Après Milton Friedman, c’est au tour de John F. Kennedy, un bon gauchiste, de répondre aux improvisateurs péquistes…
“A bill will be presented to the Congress for action next year. It will include an across-the-board, top-to-bottom cut in both corporate and personal income taxes. It will include long-needed tax reform that logic and equity demand … The billions of dollars this bill will place in the hands of the consumer and our businessmen will have both immediate and permanent benefits to our economy. Every dollar released from taxation that is spent or invested will help create a new job and a new salary. And these new jobs and new salaries can create other jobs and other salaries and more customers and more growth for an expanding American economy.”
Des gauchistes avec du bon sens, ça déjà existés ! Espérons que les péquistes se trouveront un député parlant anglais pour traduire ce discours à Pauline Marois…
Pas trop longtemps après ce discours, les US gagnait la bataille pour conquérir la lune. Et Kennedy l`avait promis avant la fin de la décennie 60.
Aujourd`hui les USA dépende des Russes pour envoyer leurs astronautes dans l`espace et leur économie va tomber 2 ième au monde dans moins de 10 ans.
Le rêve Américain est terminé avec tous ces socialistes qui gangrènaient le pays.
Désolé Jackwood, mais les américains n’ont pas eu besoin de socialistes pour se ruiner, en outre, c’est la Chine qui sera la première économie mondiale et ça a l’air que passer par le socialisme est une bonne façon de faire fleurir l’économie…
Aussi, les américains sont comme la grenouille qui voulait être plus grosse que le boeuf… à force de se croire plus bonne et plus forte que ses voisins (collectivement et individuellement), elle a fini par se faire exploser…
En terminant, tu ne devrais pas trop chier sur le programme spatial américain car ils ont tué le programme des navettes pour privatiser la construction, l’entretien et l’opération des lanceurs orbitaux… d’ailleurs pas plus tard que cette semaine un opérateur privé a réussi à rejoindre la Station spatiale internationale avec son propre lanceur. La NASA va ainsi économiser gros sur le volet le plus couteux de son programme en mettant divers constructeurs en compétition. Et, soit dit en passant, il s’agit d’une mesure du président Obama…