![]() |
– |
Canada’s left-wing, unconservative, compromise-ridden Conservatives Andrew Coyne, Editor of Maclean’s magazine and self-described socialist: In the United States, in Britain, in Australia and in other countries around the world, there’s a debate going on about what is the appropriate response to the current recession. And there is on one side those who say, in the good old-fashioned Keynesian religion that suddenly popped up again, that we need to run large fiscal deficits. And there are those on the other side who say: This is probably not terribly advisable, it won’t work, it’s going to cause a lot of problems. Only in Canada is there not any debate on this. What you get instead is all sorts of condescending lectures about the necessity of compromise in politics, you know, half a loaf is better than no loaf. On policy after policy, the Conservatives have abandoned their convictions, they have discarded their principles, they have at times broken their promises, and even in one infamous case, violated their own law. So it’s an odd definition of compromise that suggests not just half a loaf is better than no loaf, but that no loaf is acceptable. My complaint is not just that the Conservatives have abandoned conservatism themselves — which is annoying to me mostly because I believe there should be a conservative alternative, even if I don’t necessarily subscribe to it. But they’ve closed off the possibility of anyone else applying it either. They haven’t moved the middle to them, they haven’t even moved to the middle. All they’ve done is shift the spectrum further and further to the left. The right wing of Canadian politics is now defined by $35-billion deficits, unilateral withdrawals from Afghanistan, the nationhood resolution for Quebec — go down the list. And so whole sections of public policy — privatization, tax cuts, you name it — have been ruled off-limits, because they’re now seen as just unimaginably extreme: Even the Tories wouldn’t do it. |
Les conservateurs préfèrent le pouvoir à la bonne idéologie.
David…
Quand aux déficits d’une province, d’un État, etc…
Je crois que je serais d’accord avec des mesures interventionnistes (mais PAS des bailouts…), dans la mesure ou l’État en question paierait sa dette, ce qui n’arrive jamais. Tout le monde va vouloir mettre sa grosse patte sur la bébitte qu’on apelle « surplus budgétaire » et il n’en restera pas pour le service de la dette. C’est exactemnt ce qui s’est passé au Québec depuis le déficit zéro (1997?).
Bref, le keyneysianisme n’est pas nécessairement mauvais. Il est juste utopique.
Andrew Coyne, la seul chose qu’il cherche à faire c’est de faire perdre des votes au partie Conservateur. Si les libéraux auraient tenu les mêmes politique je suis près à gager qu’il n’aurait pas ouvert la bouche.
Reste que le message est vrai.
Il y aurait un débat s’il y avait de l’espoir.
La seule chance de débarquer les conservateurs, c’est de voter pour pire, c’est-à-dire les libéraux. Et, comme tous le savent, ils n’osent même pas voter contre Harper. On l’a vu au dernier budget…
Si on ne respecte pas le principe de remboursement peut-on encore parler de Keynésianisme? Keynes n’a jamais prescrit d’emprunter sans jamais rembourser. Doit-on considérer la diminution relative du poids de la dette en rapport avec le PIB? Objectivement, oui je le pense.
Quand ton relevé de carte de crédit va arriver, essayes de ne pas payer en disant à ton créditeur que ce n’est pas grave parce que le poids de ta dette par rapport à ton revenu à baisser.
Je doute que ça fonctionne.
Le ratio dette/pib ne correspond pas nécessairement à un remboursement et ce qui intéresse le créancier c’est de se faire rembourser, pas de savoir que le poids de la dette diminue.
Pour le reste, te texte est très juste. Harper est en train de tuer la droite au Canada.
AUx États-Unis, un gouvernement ne peut pas tomber pour une question de budget (au fédéral, du moins).
à moins que je ne me trompe, le RU et l’Australie ont des gouvernements majoritaires…
Que vous le vouliez ou non, les gouvernements minoritaires DOIVENT faire des compromis. Comme la politique est faite par des politiciens, ces derniers ont une job è défendre.
consolez-vous : imaginez si les Libéraux avec le NPD, et le BLOQUE en arrière-plan, avaient pris le pouvoir…
Si j’ai toujours payé mes intérêts pourquoi refuserait-il? Je suis convaincu qu’il serait enchanté de me laisser le capital de la dette au complet. Le créditeur veut mes « intérêts » et les siens car ceux-çi se recoupent.
ça joue énormément contre toi dans ton dossier de crédit. J’ai un beau-frère qui a fiat la même chose; il a fait faillite au moins 2 fois, et ça me surprendrait pas qu’il le refasse
Je ne connais pas tous les aboutissants, mais quel est le problème avec la reconnaissance du Québec comme nation?
Janus on parle de l’État. Ses emprunts sont par le fait même garantie. Je sais que vous me niaisez mais vous devriez laisser votre beau-frère en dehors des propos que vous tenez sur les blogues. Il n’a pas à subir votre diffamation au cas où.
Vous me testez? La loi canadienne sur l’insolvabilité est très restrictive en matière de troisième faillite et plus.
Vu de même, le Canada est devenu comme la France.
Tu sais qu’un jour où l’autre le « bill » il faudra bien le payer parce que payer de l’intérêt c’est jeter son argent par les fenêtres.
Aucun contribuable ne pourrait gérer ses finances personnelles avec le même modèle que le gouvernement.
jusqu’à un certain point.
La comparaison avec mon beau-frère tient toujours. Bien qu’un État ne puisse pas déclarer faillite, il peut voir ses obligations décotées. Lors de mon cours de monnaie et banque en 2003, on a vu que les obligations de la Californie sont dites « de pacotille » (junk bond), soit une cote de D. L’État est tellement endetté que les autorités (moody’s?) doute de la capacité de remboursement du gouvernator.
En 1995, le Canada a failli voir ses obligations décotées aussi (dette, situation politique). Si, par malheur, le Québec se sépare un jour, je prédis une décote de ses obligations fulgurante
La décote. Les gouvernements se financent en émettant des obligations d’épargnes. Il va juste avoir plus de gens pour en acheter si les intérêts offerts sont plus élevés et si le placement est toujours aussi garanti à 100%. Je vois que vous ne me niaiser pas. Je prends donc la peine de vous répondre. Et vous n’avez pas de beau-frère. Vous êtes un petit provocateur sans envergure. Cesser votre petit jeu et respectez les gens qui participent et qui prennent le temps de vous répondent.
Se financer en imprimant de l’argent permet en effet de réduire le poids d’une dette (parce que l’argent perd de sa valeur).
Mais ce faisant, on génère de l’inflation.
L’inflation est une taxation caché utilisé par les gouvernement.
En passant, on a vu récemment que les USA et le UK ont été incapables de vendre toute les obligations qu’ils avaient émis.
ma foi, respire un peu! tu te prends trop au sérieux
justement. avec une décote, moody’s (?) pense que les obligations ont un risque de défaut. En garantissant un plus grand intérêt, l’État s’endette encore plus
En fait on dit c’est parce que les etats on toujours le pouvoir de taxer encore un peut plus que les placements sont toujours garanti.
Les agences de cotation ne tiennent pas compte du pouvoir de taxation, de la marge de manœuvre restante des gouvernements. La Californie n’est pas dans la merde du tout si on tient compte de son pouvoir de taxation vertigineux.
Monsieur Gagnon! Nous sommes sur un blogue de droite. J’exige donc d’être vouvoyé par Janus X même si je suis anonyme. Il s’adresse à moi comme si nous avions déjà travaillé ensemble pour Vincent Lacroix. Un esprit systématique comme le vôtre est capable de « décrasser » son blogue.
wtf?
Galabriel sort de ce corps!
Tu risques d’attendre longtemps.