Au début, tout le monde pense que c’est une bonne idée… Des programmes bien ciblés destinés à aider des gens qui sont véritablement dans le besoin…
Mais après un certain temps, les politiciens réalisent qu’en multipliant les programmes ils peuvent gagner des votes et la population comprend qu’il est plus facile de laisser les autres travailler à leur place…
Jusqu’au moment où les parasites finissent par tuer leur hôte…
H/T: Dan Mitchell
Tiens! Dans la deuxième image, les employés du secteur public du Québec sont rendus dans le boguey… les chanceux!
http://lavitrecassee.com/2011/11/03/ineptocratie/
Ceux qui tirent sont le 1% tant décrié.
Belle diatribe pour une saine gestion de la solidarité sociale.
Ce qui est, comme le montre le billet (qui fondamentalement parle de la théorie des choix publics) impossible.