Quand la gauche manifeste contre la brutalité policière, il y a de la violence.
Quand la gauche manifeste contre le G-20, il y a de la violence.
Quand la gauche manifeste contre l'OTAN, il y a de la violence.
Quand la gauche manifeste contre le patronat, il y a de la violence.
Quand la gauche manifeste contre les OGM, il y a de la violence.
Mercredi aux États-Unis, il y a eu plusieurs centaines de milliers de personnes qui ont manifesté contre l'interventionnisme étatique. Aucun geste violent n'a été posé par les manifestants.
Et dire que certains accusent la droite d'être un regroupement de dangereux extrémistes…
Dans leur cas on pourrait dire: La violence, c’est un manque d’arguments.
Ha bon…
Moi qui croyait que la position libertarienne n’était ni à droite, ni à gauche.
Ceux qui veulent moins d’État ne sont pas à droite?
La droite pacifique… laissez-moi rire.
Regardez en Colombie, où les représentants syndicaux se font assasiner. Regardez en France, où la violence contre les immigrants règne dans les banlieues. Regardez aux États-Unis où le KKK et leurs acolytes se réveillent… et vous aurez un beau portrait de la droite internationale : extrémiste, violente, réactionnaire.
La révolte (violente) du peuple est la base même des mouvements marxistes.
Ces révoltes sont justifiées par des décennies et des siècle d’exploitation. Les révoltes de droites sont, quant à elles, motivées par la xénophobie et la haine.
bien sûr. Y a toujorus de la violence justifiable… si c’est pour contrer le méchant capitalisme, n,est-ce pas?
tu confonds imbécilité et libertarisme. Les libertaire « purs » ne veulent absolument aucune intervention du gouvernement dans la vie des gens.
En France, le GOUVERNEMENT a organisé les cités
Aux États-Unis, plusieurs états ont explicitement discriminé les noirs
Quant à la Colombie, si la cocaine était légale, une bonne partie de la violence serait éradiquée
Compte tenu de la propension de la droite à vouloir augmenter les tentacules de l’État dans plusieurs domaines au cours des derniers, je répondrais à ta question de la façon suivante :
» Je ne saurais trop dire «
Voici ton syllogisme: Le KKK vote à droite, le KKK est raciste, donc la droite est raciste. Tu fais une fausse déduction à partir de ta majeure en inversant KKK et droite.
Ce n’est pas parce que quelques racistes vote à droite que la droite est raciste.
Ta conclusion est aussi ridicule que celle-ci: Les poules n’ont pas de dents, mon père n’a pas de dents, donc mon père est une poule.
Correction: Compte tenu de la propension de la « supposée » droite à vouloir augmenter les tentacules de l’État…
Their is such a thing as a false right. La nomination d’une chose ne la constitue pas telle. La droite est clairement définie, si ceux qui se disent à droite ne correspondent plus à cette définition, alors la « droite » n’est plus à droite.
La gauche et la droite ne suffisent plus à identifier les courants idéologiques, il faut ajouter une seconde dimension. Plusieurs testes politiques comme le Political compass(je ne sais pa ce qu’il vaut) ou autre du même genre le font. Certain droitiste comme les membres du KKK sont autoritaires. Si certain classent les libertariens à droite à cause de leurs positions sur les libertés économiques, ils ne sont pas comparable au kkk qui prone l’oppression raciale. Les gauchiste se cache derrière un masque non autoritaire, mais en pratique, ils sont souvant répressif voir sanguinaire lorsqu’ils sont au pouvoir.
Il faut faire attention avec les syllogismes, surtout celui qu’a fait l’Armée du Che au bérêt trop serré. C’est une arme philosophique redoutable qui est souvent utilisée pour masquer une incapacité d’argumenter correctement. C’est l’équivalent de l’épithète, dans le fond. Il vaut mieux ne pas trop l’utiliser.
@ DG.
Ça fait longtemps que je me pose la question: le comic guy qui sert de «logo» à ton blogue, est-ce ta caricature?
Libertarien: Économiquement à droite, socialement à gauche.
Obama: Économiquement à gauche, socialement à gauche
Bush: Économiquement à gauche, socialement à droite.
Reagan: Économiquement à droite, socialement à doite.
Mon opinion: Obama = le pire des deux mondes ; Reagan = le meilleur des deux mondes.
si vous voulez voir une preuve de l’imbécilité de la gauche (extrême), observez bien ce que Chavez a à dire
http://www.ctv.ca/servlet/ArticleNews/story/CTVNews/20090417/harper_summit_090417/20090417?hub=Canada
AU moins, Reagan était pragmatique. QUand la bitch de la Californie (Anita bryant) menait sa campagne de haine contre les gays, Reagan s’est prononcé contre ;le congédiement des profs homos en californie
Il me semble, sauf votre respect, que la distinction entre la politique économique et la politique sociale permet encore d’utiliser les étiquettes droite et gauche.
Statistiquement parlant, y’a plus de chance d’avoir des dérapages avec une groupe qui manifeste 10 fois par année qu’avec un groupe qui manifeste 1 fois par année.
En fait, le pire de tous les mondes était Bush.
Économiquement, les libertariens sont à droite c’est sure.
La violence c’est dans le langage que ça commence, dénonce ton ennemi respectueusement si tu veux qu’il te respecte, autrement tu t’abaisse à ce que tu dénonce…
Il y a de tels droitistes qui font fi des droits fondamentaux, comme le KKK mentionné ci-dessus. Mais on peut penser que l’homosexualité est une déviance sans être homophobes et sans vouloir priver les homosexuels de leurs droits fondamentaux.
Le respect de la constitution doit passer avant ses convictions personnelles. En cela je salue Reagan et plus récemment Palin.
Il existe les libertaires qui sont à gauche économiquement et qui sont anti-capitaliste. Je crois que c’est un manque de raisonnement de leurs part car les libertés individuelles vont de pair avec le libre marché il y a aussi les gauchistes qui aime bien rééduquer ceux qui ne pense pas comme eux ou les purger comme Staline a fait. À droite, il y a tout les courant de droite que nous connaissont qui ne peuvent pas être classé dans le même groupe dans toute les situations.
@Armee Revolutionnaire
Qui a tuer plus de gens depuis le 19ième sciècle, les droitismes ou les gauchistes?
Les étatistes totalitaires de toutes couleurs (rouge, brun, noir).
Il manque encore les totalitaires verts au pouvoir.
Oui c’est vrai, les verts n’ont pas encore faient la preuve qu’ils sont sanguinaires.
Tu n’as pas entendu parler de l’armée d’ours polaires qu’ils sont en train d’entrainer dans le nord ??? 😛
Ah ben je préfère cette violence là à celle pratiquée par les courants gauchistes !!!!!
Pourquoi ? Parce que cette violence existe bien, certes, mais elle est incroyablement exagérée. Faut arrêter un peu avec ces banlieues, ce sotn des quartiers presque normaux, sauf qu’il y a une toute petite minorité qui fout le bordel et que la police réagit (et encore).
Vous êtes fatigant avec votre angélisme primaire pour ensuite justifier vos actes violents.
À Strasbourg (où j’habite), lors du sommet de l’OTAN c’était ridicule. Des gens dénoncent les violences de l’État et font preuve de la plus basse sauvagerie envers des manifestants pacifistes, des policiers et des bâtiments. C’est quand même magnifique de critiquer la violence des autres et de justifier si simplement la sienne. Arrête de te leurrer Armée Révolutionnaire, TA violence ne vaut pas mieux que celle des autres.
meuh non! C’est la violence pour mettre fin à toute les violence (dixit un communiste lors d’une manif anti-guerre).
NO WAR BUT CLASS WAR!!!
Violence attisé par des nationaliste comme LePen. Des nationalistes qui sont aussi des anti-capitaliste.
« Seul le Front National rappelle depuis des années la nécessité d’un Etat à la fois fort, régulateur et arbitre face à la spéculation financière internationale et aux fonds de pension prédateurs. »
–LePen
Ce n’est pas la droite ça, c’est de l’Étatisme.
Moi, je pense que la violence n’est JAMAIS justifiable parce qu’elle brime toujours la liberté d’une autre personne.
D’accord avec toi! En Corée du Nord ou à Cuba -2 paradis socialistes – il n’y a aucune violence. D’ailleurs en Russie à l’époque de Lénine et Staline sous la gouverne des communistes c’était le calme plat. Pareil sous le règne des tontons Mao en Chine, Pol Pot au Cambodge ou oncle Ho au Viet Nam. Pas une soupçon de violence!
Euh… j’espère que tu fais de l’ironie ici…
D’après toi? De plus accroche peu ou prou de « nationalisme » au « socialisme » et tu es certain de voir soudre un fleuve de sang. On l’oublie souvent mais même les nazis étaient des socialistes.
En Allemagne les Communistes et les Nazis étaient en concurence directe.Deux régimes socialistes et nationalistes qui se sont avérés l’un et l’autre tout aussi meurtriers!
Ce qui peut porter à confusion avec un tableau du genre de celui de Political Compass, c’est la nature même de cette représentation, soit un tableau, avec deux dimensions. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le tableau, plus de détails ici.
Pour la première dimension qui représente le côté économique, dans le sens horizontal, la distinction est facile à faire. Du côté gauche, le collectivisme sous-tend le système économique avec des thèmes comme la répartition des richesses sous le contrôle de l’État. À droite, on bénéficie de plus de latitude économique sur le plan individuel, tant en liberté qu’en responsabilité, dans le cadre de valeurs comme le libre marché, et le rôle de l’État est limité.
En ce qui concerne la deuxième dimension, indiquant l’échelle sociale, la droite (la droite géométrique ici, pas la droite idéologique!) est à la verticale. Au sens strict, il faudrait plutôt évoquer les notions de « bas » et de « haut », plutôt que de gauche et de droite! En bas, c’est l’individu qui prime; la société résulte ici d’une cohabitation des individus et des interactions entre eux. Dans le haut, l’accent est mis sur la collectivité et les prérogatives de l’État; les gens sont identifiés par le biais de la société dont ils font partie plutôt que par leur individualité.
Si on se fie à la définition la plus répandue de la droite – où on l’associe avec une certaine forme d’autoritarisme, exercé avec le concours de l’État –, la droite sera située dans le haut de l’échelle sociale. La droite selon cette définition est essentiellement collectiviste.
Cependant, si on applique à l’échelle sociale la même définition de la droite que celle pour l’aspect économique, impliquant moins d’État, la droite sera alors située plutôt dans le bas du tableau puisqu’on y accordera plus d’importance à l’individu qu’à la collectivité. Personnellement, sur l’échelle sociale, c’est cette définition de la droite que je préfère.
Certains ont dénoncé ici avec raison l’association qu’on a trop facilement tendance à faire dans les discours largement diffusés entre la droite et le racisme. Comme la rhétorique usuelle bien enracinée fait machinalement le lien entre la droite et l’autoritarisme – donc dans le haut de l’échelle sociale –, cela peut s’expliquer. Si on voit toutefois la droite dans la partie du bas, parce qu’on accorde plus d’importance aux valeurs individuelles que celles collectives, il est beaucoup plus difficile de prétendre qu’elle peut aller de pair avec le racisme.
Enfin, peu importe les considérations sémantiques dont on voudrait prendre en compte pour situer la droite, il demeure une constante : plus on attache d’importance à la collectivité et à l’État, au détriment de l’individu, plus on a de risques d’être en présence de préjugés raciaux et xénophobes.
L’optique collectiviste peut potentiellement prêter à ce genre de débordement. Comme Ayn Rand l’a mentionné dans une citation d’elle ayant figuré dans le billet Êtes vous terroriste?, le racisme est la forme la plus basse et la plus brutalement primitive de collectivisme; ce avec quoi je suis tout à fait d’accord. Le racisme c’est le rejet basé sur critères ethniques d’une autre personne simplement parce que celle-ci appartient à un groupe différent de celui auquel on s’identifie. Le raciste accorde une importance démesurée à la collectivité dont il fait partie pour se justifier de mépriser les autres.
Merci Psalterion pour les nuances pertinentes.