir humanitaire. Ensuite, ouvertures de pourparlers par l’intermédiaire de l’Egypte, sur le « causes de la dégradation de la situation et les moyens d’éviter l’escalade à l’avenir », ainsi que sur l’ouverture progressives des points passage, et dans un troisième volet, une tentative de réconciliation des principales factions palestiniennes.
De la poudre aux yeux, dont Israël ne semble pas trop se laisser ambarquer.
Du moins, pour le moment.