…Il me fait plaisir de satisfaire les requêtes reçu sur twitter à propos d’un billet de Patrick Lagacé…
L’affaire a fait grand bruit, cette semaine le gardien des Bruins de Boston a refusé de se rendre à la Maison-Blanche pour assister à une cérémonie où étaient invités les derniers gagnant de la coupe Stanley. Voici comment Thomas a expliqué sa décision:
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«I believe the Federal government has grown out of control, threatening the Rights, Liberties, and Property of the People. This is being done at the Executive, Legislative, and Judicial level. This is in direct opposition to the Constitution and the Founding Fathers vision for the Federal government. “Because I believe this, today I exercised my right as a Free Citizen, and did not visit the White House. This was not about politics or party, as in my opinion both parties are responsible for the situation we are in as a country. This was about a choice I had to make as an INDIVIDUAL.» |
Il n’en fallait pas plus pour que Patrick Lagacé saute un plomb. Selon les dires du gardien de la révolution de la rue St-Jacques, Tim Thomas est un… EXTRÉMISTE !!!
Amusant, parce que dans le passé, ce même Patrick Lagacé a déjà qualifié le président Bush de nazis, et ce, deux fois plutôt qu’une, de liberticide, de criminel de guerre et de fasciste.
Résumons.
Quand Tim Thomas refuse de se rendre à la Maison-Blanche parce qu’il considère que le système politique aux États-Unis empiète sur les libertés des citoyens, cela fait de lui un imbécile et un extrémiste. Mais quand Lagacé accuse l’Administration Bush d’être des fachos, des nazis et des tyrans, cela ne fait pas de Lagacé un extrémiste, mais un citoyen engagé…
Pourtant on peut facilement imaginer que si Tim Thomas avait refusé l’invitation de Bush, Lagacé aurait salué cette initiative. Il ne peut en être autrement, je ne peux pas imaginer que Patrick Lagacé critique une personne parce qu’elle a décidé de boycotter une personne qu’il considère comme étant une réincarnation d’Hitler…
Le plus drôle dans toute cette histoire c’est que les États-Unis de Bush ne sont pas vraiment différents de ceux de Barack Obama. Le président démocrate a certes réarrangé les chaises sur le pont du Titanic, mais fondamentalement les choses sont restées les mêmes: Gitmo est encore ouvert, les drones ciblent maintenant des citoyens américains, le Patriot Act a encore force de loi, la corruption a augmenté, le copinage bat son plein et Obama a même été plus loin en signant une loi qui autorise l’armée américaine à détenir de manière indéfinie et arbitraire des citoyens américains !
Donc, si Bush était un salopard qui menaçait les libertés civiles, on peut dire la même chose d’Obama. Alors, pourquoi traiter Tim Thomas d’extrémiste parce qu’il refuse une invitation d’Obama alors qu’il aurait été encensé par les médias pour avoir refusé une invitation de Bush ?
Patrick Lagacé se demande où était la droite quand Bush démantelait la liberté aux États-Unis, il a raison sur ce point, elle était nowhere to be found. Mais aujourd’hui, la droite est everywhere to be found sur ces enjeux, c’est la gauche qui a décidé de quitté le navire pour des raisons partisanes. Pourtant, si un républicain comme Newt Gingrich a le malheur d’être élu président, je suis persuadé que la droite de Tim Thomas aura la même opinion sur le système politique américain.
Mais plus fondamentalement, il est toujours troublant de voir un journaliste qui ridiculise les gens qui défendent le concept de liberté… Ils sont nombreux les gauchistes à avoir fait de la liberté un concept dont on peut ouvertement se moquer. Si Lagacé cherche des extrémistes, qu’il regarde du côté des gens pour qui la « libâââââtéééé » n’est plus une valeur sacrée, mais un objet de moquerie. Dissent is the highest form of patriotism…
Pour terminer, Lagacé nous parle de Kennedy, ce grand démocrate qui unissait tous les courants politiques. Lagacé semble ignoré qu’en 2012, si Kennedy était toujours en politique, ses politiques seraient à droite de celles des républicains modérés.
Autre texte que vous devez IMPÉRATIVEMENT lire sur ce sujet: Dérapage au 98.5fm
Pour votre information, les plombs n’ont pas été petés que par Patrick Lagacé. Ils l’ont aussi été par:
Le Boston Globe:
http://articles.boston.com/2012-01-24/sports/30660250_1_tim-thomas-free-country-government
SportsNet:
http://www.sportsnet.ca/hockey/2012/01/23/grange_on_thomas/
ESPN:
http://espn.go.com/boston/nhl/story/_/id/7495441/tim-thomas-picked-wrong-time-make-statement
Bien que mon intervention a été censurée sur son blogue, restons optimistes car la majorité des commentaires se f… de sa gueule et de son hypocrisie dans le traitement de cette nouvelle.
Et ce même dans un environnement biaisé et lourdement infecté par la go-gauche « plateau mont royal »-esque… Y’a encore de l’espoir!
Souvent quand je me dis que Hétu ne peut tomber plus bas que ça dans l’hypocrisie et le « spin » je vais sur le blogue de Lagacé et souvent il me prouve que j’ai eu tort!
Malheureusement, les médias québécois n’ont jamais cité le deuxième paragraphe de Thomas. C’était plus payant d’arrêter au premier paragraphe et de condamner ce sportif d’être à la solde des républicains.
De dire que la droite était nowhere to be found, c’est faux, elle n’était pas visible en un groupe avant le tea party après le bail out de 2008 de Bush, mais ça grognais beaucoup sur l’augmentation de la taille de l’état et le patriot act sous Bush, cette rage prend du temps a monter et s’organiser, cela a culminé en 2008. Donc le point de Lagacé est faux.
Plus d’ego que de moyens intellectuels, ça donne des individus comme Patrick Lagacé.
Si un joueur québécois avait, dans les mêmes circonstances, refusé de rencontrer Harper, ti-coune se taperait dans les mains et parlerait de patriote de l’année 😛
Lagacé: La gauche dans toute sa mauvaise foi et son hypocrisie habituelle,
Derrière le concept de liberté, on peut cacher des idées rétrogrades et ultraconservatrices. C’est l’impression que ça me donne tous ces propos de libertariens que l’on voit ici et là. Et d’être de gauche (gauchiste, devrais-je dire), c’est la pire des insultes. A quand des milices libertariennes ? : http://jeanneemard.wordpress.com/2010/03/28/les-libertariens-sont-ils-a-lextreme-droite/
« Québec presse, le média dissident » : C’est qui ce guignol qui a un blogue libertarien comme le vôtre ?
Pour Lagacé quelqu’un qui refuse une invitation de Harper au 24 Sussex est un Héros et un autre qui aurait refusé une invitation de Jack Layton à Stornoway est un zéro. Je ne crois pas que Lagacé soit à prendre au sérieux sauf lorsqu’il dit que les haïtiens sont paresseux.
Bonne critique de Lagacé, de son hypocrisie et de la crasse ignorance de ce Tartufe,
Et le tout dans un français très acceptable et sans trop anglicismes de mauvais aloi… (je pourrais pinailler mais bon)
Mes encouragements.
Ah, « Dissent is the highest form of patriotism » (La dissidence est la plus haute forme de patriotisme, c’est tout aussi bien) n’est pas de Jefferson, mais d’un marxiste…
http://www.republiquedebananes.com/en-manchette/le-cours-ecr-ecole-de-lunanimisme-politiquement-correct.html
Mon billet préféré depuis que je lis ton blog. T’a vraiment éclaté le Kamarade Lagacé, et j’ai aimé la flêche envoyer au démagogue Papitibi.
Le principe de non-agression est une pierre cardinale de la philosophie libertarienne.
Si flèche il y avait, c’était bien involontaire, je ne lis pas le blogue de ce pauvre type.
En ce qui me concerne, on devrait toujours garder à l’esprit les mots du légendaire Mike Ditka.
Dans la même lignée, Philippe Cantin a affirmé sur les ondes de 98,5, et je paraphrase, que si Thomas avait refusé d’aller à la maison blanche c’était dû à son haut salaire et que celui-ci était frustré de payer des taxes élevés! Vous pouvez écouter ces propos qui donne des intentions égoïstes à Thomas sur ce lien:
http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=122286
@ david. Un pacte de non-agression ? ça me fait plutôt rire, quand on voit la hargne qui est déversée sur ce blog et aussi sur d’autres par une armée de propagandistes. Quand on voit juste avec quelle haine le mot « gauchiste » est utilisé, ça fait peur.
peureux.
ian swanson: Va faire un tour sur le blog de Hétu, constate c’est quoi de la vraie haine, essuie ton fond de culottes, give me a break!
Voyons Tristan, il n’y a pas de gens haineux sur le hétutistan, il n’y a que des citoyens engagé.
Un bon exemple de citoyens engagé selon la gauche:
‘Obama Fanatic’ Threatens to Fill AZ Sheriff With a ‘Thousand Bullet Holes’
C’est quoi l’idée d’accuser les libertariens d’«ultraconservateurs» et de «rétrogrades» ?
La liberté, c’est digne d’une époque révolue ?
@ maxime bernard. Primo, on peut tout mettre derrière l’idée de liberté. Secondo, dans quel pays l’utopie libertarienne a réussi à s’implanter ? Aucun. Ni en Allemagne, ni dans les pays scandinaves, ni en Asie, ni au Brésil, ni même aux États-Unis…nulle part.
Il existe un ouvrage intéressant à propos de la gauche: The liberal mind, the psychological causes of political madness, par l’auteure (psychiatre) Lyle H. Rossiter. Elle explique très bien pourquoi être de gauche est plus qu’une tare au niveau du jugement, mais à la limite un trouble mental.
«De dire que la droite était nowhere to be found, c’est faux» – Qquequechosedepourri
C’est effectivement faux. Quiconque lisait les blogues en 2003 constatait ceci : la gauche attaquait Bush sur ces questions et la droite défendait Bush avec toute la vigueur dont elle est capable.
Voilà un sophisme qui est fréquemment utilisé par les anti-libertarien.
C’est un peu comme si Pasteur c’était dit: « la rage n’a jamais été soigné, donc il est impossible de soigner la rage et peut-être même qu’un remède contre la rage serait dangereux ».
Ou encore un politicien qui se dirait « il y a toujours eu de la violence, il est utopique de penser qu’il n’y aura jamais de violence, donc nous devons arrêter de traquer les meurtrier ».
Et dans le rayons des utopies, on réalise avec la crise en Europe que c’est l’idéologie gauchiste qui était une utopie.
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Lors de mes études en administration j’ai voulu approfondir mes notions de gestion des Ressources Humaines en m’inscrivant à un cours de psychopathologie pour savoir comment mieux sélectionner le personnel. C’est en lisant le livre « La personnalité Normale et pathologique que je me suis rendu compte qu’être de gauche était effectivement une sorte de pathologie. Ils ont toutes les caractéristiques. Même si j’étais jeune, j’étais féru de politique et j’ai fais le lien tout de suite. C’est à partir de ce moment où j’ai compris qu’être de gauche n’étais pas un choix ni une idéologie mais bel et bien une maladie mentale légère.
Les dretteux sont des névrotiques et la gogauche est psychotique. Deux structures complètements différentes, deux manières différentes de voir les choses. Un dretteux peut devenir gauchiste l’inverse est plus rare. David est un cas d’espèce. Bref, y’a pas personne qui va convaincre personne ici.
Je suis content que des psychiatres commencent à en parler et je suis heureux de l’avoir découvert tout seul. C’est dans ces moments là où je regrette d’avoir choisi l’ambition ($) au lieu de la psychiatrie.
« Les dretteux sont des névrotiques et la gogauche est psychotique. »
« Un dretteux peut devenir gauchiste l’inverse est plus rare. David est un cas d’espèce. »
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Un méchant cas psychiatrique, oui !
Encore une fois la gauche se surpasse par la grande intelligence de ses arguments…
Pourquoi j’avancerais des arguments, respectable (sic) a tout mâché le travail.
D’ailleurs, pourquoi perdre son temps à argumenter avec « monsieur je sais tout ». Qu’on disent n’importe quoi tu t’arranges pour faire une pirouette pour essayer de (te) convaincre que tu as raison. En fin de compte je ne fais que gagner du temps, je te donnes raison sur tout, absolument tout.
Allez, continues ton bon travail, à défaut de convaincre qui que ce soit au moins tu en fais rire une bonne gang avec tes délires et tes niaiseries.
Pendant que la gauche insulte, moi je m’en tient au FAITS:
The Road to Serfdom
Friedrich A. Hayek
No less significant is the intellectual history of many of the Nazi and Fascist leaders. Everyone who has watched the growth of these movements in Italy or in Germany has been struck by the number of leading men, from Mussolini downward (and not excluding Laval and Quisling), who began as socialists and ended as Fascists or Nazis.
And what is true of the leaders is even more true of the rank and file of the movement. The relative ease with which a young communist could be converted into a Nazi or vice versa was generally known in Germany, best of all to the propagandists of the two parties. Many a university teacher during the 1930’s has seen English and American students return from the Continent uncertain whether they were communists or Nazis and certain only that they hated Western liberal civilization.
It is true, of course, that in Germany before 1933, and in Italy before 1922, communists and Nazis or Fascists clashed more frequently with each other than with other parties. They competed for the support of the same type of mind and reserved for each other the hatred of the heretic. But their practice showed how closely they are related. To both, the real enemy, the man with whom they had nothing in common and whom they could not hope to convince, is the liberal of the old type.
While to the Nazi the communist, and to the communist the Nazi, and to both the socialist, are potential recruits who are made of the right timber, although they have listened to false prophets, they both know that there can be no compromise between them and those who a really believe in individual freedom.
Lest this be doubted by people misled by official propaganda from either side, let me quote one more statement from an authority that ought not to be suspect. In an article under the significant title of « The Rediscovery of Liberalism, » Professor Eduard Heimann, one of the leaders of German religious socialism, writes:
« Hitlerism proclaims itself as both true democracy and true socialism, and the terrible truth is that there is a grain of truth for such claims–an infinitesimal grain, to be sure, but at any rate enough to serve as a basis for such fantastic distortions. Hitlerism even goes so far as to claim the role of protector of Christianity, and the terrible truth is that even this gross misinterpretation is able to make some impression. But one fact stands out with perfect clarity in all the fog: Hitler has never claimed to represent true liberalism. Liberalism then has the distinction of being the doctrine most hated by Hitler. »
It should be added that this hatred had little occasion to show itself in practice merely because, by the time Hitler came to power, liberalism was to all intents and purposes dead in Germany. And it was socialism that had killed it.
While to many who have watched the transition from socialism to fascism at close quarters the connection between the two systems has become increasingly obvious, in the democracies the majority of people still believe that socialism and freedom can be combined. There can be no doubt that most socialists here still believe profoundly in the liberal ideal of freedom and that they would recoil if they became convinced that the realization of their program would mean the destruction of freedom.
So little is the problem yet seen, so easily do the most irreconcilable ideals still live together, that we can still hear such contradictions in terms as « individualist socialism » seriously discussed. If this is the state of mind which makes us drift into a new world, nothing can be more urgent than that we should seriously examine the real significance of the evolution that has taken place elsewhere.
Although our conclusions will only confirm the apprehensions which others have already expressed, the reasons why this development cannot be regarded as accidental will not appear without a rather full examination of the main aspects of this transformation of social life. That democratic socialism, the great utopia of the last few generations, is not only unachievable, but that to strive for it produces something so utterly different that few of those who now wish it would be prepared to accept the consequences, many will not believe until the connection has been laid bare in all its aspects.
Everyone who has watched the growth of these movements in Italy or in Germany has been struck by the number of leading men, from Mussolini downward (and not excluding Laval and Quisling), who began as socialists and ended as Fascists or Nazis.
Who began as socialists and ended as Fascists or Nazis
au lieu de faire de bête copier/coller, tu devrais commencer à comprendre ce qu’ils disent tes textes.
Là, dès le premier paragraphe, tu viens de me donner raison sur ce que je te disais hier:
Le Hitler de ’33 pouvait être gauchiste mais ce n’est vraiment pas le même homme qui a fait les atrocités ’39 – ’45
Viens pas demander pourquoi je te considère comme un clown insignifiant après ça.
C’est comme l’autre p’tit troll un peu plus haut, il a lu qu’une psy avait écrit que la gauche était atteinte de maladie mentale donc automatiquement tous les gauchistes sont des malades mentaux.
Essayer d’être plus simpliste que ça, impossible.
Demandez vous maintenant pourquoi vous ne convaincrez jamais personne de devenir libertarien avec vos conneries d’enfants d’école.
Long soupir…
Que dit le texte, immédiatement dans le paragraphe suivant ?
The relative ease with which a young communist could be converted into a Nazi or vice versa was generally known in Germany, best of all to the propagandists of the two parties. Many a university teacher during the 1930’s has seen English and American students return from the Continent uncertain whether they were communists or Nazis and certain only that they hated Western liberal civilization.
It is true, of course, that in Germany before 1933, and in Italy before 1922, communists and Nazis or Fascists clashed more frequently with each other than with other parties. They competed for the support of the same type of mind and reserved for each other the hatred of the heretic. But their practice showed how closely they are related. To both, the real enemy, the man with whom they had nothing in common and whom they could not hope to convince, is the liberal of the old type.
While to the Nazi the communist, and to the communist the Nazi, and to both the socialist, are potential recruits who are made of the right timber, although they have listened to false prophets, they both know that there can be no compromise between them and those who a really believe in individual freedom.
CQFD
Merci d’être un digne représentant de la gauche.
Maniaque,
Primo, le p’tit troll comme tu te plais à dire n’a jamais affirmé ni conclut que tous les gauchistes sont des malades mentaux. J’ai simplement fait référence à l’opinion du Dr. Rossiter, psychiatre. Je suis certain que tu sauras trouver une opinion scientifique opposée qui te conforteras dans tes croyances.
Secundo, je ne tenterai jamais de convaincre quiconque de l’aile gauche de virer libertarien. Peine perdue. Ce serait comme vouloir convertir un islamiste pur et dur aux vertus du christianisme. On ne convainc que les indécis et non pas les porteurs de drapeaux.
@ManiHacK
Parce que le Hitler de 1933 n’était pas déjà un salaud?
Parce que le Hitler de 1933 n’avait pas déjà écrit « Mein Kampf »? Il n’avait pas déjà créé la S.A.? Il n’a pas cette année là incendié le Reichstag? Il n’allait pas dès l’année suivante ordonner la nuit des longs couteaux?
Le Hitler de 1933 n’avait pas déjà les mains maculées de sang?
@Manihack : Voici 2 exemples simples sur des centaines que j’ai pu interpréter
1) Pour un gauchiste, tout est de la faute des autres, ils ont tous les droits et aucune responsabilité. (Typique de la gauche)
2) Pour un droitiste, s’il y a problème conjugal son problème sera son rival (compétition) pour un gauchiste son problème sera sa femme (fusionnelle). (Typique de la gauche de contrôler son environnement et d’empêcher les autres de vivre. Vivre et laisser vivre n’est pas l’adage d’un gauchiste.
Il va sans dire que ça ne fonctionne pas dans 100% des cas mais dans une majorité de cas. Si vous n’aimez pas le terme pathologie remplacer le par structure de personnalité avec trouble de caractère léger. D’ailleurs, vos commentaires dénotent justement ce trouble de caractère.
Il y a suffisamment de stock là pour quelqu’un qui se cherche un sujet de thèse de PH.D en psychiatrie. En psychologie? Hum! » Ça attire pas les rationnels cette science. Mieux vaut laisser tout ça dans les mains de la médecine. Étant moi-même amateur de psychanalyse, je n’aime pas quand ça dévie. Alors je sélectionne bien mes auteurs.
Au plaisir
On ne lit pas les même blogue Malaf, culminant vers 2008 la grogne contre Bush étais énorme au niveau du grossissent de la taille de l’état. Donc faux archi faux. Les tea party étais la culmination de cette grogne qui a eu lieu à la fin du terme de Bush.
Mon cousin vie au USA et me passait ces faits duscuter par la droite au USA bien avant 2008, il est libertarien tea party très convaincu. Alors arrête de démontrer ton ignorance.
Sérieusement Malaf arrête de lire les média de gauche québécois ou européen pour te faire une idée de ce qui se passe au USA, tu sera mieux informer.
Par exemple cet article de 2007 qui décrit la grogne donc je parle:
http://www.washingtonmonthly.com/features/2007/0712.greenberg.html
Alors Malaf merci encore de démontrer ta grande ignorance et ton arrogance de penser être bien infirmer sans avoir supporter ce que tu affirme, David à le grand mérite de supporter d’actuellement ce qu’il affirme, toi tu n’est que le vent de l’ignorance crasse qui croit avoir la raison. Rien se pire que de débattre avec un ignorant qui crois tout savoir.
Ciel, une faute de syntaxe: j’aurais dû écrire « qui te confortera ».
Qqchose.de.pourri
T’étais où à l’époque du Patriot Act et au début de la guerre en Irak? Moi je lisais ce blogue (sans y participer), et David et ses amis défendaient Bush bec et ongles contre les méchants gauchistes qui pourfendaient Bush. Va voir les archives et crisse-moi patience.
[…] « Arguing with Idiots: Patrick Lagacé« , Antagoniste.net, le 26 janvier 2012. Partager :Autres articles au hasardLes sales méthodes du HezbollahFidel Castro, la fin d’un tyranPissou !Une question de bon sensRue Frontenac : censure ordinaire Hockey, Politique 98.5fm, Cogeco, Dutrizac, Jean-Charles Lajoie, KKK, Tim Thomas Suicide politique Le NPD en « chambre » […]
[…] « Arguing with Idiots: Patrick Lagacé« , Antagoniste.net, le 26 janvier 2012. Partager :Autres articles au hasardLes sales méthodes du HezbollahFidel Castro, la fin d’un tyranPissou !Une question de bon sensRue Frontenac : censure ordinaire Hockey, Politique 98.5fm, Cogeco, Dutrizac, Jean-Charles Lajoie, KKK, Tim Thomas Suicide politique Le NPD en « chambre » […]