Pour beaucoup de gauchistes, notre système de santé socialiste est supérieur à celui des Américains parce que l'espérance de vie et le taux de mortalité infantile favorisent le Canada. Malheureusement pour les gauchistes, ces 2 paramètres sont inutiles quand vient le temps de comparer la qualité et l'accessibilité à un système de santé.
Beyond Those Health Care Numbers
The differences between the neighbors are indeed significant. Life expectancy at birth is 2.6 years greater for Canadian men than for American men, and 2.3 years greater for Canadian women than American women. Infant mortality in the United States is 6.8 per 1,000 live births, versus 5.3 in Canada.
These facts are often taken as evidence for the inadequacy of the American health system. But a recent study by June and Dave O’Neill, economists at Baruch College, from which these numbers come, shows that the difference in health outcomes has more to do with broader social forces.
For example, Americans are more likely than Canadians to die by accident or by homicide. For men in their 20s, mortality rates are more than 50 percent higher in the United States than in Canada, but the O’Neills show that accidents and homicides account for most of that gap. Maybe these differences have lessons for traffic laws and gun control, but they teach us nothing about our system of health care.
Americans are also more likely to be obese, leading to heart disease and other medical problems. Among Americans, 31 percent of men and 33 percent of women have a body mass index of at least 30, a definition of obesity, versus 17 percent of men and 19 percent of women in Canada. Japan, which has the longest life expectancy among major nations, has obesity rates of about 3 percent.
The causes of American obesity are not fully understood, but they involve lifestyle choices we make every day, as well as our system of food delivery. Research by the Harvard economists David Cutler, Ed Glaeser and Jesse Shapiro concludes that America’s growing obesity problem is largely attributable to our economy’s ability to supply high-calorie foods cheaply. Lower prices increase food consumption, sometimes beyond the point of optimal health.
Infant mortality rates also reflect broader social trends, including the prevalence of infants with low birth weight. The health system in the United States gives low birth-weight babies slightly better survival chances than does Canada’s, but the more pronounced difference is the frequency of these cases. In the United States, 7.5 percent of babies are born weighing less than 2,500 grams (about 5.5 pounds), compared with 5.7 percent in Canada. In both nations, these infants have more than 10 times the mortality rate of larger babies. Low birth weights are in turn correlated with teenage motherhood. (One theory is that a teenage mother is still growing and thus competing with the fetus for nutrients.) The rate of teenage motherhood, according to the O’Neill study, is almost 3 times higher in the United States than it is in Canada.
Whatever its merits, a Canadian-style system of national health insurance is unlikely to change the sexual mores of American youth
The bottom line is that many statistics on health outcomes say little about our system of health care.
Amen
Comment se fait-il que dans un système censé privilégier la responsabilisation de l’individu, il y est plus d’accidents et une tendance plus élevée à l’obésité?
L’État est responsable en partie de l’obésité en offrant des cours d’éducation physique de piètre qualité.
Le système scolaire primaire et secondaire des USA est l’un des plus centralisé en Occident.
Depuis la création du Département d’éducation au fédéral, les gens n’ont jamais été aussi cancre alors qu’avant les Américains étaient des bolés reconnus mondialement…
Par contre, le système universitaire américain très décentralisé est l’un des meilleurs au monde.
De plus, l’État américain rend les gens gros en subventionnant le mais qui sert à la production de fructose (qui fait plus engraisser que la canne à sucre). Ailleurs dans le monde, les gens boivent du coke fait avec du VRAIE sucre et sont plus minces.
De plus, la FDA interdit l’utilisation de la Stevia comme additif alimentaire. La Stevia est un édulcorant 100% naturel et sans sucres. On préfère la cochonnerie d’aspartame qui crée de l’obésité sans compter que ça pourrait donner le cancer.
Pour terminer, si le Fair Tax était implanté peut-être qu’au lieu d’acheter 2 Big Macs les gens en acheterait juste un. 23% de taxes de vente ça fait réfléchir LOL
PS. Pour les morts sur les routes, je crois aussi que c’est à cause de l’État mais ça c’est un autre débat…
Je ne croyais pas que le Fait tax avait pour but de réduire le pouvoir d’achat des gens.
@ iEatGLass
C’est un tradoff que les gens acceptent de faire.
Ben oui. On accepte tous de faire des accidents. Mieux encore, d’en faire plus que les autres. C’est tellement gratifiant.
Je dois quitter, je m’en vais chez Ashton manger une poutine régulière, extra-fromage. Devenir obese, c’est un trade-off que j’accepte et auquel j’aspire…
@southpaw
va-y mon gros avant que le gouvernement interdise la poutine. 😉
@ ieatglass, le Fair Tax favorise l’effort, la productivité et l’épargne tandis que le système fiscal actuel favorise la paresse, le travail au noir et la surconsommation (il n’y a pas de taxes de ventes fédérale aux USA).
Dans un système minarchiste, ce serait la taxe idéale pour financer les fonctions régaliennes de l’État (armée, justice, police)quitte à la baisser plus tard.
@ southpaw
Point négatif: Manger de la poutine c’est mauvais pour la santé.
Point positif: la poutine c’est bon.
Tradoff: pour moi le plaisir de manger la poutine est supérieur à la probabilité de faire du cholestérol.
Même ça tu ne peux pas le comprendre?
Tout est une question de tradoff dans la vie.
Traverser la rue.
Négatif: je peux me faire frapper par un chauffard.
Positif: je pourrais me rendre au travail et gagner un salaire.
Tradoff: pour moi le salaire de mon travail est supérieur à la probabilité de me faire frapper.
C’est bien joli tout ca. Mais ca ne repond pas a la question: Comment se fait-il que dans un système censé privilégier la responsabilisation de l’individu, il y est plus d’accidents et une tendance plus élevée à l’obésité?
Hollenthon t’as répondu aux commentaire #9:
Point négatif: Manger de la poutine c’est mauvais pour la santé.
Point positif: la poutine c’est bon.
Tradoff: pour moi le plaisir de manger la poutine est supérieur à la probabilité de faire du cholestérol.
Malheureusement, une taxe de vente à 23% sans Fair Tax est possible et existe.
Et puisque tu parlais de nourriture: ici
Donc, si j’ai bien compris, au Canada, les obèses sont des irresponsables qui abusent du systèmes tandis qu’aux USA, ce sont des libetariens qui ont décidé de leur propre gré d’être obèses. C’est beau la responsabilisation.
@southpaw
Je commence a douter de ta quapaciter à comprendre les concepts simple.
Un gars qui boufe de la poutide comme un porc et que sont coeur y pete est en parti responsable de sa condition peu importe la planette sur la quelle in vit. Par-contre, le gars qui lui interdi de boufé de la poutine ne se mêle pas de ses affaires peux importe son pays et est anti liberté de se bouré la fasse comme un cochon. Ils serait plus responsable de ne pas être un patapouf et manger de la poutine avec modération. Comme sa, le système de santé couterait moin chère, les payeurs de tax auraient un patapouf de moin à s’occuper et le patapouf serait en meilleur santé. On peut dire que oui dans un sans le patapouf est un fardo pour la société et aus état vu qu’il paye il est juste un fardo pour lui-même. Cependant, je crois que le derniers des épais devrais avoir droit au système de santé dans le cadre d’un service mixte.
southpaw, messemble que c’est simple à comprendre. Fait un effort ok.
En fait, au state sé le patapouf qui paie ses assurences qui paie pour réparer certain des effets de son bourage de fasse.
Il persiste encore plein de raisons pour promouvoir un système de santé privé/mixte whatever.
Par contre, force est de constater que celui de la responsabilisation ne tient pas. Puisque visiblement, ça n’a pas cet effet. Dans le cas qui nous concerne en tout cas.
Il faudra arrêter de faire a croire a des raisons idéologiques comme la responsabilisation des individus puisque ceux-ci, même dans les conditions où ils paient pour leur soin de santé (ils paient vraisemblablement plus cher d’assurance s’ils sont obèses.. j’ose croire) ne prennent pas les bonnes décisions d’un strict point de vu de santé.
Vous ne voulez pas payer pour les erreurs des autres, soit. Un système privé/mixte serait plus efficace, soit. Mais cessez s.v.p. de nous en faire à croire qu’un des buts rechercher est la responsabilisation.
L’ajout de conséquences à nos décisions, ne semble visiblement pas affecter le choix de plusieurs individus.
Responsabilisé l’individus en lui faisant uniquement subir des conséquences désastreuses a ses choix n’est pas optimal, il faut aussi opter pour l’education. Mais bon, ça fait gouvernemaman de vouloir éduquer sa population..
Le système de santé américain n’est pas privé ni libéralisé. C’est un espèce de PPP…
Les beau raisonnement de southpaw…
Au Canada il n’y a pas de « tardeoff » parce qu’ici il n’y a pas de conséquences négatives (le gouvernement paye).
Aux USA, les gens doivent faire un tradeoff car c’est eux qui payent: ils ont à chosir entre faire des sacrifice côté bouffe et être assurer ou ne pas faire de sacrifice et tout payer de leur poche.
Capiche ?
Un système privé responsabilise OBLIGATOIREMENT les gens car ils seront responsables de leur décision: ce sont eux et personne d’autre qui devra payer s’ils décident de faire des largesses (une personne peut déterminer que le bénéfice d’une largesse est supérieur à son coût).
La responsabilisation ne veut pas dire de vivre comme un saint.
Ça veut juste dire d’être imputable de nos choix de vie.
La gaugauche part de loin si elle n’est même pas capable de comprendre c’est quoi la responsabilisation.
La personne au Canada qui se nourrit mal vit tout autant sinon plus de conséquences désastreuses qu’aux États-Unis considérant la piètre qualité des services de santé souvent mentionnée ici. Elle ne fera « pas soigner » et ce, de façon gratuite..
D’autant plus, le système d’assurance est un système qui créer de la déresponsabilisation. Si les gens par exemple savaient qu’ils auraient de fortes chances d’avoir a payer 300 000$ un jour ou l’autre du a leurs habitudes de vie il serait plus enclin a faire attention. Mais en leur vendant une assurance à 6000$ par années, comparer a celle a peut être 5000$ pour celui qui a des habitudes saines, ça n’est pas un très grand incitatif.
@iEatGLass
Si té grateux pi que tu te payes une assurence cheep, c’est un incitation à la responsabilisation.
Si ta peur que tes primes augmentent aussi.
Il y a trois certitudes ici bas.
-La mort
-Les impôts
-Tom
Laquelle m’irrite le plus?
Difficile a dire.
Mais puisqu’il y a plus d’obèses et d’accidents aux USA, ça veut dire que le concept de responsabilité si cher au Libertarien ne marche pas…
Capiche?
Et admettons que tu as un proche, Père, Mère, Frère ou Soeur qui est pas responsable et qui se retrouve dans le trouble, cote santé, tu vas faire quoi? Le laisser crever sur le trottoir?
@southpaw
Jais dit ma position sur le sujet.
Bref, tu vas les laisser crever… y’avaient juste à être responsables!!!
Je suis pour un système de santé mixte. Cependant, coté responsabilité, le système privé à un nette aventage mais bon les américains sont gros pareil même si leurs système est moin publique que le notre.
Bon sang…
Rendu là je commence vraiment à douté de tes faculté mentale. Peut-être que tu n’est pas capable de traduire le terme « tradeoff »…
Tom a pourtant bien expliquer ce concept très simple: La responsabilisation ne veut pas dire de vivre comme un saint. Ça veut juste dire d’être imputable de nos choix de vie.
Tradeoff = analyse coût/bénéfice.
Analyse coût bénéfice d’une poutine dans un système de santé privé:
Point négatif: Manger de la poutine c’est mauvais pour la santé et je vais devoir payer pour mes soins.
Point positif: la poutine c’est bon.
Tradoff: pour moi le plaisir de manger la poutine est supérieur à la probabilité de faire du cholestérol.
Analyse coût bénéfice d’une poutine dans un système de santé public:
Point négatif: Manger de la poutine c’est mauvais pour la santé mais je m’en fou, c’est pas moi qui paye.
Point positif: la poutine c’est bon.
Et devine quoi ? Dans un système de santé privé les gens vont toujours se faire frapper en traversant la rue parce que même les gens vont avoir à payer pour leur hospitalisation en cas d’accident, l’analyse coût/bénéfice fait en sorte que traversé la rue restera attrayant.
Est-ce que tu comprends maintenant ?
Est-ce que tu que le comité sectorielle du département des ressource humaine à besoin de te faire un dessin pour que tu saisisses ce concept hyper-simple ?
Dans votre vision, le seul incitatif des gens par rapport à leur santé, c’est les coûts monétaires que ça peut engendrer.
Vous excluez totalement du « tradeoff » les désagréments de l’embonpoint par exemple.
Comment se fait-il qu’au Canada, des gens décident de faire attention à leur santé, et ce, malgré que le système de santé soit « gratuit »?
Personne n’a dit que c’était exclus.
Mais quand l’état paye le pontage, disons que le désagrément est moins direct que si c’est toi qui paye !
Et si aux USA l’état payaient, la situation serait encore pire.
Et si au Canada les gens payaient, la situation serait encore mieux.
Quand on se compare…
Une étude du système de santé américain fait par l’Université Harvard. Conclusion: la moité des faillites du royaume du trademark est causée par des gens incapables de payer leurs traitements médicaux. Mais l’étude va plus loin, le fait d’être assuré ne protège pas de la faillite. En fait, la majorité des gens qui se déclarent insolvables était assurée. Il faut savoir que les assurances sont de plus en plus chères et couvrent de moins en moins de traitements.
« Too often, private health insurance is an umbrella that melts in the rain » de dire le Dr. Himmelstein, co-auteur de l’étude.
Sources: New York Times & Chicago Sun Time
Si tu aurais fait l’effort minimum de lire la source que j’ai mis dans le billet tu aurais vu la chose suivante:
Americans are also more likely to be obese, leading to heart disease and other medical problems. Among Americans, 31 percent of men and 33 percent of women have a body mass index of at least 30, a definition of obesity, versus 17 percent of men and 19 percent of women in Canada. Japan, which has the longest life expectancy among major nations, has obesity rates of about 3 percent.
The causes of American obesity are not fully understood, but they involve lifestyle choices we make every day, as well as our system of food delivery. Research by the Harvard economists David Cutler, Ed Glaeser and Jesse Shapiro concludes that America’s growing obesity problem is largely attributable to our economy’s ability to supply high-calorie foods cheaply. Lower prices increase food consumption, sometimes beyond the point of optimal health.
J’ai déjà fait un billet sur la fausseté de cette étude.
Medical Bankruptcies: A Data-Check
President Obama’s kicking off his health care reform today in the worst possible way: with a mischaracterization of data.
“The cost of health care now causes a bankruptcy in America every thirty seconds, » Obama said at the opening of his White House forum on health care reform. The problem: That claim, based on a 2001 survey, is simply unsupportable.
The figure comes from a 2005 Harvard University study saying that 54 percent of bankruptcies in 2001 were caused by health expenses. We reviewed it internally and knocked it down at the time; an academic reviewer did the same in 2006. Recalculating Harvard’s own data, he came up with a far lower figure – 17 percent.
A more recent study by another group, approaching it another way, indicates that in 2007 about eight-tenths of one percent of Americans lived in families that filed for bankruptcy as a result of medical costs. That rings a little less loudly than “one every 30 seconds.”
The extrapolation of Harvard’s data to “a bankruptcy every 30 seconds,” which Obama also mentioned in his address to a joint session of Congress last month, comes, per the White House, from a 2005 Washington Post op-ed by Prof. Elizabeth Warren, a co-author of the Harvard paper. Fact-check.org has noted that even using Harvard’s numbers, it’s more like a bankruptcy every minute; indeed if you add up all bankrputcies in a year you barely get one every 30 seconds. (I’ve e-mailed Warren for comment.) But more to the point is that the Harvard data are clearly inflated, or at best, mischaracterized.
Himmelstein tells me that the reason for the difference is a change in federal law that sharply reduced the number of bankruptcies. In 2005, the year he and Warren wrote their op-ed, there were just over 2 million bankruptcies. Data out just today say that in 2008 there were 1.1 million (up sharply, by the way, over 2007). So this error in the White House claim stems simply from the fact that it’s using out-of-date information. The next question is whether the estimate of “medical bankruptcies” is reliable in the first place.
A good part of the problem is definitional. The Harvard report claims to measure the extent to which medical costs are “the cause” of bankruptcies. In reality its survey asked if these costs were “a reason” – potentially one of many – for such bankruptcies.
Beyond those who gave medical costs as “a reason,” the Harvard researchers chose to add in any bankruptcy filers who had at least $1,000 in unreimbursed medical expenses in the previous two years. Given deductibles and copays, that’s a heck of a lot of people.
Moreover, Harvard’s definition of “medical” expenses includes situations that aren’t necessarily medical in common parlance, e.g., a gambling problem, or the death of a family member. If your main wage-earning spouse gets hit by a bus and dies, and you have to file, that’s included as a “medical bankruptcy.”
When I asked the lead author, Dr. David Himmelstein, about his definitions of medical bankruptcy back in 2005, he said, “It’s a judgment call,” and added that any death, for example, “to our mind is a medical event.”
A last problem was sampling: The Harvard researchers surveyed bankruptcy filers in five federal court districts accounting for 14 percent of bankruptcies nationally; projecting this to the other 86 percent is sketchy. Said Himmelstein: “Obviously the extrapolation is rough.”
Of such rough extrapolations are presidential pronouncements made.
Himmelstein today told me that he’s comfortable saying medical costs, as his study defines them, are “a cause” but not “the cause” of bankruptcies. In his view, “It’s accurate to say medical problems cause half of bankruptcies. There may be other conditions as well but medical problems were causal. I wouldn’t be comfortable with it as the ‘only’ cause.”
Worth keeping in mind is the fact that no one (apparently) disagrees about the pain medical expenses can cause to uninsured Americans. Prof. David Dranove of Northwestern University, who wrote the 2006 paper picking apart the Harvard study, noted that he has a new paper in the works showing that uninsured people who have a severe illness lose a substantial portion of their retirement assets.
« There is general agreement: Being uninsured and getting sick in the United States is really a bad thing,” Dranove told me today. “But for academics the validity of the research matters.” In the Harvard paper, he says, « The methods were so poor they gave cover to those who want to dismiss the problems of the uninsured – they can say the only paper out there uses a suspect method. »
There’s been a fair amount of academic back-biting about this issue. On one hand Himmelstein, the lead Harvard researcher, is a co-founder of Physicians for a National Health Program, created to promote a government-run single-payer health system. On the other, Dranove took $5,000 from the nation’s health insurance industry for his report, which he says he now regrets for the criticism of his impartiality it’s engendered. Both papers were peer-reviewed.
“It stinks to be uninsured. I don’t want to be quoted saying anything else,” Dranove says. “But there are correct studies, and incorrect studies. For academics, the validity of the research methods matters.”
It should for the rest of us, too.
http://blogs.abcnews.com/thenumbers/2009/03/medical-bankrup.html
Oui.
Les Canadiens qui ont acces a un systeme de sante universel sont plus responsables que les Americains qui ont acces a un systeme de sante prive.
Bref, les beaux discours sur la reposabilisation, ca ne reste que ca, des beaux discours. Car c’est un echec lamentable. Les statistiques le prouvent.
Votre discours David semble étrangement à un plaidoyer pour le gouvernemaman.
Les gens consomment trop de malbouffe parce que celle-ci n’est pas cher.
Faudrait-il la taxer?
À moins bien entendu, et c’est du domaine du possible, que les ingrédients sont subventionnés a l’heure actuelle, ce qui expliquerait son bas prix.
Mais encore.
Belle preuve de comment les gens ne sont apte a prendre les meilleures décisions pour eux. S’agit de mettre de la cochonnerie pas cher, ils accourent en acheter et en surconsommer.
être libre c’est aussi avoir la liberté de prendre les décisions que l’on veut et de se tromper!
Et bien sûr le iEatGLass lui a les connaissance pour me dire comment vivre.
iEatGLass fait partie de cette petite élite d’être supérieur qui réclame le droit de me réduire à l’esclavage pour mon bien…
Wow…
Ton imagination ou tes difficultés de lecture me laisse sans voie…
Je vais t’expliquer un truc.
Beaucoup de gens pensent que le capitalisme c’est uniquement un système de gains par conséquent il pense que si une personne fait faillite, c’est un signe que le capitalisme ne fonctionne pas.
Mais les faillites sont nécessaire dans un système capitaliste. Le capitalisme c’est un système de gains et de pertes. Un système de récompenses et de sanctions.
Les gens sont libre de prendre les décision de leur choix. Ceux qui ont pris la bonne décision se démarque, les autres doivent recommencer.
C’est idem ici.
Les gens sont libre de prendre les décisions de leur choix.
Les gens devraient être libre de manger des grans trans, de fumer, de boire, de se droguer, de faire du ski sans casque ou de sauter en parachute du moment qu’ils assument les conséquences de leur choix.
Être libre ne signifie pas qu’on fera toujours le bon choix. Mais avoir la possibilité de faire un mauvais choix c’est un système de loin supérieur à celui que tu propose avec une élite qui impose sa volonté et un comportement aux gens.
Le sucre de mais (fructose) est subventionné par l’État. Ce faux sucre trompe l’estomac donc ça en prend plus pour être rassasié contrairement au sucre de canne. On en retrouve PARTOUT dans les aliments préparés.
A recent study by researchers at Louisiana State University’s School of Public Health found that liquid calories are a bigger problem than food when it comes to weight gain, and that sugar-sweetened beverages are the main culprit. What’s worse, Americans consume an average of 20 teaspoons of added sugars a day, about twice as much as recommended, according to government reports.
http://today.msnbc.msn.com/id/30195885/
PS. La FDA a approuvé la stevia comme additif mais uniquement pour Coke et Pepsi