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Ayn Rand au sujet du capitalisme: « What all the efforts of capitalism’s enemies are frantically aimed at hiding, is the fact that capitalism is not merely the ‘practical’, but the only moral system in history. When I say capitalism, I mean a full, pure, uncontrolled, unregulated laissez faire capitalism, with a separation of state and economics, in the same way and for the same reasons as the separation of state and church. In a capitalist society, all human relationships are voluntary. Men are free to cooperate or not, to deal with one another or not, as their own individual judgments, convictions, and interests dictate. They can deal with one another only in terms of and by means of reason, i.e., by means of discussion, persuasion, and contractual agreement, by voluntary choice to mutual benefit. The right to agree with others is not a problem in any society; it is the right to disagree that is crucial. It is the institution of private property that protects and implements the right to disagree—and thus keeps the road open to man’s most valuable attribute: the creative mind. » |
Et maintenant, qu’est-ce que le socialisme:
Un professeur d’économie dans un lycée annonce fièrement qu’il n’a jamais vu un seul de ses élèves échouer, à l’exception d’une année, lors de laquelle la classe entière a connu l’échec.
Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n’y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait. Le professeur a alors dit : « OK, donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. À chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne planera très haut avec de très bonnes notes ».
Après le 1er contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20.
Les élèves qui avaient travaillé dur n’étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n’avaient rien fait et qui eux étaient ravis. À l’approche du 2ème contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s’étaient donné de la peine pour le 1er test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20!
Personne n’était satisfait. Quand arriva le 3ème contrôle, la moyenne tomba à 5/20.
Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d’oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu’un d’autre.
À leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l’effort pour l’obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n’essaie de réussir.
Voici un petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses:
Oh, ça ressemble au Québec, à la France, et de plus en plus à l’Ontario et aux États-unis.
Sabes, vous avez fait un clin d’oeil à mon éparpillement linguistique mais je n’ai pu m’empêcher de penser à vos posts en lisant cette déclaration
« Le ministère des finances essaie de gagner l’appui de la Confédération des Employeurs et d’autres grands capitalistes afin de faire adopter la nouvelle entente. Nous sommes donc dans une position où les socialistes se sont associés aux grands capitalistes pour faire passer deux points sur lesquels ils sont d’accord: d’abord le transfert des dettes des banques islandaises insolvables aux contribuables, ensuite interdire à la population de voir ses prêts personnels ajustés aux changements des banques islandaises »
Par « prêts personnels ajustés », on parle des prêts en monnaie étrangère. Jusqu’en 2008, les banques islandaises ont fortement incité les clients à emprunter en monnaie étrangère plutôt qu’en couronnes. Résultat: la hausse de l’inflation et des taux d’intérêts, en plus de l’effondrement de la couronne, ont fait en sorte que les gens doivent maintenant rembourser des sommes énormément plus grandes qu’elles ont emprunté et c’est la principale cause de faillites/saisies. La Cour suprême a déclaré ces prêts illégaux mais ne s’est pas prononcé sur ce qui devait être fait avec les remboursements, puis le gouvernement, créancier ultime car les banques sont nationalisées, a refusé des les annuler, tout au plus en éponger une partie.
Dire que la gauche nous a dit que l’Islande était un exemple que le modèle néolibéral ne marchait pas. Deux ans plus tard, je suis toujours aussi convaincu que c’est plutôt l’exemple que l’intervention de l’État ne fait que rendre les choses encore pire pour le contribuable et le citoyen!
http://www.mbl.is/mm/frettir/innlent/2010/11/17/sosialistar_og_storkapitalistar_na_saman/