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Selon les médias gauchistes, la récession aux États-Unis toucherait à sa fin grâce au plan de relance de 787 milliards de dollars de Barack Obama. Des 787 milliards de dépenses prévus par la Maison-Blanche, seulement 73,1 milliards ont été dépensés, soit moins de 10%. Si fin de la récession il y a, il faudrait plutôt conclure que, contrairement à ce qu’affirment les dogmes keynésiens, le plan de relance de Barack Obama aura été inutile. Et si la récession se poursuit, on pourra aussi constater que les fameux plans de relance supposément salvateurs, adoptés en toute hâte par les politiciens sont inutiles pour juguler une récession, parce qu’ils sont trop longs à mettre en oeuvre. |
Bref, si ça marche, on dit que ça coûte trop cher. Et si ça marche pas, on dit que c’est la faute de l’État. Et si ça marche, c’est l’entreprise privée.
Quiconque est quelque peu familier avec les crises financières sait que le simple fait de dire qu’on va dépenser de l’argent ramène une bonne parte de la confiance et peut, oui, oui, écourter une récession. Est-ce que les ménages canadiens ont attendu leur retour d’impôts avant de faire des rénovations? La reprise boursière ces derniers mois est une preuve patente du retour de la confiance.
L’économie, c’est pas juste une question de présenter des statistiques sous un jour favorable à son idéologie, c’est surtout une question de confiance. Et l’État américain et Obama, jouent ce rôle en ce moment. La réforme du système de santé va aussi dans ce sens.
Dans un cours d’économie monétaire à l’université on avait vu que l’approche non-interventionniste était vraiment meilleure que celle des keynésiens à 99% du temps. Mais, je dois donner un peu raison à Zappa, étant donné que Keynes a écrit sa théorie en pleine crise, l’intervention PEUT être de bonne augure pour résoudre une crise, mais ça reste difficile à prouver à cause du temps nécessaire (18-24 mois) pour qu’une politique puisse faire effet.
Sinon, je suis loin de croire que la réforme de santé puisse aider les américains en quoi que se soit… même en santé.
Ayant étudié la même chose, j’ai dû mal à m’expliquer le mouvement planétaire qu’a connu la méthode keynésienne.
Nombreux sont les pays ayant injecté massivement dans leurs économies. Il doit certainement avoir des facteurs qui nous échappent.
Est-ce que les mécanismes de crédit d’aujourd’hui sont plus avantageux!?
On devrait alors promettre un plan de relance de milliard de dollars, un coup la confiance revenue et la supposée crise passée. On annule le plan haha.
L’adoption de plan de relance gigantesque qui vont endetter nos petit enfants de toute urgence par des politiciens qui paniquent tellement qu’ils affirment ne pas avoir le temps de lire les projet de loi ça ne donne pas confiance, ça la détruit!
La socialisation de la médecine est supposé redonné confiance aux américains?
J’imagine que c’est pour cette raison que les sondage disent qu’ils ne font pas confiance au plan de réforme de la santé d’Obama.
En fait, l’orthodoxie économique d’avant la crise actuelle était plutôt une synthèse du monétarisme et du keynésianisme. Que vous le vouliez ou non, une banque centrale intervient dans l’économie d’une manière qui est relativement coûteuse. Elle influence presque directement le taux de change. Elle peut alourdir ou alléger le fardeau de la dette en altérant les taux d’intérêt payés aux détenteurs de bons.
Par ailleurs, le monétarisme n’a pas eu un succès foudroyant au début des années 70 alors que les hausses de taux d’intérêt aux États-Unis n’ont pas réussi à dompter l’inflation. C’est alors que Friedman est arrivé avec sa théorie sur les anticipations d’inflation qui en viennent à devenir réalité.
Comme je le disais, la psychologie y est pour beaucoup en économie. Quand on est rendu à des taux en bas de 1%, quel est la réponse monétariste? Je vous le demande. La déflation? Comme en 1930? Le keynésianisme est la moins pire des solutions.
Sondage ONN (Obama News Network): 36% donnent un F aux politiques économiques de Obama.
16% donnent un D
Moyenne nationale: C-
Hétu n’en parlera pas…
http://reportcard.cnn.com/
Xappa a raison. Les plan de relance sont essentielle pour redonner confiance aux gens pour que la consommation reprennent.
Par exemple, hier j’ai appris que grâce au plan de relance d’Obama, les toilette dans le pac national du Nouveau Mexique ont été rénové au coût de 2,8 millions de dollars.
Cette nouvelle m.a tellement donné confiance en l’action du gouvernement que j’ai pris ma carte de crédit et que j’ai été m’acheter une télé écran plat.
Moi je dis vive la déflation. Payer moins cher je suis toujours partant.
Voici comment a évolué le prix des voitures et des ordinateurs depuis 10 ans aux États-Unis:
Depuis 10 ans, le prix des voitures est resté stable alors que le prix des ordinateurs a subi une déflation spectaculaire de 98% !
Maintenant, dites-moi quel secteur de l'économie est le plus moribond: celui de l'automobile ou celui de l'électronique ?
Le monstre qui terrorise Gérald Fillion, Sophie Cousineau , René Vézina et un bon nombre d'économistes est… imaginaire !
Source:

All Urban Consumers (Consumer Price Index – CPI)
Le keynésianisme est un DOGME qui est plus violent, pernicieux et liberticide qu’Al-Qaeda.
Le keynésianisme existe uniquement pour prolonger les crise et réduire les gens à l’esclavage par petite dose.
En plein pendant la poussée du progressisme aux É-U, du fascisme et du communisme en Europe, un économiste avance une théorie selon laquelle le libre-marché ne peut fonctionner sans intervention de l’état, et il se demande pourquoi cette théorie était populaire. DUH!!!!!
Je ne devrais pas m’en étonner mais tu as une idée plutôt réductrice de la déflation.
Tout comme l’inflation ne signifie pas simplement que vos actions montent en flèche, la déflation ne veut pas juste dire que «mon ordi va couter moins cher». Par ailleurs, pour un tenant de la magie du marché je ne comprends pas comment tu peux faire équivaloir une stabilité des prix avec une industrie moribonde. Si l’industrie était vraiment moribonde, les prix chuteraient, non? Au cas ou tu l’ignorerais, y’a encore beaucoup d’humain qui achètent des autos. Oh, peut-être pas des GM mais, tsais, toutes les autres marques. Pour ce qui est des ordis, ils sont fait en Chine et les logiciels sont de plus en plus piratés. Est-ce que l’industrie du disque est moribonde ou florissante, David?
Bref, c’est un peu plus compliqué que ça. La déflation, mon cher David, ça a déjà été essayé. Et là je parle de déflation généralisée pas juste d’un spécial sur les ailes de poulet. Qu’est-ce qui se passe quand les gens commence à penser que les prix vont descendre, David? Ils reportent leurs achats. Les Japonais l’ont essayé dans les années 90; ils ont tellement aimé ça qu’il ont appelé ça The Lost Decade. Les années 30 ont vu de la déflation. Au 19ième siècle, sous l’étalon or, il y avait tout le temps des périodes de déflation. C’était pas vraiment full chill, man.
Même une déflation sectorielle peut être grave. Prend le prix des maisons, David. Ça c’était cool hein? Tout le monde sauf toi sait qu’une économie saine doit compter sur une stabilité des prix. Quand les prix baissent David, les salaires aussi. Mais penses-tu que tes dettes diminuent elles, David?
Mais peut-être aussi que y’a juste toi qui comprend pis que tous les autres sont dans le champs. Vive la déflation: y’a un deux pour un sur la canne de poires!
Ok.
Merci de prouve que tu ne comprends pas que quand le gouvernement imprime de l’argent on génère de l’inflation.
C’est vrai.
Durant les année 90 les japonais ont arrêter de faire leur épicerie parce que les prix dominait.
Et la déflation constante du prix des ordinateur fait en sorte que personne n’achète d’ordinateur. Les gens préfère toujours reporter leur achat.
Relis toi avant d’écrire n’importe quoi dans tes commentaires.
La déflation: une peur injustifiée
Le Journal de Montréal, p. 29 / Nathalie Elgrably-Lévy, 09 avril 2009
Depuis quelques mois, les banques centrales de par le monde défendent leurs importantes injections de monnaie en affirmant qu’elles visent à contrer un phénomène redoutable, un monstre terrifiant, un spectre angoissant: la déflation!
Selon plusieurs analystes, il serait catastrophique que les prix baissent de manière soutenue et généralisée, car (1) comme tout coûtera moins cher demain, la déflation encouragerait les individus à réduire aujourd’hui leurs dépenses de consommation dans l’espoir de bénéficier des aubaines futures, ce qui compromettrait la viabilité des entreprises; et (2) la baisse des prix réduirait la profitabilité des entreprises et les acculerait à la faillite.
En apparence acceptables, ces deux arguments sont néanmoins bancals. Tout d’abord, déclarer que la déflation réduit la consommation, c’est affirmer que plus les prix des produits baissent, moins les gens en achètent. Mais est-ce vraiment logique?
Si on exprime le prix d’un bien en fonction du nombre d’heures de travail nécessaires payées au salaire médian pour l’acquérir, on constate que le prix de la plupart des biens ne cesse de diminuer.
Par exemple, en 1950, l’achat d’un réfrigérateur ou d’une télé équivalait à 154 et 162 heures de travail respectivement. Aujourd’hui, on peut se procurer les mêmes biens, mais de qualité largement supérieure, en travaillant 22 et 30 heures. De manière générale, les produits coûtent de 3 à 20 fois moins cher qu’il y a un demi-siècle. C’est la déflation par la productivité.
Or, n’avons-nous jamais reporté un achat sous prétexte de bénéficier des gains de productivité ultérieurs?
Ce n’est pas tout, même exprimés en valeur nominale, les prix de nombreux biens diminuent au fil du temps. C’est notamment le cas des ordinateurs et des produits électroniques que nous achetons toujours, même si nous savons pertinemment qu’ils coûteront moins cher demain.
Ajoutons que des prix moindres permettent aux consommateurs de réaliser des économies qu’ils pourront ensuite consacrer à l’achat de nouveaux produits ou d’autres biens auparavant inaccessibles. Est-ce là le drame déflationniste qu’on nous dépeint?
Quant aux entreprises, prétendre qu’elles seront moins profitables en période de baisse de prix est discutable.
En effet, d’une part, elles vendront davantage. D’autre part, ce n’est pas le prix de vente qui détermine la rentabilité d’une entreprise, mais l’écart entre ce prix et les coûts de production. Or, en période de déflation les prix des facteurs de production diminuent également. Donc, si les coûts diminuent au même rythme que les prix, la marge bénéficiaire est maintenue, et il n’y a aucune raison pour que la déflation nuise aux affaires.
Notons d’ailleurs que les États-Unis avaient enregistré une période de croissance entre 1875 et 1895 malgré une déflation de 1,7% par année. La vision apocalyptique d’un monde où notre pouvoir d’achat augmenterait est donc injustifiée.
Mais alors, à qui le fait que l’argent prenne de la valeur peut-il nuire? Et à qui l’inflation profite-t-elle? À celui qui a des dettes, bien entendu! En période de déflation, la valeur réelle d’une dette augmente, tandis qu’elle diminue dans la situation contraire. Et qui est particulièrement endetté? Les gouvernements en général, Washington en particulier, ainsi que toutes les entreprises qui ne pourraient survivre sans l’argent des plans de sauvetage.
Est-ce donc vraiment parce qu’ils se soucient du bien-être des consommateurs que les États font la guerre à la déflation? Et est-ce réellement pour protéger les entreprises qu’ils nous vantent les mérites d’un faible taux d’inflation? Peut-être. Mais ne serait-il pas également possible que les gouvernements soient plus préoccupés à alléger le fardeau de leur dette qu’à protéger notre pouvoir d’achat?
Plus d’explication là-dessus, SVP?
Tu n’es pas le premier à amener cet argument sans preuve solide. Vas-y, nous sommes prêt!
Et quelle stabilité ? Les prix augmentent sans cesse à cause du vol flagrant et constant de nos banques centrales et du système fractionnaire…
Le gouvernement générerait de l’inflation pour les autos mais pas pour les ordis, c’est ça? C’est plutôt incohérent. Mais, tu n’as pas répondu à ma question. Est-ce que l’industrie du disque est moribonde ou florissante? Les prix des disques chutent mais pourquoi David, explique-nous.
Tu persiste à associer la déflation à une baisse du prix de l’électronique et comme je te le répète, c’est plutôt réducteur. Une baisse de prix, par exemple, des produits agricoles, comme dans les années 30, ça produit de la détresse chez les agriculteurs et les banquiers qui leur ont prêter de l’argent et chez leurs employés. La déflation était nécessaire pour que les États-Unis puissent respecter leurs engagements sous l’étalon or. Plusieurs économistes croient que c’est LA raison pour laquelle ce qui aurait dû être une récession est devenue une dépression. Grâce à Roosevelt, ce méchant Keynésien avant l’heure, les États-Unis ont dévaluer le dollar et crée de l’inflation. C’était surement une erreur, hein David?
L’immobilier est une meilleur exemple que l’électronique parce que l’achat d’une maison est plus impliquant que la dernière boîte de tôle made in China et parce que la construction a plus d’impact sur l’économie que Future Shop. Qui va acheter une maison si elle sait que les prix sont entrain de chuter? Toi, David? Qui n’a pas attendu de faire le plein parce que le prix du brut chutait. D’ailleurs, les prix du pétrole sont un bon exemple pour nous, Canadiens, des méfaits d’une instabilité des prix.
La déflation alourdit en général les dettes et insécurise les producteurs et les consommateurs. C’est pas une boutade sur les ordis moins chers qui va changer cela. Si les anticipations d’inflation existe, il doit en être de même pour les anticipations de déflation. Il ne s’agit pas de dire ici que la déflation est un monstre hideux. Il s’agit plutôt de ne pas faire comme si c’était une bénédiction sans vraiment comprendre de quoi il en retourne. La stabilité des prix est importante pour l’aspect psychologique en économie. Un légère inflation est par ailleurs probablement préférable à une déflation incontrôlée.
C’est la phrase la plus stupide que j’ai lu… C’est comme de dire qu’un petit bobo par jour est mieux que de se faire amputé une jambe. C’est évident! En plus, une déflation incontrôlé, c’est impossible! Le marché s’auto-régule et donc s’auto-contrôle.
Ce que tu ne sembles pas comprendre c’est que dans un véritable libre-marché, sans les interventions étatiques monétaristes/inflationiste, les prix vont nécessairement descendre. Ça coute de moins en moins cher de construire un réfrigérateur. Tout le monde est content, car maintenant tout le monde en possède un et il leur reste de l’argent pour s’acheter un ordinateur qui lui coute aussi moins cher et donc il reste plus d’argent pour aller au resto… ainsi de suite!
C’est quoi la richesse ? D’accumuler des piastres, des bidous, des gros dollars. Bien non. Notre société est beaucoup plus riches et plus prospère qu’il y a 100 ans parce que nous avons améliorer nos processus de production et donc, nous faisons plus avec moins. Dans un véritable libre-marché, les prix baissent sans cesse, car le prix des ressources baissent sans cesse. Salaire compris. Il est où le mal ? On gagne moins cher pour un travail, mais comme notre travail est plus efficace, on peut en faire plus… Ça revient au même, non?
Présentement, notre économie est constamment faussé par des interventions étatiques qui passent outrent les règles de régulation normales du marché. Normal, ça achète des votes et ça calme la population trop lâche pour se prendre en main. Mais comment fait-on pour financer nos folies? On implante un système de banques centrales où on contrôle l’inflation de la monnaie ce qui est en fait une taxe très déguisé des gouvernements envers la population. T’es-tu déjà demandé comment les gouvernements pouvaient toujours donner plus d’argent à tout le monde sans pour autant toujours augmenter les taxes?
Les gens se fient de plus en plus sur le gouvernement se prennent de moins en moins en main. L’état a donc le beau rôle! Elle en profite et c’est ce qu’on dénonce!
Tu dis que la déflation augmentent les poids des dettes. Et bien l’inflation diminue la valeur de l’épargne.
J’aime mieux vivre dans une société où on encourage l’épargne que les dettes…
Tu sembles nouveau sur ce blogue. Un peu d’éducation ne te fera pas de tort…
L’argument selon lequel les gens arrêteraient de consommer si les prix diminuent est complètement faux. De un, si les prix diminuent, le marché s’agrandit, c’est-à-dire que plus les gens qui ont un revenu plus faible peuvent s’offrir des biens et des services auparavent innaccessibles. De deux, si effectivement tout le monde arrêtait d’acheter un produit en espérant une baisse de prix supérieure voilà ce qui arriverait: voyant les stocks s’accumuler, le producteur arrêterai sa production, entraînant une limitation des stocks. Selon l’offre et la demande, cela va créer une rareté, une augmentation des prix, un retour à la rentabilité et les entreprises vont se remettre à produire. C’est exactement ce qui se produit avec l’essnce, quand le prix diminue trop, l’Alberta arrête de produire, parce sa marge de profit est trop mince, voire négative. Il s’ensuit une rareté, donc une augmentation des prix, puis l’Alberta se remet à produire. C’est si compliqué?
@ Zappa
Le cas des ordinateurs est différent de celui des voitures. Les technologies informatiques évoluent tellement vite, que les prix diminuent malgré l’inflation. L’inflation est une augmentation générale des prix à la consommation (tous les biens augmentent de prix environ au même rythme). Par contre, à ce que je sache, les technologies dans le domaine de l’automobile ne permettent pas de faire des voitures deux fois plus petites et deux fois plus performantes. Mon premier graveur cd gravait à 4x en 1998, avait coûté 300$. Deux ans plus tard, il en coûtait 100$ pour un graveur cd qui gravait à 16x (4 fois plus vite). Pour maintenir le prix constant, il aurait fallu que l’inflation soit de 1200% (3 fois plus cher, 4 fois plus performant). Pourtant, malgré la déflation, de plus en plus de gens possèdent un ordinateur, aujourd’hui bien plus qu’en 1998. En 1998, on avait qu,un seul ordinateur chez moi. Maintenant chaque membre de ma famille en possède un (4 total). Merci déflation.
On dirait que oui. Dans le fond, les gens se font tellement dire depuis qu’ils sont enfants que l’économie c’est trop compliqué, qu’ils ne trouvent pas normal de comprendre un phénomène. Ils se disent que ça ne peut pas être si simple et que donc, ils ne comprennent pas !
Si je peux me permettre…
Savez en partant, les spécialistes ne s’entendent pas sur les mouvements monétaires. Alors on va pas règlé ça ici aujourd’hui.
Parcontre ce qui cause l’inflation est une trop grande quantité d’argent disponible. De ce fait elle perd de sa valeur, donc de son pouvoir d’achat.
C’est pas la hausse des prix qui crée l’inflation. C’est l’inflation qui se traduit par une hausse de prix. Ex: la crise immobilière, c’est pas le prix des matériaux qui ont fait grimpé le prix des maisons, c’est l’argent facilement disponible.
La déflation étant l’inverse de l’inflation, le fondement de la déflation est le manque d’argent. Entraînant des diffiultés de vente par le commercant. Ils doivent alors baisser les prix.
Du coup, ils sacrifient des bénéfices, donc son pouvoir d’achat(ces frais fixes demeurent, bénéfécie pas de la baisse des prix), donc réduit ses dépenses. Comme tout le monde le sait, 20% des dépenses d’entreprises sont les salaire… facile à couper… donc moins d’emploi et encore moins d’argent disponible etc…
Faut pas confondre, déflation avec baisse de prix qui rime avec baisse des coûts de production. La compagnie chinoise qui fait les ordi en grande parti… elle fait de l’argent avec son cheaplabor. La même compagnie chinoise qui ne vend plus d’ordi ne fait pas d’argent.
Faut faire attention de ne pas confondre les principes économiques. Il y a une différence entre une baisse de prix de production, qui se traduit par une vente au détail à rabais et moins de vente au détail qui oblige une liquidation.
(Pour conclure l’exemple des ordis, ceux qui sont dans le domaine pourront le confirmer, depuis qu’on les donnent, est-ce qu’ils évoluent aussi vite que dans les années 90-2000. Non la progression à nettement ralenti… pkoi!? parce que les fonds de recherches sont employés dans d’autre sphère plus payante et prometteuse.) Est-ce que le consommateur en plus pour son argent… c’est de la soupe froide.
Alors étant donné que nous savons qu’une inflation n’est pas souhaitable, que la déflation ne l’est guère plus… je me rabât sur une économie stable.
Est-ce qui a là des arguments solide, non, ce ne sont pas des arguments mais la réalité.
Alors à vous de démontrer ce qui est bien pour l’économie dans une déflation. Et trouvez autre chose que les ordis qui coûtent moins cher, parce que le principe n’est pas bon.
Quand je regarde dans les bouquins ou sur wikipedia, la définition de l’inflation est: une augmentation du nieau de prix général des biens et des services sur une période de temps.
Pour déflation, remplacer augmentation par diminution.
L’inflation est toujours créé par une augmentation de la masse monétaire. Puisque la monnaie sert à faciliter les échanges, elle représente des biens et des services. Une augmentation de la monnaie qui n’est pas créée à partir de nouveaux biens ou services change l’équilibre, provoquant de l’inlfation, donc une augmentation du niveau général des prix. La seule autre façon de provoquer de l’inflation est si il se produit une catastrophe et tout-à-coup on manque de tout, ou si une ressource, comme le prétrole, est essentielle et devient très rare. Puisqu’elle est essentielle, le valeur relative des autres biens ou services vont être dépréciés par rapport à elle, il faudra donc en produire plus pour se procurer le bien essentiel.
Si une entreprise doit vendre à perte à cause d’une diminution des prix, elle fermera inévitablement ses portes. Une entreprise qui ferme ses portes cesse d’offrir un bien ou un service. Cela va invitablement créer une rareté. Si le bien ou service est désiré, il y aura une demande pour celui-ci. Puisque l’offre est considérablement diminuée, ou même inexistante, les prix iront à la hausse, provoquant une occasion d’affaire pour les entrepreneurs, puisque la marge de profit augmente. La peur de la déflation est basée sur la croyance que les prix peuvent chuter ad vitam eternam.
L’exemple du pétrol en Alberta était parfait pour expliquer la déflation. L’économie se stabilise d’elle-même si un bien ou un sevice n’est plus profitable à offrir.
Les prix des frais fixes DEVRAIENT baisser aussi. Si les gens acceptaient que leur salaire suivent, ils ne perdraient pas leur emploi. Et comme les prix baissent, ils ne perdent pas de pouvoir d’achat.
Il est où le mal dans la liquidation. Plus de gens peuvent se procurer le produit ce qui fait que plus de gens sont plus riches de ce produit…
Ce serait le cours normal des choses. Comme nos capacités de productions augmentent, nous devrions pouvoir avoir plus de choses avec la même quantité d’argent. Donc, déflation=plus de richesses (il faut bien sûr ne pas voir la richesse comme de l’argent, mais comme ce qu’on produit, ce qu’on a, l’argent n’est que le médium de transfère, la façon d’échanger).
Je ne comprend pas ce que vous voyez de mal dans la déflation (si on ne brouille pas le marché et qu’on laisse les choses d’auto-réguler). Les prix baissent, la compagnie fait moins de profits sur son produit. OK. Mais l’argent qui n’a pas été dépensé, le sera ailleurs. Donc, avec ton 10$, au lieu d’avoir un subway, ben tu as un subway, plus la location d’un film. WOW! Tu es plus riche d’un film que tu as écouté. Si ton salaire à suivi la déflation, bien tu as juste 5$, alors tu as le même subway qu’au départ. Tu n’as rien perdu!
Si par malheur, tu as perdu ton emploi, tu n’as plus d’argent du tout, mais elle sera réorienté dans un secteur plus productif de l’économie et donc servira à enrichir la société. Toi, en tant que ressources, tu trouveras ton utilité ailleurs au prix juste.
Il ne faut pas penser qu’un emploi perdu est de la richesse perdu. Ton salaire qui n’est pas versé, s’en va ailleurs. Là où c’est optimal de l’envoyer.
Je suis parfaitement d’accord avec ça.
Parcontre ma réponse se retrouve dans le commentaire de waried…
Parce que non les employés ne vont pas accepter une baisse de salaire, le gouvernement va plutôt subventionné le tout et étirer l’agonie.
Alors à moins d’être utopiste les frais fixes ne baisseront pas et une grande difficulté financière va s’en suivre.
Il ne faut pas oublier que si les gens perdent leur emploi, il perdent du pouvoir d’achat. À quoi bon produire un bien ou un service si plus personne ne peut se l’offrir. Via la machinerie, on crée de emplois plus spécialisés, ce qui fait que la diminution des coûts de production ne crée pas nécéssairement de baisses de salaire, mais une réalocation de la main-d’oeuvre vers des secteurs plus en demande. Personne ne parle de subventionner les charetiers, quand on peut avoir un camion dont la capacité est mille fois supérieure, qui voyage dix fois plus vite, qui permet donc de transporter des biens à moindre coût. Je crois que le salaire du camioneur est meilleur que celui des charetiers du moyen âge.
Citant Chiroky :
Je profite de la tribune pour indiquer que j’apprécie bien vos discussion sur les mouvements monétaires.
Ceci dit, tu me permetra de rectifier le tir sur la phrase cité plus haut : la progression technologique tend à s’accélérer plutôt qu’à ralentir en informatique. La loi de Moore (http://en.wikipedia.org/wiki/Moore's_law)semble semble même incapable de suive les récents progrès (http://www.infoq.com/news/2009/01/Moore-Law-Is-Slow).
Outre ça, je le répète, belle discussion que vous avez là.
Au plaisir,
– Occam
Heuuuu, je pense que dans le fond on s’obstine pour rien… Je sais que les employés n’accepteront pas une baisse de salaire, mais c’est causé par une mauvaise éducation. Nos pensées ne sont pas si différente dans le fond!
Reste que si les entreprises doivent fermer c’est qu’elles ne sont pas concurrentielles et que d’autres entreprises offrent un produit meilleur! Donc, c’est inutile d’essayer de sauver cet entreprise avec notre argent (via l’état). Si on avait voulu donner de l’argent à cet entreprise, nous aurions acheter leur produit.
Pas le gouvernement, le MARCHÉ. Et quand le MARCHÉ génère de la DÉFLATION, l’état ne doit pas intervenir sous prétexte que la déflation c’est mauvais!
À Zappa qui se couvre de ridicule sur les question d’inflation:
The Blessings of Deflation
Let’s say you set out on a Saturday shopping trip, drive up to the mall, and see a sign that says “50% off everything!” That’s great news, right?
Or let’s say you are in the market for a new car, and the sticker shock you experience is that cars are cheaper than they used to be. Amazing and wonderful!
Or let’s say you are paying for your daughter’s college education and find that you have set aside more money than is necessary because the price of tuition and books is lower than you expected. Glory be!
Or let’s look at it from the point of view of business. You are a manufacturer and your main expense is steel parts. After many years, even decades, of rising prices for ball bearings and other machine parts, your costs suddenly decline. The cost of replacing assets is dramatically reduced. That leaves more for investment, marketing, paying employees, and enticing investors with dividends. It is a win-win situation for everyone.
So far, “deflation” seems like a glorious thing. But wait, says conventional wisdom. Consumers and businesses may benefit, sure, but what about sellers? They always desire the highest price possible for their products. If Dell had its way, every computer would cost $1 million, and they would certainly charge that if they could sell the same number of computers at this price as versus $1 thousand. By the same token, consumers want to pay exactly $0 for what they buy. It is the interplay between these two ideal worlds that yields the market price.
If businesses have been required by virtue of competitive pressure to sell at ever lower prices, how can they make a buck? By becoming more efficient. Anyone who has ever worked in a business knows that efficiency is something that businesses do when they have to. A monopolist is facing no competition (think of a government toll road) and so can charge high prices and maintain awful inefficiencies year after year. A business in a competitive environment cannot.
The computer industry itself provides the best illustration. Prices have plummeted even as sales have soared. Computer makers and retailers have profited handsomely. And this is not a unique case. The same has happened to appliances, which have gone down in price dramatically over the years even as sales have risen higher and higher. Why? Because the companies have gotten better and better at doing what they do, and have thereby been able to make profits even in the face of continual price declines.
Thus we see that there is no radical disconnect between the interest of consumers (who always want lower prices) and overall economic health. What’s good for consumers is good for everyone. You can only marvel at the many economists and commentators who try to convince the public that deflation is a very scary thing. In doing so, they enjoy the cachet associated with generating a counterintuitive conclusion, but in this case, it is simply wrong. The first intuition that bargains are a great thing is precisely the right one. In discerning economic theory, sometimes common sense turns out to be all you need.
And yet, many experts still say we should “worry about falling prices” because they represent a “destructive force” (according to Martin Wolk at MSNBC, for example). He explains as follows: “As prices keep going down, money grows more valuable. . . .” So far so good!
But he goes on to say that this is actually a bad thing because it creates “an enormous disincentive for consumers and businesses to spend money. Economic activity slows, unemployment rises and demand continues to decline.” Well, but that presumes that consumers have something to gain by forever stocking up on dollars and never buying anything, which is absurd. It’s true that falling prices create incentives to save, but so long as the preference of consumers is to save instead of spend, that can only prepare the way for a future of economic growth. Consumers save for a reason, namely, to spend later.
Wolk’s next point concerns the implications of deflation for debt. Deflation makes it “far more difficult to pay back existing loans.” It’s true that loans are paid back in dollars that are more valuable than the ones borrowed. But that is part of the risk one takes when deciding to borrow in the first place. If we all had perfect foresight, our behavior would change substantially. But that is no case for pressing the pause button on economic affairs. What deflation does is provide a disincentive to borrow and an incentive to use current savings for purposes of investment. It means a reward for well-capitalized companies and individuals—a good thing all around.
Now we get to the crux of the matter: the Great Depression. The assumption is that falling prices somehow caused the economy to crumble. In fact, it was the after-effects of the boom combined with massive government intervention that caused the depression. The only silver lining in the entire period of the 1930s was precisely the falling prices that made the dollar count for more. Falling prices (a falling cost of living) are what Murray Rothbard has described as the “great advantage” of recessions. If you can imagine the Great Depression without falling prices, you have conjured up an image that is far worse than the reality.
Ask yourself whether during economic downturns, you want your money to grow or shrink in value? If your future job security is in doubt, do you want to pay more or less for goods? If your savings are meager, do you want them to have more or less purchasing power in the future? If you answer these questions rationally, you can see that deflation is wonderful for everyone, and the saving grace of a period of economic contraction. Throughout the 19th century, prices fell in periods of economic growth, which is precisely what one might expect. This is all to the good.
As Rothbard has said, “rather than a problem to be dreaded and combatted, falling prices through increased production is a wonderful long-run tendency of untrammelled capitalism. The trend of the Industrial Revolution in the West was falling prices, which spread an increased standard of living to every person; falling costs, which maintained general profitability of business; and stable monetary wage rates—which reflected steadily increasing real wages in terms of purchasing power. This is a process to be hailed and welcomed rather than to be stamped out.”
If we must have recessions, make them deflationary recessions. What’s far worse is the phenomenon of the inflationary recession that Keynesians are always trying to foist upon us. For the same reason that deflation is a good thing, rising prices during a recession are the worst possible thing, because they provide a disincentive to save and invest for the future. They encourage present consumption and thereby gut the capital base necessary for future growth. They prolong suffering in every way.
Thus can we see that the widely-approved prescription to prevent deflation, namely inflation, is the worst possible path. But this is precisely what the Fed has endorsed as a matter of policy. It is hardly surprising that the central planners managing our lives would adopt the exact policy that will make us so much worse off.
Fortunately, the free market contains mechanisms that can work around attempts by the Fed to inflate. It could be that the banks have a hard time foisting new money on people and instead work to protect their balance sheets. Businesses too, stung by economic contraction, might avoid going further into debt, no matter how cheaply they may be able to borrow. In this case, prices could fall whether the Fed wants them to or not.
In economics, it is a good rule that what is good for individuals and families is also good for the economy. Everyone wants a bargain, which is to say a low price. Sadly, in our present age of inflation, lower prices mostly affect specific products and sectors. May the joy we take in falling prices for electronics be expanded to anything and everything we buy. Let the commentators fret and worry about what their fallacious macroeconomic models tell them. The rest of us can sit back and watch our standard of living rise and rise.
Sadly, I doubt we will see any deflation. Even based on the last ten years of data, overall price increases are still the norm.
In fact, since 1913 and the founding of the Fed, the dollar has lost 95 percent of its value. It is far more likely that this robbery will continue rather than for our lost purchasing power to be restored to its rightful owners: you and me.
http://mises.org/article.aspx?Id=1241
Si la certitude de l’argent disponible a suffit pour la confiance et la relance du même coup, et ce pour le dixième prévu… so what
Ils ont sauvé 700 milliards. C’est la reprise la plus rapide jamais vu. Je me demande bien quel républicain à déjà réussi un tel exploit en dehors M. Harper bien sûr!?
Je n’ai pas vraiment le temps ni le goût de répondre à toutes les absurdités débitées sur ce blogue. Je vous souhaite un bon week-end. Profitez-en pour lire Manias, Panics and Crashes de Kindleberger et on se reparle du marché auto-régulateur. D’ici là j’aurai peut-être arrêter de rire… ou de pleurer.
1921-22 ? Si je ne me trompe pas de date…
Ludwig Von Mises, Frederick Hayek, Bastiat?
L’économie américaine profitait à ce moment là de faible taux d’intérêt décrèté par le gouvernement pour aider au retour à l’étalon d’or par les britanniques.
On se rappel qu’à ce moment les américains souhaitait le retour d’un système de monnaie international tel que dicté dans la conférence de Gènes en 22.
Règles qui reprenaient en grande parti celle de l’étalon d’or.
Alors même à ce moment l’état est intervenue… qui était au pouvoir!?
Sage décision Zappa.
Parler de reprise c’est prématuré. Le haut taux de chômage, les faillites personnelles en hausse, le prix du logement encore élevé, la dette américaine égale au PIB… Selon moi d’ici deux ans on va voir ça replonger. On s’en reparlera à ce moment-là.
http://en.wikipedia.org/wiki/Charles_P._Kindleberger
Économiste keynésien?
Quand Galbraith (père ou fils) applaudit quelqu’un et son oeuvre, surtout si la personne vantée était au contrôle de la FED pendant une partie de la Grande Dépression (une crise aggravée par l’interventionnisme et les « bonnes lois »), mon premier réflexe est de reculer d’un pas.
Un autre livre qui mériterait une attention particulière pour tous les keynésiens et néo-keynésiens:
The Predator State: How Conservatives Abandoned the Free Market and Why Liberals Should Too
Laissons donc l’État et ses élites biens-pensantes s’occuper seuls de planifier nos vies et notre économie.
Pfff… La liberté, et quoi encore!
Ils demanderont à être exemptés d’impôts après ça, en disant que nous leur prenons de l’argent sans leur demander, qu’ils n’ont pas le droit de décider où il va aller et que nos bonnes actions vont même nuire à leur prospérité?
À ce moment on pourra féliciter Obama d’avoir mit en place un plan de relance…
Sure… vous disiez?
Warren G. Harding
La crash des année 20 a été pire que celui de la grande dépression. Warren G. Harding a décider de couper les impôts ET les dépenses.
Résultats, en quelques mois, l’économie recommençait à croître.
Tu aurais intérêt a étudier l’histoire.
Va voir sur le lien du billet. C’est à peine 25% de l’argent qui est disponible.
D’ailleurs l’indice de confiance des consommateurs est en diminution.
Le seul effet de son plan de relance a été de faire gonfler la dette. On devrait le féliciter pourquoi au juste?
C’était pas une question, c’était un sarcasme… car non seulement c’était un républicain mais c’Est aussi une des sinon la première fois que la fed intervenait autant sur le marché…
Alors ton sauveur si bien cité, s’est levé du pied gauche.
J’ai confirmé ce week-end avec un dirigeant D’IBM qu’il y a une décélération des avancements. Ils ont eux-mêmes délaissé le marché grand public, sauf pour les consoles de jeux, pour se concentrer sur des système de grands envergures.
Les cores ont très peut changé depuis 4 ans, ils sont maintenant combiné pour effectuer plus de travail mais le développement stagne.
Donc les variantes de la loi Moore sont faussées.
Sa vient de ton propre lien et qui plus est, confirme exactement mon point.
Donc, il y en a encore qui pensent que le marché est auto-régulateur. Évidemment, il faudrait s’entendre sur ce que vous entendez pas marché mais bon, je doute que vous y ayez réfléchi.
Anyway, quelqu’un me demandait de «prouver» qu’une stabilité des prix était plus productive que des mouvements perpétuels à la hausse ou à la baisse. Je trouve que c’est peut comme demander pourquoi il y a plus de gens aiment mieux conduire le jour que la nuit.
C’est sûr les gars que le marché, à long terme, revient à un équilibre relatif mais, des fois, ça prend du temps. Et comme le disait Keynes, à long terme, on est tous mort. Je vous dis pas que les Banques centrales ne font jamais de conneries; je ne fais que vous signaler que le marché peut aussi avoir une rationalité, comment dire, relative. Je trouve, personnellement, qu’on en est arrivé à un compromis relativement satisfaisant et que des améliorations peuvent être apportées à la marge. Pas de quoi en faire un blogue. Si vous croyez au marché-qui-s’équilibre-tout-seul-et-qui-produit-de-la-richesse-pour-ceux-qui-travaille-et-qui-purge-les-déchets-du-système-et-que-tout-ça-se-fait-d’une-manière-relativement-sereine, vous êtes, comme Polanyi l’a dit, des utopistes. Au même titre que Thomas More ou… Léon Trotsky. Good luck with all that.
@ Chiroky
Tu te trompes de dépression. La Fed n’est pas intervenue dans la recession de 1920-21. C’est dans celle de 1929-1940 que la Fed est intervenue massivement avec les résultats qu’on connait.
@ Zappa
Tu devrais aller voir ce billet pour voir ce que la Fed fait pour la soi-disant stabilité des prix. La seule stabilité que les banques centrales promettent, c’est un accroissement constant.
Merci de nous rappeler la citation qui prouve hors de tout doute que Keynes était un crétin.
À long terme nous sommes tous mort… Sauf les génération futur qui devront payer les dettes causés par l’arnarque keynésiennes.
Ce que Keynes dit c’est: faisons le party et on fera payer nos enfants.
Well, Keynes n’avait pas d’enfant…
Et nous souffrons maintenant le long-terme de Keynes.
Keynes était un crétin? Voilà une conclusion pour le moins précipitée mais bon, je ne m’attendais pas à moins d’un illettré. Anyway, puisqu’il faut le spécifier: Keynes proposait seulement d’adoucir les cycles économiques. Votre référence à « nos enfants » est évidemment démagogique mais bon, je ne m’attendais pas à moins d’un blogueur du dimanche. Précisons que Keynes n’était pas un promoteur de l’État providence mais plutôt un économiste pragmatique qui voyait bien que le marché peut parfois avoir un déficit de confiance. Keynes n’a jamais dit que le Québec devait faire dépendre la viabilité du régime de pensions sur un rendement de 7% de la Caisse de dépôt. Non, ça c’est des Baby boomers qui ont voté pour ça et eux, ben, ils avaient des enfants.
Keynes n’a pas, me semble-t-il, parler de nationaliser tout ce qui bouge. Keynes ne faisait pas la promotion de l,endettement de l’État. Keynes ne disait pas qu’il fallait payer des fonctionnaire à rien faire. Keynes, tout le monde le sait sauf vous, était un brillant économiste et non un crétin. Tout comme Hayek était fort persuasif et original.
Keynes a simplement dit que l’État pouvait aider à redonner la confiance aux consommateurs et suppléer un baisse de demande en temps de récession. Hayek pensait, un peu exagérément selon moi, que l’intervention en temps de crise allait dégénérer en facisme. Ça se défend mais bon, je n’y crois pas vraiment. Il y a toujours la démocratie.
Mais ça évidemment, empressez-vous d’oublier toutes ces considérations puisque ça viendrait brouiller votre ridicule vision manichéenne du monde.
Ceux qui étudient l’économie au travers les faits et pas l’idéologie réalisent que Keynes ne peut être qu’un crétin.
Le keynésianisme n’a jamais sorti un pays d’une crise, au contraire, il a prolongé et créer de nouvelle crise.
Ce n’est pas de la démagogie. Keynes a lui-même dit qu’il se fichait des conséquences à long terme parce qu’il serait mort le jours où il faudrait faire face à ces mêmes conséquences.
La théorie de Keynes est basée sur un concept tout aussi crétin que l’homme: l’effet multiplicateur. Selon ce concept, les dépenses de l’État génèrent plus de richesse que la dépense initiale. Pas besoin d’être un « rocket scientist » pour comprendre l’absurde de cette proposition.
Lol. Tout la philosophie de Keynes est basé sur l’endettement. Pour lui ce n’est pas grave, à long terme nous sommes tous mort.
Durant la grande dépression, quand les gens mourraient de faim, Keynes a dit que les fonctionnaire devait abattre et jeter aux ordures des porcs pour faire remonter le prix. Si seulement keynes avait demandé au fonctionnaire de ne rien faire, ça aurait été bien mieux.
Keynes est non seulement un crétin mais c’est un homme dangereux dont la philosophie menace nos libertés. Ces idées n’ont jamais fonctionné, elles n’ont fait que rendre les choses encore pire.
ça me donne tellement confiance de voir le gouvernement gaspiller en projet inutiles des miliards de dollar. Ça me donne autant confiance que la perspective de prendre la voiture avec un chauffeur en état d’ébriété.
Le pire la-dedans, c’est que le « malade mental » Keynes était un mathématicien de ‘haut niveau’.
En passant, c’est quoi le problème avec la majorité des mathématiciens qui ‘trippent’ sur les chiffres qui n’ont plus aucun rapport avec la réalité? Et comme par hasard, leurs analyses de LA réalité (économique, ou autre) en souffre, aussi.
A noter que les mathématiciens qui font des calculs basés sur quelque chose de réel, sont très utiles et rarement ‘fou’ comme les Keynes de ce monde.
Récession causé en grande majorité par ???????
Toujours sur Keynes :
Je vais peut-être retrouver toutes ses citations/réflexions les plus débiles, et les gens ‘raisonnables’ qui cherchent à comprendre LA réalité (ou les gens vraiment intelligents), vont bien réaliser que ce mec aurait du être hospitalisé dans une pièce capitonnée.

Bon j’exagère, mais ceux qui l’ont érigé en génie de l’économie, ont exagérés dans l’autre sens…
Keynes ne peut faire de calculs intelligents par rapport à un système économique qui est basé sur de la monnaie ‘théorique’ (ou inventé à partir de rien et selon l’humeur de l’heure).
Il disait qu’il analysait le « libre marché » et que son ‘modèle était stable’.
Ouate de phoque ???
Cette fausse monnaie fausse toutes les analyses économiques du dit ‘libre marché'(sic).
Soit Keynes le savait et il était un mec mauvais.
Soit il l’ignorait, alors il était vraiment un con fini qui se croyait intelligent parce qu’il aimait s’amuser avec des calculs théoriques de ‘hauts niveaux’.
Mais on s’en fou de ses folies déconnectées de la réalité…
NOUS VOULONS DES MATHÉMATICIENS ET ÉCONOMISTES -AUTRICHIENS- CONNECTÉS À LA RÉALITÉ.
Merci.
😉
Le libre marché dites-vous?
Le libre marché n’existe plus depuis que les BANQUES DE PLANIFICATION CENTRALES existent.
C’est le gouvernement qui PLANIFIE l’économie et qui essaye de contrôler le ‘libre marché’ (qui n’existe plus dès l’instant où une banque communiste existe. N’ayons pas peurs de mots. C’est vraiment une ‘bébelle’ inutile issue de la pensée collectiviste!)).
Une fois que tu commences à faire ce genre d’intervention dans l’économie, le gouvernement peut alors intervenir par ‘la gauche’ (comme si les banques centrales étaient une affaire de droite, mais passons), pour “réguler les excès du libre marché”(sic)
PARDON ?????
C’est LE gouvernement -en appliquant les idées des Marx et Keynes concernant “la nécessité” (sic) d’une banque de planification centrale- qui empêche le marché de se réguler de façon équitable pour tous.
Et après ‘la sainte et vertueuse gauche » peut venir cracher son venin en disant que c’est ÇA le libre marché et que le « néo-libéralisme cause ces inégalités et distorsions malsaines » Faut alors que le gouvernement vienne « nous sauver du diabolique libre marché »
@ Zappa
Tu devrais peut-être lire un peu ce que Hayek avait à dire sur les cycles économiques. Sa théorie lui a valu le prix Nobel. Tu comprendrais peut-être pourquoi ta prétention que Keynes voulait « adoucir » les cycles économiques était un peu ridicule. Les prescription Keynésienne cherchent à adoucir les cycles économiques en appliquant le même poison qui les a causés. C’est comme redonner de l’héroine à quelqu’un qui vient de faire une overdose.
À ta place, je ferais attention à qui tu traites d’illettré.
Premièrement, Keynes n’était pas un «philosophe» mais plutôt un économiste. Il est vrai qu’il a publié un traité de statistique mais de là à en faire un mathématicien… Keynes n’a jamais réglé une crise? Well… Si le gouvernement américain n’avait pas juste laissé tomber Lehman Brother mais toutes les autres insitutions financières en difficulté, j’en connais qui fanfaronneraient moins ces temps-ci sur des blogues de droite.
Oh bien sûr, la fed, c’est vraiment une plaie. Pourtant, en 1907, c’est JP Morgan qui a essayé de jouer les banques centrales aux États-unis et, savez-vous quoi, ça n’a pas marché. Et s’en est suivi une ruée sur les banques. Et que dire, justement, de l’assurance pour les déposants: ça sert à rien ça non plus?
Pour ce qui est de l’effet multiplicateur, ça ne prend même pas un bac en philo pour comprendre que la monnaie, oui, a un effet multiplicateur. Le gouvernement, ou une entreprise, peut créer de l’activité économique bien au-delà de la somme investie initialement. Y’a rien de sorcier là-dedans. Quant à savoir si l’effet est automatique et de telle ou telle magnitude, la question reste ouverte.
Hein? Vous vous posez manifestement beaucoup de questions. Moi aussi mais, moi, je ne fais pas semblant d’avoir les réponses.
Suite et fin:
Il est possible d’arriver à combler les désirs des gens dits ‘de droite’ et les gens dits ‘de gauche’, mais pour ça il faut se débarrasser de ces banques ‘keynésiennes’ ou ‘marxistes’.
Sans ces banques ‘marxistes’, les « accroissements des inégalités » et les crises (« boom/bust ») ne seraient plus la « norme » et/ou ils seraient beaucoup moins exagérés.
Tout le monde s’en portera mieux et ‘la gauche’ ne pourra plus chialer sur les inégalités et « concentration de richesse » (causées soi-disant par le « libre marché » alors que ce sont ces banques centralisatrices qui créent la centralisation de la richesse!), car celles-ci seront diminuées à leur plus simple expression.
Mais ne vous inquiétez pas, ceux qui travailleront plus en auront quand même un peu plus pour leur argent. Par contre, étant donné l’absence de fausse monnaie, les faux monnayeurs devront eux aussi apporter quelque chose de significatif et d’utile à la société. Il ne pourront plus siphonner les gens par des intérêts frauduleux(sur de l’argent inventé comme par magie!). Ils s’en porteront mieux aussi, car ils seront fiers de travailler réellement pour s’enrichir…
A vos neurones.

Explique-moi donc la théorie Hayekienne des cycles économiques mon cher. Sans les allégories sur la dope. Prend ton temps. Pour faire changement, tu me donneras tes sources.
« Né à Cambridge, John Maynard Keynes fait ses études au collège d’Eton puis à l’université de Cambridge, où il étudie les mathématiques. »
« John Maynard Keynes a une formation de mathématicien, mais s’oriente vers l’étude de l’économie politique à Cambridge. Après son service civil au ministère de l’Inde, il collabore avec l’économiste néoclassique Alfred Marshall au King’s College de Cambridge. »
« Diplômé en mathématiques de Cambridge en 1905, il se prépare ensuite[10] au concours de la haute fonction publique anglaise. C’est à Cambridge qu’il fait la connaissance des meilleurs économistes de son époque : Francis Ysidro Edgeworth, puis plus tard Joan Robinson, Piero Sraffa, Richard Kahn, James Meade ou encore Bertil Ohlin. »
« D’une part, dans le domaine de l’économie, pour Beaud et Dostaler, la révolution keynésienne en masque une autre : la mathématisation des sciences économiques »
-Beaud et Dostaler, 1996, p. 84
Triple Ha!
« Selon Mooridge, Keynes débutait avec une « intuition », puis utilisait tous les outils formels et mathématiques à sa disposition pour détailler et prouver cette intuition, et ce n’est que s’il n’y parvenait pas qu’il tentait d’inventer de « nouveaux instruments d’analyse ». »
Il se basait sur des « intuitions » pour faire ses analyses.
Je le comprends par contre.
Comment voulez-vous utiliser autre chose que ‘l’intuition’ si vous étudiez un système économique instable basé sur de la monnaie-de-casino ?
Quaduple Ha !
« Tout le monde s’en portera mieux et ‘la gauche’ ne pourra plus chialer sur les inégalités et “concentration de richesse” (causées soi-disant par le “libre marché” alors que ce sont ces banques centralisatrices qui créent la centralisation de la richesse!), car celles-ci seront diminuées à leur plus simple expression. »
hahahah
Le libre-marché dans le meilleur des cas (bref pas d’échecs de marchés, information complète, concurrence parfaite dans tous les marchés etc.. etc..) assure seulement l’efficacité. Elle n’assure aucunement l’égalité. En fait, dès qu’il y a de l’hétérogénéité au niveau de la productivité des agents économiques (bref le talent des gens), vous allez avoir nécessairement une distribution de la richesse inégale.
Vous connaissez l’expression:
« Faut pas mettre la charrue devant les boeufs… »
Un monde parfait n’existe pas. LE libre marché ‘parfait’ non-plus.
Par contre, nous devons et pouvons viser la perfection… non?
Commençons par enlever la plus grande entrave au libre marché et ses vertus « de régulateur naturel et équitable pour tous » pourront agir dans un contexte de « développement durable ».
Bye bye les graves crises causées par l’injection trop rapide de fausses monnaies dans le système…
Bye bye « concentration de richesse » sous forme conglomérats polluants…
Bye bye un paquet de trucs que ‘la gauche’ blâme -à tort- sur le ‘libre marché’…
Ce n’est pas théorique, ce système a déjà existé.
Les banques centrales sont LA cause des « CONCENTRATIONS DE RICHESSES » tant décriées par la gauche…
A vos neurones(bis)
p.s.
louisp:
Si demain matin vous pouviez imprimer(ou inventer électroniquement) autant de monnaie que vous vouliez ET EN PLUS, vous pouviez charger des intérêts dessus, vous pensez vraiment que vous allez rester pauvre ? Et que « les inégalités croissantes » vont diminuer ?
Je viens de vous décrire les grandes lignes de notre système économique!
😉
« Les banques centrales sont LA cause des “CONCENTRATIONS DE RICHESSES” tant décriées par la gauche »
Tu prouves ça et tu as le Nobel d’économie. J’ai hâte de voir ça.
Vous êtes tellement ridicule que vous en êtes divertissant. Vous êtes un très bel exemple du produit de notre société…
PSSS : La réponse en passant c’est « les interventions étatiques dans l’économie »
En passant, si vous vous promenez sur les archives de ce blogue, vous trouverez beaucoup d’argument et de preuves soutenant notre pensée. Cependant, votre rhétorique, bien que de qualité (je suppose) ne se base que sur des affirmations qualitatives et émotives.
Amenez des faits solides qui prouvent votre pensée et nous vous croirons.
louisp:
Pas besoin de Nobel pour comprendre ça:
Quelle ‘preuve’ voulez-vous ?
Je le veux ce Nobel !
(pas vraiment, je m’en fou… je ne cherche ni le pouvoir, ni la reconnaissance. Je ne cherche que LA réalité.)
😉
Et sous quelle forme vous voulez cette ‘preuve’?
Mathématique?
Légale?
😉
mathématique, légale peu importe.
Vous n’avez toujours rien prouvé.
Et non, votre commentaire ne prouve rien. Les gens doivent également décider d’utiliser votre monnaie.
Allez, c’est pas grave. Vu la qualité de vos propros plus haut. Ça ne donne pas grand chose d’essayer de vous raisonner. vous semblez bien pire que David…ce qui n’est pas un compliment.
Bon, bon, bon, la condescendance et les petites insultes remplacent les arguments rationnels et les débats intelligents?
C’est à craindre…
Mathématique:
http://en.wikipedia.org/wiki/Criticism_of_fractional-reserve_banking
Légale:
http://laws.justice.gc.ca/fr/notice/index.html?redirect=%2Ffr%2FB-2
Des heures de plaisir à étudier LA réalité de notre soi-disant ‘libre-marché’…
Vous pouvez aussi étudier l’histoire des banques centrales…
Pas des heures, mes des jours de ‘plaisirs’…
J’ai hâte de lire vos arguments basés sur des faits.
Prenez tout votre temps et je vous suggère de consulter plusieurs autres sources pour parfaire vos connaissances sur notre système monétaire et légal.
😉
p.s.
Ce n’est pas parce que vous vous dites ‘à gauche’ que vous pouvez passer par dessus la compréhension de notre système économique. Les insultes ne sont pas des arguments. La paresse ça ne donne pas des arguments très ‘forts’…
Aux études ‘gens de la gauche’ et revenez-nous mieux ‘armés’ pour débattre !
😉
bof moi vous savez, je suis une âme perdue de toute façon.
Je trouve a condescendance très appropriée pour ce blogue. Vu que l’analyse rationnelle et les débats intelligents n’ont pas fait un tour sur ce blogue depuis très très longtemps.
Vous vous demandiez plus haut, pourquoi il n’y a pas d’autrichien et de mathématicien…et bien c’est simple. Si on sait compter, on ne peut être autrichien.
Pour votre connaissance personelle, je vais vous dire une chose. Tous les économistes modernes utilisent beaucoup des concepts introduit par les autrichiens, il y a plusieurs années, dont la théorie des jeux. Le problèmes avec les petits autrichiens modernes..c’est qu’ils refusent les conclusions par pure idéologie.
Bonne journée quand même.
Ssssssshhhhhhhuuuuuuuu…
Le bavardage inutile n’est pas approprié lorsque les gens sont en train d’étudier.
😉
Et encore des insultes gratuites sans preuves(vous qui aimez tant les ‘preuves’);
Vous:
Et des insinuations sans fondements…
Vous encore:
Alors, nous attendons encore patiemment vos ‘preuves’…
Surtout n’étudiez pas les faits et continuez d’essayer de paraitre intelligent avec vos commentaires sans ‘preuves’.
***
Connaissez-vous le système de ‘réserve fractionnaire’?
I don’t think so….
La Loi sur la banque -de planification- centrale et son fonctionnement ?
I don’t think so….
Aux études !
😉
« Connaissez-vous le système de ‘réserve fractionnaire’? »
Croyez moi, beaucoup beaucoup mieux que vous.
Vous devez me croire sur parole par contre.
désolé…
Preuve..bof, je suis sur un site libertarien. C’est pas utile.
Et ouais, je sais que c’est pas constructif.
« Croire sur paroles » ?
Hahahahaha
Et c’est VOUS qui vouliez des preuves?
Hahahahaha
Des fois je me dis qu’il faut faire un ‘acte de foi’ pour se dire ‘à gauche’ !
Voilà, vous en êtes la PREUVE vivante !
😉
Batince, ma rate vous dit merci !
p.s.
Êtes-vous CE Louis:
http://louisprefontaine.com
non, je ne suis pas ce Louis.
Et, j’ai pas demandé de preuve. Je vous ai dit que si vous êtiez capable de prouver votre affirmation sur les banques centrales. Vous auriez le Nobel d’économie. Mais c’est pas à moi qui faut le prouver. Il faut réussir à vous faire publier dans un journal scientifique. On ne pourrait jamais prouver votre affirmaton sur les banques centrales sur un blogue…ou en citant wikipedia.
Blablabla (le niveau du débat baisse, et baisse encore!)
De la rhétorique… sans ‘preuves’!
Paroles, paroles…
http://www.youtube.com/watch?v=3bItXJdXeeg
p.s.
Dans une autre galaxie plus ‘terre à terre’…
j’attends toujours votre résumé concernant la ‘réserve fractionnaire’.
😉
Vous disiez à propos des banques centrales et de la concentration de la richesse:
Eh bien, pour vous le ‘prouver’, il faut pouvoir discuter du principe de la ‘réserve fractionnaire’, ce que vous ne semblez pas vouloir faire.
Pourquoi?
Jusqu’à maintenant, tout ce que vous savez faire c’est: ‘gonfler vos muscles rhétoricaux’
(ces muscles se situent-ils entre 2 orteils?)
😉
Ça peut épater les gens dits ‘de gauche’… qui ne comprennent rien de la ‘réserve fractionnaire’.
Par contre, personne va se coucher moins niaiseux grâce à vos insultes et à votre rhétorique sans ‘preuves’…
Quel est votre véritable but ici?
@ Zappa
Mon petit billet sur la théorie autrichienne des cycles économiques
Ma source: Hayek lui-même
divertir. C’est vraiment la seule chose qu’on peut faire ici.
Ha !
Merci pour cette réponse franche.
Vous ne savez pas du tout comment fonctionne la ‘réserve fractionnaire’….
Next !
Et même un enfant de 5 ans et capable d’affirmer ça… pour essayer de paraitre intelligent:
« mon papa est plus fort que le tien »
Wow, vous élevez vraiment le niveau des échanges ! Un miroir et ça presse…
@ Zappa
Si c’était vrai, le Québec serait la province la plus riche du Canada.
Une entreprise peut créer de l’activité économique parce qu’elle investi SON argent. L’État ne peut pas créer d’emploi ou d’activité économique parce qu’il dépense l’argent des autres. Il déshabille Paul pour habiller Pierre.
Petite anecdote du blogue du Québécois Libre qui montre à quel point Keynes était quelqu’un de stupide:
Keynes, l’imbécile sophistiqué
On connaît déjà les suggestions débiles de John Maynard Keynes pour «faire rouler l’économie» en créant une fausse demande pour des pyramides et des trous ou même en parlant favorablement des guerres et des tremblements de terre, qui «créent» évidemment de l’emploi en nécessitant une reconstruction (allez lire les extraits délirants cités par Yvon Dionne).
Keynes était clairement un imbécile sophistiqué, un charlatan qui s’est fait passer pour un économiste avec ses théories patentées alors qu’il ne comprenait même pas la logique élémentaire expliquée en quelques paragraphes par Bastiat dans La vitre cassée. Mais comme il a proposé des politiques étatistes absurdes qui étaient dans l’intérêt de bien des gens, le keynésianisme est devenu la doctrine économique dominante des années 1930 aux années 1970, et est en voie de le redevenir aujourd’hui.
Justement, dans un article sur le retour en force du keynésianisme partout dans le monde, le Wall Street Journal rapporte ce matin une autre anecdote tout aussi absurde concernant Keynes que je ne connaissais pas:
Drama was a Keynes tool. During a 1934 dinner in the U.S., after one economist carefully removed a towel from a stack to dry his hands, Mr. Keynes swept the whole pile of towels on the floor and crumpled them up, explaining that his way of using towels did more to stimulate employment among restaurant workers.
Quelle idée géniale!!! Partout où vous allez, faites du trouble, créez du désordre, détruisez des choses, ça va créer de l’emploi chez ceux dont le travail est de faire le ménage et de recoller les pots cassés! Ça va faire rouler l’économie! Ça va créer de la richesse! Ça va nous sortir de la crise!
Que les idées de ce fou soient en train de redevenir l’orthodoxie économique partout dans le monde est un phénomène proprement hallucinant, certainement ce qui sera considéré un jour comme l’un des développements les plus tragiques de notre époque.
http://www.leblogueduql.org/2009/01/keynes-limb%C3%A9cile-sophistiqu%C3%A9.html
@ louisp
Le libre-marché assure seulement l’efficacité? Seulement? C’est déjà pas mal plus que l’étatisme ne pourra jamais faire!
A Philippe David:
Vous ne croyez donc pas aux causes psychologiques. Vous croyez que la bulle boursière des années 90 n’était que le résultat des actions de la banque centrale? C’est donner beaucoup de pouvoir à l’institution.
Cela dit, Hayek n’a pas totalement tort mais cela ne veut pas dire qu’il ait totalement raison. Des bulles spéculatives ont eut lieu bien avant l’arrivée des banque centrales.
Je croyais que l’économétrie devait apporter l’efficacité, non ???
Ou l’économétrie risque-t-elle d’apporter plutôt de nouvelles raisons de justifier de coûteuses interventions du politique dans la vie de tous et chacun?
Tu proposes quoi?
Que le rôle du gouvernement soit étendu au contrôle psychologique des citoyens?
Le gouvernement est pas foutu de construire des routes de qualité et ce même gouvernement devrait nous manipuler pour nous donner confiance.
Non merci! Je ne veux pas d’un gouvernement qui me dit quoi penser et comment agir. Si je n’achète pas une télé écran plan de 56 pouces parce que je n’ai pas confiance à l’économie, ce n’est pas des affaires du gouvernement!
Quand, je parlais d’efficacité, je parlais efficacité au sens de Pareto. De plus, vu que les conditions nécessaires pour que ça soit vrai ne sont pas remplis…et bien..non, le libre-marché n’arrive pas à une allocation efficace des ressources. Mais bon…vu que vous êtes tous des disciples de Rothbard, je vous ferais pas de « speech » sur les externalités. Vous ne penser pas que cela existe, libre à vous.
Pour ce qui est de l’économétrie. C,est un bon outil pour résoudre des question de faits. Donc, en effet cela peut être utilisé pour faire de meilleurs politiques publiques. Et dans plein de cas, l,économétrie prouve qu’aucune intervention est la meilleure chose à faire. Parfois, c’est le contraire.
Encore là, je sais je sais…le public c’est mal..le privé c’est bon etc.. etc.. sort les ponpons yé yé yé ah ah ah
@ Zappa
Lequel est le plus plausible? que les récessions sont dues à « l’esprit animal » ou qu’elles soient causées par les manipulations des taux d’intérêts et les réserves fractionnaires qui permettent de créer des boums économiques artificiels qui doivent inévitablement finir par un crash?
La raison pourquoi les récessions existaient avant l’avènement de la Fed sont premièrement qu’il y a existé deux autres banques centrales aux États-Unis à la fin du 18e siècle et au 19e siècle (la 1st et 2nd Bank of the US) qui ont été institués et plus tard abolies par le gouvernement fédéral. Même sans banque centrale, le système bancaire continuait d’être volatile notamment à cause des réserves fractionnaires, de inhabilité des banques de se diversifier en ouvrant des succursales et parce que les gouvernements des états et fédéral encourageaient les banquiers à prendre des risques en leur permettant de suspendre les paiements en espèces. Par contraste, aucun des ces problèmes n’a vraiment hanté le système bancaire canadien pendant cette même période. Nous avons pu nous passer de banque centrale pendant bien longtemps et les prix des biens étaient autrement plus stables que depuis que la Banque du Canada existe. Sans compter que le dollar canadien ne vaut maintenant plus que 14¢ de 1934 environ. Voila ce que les théories inflationnistes de Keynes nous ont donné.
PS. Voici ce que Hayek pensait des théories de Keynes.
C’est évident, mais le libre-marché a un processus merveilleux pour gérer les mauvais gestionnaires de ressource: la faillite !
Le libre-marché n’élimine pas les faillites.
Le libre-marché c’est un processus de gains ET DE PERTES.
J’ai peine a croire que je dois expliquer ça à un économiste.
Tu penses qu’une économie planifiée par l’État alloue efficacement les ressources ?
Une image vaut combien de ‘maux’ déjà ?
http://minarchiste.files.wordpress.com/2009/08/prices.jpg
J’ai ‘piqué’ ça ici:
http://minarchiste.wordpress.com/2009/08/11/stabilite-des-prix-quaurions-nous-fait-sans-la-federal-reserve/
« Tu penses qu’une économie planifiée par l’État alloue efficacement les ressources ? »
non, plus.
Je suis un fan des économies mixtes. C’est pas un secret.
Juste pour Louisp: Economics of oblivion
Un petit extrait:
En quoi l’introduction d’un fonctionnaire qui va dire à un entrepreneur quoi faire permet une meilleure gestion des ressources ?
bah faut que t’introduises l’horrible idée des externalités. Mais bon…on a déja couvert le sujet. Tu as pas besoin de me citer ton truc de libertépédia ou je ne sais trop. Je connais les arguments de Rothbard.
« They forget, when they apply their formulas and extend their curves, that there are no constant magnitudes in economics, that statistics of “national income” are merely data of history not useful for the development of economic theory. »
Lis la « Lucas critique » des années 70. On sait très bien que c’est des données historiques et ces limitations. Mais c’est amusant de dire que ce n’est pas utile pour développer des théories économiques. J’aimerais voir l’argumentaire derrière ça.
« These advocates of a “mixed economy,” well meaning and sincere though they may be, fail to realize that there can be no such thing as a “mixed economy” — part capitalistic and part socialist. Production is directed either by the market or by a National Production Authority. »
Anyways…je fais contiuer à « failer to realize ». C’est vraiment une vision manichéene que vous avez..c’est inroyable.
au fait pas juste les externalités.`Les problèmes d’infos et de monopoles aussi peuvent rendre le fonctionnaire très très utile.
Si le gouvernement est incapable de gérer quoique ce soit, pourquoi il serait capable de gérer tes fameuses externalité?
Et l’externalité de l’intervention du gouvernement, tu en fais quoi, tu l’ignore pour des considérations idéologiques ?
On est tellement mieux informer par un fonctionnaire que par l’internet.
Pourquoi je devrais faire confiance à un fonctionnaire pour m’informer ? La propagande d’État, non merci.
De plus aux dernières nouvelles, ce sont les gouvernement qui crée les monopoles.
ça va te prendre d’autre arguments!
« Si le gouvernement est incapable de gérer quoique ce soit, pourquoi il serait capable de gérer tes fameuses externalité? »
Mais le gouvernement est capable de gérer. Pas toujours efficacement, je te l’accorde. Mais parfois, ce manque d’efficacité est moins pire que l’échec de marché en question. C’est un truc coût bénéfice.
L’effet inattendue des actions du gouvernement est une question importante. Je ne ni pas le phénomène.
« Pourquoi je devrais faire confiance à un fonctionnaire pour m’informer ? » En fait, les solutions second-best ont rarement pour but d’informer les gens. Car comme tu le dis, les fonctionnaires ne peuvent pas plus avoir l’information. Donc, tu peux faire ce qu’on appel du mechanism design dans certain cas. Et dans d’autres c’est des politiques moins pointues…qui peut aller à des interdictions où des obligations. Je sais que vous n’êtes pas fan. Mais bon..c’est ainsi. Et je sais…c,est la route vers le totalitarisme blah blah blah.
« De plus aux dernières nouvelles, ce sont les gouvernement qui crée les monopoles. » Ah oui? ah bon… d’accord. C’est une hypothèse…
Si le gouvernement est capable de gérer els externalité, pourquoi il n’est pas capable de gérer tout le reste ? Auprès tout, la gestion des externalité c’est probablement l’enjeu économique le plus complexe et il requiert une planification centralisé de plusieurs industries différentes.
Et tu fais quoi de l’externalité de l’intervention du gouvernement ?
Et pourquoi qu’un fonctionnaire, qui comme tu dis n’en sait pas plus que moi, devrait me dire quoi faire. Qu’on laisse les gens faire leurs erreurs et apprendre.
C’est de cette manière (quand les mauvaises entreprises font faillites) que le marché s’ajuste.
La liste des monopole au Québec: soins de santé, SAQ, Hydro-Québec…
Bon je t’accorde la SAQ qui n’a pas sa raison d’être mais dans un cas comme l’hydro..c’est un cas de monopole naturel. Les coûts fixes sont tellement élevé qu’en général un seul joueur survie ou c’est carrément inefficace d’en avoir deux sur le même terrain. T’es mieux de réglementé le prix (ou le retour…en fait t,as plusieurs façon d’arriver à quelque chose de raisonnable. Qui n’est pas la politique d’hydro actuellement).
Mais des monopoles sur des plus petits marché c’est chose courante. J’ai travaillé 1 an au Bureau de la concurrence et il y en a un paquet. Mais, bon être un monopole n’est pas illégal et c’est tant mieux. Tant que la demande est très élastique (ben l’élasticité-prix) et qu’il y a des substituts assez proche, les monopoles ne peuvent pas faire grand chose.
« Et pourquoi qu’un fonctionnaire, qui comme tu dis n’en sait pas plus que moi, devrait me dire quoi faire. Qu’on laisse les gens faire leurs erreurs et apprendre. »
Je pense que tu as une méconception de ce qu’est un problème d’information. Mais dans la mesure que c’est de petit événement, je suis d’accord avec toi, les gens peuvent apprendre. Dans d,autres cas, le problème est beaucoup plus grave. Personne est en désaccord avec l’idée de la faillite. Ça marche très bien et ça donne les bon incitatifs. Mais il n’y pas juste les cas de faillites. Et l’argument de le marché va s’en occuper et que la compétition va faire en sorte que ça ne se passera plus est du « wishfull thinking ».
L’hydro pourrait facilement être concurrencer si on laissait les gens construire des éoliennes sur leur terrain et revendre leur électricité.
C’est encore plus du “wishfull thinking” que de s’imaginer que l’état peut faire une meilleure planification.
Avec l’eau, ce sont des distributeurs motorisés privés qui peuvent faire en sorte que le monopole naturel ne peut abuser de sa situation.
Tout comme au Québec, on peut avoir des camions-citernes qui viennent livrer le gaz ou le mazout. À Mexico, on y ajoute l’eau.
Autre exemple: même dans la banane, où on a l’impression d’avoir une oligarchie en contrôle du marché, je crois qu’une hausse drastique et déconnectée du prix de la banane viendrait donner toute l’espace aux petites entreprises, qui voleraient le marché aux majors.
Les individus libres semblent avoir plus de choix dans un marché libre. Si un acteur abuse, d’autres choix apparaîtront, venant d’eux-mêmes ou d’entreprises déjà existantes.
@ Louisp
Et toi donnes toi la peine de lire le reste de l’article si tu veux savoir le reste de l’argumentaire.
Eh oui. C’est tout ou rien. Quand on essaie de courir deux lapins en même temps, on les perd tous les deux. L’économie ne peut pas servir deux maitres. Quand tu essaie de faire ça, tu introduis des effets pervers. L’interventionnisme de l’état empêche le marché de fonctionner mais l’état s’en fiche, il blâme le marché pour les effets pervers et applique encore un peu plus de sable dans les engrenages. L’économie mixte est une fiction. Et tu sais quoi? Je me fous ce que tu continue d’y croire. Le temps est de mon côté. Toutes les sociétés qui ont reposé leur économie sur l’argent fiduciaire ont fini par s’écrouler. Continue d’ignorer l’Histoire.
Ah oui? Lesquels? Historiquement, il n’y a jamais existé de véritables monopoles sans l’aide de l’état. La simple dominance du marché par un des compétiteurs n’est pas un monopole. L’entreprise dominante n’a pas le contrôle des prix tant qu’il y a des compétiteurs (si petits soient-ils) ou même la menace de l’arrivée d’autres compétiteurs sur le marché. La seule façon qu’une compagnie peut conserver une position dominante dans un marché libre, c’est de servir ses clients mieux que quiconque et à meilleur prix que quiconque. Je ne vois pas vraiment de problème avec ça.
Je reconnais bien là votre goût des extrêmes. Lequel est le plus plausible? Je dirais que les deux ont leur valeur. Ça me semble d’une évidence.
Vous postulez que les acteurs économiques sont rationnels et que c’est la banque centrale qui brouille les cartes. C’est un peu facile mais je ne vous traiterez pas de crétin. Vous êtes seulement un idéologue mais bon l’idéologie a une capacité relaxante extraordinaire et je ne vous blâme pas d’y avoir succombé.
Voyons comment vous réfutez la question de l’esprit animal: «L’explication que c’est psychologique ne me satisfait donc pas, justement parce que la psychologie enseigne que tout comportement a une raison, qu’elle soit logique ou non.»
Mais pourtant, votre fameuse «revanche du marché» n’est-elle pas un produit purement psychologique? Pourquoi l’illusion de la monnaie ne perdure pas si elle est si efficace avant la revanche? Comment expliquer cette soudaine prise de conscience? Et comment expliquer que le marché se fait toujours «berner»? Ne devrait-il pas avoir appris?
Pour ma part, il me semble évident qu’un simple taux bas ne provoque pas, à lui seul, une montée des prix des maisons. Une bulle spéculative a besoin d’un fil narratif qui encourage les gens à investir dans tel ou tel domaine. Pourquoi Internet plutôt que les maillots de bain? Parce que l’«histoire» des nouvelles technologies est probablement plus vendeuse que celle sur le réchauffement de la planète. Pourquoi l’immobilier plutôt que les actions? Parce qu’avec tous ces flippers de jumelés, le monde commence à se dire que c’est une foutue bonne affaire. C’est sûr que, même si on parle de causes «psychologiques», elles ont une source, une raison. Mais ça ne change rien. Les être humains agissent par envie et par peur; pas seulement en fonction du taux d’escompte de la Banque du Canada.
La théorie orthodoxe est fort utile et, d’une certaine manière, très attrayante parce qu’elle est facile à comprendre. Mais, il y a plus à l’activité économique que le méchant gouvernement et les banque centrales.
« La seule façon qu’une compagnie peut conserver une position dominante dans un marché libre, c’est de servir ses clients mieux que quiconque et à meilleur prix que quiconque. Je ne vois pas vraiment de problème avec ça. »
Le problème ici, c’est que ce que ous dites est un opinion et non un fait.
« Ah oui? Lesquels? Historiquement, il n’y a jamais existé de véritables monopoles sans l’aide de l’état. »
Bien sûr, les compagnies de béton sont un très bon exemple. En général seule une compagnie peut survivre sur un territoire particulier. C’est vrai tout partout. Il y a les producteurs de bitumes qui sont dans cette situation aussi. En général, il y a qu’une compagnie qui sert un territoire. Un marché qui est chroniquement dans un cas de monopole ou de faible compétition est la collecte d’ordure (ici, je ne parle pas de la ville). Le problème c’est le structure de marché est fait en sorte qu’il y d’immense barrière à l,entrée une fois qu’une firme est installée. Pour rentré dans ce marché, il faut réussir à prendre tout les clients (du moins un partie significative) d’un coup…sinon vous n,êtes pas capable de rentrer. Anyways c’est quelques exemples. Vous avez de jolies paroles, mais en organisation industrielle(la branche de l’économie qui s’occupe de la concurrence des firmes), vous n’y connaissez absolument rien et c’est évident.
« Et toi donnes toi la peine de lire le reste de l’article si tu veux savoir le reste de l’argumentaire. »
J’ai lu le texte. Il est fait pour quelqu’un qui ne connaît pas grand chose à la science économique et qui est facilement impressionable. Et il a fait son travail. J’adore qu’il appel ça « new economics »…c’est cute.
« Le temps est de mon côté. Toutes les sociétés qui ont reposé leur économie sur l’argent fiduciaire ont fini par s’écrouler. »
D’accord. C’est un test du temps alors.
@ Zappa
Parce que le seul indicateur est le taux d’intérêt et qu’il n’y a jamais moyen de déterminer à quel point il est manipulé ou non. Les acteurs économiques ne peuvent jamais savoir avec certitude si le taux est en dessous du taux naturel ou non, d’où leur erreur. La seule façon qu’ils ne soient pas induits en erreur est de ne pas manipuler les taux et les laisser jouer leur vrai rôle. Et oui, je m’attend à ce qu’un investisseur qui agit dans son intérêt personnel le fasse de façon rationnelle avec l’information qu’il détient. Pas toi? T’aimes mieux croire à une hystérie collective sans raison apparente? Comment peux-tu expliquer que subitement un groupe normalement rationnel est soudainement frappé d’irrationnalité? Quant à la prise de conscience. C’est très simple: Lorsque les taux remontent (et ils finissent toujours par remonter), les investissements qui dépendaient du taux anormalement bas ne sont plus profitables. On se ramasse avec des surplus d’inventaire, les prix tombent, etc. C’est exactement ce qui s’est passé dans le marché immobilier aux É-U. Si vous êtes incapables de voir les liens, vos capacités d’analyse dovent être plutôt limitées.
Primo, Il ne s’agit pas simplement d’un taux bas, mais d’un taux en dessous de la valeur du marché. Donc qui ne reflète pas la quantité d’épargne disponible. Secundo, aux États-Unis, il y a eu plein d’incitatifs pour diriger l’argent facile vers le marché immobilier pour le plus récent boum, tout comme l’essor de l’internet à la fin des années 90 a pompé le crédit artificiel vers les dot coms. Mais le crédit artificiel est toujours à l’origine de ces bulles. Et règle générale, ces bulles se retrouvent toujours dans des domaines sensibles aux taux d’intérêts à court-terme. Tu crois que les fameux «teaser rates» aux États-Unis auraient existé si la Fed n’avait pas baissé son taux à 1%?
@ Louisp
Je parie que je peux, pour à peu-près n’importe quel monopole que tu nommes, trouver une distortion de marché quelconque causée par un niveau de gouvernement et qui limite la compétition.
Good! Un exemple! Se pourrait-il que la compétition est faible sur un territoire donné parce que les contrats de collecte d’ordure sont octroyés par les municipalités plutôt que par les citoyens individuels? Dans un marché vraiment libre, chacun aurait droit de contracter avec la compagnie de son choix pour collecter ses ordures, tout comme pour déneiger leur entrée. La structure de marché, c’est la municipalité qui l’impose. Des questions?
Vraiment? Je crois que je me débrouille plutôt bien pour réfuter tes arguments pour quelqu’un qu’y n’y connais rien. Imagine si j’avais un diplôme. Mais non, si j’avais un diplôme, j’aurais été brainwashé comme toi…
Et ça c’est quoi?
Lisez tranquillement et essayez de réaliser ce que cela implique:
http://www.bank-banque-canada.ca/en/speeches/2005/sp05-6.pdf
Crétin ?
De l’idéologie ?
Rationnel?
Des croyances ésotériques ‘phoquées’ ?
De la ‘science’ intelligente ?
Des concepts économiques sensés ?
De la magie ?
De l’interventionnisme raisonnable ?
« Se pourrait-il que la compétition est faible sur un territoire donné parce que les contrats de collecte d’ordure sont octroyés par les municipalités plutôt que par les citoyens individuels? »
Comme je mentionnais dans le commentaire, je parlais de contrat que les entreprises ont avec les compagnies de collecte d’ordure. Cela n’a rien à voir avec les municipalités dans ce cas là. Les entreprises produisent beaucoup de déchets et la collecte est souvent entièrement privé. Les contrats du type « droit de resoumissionner durant les 6 mois après la fin d’un contrat et l’obligation d’accepter ce nouveau contrat ». Ce type de contrat une fois qu’une entreprise de collecter d’ordure est bien installée assure sa position. Il n,y a pas vraiment de gain possible de technologie qui permettrait de baisser ses coût à un point tel de ramasser tout le marché. Ces compagnies sont même très intelligente, ils s’assurent que les contrats sont décallés dans le temps. Donc, jamais une firme est capable de négocier pour tout les contrats. Le problème ici n’est pas une structure de marché imposé…mais la nature même de la production du service. Il doit y avoir un trajet. Un trajet coûte environ la même chose, peu importe le nombre d’arrêts (ici, je ne vais pas en détails, j’essaye d’expliquer l’intuition). Donc, si vous avez des contrats avec disons 4 compagnies dans un trajet. Et une firme veut renter sur le marché et prendre le contrat d’une des quatres compagnies. La firme qui a le monopole qui paye le même prix, pour servir 4 ou 3 compagnies est prêt à baisser son prix jusqu’à 0 pour garder le client et sortir le concurrent. Ce n’est pas un cas de « predatory pricing » (ou prix d’éviction), car agir ainsi est rationnel, ce n’est pas comme descendre son prix sous son coût réel…car ici le coût marginal est 0. Pour rendre les choses encore pire, souvent les firmes demandes à la signature d’un contrat de leur envoyer toutes offres concurrentielles que la compagnie reçoit et si ce n’est pas fait elles ont le droit de poursuivre la compagnie.
Un autre problème qu’on voit souvent est le « bundling » ou le « tying », qui peut-être fait également par des rabais de loyauté. Si vous avez un monopole dans un domaine, vous êtes capable d’instauré ce pouvoir de monopole sur un autre marché, même si il est compétitif. Les autres firmes devront pour le compétitionner aller sur le marché où il y a un monopole pour réussir à battre cette firme. Souvent, c’est impossible pour un bon nombre de raison. Par exemple « network externalities » ou littéralement coût fixe énorme.
Regarder le marché de la fonte.
« Je parie que je peux, pour à peu-près n’importe quel monopole que tu nommes, trouver une distortion de marché quelconque causée par un niveau de gouvernement et qui limite la compétition. »
Bonne chance.
louisp :
Mon dernier commentaire était pour vous. Désolé, j’ai oublié de le préciser…
C’est bien vous l’auteur de ce commentaire:
Et ce sont mes qualités d’analystes qui sont ici, dans de ce repère de foutus génies, mises en doute. Donc, la prise de conscience se fait quand les taux remontent… et vous appelez ça la revanche du marché!!! Votre version de Mises ressemble plus à une bande cons qui réagissent en débiles aux annonces de la banque centrale. Mais dites-moi, si comme vous l’affirmez, c’est la Banque centrale qui provoque cette revanche, est-elle si mal avisée? Ne devriez-vous pas la voir comme une bénédiction? C’est drôle mais j’ai l’étrange impression vous interprétez mal les autrichiens. Le marché devrait pouvoir rétablir l’équilibre tout seul non, Philippe David?
Je n’ai jamais prétendu que les humains agissaient rationnellement. C’est vous qui pensez ça. Les soudaines paniques ne sont pas atypiques mais plutôt la règle, elles sont le reflet du précédent engouement. Pas très difficile à comprendre. L’homme est un être d’émotions autant que de raison… vous étiez pas au courant, Philippe «Spok» David.
Mais bon, expliquez-moi comment une mauvaise allocation des investissements dans un secteur peut se propager aux autres secteurs et provoquer une crise généralisée si ce n’est par un effet de contagion… psychologique?
Sabes, il va falloir que vous soyez plus clair. Vous me citez des affaires dont je n’ai rien à cirer et dont le lien avec la citation est, au mieux, ténu. Votre prose interrogative en colonne est plutôt adolescente. Que cherchez-vous à dire?
PS: Lachez les psychotropes pendant que vous y êtes.
Ha !
Des petites insultes sur la forme et sur ma vie personnelle ?
C’est tout ce qui vous reste?
Vous ne comprenez vraiment pas?
Alors vous avez recours à des répliques de ce genre? Très édifiant !
Pourtant, il n’y a rien de compliqué à comprendre…
Lisez t-r-a-n-q-u-i-l-l-e-m-e-n-t et plusieurs fois:
Et je répondais à louisp qui disait que;
Je répète donc mes questions (avec de légères modifications):
Qui est;
-Crétin ?
-Idéologue ?
-Irrationnel?
Qui ‘jouent’ aux;
-Croyants ésotériques ‘phoqués’ ?
-Magiciens ?
-Adeptes d’une ’science’ incompréhensible ?
Ces énoncés sont-ils:
– Des principes économiques sensés ?
– De l’interventionnisme raisonnable ?
p.s.
@ tous: désolé pour la redondance, mais je ne vois pas ce qui est compliqué à comprendre la-dedans…
eh? c’est Zappa qui a écrit ces lignes.
Mais je peux quand même répondre. Vous!
Au fait, je me rétracte. Vous n’êtes pas un adeptes d’une science incompréhensible.
Justement vous êtes fan d’une théorie amusante et très simple. D’où son énorme attrait pour les gens qui ont…une vision du monde..et bien simple.
Les économistes autrichiens ont prévu la crise.
Les autres économistes n’ont rien vu venir parce que leur politiques ont créé la crise.
La crise actuelle prouve que c’est Mises qui a raison.
@ Zappa
Merci de confirmer mes opinion au sujet de tes qualités d’analyste. Pour une théorie que Louisp qualifie « d’amusante et très simple », vous semblez avoir de la grande misère à la comprendre. Laissez-moi la simplifier pour vous.
1- La banque centrale inonde le marché de crédit facile, poussant les taux d’intérêts sous leur taux naturel et déclenche un boum artificiel.
2- Tout le monde profite du crédit facile pour démarrer des projets qu’ils n’auraient pas faits autrement (Ex acheter 7 maisons dans le but de les revendre à profit plus tard). La demande en crédit a une tendance naturelle à faire hausser les taux, mais la banque centrale continue de les maintenir vers le bas avec de la création monétaire.
3- La banque centrale ne peut plus maintenir les taux aussi bas de peur d’avoir une poussée d’inflation. Les taux remontent.
4- Ceux qui ont fait ces investissements qui étaient dépendants des conditions de boum se rendent compte maintenant qu’ils ne sont plus profitables et commencent à liquider ces actifs pour limiter leurs pertes et/ou réorienter leur production pour s’adapter aux nouvelles conditions de marché. La récession commence.
Ce que vous interprétez comme une panique est en fait une réaction très rationnelle des investisseurs aux conditions du marché. Quand tu te rend compte que tu as investi dans le mauvais projet, tu ramasses le plus de tes billes que tu peux et tu attend de trouver une autre utilisation plus productive. La récession, c’est le marché qui essaie de regagner son équilibre. C’est certain que le marché ne se rétablira pas tout seul parce que des idiots essaient continuellement de l’en empêcher!
Évidemment vous n’avez surement jamais géré quoique ce soit de votre vie. Les entrepreneurs qui se laissent guider plus pas les émotions que la raison pour leur plan d’affaire ont tendance à faire faillite (si le gouvernement ne leur donne pas de bailout, bien entendu). Ce qui fait que ceux qui survivent ne sont justement pas du genre à se laisser guider par leurs émotions. Alors si ces entrepreneurs sont en temps normal très habile à prédire les conditions du marché sur lesquelles leurs entreprises dépendent qu’est-ce qui peut bien induire tant d’entre eux en erreur soudainement en même temps?
Ou posons la question différemment. Si les récessions sont, comme vous le prétendez, causées par des facteurs psychologiques, c’est quoi le déclencheur? On ne commence pas à paniquer sans raison (pas moi du moins), alors c’est quoi qui sème la terreur dans le troupeau? Un coup de vent? Une tornade? Un tremblement de terre? Quoi?
Ça croit à l’esprit animal, mais c’est nous les simplistes. Voyez-vous ça….
Vous perdez un peu votre temps à me répéter tout ça. L’air de rien, vous ne répondez pas à mes questions. Pourquoi le marché ne peut-il pas réaliser que le trop plein d’investissement est improductif sans que la banque centrale intervienne? J’avais déjà posé la question, me semble. Et pourquoi la crise se propage à d’autres secteurs? Vous avez déjà admis que le taux de la banque centrale peut – et cause souvent- une bulle sectorielle; mais pourquoi c’est tout l’économie qui s’en ressent?
Pour ce qui est des émotions, vous êtes un peu ridicule. Vous me fournissez la tautologie suivante: que ceux qui ne sont pas rationnels ont moins de succès. Ben tiens!! Et quand ils sont des millions, vous avez une récession! C’est plutôt drôle de voir un simili-autrichien refuser l’idée que quelqu’un peut échouer en affaires, à la bourse ou ailleurs. Oh mais attendez, vous allez me dire que ça se peut pas, des millions- c’est beaucoup trop de monde! C’est vrai, j’oubliais, on ne vit pas dans un monde de communication de masse ou tout le monde écoute la même musique, regarde les même émissions de télé et cuisine avec la même huile d’olive. Ouais… je me demande vraiment ce qui pourrait causer une panique.
Parce que le marché répond toujours aux incitatifs!
Certes, les banques ont leur part de responsabilité dans la crise, mais cette irresponsabilité a été catalysée par les incitatifs gouvernementaux qui ont brisé les règles du marché. Parmi ces incitatifs il y a eu le: Equal Credit Opportunity Act, Fair Housing Act, Community Reinvestment Act, Taxpayer Relief Act, National Homeownership Strategy, Fannie Mae, Freddie Mac, le Department of Housing and Urban Development, le House Financial Services Committee, la FED…
Sans ces multiples interventions, l’irresponsabilité n’aurait pas été récompensée et jamais la bulle immobilière n’aurait atteint de telle proportion.
Et que fait le gouvernement américain avec sa politique du "too big to fail" ?
Il continue de récompenser l’irresponsabilité. Il continue sa politique d’incitation au risque puisque l’irresponsabilité n’est pas sanctionnée, elle est récompensée.
Les politiciens ont oublié que le capitalisme est un système de profits et de pertes. Les pertes sont essentielles aux rouages du capitalisme, car elles permettent de discipliner les marchés.
En éliminant les pertes, le keynésianisme qui déferle actuellement sur nos économies élimine du même coup la discipline. Ce faisant, on met la table pour une crise encore plus grosse. Dans un système capitaliste, les échecs sont précoces, il y a un éclatement rapide des bulles et les dommages sont, par conséquent, limités. Dans un système étatique, le gouvernement intervient pour repousser ces échecs ce qui entraîne une hyperinflation des bulles qui finissent quand même par éclater causant ainsi des dommages beaucoup plus importants. La sanction dans une économie capitaliste, c’est de tomber en bas de sa chaise. Dans une économie keynésienne, on tombe en bas d’un 10e étage.
Contrairement aux lubies véhiculées par le président Obama, ce n'est pas Wall Street qui est irresponsable, c'est le gouvernement.
Qui responsabilisera les gouvernements ? Sûrement pas les politiciens…
Parce que dans ce cas précis, la bulle créé par la FED touchait un organe essentiel de l’économie: le marché immobilier.
La bulle précédant créé par la FED (la bulle techno) a eu des effets très limité parce que le secteur touché n’était pas systémique.
C’est la différence entre recevoir une balle dans l’épaule et recevoir une balle dans la tête. C’est la même balle mais l’effet sera différent.
C’est pourtant si simple à comprendre… Mais il est plus facile de vivre enfermé dans une idéologie et dans ses préjugés que de réfléchir.
Lors de la dernière conférence du Austrian Scholars Conference, Peter Schiff a fait un exposé remarqué (et remarquable) sur les causes de la crise économique.
Si nos médias étaient moins ignorants/paresseux, voici comment ils expliqueraient la récession:
Change de disque.
La bulle immobilière n’est qu’une partie de l’histoire. Y’a aussi de grosses erreurs de risk management qui ont été faites. Mais bon, je vous comprend de moins en parler, les agences de notations sont des entreprises privées. Mais dites-moi quand même votre opinion là-dessus. L’information parfaite et tout ça…. expliquez-nous.
Il me semble clair que vous infantilisez le marché et que vous tentez au même moment de le glorifier. Le marché est victime et sauveur. Pas capable de voir clair à travers toutes les embûches de l’État… pfff!… écoutez-vous un peu.
Vos paupières sont lourdes…
Je vais répéter mon commentaire puisque tu tu ne l’as pas lu:
Certes, les banques ont leur part de responsabilité dans la crise, mais cette irresponsabilité a été catalysée par les incitatifs gouvernementaux qui ont brisé les règles du marché. Parmi ces incitatifs il y a eu le: Equal Credit Opportunity Act, Fair Housing Act, Community Reinvestment Act, Taxpayer Relief Act, National Homeownership Strategy, Fannie Mae, Freddie Mac, le Department of Housing and Urban Development, le House Financial Services Committee, la FED…
Sans ces multiples interventions, l’irresponsabilité n’aurait pas été récompensée et jamais la bulle immobilière n’aurait atteint de telle proportion.
Et que fait le gouvernement américain avec sa politique du "too big to fail" ?
Il continue de récompenser l’irresponsabilité. Il continue sa politique d’incitation au risque puisque l’irresponsabilité n’est pas sanctionnée, elle est récompensée.
Les politiciens ont oublié que le capitalisme est un système de profits et de pertes. Les pertes sont essentielles aux rouages du capitalisme, car elles permettent de discipliner les marchés.
En éliminant les pertes, le keynésianisme qui déferle actuellement sur nos économies élimine du même coup la discipline. Ce faisant, on met la table pour une crise encore plus grosse. Dans un système capitaliste, les échecs sont précoces, il y a un éclatement rapide des bulles et les dommages sont, par conséquent, limités. Dans un système étatique, le gouvernement intervient pour repousser ces échecs ce qui entraîne une hyperinflation des bulles qui finissent quand même par éclater causant ainsi des dommages beaucoup plus importants. La sanction dans une économie capitaliste, c’est de tomber en bas de sa chaise. Dans une économie keynésienne, on tombe en bas d’un 10e étage.
Contrairement aux lubies véhiculées par le président Obama, ce n'est pas Wall Street qui est irresponsable, c'est le gouvernement.
Qui responsabilisera les gouvernements ? Sûrement pas les politiciens…
Parce que dans ce cas précis, la bulle créé par la FED touchait un organe essentiel de l’économie: le marché immobilier.
La bulle précédant créé par la FED (la bulle techno) a eu des effets très limité parce que le secteur touché n’était pas systémique.
C’est la différence entre recevoir une balle dans l’épaule et recevoir une balle dans la tête. C’est la même balle mais l’effet sera différent.
C’est pourtant si simple à comprendre… Mais il est plus facile de vivre enfermé dans une idéologie et dans ses préjugés que de réfléchir.
Je vais me répéter encore une fois:
Les politiciens ont oublié que le capitalisme est un système de profits et de pertes. Les pertes sont essentielles aux rouages du capitalisme, car elles permettent de discipliner les marchés.
« C’est pourtant si simple à comprendre… Mais il est plus facile de vivre enfermé dans une idéologie et dans ses préjugés que de réfléchir. »
Il est là le problème. C’est que justement, ça ne tient pas la route. C’est trop simple.
Votre discours est exactement le même que ceux qui blâme la crise entièrement sur la déréglementation (ou le manque de réglementation).
C’est une analyse de la réalité tronqué. De toute façon, si vous ne comprener pas ce qu’est un « bank run » et le « shadow banking sector ». Vous ne pouvez comprendre cette crise. Si la seule chose que vous savez faire est de blâmer le taux d’intérêt…et bien vous avez manqué le bateau. Est-ce que les faibles taux d’intérêt on eu un rôle. Fort probablement, mais ce n’est même pas proche d’expliquer entièrement le problème. Le fait que le shadow banking sector n’était pas réglementé était un des gros facteurs de cette crise. (par shadow banking sector, ici je parle d’instruments financiers et mécanismes d’encans qui reproduisaient le rôle d’une banque…et ça sans réglementation qui empêche les bank runs)
« Mais il est plus facile de vivre enfermé dans une idéologie et dans ses préjugés que de réfléchir. »
Ce n’est pas un préjugé, vous vivez dans un rêve, vous voulez une utopie aussi détestable que le communisme. L’état de nature n’existe pas. Un état minarchiste n’existera pas pour la même raison qui vous pousse à vouloir un état minarchiste. Chercher plus loin, poser des questions. Soyez plus intellectuellement curieux que de répèter ad nauseam: marché bien, gouvernement mal. Ouais, Bastiat et les classiques c’est bien. Personne ne dit le contraire. Ils ont de très bons points, mais c’est une analyse simpliste qui ne prend jamais compte de la structure particulière d’industrie ou de marché.
Votre « trip » sur la monnaie, c’est vraiment cute aussi. Premièrement, un pays ne serait jamais crédible de garder sa monnaie collée à l’or (vu l’énorme gain à la laisser flotter lorsqu’on est dans la merde). Et le Free banking est probablement encore plus problématique lorsque l’on pense aux problèmes de confiance, d’information, de bank run…de money run, concentration probable du marché (network externalities) etc.. etc.. Est-ce qu’on peut réellement comparer les expériences du 19eme siècle avec l’ère des transactions automatiques…où la valeur d’une monnaie pourrait disparaître sur une rumeur…je ne sais pas.
Sur ce, je vous laisse.
Wow…
Quel argument…
C’est EXACTEMENT le même argument qu’utilise les créationnistes contre Darwin. Pour les créationnistes, la théorie de l’évolution est trop simple pour expliquer l’apparition d’un phénomène complexe comme la vie.
Comme les créationnistes, les keynésiens pensent que la complexité exige la présence d’un ‘dieu’ (le gouvernement des keynésiens) pour gérer tout ces phénomène complexe.
Pour les « créationnistes biologiques », la vie est trop complexe pour être le fruit de principes biologiques simples. Par conséquent, les « créationnistes biologiques » croient que la vie est le fruit du « design intelligent » d’un Dieu qui a su outrepasser ces principes pour créer notre univers. Sans ce Dieu, notre univers serait chaos car sans une planification rigoureuse, l’ordre ne peut émerger des actions non planifiées de la main invisible de l’évolution.
Pour les « créationnistes sociaux », la société est trop complexe pour être le fruit de principes économiques simples. Par conséquent, les « créationnistes sociaux » croient que la société est le fruit du « design intelligent » des bureaucrates qui ont su outrepasser ces principes pour créer nos communautés. Sans ces bureaucrates, notre société serait chaos car sans une planification rigoureuse, l’ordre ne peut émerger des actions non planifiées de la main invisible du marché.
Les « créationnistes biologiques » ne m’inquiètent pas, ils représentent un groupe marginal dont les croyances n’affectent pas ma vie. Par contre, les « créationnistes sociaux » ne sont pas marginaux, ils ont déjà pris le pouvoir. Leurs croyances en une bureaucratie capable de « design intelligent » affectent nos vies en nous privant des libertés économiques essentielles à l’épanouissement d’une société.
Les « créationnistes biologiques » n’entravent pas l’évolution des espèces. Par contre, les « créationnistes sociaux » entravent l’évolution des sociétés.
Tient, un autre qui ne sais pas lire. Je refais donc un copier coller de ce que j’ai dit:
Certes, les banques ont leur part de responsabilité dans la crise, mais cette irresponsabilité a été catalysée par les incitatifs gouvernementaux qui ont brisé les règles du marché. Parmi ces incitatifs il y a eu: le Equal Credit Opportunity Act ET le Fair Housing Act ET le Community Reinvestment Act ET le Taxpayer Relief Act ET le National Homeownership Strategy ET Fannie Mae ET Freddie Mac ET le Department of Housing and Urban Development ET le House Financial Services Committee ET la FED…
Sans ces multiples interventions, l’irresponsabilité n’aurait pas été récompensée et jamais la bulle immobilière n’aurait atteint de telle proportion.
Ton problème c’est que soit tu ne sais pas lire ou que tu es trop dogmatique pour prendre le temps de comprendre ce qu’on t’explique.
Et bien sûr les FAITS contredit totalement cette affirmation:
http://www.antagoniste.net/?p=4891
Bien sûr que oui ! Avec la transmission de l’info qui est encore plus rapide aujourd’hui, ce système serait encore plus efficace !
Il ne faut pas en vouloir à louisp. Il a passé une bonne partie de sa vie a étudié l’économie et aujourd’hui il réalise que toute les connaissance qu’il a accumulé sont fausses. En pareil circonstance la réaction des gens est prévisible: ils vont tenter de nier plutôt que d’admettre que toute leur vie ils étaient dans l’erreur.
Quand Gallilé a montré aux autres chercheur de son époque que le système solaire était héliocentrique et pas géocentrique, personne ne l’a écouté. Les autres chercheurs étaient assez intelligent pour voir que les preuve fourni par Gallilé étaient les bonnes mais aucun était prêt à admettre que toute leur vie avait été consacré à l’étude d’une fausseté.
louisp et zappa me font penser à l’histoire du docteur Semmelweis. De son vivant il avait publié une étude révolutionnaire: si un docteur se lavait les mains, il réduisait considérablement les chance d’infecter un patient lors d’une opération.
Ses confrères l’on traité de fou, son explication était trop simple et personne ne l’a écouté. C’est seulement plusieurs années après sa mort que la communauté scientifique a réalisé que Semmelweis avait raison.
L’explication la plus simple est souvent la meilleure.
En effet, c’est intrigant pourquoi les agences de notation ont cotés AAA les papiers adossés aux hypothèques de Fannie et Freddie. Se pourrait-il que c’était dû à cette croyance du marché que le gouvernement fédéral ne laisserait jamais tomber Fannie et Freddie. Est-ce que le Greenspan push peut avoir une certaine influence sur le risk assessment?
Parce que les secteurs qui sont le plus influencés par le crédit sont ceux des biens capitaux. Et si tu portes vraiment attention, tu te rendra compte que ce sont ces secteurs qui souffrent en premier. Mais puisqu’ils ne sont pas en vase clos, les faillites et pertes d’emploi dans ce secteur vont tout naturellement avoir un impact sur le reste de l’économie.
@ Louisp
C’est toi qui ne saisis pas. Le problème n’est pas le taux d’intérêt mais le système monétaire et bancaire, les réserves fractionnaires et le fait qu’on tente de « gérer » l’économie et qu’en essayant d’adoucir le capitalisme, on isole ses acteurs du risque.
Les récessions viennent du fait qu’on tente de stimuler artificiellement l’économie.
« Pour les “créationnistes sociaux”, la société est trop complexe pour être le fruit de principes économiques simples. Par conséquent, les “créationnistes sociaux” croient que la société est le fruit du “design intelligent” des bureaucrates qui ont su outrepasser ces principes pour créer nos communautés. Sans ces bureaucrates, notre société serait chaos car sans une planification rigoureuse, l’ordre ne peut émerger des actions non planifiées de la main invisible du marché. »
eh?? Ta confusion intellectuelle est bien pire que je pensais. En fait cette dernière citation est même assez incroyable.
C’est plutôt faible. Le boom se fait en vase clos mais pas le bust. Plutôt étrange.
Pour ce qui est des agences de notations, c’est doublement faible. C’est la faute à Greenspan et Fannie Mae. Pourquoi ne pouvez-vous pas accepter qu’il ait eu une erreur? Que tout le monde ou presque s’est laissé emporter, par les taux d’intérêt et par la « psychologie du boom » (dixit Robert Shiller).
Pour ce qui est de David, you got me, je ne vous lis plus vraiment… vous manipulez les chiffres… vous n’êtes pas sérieux… vous argumentez avec des slogans. Ça ne m’intéresse pas. En plus, et surtout, vous écrivez des textes trop longs, comme si vous étiez convaincu que la longueur égalait contenu. Pensez par vous-même en des termes simples et clairement, mais sans la propagande, exemple: c’est Mises qui a raison, ou que l’État n’aime pas les pertes…Par ailleurs, too big to fail remonte au bailout de McAdoo en 1914 pour New York. C’est vrai que cela aurait été super bon pour les États-Unis de laisser New York faire faillite.
@ Zappa
Je n’ai pas dit que le boom se faisait en vase clos, j’ai dit qu’il affectait plus fortement les secteurs de biens capitaux. Nuance. C’est pourquoi le secteur immobilier, le secteur bancaire ou les manufacturiers d’équipement et outillage sont plus durement touchés. Mais puisque vous ne comprenez rien à la discoordination de la production, à quoi bon?
C’est certain que l’inflation monétaire procure un certain sentiment d’euphorie qui influence les marchés. Lorsque Peter Schiff annonçait en 2006 que la bulle immobilière allait éclater et causer une récession sévère en 2008, personne ne le croyait car ils sont tous menés par des idots cout-termistes dont l’horizon se limite à la prochaine élection. Le récit de Peter Schiff dans le vidéo ci-haut est très explicite sur les facteurs psychologiques et l’aveuglement qui prévalent en période de boum. Étrangment, tout le monde semble ignorer que ces boums sont insoutenables, sauf les autrichiens. Peut-être que vous devriez réfléchir là-dessus. Peu importe où les bulles se développent, elles sont toutes alimentées pas le crédit facile et elles finissent toujours par un bust quand on finit par fermer le robinet. C’est ça la théorie autrichienne.
Si on laissait l’économie filer son train, il y aurait une croissance moins spectaculaire que pendant les boums, mais il n’y aurait pas de bust.
Ce qui est le plus paradoxal est que ceux qui crient le plus fort que le capitalime est insoutenable, sont les plus grand partisans de l’interventionnisme qui le rendent insoutenable.
@ Louisp
Primo, vas lire un peu sur les autres tentatives d’utiliser la monnaie fiduciaire dans l’histoire. Par exemple la monnaie de carte de la Nouvelle France, ou va googler « John Law ». L’histoire est pleine d’exemple ou on a tenté de mater la bête de la monnaie fiduciaire. Et tout ça est basée sur la fausse croyance que l’argent = richesse. C’est indéniable que la faculté d’imprimer de l’argent à volonté est bénéfique à l’état. Elle permet aux politiciens de réaliser leurs petits projets sans hausser les taxes. Mais que ce soit bénéfique au reste de l’économie est très débattable. Ce système à plutôt tendance à redistribuer la richesse à ceux qui sont les premiers à recevoir le nouvel argent au détriment de tout le reste, et règle générale, ce n’est pas le petit peuple qui en profite.
L’étalon-or n’est pas la meilleure solution, mais au moins il restreint les tendances inflationnistes des politiciens.
Étrange. Ça a fonctionné merveilleusement bien en Écosse et au Canada pendant le 19e siècle. Et pendant la grande débression, il n’y a eu aucune faillite de banque au Canada. Peut-être que le système bancaire aux É-U souffrait déjà trop des interventions de l’État, même pendant le 19e siècle? L’interdiction du branch banking par exemple?
Voilà ce que le modèle de banque centrale et monnaie fiduciaire fait pour le petit monde:
Des prix qui croissent sans cesse plus rapidement que leur pouvoir d’achat et l’appauvrissement que ça entraine.
Je suis convaincu, ça y est!!!
Je commençais à te voir une certaine crédibilité commencer à se pointer dans ton argumentaire, il ne manquait que des explications précises de tes allusions, mais tu SEMBLAIS connaître ton sujet (bien que faussé par notre éducation socialiste) et tu SEMBLAIS pouvoir expliquer un tant sans peu la logique économique.
Malheureusement, ce genre d’arguments montre hors de tout doute la paresse intellectuelle dont tu fais preuves face à la remise en question des enseignements que tu as reçus. Ce n’est pas parce que la majorité des gens disent quelques chose que c’est nécessairement vrai. Il y a pas si longtemps, tout le monde s’entendait pour dire que la terre était le centre de l’univers… Quelques « hérétiques » clamaient le contraire. Malheur à eux!!!
Encore plus malheureux, tu considères ce qu’on dit comme étant de la merde tout simplement parce que toi, tu as un diplôme en économie et pas nous. Encore un beau produit de notre belle société socialiste.
Probablement que tu t’en fous en plus de ce commentaire, mais bon! C’est ton problème, pas le mien.
D’ailleurs, qu’est-ce que tu fous encore sur ce blogue si ce qui est dit c’est de la merde et que nous sommes une minorité de pseudo illuminés?
En plus, comme tu sembles le croire, nous manquons de compréhension et de capacités d’analyses alors pourquoi t’entêtes-tu à essayer de nous convaincre?
Beaucoup de gens ne comprennent ça, hélas!!!
Phillipe montre le dernier graphique du document.
Pour ce qui est des banques canadiennes qui n’ont pas fait faillites…j’ai lu des articles qui affirmaient que toutes les grandes banques canadiennes étaient insolvable dans les années 30 et que le gouvenement avait offert implicitement une garantie sur les dépots de 100% (un exemple: http://www.questia.com/googleScholar.qst?docId=5000205454). Mais pour être très honnête avec toi, le « insurance deposit » est encore un sujet de discorde entre les économistes. L’étendu du problème de « hasard moral » dans ce cas là est pas évident. Plus haut, quand je parlais de free banking, c’était vraiment en référence à la monnaie.
@ Louisp
Commence par te demander pourquoi la valeur d’une monnaie peut disparaitre sur une rumeur de nos jours et qu’est-ce qui cloche avec ce concept. L’argent, le vrai, n’est qu’un médium d’échange. Sa valeur n’existe que par les biens qu’on peut acheter avec. N’importe quoi peut servir de monnaie, tant que les gens veulent l’accepter en échange et la quantité disponible d’argent n’a pas vraiment d’impact. Le pouvoir d’achat d’une monnaie peut tout simplement augmenter lorsqu’il est plus rare.
On peu tout aussi facilement faire des transactions électroniques en grammes d’or ou d’argent qu’en dollars ou en euro.
C’est correct. Je vais prendre ça comme un aveu. Si Peter Schiff, que je trouve par ailleurs plutôt stimulant, parle de causes psychologiques, alors la c’est OK.
Cela dit, votre exposé de la théorie autrichienne, je persiste a le dire, est quelque peu décevant. Selon Mises, le marché n’a pas besoin de se faire dire quoi faire. Par exemple, vous savez probablement que l’adoption de l’étalon or n’est au fond que le fruit du hasard ou disons le fruit d’une «décision» du marché. Newton, en tant que master of the mint avait fixé le prix de l’argent trop bas en terme d’or si bien que, et comme le prévoit la loi de Gresham, l’argent est disparu de la circulation. C’était en 1717. Peut-être voudriez-vous, avant que je ne poursuive, traiter Newton de crétin… ?
Anyway, le phénomène s’est produit aussi en France et aux États-Unis. Conclusion: le marché peut prendre des décisions sans le concours de l’État. Or, pourquoi, dans votre version de Mises, le marché attend-t-il de se faire en envoyer des signes de drapeaux par la banque centrale avant de réaliser que ses investissements sont improductifs? Vous avez déja répondu a la question: a cause facteurs humains. Et en passant, les autrichiens n’ont pas été les seuls a prédire la crise, Robert J. Shiller exposait, en 2003 je crois, l’irrationalité exubérante qui faisait maintenant rage dans le marché de l’immobilier. Oh bien sûr, les taux d’intérêt bas expliquaient une partie de la bulle mais pas toute la bulle. Comme les bulles diffèrent d’une bulle a l’autre, un seul facteur ne peut logiquement être la cause de toutes, pas vrai? Anyway, je ne résumerai pas le livre de Shiller ici mais je suis tout de même content de voir que l’on s’entend.
Cela dit, si des causes psychologiques peuvent amplifier une bulle, comment pouvez-vous affirmer qu’une fois les autres causes retirées du portrait, les facteurs psychologiques (d’euphorie) ne peuvent pas encore jouer un rôle? A ce que je sache, l’État n’a pas encouragé la manie des tulipes? Et par ailleurs, tu sais probablement qu’aucune cause directe ne peut expliquer d’une manière satisfaisante le crash de 1929 et celui de 1987 (voir Shiller aussi la-dessus) si ce n’est un phénomène de panique. Si une bulle peut se gonfler lentement, pourquoi elle se pète toujours en un gros POW. Parle moi encore des investisseurs rationnels, Philippe David.
En passant, j’aimerais préciser que un des problèmes de votre analyse est votre surestimation du coût de l’inflation sur le bien-être des gens.
Les modèles théoriques (calibrés avec les données) semblent dire que le coût de l’inflation n’est pas si élevé. Ce constat vient du fait que les agents ont des attentes et peuvent utiliser des actifs financiers (ou des « credit goods » par exemple le loisir) pour pallier le problème de l’inflation. En fait, ils trouvent que une inflation de 10% annuellement devrait réduire le bien-être de quelqu’un (pour l’ensemble de sa vie) d’environ 0.5%. Ces modèles ne sont pas très bon dans le cas de l’inflation extrême, par exemple 400%
Je vais être honnête avec vous, je ne suis pas un fan de ces modèles (RBC). Mais, la conclusion de ces articles ne devaient pas faire l’affaire de leurs auteurs car les gens qui font du RBC sont en général anti-gouvernement et les cycles économiques sont une réponse efficace du marché. Donc, on ne peut pas les blâmer d’avoir voulu prouver l’intervention de l’État.
Leur méthodologie dépend par contre de fonction d’utilité, ce qui est en effet attaquable d’un point de vue méthodologique. Mais bon, on le sait que les fonctions d’utilités garde la relation ordinale. Mais, j’avoue ici, la cardinalité est utilisée.
Voici l’article le plus connu sur le sujet: http://www.jstor.org/pss/1827929
http://www.jstor.org/pss/1992683
Celui-ci trouve un coût plus élevé à l’inflation soit une perte de « bien-être » de 2.19% pour l’ensemble de sa vie avec une inflation de 10% annuellement (ici, la différence c’est qu’il augmente le prix des credit goods). http://www.cardiff.ac.uk/carbs/econ/gillmanm/GillmanJME1993.pdf
« Commence par te demander pourquoi la valeur d’une monnaie peut disparaitre sur une rumeur de nos jours et qu’est-ce qui cloche avec ce concept. L’argent, le vrai, n’est qu’un médium d’échange. Sa valeur n’existe que par les biens qu’on peut acheter avec. N’importe quoi peut servir de monnaie, tant que les gens veulent l’accepter en échange et la quantité disponible d’argent n’a pas vraiment d’impact. Le pouvoir d’achat d’une monnaie peut tout simplement augmenter lorsqu’il est plus rare. »
Je suis 100% d’accord avec toi. Dès que tu ne crois plus que ton institution bancaire sera capable d’offrir l’or au montant de ta monnaie, elle perd ça valeur…et si on pense que la banque fera faillite. Cette monnaie ne voudra plus rien. C’est en effet pourquoi on préconise en général la monnaie fiduciaire. Car, techniquement, son seul rôle est le moyen d’échange. Une fois qu’on la colle à un bien, que ça soit l’or, un mouton whatever, cette relation est faussé.
n’oublie pas que l’or a également un rôle à jouer dans la production de biens. Une monnaie collée sur l’or va créer une énorme distortion sur le marché de l’or.
Bien que j’adore Shiller, on n’a pas nécessairement besoin d’invoquer l’irrationalité pour obtenir des résultats de momentum, de bulles et de crash. Le problème d’incitatif qu’on les gestionnaires de fonds et les investisseurs peuvent très bien expliquer ces phénomènes. (ici, bien sûr c’est encore un problème d’information)
Bien que je doute, que ça soit entièrement la cause, et que l’irrationalité doit jouer pour beaucoup.
C’est très technique par contre. Bon courage
http://www.lse.ac.uk/collections/paulWoolleyCentre/pdf/Second%20Confernc%20Papers/Vayanos.pdf
@ Louisp
Celui-là?
Tu sais bien que le PIB est une statistique trompeuse parce qu’elle inclue les dépenses de l’état.
Je vais vérifier ça, mais le point était qu’il y a eu une vie avant la Banque du Canada… Quant au hasard moral de l’assurance-dépôt, je suis parfaitement d’accord avec toi.
@ Philippe David :
Je n’ai rien à dire à part:
J’aime beaucoup les tableaux…
Pour ceux qui savent les lire: tout est là !
😉
p.s.
Amenez-en des tableaux!
Encore toujours plus de tableaux!
😉
Question à tous:
Comment fait-on -exactement- pour afficher des tableaux?
Moi aussi je veux participer à la déprogrammation efficace des étatistes-adorateurs-de-la-perte-de-notre-pouvoir-d’achat-et-de-la-banque-collectiviste.
😉
@ Zappa
Les gens vont faire toutes sortes de choses sous l’effet d’une drogue. Mais c’est quoi la cause primaire de ce qu’il font. L’état d’euphorie ou la drogue?
Le libre-marché n’a pas besoin de se faire dire quoique ce soit. Mais dans une économie mixte, le marché est tout sauf libre. L’adoption de l’étalon-or n’a pas été le fruit du hasard, mais l’émergence de métaux comme l’or et l’argent comme monnaie n’a été décrété par aucun gouvernement. C’est le marché qui les a adopté.
Est-tu vraiment si dense?
Ce n’est pas le signal de la banque centrale qui dit aux acteurs que leur investissement est insoutenable, c’est que la profitabilité des investissements en question dépendait sur les taux plus bas. Imagine que tu signes un hypothèque à 3% et tu arrives tout just à rencontrer les paiements et que lorsque vient le temps de la renouveler, le taux est à 8%? Pas besoin de consulter la banque centrale, la suite s’impose d’elle-même.
Le marché libre a toujours fonctionné avec des signaux de prix. C’est ce qui sert à autorégler le marché et équilibrer l’offre et la demande. Le taux d’intérêt joue le même rôle sur la demande et l’offre de crédit (sauf quand il est manipulé artificiellement).
La balise html img
Regarde dans le source de la page au pire.
Test:
Il va falloir que tu révises ton Mises parce que l’État, en étant un joueur important dans le marché et en usant de son pouvoir législatif, peut, oui, oui, favoriser et même imposer une monnaie ou une autre sur son territoire.
Pour ce qui est de la banque centrale, j’étais pas au courant de ces taux qui sont passés 3 a 8% en une soirée. Pourquoi le crash est un crash que et le boom, un gonflement lent? Arrête un peu, tu sais comme moi que y’a pas juste le taux d’intérêt dans la vie. Que y’a pas juste le gouvernement pour prendre des mauvaises décisions…
Arrête de répéter tes mantras absurdes.
@ Sabes
Merci.
Pour les graphiques, il faut que ton image soit sur un server web quelconque et que tu te serves du tag html img. Mais pour une raison étrange, l’éditeur rejette les tags quand tu soumets ton billet alors il faut aller le ré-éditer et l’éditeur va accepter tous les tags html
« Tu sais bien que le PIB est une statistique trompeuse parce qu’elle inclue les dépenses de l’état. »
L’état produit des services qui ont une valeur. L’éducation, la santé, les routes etc… sont tous des choses produites par l’état. Que le privé puisse faire mieux, n’est pas la question. Le PIB mesure la somme des valeurs ajoutés de l’économie. Le prix que l’on paye pour ces services (involontairement, d’accord) peut venir des taxes où du seignoriage (inflation tax…). Elle prend cet argent pour payer des gens qui produiront quelques choses ensuite. Je sais que sur ce blogue on a l’opinion que c’est impossible que le gouvernement puisse produire quelque chose…mais bon. Ici, c’est plus le choix de l’acteur qui vous dérange. La construction d’une route aura sa valeur ajouté que ce soit le gouvernement qui fait le travail ou le privé. La différence va venir au niveau du coût(c’est ici qu’on pourrait parler de différence de croissance économique).
Alors, les dépenses de l’état doivent être inclus dans le calcul. Mais, la portion lié au gouvernement est mesurée inégalement vu qu’il y a en général aucun prix lié aux services offerts. J’avais travaillé sur ce sujet au CIRANO. C’est intéressant.
@ Zappa
Arrête! Tu te cales!
Noooooon! Pas vrai? L’état peut imposer une monnaie? Gee Whiz! J’aurais jamais pensé! Je te parlais de comment l’or est venu à être utilisée comme monnaie d’échange à partir du troc… Continue comme ça…
Encore plus dense… Je te donnais un exemple comment on peut réaliser qu’un investissement n’est plus aussi profitable qu’on pensait initialement quand les taux d’intérêts changent. Le taux d’intérêt de la Fed était passé de 1% à plus de 5% sur une période d’un peu plus d’un an. Et peu importe à quelle vitesse tu gonfles un bulle, le résultat est toujours le même quand elle pète. La seule façon d’éviter les bust est de ne pas faire de boums en premier lieu.
@ Louisp
L’état généralement ne fait qu’un transfert de richesse de A à B. Quelques fois ce tranfert est fait à des fins productives, d’autres fois non. Effectivement, que l’état fasse construire une route ou qu’une entreprise privée le fasse fait très peu de différence (sauf peut-être pour les coûts, comme tu disais) si on avait vraiment besoin qu’une route soit construite. Là où il y a une différence, c’est que l’état n’a pas les mêmes priorités que le marché et que bien des dépenses de l’état sont inutiles, donc improductive. Si l’état décide qu’un jour il faut creuser des trous et que l’autre il faut les remplir, ces coûts vont aussi faire partir du PIB.
Tu m’excuseras. C’est probablement a cause de ta syntaxe toute aussi floue que ta photo, que j’interprète mal ce qu’il n’est pas vraiment approprié d’appeler une phrase mais bon, au moins j’essaye.
Pour ce qui est de «l’émergence» de l’or, je ne sais pas pourquoi l’or en est venu a avoir autant de valeur mais bon, étant donné que tu mélange étalon or et or, je me permet de signifier que, oui, Newton aurait bien pu sous-évaluer l’or et nous aurions eu un étalon argent. Tu me le dis si c’est trop compliqué.
Revise tes marqueurs de relation et on se reparle. Ok?
@ Zappa
En fait, pendant longtemps l’étalon était bimétallique.
L’or est émergé comme monnaie d’échange parce qu’il était rare et prisé de tous. (C’est beau de l’or, non?) C’est simplement pour ça qu’on en est venu à l’utiliser comme monnaie (ie comme médium d’échange). Ce n’est pas un roi ou un gouvernement qui s’est levé un matin et qui a décidé arbitrairement que dorénavant on va utiliser l’or comme monnaie. C’est ce que Mises voulait dire quand il disait que c’est le marché qui a choisit l’or. Il ne faisait pas référence à l’étalon-or. C’est-y plus clair maintenant?
@ Louisp
Je ne crois pas que tu as bien compris ce que je disais. Je faisais plutôt référence à la monnaie fiduciaire qui justement est trop manipulable et non à des notes bancaires. La monnaie fiduciaire ne maintient sa valeur que par la confiance qu’on a envers son émetteur. L’opposé est une monnaie de commodité comme l’or qui est une monnaie naturelle. Celle-ci a une valeur beaucoup moins manipulable. L’or et l’argent ont servi ce monnaie pendant des siècles, donc je ne crois pas que ça causerait vraiment tant de distorsions si on venait qu’à les réutiliser comme tel. Demande aux Zimbabwéens quelle type de monnaie ils préfèrent.
Une autre petite chose…. Aidez-moi les gars… Comment faut faire pour vous expliquer que quand vous parlez de l’irrationnalité, vous fixez sur les symptômes plutôt que la cause?
Tout ce que je sais, c’est que le taux d’inflation excède le taux d’intérêt que la banque me paie, alors je suis obligé d’investir mon argent dans des placement plus risqués juste pour conserver mon pouvoir d’achat. Je ne sais pas pour vous, mais moi ça me bogue.
« Comment faut faire pour vous expliquer que quand vous parlez de l’irrationnalité, vous fixez sur les symptômes plutôt que la cause? »
Car, la « cause » dont du parle est débatable. Il y a très peu de gens, à part les autrichiens, qui pense sérieusement que la monnaie fractionnaire est la cause des récessions. Les faits empiriques ne sont pas aussi évident que tu le penses, ni le lien de causalité entre taux d’intérêt et récession. Et qu’encore aujourd’hui la « neutralité » de la monnaie à long terme est encore débattu. Car si un agent à des attentes sur le taux d’inflation, cela ne devrait pas avoir d’impact sur les variables réels…du moins à long terme. Par contre, je ne suis pas convaincu de ça à 100% et c’est une certaine supposition behavioral.
« Tout ce que je sais, c’est que le taux d’inflation excède le taux d’intérêt que la banque me paie, alors je suis obligé d’investir mon argent dans des placement plus risqués juste pour conserver mon pouvoir d’achat. Je ne sais pas pour vous, mais moi ça me bogue. »
Ouais, mais ça c’est un problème de concurrence, beaucoup plus qu’un problème monétaire. Il n’y a pas de concurrence bancaire au Canada…ou si peu. Mais bon…elles sont clairement plus solides, mais je doute que ça soit plus positif que négatif.
Pour les gauchistes, tout ce qui évident, devient compliqué. Alors voici;
« La politique monétaire pour les nuls »:
1 once d’or achetait un bel habit et de beaux souliers dans le temps des romains.
La même once aujourd’hui, achète encore un bel habit et de très beaux souliers.
Pendant des siècles, les prix étaient relativement stables… et ‘bas’.
***
Si nos étalons d’échange étaient basés sur quelque chose de réel, combiné avec l’incroyable augmentation de productivité que nous avons connu depuis quelques siècles, les prix ne cesseraient de baisser, au lieu de monter et de gruger notre pouvoir d’achat.
Mais dans notre système monétaire basé sur l’imaginaire, les prix montent plus vite que nos salaires/revenus(pour de plus en plus de gens).
Avant l’argent fiduciaire, les inégalités de revenus n’existaient pratiquement pas.
Aujourd’hui grâce à ceux qui ont accès -en premier- à l’argent de la Pyramide de Ponzi gouvernementale, certains deviennent ‘immensément riches’ et les inégalités de revenus augmentent à la vitesse grand V.
Les nuls en économie, vont dire que ce que je viens d’écrire est nul, pourtant c’est l’abc de l’économie autrichienne et c’est la -toute simple- réalité.
Mais dans les universités étatiques, ils apprennent tout le contraire.
L’argent étatique imaginaire = bon
L’argent basé sur le réel = mauvais
Nos économies peuvent bien aller dans tous les sens, leur idéologie ne fait pas de sens.
😉
Merci à ungars et Philippe David.
« Avant l’argent fiduciaire, les inégalités de revenus n’existaient pratiquement pas. »
ouf c’est toute une déclaration. J’ai lu, il y a quelques années, qu’ils estimaient le coefficient de Gini à environ .7 en france au Moyen-âge (précisement en 1200-1300). Bizarre…il n’y avait pourtant pas de monnaie fiduciaire…c’était l’écu d’or..si je ne me trompe pas. Mais bon..le seigneuriage devait être encore plus monnaie courante, lol
C’est rare, mais il faut avouer que -cette fois-ci- vous avez un bon point.
J’ai oublié de préciser un détail, le connaissez-vous ?
😉
Il faut faire une différence entre les états monarchistes (ou du même acabit) et les républiques… ou mêmes les démocraties.
Oui -pendant une bonne partie de l’histoire- le pouvoir d’achat de la masse des gens, était -assez- peu élevé.
Oui, souvent les ‘taxes royales’ étaient très élevées.
Mais oui aussi -en once d’or(ou en once d’argent, soit ‘l’argent du peuple’)- les prix sont restés -relativement- stables pendant des siècles…
Conclusion?
Ou se situe le problème ?
😉
Ce dont vous voulez parler c’est la nature oligarchique du systeme. Une monarchie n’est pas necessairement oligarchique. Une democratie peut l’etre.
@ Louisp
Alors selon toi, l’IPC au Canada est à 2-3% et les taux d’intérêts sont en dessous de ça à cause du manque de compétition bancaire? Ça ne te tracasse pas que l’inflation au Canada était inexistante avant l’avènement de la Banque du Canada et qu’on pouvait garder chaque cent d’intérêt dans nos poches plutôt que de le voir se faire gruger?
Et ils manquent de compétition bancaire aussi aux É-U?
Ouais, merci.
J’en oublie des trucs aujourd’hui.
😉
J’aurais du écrire:
Certaines monarchies non-interventionnistes, certaines démocraties (surtout à leur naissance), et certaines républiques qui respectent la liberté des individus et laissent la monnaie, le plus ‘libre’ possible.
C’est mieux?
@ Louisp
Et qui a même tenté de trouver une explication plausible aux comportements des acteurs dans les cycles économiques à part les autrichiens? Certainement pas Keynes. Car justement, il doit y avoir une explication. En fait, c’est David Ricardo qui a été le premier à établir un lien entre l’expansion monétaire et les cycles économiques. Mises et Hayek ont juste poussé son analyse plus loin. Juste un petit indice: entre 1922 et 1929, la masse monétaire aux É-U a augmenté de 65%. Présentement elle est 11 fois plus grande qu’en 1997. Pour la folie des tulipes, regardez du côté de la banque d’Amsterdam. En fait, si vous regardez chaque récession, vous trouverez de l’expansion monétaire immédiatement avant. Le taux d’intérêt n’est qu’un indicateur qui est influencé par cette expansion, un autre symptôme, si vous voulez. Cette expansion monétaire n’est rendu possible que par le système de réserve fractionnaire des banques. La véritable cause des cycles économiques (dont la récession n’est que la dernière phase) c’est l’argent créé à partir de rien. C’est ce qui se produit quand trop d’argent court après trop peu de biens.
Pour ce qui est de l’évidence empirique, c’est ça le problème des keynésiens et des néo-classiques. Vous croyez que l’économie est une science empirique qui s’explique en graphiques et en équations alors que les autrichiens la considèrent plus comme l’étude de l’action humaine. Vous rejetez donc tout ce qui ne « fitte » pas dans vos modèles sans considérer le facteur humain. C’est justement parce que Ricardo, puis Mises et Hayek savaient que derrière les actions des acteurs du marché il y avait des motivations qui les poussaient à agir qu’ils ont développé leur théorie et pour ma part, je crois que logiquement, elle tient debout.
À tous les arguments que j’ai apporté louisp a été incapable de répondre autre chose que « t’es con ».
Dans une discussion, quand un des interlocuteur est réponds aux arguments d’une personne en disant qu’elle est stupide, c’est parce qu’elle avoue sa propre faiblesse.
En langage de tennis c’est « game, set and match » pour moi.
Zappa, contrairement à louisp a essayer d’utiliser un argument. Malheureusement pour lui son argument est assez stipude. Selon Zappa je n’ai pas raison parce que mes réponses sont… trop longue (wow)…
Là aussi c’est « game, set and match » pour moi.
Les autrichiens ont été LES SEULS à prédire la récession. Les économistes étatismes comme toi n’ont rien vu venir.
Nuff said…
« Les économistes étatismes comme toi n’ont rien vu venir. »
Encore une fois, c’est pas parce que tu le répètes que ça devient vrai. Je t’ai montré déjà 5 articles à 5 dates différentes qui te prouve le contraire. Et si tu te rappels bien…tu avais modifié ton commentaire par « avec les bonnes raisons ». lol
En plus, les marxistes-léninistes aussi avaient prévu la crise. Mais eux c’est parce que c’est le système capitaliste qui est la source du mal. C’est vraiment du pareil au même.
« Vous croyez que l’économie est une science empirique qui s’explique en graphiques et en équations alors que les autrichiens la considèrent plus comme l’étude de l’action humaine. » En fait beaucoup de nos outils théoriques proviennent des autrichiens. La théorie des jeux est le meilleur exemple. Mais, je ne vois pas la contradiction entre avoir des théories et vouloir les vérifier.
« Dans une discussion, quand un des interlocuteur est réponds aux arguments d’une personne en disant qu’elle est stupide, c’est parce qu’elle avoue sa propre faiblesse. » Ben…tu veux répondre à quoi à quelqu’un qui confond évolution/créationisme et systèmes économiques. Bien sûr, il pourrait y avoir un ordre social autres que le système actuel… ce n’est même pas la question. La question est: est-ce que c’est 1-souhaitable, 2-possible dans la forme proposée. Pour les deux questions, je répond non. Une des questions est une question normative et l’autre positive. À la question normative, c’est clair, je ne trouve pas l’idée libertarienne particulièrement intéressante. Pour la question positive, et bien on peut en débattre.
Tu peux me dire quand tu avais prédit que le marché immobilier entrerait en récession ?
Les autrichiens ont fait leur mise en garde depuis 2002.
Et toi ?
“game, set and match”
Tant qu’on garde dans l’esprit que tout ne s’explique pas par des formules mathématiques. Le manque de preuves empiriques ne rend pa la théorie autrichienne des cycles économiques invalide pour autant.
« Tant qu’on garde dans l’esprit que tout ne s’explique pas par des formules mathématiques. »
C’est ici, que je pense qu’il y a la plus grande méconception de la part des autrichiens vis à vis l’économie mainstream. Les maths sont un language, ni plus ni moins. Elles permettent une rigueur qui manque souvent aux textes écrits. Les maths permettent également d’exposer un problème complexe d’une façon beaucoup plus facile à suivre. Il y a des gens (surtout en macro) qui en font un peu trop et oublie l’intuition et se concentre beaucoup trop sur l’aspect maths que l’aspect économique. Mais ça c’est un problème d’incitatif de la vie académique que d’autres choses.
David, je ne fesais pas de prédiction en 2002…et je n’en fait pas maintenant. Moi le truc boule de crystal ce n’est pas ça qui me branche. Mais, ouais il y avait des gens en 2001 qui en avait parler. D’ailleurs, si je me rappel bien, j’en ai cité un sur ton blogue avant.
Ed Leamer, of UCLA and author of Macroeconomic Patterns and Stories, talks with EconTalk host Russ Roberts about how we should use patterns in macroeconomic data and stories about those patterns to improve our understanding of the economy. Leamer argues that economics is not a science, but rather a way of thinking, and that economic models are neither true nor false, but either useful or not useful. He discusses various patterns in the recessions and recoveries in the United States since 1950. The conversation closes with a discussion of the reliability of econometric analysis.
http://www.econtalk.org/archives/2009/05/leamer_on_macro.html
Les modèles économiques sont valable uniquement dans un système contrôlé mais dans « la vrai vie » ils sont futiles car aucun modèle ne peut prendre en compte tous les paramètre qui entrent en jeux.
C’est comme si un biologiste après une expérience in-vitro déclarerait que les résultats obtenus in-vitro s’appliquaient à l’ensemble de la population.
L’essentiel de l’argumentation de zappa et louisp consiste répéter: vous êtes cons et nous avons raison.
C’est pas fort. C’est assez dogmatique comme approche.
Ils n’arrivent pas à accepter que l’économie repose en fait sur quelques prémisses très simples.
Dans leur analyse, ils essaient de contrôler les différents acteurs et facteurs de l’économie ce qui est impossible. Le contrôle d’un élément va amener la débandade d’un autre.
Nous, nous prônons le laissez aller (faut pas avoir peur des mots), car comme chaque individu interagit avec les autres pour améliorer son sort, la résultante des transactions individuelles combinés ne peut qu’amener l’amélioration collective, car tout le monde ne cesse d’améliorer sa situation.
Ces deux là n’ont pas confiance en l’humain. Ils préfèrent se tourner vers une entité toute puissante. Ils se déresponsabilisent. C’est une question de valeurs fondamentales. On dirait qu’ils ne sont pas capable d’accepter qu’on peut vivre dans un climat de respect mutuel dans un monde avec beaucoup moins de lois…
@ Louisp
Même les mathématiques ont leur limites quand il s’agit d’étudier ce qui est essentiellement l’interaction quotidienne de milions de personnes qui poursuivent leur intérêt personnel. On peut quantifier certaines choses, d’autres non. Les statistiques et les modèles peuvent être utiles pour mesurer les progrès et l’évolution de l’économie, ou vérifier certains scénarios « what-if », mais ils ne peuvent justement pas expliquer le comportement des agents économiques dans des scénarios comme le cycle boom-bust. C’est la raison pour laquelle Keynes parlait de «l’esprit animal». Pour toute son habileté avec les chiffres, Keynes ne pouvait tout simplement pas expliquer le pourquoi et le comment de ces agissements.
Nous parlons souvent ici de l’exemple de Peter Schiff pour démontrer comment les autrichiens ont prédit la récession dans laquelle nous sommes. Dans ce vidéo (en bas), on le voit à partir de 2002. Non seulement prédisait-il qu’une récession arriverait (ce que même les idiots marxistes peuvent faire), mais il explique où, quand, comment, et pourquoi, alors que les autres commentateurs (certains des économistes respectés comme Arthur Laffer) pouffaient de rire et le traitaient pratiquement de fou. Bien souvent, ce que les néo-classiques me disent c’est que même une horloge brisée donne l’heure juste deux fois par jour. Désolé, mais ce n’est pas si facile. Si ce n’était que le fruit du hasard, il n’aurait pas pu expliquer si exactement ses prédictions et il se serait contenté de rester flou. Peter Schiff a pu faire ces prédictions parce qu’il comprenait la théorie de Mises et Hayek et il savait pertinemment que la Fed ne pouvait pas continuer à pomper de l’argent dans l’économie indéfiniment. Qu’un jour ou l’autre la Fed devait ralentir ou arrêter la planche à billet. (Comme on sait pertinemment que présentement, si la Fed ne ralentit pas bientôt qu’un scénario de stagflation ou d’hyperinflation devient de plus en plus plausible) Et que lorsque la Fed arrêterait de stimuler l’économie, toutes les bulles crèveraient. Parce que pour les autrichiens, c’est parfaitement normal qu’une économie de marché se comporte de cette façon lorsqu’elle est stimulée artificiellement.
Les autres économistes ne font que constater l’euphorie du boum et la panique du bust sans même s’interroger quelle drogue l’a causé ou qui l’a injecté.
En passant, Peter Schiff est en bonne compagnie. Mises avait lui-même prédit le krach de 1929 pendant qu’Irving Fischer continuait d’affirmer que la vie était belle jusqu’à la veille du jeudi noir.
Ben là c’est le boutte!
Ben oui, j’ai déjà entendu le même commentaire d’un marxiste. Les humains sont bons et peuvent coopérer… Vous êtes vraiment très drôles.
Par ailleurs, trop pris que j’étais, probablement à répéter, je n’ai pas pu traiter des réserves fractionnelles qui sont, à ce que j’ai pu comprendre, selon les Autrichiens, une source des problèmes actuels.
Or, les réserves fractionnelles ne sont pas l’invention de l’État mais plutôt de banquiers qui se sont aperçu qu’il pouvait faire de l’argent avec ça. Eh oui, faire de l’argent. Y’a pas juste l’État qui monte des stratagème de Ponzi. Vous devez être étonnés, vous qui parler de «valeurs fondamentales » et de «respect mutuel», qui disent que Madoff est un héros. Si l’État n’intervenait pas, ce serait la jungle (faut pas avoir peur des mots semble-t-il). Faire de l’argent, ça ça fait des enfants forts!
Où, je vous pris ????
@ Zappa
Et pourquoi est-ce légal pour les banquiers et pas pour le reste du monde? Pourquoi ne sont-ils pas tous en prison?
Je te défie de trouver une citation sur ce blogue ou sur celui d’un des commentateurs qui dit que Madoff est un héros.
Tout les problèmes actuels de l’économie sont causés par l’état.
J’avais mal interprété la première phrase de Badaboum dans un commentaire fait pour un autre billet (Quand l’État crée des jobs). Il faut dire qu’il était plutôt flou. Il commençait en disant qu’il donnerait une médaille à Madoff pour finalement laisser entendre qu’un Madoff expose les failles du marché auto-régulateur.
Je n’avais pas lu jusqu’au bout parce que, dans une large mesure, le commentaire était parfaitement en phase avec la plupart des commentaires de ce blogue qui vilipendent sans nuance l’État et glorifie sans réfléchir le marché. Par exemple, vous pourriez aisément prétendre que les investisseurs avaient juste à checker leurs affaires. Certains vont même plus loin dans la malhonnêteté en disant que c’est l’État qui fausse le risque et etc.
La vérité est que le marché peut aussi mal fonctionner. L’appât du gain fait autant de dégât que l’interventionnisme. Par ailleurs, vous avez un vision réductrice du monde. Vous pensez en terme d’État et de Marché alors qu’une vision sociologiquement plus élaborée serait sans nul doute plus fructueuse pour approcher le problème. Vous pensez en enfants d’école et, évidemment, vous aboutissez à des solutions d’enfants d’école. Regardez-vous un instant avec vos petits dogmes et vos idées arrêtées sur le monde. Franchement, c’est d’une pauvreté…
Finalement Hollenthon a peut-être raison…
Tu investis sans te renseigner sur l’investissement toi? Tu achète des actions à la bourse sans lire les prospectus? Tu confie tes finances à un conseiller financier sans vérifier s’il est enregistré?
Pourtant, beaucoup font exactement ça. Pourquoi?
Quand l’état garantit les dépots des banques, il ne fausse pas les risques?
Quand l’état donne des bailouts à des compagnies qui sont sur le bord de la faillite, justement parce qu’ils ont trop pris de risques, il ne fausse pas les risques?
Quand les investisseurs font aveuglément confiance aux institutions étatiques comme la SEC ou l’Autorité des Marchés Financiers au lieu de faire un minimum de recherches, ça ne fausse pas les risques?
Quand la politique monétaire de l’état pousse les petits épargnants vers les marchés boursiers pour contrer les effets de l’inflation et protéger leur pouvoir d’achat, il ne fausse pas les risques?
Intrigant aussi que ma question «Et pourquoi est-ce légal pour les banquiers et pas pour le reste du monde? Pourquoi ne sont-ils pas tous en prison?» est restée sans réponse…
Parce que l’état légalise les fraudes auxquelles il peut participer?
Don’t steal. Government hates competition.
Lire le prospectus? Hmmm. Je me demande ce qu’il disait le prospectus de Madoff. Ou encore celui de Enron, est-ce qu’il incluait toutes les sociétés bidons et les faux profits, tu penses? Explique-nous…
Dis-moi, Philippe David, est-ce que le fait que tu sois assuré t’incite à laisser le rond du poêle allumé? Et si oui, pourquoi? Est-ce que c’est à cause de l’assurance que tu as ou parce que tu es juste un crosseur? L’assurance dépot, c’est juste… une assurance mon grand. Même le privé utilise les assurances, tu sais, pis je suis pas sûr qu’il s’en plaigne.
Et, oui, les gens se fient que la SEC pogne une coupe de crosseurs de temps en temps. Tout comme la police d’ailleurs. Est-ce que tu crois que les gens ont tort de se promener en ville parce qu’il font juste se fier au maudit État qui assure leur protection? C’est ça? Pis si quelqu’un se fait voler, c’est son affaire, c’est juste de sa faute?
Par ailleurs, je ne crois pas que les gens font de mauvais investissement parce qu’ils ont confiance en l’AMF. C’est un peu ridicule compte-tenu que la minorité qui connait son existence sait très bien que les gens floués ne revoient pas leur argent, AMF ou pas. En fait, s’il n’y avait pas de telles institutions qui établissent la confiance, il y aurait probablement moins d’activité économique, tu pense pas Jo-blo. Si tout le monde avait peur des crosseurs et que personne n’était là pour en pogner un de temps en temps, qu’est-ce tu penses qui arriverait, Philippe David?
Mais dis-mois, est-ce que c’est le méchant État qui a inventé les réserves fractionnelles?
En tout cas, y’en a deux qui sont pissant à lire…
Merci à Philippe David pour la grande qualité de ses post.
Welcome to PhilipLand? A really nice place to raise your kidzzzzup!
Retiens ce nom: Aksia. Ceux qui ont embauché les services de cette firme avant d’investir dans le hedge fund de Madoff ne se sont pas fait plumer. Il y a une petite leçon là.
L’assurance dépôt dégage les banques de toute responsabilité envers leurs client. Demande à Louip. C’est un hasrd moral qui est à l’origine de biens des problèmes dans le secteur bancaire.
Récompenser les gestionnaires irresponsables avec des bailouts est un autre hasard moral.
Je sais que la police est là, mais j’ai quand même un système d’alarme. Et je ne ferai pas exprès pour courir les ruelles sombres la nuit.
Mais étrangement, il y a plein de gens qui vont confier leur argent à un conseiller financier sans savoir s’il est enregistré à l’AMF.
C’est pas le méchant état qu’il l’a inventé, mais pourquoi l’a-t-il légalisé? N’est-ce pas le rôle de l’état de protéger ses citoyens de ces méchants fraudeurs?
@ Dolce Vita: Merci.
Je vois que vous avez étudié un peu l’histoire des faux monnayeurs.
La banque centrale de l’Angleterre a commencé ce principe en quelle année déjà ?
Et si l’état n’est pas l’inventeur, mais légalise tout de même les manigances des faux monnayeurs (qui -à terme- détruisent le libre marché), est-il moins responsable du désastre dans lequel nous sommes tous?
L’économie est très simple, lorsque nous établissons nos analyses sur des paramètres réels et stables.
Ceux qui compliquent tout, sont les mêmes qui ne comprennent rien à l’impact de cette fausse monnaie.
***
L’humain -à 99%- est BON si le système dans lequel il évolue, n’est pas basé sur du vol ou de la fausse monnaie. Sans la présence de cette fausse monnaie -ou la Pyramide de Ponzi gouvernementale– les Bernard Madoff de ce monde ne pourraient pas faire leur propre ‘pyramide’.
C’est mathématiquement impossible.
***
Je sais, tout ce que j’écris est trop simple pour les étatistes-gauchistes…
Mais la plupart d’entre vous ne cherchez pas la réalité, vous cherchez à faire ‘fitter’ vos croyances dans la réalité. Pourtant, c’est exactement le contraire que nous devons faire si nous voulons comprendre cette réalité. Il faut l’analyser sans dogmatisme.
La réalité est;
– unique;
– objective
– là et existe en-dehors de nos idéologies.
C’est à nous d’être le plus neutre (ou le moins subjectif) possible pour la découvrir.
C’est comme ça que je suis devenu libertarien.
Car les gauchistes-étatistes vivent dans l’irréel et dans le ‘tout-subjectif’… et ‘s’accrochent’ à un paquet de théories qui ne tiennent pas la route… dans la réalité.
Wow! Le hasard moral en explique presqu’autant que les taux d’intérêt. C’est à se demander pourquoi il y encore des compagnie qui vendent des assurances. Avec tous ces irresponsables. Mais au fait, pourquoi ne accuser la SAAQ de causer des accidents d’autos? Peut-être aussi que mon assurance-voyage va me donner la malaria?
Donc, toi qui est si pressé de dire que, non, non, c’est le marché qui a adopté l’or avant l’État (parce que c’est-ti beau rienqu’un peu), tu ne te précipites pas pour défendre cette merveilleuse innovation du marché que sont les réserves fractionnelles! Et tu dis que c’est de la faute de l’État parce qu’il les a légalisé!!!??? Watatow!!! Pile tu gagnes, face je perds. Pathétique.
Une fois qu’un état légalise quelque chose d’immoral, qui blâmer? L’inventeur ou celui qui répand ce vol à toute la société.
Ou plus simple encore:
Qui est pire?

Al Capone ou l’IRS ?
Bon l’exemple est un peu boiteux, mais ça se compare un peu, non?
Quand quelqu’un répète les niaiseries d’un autre, qui traiter de twit?
– « Maman, ‘c’pas’ moi ‘quia’ commencé »

– « Tu l’as fait aussi. Allez dans vos chambres tous les 2 »
Les 2 peut-être ?
😉
Qui est le plus ‘coupable’ ou responsable ?
N’est-ce pas celui qui répand le plus de ‘niaiseries’… ou celui qui répand le plus le vol (dans le cas de la fausse monnaie)?
Qui croire? Comment écrire?
Ai-je quelque chose à dire? Oui, non, là est la question?
Ou peut-être pas?
Je ne sais trop?
Quand?
Bullshit?
C’est sûr?
Arrêter?
Pour le bien de tout le monde, oui!
N’est-ce pas celui qui ne dit rien en a le moins à dire? Ai-je un graphique? Ou non?
A moins que…
LA réalité est en train de rentrer tranquillement…
C’est normal de réagir comme ça…
Continuez de nous lire et surtout de ne pas nous croire sur parole.
Continuez donc de faire vos propres recherches pour comprendre CETTE réalité dans laquelle nous vivons tous et ce, indépendamment de nos croyances/idéologies/valeurs/etc.
Ouuuuuiiiii, je continuerai, indépendamment de votre suffisance/ignorance/style risible/etc.
Je vous épargne les petits bonhommes en point virgule. C’est trrroooop coool!
Je constate que ce défoulement est bon… pour vous et je vous encourage à continuer.
Les attaques émotives peuvent soulager l’angoisse que nous ressentons… lorsque nous constatons -l’horrible- réalité étatique.
Etc
Où dois-je envoyer la facture?

Sérieux, vous ne réalisez rien ? Vraiment?
Je crois que vous commencez à voir la réalité comme elle est, pas comme vous voudriez qu’elle soit. Je me trompe?
De quoi parlez-vous au juste? Ah oui, c’est vrai… de la réalité…. woooouuuu.
J’attends, en vain je suis sûr, plus de précisions.
Avant de poursuivre ce -très, très, très mature- débat, voici LA question:
Cherchez-vous à comprendre LA réalité ou croyez-vous qu’elle n’existe pas et que « tout est relatif » ?
«Tout est relatif», heille, j’avais pas entendu ça depuis le Cégep mais bon, puisqu’il le faut: non, je ne pense pas en ces termes. Et vous? Et non, Sabes, je ne crois pas que… «LA» réalité n’existe pas.
Est-ce que ce sera tout?
Non, nous commençons seulement. 😉
Bon, si pour vous LA réalité objective existe en-dehors de nous et que c’est NOTRE subjectivité/perception et/ou NOTRE manque de connaissance qui nous empêchent de LA trouver, nous pouvons poursuivre cet échange…
Nous étions en train d’échanger sur ceux qui sont les plus ‘responsables’ de l’existence de la fausse monnaie et de son incroyable impact négatif sur nous tous.
La parole est à vous:
De la fausse monnaie? Même Mises n’allait pas aussi loin mais bon. Je suppose que vous voulez parler du papier-monnaie ou des substituts de monnaie. Qui est responsable de la création de ces substituts? Les banques, les compagnies de cartes de crédits, l’État, les faux monnayeurs.
Quant à son impact négatif. Il n’est pas si grand que cela. Mais, oui, la gestion économique et monétaire de l’État peut laisser parfois à désirer, tout comme le marché est parfois inadéquat. Il s’agit de trouver un équilibre, dans le monde réel.
Oui vous avez raison, tous ont une part de responsabilité… tous devraient aller ‘réfléchir dans leurs chambres’.
Mais SEUL l’état a le pouvoir de rendre ça légal.
Et pourquoi l’état criminalise les petits faux monnayeurs-de-sous-sol, mais ne fait rien pour arrêter toute cette foie qui est en train de détruire nos sociétés?
Et n’oublions pas ceux qui font de nouvelles émissions d’actions ou d’obligations… ça aussi c’est de la fausse monnaie inventé à partir de rien.

Alors pourquoi avoir posé cette question?
L’état a LÉGALISÉ les faux-monnayeurs?
Vrai ou faux?
Et comment voulez-vous trouver un ‘équilibre'(sic) dans un vol légalisé à grande échelle ?
Vous défendez l’état (i.e. l’arbitre), qui encourage le vol et les Madoff et Lacroix de ce monde ?
p.s.
« L’exubérance irrationnelle » existe parce que l’argent que nous utilisons -tous- est irrationnel.
Tout ça c’est du réchauffé. Vous courez après votre queue. Au risque de me répéter, je n’ai pas le temps ni le goût de répondre à toute cette mauvaise foi. Bon week-end.
Ha!
« Mauvaise foi »?
Je crois bien que vous essayez de berner les lecteurs avec de la petite rhétorique facile…
Vous n’avez pas démontré que vous avez les capacités pour débattre de tout ça et vous démontrez sans cesse votre manque de connaissance…
Passez une bonne fin semaine… à étudier l’histoire de la fausse monnaie et de son incroyable impact destructeur pour nos sociétés.
p.s.
Un piste de recherche?
Quelle est la tendance des taux d’endettements des;
-individus;
-des gouvernements;
-des entreprises;
Et d’où provient tout cet argent par rapport auquel nous devons tous payer des intérêts?
Bonne cogitation
😉
Mouais…
Donc, il est parfaitement normal que l’état permette à certains d’imprimer de la fausse monnaie, mais pas à d’autres. Et il n’est certainement pas responsable des distortions de marché que cette fausse monnaie cause. Merci infiniment d’éclairer nos lanternes.
Les libertariens parle de coopération volontaire entre individus qui chacun cherche son propre profit.
Les marxistes parlent d’une coopération imposé par l’action violente et tyranique du gouvernement.
Bon sang, la différence est facile à faire !
Complètement faux.
Le capitalisme est un système de profits et de pertes. Les pertes sont essentielles aux rouages du capitalisme, car elles permettent de discipliner les marchés.
Le socialisme lui se fiches des pertes par conséquent les erreurs ne sont pas corrigé, elles sont perpétuées.
Fausse monnaie = argent imprimer par la FED.
1) Crée et aggrave les problèmes (guerres, distorsions économiques, famines);
2) Attribue-les aux autres;
3) Réprime les autres pour tes actions;
4) Perpétue ton régime?