L’Institut Fraser a publié le mois dernier son classement 2009 des économies les plus libres de la planète. Tout au long de la semaine, je publierai une série de billets sur les faits saillants de cette étude.
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Pour certains catastrophistes, la pollution causée par le développement économique n’apporte que pestilence et désolation…
Well, think again…
Voici l’impact de la liberté économique sur l’espérance de vie et sur l’environnement:
Cette réalité a été bien décrite dans le New York Times (!)
Use Energy, Get Rich and Save the PlanetThe richer everyone gets, the greener the planet will be in the long run. I realize this prediction seems hard to believe when you consider the carbon being dumped into the atmosphere today by Americans, and the projections for increasing emissions from India and China as they get richer.
Those projections make it easy to assume that affluence and technology inflict more harm on the environment. But while pollution can increase when a country starts industrializing, as people get wealthier they can afford cleaner water and air. They start using sources of energy that are less carbon-intensive — and not just because they’re worried about global warming. The process of “decarbonization” started long before Al Gore was born.
In general, richer is eventually greener. As incomes go up, people often focus first on cleaning up their drinking water, and then later on air pollutants like sulfur dioxide.
As their wealth grows, people consume more energy, but they move to more efficient and cleaner sources — from wood to coal and oil, and then to natural gas and nuclear power, progressively emitting less carbon per unit of energy. This global decarbonization trend has been proceeding at a remarkably steady rate since 1850, according to Jesse Ausubel of Rockefeller University and Paul Waggoner of the Connecticut Agricultural Experiment Station.
La liberté économique: pour vivre plus longtemps dans un environnement sain !
C’est dont délicieux… !!!!!!!
Mais, on est pas à la veille de faire comprendre ça au Québec go-gauchiste…
Bonjour je lis ce blog (et bien d’autre), depuis un bon moment et je franchis le pas en y participant activement.
Nous ne sommes pas à la veille de faire comprendre quoi que ce soit à la gauche québécoise non pas parce qu’elle est trop stupide pour comprendre, mais bien parce que cela irait à l’encontre de ses intérêts. C’est vrai que gagnerait la gauche québécoise si l’État réduisait massivement ses dépenses, amendait le code du travail exigeait de ses travailleurs plus de performances ? Pas grand-chose selon moi, c’est pourquoi nous avons besoin d’un parti politique beaucoup plus à droite au Québec (le premier qui dit l’ADQ prend un coup de règle sur les doigts)
J’ai jamais bien aimé et j’ai jamais été proche de l’ADQ sauf que son problème vient principalement de ses origines et du fait que sa position vient uniquement des idées de son ancien chef. Pourquoi a-t-il été sur le camp du OUI en 1995, lorsque qu’on a dit plus tard qu’il croyait (avec raison) que le concept d’indépendance forgé par le (très étatique et gauchiste) Parizeau n’était que du vent.
Bien entendu, la droite a visiblement un avenir au Québec (et cela même qu’elle pourrait être une coalition entre Québécois francophones, anglophones et allôphones, ce que l’ADQ était pas). Si on reprend l’exemple de l’ADQ, ses appuis dans ma région ont toujours été tellement pauvre et le message de l’ADQ ne passait tellement pas dû au passé du Dumont que les gens de droite dans ma région n’ont pas d’autres choix que voter pour le PLQ car ils sont aucunement des indépendantistes pour l’écrasante majorité. Soit dit, vous riez mais il existe des membres et des députés du PLQ ou même certains anciens ministres du PQ (Facal, Brassard, Garon) qui pourraient facilement passer à quelque chose de plus à droite.
Un véritable parti de droite au Québec va devoir obtenir ces appuis pour avoir un minimum d’appuis (et ça va plus loin que l’ADQ). Je crois qu’il faudra se faire à l’idée que pour avoir un minimum d’appuis, va falloir aller chercher plus creux que l’ADQ allait chercher.
-Francophones de droite vivant dans les milieux ruraux
-Francophones de la ville de Québec, de Chaudière-Appalaches et de la Beauce
-Francophones fédéralistes de droite
-Gens habitant dans le 450
-Anciens Bleus
-Nationalistes modérés de centre-droit
-Anglophones de droite vivant à Montréal, en Estrie ou en Outaouais
-Personnes âgées
-Petits et moyens entrepreneurs
-Allôphones de droite vivant à Montréal
Grosso modo avec cela, on peut aller chercher 25-30% du vote.