« Les keynésiens sont fous (et surtout dangereux) bit.ly/AaPTA9 »
Oui ils sont fous.La récession est terminé. On doit équilibrer le budget et commencer à réduire la dette avant la prochaine récession. La faible croissance économique qu`on connait n`est pas une raison pour ne pas équilibrer le budget et commencer à réduire la dette. Faut pas attendre comme les gauchistes voudraient qu`on le fasse et après être pris à la gorge et aller se mettre à genou devant les banquiers. Le fédéral ne doit pas faire comme le Québec qui rembourse jamais sa dette, qui invente de nouveaux programmes sociaux à tout bout de champ. Ça va être beau tal`heure au Québec à la prochaine récession, à l`augmentation des taux d`intérêts ou à une baisse subite de la péréquation.
Un journaliste activiste syndiqué de cyberpresse inverse la réalité (c’est ce qu’ils font régulièrement) en considérant comme « pacifique » une entrave à la paix de la part des étudiants en boycott de leurs études.
En effet, des étudiants bloquent ce matin l’entrée du CEGEP St-Laurent: un geste clairement agressif et illégal; clairement une entrave à la paix.
Pourtant qu’écrit cet activiste syndiqué sournoisement déguisé en journaliste? Il écrit que « la manifestation était pacifique » jusqu’au moment où les policiers sont intervenus.
Selon la logique de ce journaliste, on pourrait donc dire:
« je roulais pacifiquement à 170 km/h jusqu’au moment où, dans un geste agressif, les policiers ont mis le feu aux poudres en intervenant. »
« Je bloquais pacifiquement l’entrée de garage de mon voisin. Tout était pacifique jusqu’à ce que le propriétaire mette le feu aux poudres en me poussant, et que la police mette de l’huile sur le feu en perturbant mon blocage pourtant pacifique. »
Dès le début du commencement de la reprise on doit commencer à rembourser disaient Keynes. Pour être paré à emprunter pour la prochaine récession. Malheureusement, les québécois n’aiment pas rembourser leurs dettes.
J’ai hâte que les taux d’intérêts soient à 20%. Le service de la dette du québec va monter en flèche. Vont-ils emprunter pour payer leurs intérêts? Ils en seraient bien capables.
Je suis sûr qu’on peut trouver une photo de Milton en compagnie de Line Beauchamp. Donc il n’a pas le droit de se prononcer en faveur de la hausse des frais de scolarité.
respectable dit : 24 février 2012 à 15 h 04 min
J’ai hâte que les taux d’intérêts soient à 20%. Le service de la dette du québec va monter en flèche. Vont-ils emprunter pour payer leurs intérêts? Ils en seraient bien capables.
Quand je disais qu`on a pas besoin d`autant d`universitaire et de tous ces programmes de sciences humaines ou on forme beaucoup trop de gens et qu`on a besoin de travailleurs spécialisés du secondaires :
D’où l’importance des frais de scolarité en fonction du taux de placement. Tu veux étudier les sciences politiques? Va sur Téluq. Tu veux une vraie une Université et ben tu paies le juste coût. Si c’est 10 000$ par session tu paies 10K par session. Tu veux devenir Ingénieur Électrique? 1500$ par session. Les frais d’admission quoi puisqu’il y a une demande.
Tu veux devenir mécanicien de camion lourd? Gratuit..
Tu veux devenir avocat? Va sur le blog du grabataire de Rouyn etc
Friedman soutient que les pauvres se retrouvent à participer au financement de l’éducation postsecondaire qui bénéficie à des étudiants provenant surtout de milieux aisés. Selon lui, il en découlerait donc un transfert de richesses des pauvres vers les riches.
Les gens de gauche en général soutiennent que les riches paient des suppléments d’impôts plus élevés que ce qu’ils (les riches) reçoivent en subventions pour l’éducation postsecondaire. Selon eux, les riches paieraient donc ainsi leur éducation postsecondaire en plus de payer celle des moins bien nantis, d’où un transfert de richesse des riches vers les pauvres.
Le problème avec ces positions contradictoires est qu’elles reposent toutes deux sur des hypothèses qui ne peuvent pas être vérifiées. Ainsi, Friedman sous-entend que si les étudiants payaient davantage pour leurs études, les moins bien nantis paieraient moins d’impôts. De leur côté, les gens de gauche (en général) sous entendent que les sommes qui seraient ainsi récoltées auprès des étudiants viendraient plutôt réduire les impôts des mieux nantis. Or rien ne permet de soutenir une de ces hypothèses plus que l’autre, ni même plus qu’une toute autre hypothèse. Pour savoir qui financent réellement les services publics gratuits ou à prix subventionnés, il faudrait savoir qui obtiendrait les sommes en jeux si celles-ci n’étaient plus investies dans ces services publics. Personne ne peut prétendre avoir cette information.
En conclusion, j’estime que lorsqu’il s’agit d’évaluer la pertinence des services publics (dont l’éducation postsecondaire subventionnée), il serait préférable de ne pas s’imaginer qu’il en résulte un transfert de richesse dans un sens ou dans l’autre entre les classes sociales. On devrait plutôt se limiter à considérer les traitements différenciés que ces services publics engendrent l’intérieur même des classes sociales, entre les individus qui bénéficient des services publics et les individus qui n’en bénéficient pas (ou qui en bénéficient moins) . J’estime que pour certains services publics, ces traitements différenciés d’individus appartenant aux mêmes classes sociales sont défendables, alors que pour d’autres services publics, ils ne le sont pas.
C’est clairement démontré que plus les parents sont riches, plus leur enfants ont de chance de fréquenter l’université.
Je n’ai pas contesté ce fait. En faisant une lecture un peu plus attentive de mon commentaire, tu aurais compris (je présume) que l’hypothèse de Friedman que je conteste, c’est celle à l’effet que les étudiants sont subventionnés par les pauvres ou, autrement dit, que des augmentations de frais de scolarité se traduiraient par plus d’argent dans les poches des pauvres. Or, rien n’exclut la possibilité que des augmentations de droits de scolarité se traduiraient par des diminutions d’impôts seulement pour les plus riches. Il faudrait alors en déduire que c’étaient les riches qui finançaient les étudiants.
Ni Milton, ni personne (ni même le premier ministre, qui pourrait devoir renoncer à ses intentions face à des pressions politiques) ne sait où irait les sommes payées en plus par les étudiants. C’est la raison pour laquelle il me semble erroné de soutenir que les services publics engendrent des transferts de richesse des pauvres vers les riches (les riches étudiants, comme l’a soutenu Milton), ou des riches vers les pauvres (comme le soutiennent beaucoup de gens).
Crible, la lecture attentive de tes billets montrent toujours que tu es un bullshitteur de première. Tes interventions se limitent à faire passer tes réflexions pour des faits même si tu es incapable d’en faire la démonstration.
Crible, moi j’apprécie tes interventions : toujours bien documenté, une réflexion sérieuse (contrairement aux analyses simplistes qui te sont opposées) et des sources crédibles. J’ai bien aimé ton échange avec Christian Rioux sur son blogue… tu as complètement déconstruit ses « arguments ». Bravo
Et Respectable qui croit qu’on peut faire un bac en sciences politiques à distance… misère. J’aimerais ça le voir analyser «Critique de la violence» de Walter Benjamin… je parie qu’il ne comprendrait même pas le texte même après cinq lectures.
Devenir médecin? C’est comme faire une technique mais en plus long (plus de choses à apprendre par coeur), c’est à la portée de quiconque y met l’effort avec un QI moyen. Faire une maîtrise en science po? Bonne chance : t’as besoin d’avoir l’esprit aiguisé en ta.
« Faire une maîtrise en science po? Bonne chance : t’as besoin d’avoir l’esprit aiguisé en ta. »
Ben non. Pour réussir, il faut juste tu penses comme le prof gauchiste-syndicaliste-anti-militariste. Il doit pas avoir grand prof de droite là-dedans.
La gang que je respectes le moins, c`est ben eux-autres. Pas besoin d`un cours de science politique pour faire ou analyser de la politique.
On en a plein des politiciens qui sortent des sciences politique et sciences humaines et on est dans dèches totale. Toute du monde pas de colonne, des flancs-mous. Et pour l`analyse politique, je me considère meilleure que les 3/4 des tatas qui écrivent dans les journaux.
@ Malaf,
Malheureusement (pour moi), je crois que vos bons mots ne sont pas tous pour moi. Je ne me souviens pas être intervenu sur le blogue d’un Christian Rioux. Le connaitrais-je plutôt sous un pseudonyme?
Wow Malaf tu est soit la personne la plus sarcastique de l’histoire un moron de première, j’hésite entre les 2, mais je pense pour le second. Sincèrement médecine du part coeur et science po difficile, wow ça peut juste être du sarcasme, car faudrait être vraiment déconnecter de la réalité pour faire une telle affirmation, et après cela dire le crible bien documenter avec des sources, lol arrête j’en peut plus.
Désolé, mais t’es dans le champ concernant les orientations politiques des profs. La plupart sont des libéraux, et les rares marxistes que j’ai eu acceptaient très bien les analyses anti-marxistes.
«On en a plein des politiciens qui sortent des sciences politique et sciences humaines et on est dans dèches totale.»
Justement, non, nos politiciens sont pour la plupart issus du droit, et ils ne connaissent rien aux sciences politiques. Et concernant ton affirmation qui veut qu’on ait pas besoin d’étudier les sciences politiques pour analyser la politique, c’est vrai, mais ça donne le genre d’analyse irrecevable dont tu nous abreuve.
Le crible
Désolé, je t’ai confondu avec un certain «l’Engagé» qui écrit sur le blogue à Rioux.
Devenir médecin? C’est comme faire une technique mais en plus long (plus de choses à apprendre par coeur), c’est à la portée de quiconque y met l’effort avec un QI moyen.-malaf
_______________
Pauvre cancre. L’État exige des moyennes de 95% pour être admis en médecine en plus d’un profil de personnalité à couper le souffle. N’importe quel Zouf peut s’inscrire en science po et tu le sais faque arrête immédiatement ton cirque.
Les commentaires du Crible c’est toujours la même chose : « Je pense ceci, je suppose cela, je considère ceci ». Mais à chaque fois il est trop paresseux et/ou ignorant pour donner des preuves que ses suppositions sont les bonnes. Il faudrait considérer comme des vérités toutes ses suppositions.
«N’importe quel Zouf peut s’inscrire en science po et tu le sais faque arrête immédiatement ton cirque.»
S’inscrire et finir le bac sont deux choses différentes. La plupart ne finisssent pas, ils trouvent ça trop dur les cours d’économie, de stats et d’analyse.
Pour devenir médecin on a besoin d’une bonne mémoire, le jugement et l’esprit critique ne sont pas nécessaires. En science po, oui.
Un médecin ne comprendra pas pourquoi lorsque l’écart entre riches et pauvres est trop élevé les injustices foisonnent dans la société, et cela même si le sort des pauvres s’améliore. Le sociologue qui a lu et compris Aristote, lui, comprendra ce phénomène.
Un médecin ne comprendra pas pourquoi lorsque l’écart entre riches et pauvres est trop élevé les injustices foisonnent dans la société, et cela même si le sort des pauvres s’améliore. Le sociologue qui a lu et compris Aristote, lui, comprendra ce phénomène.
Un chirurgien plasticien n’est qu’un « technicien » à 500k par année. Sa job c’est refaire des totons pas de s’auto greffer un cœur.
@malaf : Le politologue Ankh (master es sc. Po mcgill et le meilleur de sa promotion)a le jugement et l’esprit d’analyse si fin, que, lors de ses discussions politique avec honorable, il était davantage intéressé par le nombre des publications scientifiques à hono que par l’Objet de sa discussion politique avec lui. Il tombait rapidement dans les insultes voyant qu’il avait affaire à plus gros que lui. C’est ça les sc. po rien de plus. Des insultes que des insultes si vous sortez de la pensée unique. Et la pensée unique tout le monde l’a connaît. Téluq suffit pour ceux qui ne l’a connaisse pas.
Il est devenu traducteur correcteur aussi. Voilà où mène les sc. po. Vivement Téluq pour sortir ces gens de la rue.
David, lis Les Politiques d’Aristote, c’est bien démontré : les riches quand ils se sentent inégaux en un point (par exemple leur supériorité économique), font tout pour être inégaux en tout (par exemple une justice pour eux, une autre pour les pauvres). C’est un phénomène très facile à observer, il est flagrant : ce n’est pas les riches qui ont renfloués les grandes banques, mais l’ensemble des citoyens qui n’avaient rien à voir avec ce fiasco.
Tu parles du taux de criminalité, qui dépend de plusieurs facteurs. Je te parle d’injustices chroniques. Si tu trouves ce monde juste, je ne peux rien pour toi, tu fais sans doute partie de ces privilégiés qui ne voient pas la misère qui les entoure.
Les commentaires du Crible c’est toujours la même chose : « Je pense ceci, je suppose cela, je considère ceci ». Mais à chaque fois il est trop paresseux et/ou ignorant pour donner des preuves que ses suppositions sont les bonnes. Il faudrait considérer comme des vérités toutes ses suppositions.
Friedman a dit que les pauvres financent les étudiants, sous-entendant que si les étudiants payaient davantage leurs études, les pauvres paieraient moins d’impôts (ou qu’ils recevraient plus de transferts).
J’ai dit que Friedman avançait cela sans être en mesure de prouver que sa supposition était bonne. Et c’est moi que vous accusez de faire des suppositions non prouvées ?!?!
@ malaf. Y-a-t-il des gens sur ce blogue qui ont lu Aristote ? Je ne crois pas.
Ici, la majorité des références, proviennent des médias américains tendance conservatrice. Dans le genre propagande et manque d’analyse et d’objectivité, on ne fait pas mieux.
Quelques exemples du haut niveau intellectuel de la droite néolibérale.
Hank dit : triste petit peuple;
David dit : tu es un bullshitteur de première; Qquechose.de.pourri : tu es un moron de première;
jackwood : T’aimerais pas ça réfléchir un peu plutôt que de bêler bêtement clichés par dessus clichés?
respectable : Pauvre cancre;
fivrière : il est trop paresseux et/ou ignorant pour donner des preuves que ses suppositions sont les bonnes;
respectable : Des insultes que des insultes si vous sortez de la pensée unique. [de droite ou de gauche, ça on ne sait pas]
Pour mériter ces insultes il n’est pas nécessaire de sortir de la « pensée unique » – de qui, de quoi, on ne le sait pas – une seule condition : critiquer les dogmes de la doctrine néolibérale (compétition, marché libre, déréglementation, abolition de la protection sociale et du salaire minimum, abolition supposée enrichir les pauvres (?) et surtout osez mettre en doute leur idéal : le système capitaliste soi-disant universelle, intemporelle et dirigé par la main de Dieu, oups ! la main invisible. De toute façon c’est du pareil au même : des chimères d’idéalistes.
Étonnant le nombre de gauchiste qui vienne ici argumenter, qui ce sont font planter a tour de bras et en redemande, wow l’adage try try again, but don’t be a damn fool, stop and recognized when your beaten.
@ david. L’Histoire, la philosophie, la sociologie sont pourtant essentiels pour comprendre le monde dans lequel on vit. Même en économie, si on avait retenu les antécédents historiques, on n’aurait pas eu de mal à prédire la crise que nous traversons. Mais les gens ont une vue à court terme…notamment la droite.
Des conneries de philosophes? Toute la pensée politique occidentale découle des philosophes grecs… Mais bon, puisque tu es si brillant, tu devrais publier un texte qui contredit Aristote avec tes faits. Tu deviendrais riche et célèbre : dans les Universités du monde, on cesserait d’étudier et d’enseigner Aristote… à la place, on enseignerait David Gagnon!
Un cas isolé… et alors? Et qui te dis qu’il est le meilleur de sa cohorte? Lui?
Je te mets au défi de lire Walter Benjamin et de le comprendre. Bonne chance. Sans références sérieuses en science po tu n’y arriveras pas. Il suffit de te lire pour constater que tu n’es pas à la hauteur pour un bac en science politique.
Un cas isolé… et alors? Et qui te dis qu’il est le meilleur de sa cohorte? Lui?
_______
Il est le seul dont sa thèse de maîtrise fut publié avec Conrad Black à la faculté de sciences po de McGill. Quand respectable parle, c’est parce que c’est fondé et hot.
Friedman a dit que les pauvres financent les étudiants, sous-entendant que si les étudiants payaient davantage leurs études, les pauvres paieraient moins d’impôts (ou qu’ils recevraient plus de transferts).
Cette situation existe seulement dans ta tête. Friedman dit que dans le régime actuelle, ceux qui vont a l’université sont riches et que leur frais de scolarité est maintenus a un bas niveau parce que des gens plus pauvres qu’eux, qui vont moins à l’université, payent des impôts i.e. les bas frais de scolarité c’est un transfert de richesse des pauvres vers les riches.
les bas frais de scolarité c’est un transfert de richesse des pauvres vers les riches.
Une société est composée de A et B
A (pauvre) paie 10$ d’impôt
B (riche) paie 90 $ d’impôt
A reçoit pour 40 $ de services publics
B reçoit pour 60 $ de services publics (par exemple, formation postsecondaire à prix subventionné).
Parce que A paie 10% des impôts, Friedman (et d’autres…) en déduit vraisemblablement que A subventionne B de 6$ (10% des 60$ reçus par B).
Mais comment peut-on interpréter que A subventionne B alors qu’il ne paie même pas suffisamment pour financer les services publics qu’il reçoit lui-même ?!?!
La seule façon qui me paraît possible d’interpréter que A finance B est de croire que, si B ne recevait pas de services publics, A verrait ses impôts réduits de 6$. Or rien ne permet de soutenir que c’est ce qui se passerait dans la réalité. Si on retirait à B les 60$ de services publics qu’il reçoit, il se pourrait très bien qu’on réduise de 60$ sa facture d’impôt pour la ramener à 30$, sans réduire la facture d’impôt de A. Quelle serait alors la meilleure réponse à donner à la question : Qui finançait les services publics reçus par B?…
Le crible, toujours À raconter des conneries qu’il est incapable de prouver…
Voici des FAITS. J’insiste sur le mot FAITS, pas des suppositions.
Les étudiants au Qc ne paye qu’une fraction de leur éducation (13)%. Qui paye le reste ? Le gouvernement (87%).
Le gouvernement va prendre son argent dans les poches des contribuables.
Donc des gens qui ont beaucoup moins de chance d’aller à l’université vont donner leur argent aux gouvernement pour que des gens plus riches qu’eux ne payent que 13% de la facture.
Voilà les FAITS, pas des suppositions.
Ce que tu racontes sur Friedman, c’est des conneries, tu déformes ces propos pour essayer de ne pas perdre la face. Désolé, si ce genre de tactique fonctionnent quand tu débats avec des faibles d’esprit, ici les gens sont trop intelligents pour tomber dans ton piège.
Ha Non pas encore de la comptabilité du Crible. Les étudiants ne paient que 10% de leur fraîche scolarité réelle n’importe quel vice rectum au finances d’une UDuQ de ton choix. Lâche A Et B tu as échoué l’autre ton examen d’ État financier sur ce blogue avec ton histoire de vente de tondeuse comme revenu imposable. Donne un break le crible. Même si ce blogue attire le plus grand nombre de PH.D au pied carré on ne donne pas de cours de même. Garde ça simple le crible.
« Studies that claim to show this subsidy invariably rely
on several arbitrary premises, the most astonishing of which
supposes that if some item of government spending, higher
education for instance, amounts to 5 per cent of the budget,
then a nickel of each tax dollar, whatever its source, goes
to higher education. This is called the proportionality
assumption; it implies that everyone who pays taxes at all
subsidizes higher education, and hence also university
students. What this means is made clear in a simple model.
Think of a couple, Tom and Mary, who put their earnings
into a common budget. Mary has a steady job and earns 60 per
cent of their income, Tom is not so well employed and
contributes the other 40 per cent. The fund pays for common
expenses: food, rent, etc., as well as for Mary and Tom’s
personal goods: clothing, lipstick, aftershave, and so on.
If they both spend equal amounts, we would ordinarily say
that Mary subsidizes Tom, but the proportionality assumption
teaches us otherwise: when Mary buys a dress, Tom gives her
a subsidy of 40 per cent of the cost, the percentage he puts
into the pot. It is, according to common economic wisdom, a
subsidy flowing from the poor (Tom) to the rich (Mary). An
economic lay person looking at this will of course point to
the help Tom gets from Mary, but somehow this commonsensical
observation does not inform the usual talk about subsidies
in society at large. For instance, the Globe editorialized
on November 6, 1989: « As long as fees are low
and government grants to universities are high, poor
families will be subsidizing students from affluent
families. »
Tom gives her a subsidy of 40 per cent of the cost, the percentage he puts into the pot. It is, according to common economic wisdom, a subsidy flowing from the poor (Tom) to the rich (Mary).
Bravo champion.
Prend le temps de bien lire et de réfléchir: avec l’éducation universitaire, les pauvres subventionne un produit qui est consommé par les riches !
Notes que ton texte ne donne aucune explication qui contredit ce fait.
Pourquoi tu n’a pas préciser que Rolf George est un prof de philo ?
Les bas frais de scolarité des études post-secondaire ont jamais servis le Québec. On a pratiquement toujours eu un taux de chômage supérieur à la moyenne canadienne, un taux d`emploi faible, un taux d`entreprenariat faible. En plus de la plus grosse dette au Canada, des taxes et des impôts les plus élevés.
Les bas frais de scolarité ont servis principalement à la technocratie-bureaucratie gouvernementale et aux syndicats.
Et on a pas besoin d`autant d`universitaires et de collégiens des sciences-humaines. Le gouvernement devrait fermer plusieurs programmes ou réduire grandement l`accès. Mais on a des imbéciles incapables qui gouvernent qui sortent des facultés de science humaine(avocats et autres) et des science po.
Personnellement, j’ai compris que George attribuait une connotation plutôt péjorative à l’expression « common economic wisdom ». Je laisse les autres se faire leur propre opinion là dessus. (Et pour répondre à ta question, j’attribue plus d’importance à ce que disent les gens qu’à leur titre).
Disons que, pour faire avancer le débat, j’adopte ton interprétation de la réalité (que tu considères comme étant DES FAITS impossible à interpréter différemment).
Ainsi, Tom subventionne Mary lorsque celle-ci s’achète une robe, et les pauvres subventionnent les riches qui vont à l’université.
Et alors? Qu’est-ce qu’on doit faire avec ça?
Faut-il que Mary achète sa robe et tous ses effets personnels avec son argent et non pas celui du pot commun? Faut-il que les riches étudiants paient les coûts de leurs études avec leur argent et non pas avec le fonds consolidé de l’État? … sans changer les proportions de montants que Tom et Mary mettent dans le pot commun? et sans changer les proportions d’impôts payés par les pauvres et les riches?
Il en résulterait que les transferts de richesses de Mary vers Tom, et des riches vers les pauvres qui découleraient des dépenses effectuées avec le pot commun et le fonds consolidé augmenteraient. Est-ce cette idée que tu défends? D’après toi, il faudrait que le pot commun et les impôts engendrent de plus importants transferts de richesses de Mary vers Tom et des riches vers les pauvres?
Ou est-ce que tu dis plutôt (plus en lien avec ton discours habituel) que tous et chacun devrait payer ses propres choses et qu’il y ait donc ainsi moins de transferts de richesse des riches vers les pauvres? Admet que de soulever LE FAIT que les pauvres subventionnent des riches comme moyen de promouvoir l’idée que les riches devraient moins subventionner les pauvres pourrait en confondre certains…
C’est comme les subventions pour les véhicules électriques. Ces voitures sont hors de prix, même avec la subvention, seuls les riches peuvent les acheter.
La subvention ce sont les pauvres qui donne de l’argent au riches pour qu’ils s’achète un produit qui est trop cher pour eux.
« Les keynésiens sont fous (et surtout dangereux) bit.ly/AaPTA9 »
Oui ils sont fous.La récession est terminé. On doit équilibrer le budget et commencer à réduire la dette avant la prochaine récession. La faible croissance économique qu`on connait n`est pas une raison pour ne pas équilibrer le budget et commencer à réduire la dette. Faut pas attendre comme les gauchistes voudraient qu`on le fasse et après être pris à la gorge et aller se mettre à genou devant les banquiers. Le fédéral ne doit pas faire comme le Québec qui rembourse jamais sa dette, qui invente de nouveaux programmes sociaux à tout bout de champ. Ça va être beau tal`heure au Québec à la prochaine récession, à l`augmentation des taux d`intérêts ou à une baisse subite de la péréquation.
Une voix sage! Des paroles sages!
Un journaliste activiste syndiqué de cyberpresse inverse la réalité (c’est ce qu’ils font régulièrement) en considérant comme « pacifique » une entrave à la paix de la part des étudiants en boycott de leurs études.
En effet, des étudiants bloquent ce matin l’entrée du CEGEP St-Laurent: un geste clairement agressif et illégal; clairement une entrave à la paix.
Pourtant qu’écrit cet activiste syndiqué sournoisement déguisé en journaliste? Il écrit que « la manifestation était pacifique » jusqu’au moment où les policiers sont intervenus.
Selon la logique de ce journaliste, on pourrait donc dire:
« je roulais pacifiquement à 170 km/h jusqu’au moment où, dans un geste agressif, les policiers ont mis le feu aux poudres en intervenant. »
« Je bloquais pacifiquement l’entrée de garage de mon voisin. Tout était pacifique jusqu’à ce que le propriétaire mette le feu aux poudres en me poussant, et que la police mette de l’huile sur le feu en perturbant mon blocage pourtant pacifique. »
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201202/24/01-4499263-des-etudiants-bloquent-lacces-au-cegep-de-saint-laurent.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1
Dès le début du commencement de la reprise on doit commencer à rembourser disaient Keynes. Pour être paré à emprunter pour la prochaine récession. Malheureusement, les québécois n’aiment pas rembourser leurs dettes.
J’ai hâte que les taux d’intérêts soient à 20%. Le service de la dette du québec va monter en flèche. Vont-ils emprunter pour payer leurs intérêts? Ils en seraient bien capables.
Je suis sûr qu’on peut trouver une photo de Milton en compagnie de Line Beauchamp. Donc il n’a pas le droit de se prononcer en faveur de la hausse des frais de scolarité.
respectable dit :
24 février 2012 à 15 h 04 min
J’ai hâte que les taux d’intérêts soient à 20%. Le service de la dette du québec va monter en flèche. Vont-ils emprunter pour payer leurs intérêts? Ils en seraient bien capables.
On va tous payer. Qu’on le veuille ou pas.
Lu dans le devoir:
http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/343689/la-gaspesie-une-nouvelle-alberta
Du petrole en gaspesie avec des gisements exploitables. Regardez les commentaires des lecteurs. Une vraie farce.
@Rheal
Triste petit peuple.
Quand je disais qu`on a pas besoin d`autant d`universitaire et de tous ces programmes de sciences humaines ou on forme beaucoup trop de gens et qu`on a besoin de travailleurs spécialisés du secondaires :
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/cv/201202/20/01-4497849-boom-de-lemploi-dans-le-grand-nord.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_cv_1476666_accueil_POS2
@Jackwood
D’où l’importance des frais de scolarité en fonction du taux de placement. Tu veux étudier les sciences politiques? Va sur Téluq. Tu veux une vraie une Université et ben tu paies le juste coût. Si c’est 10 000$ par session tu paies 10K par session. Tu veux devenir Ingénieur Électrique? 1500$ par session. Les frais d’admission quoi puisqu’il y a une demande.
Tu veux devenir mécanicien de camion lourd? Gratuit..
Tu veux devenir avocat? Va sur le blog du grabataire de Rouyn etc
Friedman soutient que les pauvres se retrouvent à participer au financement de l’éducation postsecondaire qui bénéficie à des étudiants provenant surtout de milieux aisés. Selon lui, il en découlerait donc un transfert de richesses des pauvres vers les riches.
Les gens de gauche en général soutiennent que les riches paient des suppléments d’impôts plus élevés que ce qu’ils (les riches) reçoivent en subventions pour l’éducation postsecondaire. Selon eux, les riches paieraient donc ainsi leur éducation postsecondaire en plus de payer celle des moins bien nantis, d’où un transfert de richesse des riches vers les pauvres.
Le problème avec ces positions contradictoires est qu’elles reposent toutes deux sur des hypothèses qui ne peuvent pas être vérifiées. Ainsi, Friedman sous-entend que si les étudiants payaient davantage pour leurs études, les moins bien nantis paieraient moins d’impôts. De leur côté, les gens de gauche (en général) sous entendent que les sommes qui seraient ainsi récoltées auprès des étudiants viendraient plutôt réduire les impôts des mieux nantis. Or rien ne permet de soutenir une de ces hypothèses plus que l’autre, ni même plus qu’une toute autre hypothèse. Pour savoir qui financent réellement les services publics gratuits ou à prix subventionnés, il faudrait savoir qui obtiendrait les sommes en jeux si celles-ci n’étaient plus investies dans ces services publics. Personne ne peut prétendre avoir cette information.
En conclusion, j’estime que lorsqu’il s’agit d’évaluer la pertinence des services publics (dont l’éducation postsecondaire subventionnée), il serait préférable de ne pas s’imaginer qu’il en résulte un transfert de richesse dans un sens ou dans l’autre entre les classes sociales. On devrait plutôt se limiter à considérer les traitements différenciés que ces services publics engendrent l’intérieur même des classes sociales, entre les individus qui bénéficient des services publics et les individus qui n’en bénéficient pas (ou qui en bénéficient moins) . J’estime que pour certains services publics, ces traitements différenciés d’individus appartenant aux mêmes classes sociales sont défendables, alors que pour d’autres services publics, ils ne le sont pas.
Je traite aussi de ce sujet dans mon billet:
http://lecrible.wordpress.com/2011/12/13/plus-de-services-publics-parce-quils-augmenteraient-les-transferts-aux-moins-bien-nantis/
C’est clairement démontré que plus les parents sont riches, plus leur enfants ont de chance de fréquenter l’université.
Je n’ai pas contesté ce fait. En faisant une lecture un peu plus attentive de mon commentaire, tu aurais compris (je présume) que l’hypothèse de Friedman que je conteste, c’est celle à l’effet que les étudiants sont subventionnés par les pauvres ou, autrement dit, que des augmentations de frais de scolarité se traduiraient par plus d’argent dans les poches des pauvres. Or, rien n’exclut la possibilité que des augmentations de droits de scolarité se traduiraient par des diminutions d’impôts seulement pour les plus riches. Il faudrait alors en déduire que c’étaient les riches qui finançaient les étudiants.
Ni Milton, ni personne (ni même le premier ministre, qui pourrait devoir renoncer à ses intentions face à des pressions politiques) ne sait où irait les sommes payées en plus par les étudiants. C’est la raison pour laquelle il me semble erroné de soutenir que les services publics engendrent des transferts de richesse des pauvres vers les riches (les riches étudiants, comme l’a soutenu Milton), ou des riches vers les pauvres (comme le soutiennent beaucoup de gens).
Crible, la lecture attentive de tes billets montrent toujours que tu es un bullshitteur de première. Tes interventions se limitent à faire passer tes réflexions pour des faits même si tu es incapable d’en faire la démonstration.
Crible, moi j’apprécie tes interventions : toujours bien documenté, une réflexion sérieuse (contrairement aux analyses simplistes qui te sont opposées) et des sources crédibles. J’ai bien aimé ton échange avec Christian Rioux sur son blogue… tu as complètement déconstruit ses « arguments ». Bravo
Et Respectable qui croit qu’on peut faire un bac en sciences politiques à distance… misère. J’aimerais ça le voir analyser «Critique de la violence» de Walter Benjamin… je parie qu’il ne comprendrait même pas le texte même après cinq lectures.
Devenir médecin? C’est comme faire une technique mais en plus long (plus de choses à apprendre par coeur), c’est à la portée de quiconque y met l’effort avec un QI moyen. Faire une maîtrise en science po? Bonne chance : t’as besoin d’avoir l’esprit aiguisé en ta.
« Faire une maîtrise en science po? Bonne chance : t’as besoin d’avoir l’esprit aiguisé en ta. »
Ben non. Pour réussir, il faut juste tu penses comme le prof gauchiste-syndicaliste-anti-militariste. Il doit pas avoir grand prof de droite là-dedans.
La gang que je respectes le moins, c`est ben eux-autres. Pas besoin d`un cours de science politique pour faire ou analyser de la politique.
On en a plein des politiciens qui sortent des sciences politique et sciences humaines et on est dans dèches totale. Toute du monde pas de colonne, des flancs-mous. Et pour l`analyse politique, je me considère meilleure que les 3/4 des tatas qui écrivent dans les journaux.
@ Malaf,
Malheureusement (pour moi), je crois que vos bons mots ne sont pas tous pour moi. Je ne me souviens pas être intervenu sur le blogue d’un Christian Rioux. Le connaitrais-je plutôt sous un pseudonyme?
Wow Malaf tu est soit la personne la plus sarcastique de l’histoire un moron de première, j’hésite entre les 2, mais je pense pour le second. Sincèrement médecine du part coeur et science po difficile, wow ça peut juste être du sarcasme, car faudrait être vraiment déconnecter de la réalité pour faire une telle affirmation, et après cela dire le crible bien documenter avec des sources, lol arrête j’en peut plus.
jackwood
Désolé, mais t’es dans le champ concernant les orientations politiques des profs. La plupart sont des libéraux, et les rares marxistes que j’ai eu acceptaient très bien les analyses anti-marxistes.
«On en a plein des politiciens qui sortent des sciences politique et sciences humaines et on est dans dèches totale.»
Justement, non, nos politiciens sont pour la plupart issus du droit, et ils ne connaissent rien aux sciences politiques. Et concernant ton affirmation qui veut qu’on ait pas besoin d’étudier les sciences politiques pour analyser la politique, c’est vrai, mais ça donne le genre d’analyse irrecevable dont tu nous abreuve.
Le crible
Désolé, je t’ai confondu avec un certain «l’Engagé» qui écrit sur le blogue à Rioux.
jackwood
T’aimerais pas ça réfléchir un peu plutôt que de bêler bêtement clichés par dessus clichés?
Devenir médecin? C’est comme faire une technique mais en plus long (plus de choses à apprendre par coeur), c’est à la portée de quiconque y met l’effort avec un QI moyen.-malaf
_______________
Pauvre cancre. L’État exige des moyennes de 95% pour être admis en médecine en plus d’un profil de personnalité à couper le souffle. N’importe quel Zouf peut s’inscrire en science po et tu le sais faque arrête immédiatement ton cirque.
C’est clairement démontré que plus les parents sont riches, plus leur enfants ont de chance de fréquenter l’université.
Les commentaires du Crible c’est toujours la même chose : « Je pense ceci, je suppose cela, je considère ceci ». Mais à chaque fois il est trop paresseux et/ou ignorant pour donner des preuves que ses suppositions sont les bonnes. Il faudrait considérer comme des vérités toutes ses suppositions.
Ce type prend les gens pour des cons.
«N’importe quel Zouf peut s’inscrire en science po et tu le sais faque arrête immédiatement ton cirque.»
S’inscrire et finir le bac sont deux choses différentes. La plupart ne finisssent pas, ils trouvent ça trop dur les cours d’économie, de stats et d’analyse.
Pour devenir médecin on a besoin d’une bonne mémoire, le jugement et l’esprit critique ne sont pas nécessaires. En science po, oui.
Un médecin ne comprendra pas pourquoi lorsque l’écart entre riches et pauvres est trop élevé les injustices foisonnent dans la société, et cela même si le sort des pauvres s’améliore. Le sociologue qui a lu et compris Aristote, lui, comprendra ce phénomène.
Malaf, en quoi l’augmentation des écarts de richesses aaugmentent les injustices si les pauvres s’enrichissent ?
Pendant que les écarts de richesses augmentent aux USA et au Canada, la criminalité diminue.
Tes « talking point » marxistes sont loins d’être conforme à la réalité.
Un chirurgien plasticien n’est qu’un « technicien » à 500k par année. Sa job c’est refaire des totons pas de s’auto greffer un cœur.
@malaf : Le politologue Ankh (master es sc. Po mcgill et le meilleur de sa promotion)a le jugement et l’esprit d’analyse si fin, que, lors de ses discussions politique avec honorable, il était davantage intéressé par le nombre des publications scientifiques à hono que par l’Objet de sa discussion politique avec lui. Il tombait rapidement dans les insultes voyant qu’il avait affaire à plus gros que lui. C’est ça les sc. po rien de plus. Des insultes que des insultes si vous sortez de la pensée unique. Et la pensée unique tout le monde l’a connaît. Téluq suffit pour ceux qui ne l’a connaisse pas.
Il est devenu traducteur correcteur aussi. Voilà où mène les sc. po. Vivement Téluq pour sortir ces gens de la rue.
David, lis Les Politiques d’Aristote, c’est bien démontré : les riches quand ils se sentent inégaux en un point (par exemple leur supériorité économique), font tout pour être inégaux en tout (par exemple une justice pour eux, une autre pour les pauvres). C’est un phénomène très facile à observer, il est flagrant : ce n’est pas les riches qui ont renfloués les grandes banques, mais l’ensemble des citoyens qui n’avaient rien à voir avec ce fiasco.
Tu parles du taux de criminalité, qui dépend de plusieurs facteurs. Je te parle d’injustices chroniques. Si tu trouves ce monde juste, je ne peux rien pour toi, tu fais sans doute partie de ces privilégiés qui ne voient pas la misère qui les entoure.
@ Friviere
Friedman a dit que les pauvres financent les étudiants, sous-entendant que si les étudiants payaient davantage leurs études, les pauvres paieraient moins d’impôts (ou qu’ils recevraient plus de transferts).
J’ai dit que Friedman avançait cela sans être en mesure de prouver que sa supposition était bonne. Et c’est moi que vous accusez de faire des suppositions non prouvées ?!?!
@ malaf. Y-a-t-il des gens sur ce blogue qui ont lu Aristote ? Je ne crois pas.
Ici, la majorité des références, proviennent des médias américains tendance conservatrice. Dans le genre propagande et manque d’analyse et d’objectivité, on ne fait pas mieux.
Malaf: je préfère me fier AUX FAITS qu’à des conneries de philosophe qui vont à l’encontre de ce qui est observable dans la réalité.
Quelques exemples du haut niveau intellectuel de la droite néolibérale.
Hank dit : triste petit peuple;
David dit : tu es un bullshitteur de première;
Qquechose.de.pourri : tu es un moron de première;
jackwood : T’aimerais pas ça réfléchir un peu plutôt que de bêler bêtement clichés par dessus clichés?
respectable : Pauvre cancre;
fivrière : il est trop paresseux et/ou ignorant pour donner des preuves que ses suppositions sont les bonnes;
respectable : Des insultes que des insultes si vous sortez de la pensée unique. [de droite ou de gauche, ça on ne sait pas]
Pour mériter ces insultes il n’est pas nécessaire de sortir de la « pensée unique » – de qui, de quoi, on ne le sait pas – une seule condition : critiquer les dogmes de la doctrine néolibérale (compétition, marché libre, déréglementation, abolition de la protection sociale et du salaire minimum, abolition supposée enrichir les pauvres (?) et surtout osez mettre en doute leur idéal : le système capitaliste soi-disant universelle, intemporelle et dirigé par la main de Dieu, oups ! la main invisible. De toute façon c’est du pareil au même : des chimères d’idéalistes.
« Malaf: je préfère me fier AUX FAITS qu’à des conneries de philosophe qui vont à l’encontre de ce qui est observable dans la réalité. »
Ou a l’interprétation qu’un gauchiste peut bien en faire
Étonnant le nombre de gauchiste qui vienne ici argumenter, qui ce sont font planter a tour de bras et en redemande, wow l’adage try try again, but don’t be a damn fool, stop and recognized when your beaten.
@ david. L’Histoire, la philosophie, la sociologie sont pourtant essentiels pour comprendre le monde dans lequel on vit. Même en économie, si on avait retenu les antécédents historiques, on n’aurait pas eu de mal à prédire la crise que nous traversons. Mais les gens ont une vue à court terme…notamment la droite.
Des conneries de philosophes? Toute la pensée politique occidentale découle des philosophes grecs… Mais bon, puisque tu es si brillant, tu devrais publier un texte qui contredit Aristote avec tes faits. Tu deviendrais riche et célèbre : dans les Universités du monde, on cesserait d’étudier et d’enseigner Aristote… à la place, on enseignerait David Gagnon!
Respectable
Un cas isolé… et alors? Et qui te dis qu’il est le meilleur de sa cohorte? Lui?
Je te mets au défi de lire Walter Benjamin et de le comprendre. Bonne chance. Sans références sérieuses en science po tu n’y arriveras pas. Il suffit de te lire pour constater que tu n’es pas à la hauteur pour un bac en science politique.
Un cas isolé… et alors? Et qui te dis qu’il est le meilleur de sa cohorte? Lui?
_______
Il est le seul dont sa thèse de maîtrise fut publié avec Conrad Black à la faculté de sciences po de McGill. Quand respectable parle, c’est parce que c’est fondé et hot.
Toute la pensée politique occidentale découle des philosophes grecs-Malaf
_________
Honorable est master es philosophie (M.PHIL, PH.D) d’une prestigieuse Université étrangère de renom. Pas besoin d’Aristote ici.
Si nous étions dans l’erreur, ça ferait longtemps qu’on le saurait.
Cette situation existe seulement dans ta tête. Friedman dit que dans le régime actuelle, ceux qui vont a l’université sont riches et que leur frais de scolarité est maintenus a un bas niveau parce que des gens plus pauvres qu’eux, qui vont moins à l’université, payent des impôts i.e. les bas frais de scolarité c’est un transfert de richesse des pauvres vers les riches.
Une société est composée de A et B
A (pauvre) paie 10$ d’impôt
B (riche) paie 90 $ d’impôt
A reçoit pour 40 $ de services publics
B reçoit pour 60 $ de services publics (par exemple, formation postsecondaire à prix subventionné).
Parce que A paie 10% des impôts, Friedman (et d’autres…) en déduit vraisemblablement que A subventionne B de 6$ (10% des 60$ reçus par B).
Mais comment peut-on interpréter que A subventionne B alors qu’il ne paie même pas suffisamment pour financer les services publics qu’il reçoit lui-même ?!?!
La seule façon qui me paraît possible d’interpréter que A finance B est de croire que, si B ne recevait pas de services publics, A verrait ses impôts réduits de 6$. Or rien ne permet de soutenir que c’est ce qui se passerait dans la réalité. Si on retirait à B les 60$ de services publics qu’il reçoit, il se pourrait très bien qu’on réduise de 60$ sa facture d’impôt pour la ramener à 30$, sans réduire la facture d’impôt de A. Quelle serait alors la meilleure réponse à donner à la question : Qui finançait les services publics reçus par B?…
Le crible, toujours À raconter des conneries qu’il est incapable de prouver…
Voici des FAITS. J’insiste sur le mot FAITS, pas des suppositions.
Les étudiants au Qc ne paye qu’une fraction de leur éducation (13)%. Qui paye le reste ? Le gouvernement (87%).
Le gouvernement va prendre son argent dans les poches des contribuables.
Donc des gens qui ont beaucoup moins de chance d’aller à l’université vont donner leur argent aux gouvernement pour que des gens plus riches qu’eux ne payent que 13% de la facture.
Voilà les FAITS, pas des suppositions.
Ce que tu racontes sur Friedman, c’est des conneries, tu déformes ces propos pour essayer de ne pas perdre la face. Désolé, si ce genre de tactique fonctionnent quand tu débats avec des faibles d’esprit, ici les gens sont trop intelligents pour tomber dans ton piège.
Ha Non pas encore de la comptabilité du Crible. Les étudiants ne paient que 10% de leur fraîche scolarité réelle n’importe quel vice rectum au finances d’une UDuQ de ton choix. Lâche A Et B tu as échoué l’autre ton examen d’ État financier sur ce blogue avec ton histoire de vente de tondeuse comme revenu imposable. Donne un break le crible. Même si ce blogue attire le plus grand nombre de PH.D au pied carré on ne donne pas de cours de même. Garde ça simple le crible.
« Studies that claim to show this subsidy invariably rely
on several arbitrary premises, the most astonishing of which
supposes that if some item of government spending, higher
education for instance, amounts to 5 per cent of the budget,
then a nickel of each tax dollar, whatever its source, goes
to higher education. This is called the proportionality
assumption; it implies that everyone who pays taxes at all
subsidizes higher education, and hence also university
students. What this means is made clear in a simple model.
Think of a couple, Tom and Mary, who put their earnings
into a common budget. Mary has a steady job and earns 60 per
cent of their income, Tom is not so well employed and
contributes the other 40 per cent. The fund pays for common
expenses: food, rent, etc., as well as for Mary and Tom’s
personal goods: clothing, lipstick, aftershave, and so on.
If they both spend equal amounts, we would ordinarily say
that Mary subsidizes Tom, but the proportionality assumption
teaches us otherwise: when Mary buys a dress, Tom gives her
a subsidy of 40 per cent of the cost, the percentage he puts
into the pot. It is, according to common economic wisdom, a
subsidy flowing from the poor (Tom) to the rich (Mary). An
economic lay person looking at this will of course point to
the help Tom gets from Mary, but somehow this commonsensical
observation does not inform the usual talk about subsidies
in society at large. For instance, the Globe editorialized
on November 6, 1989: « As long as fees are low
and government grants to universities are high, poor
families will be subsidizing students from affluent
families. »
(Rolf George, de l’université de Waterloo, 1992).
Bravo champion.
Prend le temps de bien lire et de réfléchir: avec l’éducation universitaire, les pauvres subventionne un produit qui est consommé par les riches !
Notes que ton texte ne donne aucune explication qui contredit ce fait.
Pourquoi tu n’a pas préciser que Rolf George est un prof de philo ?
Les bas frais de scolarité des études post-secondaire ont jamais servis le Québec. On a pratiquement toujours eu un taux de chômage supérieur à la moyenne canadienne, un taux d`emploi faible, un taux d`entreprenariat faible. En plus de la plus grosse dette au Canada, des taxes et des impôts les plus élevés.
Les bas frais de scolarité ont servis principalement à la technocratie-bureaucratie gouvernementale et aux syndicats.
Et on a pas besoin d`autant d`universitaires et de collégiens des sciences-humaines. Le gouvernement devrait fermer plusieurs programmes ou réduire grandement l`accès. Mais on a des imbéciles incapables qui gouvernent qui sortent des facultés de science humaine(avocats et autres) et des science po.
@ David,
Personnellement, j’ai compris que George attribuait une connotation plutôt péjorative à l’expression « common economic wisdom ». Je laisse les autres se faire leur propre opinion là dessus. (Et pour répondre à ta question, j’attribue plus d’importance à ce que disent les gens qu’à leur titre).
Disons que, pour faire avancer le débat, j’adopte ton interprétation de la réalité (que tu considères comme étant DES FAITS impossible à interpréter différemment).
Ainsi, Tom subventionne Mary lorsque celle-ci s’achète une robe, et les pauvres subventionnent les riches qui vont à l’université.
Et alors? Qu’est-ce qu’on doit faire avec ça?
Faut-il que Mary achète sa robe et tous ses effets personnels avec son argent et non pas celui du pot commun? Faut-il que les riches étudiants paient les coûts de leurs études avec leur argent et non pas avec le fonds consolidé de l’État? … sans changer les proportions de montants que Tom et Mary mettent dans le pot commun? et sans changer les proportions d’impôts payés par les pauvres et les riches?
Il en résulterait que les transferts de richesses de Mary vers Tom, et des riches vers les pauvres qui découleraient des dépenses effectuées avec le pot commun et le fonds consolidé augmenteraient. Est-ce cette idée que tu défends? D’après toi, il faudrait que le pot commun et les impôts engendrent de plus importants transferts de richesses de Mary vers Tom et des riches vers les pauvres?
Ou est-ce que tu dis plutôt (plus en lien avec ton discours habituel) que tous et chacun devrait payer ses propres choses et qu’il y ait donc ainsi moins de transferts de richesse des riches vers les pauvres? Admet que de soulever LE FAIT que les pauvres subventionnent des riches comme moyen de promouvoir l’idée que les riches devraient moins subventionner les pauvres pourrait en confondre certains…
Tu as supposé que George voilait dire ceci au lieu de cela. Tu réalistes à quel point cette remarque confirme tout ce qui a été dit sur toi…
C’est comme les subventions pour les véhicules électriques. Ces voitures sont hors de prix, même avec la subvention, seuls les riches peuvent les acheter.
La subvention ce sont les pauvres qui donne de l’argent au riches pour qu’ils s’achète un produit qui est trop cher pour eux.