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Marois outdoes her predecessors with the most discriminatory platform Canada’s seen in years [Marois] has, by common consent, run on the most frankly discriminatory platform of any party leader in this country’s recent history: from forbidding public servants to wear any religious symbol but the crucifix, to barring non-French speakers from running for public office, to the platform’s precisely worded anguish at the numbers of those living in Montreal whose “mother tongue” is something other than French. Add to that the promise of further restrictions on the use of English in the schools and in the workplace, and in a sense we are already in another country: it is hard to believe we are discussing life in 21st century Canada. But make no mistake. The ethnocentric positions that have appalled so many commentators, at least outside Quebec, did not spring new-born from Marois’ fevered brow. The particular position of the province’s francophones, a majority within the province that nevertheless sees itself as an imperilled minority within North America, has given licence to a majoritarianism that would be repugnant anywhere else. Every province has its share of rednecks, but in no other province are they given the leadership of major political parties. |
Si le parti républicain aux États-Unis faisait la promotion des mêmes mesures identitaires que celles proposées par le PQ, l’ensemble de la société américaine aurait, avec raison, accusé les républicains de racisme.
Mais au Québec, ça passe…
Comique, comme si cette enième chronique en anglais changera quoi que ce soit.
Merci pour ce billet.
Jamais je n’ai vu une plate-forme aussi rétrogade et aussi franchement xénophobe de la part du PQ.
Ca va être difficile de faire tomber mon préjuger comme quoi le nationalisme est la version moderne du tribalisme primitif après cette campagne électorale…
to barring non-French speakers from running for public office.
C’est faux cependant, ce serait seulement pour les nouveaux arrivants (et ça c’est un peu partout comme ça dans le monde, test de langue pour atteindre la citoyenneté pour obtenir le droit de vote et de se présenter).
Aux états-unis on exige que le président soit née en sol américain (on va donc une coche plus loin), certains républicain ont même fait une espèce d’histoire sur un obama né à l’étranger, ne l’oublions pas.
La France à été plus loin que nous pour ce qui est des symboles religieux, ici c’est seulement à visage découvert.
Plusieurs chroniqueurs dans les médias ont dénoncé récemment – non sans raison – le racisme dans les propos du maire Tremblay, de Saguenay, envers une candidate péquiste d’origine algérienne vivant au Québec depuis plusieurs années. On a même publié un article donnant le pouls des électeurs dans le comté où elle se présente, dans lequel le mot « xénophobe » a carrément été employé pour décrire l’attitude de quelques gens questionnés sur la rue qui ne voteront pas pour la candidate du PQ en se basant sur des préjugés semblables à ceux du maire Tremblay.
C’est bien beau tout ça mais, à l’inverse, pourquoi est-ce le silence radio de la part des observateurs des médias de grande diffusion concernant les différentes mesures qui puent l’exclusion que le PQ a promis de mettre en place s’il est élu? Au mieux, on a mis Mme Marois en contradiction avec son idée de faire passer des tests de français à ceux qui convoiteraient un poste lors d’une élection, fussent-ils citoyens québécois depuis leur naissance, mais c’est tout.
Cependant, dès qu’on critique, en provenance d’un média anglophone, la xénophobie larvée au sein du PQ, c’est immédiatement la mobilisation générale de la part des principaux représentants médiatiques québécois pour crier à l’indignation. Ils se sentent à cette occasion soudainement insultés et montent incontinent aux barricades pour défendre ce que représente le parti, au nom de l’ « identité québécoise ». Comme s’il y avait des choses qu’il ne fallait surtout pas dire à l’endroit du PQ. L’Index version revisitée québécoise…
Que cela plaise ou non, le Québec n’est pas une société tout à fait homogène. Il y a bien sûr un groupe majoritaire francophone mais il y a d’autres parties de la population qui vivent différemment, que ce soit par la langue ou par la religion, avec le port de certains signes en conséquence. Le phénomène est encore plus marqué à Montréal, en raison de son caractère cosmopolite. Pourtant, Montréal ne fait pas exception à la règle d’un phénomène qui est normal dans bien d’autres grandes villes partout dans le monde.
Vouloir ainsi imposer des mesures mesquines et rétrogrades en frappant le poing sur la table pour contrôler la vie de certains groupes d’individus sous prétexte qu’ils ne sont pas comme la majorité, c’est comme harceler avec acharnement des gens simplement parce qu’ils existent. Totalement dégueulasse.
Plus la campagne avance et plus je trouve que notre Pauline nationale est pas forte (et je ne parle pas de force physique).
Donc c’est vrai: to barring non-French speakers from running for public office.
Aux USA tous les autres postes électifs sont ouverts à la population sans égard à la langue. En Californie dans certain counties on produit des bulletins de vote en 17 langues.
Parce que tu as trouvé plus facho ailleurs, il faudrait ne pas critiquer ce qui se passe ici ?
Bien des pays exiges un test linguistique pour obtenir la citoyenneté et donc le droit de se présenter.
to barring non-French speakers from running for public office.
Il manque un bout important, immigré, bien des non-french speaker (d’origine anglaise d’ici, autochtone, etc..) auront le droit.
C’est ultra standard dans le monde.
Le canada le fait lui aussi si vous regardez ici:
http://www.cic.gc.ca/francais/citoyennete/examen.asp
Vous verrez qu’il exige un niveau de langue minimum aux nouveaux arrivants pour obtenir la citoyenneté et donc le droit de se présenter aux élections.
Tout citoyen canadien âgé de 18 ans ou plus peut se porter candidat, À moins dêtre reconnu coupable d’un délit relevant de la Loi électorale du Canada ou d’être détenu dans un pénitencier.
Les américains aussi semble exigé un minimum d’anglais pour obtenir la citoyenneté maintenant:
http://www.uscis.gov/portal/site/uscis/menuitem.749cabd81f5ffc8fba713d10526e0aa0/?vgnextoid=5efcebb7d4ff8210VgnVCM10000025e6a00aRCRD&vgnextchannel=5efcebb7d4ff8210VgnVCM10000025e6a00aRCRD
Je n’ai pas vérifier mais je ne serais pas surpris qu’il faut être citoyen américain pour se présenter.
Quelque chose me dit que la communauté anglophone/autres pourrait utiliser la fameuse charte des droits et libertés pour se protéger contre de telles mesures
Voilà une preuve que le Canada est très flexible pour le Québec en plus de l’aider financièrement
En fait les règlements du PQ ressemble à des règlements que tu peux faire quant tu es officiellement un pays et si je me rappelle bien le Québec est encore dans le Canada.
Le PQ avec Pauline Marois c’est vraiment un retour en arrière sur la vision français/anglais et la façon de gérer le Québec.
Ils ressemble à un groupe de vieux cons isolés complètement déconnectés de la réalité et très loins des vrais besoin des gens.
Ils ramène encore l’éternel sujet de la souveraineté pour laquelle le peuple à dit NON 2 fois et que la plupart des gens d’aujoud’hui ne veulent plus riien savoir et qui fait chier.
Que dire de la nouvelle stratégie de référendum populaire ?
Si j’ai bien compris le processus, ce sont les membres du partie au pouvoir qui décide à la fin si on accepte ou non la demande d’un réferendum populaire. Il vont bien sûre dire oui ou non à ce qui fait leur affaire
Donc si Pauline Marois avec le PQ est au pouvoir, ils pourrait refuser un referendum populaire qui demande de ne pas faire un référendum mais accepter un referendum populaire qui demande de faire un référendum populaire.
Si Jean Charest est au pouvoir, il pourrait refuser un référendum populaire qui demande qu’on fasse une en enquête sur la corruption.
En fait je crois que la questions d’un référendum populaire proposé par le PQ est un moyen de faire un référendum sur l’indépendance du Québec sans passer l’idée dans une campagne électorale car il perdrait leur élections. Bref un cheval de troie
Peut-on poser n’importe quel question dans un référendum populaire ?
Je crois qu’une question aussi importante que de décider de faire du Québec un pays ou non devrait se faire dans une campagne électorale.
J’espère que si quelqu’un part une pétition pour faire un référendum un autre va en partir une pour ne pas en faire un. Cela va éviter les coûts de faire un vrai référendum.
Non, ce genre de mesure est extrêmement rares. Jamais appliqué, qu’on pense aux USA qui produit des bulletins de vote en langue étrangères.
C’est rate car c’est raciste de créer ainsi des citoyens de seconde classe (notre constitution l’interdirait).
Faux:
Aux États-Unis la loi électorale oblige les états à fournir des bulletins de votes accommodant les gens ne parlant pas anglais.
The Voting Rights Act makes it illegal to discriminate in voting based on someone’s membership in a language minority group. The idea behind the Voting Rights Act’s minority language provisions is to remove language as a barrier to political participation, and to prevent voting discrimination against people who speak minority languages. The Justice Department enforces these protections by bringing lawsuits in federal court, by sending federal observers to monitor elections, and by working with local jurisdictions to improve their minority language election procedures.
Many jurisdictions with people of Hispanic, Native American, and Alaskan Native heritage are covered by Section 5 of the Act, according to the formula found in Section 4(f) of the statute (42 U.S.C. 1973b(f)), and must submit all their voting changes for preclearance just as other covered jurisdictions do. When we review voting changes from jurisdictions whose Section 5 coverage is for language minority voters, we look for discrimination (either in purpose or in effect) that voters in the language minority group suffer, no matter what their race.
The Voting Rights Act further protects minority language group members by requiring particular jurisdictions to print ballots and other election materials in the minority language as well as in English, and to have oral translation help available at the polls where the need exists. The formulas for determining which jurisdictions must do this are based on the share of the local population in need, and can be found in Sections 4(f) and 203 of the Voting Rights Act (42 U.S.C. 1973b(f) and 1973aa-1a). The Act requires bilingual election procedures in various states and counties for voters who speak Spanish, Chinese, Filipino, Japanese, Vietnamese, and more than a dozen Native American and Alaskan Native languages.
The list of jurisdictions covered by the Act’s minority language requirements is printed in the Code of Federal Regulations at the end of 28 C.F.R. Part 55. These are the Justice Department’s minority language guidelines; they set out the Department’s interpretations of the law in detail, and explain how jurisdictions can best comply with it.
The guidelines start by saying jurisdictions should take « all reasonable steps » to enable language minority voters « to be effectively informed of and participate effectively in voting-connected activities. » The guidelines also say that « a jurisdiction is more likely to achieve compliance . . . if it has worked with the cooperation . . . and to the satisfaction of organizations representing members of the applicable language minority group. »
http://www.justice.gov/crt/about/vot/misc/faq.php#faq13
oui, les tests de citoyenneté exigent un minimum d’anglais puisqu’ils sont dans cette langue, sauf après un certain âge (ma belle-mère avait plus de 65 ans lorsqu’elle a passé le test et a pu le faire en espagnol)
Merci le mouton.
David le canada exigent un minimum d’anglais ou de français pour obtenir la citoyenneté Canadienne et donc la possibilité de se présenter.
la suède avec le suédois, l’Allemagne avec l’allemand.
Sont-ils tous raciste ?
Ici aussi les natifs et les autochtones garderons tous leur droit, ce n’est pas créer deux classes de citoyens l’idée, c’est d’exiger un minimum linguistique pour obtenir la citoyenneté, seulement le Québec n’est pas un pays et la ça fait bizarre.
Mais c’est ultra commun sur terre.
Personne n’a d’exigence comparable à celle du PQ.
Surtout avec la déclaration très raciste de Lisée qui a dit que valait mieux un Français de France qu’un Chinois qui parle français.
« Merci le mouton. »
Je citais des faits, je n’approuvais ni ne désapprouvais
Merci pour les renseignements/précisions.
David,
Peut-être (je n’ai pas vu le test de langue et comparé avec celui de la suède, du japon, des allemands), pour juger si les exigence du PQ sont différentes d’ailleur.
Mais à peu près tous les pays du monde on un test de langue (dont le canada) pour obtenir la citoyenneté et donc le droit de vote et de se présenter.
La seule chose particulière avec le PQ c’est que le Québec n’est pas un pays.
Ce qui est faux.
Le québec a une seule langue officiel, Le canada et la Finlande 2, c’est la connaissance d’une langue officiel qui permet d’obtenir la citoyenneté.
En se sens le Québec ne serait pas très différent des autres nations, peut-être que l’Anglais devrait devenir un langue officiel au Québec aussi.
Mais l’accès à la citoyenneté lié à la connaissance minimale d’une langue officiel d’une nation (le concept ici) est ultra commun de part le monde. Cela semble bizarre juste parce que le Québec est une province.
La preuve que personne n’a d’exigence comparable à celles du PQ: l’UE permet le droit de vote et d’éligibilité aux élections locales à tous les citoyens de l’Union vivant dans un autre pays membre.
En clair, rien n’empêche un Britannique qui ne parle pas un mot d’espagnol de devenir maire de son village de la Costa del Sol, pour peu qu’il y ait été résident depuis X temps.
Il va de soi qu’il faut parler un minimum de francais au Québec mais les comparaisons avec l’Allemagne ou la Suède ne tiennent pas, tout simplement parce que la différence entre nous et ces endroits est l’homogénéité linguistique.
Comme je vois les choses, le PQ cherche à faire de la majorité francophone la seule communauté linguistique à joindre. Ce que ne fait pas le Canada, en exigeant la maitrise de l’une ou l’autre des langues officielles. Même chose en Finlande, ou on accorde la nationalité aux personnes satisfaisant à l’exigence linguistique suivantes: connaissance du finnois, du suédois ou de la langue finlandaise des signes.
Tu es menteur ou juste ignorant ?
Va lire le commentaire de derteilzeitberliner au lieu de défendre les politiques raciste du PQ. Ya des limites à défendre l’indéfendable.
Pourtant:
http://www.cic.gc.ca/francais/information/demandes/guides/5609FTOC.asp
Chaque demandeur doit démontrer qu’il satisfait aux exigences linguistiques minimales d’après son niveau de compétence professionnelle en fournissant la preuve de ses aptitudes en français ou en anglais (parler, lire, écouter et écrire).
Pour que le traitement de votre demande soit considéré, toutes les demandes doivent être accompagnées des résultats du test linguistique (en français ou en anglais) du demandeur principal.
Si cela ne veut pas dire que des exigences minimales dans une langue officiel doivent être démontré pour l’obtention de la citoyenneté c’est bien mal expliqué.
Je parle évidemment pour ce qui est des nouveau arrivant, les gens né avec la citoyenneté on déjà la citoyenneté et non pas à l’obtenir et à passer des tests.
Et voici maintenant que Jean-François Lisée préfère les Français aux immigrants francisés…
Le PQ s’enfonce et s’enfonce, c’est une honte innommable.
P.S.: Je lis quand je peux mais j’ai tellement été occupé depuis mon arrivée en Europe en mai que je n’ai pas beaucoup donné signe de vie… Ceci dit, rien perdu de ma verve.
Les USA n’ont pas de langue officielle.
« English is the de facto national language of the United States, with 82% of the population claiming it as a mother tongue, and some 96% claiming to speak it « well » or « very well. »[5] However, no official language exists at the federal level. There have been several proposals to make English the national language in amendments to immigration reform bills,[6][7] but none of these bills has become law with the amendment intact. The situation is quite varied at the state and territorial levels, with some states mirroring the federal policy of adopting no official language in a de jure capacity, others adopting English alone, others officially adopting English as well as local languages, and still others adopting a policy of de facto bilingualism. »
http://en.wikipedia.org/wiki/Languages_of_the_United_States
Non seulement c’est faux mais les raciste du PQ parle maintenant de barré un chinois qui parlent français au profit d’un français qui parle français.
Luc, c’est pas tanné et honteux de défendre des raciste ?
Pourquoi vous dites que c’est faut, c’est directement pris du site web de citoyenneté et immigration canada ?
Vous êtes entrain de me dire que les démendeurs de citoyennetés permanente Canadienne n’ont pas à démontrer qu’il satisfait les exigences linguistiques minimales d’après son niveau de compétence professionnelle en fournissant la preuve de ses aptitudes en français ou en anglais (parler, lire, écouter et écrire) comme il est dit sur le site web de citoyenneté et immigration Canada ?
Vous avez une source ?
Les états-unis n’ont pas langue officiel (et chaque état est libre pour ce qui est de l’éducation de s’en choisir une ou non je crois), mais:
http://en.wikipedia.org/wiki/United_States_nationality_law#New_naturalization_test_and_interview
New naturalization test and interview
There is a new naturalization test that is being used for all N-400 applications filed on or after October 1, 2008.[16] If the applicant filed the N-400 application before October 1, 2008 then the applicant may choose to take the new test or the old test. The new test examines the applicant’s knowledge of American society and the English language. Sample questions and answers are published by the USCIS in English, Spanish, Chinese, Tagalog, Vietnamese and Azerbaijani.[17]
Besides passing the citizenship test: citizenship applicants must also satisfy other specific requirements of naturalization to successfully obtain U.S. citizenship.[18]
An applicant will also be required to submit to an in-person interview.
Depuis 2008, les américains sembles aussi validé la connaissance de l’anglais chez les demandeurs de citoyennetés.
êtes vous d’accord que la suède, Finlande, Allemagne le font aussi ?
Autre exemple angleterre:
http://en.wikipedia.org/wiki/Life_in_the_United_Kingdom_test
The Life in the United Kingdom test is a computer-based test constituting one of the requirements for anyone seeking Indefinite Leave to Remain in the UK or naturalisation as a British citizen. It is designed to prove that the applicant has a sufficient knowledge of British life and sufficient proficiency in the English language. The test is a requirement under the Nationality, Immigration and Asylum Act 2002. It consists of 24 questions covering topics such as British society, government, everyday life and employment. It has been criticised for containing factual errors, not serving its stated purpose, and expecting candidates to know information that would not be expected of native-born citizens.[1]
Autre exemple japon:
http://en.wikipedia.org/wiki/Japanese_Naturalization
The applicant needs to be able to speak and express himself/herself in Japanese and be able to answer the interview questions in Japanese.
C’est peut-être raciste (probablement en fait, surtout le bout sur le chinois qui parle français), mais c’est généralisé de par le monde et aucunement une particularité québécoise.
Va dans le Chinatown.
Luc,et ses éternelle mensonge pour justifier l’odier racisme péquiste.
Luc, répond moi franchement, tu es un raciste, je commence À penser que toi pour te voir d.fendre l’indéfendable avec tes mensonges.
Tu pense aussi comme Lisée, ton racisme est à ce point profond.ment encré chez toi que tu pense qu’un français est supérieur à un chinois qui parle français ?
Tout ce que tu dis sur les les est un honteux mensonge. La connaissance de l’Anglais n’est pas un critère car la loi oblige la production de bulletin e vote en langue étrangère là o:u la justification le justifie.
The Voting Rights Act makes it illegal to discriminate in voting based on someone’s membership in a language minority group. The idea behind the Voting Rights Act’s minority language provisions is to remove language as a barrier to political participation, and to prevent voting discrimination against people who speak minority languages. The Justice Department enforces these protections by bringing lawsuits in federal court, by sending federal observers to monitor elections, and by working with local jurisdictions to improve their minority language election procedures.
Many jurisdictions with people of Hispanic, Native American, and Alaskan Native heritage are covered by Section 5 of the Act, according to the formula found in Section 4(f) of the statute (42 U.S.C. 1973b(f)), and must submit all their voting changes for preclearance just as other covered jurisdictions do. When we review voting changes from jurisdictions whose Section 5 coverage is for language minority voters, we look for discrimination (either in purpose or in effect) that voters in the language minority group suffer, no matter what their race.
The Voting Rights Act further protects minority language group members by requiring particular jurisdictions to print ballots and other election materials in the minority language as well as in English, and to have oral translation help available at the polls where the need exists. The formulas for determining which jurisdictions must do this are based on the share of the local population in need, and can be found in Sections 4(f) and 203 of the Voting Rights Act (42 U.S.C. 1973b(f) and 1973aa-1a). The Act requires bilingual election procedures in various states and counties for voters who speak Spanish, Chinese, Filipino, Japanese, Vietnamese, and more than a dozen Native American and Alaskan Native languages.
The list of jurisdictions covered by the Act’s minority language requirements is printed in the Code of Federal Regulations at the end of 28 C.F.R. Part 55. These are the Justice Department’s minority language guidelines; they set out the Department’s interpretations of the law in detail, and explain how jurisdictions can best comply with it.
The guidelines start by saying jurisdictions should take « all reasonable steps » to enable language minority voters « to be effectively informed of and participate effectively in voting-connected activities. » The guidelines also say that « a jurisdiction is more likely to achieve compliance . . . if it has worked with the cooperation . . . and to the satisfaction of organizations representing members of the applicable language minority group. »
http://www.justice.gov/crt/about/vot/misc/faq.php#faq13
Arrêtez de perdre mon temps avec wikipedia.