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Warren Buffett defends Goldman Sachs The world’s third richest man, Warren Buffett, today declared that he saw nothing wrong in an allegedly fraudulent $1bn mortgage deal by Goldman Sachs and suggested that losers in the transaction, including Royal Bank of Scotland, had only themselves to blame for exercising « dumb » judgment. The SEC’s case against Goldman centres on a 2007 mortgage derivatives deal named Abacus, struck by Fabrice Tourre, a banker now based in London. The SEC contends that Tourre failed to inform participants about the extent of involvement of a hedge fund, Paulson & Co, that had a short position betting on Abacus’s failure. Within nine months, more than 99% of the mortgages referenced by Abacus were in default, leaving Royal Bank of Scotland’s Dutch subsidiary, ABN Amro, with an $840m bill as it had insured the derivative against failure. Buffett was scornful of this loss, pointing out that ABN voluntarily agreed to insure Abacus for a fee of $1.6m. « It’s a little hard for me to get terribly sympathetic with the fact that a bank made a dumb credit deal. » |
Bon point! Au lieu de critiquer Goldman Sachs de faire ce que 99% des gens auraient fait dans cette situation, pourquoi ne portons-nous pas attention à la quantité importante d’argent qui a été versé à Obama, et ainsi qu’aux bureaucrates réglementeurs qui viennent de cette institution? Ha mais j’oubliais ; il est rare qu’un gouvernement se poursuive lui-même en justice…
Bon, ça y est… Encore du Obama bitching…
Encore une fois, antagoniste.net se couvre de ridicule en défendant l’indéfendable…
Que Warren Buffet prenne la défense de Goldman Sachs ne prouve absolument rien, à part que dans le domaine de la finance, entre requins, on se protège…
Que Goldam Sachs se soit adonné à de l’escroquerie aux dépends de ses clients qu’on incitaient à investir dans des produits plus que risqués, et qu’en même temps, Goldman Sachs spéculait contre eux, relève de la mauvaise fois la plus crasse…
Ça me rapelle un petit banquier de Boston venu s’installer à NYC dans les années 20, et qui a fait fortune en escroquant des millers de petits investisseurs: Joseph P. Kennedy…