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Quantifying the consensus on anthropogenic global warming in the literature: A re-analysis A claim has been that 97% of the scientific literature endorses anthropogenic climate change (Cook et al., 2013. Environ. Res. Lett. 8, 024024). This claim, frequently repeated in debates about climate policy, does not stand. A trend in composition is mistaken for a trend in endorsement. Reported results are inconsistent and biased. The sample is not representative and contains many irrelevant papers. Overall, data quality is low. Cook?s validation test shows that the data are invalid. Data disclosure is incomplete so that key results cannot be reproduced or tested. I argue that the paper by Cook et al. may strengthen the belief that all is not well in climate research. Data are hidden, the conducted survey did not follow best practice, there are signs of bias in the data, there is no trend in endorsement, and the sample is not representative. |
Vous savez l’étude qui a été abondamment médiatisée au printemps 2013 qui affirmait que 97% des scientifiques croyaient au réchauffement climatique… Un an plus tard, on apprend que cette étude ne valait strictement rien…
Par contre, bien peu de médias ont parlé de cette nouvelle erreur des réchauffiste… Qu’importe, quand une personne vous parlera du fameux/fumeux 97%, vous saurez quoi lui répondre.
L’auteur de l’étude sur le 97% (Cook) a voulu attaquer la recherche démontrant qu’il avait tout faux.
L’auteur de la recherche cité dans ce billet (Tol) lui a répondu de manière brutale:
http://www.theguardian.com/environment/blog/2014/jun/06/97-consensus-global-warming
Pourquoi les réchauffistes sentent le besoin d’être aussi malhonnête si les évidences sont si nombreuses?
Ça été débunké depuis bien plus longtemps que ça, mais la bullshit prend beaucoup plus de temps à défaire que la bullshit prend du temps à produire.
C’est encore plus vrai avec des journaleux, on devrait abolir le cours de journalisme et donner le titre directement, ça ferait économiser un peu d’argent et je ne suis pas certain que la qualité baisserait vue le point atteint.
Meh. Even if we accepted that all the papers were fatally flawed, all that would prove is that the consensus had not been demonstrated.
« Pourquoi les réchauffistes sentent le besoin d’être aussi malhonnête si les évidences sont si nombreuses? »
C’est la réaction habituelle de tous les fanatiques religieux car le réchauffisme n’est pas une science mais une religion.
Ouais et pendant ce temps la on peut voir ceci dans les journeaux……………
Juin, le mois le plus chaud depuis 1880 LA TEMPÉRATURE MOYENNE A DÉPASSÉ LE RECORD ÉTABLI EN 2010
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WASHINGTON | (AFP) Le mois de juin 2014 a été le plus chaud dans le monde depuis le début des relevés des températures en 1880, a indiqué hier l’agence américaine océanique et atmosphérique (noaa).
La température moyenne combinée à la surface des sols et des océans a atteint en juin 16,22 degrés Celsius, soit 0,72°C au-dessus de la moyenne du 20e siècle pour ce mois-là, dépassant ainsi le dernier record de chaleur pour juin, qui remontait à 2010, précise la NOAA. «La majorité de la planète a fait face à des températures mensuelles supérieures à la moyenne, avec des records de chaleur dans des régions du sud-est du Groenland, du nord de l’Amérique du Sud, ou encore des zones de l’est et du centre de l’Afrique, ainsi que des parties du sud et du sud-est de l’Asie», explique l’agence dans un communiqué.
«Comme en mai, des zones éparpillées à travers tous les principaux bassins océaniques ont également connu des records de chaleur.»
La dernière fois que la température d’un mois de juin a été inférieure à la moyenne du 20e siècle re-monte à 1976, a indiqué le NOAA.
AUTRE RECORD
Pour ce qui concerne la seule température à la surface des océans, celle-ci a été en juin la plus élevée de toute l’histoire, battant un précédent record qui remontait à 1998.
Selon la même source, le mois de mai 2014 avait déjà été le plus chaud dans le monde depuis le début des relevés de températures en 1880, dépassant le précédent record de mai 2010.
Comme tout ce que disent les réchauffistes, c’est faux… (c’est pas parce que c’est écrit dans le journal que c’est vrai):
http://icecap.us/index.php/go/political-climate/should_you_trust_noaa_claims_about_may_and_june_records2/
Je ne mentionnes a aucun endroit que quest qui est écrit dans cet article est vrai, j’ai justement mis cet article pour démontrer comment on se fait bullshiter encore et que bien des lecteurs vont encore gober leurs mensonges.
Et vlan encore un autre pour nous remplir et cette fois ci ça provient du Devoir…….
La LNH craint d’être mise en échec par le climat; Le réchauffement climatique menace la glace… et les profits
C’est fatal. Moins d’hivers donnent moins de patinoires extérieures, moins de joueurs de hockey et du coup, moins de futurs Crosby et même d’amateurs de rondelle prêts à dépenser des centaines de dollars chaque saison pour un peu de divertissement sur glace et quelques produits dérivés.
Dans son premier rapport environnemental à vie, depuis sa création à Montréal en 1917, la Ligue nationale de hockey (LNH) s’inquiète d’être mise en échec par le réchauffement climatique. Et, du coup, elle se propose de devenir un peu plus verte, et invite ses fidèles à un tour du chapeau, écologique, visant à assurer la survie de son fonds de commerce.
» Avant de fouler la glace de la LNH, plusieurs de nos joueurs ont perfectionné leurs habiletés sur des lacs et étangs gelés en Amérique du Nord et en Europe, écrit le commissaire de la Ligue, Gary Bettman, en guise d’introduction à ce rapport sur le développement durable que la LNH vient de publier discrètement sur son site Internet au début de la semaine. Notre sport puise ses racines dans les eaux glacées des plans d’eau et dans les climats nordiques. Les enjeux environnementaux majeurs, comme les changements climatiques, les pénuries d’eau douce vont affecter les joueurs de hockey de tous âges qui voudraient apprendre et pratiquer ce sport à l’extérieur. »
La perspective n’est pas vue d’un bon oeil par l’organisation sportive qui, depuis quatre ans, et avec la complicité du Natural Resources Defense Council (NRDC) aux États-Unis, cherche à améliorer ses pratiques environnementales et à réduire son empreinte écologique. La Ligue souhaite également utiliser ses nombreux canaux de diffusion d’information pour inciter ses 68 millions de fans en Amérique du Nord à la suivre dans cette quête pour un environnement plus sain et pour éviter que la fragilité de la glace en hiver ne fragilise ses activités lucratives. Le plan de match a été baptisé » LNH verte « . Il est exposé au public en anglais uniquement.
Pour la suite des choses
» En tant qu’entreprise, nous sommes liés à l’eau douce pour obtenir notre glace, à l’énergie pour alimenter nos opérations et à des communautés saines permettant à nos athlètes, employés et fans de vivre, de travailler et de jouer, dit Bettman. Qui plus est, pour continuer à organiser des événements de hockey en plein air de calibre international, comme la Classique hivernale, la Classique héritage ou la Série des stades de la LNH, nous avons besoin de l’hiver. »
En substance, le rapport environnemental de la LNH expose les nombreuses sources de pollution et des consommations de ressources naturelles de ses 30 équipes sur l’ensemble du continent nord-américain. Il présente également quelques mesures adoptées par le passé pour réduire l’impact de ses activités sur la planète, et du coup, cesser de nourrir les changements climatiques, jugés désormais délétères pour la Ligue. Le document présente au passage quelques objectifs à atteindre pour faire du hockey professionnel et commercial un monde plus vert.
L’organisation estime entre autres à 530 000 tonnes métriques par an sa production de gaz à effet de serre, ces gaz qui contribuent au réchauffement climatique. C’est l’équivalent de l’émission induite en moyenne par 37 000 Canadiens en 2010 ou par 150 000 Lettons la même année, selon les données de la Banque mondiale. Ces gaz, relate le rapport, sont la conséquence des activités régulières de la Ligue durant 182 jours de match, mais également des 1230 rencontres entre équipes et des 3,2 millions de kilomètres qu’elles doivent parcourir en avion chaque saison.
Le canari dans la mine
» Ce document est un rappel important à tous les fans de sport, les ligues, équipes et entreprises que la glace naturelle sur laquelle on pratique le hockey pourrait être le » canari dans la mine de charbon » [cet oiseau dont la mort annonçait la rareté de l’oxygène et l’urgence d’évacuer], dit Allen Hershkowitz du NRDC qui a participé à la rédaction de ce rapport. Face aux effets du dérèglement climatique, les ligues et entreprises doivent prendre des mesures concrètes pour inverser leurs cours. »
Ces mesures ne sont d’ailleurs » pas seulement de bonnes choses à faire pour l’environnement « , dit Bettman, mais cela doit devenir la » stratégie de base de la Ligue » pour assurer son succès et sa survie à long terme.
Le monde du hockey est hautement lucratif. L’an dernier, selon le magazine Forbes, les 30 franchises de la LNH ont généré des revenus dépassant les 2,5 milliards de dollars, et ce, pour un bénéfice d’exploitation d’environ 210 millions de dollars cette année-là. Dans l’ensemble, Toronto, New York et Montréal possèdent les équipes les plus aptes à transformer l’eau glacée en argent sonnant. Leur valeur oscille entre 1,5 milliard et 775 millions.
L’univers de la rondelle est toutefois menacé depuis une vingtaine d’années par la montée en flèche au Canada et au Québec d’un autre sport d’équipe, le soccer, de plus en plus prisé par les générations montantes, y compris les filles, rappelait il y a quelques mois Soccer Québec. Environ 200 000 personnes seraient inscrites dans un club dédié au ballon rond, contre 90 000 pour le hockey. Et en poids, ces joueurs de soccer pourraient également, à la longue, faire craqueler la glace de la LNH autant que le réchauffement climatique.