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La réaction lucide de Jeff Fillion à la manif du 11 avril: « Il y a encore cette pensée magique chez les gens que si on coupe dans des petits comptes de dépenses ici et là, on ne fouillera plus dans leurs poches. Que si on monte les impôts des deux ou trois riches du Québec, le party va continuer et qu’on va s’en tirer. Mais les gens doivent comprendre que c’est tout le modèle québécois avec ses programmes sociaux qui nous ont mis dans le trouble et qu’il faut changer. » |
J’aime donc ceux qui critiquent les intentions de la foule mais qui n’étaient même pas là…
Joanne Marcotte a une bonne réplique pour vous ce matin.
J’ai fait bcp d’impôt cette année… j’ai vu des revenus bcp plus faible que ce que je croyais. Des gens gagnant 60k$ qui vivent en gens de 100k$.
Voilà, le modèle québecois est le reflet de notre société.
Même chose pour le canada… les canadien sont surendetté tout comme le gouvernement.
@Chiroky:
Vous avez raison à ce point. Le problème (et je le connaîs aussi habitant en Ontario) est que l’on veut tout avoir tout en payant le moins possible au lieu d’avoir une société et ainsi qu’un gouvernement qui épargne avant de tout acheter à crédit (tout en disant que l’état a de la péréquation comme incitatif à dépenser davantage sur le dos des autres).
Or, la prémise d’avoir des programmes sociaux qui servent à gagner des votes risque de simplement s’écrouler à moyen terme avec un manque de fonds surtout que je crois que dans une société personne n’a rien pour rien.
David est un TOC.
Dans le temps, il avait plein d’arguments valables pour chier sur Fillion. Aujourd’hui, il a plein d’arguments valables pour louanger Fillion.
J’appelle çà un TOC. Jeff lui appelle çà un Bipolaire. A l’Assemblée Nationale, on appelle çà une girouette.
Ça va être quoi dans 5 ans? Aller pédaler 100km avec Yves Landry??? Parler culture avec Marie St-Laurent? Tout est possible.
En 2004, Fillion était un populiste réactionnaire et très incohérent. Je l’aimais comme entertaineur, point.
En 2010, il est maintenant libertarien minarchiste tout comme David. Il est moins divertissant mais beaucoup plus cohérent.
People can change 😉
Ce qui compte c’est de regarder tous dans la même direction et non d’ou l’on vient…
PS. Ça fait un bout que l’ultra-gauchiste & écolo Marie St-Laurent n’est plus à RP LOL
Coudonc, David, tu y croyais vraiment à ses trucs?
Quel truc qui t’a fait changer d’avis????
Tu as raison là-dessus JLP car l’exemple de David est de dire qu’il est imputable à personne (et il paye lui-même pour son blogue et l’hébergement du site) ou à aucun électeur ce qui n’était pas le cas des Brassard, Facal ou Bouchard de ce monde surtout qu’ils n’étaient pas des backbenchers.
@ Toinon.
Moi-aussi, je préfère le DG de 2010 que le DG de 2005!!! Mais, une telle mutation reste tout de même drôle à voir!!
Hehe vous êtes comique ;))
David a commencé à changer lorsqu’il s’est retrouvé sur le blogue du QL, au tout début du blogue. Martin Masse et Gilles Guénette n’ont plus beaucoup de temps alors l’activité est diminuée mais à l’époque c’était très intéressant.
Il est arrivé là comme tu dis « comme un cégépien à calotte » et à chaque chose qu’il disait, il s’est fait planter ses arguments. Il s’est rendu compte qu’il n’avait aucun faits réel, que la plupart de ses croyances étaient des demi-vérité et sur ce, il s’est mis à s’informer plus en profondeur. C’est là qu’il a commencé à organiser sa pensée selon une structure de valeurs qu’il a commencé à s’intéresser à l’école autrichienne d’économie et Frédéric Bastiat.
Vous semblez ignorer que tous les libertariens commencent par d’abord avoir une tendance socialiste. Il a fallu 30 ans à John Stossel pour changer de cap! David n’est peut-être pas parfait mais il a eu assez de jugement pour cesser de se fier à son orgueil, ses émotions et à des demi-vérité. Il a eu son propre cheminement et l’évolution est assez impressionnante.
By the way David, c’est moi Kevin sur le QL et sur Pierre Duhamel
Moi, je n’arrive pas à comprendre comment David et tous les autres libertariens peuvent penser que le système de santé ira mieux si on rend les soins de santé entièrement privés. Je ne comprends pas comment David peut s’acharner à tenter de prouver que ce serait beaucoup mieux si tout était entièrement privé alors qu’on sait bien que si c’était le cas, des gens ne pourraient pas avoir accès à des soins de santé faute de moyens. On n’a qu’à prendre les statistiques d’avant la Réforme de la santé d’Obama où des millions de gens aux É-U ne pouvaient être soignés faute d’être couverts pour s’imaginer que toutes proportions gardées, ça ne pourrait pas être différent ici.
Excellente information. je me posais justement cette question depuis longtemps. Comment un socialiste enragé pouvait passer à la droite Libertarienne: En recevant une information honnête, certains finissent par comprendre. Pour ma part, je me suis toujours méfier des socialistes mais Antagoniste m’a convaincu que j’étais un Libertarien d’instinct (en fait, je suis plus près de Ayn Rand mais les 2 philosophies convergent sur beaucoup de choses). Depuis que je suis Antagoniste, c’est incroyable tout ce que j’ai appris. Je connaissais Adam Smith (que j’ai étudié un peu dans des cours d’économie universitaire) et Milton Friedman mais je n’avais jamais entendu parler de Bastiat, Turgot, etc… Et ça fait tellement de bien d’avoir un blogue anti-gauchiste pour contrer leur mensonges…
LONGUE VIE A ANTAGONISTE!!!
@J Voyelle
Ici, les gens sont couverts mais souvent ne peuvent pas avoir de traitements dans un délai raisonnable. Où est la différence?
C’est parce que nous vivons dans un système ou le mensonge et la désinformation règne en maître.
Exemple: L’OCDE publie des statistique sur les système de santé des pays développés au 2 ans. Radio-Canada nous annonce que la France est numéro un mais se garde bien de dire la position du Canada: Nous sommes AVANT DERNIER, juste avant la Grande-Bretagne. Oui NOTRE SYSTÈME DE SANTÉ EST UN DES PLUS MAUVAIS DES PAYS INDUSTRIALISER ET NOTRE SOI-DISANTE ÉLITE D’INFORMATION NE NOUS LE DIT PAS!!! Et elle ne nous dira pas non plus que la France à un système de santé mixte public-privé. Mensonges et manipulation dans toute sa splendeur!
Un autre mensonge. Vous parlez des statistiques américaines mais pas Canadienne: QUI NOUS DIT QUE LE TAUX DE REJET (personne non soignés fautes de ressources) N’EST PAS SUPÉRIEUR AU CANADA QU’AU ÉTATS-UNIS? Il ne faut jamais croire un gauchiste. 9 fois sur 10, on a affaire a un manipulateur qui refuse de voir les failles de son système politique et économique.
Un autre mensonge: Les coûts de notre système de santé, 145 milliards par année, sont financés par de l’endettement récurrents. Lorsque les marchés financiers en auront assez, les vivres seront coupées et on verra le véritable taux d’échec de notre soi-disant bon système de santé.
La différence au fond, c’est la question de principe. Je préfère un système où personne n’est laissé sur la paille mais qui se doit bien entendu d’être améliorer qu’un système où des gens sont exclus faute de moyens. Je préfère ne pas contraindre des gens à quémander la charité dans les charity clinics. Je trouve ça plus digne de donner « la charité » également entre les individus sans égards aux revenus, en donnant le même accès aux soins à chacun.
Ceci dit, je suis pour le partenariat avec le privé, les tickets modérateurs. Notre système n’est évidemment pas parfait.
Je ne sais pas !? Amenez des chiffres si vous en avez.
Le problème, il est là, Voyelle. Personne ne le sais car il ne semble pas y avoir de statistique la dessus. Si des organismes comme radio-canada ou TVA n’ose pas nous dire la vérité sur notre position dans la liste de l’OCDE, croyez vous que quelqu’un d’autre voudra nous les montrer? De plus, les raté du système deviennent de plus en plus visible (temps d’attente dans les urgences supérieur à ceux des américains). Et David a montré beaucoup de statistique la dessus.
De plus, le système de santé Canadien est soutenue uniquement par un taux d’endettement qui va devenir bientôt insoutenable. C’est là qu’on verra la vrai nature de ce système.
Et en ce qui concerne celle des États-Unis, le système Capitaliste permet des évolutions techniques inégalés dans le monde: C’est ce qui permettra a long terme de donner des soins de santé abordable pour tous (ou a tous le moins, la majorité). C’est ce qui est arrivé pour les transports, pour les communications, pour l’informatique, etc…
Les gens ont la faculté de changer. Heureusement!
Certains comme David, étalant des faits, des données concrètes et des graphiques réussissent aussi à vaincre certaines idées reçues, basées sur des vieux préjugés, que le système étatico-nationaliste nous a fait gober.
Seuls les fous et les bornés restent campés sur leurs positions.
Michel Chartrand, mort tout récemment, avait aussi un caractère borné.
Quand il s’agissait de défendre et de vanter des régimes collectivistes totalitaires, on pouvait compter sur lui.
http://www.leblogueduql.org/2010/04/michel-chartrand-vieux-communiste-vieux-fasciste.html
Oui et le truc est là, je croyais à ses trucs mais je ne savais pas grand chose.
le déclic c’est fait quand à l’époque j’ai dénoncé Chavez. J’ai été accusé d’être un traître par la gauche. À partir de ce moment, je me suis dit que j’étais probablement dans la mauvaise équipe…
C’est pourquoi j’ai décidé de fermer manu militari à l’époque, je ne croyais plus à ce que j’écrivais.
J’ai pris une pause de presque 2 ans durant lequelle j’ai lu du Ayn Rand, Milton Friedman, Hayek…
Et petit à petit, ces choses ce sont mises à avoir un sens.
Sauf quelques rare exception, je ne crois pas que l’on « vient au monde » libertarien, on le devient. Comme pour le vin c’est un goût qui est acquis et qui n’est pas inné.
Au début tous les vins goûtent la même chose, mais quand on fini par s’intéresser à la chose, on perçoit les nuances et la complexité.
Je pense que c’est la même chose pour les libertariens. Au début on ne voit pas le sens. Pour comprendre il faut s’éduquer, lire, prendre le temps de réfléchir.
Se n’est pas facile, ça demande des efforts. Être à gauche c’est exactement l’inverse, c’est facile et pas besoins de réfléchir beaucoup. On se dit qu’on a de bonnes intentions et ça finit là. Mais quand on réussit à aller au delà des simples intentions, c’est un monde nouveau que l’on découvre.
J’étais moi même un beau produit de la gogauche, anti-capitaliste, anti-américain et tout le tra la la dans mes années de secondaire et de cégep… et j’ai changé le jour où j’ai arrêté de lire les inepties qui se retrouvent dans nos journaux, pour m’ouvrir sur ce qui est publié ailleurs dans le monde, grâce à Internet.
Je me trouve bien con aujourd’hui, mais c’est le processus par lequel j’ai évolué! Je serais bien mal placé pour remettre sur le nez de DG de vieux blogs datant de matusalem!
Les gens brillants évoluent, leur pensée évolue, leur compréhension des chose évolue… Les idiots restent bornés. Croient aujourd’hui ce qu’ils croyaient il y a 20 ans, sans jamais s’être remis en question.
D’ailleurs, un kid de 15 ans qui serait libertarien, je m’en méfierais… 😉 L’être demande une capacité consistant à aller au-delà des apparences, pour comprendre certains rouages internes. Ça demande un peu de jugeotte, de la curiosité, et une certaine dose de sagesse je crois
De ma part, lorsque j’étais jeune j’étais davantage centriste qu’autre chose bien que je n’aie été jamais attiré par le nationalisme et je ne sois jamais été vraiment socialiste, ni anti-Américain car j’ai toujours eu du respect pour les Américains. Au cours des années, j’ai réalisé peu à peu que le problème venait de l’état et ainsi de dire du manque de libertés tant au niveau économique que par rapport aux individus. Vers 14-15 ans, j’ai commencé à lire Hayek et ma mère m’a donné en cadeau Atlas Shrugged qui traitait dans la bibliothèque dans le sous-sol.
En fait, dans ma famille, ma mère a toujours été du genre centre-droit (cependant comme beaucoup de jeunes à son époque, elle trippait sur Trudeau) et mon père était péquiste à son jeune âge (malgré qu’il aimait beaucoup Réal Caouette comme ses parents qui venaient d’une région très porté sur le Crédit Social) pour ensuite devenir de centre-droit et pro-libre marché à la fin des années 70. Il fallait dire qu’il n’a jamais aimé Trudeau…
Lorsqu’on commence à comprendre le monde autour de soi et à parler avec les gens, on commence à réaliser que ce que nos médias et politiciens font souvent de la pure démagogie dans le but d’aller chercher des votes ou autres. Or, ayant eu la chance de voyager quelque peu et ayant discuté avec des gens, j’ai réalisé que beaucoup de gens dans le cercle universitaire répètent ce que les grands auteurs souvent étatiques disent (dans le genre le capitalisme et les États-Unis sont mauvais), sans vraiment savoir comme cela se vit dans la réalité quotidienne. Comme pour les Tea Parties dont que j’ai parlé avec les Américains de la classe moyenne m’a permis de faire voir leur point de vue à ce sujet.
C’est en surfant sur les sites libertariens il y a environ 5-6 ans que j’ai visiblement réalisé que les libertariens étaient ceux dont je pouvais m’associer. Malheureusement, il est évident qu’autrement le clivage politique se fait uniquement entre de véritables niaiseries à mon avis.
Pour moi, être gauchiste étatique entre malheureusement dans un sophisme qui reste de dire que n’importe quel rôle de l’état est couvert de bonnes intentions souvent pour le bien d’une structure collectiviste qu’elle soit un état ou une nation. Ironiquement, une société qui rend ses individus accro à l’état fait que ceux-ci ne veulent moins aider les gens autour d’eux car ceux-ci ont peu à peu l’impression que cela est uniquement le rôle de l’état.
Reste à dire que si l’état te donne du poisson, l’individu ne pourra jamais s’épanouir complètement sous peine qu’il va finir par être carrément dépendant, déresponsabilisé et infantilisé par l’état quitte à ce que l’état pour cet individu et on va commencer à vouloir parler d’une collectivisation, où que l’individu devient peu à peu une masse déforme de façon non-volontaire sous le poids d’une soi-disant collectivité ou nation.
En fait, comme chaque individu sur cette planète, je suis qui je suis en tant que individu et cela n’est pas quelconque nation, état, organisation ou parti politique qui pourra me diffuser dans une masse sans que cela soit de mon plein gré.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été anti-socialiste, anti-indépendantiste et pro-américain. je me souviens d’une discussion que j’ai eu adolescent, juste avant le référendum, et j’ai réalisé à quel point j’étais conservateur et différent de la majorité des autres étudiants. Et j’étais aussi anti-Libertarien, que j’associais à l’anarchie. En fait, j’étais très conservateur et je croyais, comme mes parents, aux vertus du travail bien fait. C’est vrai que ce n’est pas inné. En fait, ce sont mes parents qui m’ont enseignés ces choses là.
C’est en lisant antagoniste que j’ai découvert ma très grande affinité avec les libertariens.
A choisir entre travailler dans une mine au Québec et travailler dans une mine en Afrique, le choix est fort simple.
Merci M. Chartrand.
Effectivement! On devrait envoyer nos syndicats defendre les droits des travailleurs dans les pays pauvres ou la liberté d’association est inexistante.
Malheureusement, je me pense pas que nos syndicats modernes ont le courage d’entreprendre un tel objectif… même si ils sont beaucoup plus en moyen qu’avant pour affronter ces défis auquels ils ont, historiquement, déjà fait face. Ils doivent avoir d’autres intérêts!!!
Justement, tu ferais bien d’aller voir les salaires offerts dans les compagnies minières en Afrique du Sud, ils y sont excellents.
C’est un fait. D’ailleurs je connais tout plein de gens qui désirent quitter le Québec, le Canada et même les USA pour aller s’établir la-bas. Le niveau de vie y est tellement meilleur. Inversement, rare sont les Africains qui viennent habiter en Amérique du Nord…
Ça ne fait pas longtemps que j’ai cessé de croire en l’État-providence mur-à-mur, et je peux encore m’afficher comme étant social-libéral dans le sens que je crois qu’il y peut avoir un certain minimum de services publics.
Ma séparation d’avec la gauche ne s’est pas fait au niveau financier proprement dit. J’ai toujours été déçu de voir le manque de coeur des gauchistes quand il était le temps de défendre la liberté. Ils partent quand c’est le temps de défendre la liberté d’expression, par exemple.
Même plus à gauche, je ne voyais pas non plus de sens à être protectionniste, à tous les niveaux. D’ailleurs, difficile pour moi de trouver un pire défaut philosophique avec quelqu’un. Comme je disais ici l’autre chose, je revendique d’abord le droit d’être culturellement libre et que les libertés qui s’y rattachent me soient données.
Et si les États se libéreraient de leurs dettes accumulées en déclarant faillite?
Il faut quoi pour déclarer faillite?
Pourquoi un État ne pourrait pas déclarer faillite?
Adam Smith a très bien définit ce qu’est une faillite d’état. Il arrive 2 choses:
1- L’état en question ne peut plus rien emprunter.
2- Une INFLATION MONSTRE (100%/an et plus) lui gruge son pouvoir d’achat, à lui et à ceux qui utilise ça monnaie. Et de l’inflation à 100%, ça signifit que le sandwich que tu payais 2.00$ un an au paravent se vends maintenant 4.00$ maintenant et 8.00$ l’année suivante. Et 16.00$ l’année suivante, jusqu’à ce que les bailleurs de fonds (qui par définition contrôle les moyens de productions, sans ça, ils n’auraient pas eu d’argent à prêter) juge qu’ils se sont fait remboursé. Tout ça entraînant des hausses de prix des voitures et des loyers équivalents.
@ Pierre C, un état ne peut pas faire faillite techniquement… il peut arrêter de payer ses dettes mais tu peux être certains que ces créanciers le saigneront à mort et que la situation de ces habitants sera catastrophique. La politique et l’économie, c’est une question de confiance. une faillite d’un pays provoquerait une catastrophe économique et politique. En passant, sais-tu que tu peux, toi même, être créancier d’un pays via tes économies de retraite. Pas sur que tu aimerais voir tes fonds de retraite perdre une bonne partie de leur valeur, parce que les bons nationaux n’ont plus de valeur parce que le pays refuse de payer.
Faire faillite est une honte, une preuve d’irresponsabilité. un dirigeant politique qui amène un pays à la failite mériterait de finir sa vie en prison, rien de moins. Son irrresponsabilité aura fait du mal à des millions de personnes tout en provocant une crise de confiance monstre.
Le québec, ni le Canada ne pourront faire faillite… il risque fortement d’avoir mise sous tutelle économique cependant.
En passant, moi aussi, j’ai passé de la gauche facile au centre, et maintenant, je suis bcp plus orienté vers une droite libétarienne… Je suis fort heureux de voir qu’on pourrait assister à une montée de la droite philosophique et économique au Québec, un bon coup de balai doit être passé sur un PQ trop dépensier et un PLQ qui aime faire des chèques trop élevé à ses donateurs.