À gauche, presque tout le monde déteste la mondialisation et même à droite, on retrouve des Mathieu Bock-Côté pour s’en scandaliser.
Tous ces gens qui n’aiment pas le capitalisme mondialisé ont une chose en commun, ils n’aiment pas les chiffres…
Alors voici quelques chiffres que je dédie à tous ces gens.
Conclusion ?
La population mondiale a augmenté de 2 milliards de personnes entre 1981 et 2008, mais le nombre de gens vivant dans la pauvreté extrême a été réduit de 650 millions de personnes.
La mondialisation, qui a été accélérée par le travail de l’OMC à partir de la création de l’OMC au début des années 90, a permis une diminution spectaculaire de l’extrême pauvreté:
- Moins de 2$/jour: -33,4%
- Moins de 1,25$/jour: -48,0%
- Moins de 1$/jour: -54,5%
Les altermondialistes sont d’une hypocrisie honteuse, doublée d’une morale plus que douteuse. Pour eux, il est plus légitime que les Chinois meurent de faim plutôt que de se faire « exploiter » pour augmenter leur niveau de vie. On dirait bien que les néolibéraux sont plus solidaires qu’on le dit et que les altermondialistes sont plus égoïstes qu’on le pense…
Source:
An update to the World Bank’s estimates of consumption poverty in the developing world
Mouais. Il y a quand même une baisse du niveau de vie en Occident : la délocalisation, les pressions à la baisse sur les salaires de nos classes moyenne, c’est aussi ça la mondialisation…
Tout d’abord il faut démêler quelques trucs. S’il y a diminution graduelle de l’extrême pauvreté, dans les pays où cela se produit, cela est globalement dû à l’industrialisation. Grossièrement, celle-ci va chercher sa main-d’oeuvre dans les couches pauvres de la société, elle génère des emplois et fait augmenter le nombre de personnes qui reçoivent un salaire. Lorsque les marchés internes sont relativement libres, l’entreprise privée peut se développer et profiter de l’effervescence et du savoir faire grandissant sans trop d’entraves. Il y a donc une progression dans les technologies, dans les salaires et dans les conditions de vie. Tout cela se fait naturellement à moins qu’une contrainte trop élevée soit appliquée sur le travail comme dans les régimes communistes, où le fruit du travail d’un employé ne lui appartient plus mais est récupéré en totalité par l’État. Ceci dit une industrialisation se produit même dans ces milieux (quoique les richesses produites soient moins grandes et semblent généralement évoluer moins vite) comme en témoigne la technologie spatiale soviétique, ou la remarquable performance des cubains dans le domaine de la médecine. Il semblerait en fait que les endroits de la planète où subsistent le plus solidement et avec le plus de constance la pauvreté et la misère soient ceux où une grande corruption existe (Haïti, plusieurs pays d’Afrique, etc.), ou ceux qui ont vécu la colonisation et qui peinent à se défaire d’une dictature autoritaire, ou encore les endroits où la culture religieuse est fondamentalement réticente à la nouveauté, aux innovations et aux technologies (le moyen-orient par exemple). La constante dans ce shéma de développement progressif est que la possibilité de structurer le travail existe et, le cas échéant, on peut généralement noter un recul de la pauvreté ainsi qu’un progrès dans les sciences, l’éducation et la santé (sans compter ceux dans les domaines plus abstraits comme l’étude philosophique, historique ou sociale, qui débute lorsque la lutte pour la survie prend fin).
Il y a évidemment beaucoup de simplifications dans cette courte description, d’ailleurs un travail universitaire n’épuiserait pas le sujet de la pauvreté dans le monde. Malgré tout on peut noter certaines constantes chez les nations prospères. Comme disait l’immense Tolstoï (de mémoire), si toutes les familles heureuses sont toutes semblables, les familles malheureuses le sont toutes à leur façon. Les « familles » nationales qui ont du succès semblent donc avoir toutes comme point en commun a) un fonctionnement politique sain et 2) une relative liberté économique intérieure, les deux étant des facteurs favorables à l’industrialisation.
Maintenant comment intervient la mondialisation dans ce pattern? La mondialisation elle-même est une idéologie radicale, désirée principalement par les sociétés multinationales extrêmement fortes et à tendance monopolistique qui ont comme objectif d’étendre leur pouvoir dans des régions où la compétition sera très faible. Ce dernier point est important. Le moins il y a de compétition, le plus les profits seront élevés (et inversement, dans une économie de libre-marché total les profits seraient nuls). Le principe de mondialisation exigera donc paradoxalement une ouverture totale des marchés et des économies, de façon à créer un déséquilibre entre ceux qui sont déjà puissants et les producteurs locaux infiniment plus faibles, qui seront engloutis assez rapidement. Il en résulte des gains à court terme pour la population locale (salaires en hausse, prix inférieurs), tandis qu’à long terme cela aura des effets néfastes : urbanisation accélérée, dépendance des citoyens, faible progression des salaires à long terme, non-imputabilité des multinationales sur la santé des travailleurs et l’écologie, déplacement des centres de pouvoir du politique vers le privée, affaiblissement de la démocratie effective, etc. D’autres pourront élaborer d’avantage. Il demeure que les populations ne s’y sont pas trompées. Le Brésil, un des plus important centre d’expérimentation des USA, est encore aujourd’hui un lieu d’importantes inégalités et de pauvreté. L’Amérique latine a régulièrement rejeté l’approche néo-libérale, lorsqu’elle ne se l’ai pas fait enfoncer dans la gorge à coups d’interventions militaires.
Le bilan du néolibéralisme à la sauce américaine n’est pas complètement rose, et si les effets de la mondialisation peuvent sembler alléchants vu d’ici, quand on ne fait que regarder les chiffres sur la pauvreté d’ensemble, une analyse des effets réels demande plus qu’un simple graphique unidimensionnel.
Bien sûr ! Mondialisation=Industrialisation=Richesse !
URSS, pays où il fallait faire la queue pour une miche de pain…
Voici ce remarquable système de santé…
Bref, les endroit qui ont refusé la mondialisation.
Parlant de travail universitaire, les résultats d’une recherche sur le miracle des sweatshop:
Les sweatshops ont mauvaise presse. Ces manufactures sont considérées par la gauche comme étant le summum de l’exploitation. Il est évident que selon des standards occidentaux, les salaires des sweatshops sont affreusement bas, mais… pour un pays en voie de développement, les sweatshops c’est de l’or en barre !
Dans les sweatshops du Nicaragua, une semaine de travail de 9,1 heures est suffisante pour obtenir l’équivalent du salaire hebdomadaire moyen. Un Nicaraguayen faisant une semaine de travail de 60 heures aura un salaire correspondant à 650% du salaire moyen !
En Chine, une semaine de 60 heures assure un revenu 2 fois plus élevé que la moyenne nationale.
Au Honduras, le salaire quotidien dans les sweatshops est de 13,10$ alors que 44% de la population vit avec moins de 2$ par jour.
Lutter contre les sweatshops c’est condamner les gens à la pauvreté. Lutter contre les sweatshops, c’est lutter contre un outil de développement qui permet d’augmenter significativement le niveau de vie des gens. Lutter contre les sweatshops, c’est lutter contre le passage vers la prospérité. L’occident n’exploite personne en achetant les produits des sweatshops. Au contraire, nous donnons aux pays en voie de développement un moyen de s’enrichir.
Rappelons qu’en une génération, Taiwan est passé des sweatshops à la fabrication d’ordinateurs !
Source:

Sweatshops and Third World Living Standards: Are the Jobs Worth the Sweat? (Journal of Labor Research)
Et voilà, tu retournes à tes conneries philosophiques au lieu de parler de chiffres.
Ce qui est faux, archi faux et j’ai des chiffres pour le prouver.
Une des craintes souvent formulée par les altermondialistes: la mondialisation ne bénéficie qu'aux corporations qui en profitent pour créer des monopoles ou des oligopoles dans le but d’exploiter les consommateurs. Bref, la rengaine marxiste habituelle.
Dans les faits, c'est exactement l'inverse qui c'est produit. La rapide vague de mondialisation qui a déferlé dans les années 90 a fragmenté l'économie en plusieurs joueurs différents, il n'y a pas eu de mouvement de concentration menant à des monopoles.
La concentration a surtout eu lieu dans les domaines en perte de vitesse (automobile, acier, pétrole); de plus cette concentration a été relativement faible. Tout ce qui touche aux hautes technologies et aux communications a subit une fragmentation spectaculaire, c'est à dire l'apparition d'un grand nombre de nouveaux joueurs.
Il faut aussi nuancer le phénomène de concentration dans l'industrie automobile. Même s'il y a maintenant moins de joueurs qu'en 1980, les consommateurs ont plus de choix. En 1992, il y avait 132 modèles de voiture sur le marché, en 2002 ce nombre est passé à 184.
À propos de l'industrie pétrolière, il est bon de se rappeler qu'en 1950 elle était 5 fois plus concentrée qu'aujourd'hui.
Conclusion, encore une fois les vieilles rengaines marxistes ont fait chou blanc.
Source:

The World’s Biggest Myth
Faux, ce qui nuit aux producteur de coton africain, ce sont les subventions américaines.
C’est aussi là où la pauvreté recule le moins 😀
Je résume donc: TU ES CASSÉ !
Bonsoir David,
Je suis bien heureux de constater que « l’extrême » pauvreté diminue… mais si on regarde le graphique, même quand la mondialisation n’était pas vraiment effective 1981-84-87 … une tendance à la baisse des seuils mentionnés s’opérait tout de même.
Biensûr, la croissance de la population n’aide en rien la diminution du taux de pauvreté, mais à quel point peut-on y attribué un rôle significatif ?
Baisse moyenne de 18%, aucunement comparable à ce qui s’est passé après 1990.
Est-ce que ces chiffres prennent en compte l’inflation.. Parce 1$ avant comparé à 1$ mainteant, c’est pas du tout pareille !
Et une augmentation générale cause de l’inflation !
Oui, c’est en dollars constants de 2005 (ajustés au pouvoir d’achat).
Les banques mondiales engranges des sommes faramineuse en INTÉRËT sur la dette globale (39 billiards) qui augmente de 300 000$ par seconde. Ils sont organisés, structurés et préparés pour une guerre contre toute forme d’austérité. Ils commanditent L’UCL et les syndicats mondiaux. Leurs soldats sont dans nos rues et fécondent leurs idées dans la tête de vos enfants via une structure mise en place depuis longtemps. La gauche est a la solde des créanciers.
« On dirait bien que les néolibéraux sont plus solidaires qu’on le dit et que les altermondialistes sont plus égoïstes qu’on le pense…«
c’est simple: bon nombre d’entre eux sont aussi nationaliste, donc ne sont solidaires qu’avec leurs semblable (et c’est la droite les racistes!?). les altermondialistes veulent revenir au 19e siècle. avec l’hégémonie occidentale la plus totale, mais aux dépends des autres nations.
wahou hourrah à moins de 2 dollar jour(dollar constant ajusté au pouvoir d’achat) !!!! on arrive à un peu moins de 50% du globe !!!!!
ce qu’il y a de bien avec ce genre de pauvre c’est qu’une augmentation de 10 cents/jour (dollar constat ajusté au pouvoir d’achat )suffit pour le faire sortir de la promiscuité totale.
Pourquoi nos pauvres occidentaux ne veulent ils pas appliquer ce baréme , on en serait débarassé , et la prospérité serait pour tous.
C’est cool aussi « dollar constant ajusté au pouvoir d’achat » donc calculé par des statiticiens qui calcul l’inflation à 2 % quand les besoins primaires ont une inflation 5% ,les médicament de 20% le logement de 30% , parce qu’un micro onde, un Ipad à baisser de 60 %.
Outre cas :(si les bien primaire bouffe reste bas) mais que le logement augmente de 1000% comme certains endroit comme en chine , le mal logement apparait tout en ayant des salariés avec une augmentation en dollar constant et une promiscuité généralisé.
j’aime les chiffres , j’aime la statistique le probléme c’est le calcul de l’indice et la méthodologie. Sans doute trop scientifique mais ça relativise pas mal les tableaux.
Par exemple : le chomage est bas en allemagne car 7% de leur population active n’y est plus comptabilisé pour cause d’1 euro job sous peine de perdre tout aide)

Le chomage a baissé en 2008 en France par ce que les critéres avaient été durci …1 millions de chomeurs en moins!!!!
Si on ne peut régler un probléme , il suffit de jouer sur les indices nous permettant de le minorer.
Ainsi il existe plusieur définition de la pauvreté en France
(50% ou 60% du salaire médian) est bien on passe de 7,4 % à 13,4% . Autant vous dire qu’en France la part de pauvre est de 7,4% …
Bien à toi et tes chiffres
En bon socialiste je présume que tu préférais l’époque où c’était 70%, tu dois être très triste de voir que c’est 43% aujourd’hui car les socialiste ont besoin des pauvres pour faire progresser leur idéologie…
Merci de montrer que tu ignores ce qu’est et comment se calcul l’inflation et la parité du pouvoir d’achat (2 notions différentes).
Les pays où le néolibéralisme frappe le plus durement seront sûrement heureux d’apprendre que quelque part en occident un individu jovialiste défend cette doctrine à coups de graphiques et de smileys. Les populations pauvres et peu éduquées n’ont jamais rien compris aux graphiques, c’est bien connu. Il suffirait peut-être d’aller leur montrer tes tableaux…
Si les sud américains se sont lancés dans des régimes communistes pas très jojo et souvent opprimants, c’est en réaction à l’impérialisme et à l’ingérence américaine. Ça tu ne le trouveras pas dans tes statistiques ou dans des colonnes de chiffre. Ça demande un peu plus d’effort de compréhension. Je me répète, mais la fluidité sociale de la mondialisation est telle que celle-ci a dû être imposée à coups de matraques et de putshs militaires. Si le 20e siècle nous a appris quelque chose au vu de ce qui s’est produit sur l’hémisphère sud de notre continent, c’est que les populations souffrent à la fois d’une fermeture totale dans un repliement communiste et à la fois dans un libre-marché total (biaisé en partant) imposé par la force. Laissons la démocratie décider si elle veut ou non de cette libéralisation totale et radicale qu’est la mondialisation prêchée par l’industrie américaine.
Les capitalistes demandent souvent dans quelle société il vaut mieux vivre, une société entièrement communiste, ou une société entièrement capitaliste. Une de leurs tactiques préférée. Ils sont chanceux de pouvoir compter sur des individus simplets comme l’antagoniste pour maintenir en vie l’illusion d’une telle pauvreté de choix.
C’est une vision très réductrice.
Jean-François Revel avait bien compris la mentalité des sud américains:
« En Amérique latine l’antiaméricanisme est organiquement lié à l’histoire de ce sous-continent. Il sert de fantasme compensatoire à l’échec relatif de l’Amérique du Sud par rapport à l’Amérique du Nord. Comme l’écrit le grand penseur vénézuélien Carlos Rangel: «C’est, pour les Latino-Américains un scandale insupportable qu’une poignée d’Anglo-Saxons, arrivés dans l’hémisphère beaucoup plus tard que les Espagnols et dans un climat si rude qu’il s’en fallut de peu qu’aucun ne survécût aux premiers hivers, soient devenus la première puissance du monde. Il faudrait une impensable autoanalyse collective pour que les Latino-Américains puissent regarder en face les causes de ce contraste. C’est pourquoi, tout en sachant que c’est faux, chaque dirigeant politique, chaque intellectuel latino-américain est obligé de dire que tous nos maux trouvent leur explication dans l’impérialisme nord-américain. »
Parce le socialisme a n’importe quel niveau entraine la descente vers la dépendance, et Hourst qui est incapable de voir la conclusion a laquelle mène les graphiques et n’apporte rien de tangible autre que son ego, et son jovilisme socialiste. Un graphique simple a démoli chacunes des idioties que tu as avancer, bravo.
Je trouve toujours drôle de voir que les immigrants des pays socialistes quittent leur pays parce qu’il est trop socialiste et qu’ils considèrent les pays libres comme les USA, le Canada ou Hong Kong comme le meilleur système qui existe (système plus libéral).
Les français qui viennent au Canada
Les chinois continentaux qui vont à Hong Kong
Les russes qui migrent au Canada et en Europe de l’Ouest
Les cubains qui immigrent aux USA
Les demandes d’immigrations des grecs qui augmentent parce que c’est devenu l’enfer dans leur pays.
Les français qui cherchent à s’établir à Londres.
Les sud américains qui migrent vers le nord
Les indiens, pakistanais, saoudiens, libanais, iraniens etc. qui vont travailler à Dubai.
Et combien de fois j’ai entendu des gens provenant de pays pauvres dire. « We don’t trust our government, we don’t trust our banks, it’s all about corruption, they are stealing the people, here you are lucky that the government defend your rights »
Jamais il ne me viendrait à l’idée d’accuser l’impérialisme américain d’être la cause originelle de la pauvreté en Amérique latine. Non, il s’est limité à faire perdurer cette pauvreté, l’instrumentaliser, créer de l’instabilité politique, réduire la démocratie, bref rien qui ne puisse être considéré comme très grave ou qui ne puisse être raisonnablement justifié à l’aide d’une légère dose de sophistique impliquant le communisme, les régimes dictatoriaux ou encore le triangle des bermudes.
Personne ne dirait que les USA sont sans faille dans leur relation avec l’amérique Latine mais aujourd’hui en 2012, justement à l’ère de la mondialisation, l’amérique Latine n’a qu’à offrir un plus value à la planète et leur prospérité est inévitable.
Le passé est un bouc émissaire populaire, mais il n’est jamais qu’un bouc émissaire…
« Ne jamais rien lire de ce qu’écrivent ces cuistres arrogants et brouillons qui ont le plus exécrable des travers, celui du paradoxe logique : ils emploient les formes logiques justement là où ils n’ont rien que d’effrontément improvisé et bâti en l’air. (« Donc » voudra dire chez eux : « Âne de lecteur que tu es, ce donc n’est pas là pour toi, mais bien pour moi » – à quoi il conviendra de répondre : « Âne d’écrivain que tu es, pour quoi faire écris-tu, alors ? »)
Nietzsche, Humain, trop humain
Occam, intéressant.
Et s’il était surtout un bassin d’expérimentation nous indiquant quoi faire et ne pas faire, que retenir et que jeter des expériences humaines?
Aujourd’hui, en 2012, il s’agit aussi de ne pas oublier le passé.
« Jamais il ne me viendrait à l’idée d’accuser l’impérialisme américain d’être la cause originelle de la pauvreté en Amérique latine. »
L’impérialisme n’est pas du capitalisme
Tu ne comprend donc pas que les indices statistiques ne signifient pas grand chose en soi.
Qu’il faut relativiser par rapport au critère . Les connais tu d’ailleurs ?
Les critères des indices sont soumis à examen politique? Oui ou non? Comment calcule t on l’inflation? Le sais tu seulement ? Je t’explique le comment , tu me dis que je n’y comprend rien.
C’est plutot drole…
Quand je veux rire de la gauche, je caricature leur argument avec des trucs simuilaire à ce que tu viens d’écrire.
Merci de confirmer que la caricature dépasse la réalité !