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Faute de financement rapide, le mur de la dette menace la Grèce Dix jours après le compromis avec l’Eurogroupe , qui a prolongé de quatre mois le plan d’aide à la Grèce, cet accord ressemble à tout sauf au «?répit?» financier qu’escomptait le gouvernement d’Aléxis Tsípras. Les échéances se rapprochent à grands pas et Athènes a toutes les difficultés à trouver les financements nécessaires pour les honorer. Ce vendredi, le Trésor doit rembourser près de 300 millions d’euros au FMI, la première d’une série de quatre tombées de dette échelonnées tout au long du mois de mars pour un total de 1,5 milliard d’euros. Les Européens, eux, ont adopté la stratégie inverse consistant à maintenir la pression maximum sur le gouvernement grec. Le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, a déclaré, lundi, qu’une première tranche des 7,2 milliards de prêts en attente de paiement depuis le mois de septembre pourrait être versée dès ce mois-ci?à condition qu’Athènes adopte rapidement les réformes attendues. Si ce n’est pas le cas, le ministre des Finances sera contraint de faire les fonds de tiroir de l’Etat et des entreprises nationales pour y grappiller 1 ou 2 milliards de trésorerie. Il pourrait aussi retarder le paiement des factures à ses fournisseurs ou encore emprunter à la sécurité sociale ce qui lui reste des fonds de retraite. |
Racaille communiste grecque, je te présente la réalité…
Réalité, je te présente la racaille communiste grecque…
ah ah ah… comme c’est bien dit! En plein ca! Comme ca va être un jour ici!
Moi, je ne crois pas ceux qui disent que la Grêce est rendue là parce que les Grecs ne payaient pas leurs impôts et leurs taxes. Ils disent que partout, il y avait un prix comptant et un plus haut avec une carte de crédit…
C’est trop facile, d’accuser la magouille et la corruption. Pour moi, c’est juste parce qu’ils sont des communistes paresseux pas assez productifs.