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PLO ambassador says Palestinian state should be free of Jews The Palestine Liberation Organization’s ambassador to the United States said Tuesday that any future Palestinian state it seeks with help from the United Nations and the United States should be free of Jews. « After the experience of the last 44 years of military occupation and all the conflict and friction, I think it would be in the best interest of the two people to be separated, » Maen Areikat, the PLO ambassador, said during a meeting with reporters sponsored by The Christian Science Monitor. He was responding to a question about the rights of minorities in a Palestine of the future. Israel has 1.3 million Muslims who are Israeli citizens. Jews have lived in « Judea and Samaria, » the biblical name for the West Bank, for thousands of years. Areikat said the PLO seeks a secular state, but that Palestinians need separation to work on their own national identity. Israel has often complained of anti-Semitic views in Palestinian discourse. Palestinian media frequently publishes and broadcasts anti-Semitic sermons by Islamic religious leaders, while the Hamas-run Al-Aqsa TV shows programming for preschoolers that extolls hatred of Jews and suicide bombings, according to a 2009 State Department human rights report. The PLO seeks a U.N. vote on Palestinian statehood when the U.N. General Assembly meets in New York City next week. |
La question israélienne est la nouvelle question juive
Author: Pierre-André Taguieff
Quelques jours avant le dépôt, par Mahmoud Abbas, de sa demande de reconnaissance d’un État palestinien devant le Conseil de sécurité, le 23 septembre 2011, le représentant de l’OLP aux États-Unis, Maen Areikat, a déclaré ouvertement, comme l’avaient déjà fait Mahmoud Abbas et son Premier ministre Salam Fayyad, qu’il n’y aurait pas de Juifs dans le futur État palestinien. C’est là ériger la ségrégation ethnique en fondement de l’État palestinien. Concernant les mesures à prendre concernant les Juifs indésirables, Areikat a déclaré benoîtement : « Je ne parle pas de déporter tous les Juifs, mais simplement de les expulser. » La direction palestinienne a donc osé définir publiquement sa vision d’un État palestinien ethniquement « pur ». On pourrait s’étonner de ne pas assister, en réaction, à de fortes mobilisations dans les milieux antiracistes qui prennent la mouche pour une expression équivoque ou une formulation maladroite. Mais l’on ne s’étonne plus d’apercevoir une nouvelle preuve de l’extraordinaire complaisance dont bénéficient les Palestiniens, quoi qu’ils disent ou fassent.
http://www.resiliencetv.fr/?p=9650
Certains prétendent qu’il est désormais « interdit de critiquer Israël ». On reste stupéfié devant une affirmation aussi fausse : jamais, depuis la création de l’État d’Israël, la critique systématique et[…]
Eh oui ! Tu es bien le seul David à en parler !L’ambassadeur des « palestiniens » l’AP à l’ONU, Maen Areikat a déclaré « qu’après 44 années d’occupation, il serait bon qu’en Palestine, il n’y ait pas de juifs car les Palestiniens devaient construire leur identité nationale et être séparés d’autres communautés» !!! Propos curieux pour un « peuple » qui proclame « qu’il existe depuis 9000 ans » ! Les terroristes palestiniens de sentent tellement soutenus par la communauté internationale qu’ils font sans gêne ce genre de déclarations à une semaine de l’Assemblée générale de l’ONU. Le journal « USA Today » rapporte qu’Arekat répondait à une question concernant les droits des minorités dans un futur Etat palestinien…
Allôôôô ! Radio-Canada n’a rien entendu ? n’a rien vu ? Imaginez si Netanyahou avait osé déclarer cela ! Je vous laisse deviner ! Cela fait des années qu’on le dit que « les palestiniens » veulent une palestine judenrein… Le rêve d’hitler, quoi ! Et si Israel renvoyait les 1.5 millions d’arabes ? Car elle aussi a besoin de se forger son identité… et de panser ses blessures depuis 60 ans de guerre, de survie, d’attentats de négation par ses voisins etc etc. etc…
Je ne pourrais pas mieux l’exprimer que l’écrivait M. Ouellette:
Le blog de David Ouellette
Mahmoud Abbas va à l’ONU. Il y demandera, vendredi prochain, la reconnaissance d’un État palestinien sans accord de paix avec Israël. Monsieur Abbas va à l’ONU parce qu’il se dit excédé par le cul-de-sac au fond duquel ont abouti les négociations de paix israélo-palestiniennes.
Comme le rapportait Agnès Gruda, hier, dans La Presse, les Palestiniens »veulent tourner la page » sur les accords d’Oslo et les pourparlers présumément bloqués par un État d’Israël réputé intransigeant.
En termes d’intransigeance et de blocage les Palestiniens n’ont de leçons à recevoir de personne:
Liste de 4 éléments
• Les Palestiniens n’avaient-ils pas déjà tourné la page sur les négociations lorsqu’à Camp David, en 2000, Yasser Arafat rejeta un État indépendant sur l’ensemble de la bande de Gaza et 95% de la Cisjordanie avec une souveraineté partagée sur Jérusalem sans autre contre-proposition que le déclenchement d’une vague déferlante d’attentats-suicides sur la population civile israélienne?
• N’avaient-ils pas aussi tourné la page en 2008, lorsque Mahmoud Abbas rejeta une nouvelle proposition encore plus généreuse que celle de Camp David de la part du gouvernement Olmert ?
• Et que dire du refus de Monsieur Abbas de s’asseoir avec Benyamin Netanyahu en 2009-2010 malgré un gel de construction inédit de 10 mois dans les implantations israéliennes de Cisjordanie décrété par le premier ministre israélien dans le but explicite de créer un climat de confiance propice à la relance des pourparlers de paix ?
• Que comprendre du refus continu de Monsieur Abbas de négocier avec Israël après que le président Obama eut annoncé en grande pompe la reprise des pourparlers à Washington, prétextant qu’ Israël n’avait pas prolongé ce même gel de construction de 10 mois pendant lequel Abbas avait refusé de négocier avec Israël ?
Fin de la liste
Les détracteurs d’Israël diront que l’État juif ne négocie pas de bonne foi. Ils citeront en exemple « expansion territoriale » d’Israël en oubliant commodément que les Israéliens ont évacué plus de 360 km2 de territoires palestiniens en 2005. Ce que n’admettront pas ces mêmes détracteurs, c’est ce qu’Agnès Gruda a bien failli avouer à la toute fin de son article d’hier lorsqu’elle écrit: »c’est précisément là [à l’ONU], en 1947, qu’un vote de 33 voix pour, 13 contre et 10 abstentions a donné naissance à l’État d’Israël ».
Si Agnès Gruda n’avait pas oublié de préciser que ce même vote du 29 novembre 1947 avait donné naissance non pas au seul État juif, mais aussi à un État palestinien arabe dont les Arabes n’ont pas voulu, misant plutôt leurs efforts sur la destruction de l’État juif par les armes, ses lecteurs auraient peut-être compris que le conflit israélo-arabe ne porte pas tant sur l’absence d’un État palestinien que sur l’existence d’Israël.
Soixante-quatre ans plus tard, le conflit israélo-arabe porte toujours davantage sur l’existence d’un État juif que sur l’absence d’un État palestinien. En témoigne, notamment, l’engagement récent de Monsieur Abbas à continuer d’exiger le peuplement d’Israël par des millions de Palestiniens même après la reconnaissance de la Palestine à l’ONU. Cette incapacité des Palestiniens à se résoudre à accepter l’existence d’Israël se traduit notamment par leur incapacité à entamer et à conclure des négociations de paix avec Israël.
En allant à l’ONU, Monsieur Abbas exécute la dernière dérobade en date des dirigeants palestiniens afin d’éviter la condition fondamentale à la création d’un État palestinien: un accord de paix final ancré dans la reconnaissance d’Israël comme État-nation des Juifs au même titre qu’un État palestinien sera l’État-nation des Arabes palestiniens.
Comble du cynisme de l’Autorité Palestinienne, les réfugiés palestiniens ne deviendront pas les citoyens d’un nouvel Etat palestinien, selon l’ambassadeur de la Palestine au Liban. Pourquoi ? Simplement parce qu’aux yeux de l’Autorité Palestinienne, et ce malgré la création d’un futur Etat, les réfugiés palestiniens doivent rester à tout prix une arme pour envahir Israël selon leur prétendu principe « du droit au retour »… Ils se moquent bien d’intégrer le peuple dans leur projet d’Etat. Seule la destruction d’Israël les intéresse. Derrière un pupitre sur lequel figure un modèle réduit d’un fauteuil bleu de l’ONU tant espéré pour la Palestine , l’ambassadeur Abdullah Abdullah s’est entretenu avec le Daily Star Lebanon: http://www.dailystar.com.lb/News/Politics/2011/Sep-15/148791-interview-refugees-will-not-be-citizens-of-new-state.ashx#axzz1YK7kpS5l au sujet de la résolution sur la reconnaissance de la Palestine par l’ONU.
Ambassadeur_palestinien_au_Liban
L’Ambassadeur palestienien au Liban
L’ambassadeur affirme sans équivoque que les réfugiés palestiniens ne seront pas des citoyens de cet état palestinien dont la reconnaissance par l’ONU est tant souhaitée, une question qui a été beaucoup discutée. » Ils sont des Palestiniens, c’est leur identité « , dit-il. « Mais … ils ne sont pas automatiquement des citoyens. » Ceci ne s’appliquerait pas seulement aux réfugiés dans des pays comme le Liban, l’Egypte, la Syrie et la Jordanie ou le 132 d’autres pays où dit Abdullah que résident les Palestiniens.
Abdullah a déclaré que » même les réfugiés palestiniens qui vivent dans [les camps de réfugiés] à l’intérieur de l’État [palestinien], sont toujours réfugiés. Ils ne seront pas considérés comme des citoyens . « Relisons cette phrase: » même les réfugiés palestiniens qui vivent dans [les camps de réfugiés] à l’intérieur de l’État [palestinien], sont toujours réfugiés.
Ils ne seront pas considérés comme des citoyens . « Les gens qui vivent dans des camps dans leur propre Etat seront empêchés, par leurs propres dirigeants, de devenir des citoyens de cet Etat ! Pourquoi ? Parce que, pour les dirigeants arabes palestiniens, les «réfugiés» ne sont pas un groupe opprimé qui doit être aidé. Ce sont des armes humaines, des pions, dans une guerre sans fin contre Israël.
En leur donnant la citoyenneté on supprimerait leur statut d’arme politique. La question la plus importante pour les dirigeants Arabes palestiniens n’est pas de mettre fin à la souffrance de leur peuple, ni d’obtenir l’indépendance.Il s’agit de détruire Israël, en utilisant l’inexistant « droit au retour ».
Rien ne pourrait être plus évident – et pourtant la plupart du monde refuse de croire que Mahmoud Abbas et ses acolytes pourraient éventuellement être si cruel et impitoyable à l’encontre de leur propre peuple.
– Traduction :
http://observatoiredumoyenorient.blogspot.com
Le logo palestinien de l’ONU “détruit” Israël
http://jssnews.com/2011/09/22/le-logo-palestinien-de-lonu-detruit-israel/
Il faut dire assez c’est assez ! Il faut que l’occident cesse d’être complaisant avec le 2 visages de l’autorité palestinienne !Il est grand temps de dénoncer cette imposture de l’Histoire !
Les 15 points du discours de Mahmoud Abbas à l’ONU
http://jssnews.com/2011/09/23/les-15-points-du-discours-de-mahmoud-abbas-a-lonu/
La déclaration de guerre de Mahmoud Abbas à l’ONU
>http://jssnews.com/2011/09/23/lappel-a-lintifada-de-mahmoud-abbas-a-lonu/
à vomir ce discours… Tant de mensonge, de haine, de négation de l’autre, comparez avec le discours de Netanyahou vous verrez, qui veut la paix et qui ne la veut pas !
Discours intégral et en français, de Netanyahu à l’ONU
http://jssnews.com/2011/09/24/discours-integral-et-en-francais-de-netanyahu-a-lonu/
Et demain, vous verrez partout dans nos journaux que l’autorité palestinienne a fait un discours historique, de paix, rempli de sagesse et de vérité, et qu’Israel avec son PM est plus belliqueux que jamais ! Voilà l’inversion des valeurs et de la vérité au mépris du bon sens !
extraits clés du discours de Netanyahou:
“Ces gens me disent constamment : il suffit de faire une offre d’échanges de terres et tout va s’arranger. Vous savez, il y a un seul problème avec cette théorie. Nous avons essayé et cela n’a pas fonctionné. En 2000, Israël a fait une offre de paix avec échanges de territoires qui répondait à pratiquement toutes les demandes palestiniennes. Arafat a rejeté l’offre. Les Palestiniens ont ensuite lancé une attaque terroriste qui a coûté un millier de vies israéliennes.
Le Premier ministre Ehud Olmert a ensuite fait une offre encore plus radicale en 2008. Le président Abbas n’a même pas répondu.
Mais Israël ne s’est pas contenté de faire des offres d’échanges de territoires. Nous avons en fait quitté des territoires. Nous nous sommes retirés du Liban en 2000 mais aussi chaque centimètre carré de Gaza en 2005. Cela n’a pas calmé la tempête islamique, la tempête du militantisme islamique qui nous menace. Il ne l’a rendue que plus proche et plus forte.
Le Hezbollah et le Hamas ont tiré des milliers de roquettes contre nos villes bien que nous ayons quitté leurs territoires. Voyez, quand Israël a quitté le Liban et Gaza, les modérés n’ont pas vaincus les radicaux : les modérés ont été dévorés par les radicaux. Et je regrette de dire que les troupes internationales comme la FINUL au Liban et UBAM à Gaza n’ont pas empêché les radicaux d’attaquer Israël.
Nous avons quitté Gaza dans l’espoir de la paix.
Nous n’avons pas gelé les implantations de Gaza, nous les avons déracinés. Nous avons fait exactement ce que dit la théorie: Sortez, revenez aux frontières de 1967, démanteler les localités.
Et je ne pense pas que les gens se souviennent à quel point nous sommes allés loin pour atteindre cet objectif. Nous avons déraciné des milliers de personnes de leurs maisons. Nous avons tiré les enfants hors de leurs écoles et de leurs jardins d’enfants. Nous avons passé le bulldozer sur les synagogues. Nous avons même déplacé les tombes. Et puis, après avoir fait tout cela, nous avons donné les clés de Gaza au président Abbas.
La théorie indiquait que tout devait s’arranger, et que le président Abbas et l’Autorité palestinienne pouvaient désormais construire un pays pacifique à Gaza. Vous pouvez vous rappeler que le monde entier a applaudi. Ils ont applaudi notre retrait comme un acte politique très fort. C’était un acte audacieux pour la paix.
Mais, Mesdames et Messieurs, nous n’avons pas obtenu la paix. Nous avons obtenu la guerre. Nous avons obtenu l’Iran, qui, par son mandataire Hamas a rapidement chassé l’Autorité palestinienne.
L’Autorité palestinienne s’est effondrée en un jour – en un jour.
Le président Abbas vient de dire sur ce podium que les Palestiniens sont armés par leurs espoirs et leurs rêves. Ouais, espoirs, rêves et 10.000 missiles et roquettes Grad fournis par l’Iran, sans parler du flux d’armes mortelles qui s’écoule à Gaza depuis le Sinaï, la Libye, et ailleurs.
Les Israéliens se rappellent des amères leçons de la bande de Gaza. Beaucoup de personnes critiques à l’égard d’Israël ignorent cela. Ils conseillent de manière irresponsable à Israël de retourner à nouveau sur cette voie périlleuse. Vous savez ce que ces gens disent, comme si rien ne s’était passé, répétant les mêmes conseils, les même formules comme si rien de tout cela n’était arrivé.
Alors, comment voulez-vous protégez un tel petit pays, entouré par des gens qui jurent de sa destruction et qui sont armés jusqu’aux dents par l’Iran? Évidemment, vous ne pouvez pas le défendre au sein de ce seul espace étroit. Israël a besoin d’une plus grande profondeur stratégique, et c’est exactement pourquoi le Conseil de Sécurité, avec la résolution 242, a expliqué qu’Israël n’a pas besoin de quitter tous les territoires qu’il capturés lors la Guerre des Six-Jours. Il a parlé de retrait de territoires, aux frontières sûres et défendables. Et pour se défendre, Israël doit donc maintenir une présence à long terme de l’armée israélienne dans des secteurs stratégiques de la Judée-Samarie.
Je l’ai expliqué au président Abbas. Il a répondu que si un État palestinien devait être un pays souverain, il ne pourrait jamais accepter de tels arrangements. Pourquoi pas? L’Amérique a eu des troupes au Japon, en Allemagne et en Corée du Sud pendant plus d’un demi-siècle. La Grande-Bretagne a eu un espace aérien à Chypre, ou plutôt d’une base aérienne à Chypre. La France a des forces dans les trois nations africaines indépendantes. Aucun de ces États ne prétend ne pas être un pays souverain.
Le président Abbas se tenait ici, et il a dit que le cœur du conflit israélo-palestinien est dans les localités juives de Judée-Samarie. Eh bien, c’est bizarre. Notre conflit faisait rage depuis près d’un demi-siècle avant qu’il n’y ait une seule localité juive dans les territoires. Donc, si ce que dit le Président Abbas est la vérité, alors je suppose que les localités dont il parle sont de Tel-Aviv, Haïfa, Jaffa et Beersheva. Peut-être que c’est ce qu’il voulait dire l’autre jour quand il a dit qu’Israël occupe les terres palestiniennes depuis 63 ans. Il n’a pas dit à partir de 1967, il a dit à partir de 1948.
J’espère que quelqu’un prendra la peine de lui poser cette question parce qu’elle illustre une vérité toute simple : le cœur du conflit n’est pas dans les localités juives des territoires disputés. Ces localités sont le résultat du conflit (applaudissements).
C’est une question qui doit être abordée et résolue dans le cadre des négociations. Mais le cœur du conflit a toujours été et reste malheureusement le refus des Palestiniens de reconnaître un État Juif.
Je pense qu’il est temps que la direction palestinienne reconnaisse ce que chaque chef d’État internationale a reconnu, depuis partir de Lord Balfour et Lloyd George en 1917, au président Truman en 1948, au président Obama il y a deux jours ici même: Israël est l’État Juif.
Le président Abbas doit arrêter de tourner autour de cette question. Reconnaître l’État Juif, et faire la paix avec nous. Dans une telle paix véritable, Israël est prêt à faire des compromis douloureux. Nous croyons que les Palestiniens ne doivent ni être les citoyens d’Israël, ni ses sujets. Ils doivent vivre dans un État libre qui leur est propre. Mais ils devraient être prêts, comme nous, au compromis. Et nous saurons qu’ils sont prêts au compromis et à la paix quand ils commenceront à prendre les exigences de sécurité d’Israël au sérieux et quand ils cesseront de nier notre lien historique à notre patrie historique.
J’entends souvent les accusateurs d’Israël dire qu’Israël judaïse Jérusalem. C’est comme accuser l’Amérique d’américaniser Washington, ou les Britanniques d’angliciser Londres. Vous savez pourquoi nous sommes appelés « Juifs » ? Parce que nous venons de Judée.
Nouvelles du Hétutistan (vous savez, cet antre où on peut vomir sur Lysiane Gagnon, Israel, Netanyahou, Harper, Fox News et tout journal de droite en toute impunité): il y est interdit de critiquer Radio-Canada ou Agnès Gruda. Preuves:
honorable
24 septembre 2011?16h17
Le désir de paix des Palestiniens est bien visible dans ce reportage de Sasa Petricic (CBC News), hier soir à Ramallah. Voyez de 13:26 à 13:38: c’est très explicite,
http://www.cbc.ca/thenational/watch/
(le reste a été amputé par Richard Hétu:) Evidemment, ceux qui synthonisent Radio-Canada et ont vu le reportage de Luc Chartrand n’auront rien vu de ce désir de « paix » palestinien. Ils n’auront vu que du sens unique palestinophile et israélophobe comme seuls Luc Chartrand (et plusieurs autres à Radio-Canada) savent faire.
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(bloqué par Richard Hétu) Parmi les thuriféraires d’Abbas,on trouve évidemment Agnès Gruda, qui se fait heureusement remettre à sa place par David Ouellette:
http://davidouellette.wordpress.com/2011/09/24/fiskons-agnes-gruda-i/#comments
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(bloqué par Richard Hétu) Cameleon cite Agnès Gruda. La pensée de cette journaliste est déconstruite ici:
http://davidouellette.wordpress.com/2011/09/24/fiskons-agnes-gruda-i/#comments
((on peut donc vanter Agnès Gruda sur Hétu, mais on ne peut la critiquer!))
@ honorable:
Un blogger qui censure les commentaires dans la façon de Hétu n’a aucune crédibilité.
Le Hétutistan est une chambre d’échos.