Au Québec, environ 50% des étudiants qui fréquentent une institution d’enseignement post-secondaire francophone sont en boycottage. Du côté anglophone, cette proportion est inférieure à 15%.
Ceci expliquant cela, je vous invite à prendre connaissance des chiffres suivants sur les taux de diplomation au Québec:
Il faut souligner que de nombreux francophones fréquentent des établissements anglophones, tout comme des anglophones fréquentent des établissements francophones. Néanmoins, quand on compare les chiffres sur le taux de diplomation à ceux des boycottages, on peut voir qu’une tendance se dégage. La culture et le rapport à l’éducation ne sont pas les mêmes entre les francophones, les anglophones et les allophones.
P.-S. Le revenu n’est pas un facteur qui biaise les taux de diplomation en faveur des anglophones.
Source:
La scolarité des francophones et des anglophones au Québec : des écarts subsistent
Grève étudiante : le dégoût
: http://www.cyberpresse.ca/debats/le-cercle-la-presse/actualites/201204/26/48-175-greve-etudiante-le-degout.php
Pourquoi tu n’ouvres pas ton propre blogue ou un compte twitter pour partager tes lien inintéressant ? T’est obligé de venir spammer ici ?
Se pourrait-il qu’au delà de l’aspect culturel, pour qu’un immigrant se trouve un emploi au Québec il doit acquérir plus de compétence, du moins s’élever dans la hiérarchie social, pour éviter de faire face à du racisme à l’embauche?
Ce qui pourrait être le principale moteur à la motivation d’acquérir plus de diplôme?
respectable
28 avril 2012
16h04
La vérité qui sort enfin et rendu publique:
>>>Une stratégie salvatrice serait d’imposer à chaque membre de la CLASSE de réussir au moins un cours universitaire sérieux. Par cour sérieux, on entend, évidemment un cours universitaire en mathématiques, en physique ou en génie; un cours, en somme, dans des domaines où étudie l’élite véritable. Régle générale, l’élite dite “Tout le Monde en Parle”, c’est-à-dire l’élite syndicale ou médiatique, est bien inférieure en qualité et en sérieux des études par rapport à l’élite véritable. C’est l’élite du “jase, jase” alors que l’élite véritable est l’élite du “accomplis, accomplis”.
Le journaliste Yves Boisvert a enfin avoué ce que tant de journalistes nous ont occulté, mais dont nous nous doutions tous:
“Il n’y a pas que les sondages qui confortent Jean Charest. Mine de rien, les deux tiers des étudiants et élèves des universités et cégeps du Québec sont en train de terminer leur trimestre sans drame.
À peu près tous les étudiants en sciences, en économie, en commerce, en maths, en droit, en génie, en médecine et en pharmacie sont hors du mouvement.
Les associations qui ont voté pour la grève sont essentiellement celles de départements de sciences sociales et humaines et d’arts.” Yves Boisvert”
par h0n0rable(ça fait 2 mois honorable dit ça)
respectable, je vais te confier un secret. Les étudiants qui ne font pas partie du mouvement de grève sont ceux qui vont faire la piasse et qui savent qu’ils ont plus à gagner à ne pas embrouiller leur session.
Ceci dit tu remarqueras que les facultés que tu mentionnes comme « pas sérieuses » sont celles qui se penchent sur les aspects de l’existence les moins superficiels. Sciences sociales, sciences humaine, arts… Mais ça, honorable ne te l’a peut-être pas dit, alors je vois mal comment tu aurais pu y penser.
Tout le monde sait que guérir le cancer c’est très superficiel…
Tout à fait, quoique pas dans un sens péjoratif.