![]() |
– |
Taking the President on Faith When George W. Bush introduced the concept of a faith-based office, the original vision was to help nonprofit charities get government support to feed the hungry and house the homeless. From the reaction, you’d have thought Bush was trying to install a caliphate. Indeed, most newspaper stories focused on the blurring of church and state. By contrast, when Obama upgraded and renamed the program — the White House Office of Faith-Based and Neighborhood Partnerships — most stories focused on procedural questions and a new, 25-member faith-based advisory council. Few, if any, headlines questioned whether Obama might be using his faith-based office to advance liberal policies, whereas Bush was under persistent fire for allegedly pushing a pro-life agenda. During the Bush years, faith-based initiative stories were 50 percent more likely to be on the front page than in 2009, and separation of church and state was the top concern in 2001. Obama, who, in fact, invokes Jesus in speeches more often than Bush did, according to an analysis by Politico, not only embraced his predecessor’s initiative but has given it the loaves-and-fishes treatment by expanding the mission. One may argue, as Bush critics have, that the previous administration similarly tried to advance policy through its faith-based office. What one may not argue is that Obama has been treated to the same scrutiny as his predecessor. |
Pour avoir parlé avec mes vieux parents cette fin de semaine, qui ont fait la Marche contre la Guerre en Irak, j’ai vu que leur perspective à changer avec Obama au pouvoir.
Ils condamnaient les guerres en Afghanistan et en Irak sous Bush. Plus maintenant. Ils appuient au surplus Obama lorsqu’il a annoncé l’envoi de 40000 soldats additionnels.
Ils méritent son Nobel de la Paix. «Car il donne de l’espoir que les choses seront maintenant différentes de l’administration passée.»
De pacifiste à militariste, à cause que la même politique est appliquée par un liberal, pas par un conservative.
@Econoclaste:
À vrai dire, cela est la preuve qu’avec un système bi-partisan comme aux États-Unis, ceux qui sont d’un côté vont accepter n’importe quoi que ce côté propose, à même de vouloir tourner leur chapeau.
Le problème est aussi qu’avec un grand charmeur comme Obama, c’est le contenant qui compte avec le contenu. C’est donc dire à la limite qu’Obama est un adepte du sophiste. Avez-vous remarqué qu’Obama utilise des termes qui sont très généraux (espoir,changement) afin de masquer son manque d’expérience et de savoir-faire comme président?
Le plus ironique c’est que le Hétutistan encense Obama et méprise toujours autant le peuple américain.
Et pourtant le peuple américain est beaucoup plus pacifiste que Obama (jamais la Guerre en Afghanistan n’a été aussi impopulaire etc).
Cherchez l’erreur…
Les médias s’opposaient à Bush sur ces questions parce qu’ils savaient qu’il était un vrai croyant, tandis qu’Obama professe la foi chrétienne par convenance et non par conviction, c’est sans danger… He doesn’t really walk the talk.
Tu oublies les 20 ans d’Obama dans l’église de Jeremia Wright et l’endoctrinement selon les dogmes de la théologie de la libération.
Medias traditionnels hypocrites.
Quoi de neuf docteur?
C’est ce que je disais… Obama n’est pas un vrai chrétien 😉 La théologie de la libération est au christianisme ce que le keynésianisme est à la liberté économique; c.-à-d. une perversion, une déviance, un mensonge diabolique !
En France on a le multi-partisme… ça n’empêche pas la création de deux gros camps : gauche et droite. Quand le gouvernement de Jospin a préparé certaines réformes, personne ne gueulait. Quand les ministres de droite suivant ont repris les mêmes réformes, tout le monde gueulait. On servait la même soupe avec une étiquette différente, ça changeait.
C’est la partisanerie en général qu’il faut combattre.