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Spain to close up to 30 state-run airports Some of the airports have no scheduled flights yet are fully staffed and operational in what has come to symbolise the reckless public spending projects that have left Spain crippled with debt. Now the ministry of industry and AENA, the state-run company that controls the nation’s airports, are considering plans to reduce operating hours at three quarters of the airports to include only those when flights are due or with a skeleton staff to operate in an emergency. Among the worst performers are Badajoz airport, near the Portuguese border in western Spain, which saw its last commercial flight take-off in January. In Huesca, a town in northern Spain billed as the « gateway to the Pyrenees », local authorities have subsidised the rare passengers flying in, just 2,781 of them in the whole of 2011, spending an estimated €1,600 on each traveller through its terminal last year. The fully staffed terminal in Huesca, including numerous restaurants, are open year-round even though the commercial flights bringing skiers to the region only operate during the winter months. In all, there are 20 airports that handle fewer than 100,000 passengers a year, well below the estimated half a million they need to be profitable. |
Le drame de l’Espagne ? Ces habitants ne reçoivent pas de péréquation comme le Québécois. Si l’Espagne recevait autant de péréquation que le Québec, c’est 47 milliards de dollars qui aboutiraient dans les coffres du gouvernement tous les ans.
« Some of the airports have no scheduled flights yet are fully staffed and operational in what has come to symbolise the reckless public spending projects that have left Spain crippled with debt. »
On dirait le modèle Québécois avec ses fonctionnaires inutiles et salaire à vie.
Ca ne change rien. Substitues Spain pour Quebec et partout – pas juste des aeroports – on voit la folie des societes d’etats, des zunions, etc.
Un exemple plus pret de nous:
Voici ce qui arrive lorsque l’etat joue a l’entreprise. Incroyable! Tous les Tim Hortons font tous – sans -exception – des profits extraordinaires. Sauf un:
http://news.nationalpost.com/2012/05/30/money-losing-tim-hortons-in-st-johns-hospital-a-cautionary-tale-critics/
Que vont dire les gauchistes?
En passant, la CLASSE veut tout decrisse en allant dans la rue?
Quebekistan dans toute sa splendeur….
En Espagne, ils parlent de « balances fiscales ». Un peu comme ici, ils peuvent comparer en disant, quel est le pourcentage de ce que je donne en impôts qui est réinvesti dans ma région.
http://www.youtube.com/watch?v=URS9t3sDFuk
http://www.youtube.com/watch?v=vUm3VkVL3HY
Pour les Catalans se sentent, en Espagne, un peu comme les Albertains ici.
Ils sont souvent décriés dans la presse nationaliste espagnole comme des radins, des sans-coeurs… et ils commencent, eux aussi, à avoir du ressentiment contre ces régions qui dilapident leurs sous.
Dans l’opinion publique, l’aspect d’injustice fiscale (une région qui doit verser l’argent collecté des taxes vers d’autres plus pauvres car souvent plus indisciplinées et corrompues) pourrait devenir le principal moteur à l’idée d’une indépendance de la région.
Mais, il est vrai que l’Espagne ne touche pas, comme pays, de péréquations en tant que tel comme pays.
Reste qu’il y a des programmes européens, comme la PAC, qui peuvent favoriser certains pays aux détriments des autres et en créer qui reçoivent ou donnent plus que ce qu’elles reçoivent du Parlement européen.
Désolé Hourst mais comparé les science « molle » au science pur relève de l’hubris pour ses pratiquants.
Le défi même des scientifiques sociaux est de faire progresser la science en dépit de l’imprécision inhnérente à leur domaine d’étude.
Prétentre le contraire,c’est en plein dans le « Pretense of knowledge » (http://www.nobelprize.org/nobel_prizes/economics/laureates/1974/hayek-lecture.html).
Le commentaire précédent est en réponse au mauvais billet :
Il serai tsupposé se retrouver dans « Culture Scientifique et Réchaufisme »
Désolé,
à la lumière de tout cela, je me demande si, au Québec, les fédéralistes ne cherchent pas à nous maintenir dans un état de dépendance à la péréquation pour faciliter leur travail de convaincre les québécois de rester dans la conférération canadienne…
Sur ce, j’ajouterais que le PQ devrait laisser tomber la Social Démocratie pour favoriser le développement économique de la province question de nous sortir de la péréquation et ainsi améliorer leurs chances de réaliser leur rêve d’indépendance… si on devait verser une partie de nos impots aux autres régions du Canada, il y a fort à parier que le nationalisme Québécois serait exacerbé et qu’un référendum gagnant ne serait qu’une formalité…
Donc, l’indépendance ne passe pas par la social démocratie, mais bien par une rigueur budgétaire et un développement économique responsable… Peut-être que Legault a compris qqch que Pauline a voulu ignorer…
@martin bérubé
un québec qui serait plus à droite que le canada (sur les questions économiques, pas d’extrême droite sociale conservatrice) vaudrait la peine qu’il obtienne son indépendance. je ne suis pas contre l’indépendance, mais là, c’est économiquement impossible, il faudrait plutot que le canada nous mettent à la porte.
Je ne dis pas que je suis pour ou contre l’indépendance, je me pose simplement des questions quant aux motivations de chaque groupe politique…
Et concernant ton commentaire, certains dirons, et le PQ en fait partie, que puisque nous sommes résolument plus à gauche que le Canada nous devons nous séparer…
bref ce que je vois depuis toujours est que le clivage français anglais et les différence culturelles entre le Québécois et le Canadien fait en sorte qu’une séparation est inéluctable… pourtant, les arguments économiques font souvent que nous, en tant que peuple, hésitons à sauter la clôture… et, pour reprendre l’exemple Catalan, si nous prenions plutôt le parti de la rigueur budgétaire et de la saine gestion des finances publiques, le Québec parviendrait rapidement à l’indépendance puisque plus rien ne nous retiendrait au Canada… ce qui est logique…
mais là où je vois un problème, c’est que les libéraux et autres fédéralistes n’ont pas intérêt à nous sortir du trou puisque si ils le font ils subiront d’énormes pressions pour la séparation, donc à quelque part ils ont tout intérêt à nous maintenir dans cet état merdique… ironie du sort…
Mais Legault a peut être vu cette issue, il dit « pas de questions constitutionnelles pas de souveraineté, on travaille à retaper les finances et On verra… » il sait peut-être qu’un travail acharné à se sortir du trou pourrait éventuellement mener naturellement le Québec à l’indépendance… Qui sait…