Une citation de George Orwell par un droitiste sectaire, faut avouer que ce ne n’est pas commun. George Orwell soutenait la cause socialiste, était révolté face à l’injustice sociale et la misère du prolétariat britannique. Il était également contre l’impérialisme. Suite à son expérience de la guerre d’Espagne, il écrira en 1946 : « tout ce [qu’il] a écrit de sérieux […] a été écrit, directement ou indirectement, et jusque dans la moindre ligne, contre le totalitarisme et pour le socialisme démocratique ». Dans cette perspective, il se décide à adhérer à l’ILP (Labour party) au mois de juin 1938, estimant que « le seul régime qui, à long terme, peut accorder la liberté de parole est un régime socialiste ». En novembre 1943, Orwell démissionne de son poste à la BBC. Il devient alors directeur des pages littéraires de l’hebdomadaire de la gauche travailliste The Tribune et entame la rédaction de La Ferme des animaux. (source : wikipedia)
Une citation de George Orwell par un droitiste sectaire, faut avouer que ce ne n’est pas commun. George Orwell soutenait la cause socialiste
Qu’elle incroyable erreur…
Après la guerre civile en Espagne Orwell a réalisé que le socialisme était une menace:
George Orwell a toujours été en avance sur son époque, il avait réalisé dans les années 40 que la perte des libertés économiques signifient aussi la perte des libertés intellectuelles:
« Il est évident que l’âge du libre capitalisme touche à sa fin et qu’un pays après l’autre est en train d’adopter une économie centralisée que l’on peut appeler socialisme ou capitalisme d’État, comme on veut. Dans ce système, la liberté économique de l’individu et dans une large mesure sa liberté tout court – liberté d’agir, de choisir son travail, de circuler – disparaissent. Ce n’est que tout récemment que l’on a commencé à entrevoir les implications de ce phénomène. Précédemment on n’avait jamais imaginé que la disparition de la liberté économique pourrait affecter la liberté intellectuelle. On pensait d’ordinaire que le socialisme était une sorte de libéralisme augmenté d’une morale. L’État allait prendre votre vie économique en charge et vous libérerait de la crainte de la pauvreté, du chômage, etc, mais il n’aurait nul besoin de s’immiscer dans votre vie intellectuelle privée. Maintenant la preuve a été faite que ces vues étaient fausses. »
D’ailleurs son roman « La Ferme des animaux » est une dénonciation du socialisme.
George Orwell était à mille lieues de la pensée libertarienne et droitiste. Et quand il parle des travers du socialisme, il faut remettre ça dans le contexte de l’époque. Le bloc communiste a fait plus de mal aux idées socialistes que les idées même de justice sociale qui ont toujours eu écho auprès de lui et de nombreux écrivains.
Non, Animal Farm N’EST PAS UNE critique du socialisme, mais bien du COMMUNISME, si tu n’es pas capable de faire la différence entre ces deux idéologies, comment peux-tu autant critiquer la gauche ?
Je fais faire une formule que tu aimes bien utiliser il semble:
DROITE=GÉNÉRALISATION ABUSIVE
Si on considère le contenu de ce vidéo comme étant de la « droite sectaire », c’est qu’on éprouve un puissant mépris pour la liberté (libârté comme disent les gauchistes ignorants).
Pour ce qui est du discours sur George Orwell, j’ai rarement vu quelqu’un se faire démolir un argument aussi facilement. Tu places même le lien vert un article de Wiki qui explique justement en quoi tu te plantes complètement. J’ai bien ri. Merci Ian,
George Orwell était à mille lieues de la pensée libertarienne et droitiste. Et quand il parle des travers du socialisme, il faut remettre ça dans le contexte de l’époque. Le bloc communiste a fait plus de mal aux idées socialistes que les idées même de justice sociale qui ont toujours eu écho auprès de lui et de nombreux écrivains.
Va relire ça:
« Il est évident que l’âge du libre capitalisme touche à sa fin et qu’un pays après l’autre est en train d’adopter une économie centralisée que l’on peut appeler socialisme ou capitalisme d’État, comme on veut. Dans ce système, la liberté économique de l’individu et dans une large mesure sa liberté tout court – liberté d’agir, de choisir son travail, de circuler – disparaissent. Ce n’est que tout récemment que l’on a commencé à entrevoir les implications de ce phénomène. Précédemment on n’avait jamais imaginé que la disparition de la liberté économique pourrait affecter la liberté intellectuelle. On pensait d’ordinaire que le socialisme était une sorte de libéralisme augmenté d’une morale. L’État allait prendre votre vie économique en charge et vous libérerait de la crainte de la pauvreté, du chômage, etc, mais il n’aurait nul besoin de s’immiscer dans votre vie intellectuelle privée. Maintenant la preuve a été faite que ces vues étaient fausses. »
Avant de vous ridiculiser, auriez-vous l’obligeance de lire Animal Farm / 1984.
En fait je penses que Ian et Victor n’ont jamais rien lu, seulement fait une recherche de 30 sec sur google en écrivant « George Orwell socialisme » et pris le premier petit bout de texte hors contexte qui semblait contredire les faits.
La ferme des animaux montre les dérives du socialisme. Car le roman débute avec un système socialiste
Oui. le roman débute avec un systè,e socialiste, mais ce n’est pas d’ailleurs dans ce cours laps de temps que le RÉGIME si on peut dire est autoritaire et malsain. C’est à partir du moment que ce socialisme, tout à fait correct se transforme au fur et à mesure en régime communiste ( à partir du moment où Napoleon fait chasser Snowball— car oui, Bobjack J’AI LU ce livre ) que les actes de violence commence.
Donc, David, je répète que ANIMAL FARM n’est pas une critique du socialisme, mais bien du Communisme.
Oui. le roman débute avec un systè,e socialiste, mais ce n’est pas d’ailleurs dans ce cours laps de temps que le RÉGIME si on peut dire est autoritaire et malsain.
Le socialisme mène toujours à ce qu’on voir dans « La ferme des animaux », ce n’est qu’une question de temps. Suffit de voir ce qui se passe au Québec en ce moment.
Si on suit votre raisonnement, George Orwell était quasiment un droitiste et un libertarien. N’importe quoi !
En même temps, cela ne me surprend pas. Il faut bien qu’ils trouvent quelques personnalités ou du moins qu’ils détournent certains propos de personnalités qui adhèrent à leurs idéaux. Et chez les écrivains, tout particulièrement, ils sont peu nombreux.
ça me rappelle le gauche = violence de David : « La ministre a tenté de faire dévier le débat encore davantage en exigeant de la CLASSE un acte de foi contre la violence. Sous-entendu peu subtil: la CLASSE cautionne la violence.»
@WeEZeR c’est assez typique de Ian Swanson qui clame avoir lu Hayek et al. Mais qui honnetement en lisant les conneries qu’il écrit, il est clai qu’au niveau de compréhension de texte il est fail et pas a peut pret.
Oui j’avais cru remarquer pour monsieur Swanson. Ça fait quelques années que je fréquente ce blog et je connais pas mal tous les weirdos qui s’y pointe
Pour se qui est de ses « lectures », je doute fortement qu’il ait lu les livres qu’il dit avoir lu. Quand on lit 1984, on comprend très bien que c’est une critique du socialisme. Ça m’a pèté dans la face et pourtant je l’ai lu quand j’avais 15 ans….
Je vous rappelle que la référence culturelle que vous vous vantez tous d’avoir lu et compris, est une lecture obligatoire de secondaire cinq. Un conte n’est pas une critique sérieuse, malgré ses qualités évidentes et sa lucidité. Ceci dit Orwell n’était pas un deux de pique. Comme tous les grands esprits qui ont une vue d’ensemble qui transcende les horizons politiques, il y avait quelque chose de subtil et de pointu dans ses oeuvres allégoriques. Orwell n’était pas un vulgaire gars de droite, assis dans son pick-up, chiâlant contre les B.S. et le transport en commun. D’ailleurs ses critiques étaient très ciblées : Staline et le système soviétique. À certains endroits on le décrit même comme un « democratic socialist » (wikipédia, pas moi).
George Orwell a passé sa vie à défendre la sociale-démocratie, il n’a jamais été un libertarien et il n’a jamais été de droite. La ferme des animaux et 1984 sont des critiques du communisme totalitaire de Staline pas du socialisme. J’ose croire que vous avez les capacités intellectuelles pour voir la grande marge entre les deux.
Et tant qu’à citer du Orwell : « Those who “abjure” violence can only do so because others are committing violence on their behalf. » Notes on Nationalism (1945)
La ferme des animaux et 1984 sont des critiques du communisme totalitaire de Staline pas du socialisme. J’ose croire que vous avez les capacités intellectuelles pour voir la grande marge entre les deux.
Le communisme est la suite logique du socialisme.
In Marxist theory, socialism, lower-stage communism or the socialist mode of production, refers to a specific historical phase of economic development and its corresponding set of social relations that eventually supersede capitalism in the schema of historical materialism.
« Le communisme est la suite logique du socialisme.
In Marxist theory, (…) »
Voilà… dans la théorie Marxiste. Mais ce n’est pas tout le monde qui envisage le socialisme dans la perspective d’un futur communiste. En fait bien peu de gens. Dans la théorie Marxiste le socialisme est un stade préliminaire du communisme. La bonne nouvelle, c’est qu’on ne vit pas dans la « théorie Marxiste ».
Wow… On utilise ici Orwell pour véhiculer des idées de droite ??? Orwell était un socialiste et NON le communisme n’est pas la suite logique 😉 1984 est clairement une critique du Stalinisme et il faut être arriéré pour ne pas le comprendre (big brother rappelle Staline, la falsification des données comme le faisait Staline et aussi Goldstein qui rappelle étrangement Trotski, l’ennemi du peuple selon Staline). Orwell a toujours été un socialiste convaincu et il faut être vraiment déconnecté pour le citer sur un blog aussi anti-gauchiste. PS: Je suis contre Staline et Hitler comme n’importe qui et me considère comme un socialiste.
Voilà… dans la théorie Marxiste. Mais ce n’est pas tout le monde qui envisage le socialisme dans la perspective d’un futur communiste.
Tout les régime socialisme, sans exception, finissent par devenir des dictature communisme, c’est la nature même de la bête.
Le socialisme finit toujours par manquer d’argent, et graduellement ce manque de moyen est compensé par une tyrannie toujorus plus grande de l’état sur les individus.
Ce qui change c’est la vitesse de la progression, mais pas la destination. Supporter le socialisme c’est, souvent sans le vouloir (idiot utile) supporter les goulags.
Hayek, je te le laisse. Par contre, j’ai lu le bouquin d’Éric Duhaime, « l’État contre les jeunes », c’est un tissu de banalités. Je n’ai rien appris de nouveau et surtout, ce n’est pas un livre d’économie. Le gars se prononce clairement pour un conflit de générations. C’est à se demander s’il n’était pas dans les manifs étudiantes tellement il s’en prend aux baby-boomers 😉
Le gars se prononce clairement pour un conflit de générations. C’est à se demander s’il n’était pas dans les manifs étudiantes tellement il s’en prend aux baby-boomers 😉
C’est drôle car dans les manif étudiantes ont retrouve des étudiants et des boomers. Très peu de « X ».
Des étudiants qui deviennent des néo-boomers.
Une autre génération qui veut tout avoir sans effort.
« Tout les régime socialisme, sans exception, finissent par devenir des dictature communisme, c’est la nature même de la bête.
(…)
Supporter le socialisme c’est, souvent sans le vouloir (idiot utile) supporter les goulags. »
Pffff. Délire authentique.
Je vois que tu t’emportes. Reviens sur terre, on va écouter tes arguments même si tu ne t’opposes pas à des brutes sanguinaires ou à des suppots de goulags.
Je vois que tu t’emportes. Reviens sur terre, on va écouter tes arguments même si tu ne t’opposes pas à des brutes sanguinaires ou à des suppots de goulags.
Va lire la citation de Tocqueville que j’ai publié aujourd’hui.
Une citation de George Orwell par un droitiste sectaire, faut avouer que ce ne n’est pas commun. George Orwell soutenait la cause socialiste, était révolté face à l’injustice sociale et la misère du prolétariat britannique. Il était également contre l’impérialisme. Suite à son expérience de la guerre d’Espagne, il écrira en 1946 : « tout ce [qu’il] a écrit de sérieux […] a été écrit, directement ou indirectement, et jusque dans la moindre ligne, contre le totalitarisme et pour le socialisme démocratique ». Dans cette perspective, il se décide à adhérer à l’ILP (Labour party) au mois de juin 1938, estimant que « le seul régime qui, à long terme, peut accorder la liberté de parole est un régime socialiste ». En novembre 1943, Orwell démissionne de son poste à la BBC. Il devient alors directeur des pages littéraires de l’hebdomadaire de la gauche travailliste The Tribune et entame la rédaction de La Ferme des animaux. (source : wikipedia)
Seriez-vous prêt dans un Bastiat2012 version QC ?
Un peu idéaliste.
Qu’elle incroyable erreur…
Après la guerre civile en Espagne Orwell a réalisé que le socialisme était une menace:
George Orwell a toujours été en avance sur son époque, il avait réalisé dans les années 40 que la perte des libertés économiques signifient aussi la perte des libertés intellectuelles:
« Il est évident que l’âge du libre capitalisme touche à sa fin et qu’un pays après l’autre est en train d’adopter une économie centralisée que l’on peut appeler socialisme ou capitalisme d’État, comme on veut. Dans ce système, la liberté économique de l’individu et dans une large mesure sa liberté tout court – liberté d’agir, de choisir son travail, de circuler – disparaissent. Ce n’est que tout récemment que l’on a commencé à entrevoir les implications de ce phénomène. Précédemment on n’avait jamais imaginé que la disparition de la liberté économique pourrait affecter la liberté intellectuelle. On pensait d’ordinaire que le socialisme était une sorte de libéralisme augmenté d’une morale. L’État allait prendre votre vie économique en charge et vous libérerait de la crainte de la pauvreté, du chômage, etc, mais il n’aurait nul besoin de s’immiscer dans votre vie intellectuelle privée. Maintenant la preuve a été faite que ces vues étaient fausses. »
D’ailleurs son roman « La Ferme des animaux » est une dénonciation du socialisme.
Ian vient de manquer une autre occasion de ne pas se ridiculiser.
George Orwell était à mille lieues de la pensée libertarienne et droitiste. Et quand il parle des travers du socialisme, il faut remettre ça dans le contexte de l’époque. Le bloc communiste a fait plus de mal aux idées socialistes que les idées même de justice sociale qui ont toujours eu écho auprès de lui et de nombreux écrivains.
Non, Animal Farm N’EST PAS UNE critique du socialisme, mais bien du COMMUNISME, si tu n’es pas capable de faire la différence entre ces deux idéologies, comment peux-tu autant critiquer la gauche ?
Je fais faire une formule que tu aimes bien utiliser il semble:
DROITE=GÉNÉRALISATION ABUSIVE
Si on considère le contenu de ce vidéo comme étant de la « droite sectaire », c’est qu’on éprouve un puissant mépris pour la liberté (libârté comme disent les gauchistes ignorants).
Pour ce qui est du discours sur George Orwell, j’ai rarement vu quelqu’un se faire démolir un argument aussi facilement. Tu places même le lien vert un article de Wiki qui explique justement en quoi tu te plantes complètement. J’ai bien ri. Merci Ian,
Va relire ça:
« Il est évident que l’âge du libre capitalisme touche à sa fin et qu’un pays après l’autre est en train d’adopter une économie centralisée que l’on peut appeler socialisme ou capitalisme d’État, comme on veut. Dans ce système, la liberté économique de l’individu et dans une large mesure sa liberté tout court – liberté d’agir, de choisir son travail, de circuler – disparaissent. Ce n’est que tout récemment que l’on a commencé à entrevoir les implications de ce phénomène. Précédemment on n’avait jamais imaginé que la disparition de la liberté économique pourrait affecter la liberté intellectuelle. On pensait d’ordinaire que le socialisme était une sorte de libéralisme augmenté d’une morale. L’État allait prendre votre vie économique en charge et vous libérerait de la crainte de la pauvreté, du chômage, etc, mais il n’aurait nul besoin de s’immiscer dans votre vie intellectuelle privée. Maintenant la preuve a été faite que ces vues étaient fausses. »
La ferme des animaux montre les dérives du socialisme. Car le roman débute avec un système socialiste.
Avant de vous ridiculiser, auriez-vous l’obligeance de lire Animal Farm / 1984.
En fait je penses que Ian et Victor n’ont jamais rien lu, seulement fait une recherche de 30 sec sur google en écrivant « George Orwell socialisme » et pris le premier petit bout de texte hors contexte qui semblait contredire les faits.
Oui. le roman débute avec un systè,e socialiste, mais ce n’est pas d’ailleurs dans ce cours laps de temps que le RÉGIME si on peut dire est autoritaire et malsain. C’est à partir du moment que ce socialisme, tout à fait correct se transforme au fur et à mesure en régime communiste ( à partir du moment où Napoleon fait chasser Snowball— car oui, Bobjack J’AI LU ce livre ) que les actes de violence commence.
Donc, David, je répète que ANIMAL FARM n’est pas une critique du socialisme, mais bien du Communisme.
Le socialisme mène toujours à ce qu’on voir dans « La ferme des animaux », ce n’est qu’une question de temps. Suffit de voir ce qui se passe au Québec en ce moment.
Avec Gabirel « Napoleon » Nadeau-Dubois.
@ Ian et Victor
Vous avez lu 1984! Alors vous devez vous souvenir du nom du parti: INGSOC
INGSOC est du novlangue, ING signifie anglais, mais que signifie SOC? Nenni, ce n’est SOC comme dans communisme, mais SOC comme dans…
Je vous mets au défi de répondre.
Si on suit votre raisonnement, George Orwell était quasiment un droitiste et un libertarien. N’importe quoi !
En même temps, cela ne me surprend pas. Il faut bien qu’ils trouvent quelques personnalités ou du moins qu’ils détournent certains propos de personnalités qui adhèrent à leurs idéaux. Et chez les écrivains, tout particulièrement, ils sont peu nombreux.
Un bon exemple de sophisme libertarien dénoncé par Rima Elkouri dans la Presse dans son superbe article intitulé « Je cède moi non plus » :
http://www.cyberpresse.ca/debats/chroniques/rima-elkouri/201204/24/01-4518300-je-cede-moi-non-plus.php
ça me rappelle le gauche = violence de David : « La ministre a tenté de faire dévier le débat encore davantage en exigeant de la CLASSE un acte de foi contre la violence. Sous-entendu peu subtil: la CLASSE cautionne la violence.»
@WeEZeR c’est assez typique de Ian Swanson qui clame avoir lu Hayek et al. Mais qui honnetement en lisant les conneries qu’il écrit, il est clai qu’au niveau de compréhension de texte il est fail et pas a peut pret.
Ian:
La CLASSE ne cautionne pas la violence, la CLASSE incarne la violence.
@qqchose.de.pourri
Oui j’avais cru remarquer pour monsieur Swanson. Ça fait quelques années que je fréquente ce blog et je connais pas mal tous les weirdos qui s’y pointe
Pour se qui est de ses « lectures », je doute fortement qu’il ait lu les livres qu’il dit avoir lu. Quand on lit 1984, on comprend très bien que c’est une critique du socialisme. Ça m’a pèté dans la face et pourtant je l’ai lu quand j’avais 15 ans….
Et moi qui croyait que les animaux de la ferme était une critique ciblée de Je n’irai pas ailleurs de France d’Amour.
J’étais dans le champs pas à peu près.
*la ferme des animaux
Je vous rappelle que la référence culturelle que vous vous vantez tous d’avoir lu et compris, est une lecture obligatoire de secondaire cinq. Un conte n’est pas une critique sérieuse, malgré ses qualités évidentes et sa lucidité. Ceci dit Orwell n’était pas un deux de pique. Comme tous les grands esprits qui ont une vue d’ensemble qui transcende les horizons politiques, il y avait quelque chose de subtil et de pointu dans ses oeuvres allégoriques. Orwell n’était pas un vulgaire gars de droite, assis dans son pick-up, chiâlant contre les B.S. et le transport en commun. D’ailleurs ses critiques étaient très ciblées : Staline et le système soviétique. À certains endroits on le décrit même comme un « democratic socialist » (wikipédia, pas moi).
http://en.wikipedia.org/wiki/Animal_Farm
George Orwell a passé sa vie à défendre la sociale-démocratie, il n’a jamais été un libertarien et il n’a jamais été de droite. La ferme des animaux et 1984 sont des critiques du communisme totalitaire de Staline pas du socialisme. J’ose croire que vous avez les capacités intellectuelles pour voir la grande marge entre les deux.
Et tant qu’à citer du Orwell : « Those who “abjure” violence can only do so because others are committing violence on their behalf. » Notes on Nationalism (1945)
T’es sûr ? C’est pas spécifier sur la page wikipedia…
Le communisme est la suite logique du socialisme.
In Marxist theory, socialism, lower-stage communism or the socialist mode of production, refers to a specific historical phase of economic development and its corresponding set of social relations that eventually supersede capitalism in the schema of historical materialism.
« Le communisme est la suite logique du socialisme.
In Marxist theory, (…) »
Voilà… dans la théorie Marxiste. Mais ce n’est pas tout le monde qui envisage le socialisme dans la perspective d’un futur communiste. En fait bien peu de gens. Dans la théorie Marxiste le socialisme est un stade préliminaire du communisme. La bonne nouvelle, c’est qu’on ne vit pas dans la « théorie Marxiste ».
Wow… On utilise ici Orwell pour véhiculer des idées de droite ??? Orwell était un socialiste et NON le communisme n’est pas la suite logique 😉 1984 est clairement une critique du Stalinisme et il faut être arriéré pour ne pas le comprendre (big brother rappelle Staline, la falsification des données comme le faisait Staline et aussi Goldstein qui rappelle étrangement Trotski, l’ennemi du peuple selon Staline). Orwell a toujours été un socialiste convaincu et il faut être vraiment déconnecté pour le citer sur un blog aussi anti-gauchiste. PS: Je suis contre Staline et Hitler comme n’importe qui et me considère comme un socialiste.
Tout les régime socialisme, sans exception, finissent par devenir des dictature communisme, c’est la nature même de la bête.
Le socialisme finit toujours par manquer d’argent, et graduellement ce manque de moyen est compensé par une tyrannie toujorus plus grande de l’état sur les individus.
Ce qui change c’est la vitesse de la progression, mais pas la destination. Supporter le socialisme c’est, souvent sans le vouloir (idiot utile) supporter les goulags.
Tu as lu 1984 ?
Dans 1984 il y a un mot de novlangue pour décrire le régime politique en place: Angsoc.
Angsoc est la contraction de quels mot ?
English Socialism
English pour le pays, socialisme pour… je te laisse deviner.
@ qqchose.de.pourri
Hayek, je te le laisse. Par contre, j’ai lu le bouquin d’Éric Duhaime, « l’État contre les jeunes », c’est un tissu de banalités. Je n’ai rien appris de nouveau et surtout, ce n’est pas un livre d’économie. Le gars se prononce clairement pour un conflit de générations. C’est à se demander s’il n’était pas dans les manifs étudiantes tellement il s’en prend aux baby-boomers 😉
C’est drôle car dans les manif étudiantes ont retrouve des étudiants et des boomers. Très peu de « X ».
Des étudiants qui deviennent des néo-boomers.
Une autre génération qui veut tout avoir sans effort.
« Tout les régime socialisme, sans exception, finissent par devenir des dictature communisme, c’est la nature même de la bête.
(…)
Supporter le socialisme c’est, souvent sans le vouloir (idiot utile) supporter les goulags. »
Pffff. Délire authentique.
Je vois que tu t’emportes. Reviens sur terre, on va écouter tes arguments même si tu ne t’opposes pas à des brutes sanguinaires ou à des suppots de goulags.
David j’ai lu 1984 il y a de cela 2 semaines. J’imagine que la République populaire démocratique de Corée est un pays démocratique
George Orwell
Va lire la citation de Tocqueville que j’ai publié aujourd’hui.
Je suppose que Tocqueville délirait aussi…