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McGill top Canadian university according to new international rankings McGill University maintained its position as the top-ranked Canadian university in the world even if it dropped down a few notches in the overall standings released in this year’s QS World University Rankings. Three Canadian universities placed within the top 50 of the survey compiled by the service based in London. According to a statement it issued Monday, it bases its methodology on six indicators including academic reputation, employer reputation and faculty-to-student ratio. McGill ranked 24th among the 3,539 institutions considered for inclusion this year, which actually represented a slight drop, from 21st last year. The University of Toronto finished 34th and the University of British Columbia placed 50th. Both of those universities dropped several spots in the rankings compared to last year. Université de Montréal also dropped, from 83rd last year to 115th this year. QS attributed a new methodology used for this year’s survey as the reason for the drop in the international rankings for Canada’s top universities. The change includes a modified approach in how it measures citations per faculty, a way of assessing research impact. Despite the change in methodology, Concordia University’s place increased significantly. This year’s survey places it in a grouping ranked between 411 and 420. Last year it placed in a group rated between 461 and 470. The top-ranked university in the world was the Massachusetts Institute of Technology, followed by Harvard University and the University of Cambridge. |
L’université McGill est non seulement la meilleure université canadienne, c’est aussi la 24e meilleure université de la planète ! Pour retrouver une autre université québécoise dans le classement, il faut descendre en 115e position pour y voir l’Université de Montréal. Bref, l’université McGill fait partie des rares joyaux québécois qui font l’envie des autres pays sur la scène internationale. Si vous voyagez au Japon, vous risquez bien plus de tomber sur quelqu’un qui admire l’université McGill que les CPE québécois…
Pourtant, en début d’année, le boss de Quebecor a trouvé le moyen de dénigrer ce joyau en tenant les propos suivants: « l’État, devraient être plus attentives à ces considérations [de langue et culture] davantage importantes que jouer dans le pseudo palmarès des meilleures universités du monde ». Que ferait le boss de Quebecor avec ce joyau s’il devient premier ministre ?
P.-S. L’université Laval se classe en 324e position. Mais c’est pas grave, à Québec ils ont le plus bel aréna de la planète.
Faut faire attention à ce genre de classement. La réputation compte pour 50% du score, ce qui pénalise les universités non-anglophones.
La « réputation » c’est un calcul du nombre de publication et de leur facteur d’impact.
McGill a plus de prix nobel, que TOUTES les université franco réuni, lâche moi avec les pénalités aux universités non franco, il ne sont pas de niveau car il peuvent difficilement attirer le talent, et n’ont pas l’efficacité de McGill pour se financer avec leur réseau d’alumni.
Voici les indicateurs utilisés et leur poids relatif :
– Academic Reputation from Global Survey 40%
– Faculty Student Ratio 20%
– Citations per Faculty from Scopus 20%
– Employer Reputation from Global Survey 10%
– Proportion of International Students 5%
– Proportion of International Faculty 5%
Comme on peut le voir, la réputation, c’est issu des sondages.
La réputation d’une université, ce sont ces publications dans des journaux à haut facteur d’impact.
Ça tombe pas du ciel en fonction de la langue de l’université (toute la littérature scientifique est en anglais).
C’est certain que l’UdeM a chuté de la 85ème place au rang mondial à la 115ème place en 2015 avec toutes les coupures. Cependant, ça demeure encore une des meilleures universités francophones au monde avec les grandes écoles françaises. Dans le classement de l’an dernier, l’UdeM se comparait même avantageusement avec Science Po Paris pour les sciences sociales.
Cela dit, saviez-vous que les japonais se sont inspirés du modèle des écoles classiques (abolies durant la révolution tranquille) pour former l’élite dirigeante dans leur pays ?
Par pitié,
Lâchez-nous avec les université francophones vs anglophone, la seule donnée importante est la qualité de l’éducation donnée. La langue utilisée pour transmettre cette éducation est un faux débat, probablement promu par les universités (francophone) sous-performantes et les simples d’esprits affligé de la triste maladie du nationalisme.