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Jacques Brassard, qui s’est fait montrer la porte de sortie du Quotidien parce qu’il n’était pas assez « main stream » pour ce média (ne pas être assez « main stream » pour un média, c’est une qualité rare de nos jours) n’est pas resté silencieux bien longtemps. L’iconoclaste chroniqueur a décidé d’ouvrir son blogue: http://blogjacquesbrassard.blogspot.com/ À ajouter à vos bookmarks ! |
Il est réjouissant d’un type qui a peu accès aux publications en anglais soit si pro-Américain!
http://www.dailymotion.com/video/xm32l_jacques-brassard-bash-gogoche-pq_events
Pourquoi en aurait-il peu accès? Internet monsieur…
Au sujet de Jacques Brassard, je trouve cela scandaleux. Ceci dit, j’évitais déjà le plus possible Le Quotidien car, selon lui, tout l’univers se termine à l’Étape.
Jacques Brassard y mettait donc du piquant, non seulement par ses idées de droite, mais aussi par ses sujets fédéraux, provinciaux et internationaux.
Myriam Ségal reste, donc la droite ne sera pas nécessairement épurée des pages mais, comme je viens de dire, les sujets resteront locaux.
Mais bon, tout cela pour vous dire que même si je vois un délit d’opinion, je ne serais pas surpris si la vision globale de Jacques Brassard ne lui ait pas valu son 4%.
Après tout, je suis très habitué de me faire tourner de bord (professionnellement, socialement, etc.) pour cette raison.
Hors de la religion régionalo-protectionniste, point de salut!
Die Saguenay Mauer muss weg! :p
Parce qu’il n’y a pas encore d’Internet à Alma! 😉
Sous une note plus sérieuse, à la fin de l’entrevue des Francs-Tireurs, il dit qu’il ne parle pas ou très peu anglais.
Ce n’est pas une tare. Il sait sans doute qu’on dit « signets » (ou marque-pages) et non bookmarks.
Il y a pas mal de matériel de droite en français (c’est d’ailleurs souvent un défaut ici : trouver systématiquement un journal anglophone pour illustrer une histoire alors que la même dépêche ou nouvelle existe en français).
Oui, il y existe des publications de droite en français (surtout en France bien que peu au Canada français) sauf que leur nombre est drôlement limité par le bassin de population plus réduit. Soit dit, pour des choses venant des États-Unis ou de Grande-Bretagne les publications francophones sont assez déficientes, tel que de dire qu’il existe peu de choses écrites sur la politique française (ou peut-être Québécoise) dans une langue autre que le français.
Vrai de dire aussi que plusieurs bon articles de vulgarisation politique sur notre système politique ont été écrites en Allemand, Espagnol, Néerlandais, Portugais, Suèdois etc….
Par contre, pour parler d’un type comme Glenn Beck ou Ron Paul (ou même d’un économiste monétariste comme Friedman), autant dire que ce qu’il est écrit d’eux en français est souvent relativement sommaire ou même péjoratif.
Il manque beaucoup d’indépendantiste de droite comme lui.
S’il en aurait que 10% de plus, on serait probablement en train d’économiser un pallier gouvernemental complet.