Le 23 juillet 2007, j'avais écrit un billet intitulé "Deux poids, deux mesures" à propos de la situation au Liban. Je reprends ce billet qui demeure toujours d'actualité en regard de la situation à Gaza:
L'été dernier, les médias se sont déchaînés contre Israël, on a accusé ad nauseam le gouvernement Olmert d'avoir utilisé une force disproportionnée pour combattre le Hezbollah. Des groupes humanitaires, comme Amnesty International, ont même qualifié de "crime de guerre" la destruction d'infrastructures civiles.
Cet été, l'armée libanaise a décidé d'envahir le camp palestinien de Nahr al-Bared avec l'intention de déloger les militants islamistes s'y trouvant. Résultat des courses: le camp de Nahr al-Bared, abritant 40 000 Palestiniens, a été complètement détruit pour venir à bout d'une centaine de militants du Fatah al-Islam.
Mais à la différence de l'été dernier, aucun média n'a déchiré sa chemise et aucun groupe humanitaire n'a endossé le rôle de "pleureuse" pour parler de "crime de guerre".
Morale de l'histoire: si l’on ne peut imputer la souffrance d'une personne à Israël où aux États-Unis, les gens s'en fichent.
Petit détail: ce n’est pas en 2008 mais en 2007. Mais pour le reste tout est parfaitement pertinent!
Mais comme je l’ai déjà dit il ne s’agit que d’une forme d’antisémitisme. L’État « Juif » n’a pas le droit de se défendre et de tuer des « arabes ». C’est un privilège des arabes.
Seuls les arabes et les autre nations ont le droit de tuer qui ils veulent!
L’État « juif » lui n’a qu’un seule droit: courber l’échine et recevoir les coups sans se plaindre! Bref faire le bon juif et se laisser traîner jusuq’à l’abattoir sans résister!
Y a rien de neuf là dedans David. Le Roi Hussein de Jordannie en a massacré entre 4 et 10 milles en 1970 pour se débarasser d’Arafat et jamais qui que ce soit n’a descendu dans la rue pour protester! Et encore aujourd’hui jamais tu ne vas entendre le moindre reproche à ce sujet de la part des « défenseurs de la Palestine ».
Pourquoi à ton avis?
C’est plus que 2 poids et deux mesure: c’est la mauvaise foi absolue!
N’hésitez pas à poster ailleurs.
Dramatique ! Aucune résolution n’a été faite contre le Hamas ?! La Croix-rouge se plaignant de ne pouvoir faire son travail, ne se plaint pas de ce que les ambulances servent plus à transporter des militans du Hamas qu’à transporter des blessés ou encore que les hopitaux soient visités par les hommes du Hamas pour exécuter des soit-disant « collaborateurs »… L’ONU ne réagit pas quand ses écoles servent à abriter des tireurs embusqués et même des stock d’armes, mais se hâte de condamner Israël… L’envoyé de Mahmoud Abbas à l’ONU, Ryad Mansour fustige Israël, qualifiant l’opération israélienne d’« immorale » et de « crime contre l’humanité », mais néglige de dire que le Hamas tire dans les genoux des hommes du fatah :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/kemi%2Bhamas/video/x7uy07_le-hamas-gaza_people
, les mutilant à vie. La video révélant ces choses horribles démontre l’ignominie des gens du Hamas, et c’est cette organisation qui est défendue par la communauté internationale. On voit d’ailleurs que ces hommes du Fatah n’attendent que d’être pris en charge par les hopitaux israéliens, ce dont les journaux ne parlent pas…
(Jérusalem) – Le Professeur Gerald Steinberg, directeur exécutif de NGO Monitor,
a demandé aujourd’hui la démission immédiate des dirigeants de puissantes organisations de défense des droits humains, dont Amnesty International, Human Rights Watch et B’tselem (basé en Israël). Il a souligné leur responsabilité morale directe dans la mort de civils tant palestiniens qu’israéliens, notant en particulier leur silence sur la question centrale des boucliers humains utilisés par le Hamas dans la bande de Gaza.
Les préparatifs du Hamas pour la guerre actuelle, y compris le stockage d’armes dans des quartiers civils et des écoles, sont des violations de principes moraux et juridiques fondamentaux dont il résulte actuellement de nombreux décès tragiques. Bien que ces plans étaient manifestes depuis longtemps, les organisations des droits humains, qui se réclament d’un mandat moral, ont plutôt utilisé leurs ressources considérables pour promouvoir un parti pris politique et deux poids deux mesures. Elles ont choisi de déformer le droit international, accusant faussement Israël d’infliger des « punitions collectives » plutôt que de se concentrer sur les violations fondamentales des droits de l’homme par le Hamas.
par Jean-Pierre Bensimon pour Objectif-info
La résolution n° 1860 adoptée dans la nuit du 8 au 9 janvier par le Conseil de sécurité relève du Chapitre 6 de la charte de l’ONU ; elle n’est donc pas contraignante. C’est pourquoi les Etats-unis se sont contentés de s’abstenir. Elle servira savant tout la propagande de quelques dictatures pour dénoncer
la non obéissance d’Israël aux résolutions de l’ONU. La résolution ne mentionne nulle part la responsabilité du Hamas dans les opérations entamées le 27 décembre dernier. Un beau résultat de la diplomatie française vouée toute entière à paralyser l’entreprise de défense de l’état juif.
Allez lire l’article au complet, très instructif !
http://www.objectif-info.com/index.php?id=1138#
@ Radisson, vous avez raison !
Mais honnêtement , je suis très pessimiste, pour les juifs dans un avenir proche . Mais ne vous y trompez pas, vous êtes les prochain !
Le califat mondiale , ça vous dit quelque chose ?
La riposte de Tsahal, au bout de huit années de tirs de missiles ininterrompus contre les villes du Néguev, a un seul tort, aux yeux des Israéliens : celui d’avoir trop tardé. Et son objectif principal, avant même la cessation des tirs de Qassam, ou l’écrasement du Hamas, est de restaurer la force de dissuasion d’Israël, largement entamée, face à nos ennemis aux ambitions génocidaires de Téhéran, Beyrouth ou Gaza.
Quelle serait la juste proportion qu’il lui faudrait respecter pour qu’Israël mérite la faveur des opinions ? L’armée israélienne devrait-elle ne pas user de sa suprématie technique et se borner à utiliser les mêmes armes que le Hamas, c’est-à-dire la guerre des roquettes imprécises, celle des pierres, voire à son libre gré la stratégie des attentats-suicides, des bombes humaines et du ciblage délibéré des populations civiles ? Ou, mieux, conviendrait-il qu’Israël patiente sagement jusqu’à ce que le Hamas, par la grâce de l’Iran et de la Syrie, « équilibre » sa puissance de feu ?
Il n’est pas disproportionné de vouloir survivre.
André Glucksmann est philosophe.
Pourquoi Israël n’a-t-il pas le droit de se défendre, comme toutes les autres nations ?
Marvin Hier, pour Wall Street Journal, Traduction : Patric Choffrut – Objectif-info.fr
Les protestations qui éclatent de par le monde en réaction à l’incursion terrestre de Gaza par les troupes israéliennes sont tellement haineuses qu’elles me donnent la terrible impression qu’elles n’ont pas grand chose à voir avec la soi-disant disproportion de la réaction d’Israël aux tirs de roquettes
lancées par le Hamas, ou avec les victimes civiles qui en résultent.
J’ai bien peur que la rage à laquelle nous assistons dans les défilés de rue soit bien plus profonde, et éminemment plus dangereuse que l’on voudrait nous faire croire. Il y a un très grand nombre de gens dans le monde qui, même après Auschwitz, n’arrivent tout simplement pas à accepter le principe d’un état
juif disposant de droits qu’ils sont si prêts à reconnaître aux autres nations. Ces personnes exigent d’Israël qu’il supporte des risques qu’ils n’oseraient jamais infliger à n’importe quel autre état-nation – tout simplement parce qu’ils refusent fondamentalement, le droit d’exister à l’état d’Israël.
Il suffit de considérer la vague d’attaques menées cette semaine contre les Juifs et les institutions juives de par le monde : une voiture bélier contre une synagogue en France, une ménorah appartenant au mouvement Chabad et des boutiques tenues par des Juifs souillées de croix gammées en Belgique, une banderole dans un meeting en Autriche exigeant qu’on « nettoie la planète de l’infestation sioniste ! », des manifestants aux Pays Pas martelant « Les
Juifs dans les chambres à gaz », et en Floride des manifestants appelant à ce qu’on « renvoie les Juifs dans les fours ! »
Comment expliquer autrement la double règle que l’on applique au conflit de Gaza, sinon par un ressentiment plus insidieux encore contre l’état d’Israël ?
Il n’est pas surprenant de voir qu’on applique ces deux poids, deux mesures dans l’enceinte de l’ONU. En réaction à l’attaque d’Israël contre le Hamas, le Conseil de Sécurité a immédiatement tenu une séance de nuit pour discuter d’une nième résolution condamnant Israël. Y a-t-il eu des réunions d’urgence
de nuit du Conseil de Sécurité durant les sept mois pendant lesquels le Hamas a lancé 3.000 roquettes sur une population du demi-million de civils innocents qui résident dans le sud d’Israël ? Ne vous inquiétez pas, on n’a pas dépensé au cours de ces derniers sept mois une seule goutte d’huile pour éclairer
la plus petite séance de nuit dans l’édifice de l’ONU pour envisager de rédiger des résolutions condamnant des organisations terroristes comme le Hamas. Mais il suffit de mettre à l’ordre du jour la condamnation d’Israël, et on est assuré de faire salle comble.
Les employés de la Croix Rouge se répandent sur la crise de Gaza, la décrivant comme un cauchemar humanitaire de premier ordre. Où étaient-ils pendant ces sept derniers mois, où des dizaines de milliers de familles israéliennes n’osaient pas dormir, de peur d’une attaque de roquettes ? Où étaient les experts
en traumatisme pour protester contre cette autre crise humanitaire ?
Il y a eu des centaines d’articles et de rapport prétendant qu’Israël bloquait les convois humanitaires au passage de Erez pour les empêcher de parvenir aux Palestiniens enfermés dans Gaza. (En fait, plus de 520 camions transportant de l’aide humanitaire ont transité depuis les points de passage depuis le début de la contre attaque israélienne). Mais combien d’articles de journalistes, de rapports d’ONG, et de comités de l’ONU ont ils mentionné la pratique
du Hamas qui place délibérément des lanceurs de roquette à proximité d’écoles, de mosquées, et de domiciles privés pour utiliser d’innocents Palestiniens comme boucliers humains ?
Beaucoup de gens se demandent pourquoi il y a si peu de victimes israéliennes par rapport au nombre des morts du côté palestinien. C’est tout simplement parce que la priorité d’Israël est la sécurité de ses habitants, et parce qu’on a construit des abris et équipé toutes les villes d’un système de sirènes pour annoncer le danger. Si le Hamas est capable de creuser des tunnels, il est certainement capable de construire des abris. Mais le Hamas préfère utiliser
les femmes et les enfants comme boucliers humains, pendant que ses dirigeants se précipitent aux abris.
Alors maintenant on assiste à de tonitruants appels au cessez-le-feu. C’est si facile à dire. Mais les faits prouvent que c’est la meilleure façon de préparer un autre futur désastre. Le Hamas va utiliser le cessez-le-feu pour se réarmer et faire entrer en contrebande des armes encore plus dangereuses, si bien
qu’à l’avenir ce n’est pas seulement Sderot et Ashkelon, mais aussi Tel Aviv et Jérusalem qui seront frappées.
C’est toujours la même chose. A la suite d’un cessez-le-feu mis sur pied sous la pression internationale, nous assisterons à un appel pour un apport massif de fonds destinés à permettre aux Palestiniens de se remettre des dégâts causés par les attaques israéliennes. Le monde n’attend qu’à mettre la main à la poche, et fournira des centaines de millions de dollars. Où ira tout cet argent ? Au Hamas, ce même groupe terroriste qui a mené les Palestiniens au
désastre d’aujourd’hui.
Il semble que le monde ait oublié qu’à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, le Président Harry Truman avait lancé le plan Marshall, qui avait investi d’énormes sommes d’argent pour reconstruire l’Allemagne. Mais il ne l’a fait que dans le but exprès de reconstruire une nouvelle Allemagne – pas un Quatrième Reich
qui continuerait la politique de Adolf Hitler. Pourtant, c’est exactement ce que le monde s’apprête à faire si nous confions à nouveau des fonds aux terroristes du Hamas et aux Iraniens, qui tirent les ficelles depuis Téhéran.
Dans moins de deux semaines, Barack Obama va être institué président des Etats Unis d’Amérique. Mais il n’y aura pas de « changement crédible » pour le Moyen-Orient – en tout cas pas en ce qui concerne Israël. Les deux poids, deux mesures continueront à être appliqués à l’état juif, preuve que pour la
plus grande partie de la planète, les vraies leçons de la Seconde Guerre Mondiale n’ont toujours pas été apprises.
Ensuite, tu me blâmeras de cracher sur la religion. Le judaïsme a connu sa période extrémiste (à ses tout début), le christianisme aussi (et encore aujourd’hui) et l’islam le connait encore et toujours.
« The only acceptable outcome of this war, both for Israel and for the civilized world, is Endgame B: the disintegration of Hamas rule. It is already underway.
This is not about killing every last Hamas gunman. Not possible, not necessary. Regimes rule not by physically overpowering every person in their domain but by getting the majority to accept their authority. That is what sustains Hamas, and that is what is now under massive assault.
Hamas’s leadership is not only seriously degraded but openly humiliated. The great warriors urging others to martyrdom are cowering underground, almost entirely incommunicado. Demonstrably unable to protect their own people, they beg for outside help, receiving in return nothing but words from their Arab and Iranian brothers. And who in fact is providing the corridors for humanitarian assistance to Palestinian civilians? Israel.
In the first four minutes of this war, the Israeli Air Force destroyed 50 targets, taking down practically every instrument and symbol of Hamas rule. Gaza’s Potemkin leaders were marginalized and rendered helpless, leaving their people to fend for themselves. At such moments, regimes are extremely vulnerable to forfeiting what the Chinese call the mandate of heaven, the sense of legitimacy that undergirds all forms of governance.
The fall of Hamas rule in Gaza is within reach, but only if Israel does not cave in to pressure to stop now. Overthrowing Hamas would not require a permanent Israeli reoccupation. A transitional international force would be brought in to immediately make way for the return of the Palestinian Authority, the legitimate government whose forces would be far less squeamish than the Europeans in establishing order in Gaza.
The disintegration of Hamas rule in Gaza would be a devastating blow to Palestinian rejectionists, who since the Hamas takeover of Gaza have been the ascendant « strong horse » in Palestinian politics. It would be a devastating blow to Iran as patron of radical Islamist movements throughout the region, particularly after the defeat and marginalization of Iran’s Sadrist client in Iraq. It would encourage the moderate Arab states to continue their U.S.-allied confrontation of Iran and its proxies. And it would demonstrate Israel’s irreplaceable strategic value to the United States in curbing and containing Iran’s regional ambitions.
Olmert had such an opportunity in Lebanon. He blew it. He now has a rare second chance. The one-step-from-madness gangster theocracy in Gaza — just four days before the fighting, the Hamas parliament passed a sharia criminal code, legalizing, among other niceties, crucifixion — is teetering on the brink. It can be brought down, but only if Israel is prepared — and allowed — to complete the real mission of this war. For the Bush State Department, in its last significant act, to prevent that with the premature imposition of a cease-fire would be not just self-defeating but shameful. » (Charles Krauthammer, Washington Post, 9 janvier 2009)
Tu devrais plutôt parler des « idéologies » ou « croyances ».
Le christianisme a eu ses heures sombres; le judaisme aussi et l’islam aussi!
Mais le communisme et le nationalisme ont été les idéologies les plus dévastatrices au 20ème siècle!
Ce qu’il faut surtout c’est se méfier des idéologies collectivistes qui ramènent l’homme et l’être humain à un simple pion sans importance! Et surtout se méfier des individus ambitieux qui se servent de ces idéologies pour assouvir leur ambition personnelle!
Dans le cas qui nous occupe – le conflit à Gaza – ce que nous avons en face l’un de l’autre est un État de droit soit Israel et un groupe de fanatiques religieux qui ont pris en otage une population qui dans le fond ne voudrait que vivre en paix dans leur immense majorité!
Mais l’Islam en soit – quand il n’est pas perverti pas le fanatisme des nazislamistes – n’est pas pire qu’une autre idéologie ou religion!
Si vous avez une chance, écoutez la reprise de l’émission de Jeff Plante de ce soir. Il jase avec un Québecois convertit à l’Islam et présentement il jase avec Bathya.
Du bonbon!
http://www.radioxtrm.com