Il n’en fallait pas plus que l’élection d’un gouvernement indépendantiste… en Catalogne… pour raviver la flamme des nationalistes québécois !
Pour l’occasion, je me suis amusé à comparer les économies des régions européennes avec des mouvements indépendantistes fortement enracinés à l’économie du Québec. Les « geeks » de chiffres devraient apprécier…
Premièrement, je compare le taux de croissance moyen du PIB/habitant entre 2000 et 2009 pour la région indépendantiste et son pays. Ensuite, je compare l’écart qui existe au niveau du PIB/habitant entre la région indépendantiste et son pays d’attache pour l’année 2009 (une valeur de 100% indique un PIB/habitant identique entre la région indépendantiste et le pays; une valeur de 120% indique que la région indépendantiste à un PIB/habitant 20% plus élevé que le pays et finalement une valeur de 80% indique que la région indépendantiste à un PIB/habitant 20% moins élevé que le pays).
La Flandre et la Catalogne ont eu une croissance de leur PIB/habitant moins importante que leur pays d’attache respectif, mais au final leur PIB/habitant en 2009 était significativement plus élevé.
Le Pays Basque, de son côté fait mieux que son pays d’attache tant au niveau de la croissance que du PIB par habitant.
Finalement, si l’Écosse a un PIB/habitant légèrement plus faible que son pays d’attache, sa croissance est presque deux fois plus élevée.
Et qu’advient-il du Québec ? Le Québec est la seule région qui est battue par son pays d’attache tant au niveau de la croissance que du PIB par habitant !
À titre indicatif, en 2009, le PIB/habitant du Québec était inférieur de 14,1% à celui du Canada, alors que celui de la Catalogne était supérieur de 16,1% à celui de l’Espagne.
Avant de rêver d’indépendance politique, le Québec devrait plutôt s’affairer à devenir indépendant économiquement, faisant ainsi la preuve que la province sera prête à voler de ses propres ailes…
Sources:
Regional statistics
Sources:
Comptes économiques des provinces et des territoires
Tableau 051-0005
La question ce n’est pas de savoir qui est plus riche, mais si ça profite ou non. On peut interpréter ces chiffres dans les deux sens… Le Québec devrait-il rester dans la confédération pour rattraper son retard ou n’est-ce pas justement l’appartenance à cette confédération qui nuit à la progression du Québec?
Peut-on dire que la Flandre,la Catalogne et les pays Basques ont des cultures supérieures à leur pays d’attache.
La question c’est de réaliser que les autre veulent se séparer car ils sont devenus indépendant économiquement de leur pays d’attache i.e. ils ont prouver qu’ils pouvaient s’administrer.
Ce sont quand même deux questions distinctes:
1) Qui est le plus riche?
2) Est-ce l’option la plus profitable pour l’autre? (Voire l’exemple de la Slovaquie)
Le Québec s’administre mal, c’est en partie à cause d’un gouvernement fédéral qui ne priorise pas le développement du Québec dans ses décisions. C’est ça être minoritaire en démocratie.
Il faut voir à long terme, la mondialisation favorisera les états s’adaptant adéquatement aux changements. En n’étant pas maîtres de nos décisions, nous continuerons de perdre au jeu comme c’est le cas actuellement.
Mais rien à foutre des chiffres, l’économie c’est pas important Pauline l’as dit, lorsque le Québec sera indépendant, tous les problèmes seront magiquement réglés et nous vivrons dans un paradis sur terre où les licornes roses gambaderont avec les animaux de la forêt et tous chanteront en coeur l’hymne au Québec socialiste.
Que la force soit avec vous.
Camarade Camarade
La liberté de faire ses propres choix, c’est bon en soi. Ça vaut autant pour un individu qu’une nation. Si les choix effectués sont mauvais, ce n’est pas avec MamanCanada venant à notre rescousse que ça va responsabiliser le gouvernement québécois. Coupons ce lien de dépendance et arrangeons-nous avec ce qu’on a. Alors seulement on comprendra les réelles conséquences de faire de mauvaises décisions économiques.
Il n’y a qu’en assumant pleinement nos bons et mauvais coups qu’on apprendra à vraiment s’administrer comme du monde.
@ LJR:
Bonne question.
MAIS, les séparatistes sont actuellement au pouvoir au Québec et ils peinent à nous démontrer qu’ils sont des administrateurs acceptables dans les champs de compétence strictement provinciaux.
Imaginez dans les autres…
De plus, s’ils avaient ce serait-ce que l’ombre d’une preuve que le Canada leur nuit économiquement ou qu’ils seraient en mesure de se passer pisitivement de l’argent que leur verse annuellement le génreux reste du Canada via la péréquation, ne croyez-vous pas qu’ils nous casseraient interminablement les oreilles avec ça?
Ils sont au pouvoir et c’est le silence radio total…
Explicite non?
L-O-LLLLLLLLLLLLLLLL
Il est intéressant de noter que la Catalogne est dans une position similaire à l’Alberta au Canada.
Selon les indépendentistes, la Catalogne transfère 6.5% à 8.5% de son PIB aux autres provinces espagnoles.
http://www.economist.com/news/briefing/21567085-stabilising-spains-finances-without-tearing-its-social-fabric-apart-being-made-harder
@ François 1:
Il y a une distinction à faire entre le PQ et le concept de souveraineté.
Il y a plusieurs études sur le sujet, notament une par François Legault. C’est peut-être le PQ actuel qui manque de bons portes-paroles en économie, les médias populaires qui ne relaient pas les informations de qualité, ou simplement les Québécois qui ne s’y connaissent pas assez pour se faire une opinion… mais actuellement c’est surtout Jean-Martin Aussant d’Option Nationale qui met de l’avant les avantages économiques d’un Québec indépendant.
@ David:
Oui, l’économie Canadienne se polarise et les secteurs industriels clés du Québec recoivent moins que les autres provinces ou rien dutout. Alumineries, mines, aéronautique, Hydro-électricité, … ça crée des emplois ailleurs avec nos taxes fédérales et on nous renvoie une péréquation pour payer nos BS…
Informes-toi, tu pourras écrire des »l-o-lll » ensuite. ^^
« Le Québec s’administre mal, c’est en partie à cause d’un gouvernement fédéral qui ne priorise pas le développement du Québec dans ses décisions. C’est ça être minoritaire en démocratie. »
L’argument massue péquiste, c’est la faute des autres.
LO-LLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL !!!
S’il existe un secteur subventionné dans l’économie canadienne c’est bien l’aéronautique (pour ne prendre que cet exemnple) !!!
#Fail
Le Québec c’est 23% de la population canadienne, un maigre 18% des revenus du fédéral.
http://www.antagoniste.net/2012/11/28/le-declin-tranquille-vi-la-juste-part-des-quebecois/
@ David :
L’aéronautique est subventionnée sauf que les postes relevant du fédéral sont de plus en plus relocalisés hors Québec. Le Québec est l’une des provinces qui reçoit le moins d’investissements:
http://jobboomblog.com/point-de-vue/lalberta-ne-nous-paye-pas-nos-garderies-ok-la/
»Le Québec c’est 23% de la population canadienne, un maigre 18% des revenus du fédéral »
Juste une question: ça change quoi?
L’important c’est le flux monétaire: Qu’est-ce qu’on envoie et qu’est-ce qu’on reçcoit en retour… On confie nos taxes fédérales pour se faire fournir des services qu’on ne choisit pas.
J’ai beaucoup rit en débutant la lectre de ton lien. Pierre Fortin et Luc Godbout pas À gauche ?
C’est sans doute la meilleur de la semaine.
Mais leur étude, sur les CPE, a été mainte fous démoli par la communauté universitaire. Je t’invite à lire ceci.
Mettons de côtés la vulgaire propagande gauchiste pour parler des chiffres. Les chiffres sont froid, impardonnable et leur jugement sans appel.
Pour le reste, voici à quel point, contrairement à ce que ton article raconte, nous somme dépendant de l’Alberta (tiré d’un billet qui démoli un des chapitre du livre de Lisée):
Affirmation #13 de Jean-François Lisée: la droite ment quand elle affirme que le Québec est une province de quêteux. Pour Lisée, le Québec n’est pas avantagé par rapport aux autres provinces; même que sur certains aspects nous sommes défavorisés.
Dans son livre Jean-François Lisée présente une série de chiffres pour montrer que le Québec n’est pas avantagé par les paiements de transfert et de péréquation venant d’Ottawa; soit que nous recevons autant que les autres, soit que nous recevons moins.
Vraiment ?
Pour parvenir à cette conclusion, il faut faire un exercice de comptabilité liséenne. Jean-François Lisée regarde uniquement l’argent que les provinces reçoivent d’Ottawa. Dans son bilan final, il oublie de prendre en considération l’argent qui est perçu par le fédéral dans chaque province.
Imaginons par exemple que Paul donne 100$ à Pierre et que Pierre lui retourne 20$. Jacques de son côté donne 5$ à Pierre qui lui retourne 10$. Selon Lisée, c’est Paul qui fait un meilleur « deal » puisqu’il reçoit 10$ de plus que Jacques. Dans les faits, Paul perd 80$ dans l’opération alors que Jacques fait un gain de 5$.
Voici donc l’état de la situation lorsque l’on prend en considération l’argent perçu dans chaque province par le gouvernement fédéral et l’argent qui est retourné sous forme de paiements de transferts, péréquation et programmes. Un solde négatif indique que le gouvernement fédéral transfère plus d’argent qu’il n’en prélève.
Recettes totales moins le total des dépenses courantes. Un solde négatif indique que le gouvernement fédéral transfère plus qu’il n’en prélève
Comme on peut le voir, le Québec a un solde négatif avec le fédéral i.e. le fédéral transfère plus d’argent au Québec qu’il n’en prélève. Certes, nous ne sommes pas les pires, mais il n’en reste pas moins que nous profitons des largesses d’Ottawa. Mais, à n’en pas douter, le complexe nationalo-socialiste québécois va sans doute se satisfaire de savoir qu’il y a plus dépendant que nous, alors que leur but devrait être l’indépendance financière vis-à-vis le fédéral (comme l’Alberta).
D’ailleurs, la moyenne canadienne sans le Québec (pondérée en fonction de la population) est de -340$/habitant, ce qui est largement inférieur au Québec.
Pour les provinces qui ont eu un solde cumulé négatif entre 2000 et 2009, voici dans quelle mesure les transferts nets ont évolué:
C’est au Québec que le fédéral a le plus augmenté le solde de ses transferts. En 2000, ce solde était de -308$/habitant et en 2009 ce montant est passé à -1 743$/habitant, une augmentation de 465%. Autrement dit, depuis dix ans, la dépendance du Québec vis-à-vis Ottawa s’est accrue de manière colossale !
En Saskatchewan, les transferts nets ont diminué, ils sont passés de -2 266$/habitant à -1 219$/habitant, une diminution de 46%.
À titre indicatif, en 2000 le solde de l’Alberta était de +2 673$/habitant contre +3 995$/habitant en 2009, une augmentation du fardeau du fédéral de 49%.
Dans le chapitre de son livre dédié à cette question, Jean-François Lisée déclare triomphalement: « Le Québec est plus généreux que ses voisins en services divers offerts aux citoyens, et il paie cette générosité avec ses propres taxes et impôts. Bref, c’est nous qui payons ».
J’espère que les bottines suivront les babines et que si Danielle Smith est élue première ministre de l’Alberta Jean-François Lisée se joindra à elle pour réclamer la fin du programme de péréquation. Après tout, selon Lisée nous n’avons pas besoin de la péréquation au Québec…
À lire aussi:
Sources:

Tableau 051-0001
Tableau 202-0809
Comptes économiques provinciaux et territoriaux
Population urbaine et rurale
Taux et statistiques
Oui l’important c’est le flux monétaire et nous recevons plus que nous donnons.
Selon les comptes économiques des revenus et dépenses du Québec, édition 2011 (Tableau 5.2, pages 84-85), publiés par l’Institut de la statistique du Québec, Ottawa a recueilli au Québec 40 G$ pour l’année 2010. Les 40 G$ perçus par Ottawa comprennent les impôts payés par les particuliers et les sociétés, les retenues fiscales sur des profits réalisés par des non-résidents, les cotisations à l’assurance emploi et au Régime de pensions du Canada, les impôts indirects (TPS, droits d’accise et de douane, taxe sur le transport aérien), les impôts sur les revenus de placement (gain en capital et dividendes), certains transferts des provinces et d’autres droits exigés de certains particuliers.
Les particuliers du Québec, les entreprises qui y oeuvrent, les institutions, le gouvernement et divers organismes ont reçu du fédéral en 2010 des versements totalisant 58 G$, soit 18 G$ de plus que ce que ce dernier a perçu au Québec. Cet écart s’est fortement accru depuis 10 ans. Après avoir varié entre 1 G$ et 4 G$ de 1999 à 2005, il est passé à 6 G$, 7 G$, 12 G$ et 14 G$ respectivement, de 2006 à 2009.
http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/cptes_econo/pdf2012/comptes_econo_2011.pdf
D’autres questions ?
Je dois reconnaître que tu sembles beaucoup mieux informé que moi sur tous ces dossiers.
Je veux quand même commenter point par point:
1) Article de Jobboom:
Malgré son titre, ce n’était pas sur le thème des garderies que j’ai posté l’article. Il y a eu des critiques et contre-critiques sur le sujet, mais c’est un autre débat sur lequel on serait peut-être du même avis.
2) La froideur des chiffres :
Je ne conteste pas les chiffres de l’ISQ, mais il semble que Statistique Canada le fasse à partir de 2006. Il y a pratiquement 2 G$ de différence pour l’année 2007..
http://www.statcan.gc.ca/pub/13-018-x/2009002/t/tab0724-fra.htm
Toutefois ça ne change rien au fait qu’économiquement, le Canada dépense plus au Québec que ce qu’il en reçoit. Cela m’amène au troisième point…
3) Le point principal de mon opinion se résume bien par une citation de ton dernier commentaire:
»Voici donc l’état de la situation lorsque l’on prend en considération l’argent perçu dans chaque province par le gouvernement fédéral et l’argent qui est retourné sous forme de paiements de transferts, péréquation et programmes »
Là est toute la question: Comment est utilisé l’argent que le fédéral dépense au Québec? C’est bien beau un tableau avec un chiffre plus grand qu’un autre, mais à quoi correspondent-ils exactement?
Nous envoyons de l’argent et on nous renvoie des services qui sont choisis à Ottawa. Même si il en coûte 58 G$ à Ottawa pour nous les fournir, cela ne signifie pas qu’on reçoit 58 G$ de services.
Il y a toutes sortent de dédoublements de services et de frais administratifs inutiles.
En résumé Québec enverrait 40 G$ à Ottawa, pour qu’Ottawa dépense 58 G$ à fournir des services qui vaudraient peut-être moins que 40 G$ si Québec les employait directement à se fournir les services dont il a réellement besoin.
4) Conclusion
Nos propos vont dans le même sens jusqu’à maintenant.
Ce n’est pas 58 miliareds en service que l’on reçoit d’Ottawa, mais 58 milliards en ARGENT.
Si on ajoute les services, on reçoit encore plus.
http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/cptes_econo/pdf2012/comptes_econo_2011.pdf
Au tableau 5.2 des pages 84 et 85, c’est écrit clairement:
»Recettes et DÉPENSES de l’administration fédérale au Québec »
Le 58 G$ qu’Ottawa envoya à Québec en 2010 se résume aux sections suivantes:
1- Dépenses courantes nettes en biens et services: 11 G$
2- Transferts courants aux particuliers: 21 G$
3- Transferts courants aux entreprises: 1 G$
4- Transferts courants aux administrations provinciales: 18 G$
5- Transferts courants aux administrations locales: 0,05 G$
6- Intérêts sur la dette publique: 6 G$
Plus loin, les tableaux 5.10 à 5.13 détaillent les dépenses 1 à 5:
1- Rémunération des salariés et autres achats de biens et services : 11 G$
2- Allocations, prestations, crédits, etc. : 21 G$
3- Subventions : 1 G$
4- Accords fiscaux, Transfert canadien en matière de santé et de programmes sociaux, Transferts courants divers, … : 18 G$
5- Administrations locales: 0,05 G$
De tous ces montants c’est seulement le 18 G$ (17 787 M$) qui figure dans les recettes du provincial au tableau 5.3 (auquel on peut ajouter le 6 G$ des paiements sur la dette publique).
Le reste, comme les tableaux le mentionnent, ce n’est pas de l’argent reçu comptant, mais les dépenses du fédéral en SERVICES, …
Bref, Québec envoit 40 G$, on lui retourne l’équivalent de 24 G$ en argent et 34 G$ en services qui sont décidés et gérés par Ottawa.
D’un point de vue strictement comptable la question reste la même:
Les dépenses coûtant 34 G$ à Ottawa valent-ils les 16 G$ qui seraient autrement gérés par le Québec selon ses propres priorités.. ?
Ton commentaire prouve justement que c’est faux !!!
1- Dépenses courantes nettes en biens et services: 11 G$
2- Transferts courants aux particuliers: 21 G$
3- Transferts courants aux entreprises: 1 G$
4- Transferts courants aux administrations provinciales: 18 G$
5- Transferts courants aux administrations locales: 0,05 G$
6- Intérêts sur la dette publique: 6 G$
Plus loin, les tableaux 5.10 à 5.13 détaillent les dépenses 1 à 5:
1- Rémunération des salariés et autres achats de biens et services : 11 G$
2- Allocations, prestations, crédits, etc. : 21 G$
3- Subventions : 1 G$
4- Accords fiscaux, Transfert canadien en matière de santé et de programmes sociaux, Transferts courants divers, … : 18 G$
5- Administrations locales: 0,05 G$
C’est de l’argent sonnant, pas des services.
Je ne vois pas en quoi je me contredis…
Je me réfère aux tableaux du document de l’ISQ que tu as fournit en lien.
Il y est clairement mentionné que les montants affichés correspondent aux DÉPENSES du fédéral dans les champs de compétences du fédéral (programmes et services.).
C’est de l’argent sonnant… qui est investit dans des programmes et services, dont la valeur mériterait évaluation.
»Si on ajoute les services, on reçoit encore plus. » … Pour quel service gouvernemental le contribuable ne paie-t-il pas?
Et alors ?
On va commencer par ventiler les dépenses de 8 milliards de la péréquation !
»Et alors ? »
Je cite ce que tu as écrit le 1er décembre et le 2 décembre:
01-12-12 : »Ce n’est pas 58 miliareds en service que l’on reçoit d’Ottawa, mais 58 milliards en ARGENT »
02-12-12 : »C’est de l’argent sonnant, pas des services »
… Alors, dans le document de l’ISQ il est clairement mentionné que les montants affichés correspondent aux DÉPENSES du fédéral dans les champs de compétences du fédéral (programmes et services.)
Si on reconnaît la crédibilité de l’ISQ, on reconnaît que ce n’est pas de l’argent sonnant.
Péréquation:
Le 1er décembre tu as écrit:
»Ce n’est pas 58 miliareds en service que l’on reçoit d’Ottawa, mais 58 milliards en ARGENT.
Si on ajoute les services, on reçoit encore plus. »
… La péréquation fait partie du 58 G$. À quel services fais-tu référence?
Commençons par les transferts en santé (pas de la péréquation).
»Commençons par les transferts en santé (pas de la péréquation). »
Ça fait aussi partie du 58 G$.
Je sais, c’est ce que j’essaye de te faire comprendre.
Donc quand tu as écrit :
»Ce n’est pas 58 miliareds en service que l’on reçoit d’Ottawa, mais 58 milliards en ARGENT. Si on ajoute les services, on reçoit encore plus. »
C’est-à-dire encore plus que quoi ? Si tout fait partie du 58 G$ on ne reçoit pas encore plus..
En tout cas, on a vu les mêmes chiffres.
Ouf… Ce qu’il faut être patient avec les gens qui ne réfléchissent pas avant d’écrire ce qui leur passe par la tête…
Je faisais référence, entre-autre, à des service comme Radio-Canada français. Le 58 milliards c’est du cash, met Radio-Canada, les poste, l’armée, Santé Canada, l’agence d’inspection des aliments, alouette…