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À tous ceux qui tentent de profiter de la crise pour diaboliser les « businessmen » et faire l’apologie de l’étatisme, je vous offre cette citation d’Ayn Rand: « A businessman’s success depends on his intelligence, his knowledge, his productive ability, his economic judgment—and on the voluntary agreement of all those he deals with: his customers, his suppliers, his employees, his creditors or investors. A bureaucrat’s success depends on his political pull. A businessman cannot force you to buy his product; if he makes a mistake, he suffers the consequences; if he fails, he takes the loss. A bureaucrat forces you to obey his decisions, whether you agree with him or not—and the more advanced the stage of a country’s statism, the wider and more discretionary the powers wielded by a bureaucrat. If he makes a mistake, you suffer the consequences; if he fails, he passes the loss on to you, in the form of heavier taxes. » |
Ça me fait toujours rire quand un gogauche accuse une entreprise (une station d’essence par exemple) d’être une voleuse parce que le prix du produit serait trop élevé à son goût.
Eh bien, je réponds souvent, tu n’as qu’à ne pas l’acheter, tu n’es pas obligé.
Par ailleurs, c’est différent quand il s’agit de taxes.
Il ne faut tout de même pas se mettre la tête dans le sable. Les oligopoles pullulent notre économie et idolâtrer cela est des plus ridicule.
Il n’y a pas que le businessman qui souffre de ses mauvais choix, ses employés en souffrent tout autant.
C’est normal. C’était leur décision de travailleur à cet endroit.
Sous prétexte qu’il faut sauver des emplois, il faudrait que l’État garde en vie des entreprises qui fabrique un produit qui intéresse personne ?
C’est pas ça que j’ai dit. Je n’ai fait qu’une observation véridique, sans sous-entendu.
Et j’ai souligné que cette observation nous amenait nulle part.
Les seuls monopole qu’ils faut craindre sont ceux de l’État. Les autres sont sans réel conséquence.
http://www.econtalk.org/archives/2007/10/boudreaux_on_ma.html
L’épicier de mon patelin de naissance a le monopole de la vente au détail de nourriture. Il vend plus cher que partout ailleurs aux alentours (autres municipalités de même taille).
Avant, il y avait deux épiceries qui se faisaient concurrence. C’était bon pour les clients car ils pouvaient choisir où acheter leur nourriture en fonction de la qualité et du prix, jusqu’à ce qu’un épicier achète l’autre.
Peux-tu me dire ce qu’il y a de bon à n’avoir qu’une seule épicerie qui vend plus cher, à part peut-être pour l’épicier qui s’en met plus dans les poches?
En espérant que tu ne répondras pas que n’importe qui n’a qu’à ouvrir une épicerie et faire concurrence, ça serait vraiment simpliste et ne pas tenir compte du contexte du petit village.
Dans mon commentaire #6 j’ai justement pris le temps de donner un lien où l’on explique pourquoi ce genre d’argument est faux…
Ces arguments sont généralement formulés par des intellectuels et s’adressent à des intellectuels.
Quand on parle à des gens d’affaires, et qu’ils nous parlent franchement, il est clair que la business est un jeu de stratégie assez semblable à la politique et à la bureaucratie, la différence du degré de coercition étant plus formelle que substantielle. C’est la différence entre la théorie et la pratique.
C’est pourquoi les libertariens ont beau formuler tous les arguments théoriques du monde, les gens du peuple « terre à terre » n’y croient tout simplement pas. Ils savent que le pouvoir est du pouvoir, qu’il soit celui des empires financiers ou celui des bureaucrates étatiques ne change rien à leur situation ultimement soumise dans la hiérarchie sociale.
Ce n’est pas une raison pour s’abaisser au plus petit dénominateur commun.
Être « terre à terre » c’est non pas propager des idées reçues (qui sont fausses) mais s’est osé dire la vérité au lieu de faire le démagogue et le populiste.
Je ne sais pas qui accuse les hommes d’affaires d’être responsable de la crise, mais tout cela est bien secondaire comparé aux gouvernements de droite qui étatisent l’économie à un rythme fou…
Les gouvernement qui étatisent l’économie ne sont pas de droite.
Ils peuvent se dire de droite, mais ils ne le sont pas.
Tout comme un souverainiste ne peut pas faire campagne pour le fédéralisme tout en restant souverainiste.
C’est assez ironique effectivement.
Il y a malheureusement plus beaucoup d’exemple de droite dans le monde. C’est flagrant depuis cette crise.
Effectivement et je dirais même plus, un droitiste ne peut qu’être souverainiste. Un fédéraliste qui est est prêt à déshabiller Jean pour habiller Paul… est un fédéraliste gauchiste.
C’est malheureusement tout ce qui reste au canada de la gauche!!!
L’humain a malheureusement oublié comment se débrouiller à travers notre évolution. On attend maintenant l’intervention du gouvernemaman pour régler nos problèmes. Ce que ce même gouvernemaman fait tel que nous le souhaitons.
Coupons les vivres et les gens vont réapprendre à se débrouiller.
Est-ce que le bon sens que nous a doté l’évolution est assez fort pour balancer le coût social d’une coupure!!!
Je veux dire, depuis qu’on sauf les imbéciles de leurs sorts sans arrêt, va falloir accepter d’en sacrifier une méchante gang revenir à un équilibre.
J’ai mon petit doigt qui me dit qu’on est passé le point de non retour depuis belle lurette, qu’en pensez-vous!?
On est loin, je suis d’accord. C’est évident que dans la situation actuelle on ne peut pas couper ça du jour au lendemain.
Progressivement, par contre, c’est très faisable. Si on commençait par imposer une durée maximum de BS qu’on peut avoir dans une vie pour les gens aptent au travail ou bien commencer à privatiser certaines parties du système de santé (malgré qu’on commence déjà à le faire, lentement…) Ça serait un bon début! Il ne faut pas s’empêcher de changer quelque chose sous prétexte qu’il est trop tard. Il n’est jamais trop tard. Mieux vaut tard que jamais…
Il n’y avait pas de droite AVANT la crise.
Si il y avait eu une droite au pouvoir, il n’y aurait pas eu de crise.
Je pense que t’as pas compris ce que Dave voulait t’expliquer.
Tu fais parti des nationalleux incapables de raisonner en dehors des sphères « fédéraliste/souverainiste ».
Les gouvernement qui étatisent l’économie ne sont pas de droite.
Bush, Harper, Sarkosy…
Il n’y a rien de droite chez ces 3 types. Réveilles, ce sont tous des « closet socialist ».
Le pouvoir amène malheureusement les hommes à chercher le contrôle absolument. Faiblesse de l’humanité, hélas!
Je cherche le plus petit état possible… si tu es heureux avec ce qu’on a t’a le droit. Mais pas moi!!!