Pierre Curzi, l’idole de Jean-François Lisée, nous démontre tout l’étendu de son extraordinaire talent de politicien:
Comme on dit par chez-nous: epic fail !!!
H/T: Les Analystes
Pierre Curzi, l’idole de Jean-François Lisée, nous démontre tout l’étendu de son extraordinaire talent de politicien:
Comme on dit par chez-nous: epic fail !!!
H/T: Les Analystes
Heureusement que c’est la crème du monde médiatico-artistique qui se retrouve à l’assemblée « nationale »… Cet extrait montre l’abondance d’esprit scientifique et d’esprit de substance qui anime cette crème…
Pendant ce temps, en Chine, le gouvernement est dirigé par des gens formés en génie et en sciences…
N’oublions pas que dans le Québec BCBG, ce Québec qui a kidnappé le mot « culture » pour l’appliquer à un infinitésimal sous-ensemble de ce qu’est véritablement la culture, M. Curzi représente la culture!
En fait, il ne représente que l’industrie du spectacle; beaucoup moins glorieux que représenter l’industrie pétrolière, minière ou forestière ( essayez d’imaginer ce que serait notre vie sans pétrole, sans métaux ou sans bois!). Mais ces lobbyistes du spectacle ont tellement lavé les cerveaux québécois que le Québécois typique pensera le contraire, malgré que les faits contredisent quotidiennement cette distrosion de la pensée.
La culture, ce n’est pas avant tout l’industrie du spectacle (cinéma, théâtre, musique, chanson, show-business, peinture, sculpture), le monde du divertissement ou le monde du roman, mais plutôt le monde de la recherche, de l’essai et du livre-documentaire.
La culture se trouve d’abord et avant tout dans nos universités, nos centres de recherche et nos instituts de recherche.
Oh! l’ami Curzi s’est fait sortir de son texte. 132 élèves sur 134 ont choisi l’école francophone.Il y a matière à réflexion. Les épouvantails tombent.
Oh! l’ami Curzi s’est fait sortir de son texte. 132 élèves sur 134 choisissent l’école française. C’est vrai qu’il y a matière à réflexion. Les épouvantails tombent.
En fait, M. Curzi ne représente même pas l’industrie du spectacle. Il ne représente que l’industrie du spectacle francophone; il n’a de cesse de chercher à diminuer l’industrie anglo-québécoise du spectacle (quotas de chansons françaises à la radio, peu de subventions, etc…).
Le théâtre Alvin Segal, le théâtre Centaure, le cinéma Côtes-des-Neiges, la télévision et la radio anglophone ne sont pour lui que des maux qu’on n’a pas encore réussi à éliminer.
Curzi a déjà démontré tout son flair politique lors de la venue de McCartney à Québec. Il est grand temps pour lui de remettre sa perruque en forme de casque de bain et de jouer le Maitre Thespien dans Virginie. C’est le seul rôle à la hauteur de son talent.
Epic fail en effet!
C’est ca le député vedette du PQ?
C’est triste qu’il n’ait pas réussi à créer un nouveau pseudo-scandale de cet entretien.
T’inquiète pas Mathieu. Ils vont bien nous sortir quelque chose d’autre bientôt.
« À la base de toutes les doctrines totalitaires se trouve la croyance que les gouvernants sont plus sages et d’un esprit plus élevé que leurs sujets, qu’ils savent donc mieux qu’eux ce qui leur est profitable.»
Ludwig von Mises
Dans un monde libre, il est toujours possible de vivre en servitude si on le désire.
Il ne faudrait pas oublié le méchant complot fédéraliste chez le Canadien.
Effectivement, ila ne savaient plus trop comment gruger les derniers restes de leur os dans les dernières semaines.
Mais ils ont été gâtés avec l’histoire du Maclean’s.
«Vrai ou faux dans cet article, ça vient du R.O.C. donc profitons-en pour ravigorer le nationalisme dans tut ce qu’il y a de plus haineux contre les ennemis de la Rac…euh! Nation!
C’est comme ça qu’on se dirige, tranquillement mais sûrement, vers le pouvoir avec une foule en colère!»
Curzi ne m’apparaît pas discursif. Profil de personnalité idéal pour être un politicien québécois.
Notez que ça pis du faux semblant c’est pareil pour moi. Dans mon livre à moi : mieux vaut avouer : « je suis tout mêlé j’ai pas lu je connais pas ça. Je suis populaire et c’est tout ce qui compte pour moi. Voilà c’est dit. Je veux qu’on m’aime, je suis un artiste. Je me fous qu’on fasse les choses autrement ailleurs et qu’ils réussissent car si je deviens ministre je serai encore plus mélangé. »
Je suis surpris par les chiffres. J’aurais cru le contraire. Les chiffres lui font fermer le clapet avant même d’avoir pu débattre sur le fond, c’est-à-dire d’avoir la liberté individuelle de choisir dans quelle langue envoyer nos enfant à l’école.
Si les chiffres avaient démontré le contraire, so what!?! Cela aurait tout simplement été un coup de semonce démontrant que le Français n’est plus attrayant pour les générations futures et que leurs parents en sont conscients et que s’ils veulent leur donner toutes les chances de réussir dans la vie, ça se passe en anglais… Il est là le vrai débat qui ne se fait malheureusement pas.
En plein dans le mille! Si la cause de la survie du français véhiculée par le discours nationaliste est si chère aux yeux des Québécois, ceux-ci devraient normalement choisir en majorité cette langue pour l’éducation de leurs enfants à l’école et ce, sans qu’une législation ne vienne le leur imposer.
Dans cette optique, jamais une minorité optant plutôt pour l’anglais ne pourrait obérer l’avenir de la vitalité du français au Québec puisque l’ensemble des choix individuels de la majorité ferait toujours pencher la balance en faveur de langue française.
Et si au contraire le libre choix venait à la longue confirmer les appréhensions des partisans de l’approche plus contraignante pour le français en créant une sorte de mouvance envers l’usage de plus en plus étendu de l’anglais au Québec, ça montrera finalement que le leitmotiv nationaliste au sujet du sort du français n’est pas représentatif de ce que la majorité des Québécois pensent. Aucun problème avec ça.
Ce n’est effectivement pas avec nos bons médias où la sacro-sainte défense du français est bien assimilée comme un commandement auquel il ne faut surtout pas déroger que le débat va se faire. Jamais un chroniqueur n’oserait commettre un suicide médiatique en prônant le retour au libre choix pour la langue d’enseignement pour l’éducation des enfants.
Rima Elkouri, chroniqueuse au Cyberpresse déclarait ce qui suit dans http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/rima-elkouri/201009/19/01-4317187-deux-solitudes-sans-passerelle.php
Cet extrait illustre de façon assez éloquente jusqu’à quel point la législation linguistique québécoise – qu’on considère dans les médias comme un « acquis social » – peut revêtir un caractère intransigeant basé sur la méfiance. On présume de la mauvaise foi des individus et, en guise de réponse, on utilise une loi pour les remettre dans le droit chemin.
Ce qu’on dit aux gens c’est que le choix que vous voulez faire au départ – même si celui-ci est tout à fait légitime – n’est pas considéré comme le bon; on va donc vous imposer l’option que vous préférez le moins afin d’apporter votre nécessaire contribution à la « survie de l’espèce ». Cette sorte d’insécurité qui se dégage de ce rapport, et autour de laquelle s’articule l’idéologie nationaliste, cadre très bien dans le champ d’activités des médias mainstream qui par leur tendance à susciter la peur chez les gens (rappelons-nous de la grippe H1N1) ont tout intérêt à l’entretenir afin d’attirer l’attention.