Le blogue fera relâche cette semaine.
Je serai de retour lundi prochain (6 juillet).
Aux États-Unis, quand vous donnez a un parti politique, vous devez donner votre profession. Par la suite, ces informations sont rendues publiques ce qui permet d’en extraire une foule de chiffres intéressants…
Par exemple, chez les gens qui ont le métier d’activiste, il y a 88 démocrates pour chaque 12 républicains.
Du côté des journalistes, on retrouve aussi 88 démocrates pour chaque 12 républicains !
Vous avez bien lu, les journalistes sont tout aussi biaisés que les activistes ! Voilà qui explique bien des choses…
P.-S. N’allez pas croire que le résultat serait meilleur au Québec… Par contre, si seulement ~22% des Américains font confiance à leurs médias, cette proportion atteint 59% au Québec !
La semaine dernière, le pape a décidé de faire peur au monde en disant que si on ne devenait pas socialiste, le réchauffement climatique allait détruire la planète. Bref, le pape a confirmé que le réchauffement climatique et le socialisme sont des symboles religieux…
M’enfin…
Voici ce que le pape a déclaré sur Twitter:
Vraiment, il faut de l’honnêteté, du courage et de la responsabilité pour réduire les émissions de gaz à effet de serre ? Est-ce de cette manière que la Corée du Nord a procédé ?
Au milieu des années 90, la Corée du Nord a fait un « virage vert », la consommation de pétrole a été réduite de 75% et les émissions de gaz à effet de serre ont été coupées de 70%, de quoi faire l’envie de nos enverdeurs.
Le Corée du Nord a pu devenir indépendante du pétrole grâce à une famine qui a tué entre 3% et 5% de la population, ce qui doit être pour le pape un exemple d’honnêteté, de courage et de responsabilité…
Sources:
CO2 Emissions from North Korea (Democratic People’s Republic of Korea)
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Aided by the Sea, Israel Overcomes an Old Foe: Drought European countries have tried to replicate the critical mass of a Silicon Valley with technology centers like Oxford Science Park in Britain, “Silicon Allee” in Berlin and Isar Valley in Munich, and “Silicon Docks” in Dublin. They all want a Silicon Valley,” Jacob Kirkegaard, a Danish economist and senior fellow at the Peterson Institute for International Economics, told me this week. “But none of them can match the scale and focus on the new and truly innovative technologies you have in the United States. Europe and the rest of the world are playing catch-up, to the great frustration of policy makers there.” There are institutional and structural barriers to innovation in Europe, like smaller pools of venture capital and rigid employment laws that restrict growth. But both Mr. Kirkegaard and Professor Moser, while noting that there are always individual exceptions to sweeping generalities about Europeans and Americans, said that the major barriers were cultural. Often overlooked in the success of American start-ups is the even greater number of failures. “Fail fast, fail often” is a Silicon Valley mantra, and the freedom to innovate is inextricably linked to the freedom to fail. In Europe, failure carries a much greater stigma than it does in the United States. Bankruptcy codes are far more punitive, in contrast to the United States, where bankruptcy is simply a rite of passage for many successful entrepreneurs. Europeans are also much less receptive to the kind of truly disruptive innovation represented by a Google or a Facebook, Mr. Kirkegaard said. He cited the example of Uber, the ride-hailing service that despite its German-sounding name is a thoroughly American upstart. Uber has been greeted in Europe like the arrival of a virus, and its reception says a lot about the power of incumbent taxi operators. |
Message à tous les politiciens (il y a en a au Québec) qui pensent pouvoir recréer Silicon Valley à grand coup de subventions et de crédit d’impôt, ça ne fonctionne pas !
Silicon Valley ne pourra jamais être recréée par des politiciens puisque la pierre angulaire sur laquelle Silicon Valley s’est construite, ce n’est pas quelque chose que l’on peut reproduire par des politiques fiscales. Silicon Valley c’est d’abord et avant tout une culture qui a pu s’épanouir dans un environnement à l’abri des politiciens…
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Hilaire Belloc (1870–1953), écrivain franco-britannique, à propos du nationalisme. Sans le savoir, il a décrit le Québec avec une précision remarquable… « Nationalism has, among other evils, bred that of a powerful bureaucracy in each state: a rigid centralization, and a deplorable uniformity within each frontier exactly corresponding to the violent contrast between either side of that frontier. The worship of the nation has been able to make men tolerate under its authority what they could never have tolerated from princes: a submission to rule, which, through sumptuary laws on food and drink, through conscription, through a cast-iron system of compulsory instruction for all on State-ordered lines, and through a State examination at the gate of every profession, has almost killed the citizen’s power to react upon that which controls him, and has almost destroyed that variety which is the mark of life. » |
Arrêtez de faire semblant.
La St-Jean ce n’est pas la fête des Québécois, c’est la fête des péquistes. Le drapeau fleurdelisé ce n’est pas le drapeau des Québécois, c’est le drapeau des péquistes.
Si vous n’êtes pas péquiste, la St-Jean n’est pas votre fête et le fleurdelisé n’est pas votre drapeau.
Et vous savez quoi ? C’est très bien ainsi, moi je ne veux pas faire parti de la gang de péquistes !
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Barcelona’s Mayor to Tourists: Go Away Barcelona boasts dazzling architecture, fabulous food, abundant sunshine, and a stylish, laid-back vibe. No wonder a record 7.6 million people are expected to visit Barcelona this year. It’s now the third most visited city in Europe, behind London and Paris, and ranks No. 12 worldwide, according to the MasterCard Global Destination Cities Index released on June 3. Barcelona Mayor-elect Ada Colau Ballano doesn’t think this is good news. Colau, who leads a coalition of environmentalists and social activists that won municipal elections in May, says the tourism surge is making the city uninhabitable for its 1.7 million residents. Local authorities have tried to control the swarms. They require time-restricted entry tickets for such top attractions as Gaudi’s Parc Güell and the Sagrada Familia cathedral and forbid tour groups from entering La Boqueria during peak shopping times. But Colau wants to go even further. She told the newspaper El Pais on June 1 that she will place a moratorium on approving new hotel rooms and short-term rentals and will develop a plan to ensure that Barcelona doesn’t « end up like Venice. » Barcelona’s situation isn’t yet that extreme. For one thing, it’s much bigger than Venice. Public-opinion surveys show that residents are overwhelmingly pro-tourism, except for those living in a few heavily trafficked neighborhoods, says Greg Richards, a professor at the NHTV Breda University in the Netherlands who has studied Barcelona tourism. « There is no sign of a tipping point » at which the costs of tourism could outweigh its benefits, he says. Visitors spend $13.9 billion annually in Barcelona, and the tourist industry supports an estimated 100,000 jobs. |
Barcelone c’est le coin de l’Espagne rempli de nationaleux et de séparatistes. De plus, la nouvelle mairesse de Barcelone est une radicale de gauche…
Bref, Barcelone c’est pas mal comme le Québec (le soleil et l’architecture en moins…).
Au Québec ou en Catalogne, le nationalisme crée de petits territoires, peuplés par de petites nations qui brassent de petites économies. Le nationalisme, c’est le credo des gens nés pour un p’tit pain et l’évangile des gens fermés sur le monde…
Il n’y a pas que le recyclage qui est de l’arnaque, l’achat local aussi !
L’achat local, 100% émotion, 0% raison…
Voici le bilan de mi-année d’Influence Communication sur les nouvelles les plus médiatisé en 2015.
Les thèmes les plus populaires jusqu’à maintenant en 2015:
À compter de la mi-juin, l’actualité commence à ralentir considérablement. Avec les vacances des joueurs de hockey, des politiciens et de nombreux journalistes, le volume de nouvelles chute de 35% à 50% selon les années. C’est à croire que même les criminels sont en congé. À l’été 2013, nous avons remarqué une chute des révélations de corruption de 85%.
Comme on peut se l’imaginer la nature de l’actualité se transforme durant la saison estivale. Les mauvaises nouvelles semblent avoir une espérance de vie beaucoup plus courte. La preuve… de 70% à 75% des annonces de réductions d’emplois se font en été.
Ceci étant dit, les médias doivent encore garnir leurs pages et leurs émissions d’affaires publiques. C’est là qu’entre en jeu le contenu de remplissage. Celui-ci occupe en moyenne de 5% à 7% de l’ensemble de l’espace médiatique. C’est l’équivalent du poids médias combiné de l’international, de la santé, de l’environnement, de la pauvreté, des jeunes, des aînés, des autochtones et du reste du Canada.
Voici les grands thèmes qui le composent le plus souvent :
Les nouvelles d’été les plus médiatisées
2002:
2003:
2004:
2005:
2006:
2007:
2008:
2009:
2010:
2011:
2012:
2013:
2014:
Source:
Bilan de mi-année 2015