Débat épique à LCN à propos des indignes entre Éric « Le Rationnel » Duhaime et Jean « L’émotif » Barbe…
Un débat qui oppose clairement dans le coin gauche l’émotion et dans le coin droit la raison. On ne peut que se bidonner quand Éric Duhaime demande à Jean Barbe de lui donner ses chiffres et que ce dernier répond: « je ne donne pas de chiffres ».
L’argumentaire complètement farfelu de Jean Barbe se résume à un point qu’il a répété à de nombreuses reprises dans le débat: depuis trente ans, le néolibéralisme a grandi au Québec, donc le constat d’échec est imputable au néolibéralisme.
Vraiment, depuis trente ans le Québec serait devenu plus néolibéral…. Allons voir ce que disent les chiffres…
Au tout premier coup d’oeil, on peut immédiatement constater qu’il est ridicule d’affirmer que le néolibéralisme a grandi au Québec depuis trente ans. Le Québec est l’une des provinces, avec l’Île-du-Prince-Édouard, où l’indice de liberté économique (le degré de néolibéralisme) a le plus stagné. Ces deux provinces ont été les seules à être incapables de remonter au-dessus du niveau d’avant la récession de 1990.
À l’échelle canadienne, nous étions dans le peloton de queue en 1981 et nous étions toujours dans le peloton de queue en 2007. Quand on étend l’analyse aux 60 provinces et états d’Amérique du Nord, le Québec occupait la 56e position en 1981 et la 59e position en 2007 ! Notre meilleur résultat fût obtenu en 1988 avec une misérable 55e position !
Dans son analyse Jean Barbe admet l’échec du modèle actuel, je suis d’accord avec cette conclusion. Or, comme un peut le voir, le modèle actuel n’est pas néolibéral, mais bien socialiste. Conclusion, le constat d’échec est imputable non pas au néolibéralisme, mais aux politiques socialistes qui se sont succédé depuis près de trente ans ! CQFD
Mais Jean Barbe a-t-il raison de craindre autant le néolibéralisme ? Faisons un « zoom » sur le Québec pour voir ce qu’il en est…
Non seulement il est impossible d’associer la libéralisation de l’économie à une augmentation significative du taux de pauvreté, mais la tendance générale semble plutôt indiquer que les réformes néolibérales s’accompagnent d’une diminution de ce taux; chaque fois que l’indice de liberté économique passe au-dessus de 4,2 la pauvreté diminue.
Le verdict est sans appel, le raisonnement de Jean Barbe est un château de cartes qui s’écroule à la première brise.
Sources:
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Tableau 202-0802 / Economic Freedom of North America
Un gauchiste, il te vomi sa réthorique apprise par coeur qui saute comme un vieux disque, et il la répète tellement de fois que certains finissent par y adhérer.
Dans ce débat, Jean Barbe a martelé la bonne vieille réthorique gogauche si connue au Québec là ou Éric Duhaime a appuyé ce qu’il avance sur des chiffres, des données et des faits.
Comme toujours, la gauche fait appel à l’émotion des gens, à leur côté « petit gamin/gamine », là où la droite s’adresse à la rationalité et à l’intelligence des gens (ou du moins prend pour acquis qu’il y a trace d’intelligence… dans certains cas j’en doute)
Sur la page Facebook de Duhaime, Barbe est arrivé avec sa bande d’acolytes de gauche et d’Occupons-Montréal pour « flooder » et se péter les bretelles, comme quoi il s’en était très bien sorti dans le débat, et comme quoi Duhaime disait des imbécilités… c’était de toute beauté 😉 Quand la gauche se fait malmener, elle devient agressive et difficile à côntrole.
Ce barbe me fait penser à Victor-Lévy Beaulieu en train de parler d’Israel: beaucoup de son peu de sens. Parions que ces deux-là excellent dans la fiction!
En Angleterre, en Irlande, aux USA, en Islande, etc. Ils ont dû également faire du socialisme pour que ça aille si mal. C’est bien connu…Les gauchistes sont responsables de la crise actuelle.
je ne connaissais pas Jean Barbe
wow quel déconnecté
Barbe me semble plus intéressé par lui-même que par les indignés. C’est lui-même qui se met à genoux pour avoir l’entrevue et il arrive avec son col Mao. C’est pas du théâtre.
Enfin, il ressort les arguments pro-manifestation habituels.
Un des problèmes de ce « siège » c’est que les indignés ne cherchent pas à obtenir quelque chose. Car eux-mêmes ne connaissent pas ce qu’ils veulent. La civilisation qu’ils désirent s’en vient. Ils n’ont qu’à attendre. Nous sommes à l’aube de celle-çi. Mais ça prends du temps. On fermera pas les banques demain matin pour faire plaisir à ces jeunes. C’est un long processus et c’est grâce au technologie de l’Information que nous parviendrons tous à vivre dans un monde plus démocratique et plus juste et équitable.
Les pays voyous de demain sont ceux qui ne chargeront pas d’impôt aux corporations etc. On ne pourra pas toujours se faire compétition entre nous.
La prochaine guerre mondiale sera économique et après, lorsque nous serons tous « à boutte » nous pourrons enfin respirer. Mais nous devons laisser l’histoire suivre son cours.
C’est un fait connu des gens qui s’y connaissent en économie.
Prenons les USA:
Aux États-Unis, le "Federal Register" est un document qui regroupe l'ensemble des régulations adoptées par le gouvernement américain. Voici comment la taille du "Federal Register" a évolué aux États-Unis depuis 1940.
L'économie américaine a connu une brève période de déréglementation sous Reagan, mais le niveau de réglementation a été augmenté par les présidents qui ont suivi.
C'est sous le règne de George W. Bush que le niveau de réglementation a été le plus élevé depuis 1940. Durant les 8 ans de sa présidence, le "Federal Register" a compté en moyenne 76 000 pages/milliard de dollars de PIB. La 2e présidence la plus réglementée fut celle de Jimmy Carter avec 73 000 pages/milliard de dollars de PIB suivie de celle de Bill Clinton avec 71 000 pages/milliard de dollars de PIB.
Bref, quand les médias tentent de faire du "laissez-faire" le bouc émissaire de la crise, vous saurez qu'on vous ment.
Source:

21st Century Regulation: Discovering Better Solutions to Enduring Problems
Selon une légende urbaine retrouvée dans les médias, George Bush, ce politicien néoconservateur à l'idéologie néolibérale (!), aurait causé la crise financière en déréglementant à outrance l'économie américaine.
Rien de plus faux. Voici comment a évolué l'indice de liberté économique aux États-Unis depuis les années 70:
Durant les années qui ont précédé l'arrivée de Bush, l'indice a connu une progression constante. Lorsque Bush est arrivé au pouvoir, l'indice de liberté économique aux États-Unis avait atteint un sommet à 8,6/10 ce qui était bon pour une 2e place à l'échelle de la planète. En 2006, cet indice avait reculé à 8,0/10 ce qui était bon pour une 8e place.
Voici comment a évolué la réglementation dans le marché du crédit, un paramètre qui entre dans le calcul de l'indice de liberté économique:
Sous Bill Clinton, il y a eu une forte réglementation du crédit (1995). Lorsque Bush est arrivé au pouvoir, l'indice de liberté était de 9,14/10 ce qui était bon pour une 11e place à l'échelle de la planète. En 2006, cet indice avait légèrement progressé pour atteindre 9,37/10 mais de manière globale les États-Unis ont été relégués à la 23e position. C'est donc dire que de nombreux pays ont déréglementé leur système financier de manière beaucoup plus agressive que les États-Unis.
Parmi les pays qui devançaient les États-Unis en 2006 dans la déréglementation du crédit:
Bush n'a pas été un dérégulateur, mais un régulateur. Dans les jours à venir, je vais montrer comment cette régulation a été un élément important dans le déclenchement de la crise.
Source:

Economic Freedom of the World 2008 Annual Report
J'ai déjà écrit 2 billets sur l'augmentation du niveau de réglementations de l'économie américaine (ici & ici). Mais augmenter le nombre de réglementation sans augmenter le budget des agences chargées de leurs applications revient à donner un coup d'épée dans l'eau.
Voici donc comment ont évolué les sommes consacrées à la régulation de l'économie (gardez en tête que l'on accuse Bush d'avoir causée la crise en déréglementant massivement le secteur financier):
Voici l'évolution des dépenses de réglementation de l'économie en fonction des présidences:
Depuis le milieu des années 80, les budgets consacrés aux agences de réglementation de l'économie ont constamment augmenté, notamment avec Bush Jr.
On ne peut donc pas accuser la déréglementation ni le dernier président républicain d'avoir causé la crise en prônant le laissez-faire économique.
Source:

Regulatory Agency Spending Reaches New Height: An Analysis of the U.S. Budget for Fiscal Years 2008 and 2009
Tu as des impressions, moi j’ai des faits:
Depuis les années 90, le gouvernement américain a forcé les institutions bancaires à relâcher le crédit hypothécaire pour favoriser l’achat d’une propriété par les moins nantis. Parmi les réglementations adoptées, sous le couvert de la lutte contre la discrimination, il y a eu le Equal Credit Opportunity Act. Voici un extrait d’un guide, préparé par la Réserve Fédérale en 1992 à l’intention des banques, leur rappelant que ces dernières s’exposent à des poursuites si elles font preuve de « discrimination » dans l’attribution des prêts hypothécaires.
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« Did You Know? Failure to comply with the Equal Credit Opportunity Act or Regulation B can subject a financial institution to civil liability for actual and punitive damages in individual or class actions. Liability for punitive damages can be as much as $10,000 in individual actions and the lesser of $500,000 or 1 percent of the creditor’s net worth in class actions. »
Voici les conditions aberrantes fixées par le Equal Credit Opportunity Act:
Une tonne de réglementation qui a joué un rôle dans le déclenchement de la crise en incitant, voire en obligeant, les banques à donner du crédit à des gens insolvables.
Depuis le début des années 90, le gouvernement américain a adopté ou appliqué agressivement un nombre important de réglementation pour forcer les institutions financières à augmenter l'offre de crédit hypothécaire. Parmi ces régulations, on compte le Equal Credit Opportunity Act, le Fair Housing Act et le Community Reinvestment Act. Toutes ces régulations ont été adoptées sous le couvert de la lutte contre la discrimination.
Voici un extrait d’un guide, préparé par la Réserve Fédérale en 1992 à l’intention des banques. Ce guide rappelle aux banques qu'elles doivent se conformer aux réglementations anti-discrimination sans quoi elles seront poursuivies. Voici comment la Réserve Fédérale explique sa démarche:
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« The Federal Reserve Bank of Boston wants to be helpful to lenders as they work to close the mortgage gap [higher rejection rate for minorities]. For this publication, we have gathered recommendations on “best practice” from lending institutions and consumer groups. With their help, we have developed a comprehensive program for lenders who seek to ensure that all loan applicants are treated fairly and to expand their markets to reach a more diverse customer base. »
La Réserve Fédérale constate que les minorités ont un accès moins grand au crédit que le groupe majoritaire. Par conséquent, cette dernière exige que l'écart dans l'attribution du crédit entre les mieux nantis et les moins nantis soit réduit. Autrement dit, la Réserve Fédérale demande aux banques d'augmenter quantité de prêts hypothécaires en prêtant à ceux qui normalement sont refusés.
Pour les organismes de réglementation, si un groupe est moins susceptible d'avoir accès à un prêt hypothécaire, ce n'est pas une question de solvabilité, mais de discrimination. Pourtant, étant donné la féroce compétition qui existe dans le monde de la finance, on imagine mal comment une banque refuserait de faire un prêt qui lui serait profitable uniquement pour le plaisir de discriminer un groupe minoritaire. Faire de la discrimination en refusant de prêter à des gens qui sont solvables priverait la banque de profits qui pourraient se retrouver chez son compétiteur.
On se rend rapidement compte que les lois "anti-discriminations" n’ont pas pour conséquence la réparation d'une injustice, mais plutôt l'obligation pour les banques d'accorder des prêts à des gens avec une mauvaise cote de crédit.
Voici comment le comportement de la Réserve Fédéral se traduit dans la réalité:
Source:

The 2006 HMDA Data
Cette semaine, j'ai publié 2 billets (ici & ici) montrant comment l'imposante réglementation adoptée par le gouvernement américain, sous prétexte de lutter contre la discrimination, a joué un rôle dans le déclenchement de la crise en incitant, voire en obligeant, les banques à donner du crédit à des gens insolvables.
De manière très concrète, voici comment l'État a imposé sa volonté aux banques.
Dans cet article datant de 1998, on apprend que le Department of Housing and Urban Development est parvenu à une entente hors cours avec Accubanc Mortgage Corporation, une banque du Texas qui avait été accusée de pratiques discriminatoires dans l'attribution de ses prêts hypothécaires.
En vertu de cette entente, "Accubanc Mortgage Corporation" a accepté de verser une pénalité 2,8 milliards de dollars (constants) en prêts hypothécaires à des gens qui avaient préalablement refusé.
Voici comment Andrew Cuomo, le secrétaire du "Department of Housing and Urban Development" a expliqué cette décision en 1998:
Le message envoyé par les autorités réglementaires en place à Washington était clair: les banques doivent consentir des prêts aux groupes minoritaires mêmes si ces gens présentent un plus grand risque pour le créancier.
Bref, au lieu de laisser le libre-marché dicter aux banques le niveau de risque acceptable lors de l'attribution d'un prêt hypothécaire, le gouvernement a décidé d'imposer aux institutions financières un modèle de gestion du risque qui n'était pas soutenable.
On se rend rapidement compte que les lois "anti-discriminations" n’ont pas été adoptées pour réparer des injustices, on a plutôt forcé les banques à prendre des risques inconsidérés pour que des politiciens puissent racoler des électeurs.
Ainsi est né le subprime; ainsi a débuté la crise…
Ce n'est pas le capitalisme qui a failli, c'est l'interventionnisme de l'État.
Quelques chiffres intéressants sur l'évolution du taux d'épargne et de propriétaires aux États-Unis.
Durant 30 ans, le taux d'épargne et la proportion de propriétaires aux États-Unis ont été relativement stables. Mais au début des années 90, la machine s'emballe: le taux d'épargne chute dramatiquement alors que le nombre de propriétaires explose.
Que s'est-il passé ?
En 1994, Bill Clinton a introduit le "The National Homeownership Strategy". Ce plan, qui s'ajoutait aux mesures anti-discriminations déjà adoptées (ici, ici et ici), était constitué d'une série de régulations du marché financier et de plusieurs mesures incitatives pour que les banques soient moins sélectives dans l'attribution de prêts hypothécaires.
Il est donc devenu possible pour des gens à faible revenu d'acheter une maison sans avoir une mise de fond substantielle.
C'est aussi à cette époque que Bill Clinton a demandé à Fannie Mae et Freddie Mac, deux organismes parapublics de financement hypothécaire, de faciliter le crédit des gens considérés comme insolvable par les banques.
Conséquence de l'intervention du gouvernement ?
Au lieu d'épargner, les gens ont plutôt participé à la création d'une bulle immobilière. Bulle qui a fini par éclater.
Ce n'est pas le capitalisme qui a failli, c'est l'interventionnisme de l'État.
Sources:
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Personal Saving Rate / Homeownership Rates by Area
Depuis le début du mois de mars, j'ai montré que la déréglementation dont parlent les médias est un mythe (ici, ici & ici). J'ai aussi fait la démonstration que la crise actuelle a été causée par l'intervention du gouvernement dans le marché immobilier (ici, ici, ici & ici)
Voici un petit vidéo de 7 minutes produit par le "Center for Freedom and Prosperity Foundation" qui fait une synthèse de plusieurs arguments que j'ai avancés depuis quelques semaines. À voir absolument !
People willing to trade their [economic] freedom for security deserve neither and will lose both.
Le "Community Reinvestment Act" (CRA) est une loi qui a été votée en 1977 par Jimmy Carter pour favoriser l'accès à la propriété des classes défavorisées. En 1995, Bill Clinton a réécrit la loi pour lui donner plus de pouvoir. Une des clauses bonifiées à cette époque stipulait que pour fusionner, des banques devaient réserver une partie plus importante de leur capital pour faire des prêts hypothécaires à risque.
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Concrètement, voici les conséquences de cette politique:
Le CRA mis en place par Bill Clinton a contraint les banques à accorder 4,5 billions de dollars de prêts hypothécaires aux classes défavorisées*.
Cette somme a participé au gonflement de la bulle immobilière parce que la demande accrue causée par le CRA s'est propagée à la totalité du secteur résidentiel, contaminant ainsi le marché qui n'était pas directement visé par le CRA.
En Irlande et Islande, l’intervention, notamment des banque centrale, est aussi directement responsable.
C’est important de bien nommer les choses : les États-Unis, l’Irlande, l’Islande connurent des gouvernements étatistes, fortement interventionnistes, qu’ils soient « de gauche » ou « de droite ».
Peu importe la couleur ou la direction, tous semblaient s’accorder sur le fait que c’était dont bon de faciliter l’accès au crédit pour que tout le monde puisse acheter sa maison, ou son condo.
En même temps, ça pourrait booster le PIB et créer plein d’emplois dans le secteur immobilier et financier (temporairement… le temps d’une bulle)…
La banque centrale devait doper le marché, en prêtant pour presque rien à qui voulait bien de l’argent; les législateurs devaient punir ceux qui refusaient de prêter aux gens insolvables; des organismes parapublics ou supportés par les gouvernements, plus que jamais, devaient rassurer les banques et les particuliers en leur disant qu’ils peuvent emprunter comme ils veulent, tant qu’ils veulent, on payera s’il y a un pépin.
En voulant se mêler de la vie des gens en les incitant à s’endetter fortement pour « stimuler artificiellement » (et brièvement !) l’économie, les gouvernements ont fait plus de tort que de bien.
En s’endettant massivement après le début de la crise en 2007-2008, plutôt que de laisser le marché se restructurer et faire en sorte que les banques bidons (« zombie banks ») et les compagnies de construction peu ou pas rentables disparaissent, les gouvernements n’ont fait que maintenir une structure insoutenable… au prix de milliards de plus qui s’ajoutèrent aux dettes nationales déjà colossales.
Les problèmes actuels viennent des gouvernements, des politiciens interventionnistes.
Il serait mensonger de mettre cela sur le dos de vrais partisans du libre-marché, du capitalisme libéral, comme un Ron Paul ou un Peter Schiff. Des fervents opposants au socialisme, à l’interventionnisme et au copinage/corporatisme État/politiciens-grands lobbys, copinage qui a une taille proportionnelle à la taille d’un État et qui s’arrête aux limites fixés aux politiciens, aux choses dans lesquelles ils ne peuvent s’ingérer.
« C’est un fait connu des gens qui s’y connaissent en économie.»
Des économistes qui n’avaient pas prédit la crise ! Ils n’ont aucune crédibilité.
Voilà un article qui date de 2007 et qui explique bien ce qui s’est passé et ce qui se passe actuellement :
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1511
Les économistes de l’école autrichienne ont prédit la crise dès le début années 2000:
Voici une liste d’économistes, identifiés à l’école autrichienne, qui ont prédit que les taux (trop bas) de la FED et les politiques d’accession à la propriété allaient créer une bulle immobilière qui finirait par provoquer une crise:
Je retiens tout spécialement cette citation de Ron Paul (juillet 2002):
Like all artificially-created bubbles, the boom in housing prices cannot last forever. When housing prices fall, homeowners will experience difficulty as their equity is wiped out. Furthermore, the holders of the mortgage debt will also have a loss. These losses will be greater than they would have otherwise been had government policy not actively encouraged over-investment in housing. […]
Mr. Speaker, it is time for Congress to act to remove taxpayer support from the housing GSEs before the bubble bursts and taxpayers are once again forced to bail out investors misled by foolish government interference in the market. »
Et pendant que les économistes autrichiens sonnaient l’alarme, Paul Krugman (keynésien & idiot du village) de son côté racontait que la création d’une bulle immobilière était une bonne chose.
Krugman disait que l’EURO et l’UE était un succès économique génial il y a pas si longtemps. Le pire c’est que ces gauchistes là n’ont même pas honte d’être incompétents. Pour eux c’est toujours de la faute des autres.
Oh Ísland, svo mikið heimska sagt í nafn þitt
(tellement que j’en ai fait un blogue!)
Et voilà que Paul Krugman réalise que les bailouts, ça vaut rien…
http://www.rtbf.be/info/economie/detail_laisser-les-banques-faire-faillite-la-recette-de-la-relance-islandaise?id=7042033
Ce Jean Barbe possède un grand talent que l’on retrouve aussi chez un certains nombre de politiciens professionnel du style Denis Coderre ou Jack Layton.
Il est capable de regarder directement le »kodak » et de bullshitter en ayant un grand sourire dans le visage et sans exprimer le moindre signe de remord. C’est un talent rare pcq chez la majorité des gens, quand ils se mettent à faire de la bullshit on peut percevoir leur malaise.
Il n’a aucune idée de ce qu’il dit, ce qu’il dit c’est n’importe quoi, mais tout ce qui compte avec le bullshitteur professionnel ce n’est pas ce qui est dit mais comment c’est dit. Le contenant > au contenu.
Le bullshitteur professionnel est capable de croire ses propres mensonges, c’est ce qui fait sa force.
Le bullshitteur pense aussi avoir des traits d’esprit géniaux. Comme quand il dit à Éric Duhaime: « japper moins et écouter votre coeur ». L’arrogance sur son visage quand il fait cette déclaration est difficile à rater. Pourtant, la répartie était insignifiante et montrait à quel point Jean Barbe n’était pas de taille quand la discussion portait sur les faits. Il a donc été obligé de ramener la discussion sur le terrain des émotions. Il est plus facile de s’adresser aux émotion des gens (populisme, démagogie) qu’à leur raison. L’un demande un effort intellectuelle et pas l’autre. C’est pour cette raison que la droite a toujours une tâche plus ardue dans les débats. Elle doit expliquer ce que les gens ne voient pas (ce qui est abstrait) alors que la gauche a uniquement besoin de traiter l’autre de sans coeur.
La note D pour l’élève Barbe.
Barbe=Hourts
C’est assez fantastique de voir comment la gauche à la conviction de sa supériorité morale. Donc, comme la gauche se drape de cette supériorité morale, pas besoin d’arguments sérieux, rationnels, et liés à la réalité. On n’a qu’à dire que les autres sont sans coeur, froids, monstrueux et, pendant longtemps, ça permettait de clore le débat. Je m’aperçois depuis un certain temps que des idées nouvelles, des idées de libertarisme, font leur apparitions. Bravo Éric Duhaime et Antagoniste.net.
Arguing with idiots : L’abolition du financement publique aux partis politiques, et bien voilà ce que ca donne avec les gens de la droite, la fraude finance tous
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2011/11/10/003-entente-conservateurs-elections-canada.shtml
@ David
Relisez l’article que j’ai mis en lien.
La crise vient essentiellement d’un problème de répartition des richesses, d’un problème de demande. La hausse de la productivité n’a nullement profité aux salariés…ceux qui par leur consommation font marcher l’économie. Avec le développement de la finance, il est devenu plus facile pour certains de faire de l’argent, des profits en spéculant plutôt qu’en investissant dans l’économie et dans les salaires. Or, l’endettement des ménages est venu masquer cette perte de pouvoir d’achat. la consommation a continué pendant des années à être le moteur de la croissance alors que les gens perdaient en pouvoir d’achat…et s’endettaient.
Aujourd’hui, on a trouvé comme solution de s’attaquer à l’état providence, le même qui a permis à la population d’accepter plus volontiers pendant des années les règles du capitalisme avant que vers les années 80, on commence à sabrer. On s’attaque aussi au pouvoir d’achat et donc à la demande avec des plans d’austérité intenables. Attendez de voir si la population va continuer à accepter cela.
C’est sans parler que même si des politiciens comme Berlusconi, on est content de s’en débarrasser… ce n’est pas le peuple qui, ni par son vote, ni par ses manifs des derniers mois, a permis qu’il s’en aille. C’est le monde de la finance et des agences de notation qui ont le pouvoir sur le peuple et la démocratie. Incroyable !
A propos de Berlusconi : http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=12417
On augmente les peines pour les jeunes contrevenants mais son propre parti n’a qu’une ptite peine de rien lorsqu’ils fraudent.,. hum
La droite un système à 2 vitesses
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2011/11/10/003-entente-conservateurs-elections-canada.shtml
Les faits reproché ce sont déroulé en 2006, quand les parti politique étaient toujours subventionné avec nos taxes.
FAIL !
C’est un argument ridicule pour 2 raisons.
1-Si les crises sont causées par les écarts de richesses, alors ça voudrait dire que les pays communistes ne serait jamais affecté par des crises économique.
2-Les pauvres ce sont enrichi même si les écart ont augmenté, donc pas de baisse de demande.
Tout investissement, sans exception, est de la spéculation !
Et le lien avec le billet c’est ?
Ouvres ton blogue si tu veux parler de Berlusconi.
Si les pédos ne font que 2 ans de prison, ce qu’on reproche au conservateurs ne mérite même pas d’être mentionné.
On donne des absolution inconditionnelle pour des vols qualifiés alors pourquoi s’attarder sur les Infinitésimals écarts de conduite des conservateurs. Soyons conséquents.
T’es pas vite-vite David.
Tout les gens civilisés savent qu’il faut punir avec une sévérité extrême tout crime qui implique de l’argent. L’argent c’est sale, c’est le mal suprême.
Pour le québécois lambda un crime économique est bien pire qu’un pédo qui vole une enfance.
Triste mais vrai… Dans la population un Vincent Lacroix cause plus d’indignation que l’arrestation d’un pédophile.
Dans ta face Eric Duhaime : http://voir.ca/chroniques/theologie-mediatique/2011/11/09/eric-duhaime-vs-occupons-montreal-la-religion-dans-les-limites-de-la-simple-maison/?edition=estrie
Frivières a raison.
Lacroix a reçu une sentence jugé de 13 ans au pénal (de mémoire)jugé illégale par la cour d’appel et ramené à 5 ans (la sentence maximale au pénal).
Dans un courriel expédié à Yves Boisvert le meilleur chroniqueur judiciaire criminel je lui ai demandé pourquoi l’AMF va-t-elle s’acharner en appel avec Lacroix alors qu’elle sait la sentence illégale? Il m’a répondu : « Pour cacher son incompétence. »
Pendant qu’elle frappe sur Lacroix elle donne l’image d’une organisation qui mord ce qui n’est pas la réalité. L’AMF est un tout petit caniche. AMF=le juge papi. C’est pas épeurant ça là là
Au criminel sur une sentence maximal de 14 ans il a reçu 13 presque la sentence maximale. Voici ce que dit la cour suprême sur les sentences maximales : celle-çi doit être donné dans le pire des situation, le pire des cas, le pire des récidiviste bref à la pire des pourritures. Est-ce que Vincent Lacroix est le pire des cas? Pour l’Instant. Mais quelqu’un jour va battre ça. Est-ce qu’il était le pire des récidivistes? Il n’avait même pas de dossier criminel. Qui plus est, il avait une certaine défense. Il a prouvé l’Incompétence de l’AMF, le laxisme des banques, l’incompétence des gouvernements de la CDP etc.
D’un certain point de vue Lacroix a rendu service à la société en testant le système. Nous pouvons maintenant en tirer des leçons et installer des pare-feu un peu partout.
En somme, si Lacroix fut sur-sentencé et fut victime d’injustice au niveau de son droit à la parité des sentences c’est parce que l’argent c’est sale, caca ça pue.
Mes amis n’oubliez jamais ceci. Au québec c’est le nouveau testament qui mène et le Ccr :
« Il est plus aisé pour un chameau de passer par le trou d’une aiguille que pour un riche d’entrer dans le royaume de Dieu » (Matthieu).
Vous voulez être traité justement par le système ? Soyez pédophile. Pas fraudeur. Pour la première infraction vous serez la victime de la biochimie de vos testicules pour la deuxième vous serez un immonde psychopathe irrécupérable sans remord, sans conscience, non réhabilitable à bannir de la société juste bon pour l’exil.
Frivière : encore heureux que l’arrestation d’un pédophile ne cause pas d’indignation…
En lien avec le sujet du billet, je vous invite à lire ceci :
http://voir.ca/chroniques/theologie-mediatique/2011/11/09/eric-duhaime-vs-occupons-montreal-la-religion-dans-les-limites-de-la-simple-maison/
Mon passage préféré :
« Retirer aux citoyens le droit d’idéologiser dans l’espace public au nom de l’ordre établi, c’est l’envers exact du libéralisme et des valeurs démocrates. C’est tout simplement du totalitarisme.
Moins d’État et plus de police… »
C’est bon des fois d’aller chercher l’envers du décor…
C’est peut-être le lien entre les 2 qu’il te manque (un cours d’économie 101 serait nécessaire) ou que tu ne veux pas voir.
Comme je disais il y a 2 jours:
Si tu ignores le rôle des banques centrales (des institutions qui obéissent aux gouvernements des États), des organismes parapublics devant garantir les prêts, des lois visant à forcer la main des prêteurs avec les insolvables… et on pourrait également ajouter les taxes, impôts et tarifs des États obèses, qui viennent nuire à la solvabilité des ménages (c’est un poids quand plus du tiers ou de la moitié de ton salaire est redistribué à toutes sortes de quêteurs de fonds publics: des corporations, aux lobbyistes verts ou aux partisans de « l’économie sociale »), oui, cette crise pourrait être celle de la finance toute seule. De prêteurs qui, en concurrence l’un contre l’autre, décident d’adopter des décisions extrêmement risquées pour offrir de l’argent qu’ils n’ont pas en réserve à des particuliers.
Mais ce n’était pas le cas : les États obèses les poussèrent là, à coups de garanties. Après tout, ç’a l’air tellement cool une bulle dans un secteur ! Ça donne une impression [temporaire] de prospérité.
Quel hurluberlu (quel particulier ou quelle banque) irait prêter à n’importe qui et sans se garder de réserves si les politiciens des États obèses n’allaient pas leur dire « T’en fais pas, tu peux pas perdre d’aucune façon : on garantit tes prêts si on ne te paie pas, on va te pomper de l’argent à presque 0% de taux d’intérêt pour que tu puisses prêter plus encore même si tu n’as pas les fonds. »?
Et pourquoi crois tu que les conservateurs veullent abolir le financement publique ? Car ils savent très bien qu’eux seront capable d’avoir du financement par tous les moyens. Donc non, pas fail du tout mon ami.
Faux car les limites de dépenses reste (ce qui est ridicule car c’est une entrave à la liberté d’expression).
Donc Re-fail.
Le pauvre Simon Jodoin n’est pas le couteau le plus affûté de la coutellerie…
Pas assez brillant pour faire la différence entre occupation et appropriation par la force de l’espace public.
Joli sophisme pour dévier aussi radicalement de l’argumentaire traitant de totalitarisme… bravo.
Le problème David, c’est que tu mesure la légitimité d’un parti à l’argent qu’ils peuvent obtenir en donations et non pas aux votes qu’ils reçoivent, ce qui est tenu en compte avec le financement aux partis politiques.
Explique…
La subvention au parti c’est 2$/an pour 4 ans. Donc 8$ pour 1460 jours ce qui fait 0,5¢ par jour. Si tu supportes un parti politique, lui donner 0,5¢ par jour c’est rien.
Et oui la légitimité d’un parti se mesure aussi par sa capacité à se financer auprès de ses membres.
(Argumentum ad hominem ou « attaque personnelle » est formulé contre la personne qui soutient une thèse, et non pas contre la thèse elle-même.) Ainsi vous commencez par attaquer la crédibilité de Simon Jodoin au niveau de son intellect. Ensuite vous justifiez cette attaque en utilisant une rupture de corrélation face à l’argumentaire (occupation versus appropriation par la force de l’espace public). Or, l’utilisation de ce concept « appropriation par la force » est un sophisme de composition (croire que ce qui est vrai pour le tout est vrai pour les parties ou, inversement, que ce qui est vrai pour l’une des parties s’applique aussi aux autres.) Ainsi, par généralisation en vous fiant à vos préjugés et à des cas isolés, vous attribuez le blâme à l’ensemble d’un mouvement qui se veut pacifique et qui réclame l’occupation d’un espace publique de manière non-violente et symbolique tout en respectant leurs droits fondamentaux : droit de réunion pacifique, le droit de résistance à l’oppression, interdiction de l’esclavage. (Vous allez me demander en quoi ils sont esclaves ou ils se sentent oppressé?) Je m’explique : le système monétaire est basé actuellement sur de l’argent-dette. Or, l’argent est une créance sur le travail humain. Lorsque l’ensemble de l’Argent en circulation est composé d’une dette impayable puisque la somme des intérêts et de la dette est supérieure à l’ensemble de l’argent en circulation, ce qui l’augmente inévitablement de manière exponentielle, tout le travail humain à venir et nécessaire pour rembourser cet argent est infini : à mon avis, c’est de l’esclavage et de l’oppression. Quoi de plus violent que la soumission des peuples par le système monétaire actuel pour les obliger à entrer dans un engrenage de travail infini pour payer une dette à croissance exponentielle?
Source : http://jcbonsai.free.fr/cc/
Au fait, à propos de l’autre sujet concernant le financement des partis politiques, vous dites que la limite des dépenses demeure, mais le gouvernement conservateur s’en branle de cette limite : http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201111/10/01-4466613-financement-electoral-douteux-le-parti-conservateur-plaide-coupable.php
Bel essais mais c’est faux. J’ai donné la raison exploquant pourquoi le message était con (je n’ai pas uniquement attaqué le messager),
Bel essais mais c’est faux encore une fois. Le jugement rendu par un tribunal New New-yorkais aujourd’hui reprend l’argument que j’ai fait hier:
« …the movants have not demonstrated that they have a first amendment right to remain in Zuccotti Park along with their tents, structures, generators, and other installations to the exclusion of the owners reasonable rights and duties to maintain Zuccotti Park, or to the rights to public access of others who might wish to use the space safely. »
Mais Ziel, vous restez silencieux sur les fraudes du NPD?
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201111/14/01-4467787-financement-politique-le-npd-coupable-davoir-viole-la-loi.php
Dans un article sur la fraude électorale du NPD, le journaliste trouve quand même un moyen pour parler des conservateurs…
pour ce qui est de la fraude électorale du NPD, je ne connaissais pas le dossier, mais je n’ai jamais avancé que c’était « uniquement » les conservateurs qui se branlait des limites. À mon avis, il y a de la corruption dans plusieurs partis politiques au fédéral. On en a eu la preuve avec le parti Libéral…
Et David, vous avez parlé d’atteinte à la liberté d’expression… Or, le mode de scrutin actuel qui permet à un parti (peu importe lequel, je prends les conservateurs en exemple) d’atteindre une majorité absolue à la chambre des communes avec seulement 23,7% des voix du peuple n’est-elle pas une atteinte à la dite liberté d’expression de ce peuple?
C’est aux gens d’aller voter.
Let’s face it. As much as we like to talk about real changes we don’t really want to make the real choices or the real sacrifices. Unfortunately, our choices have dwindled because of inaction. We can’t afford to repeat the same mistakes (voting for political parties) over and over and expect real change. We’ve done this already! It leads to where we are today. It leads to nowhere. It has led us to insanity.
“Insanity is doing the same thing over and over and expecting a different result”
~ Albert Einstein
The government failed by regulating the economy, what we need is more government.
“Insanity is doing the same thing over and over and expecting a different result”~ Albert Einstein
Tu vois s’a s’applique pas mal plus que ton exemple
«Pas assez brillant pour faire la différence entre occupation et appropriation par la force de l’espace public.» – David
Occuper un espace public implique de facto la force. (La force du nombre).
Et il faut faire la différence entre légalité et légitimité. Enfreindre un règlement municipal est peut-être illégal, mais parfaitement légitime.
D’après vous, les Révolutions française et américaine étaient-elles légales? Non. Légitimes? Certainement.
Votre réponse à l’article de Simon Jodoin est franchement nulle.
Il n’y a strictement rien de légitime dans ce que font les indignes.
Il serait plus juste de dire que la légitimité est un concept relatif. C’est surtout un instrument de propagande pour violer les lois en se donnant bonne conscience. Et puis, tous les terroristes sont convaincus de poursuivre un combat légitime…
Vous allez me dire après ça que l’égalité entre noirs et blancs avec les marches de martin lutter king ou bien la libération de l’inde par Gandhi étaient illégales certes, mais en plus illégitimes?
Voyons donc… o.O!
Il y a une maudite différence entre le combat violent de terreur d’un terroriste qui oeuvre pour la peur et le combat non-violent d’un membre du peuple qui oeuvre pour l’amour…
Les indignes n’ont aucune légitimité, ils veulent se faire vivre par l’argent des autres.
« Les indignes n’ont aucune légitimité, ils veulent se faire vivre par l’argent des autres. »
David, vous avez tord! Voici ce que les indignés sont entrain de faire concernant l’argent :
http://uk.reuters.com/article/2011/10/31/idUK52931037820111031 http://libertysquare.permabank.cc/node
Il est temps de changer vos préjugés qui vous font imaginer qu’il n’y a que des indignés de gauche (communistes, marxistes ou collectivistes) et réaliser qu’il y a aussi des gens de droite (individualistes et pour la propriété privée) qui s’indignent et qui réfléchissent sur le système monétaire lui-même afin d’en créer un nouveau.
Le mouvement des indignés a la LÉGITIMITÉ de créer un espace démocratique afin de discuter et de trouver des solutions à un système voué à s’effondrer tôt ou tard en emportant tous les peuples de la terre dans la misère et l’esclavage.
Le constat est le même mais les solution sont aux antipodes.
Ce que veulent les indignes est illégitimes. C’est plus clair ?
Ce qu’ils veulent c’est moins de liberté et plus d’état.
Je ne vois aucunement l’intervention de l’état dans un système monétaire basé sur la communauté. En fait, ça a pour bu de décentraliser complètement tous les pouvoirs afin que chaque individu devienne souverain de sa propre création monétaire… Tout le contraire de « moins de liberté et plus d’état »
Whatever goes upon 1% is an enemy.
Whatever goes upon 99% is a friend.
No Occupier shall use soap.
No Occupier shall sleep in a bed… with cheap sheets.
No Occupier shall drink alcohol or use drug… to excess.
No Occupier shall expulse any other Occupier… without cause.
All Occupiers are equal… but some Occupiers are more equal than others