Tiré de l’excellente série britannique « Yes, Minister », un haut fonctionnaire discute avec son ministre d’une augmentation de salaire…
J’ai l’impression que ce genre de scène va se multiplier dans les bureaux du nouveau gouvernement libéral…
Tiré de l’excellente série britannique « Yes, Minister », un haut fonctionnaire discute avec son ministre d’une augmentation de salaire…
J’ai l’impression que ce genre de scène va se multiplier dans les bureaux du nouveau gouvernement libéral…
Il y a quelques semaines, vous avez sans doute entendu parler d’une étude démontrant que la classe moyenne canadienne était désormais plus riche que la classe moyenne américaine, cette nouvelle était un peu partout dans les médias.
Dans la réalité, l’étude conclut plutôt qu’en 2010, la dernière année incluse dans leur analyse, la classe moyenne canadienne avait rejoint la classe moyenne américaine au sommet du classement. Par contre, vu la vitesse de progression des revenus de la classe moyenne au Canada depuis 2000, les auteurs arrivent à la conclusion qu’en 2014 le Canada a probablement dépassé les Américains.
Comment peut-on expliquer cette progression phénoménale du Canada ? Et si c’était la faute du bon vieux capitalisme !
Quelques chiffres sur les revenus de la classe moyenne canadienne et américaine de même que le degré de liberté économique (i.e. capitalisme) dans ces deux pays:
Quelques observations:
Basés sur ces chiffres, on ne peut conclure, comme le fait la gauche, que les politiques de droite associées au capitalisme sont néfastes pour la classe moyenne, même qu’on semble plutôt observer le contraire !
Fait intéressant, au Canada l’indice de liberté économique a progressé de manière significative depuis que Stephen Harper est devenu premier ministre. Par contre, l’indice américain est en chute libre depuis que Barack Obama a été élu président… Temps dur pour la gauche…
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Renewables pave path to poverty A Salvation Army report from last year found 58 per cent of low-income households were unable to pay their electricity bills on time. Lynne Chester of the University of Sydney estimated last year that 20 per cent of households are now energy poor: “Parents are going without food, families are sitting around the kitchen table using one light, putting extra clothes on and sleeping in one room to keep warm, and this is Australia 2013.” What is true in Australia is true globally. According to the UN Secretary-General Ban Ki-moon, “Climate change harms the poor first and worst.” But we often forget that current policies to address global warming harm the world’s poor much more. Solar and wind power was subsidised by $65 billion in 2012. And because the total climate benefit was a paltry $1.5bn, the subsidies essentially wasted $63.5bn. Biofuels were subsidised by another $20bn, with essentially no climate benefit. All of that money could have been spent on healthcare, education, better roads or lower taxes. Forcing everyone to buy more expensive, less-reliable energy pushes up costs throughout the economy, leaving less for other public goods. The average of macroeconomic models indicates the total cost of the EU’s climate policy will be $US310bn a year from 2020 until the end of the century. |
On voit la même chose au Québec. Pour faire plaisir aux lobbys écolos, le Québec a stupidement installé des éoliennes qui ont fait augmenter le prix de l’électricité. Aux États-Unis, Barack Obama veut faire la même chose en voulant faire peur au monde avec des histoires imaginaires de réchauffement climatique…