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Margaret Thatcher à propos du socialisme: « Les socialistes crient ‘le pouvoir au peuple’ et lèvent leur poing serré quand ils le disent. Nous savons tous ce qu’ils veulent vraiment dire: le pouvoir sur le peuple, le pouvoir à l’Etat. » |
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Margaret Thatcher à propos du socialisme: « Les socialistes crient ‘le pouvoir au peuple’ et lèvent leur poing serré quand ils le disent. Nous savons tous ce qu’ils veulent vraiment dire: le pouvoir sur le peuple, le pouvoir à l’Etat. » |
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Margaret Thatcher à propos du pacifisme: « Pour chaque artisan de paix idéaliste prêt à renoncer à sa propre défense en faveur d’un monde sans arme, il y a au moins un artisan de guerre désireux d’exploiter les bonnes intentions de l’autre. » |
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Margaret Thatcher à propos de ses politiques économiques: « Ma politique est basée non pas sur des théories économiques mais sur des principes avec lesquels moi et des millions de semblables avons été élevés: un honnête jour de travail pour une honnête paye ; vivez selon vos moyens ; gardez un pécule pour les jours de pluie ; payez vos factures à l’heure ; soutenez la police. » |
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Margaret Thatcher à propos de la société: « Nous sommes arrivés à une époque où trop d’enfants et de gens (…) rejettent leurs problèmes sur la société. Et qui est la société? Cela n’existe pas! Il n’y a que des individus, hommes et femmes, et des familles. » |
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Margaret Thatcher à propos de la liberté: « Le droit de chacun de travailler comme il l’entend, de dépenser ce qu’il gagne, de posséder des biens, d’avoir l’État pour serviteur et non pour maître, sont les principes de l’économie libre, et de cette liberté dépendent toutes les autres libertés. » |
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Margaret Thatcher à propos de la gratuité: « N’oublions jamais cette vérité fondamentale: l’État n’a aucune autre source d’argent que l’argent que les gens gagnent eux-mêmes. Si l’État souhaite dépenser plus, il ne peut le faire qu’en empruntant votre épargne ou en vous taxant davantage. Il n’y a rien de bon à ce que quelqu’un d’autre paie; cette autre personne, ce sera vous. Les gens parlent de service ‘gratuit’, ce n’est pas gratuit, vous devez payer pour! » |
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Margaret Thatcher à propos des politiques économique de la gauche: « L’argent public n’existe pas, il n’y a que l’argent des contribuables. La prospérité ne viendra pas de l’invention de programmes de dépenses publiques de plus en plus somptuaires. Vous ne devenez pas riches en commandant un carnet de chèques à votre banque et aucune nation n’est jamais devenue plus prospère en taxant ses citoyens au-delà de leur capacité. » |
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En 1866, voici comment Alexis de Tocqueville décrivait le modèle français… Près de 150 ans plus tard, on pourrait dire exactement la même chose de ceux qui osent encore défendre le modèle québécois…
« Tous les étrangers, dit-on, nous envient notre administration, et surtout l’extrême centralisation qui la caractérise. Ceci, messieurs, est un lieu commun qui, ainsi que cela arrive souvent, n’est autre chose qu’une commune erreur. Mais, ce que j’ai le droit de dire avec certitude, c’est qu’on ne trouve la trace d’aucune opinion semblable chez les deux grandes nations libres qui existent aujourd’hui dans le monde; j’ai eu l’occasion de traiter mille fois ce sujet avec les hommes les plus éclairés de l’Amérique et de l’Angleterre, et j’affirme à l’Académie que je n’en ai pas rencontré un seul qui voulût adopter pour son pays notre système administratif ni qui pensât qu’un tel système pût à la longue demeurer compatible avec la liberté. » |
Le 6 et 9 août 1945, les États-Unis utilisaient l'arme atomique pour contraindre le Japon à une reddition inconditionnelle mettant ainsi fin à la 2e guerre mondiale. La commémoration de cet événement passe obligatoirement par une dénonciation des idées reçues entourant cet événement.
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Extrait des mémoires de William Manchester, historien et vétéran de la guerre du Pacifique: "After the campaign on the Indonesian island of Biak, the enemy withdrew into deep caverns. Rooting them out became a bloody business which reached its ultimate horrors in the last months of the war. You think of the lives which would have been lost in an invasion of Japan’s Home Islands— a staggering number of Americans but millions more of Japanese—and you thank God for the atomic bomb." |