Milton Friedman au sujet de l’état providence:
Voilà qui va provoquer des crises d’urticaire chez mes amis les socialistes !
Milton Friedman au sujet de l’état providence:
Voilà qui va provoquer des crises d’urticaire chez mes amis les socialistes !
Ben si il y en a qui on de l’urticaire a regarder ca…. faite replay encore et encore jusqu’a ce que vous compreniez que Friedman ne dit que la verite: il n’y a souvent aucun avantage a un bs a se trouver du travail. C’est meme parfois le contraire, il va perdre plus qu’il ne va en gagne (mis a part d’un peu d’estime de soi)
Bravo pour la demonstration, et merci d’avoir denicher ca.
Ce qu’il dit surtout, c’est que l’assistance sociale tue l’humanité en lui et qu’il vaudrait beaucoup mieux pour lui que l’état cesse de lui donner toute aide. Et de ne surtout pas s’en faire pour lui: il trouvera bien de quoi subsister mais surtout, il trouvera un travail et même, un avenir. Tu sais, du genre carrière et histoire de travail à raconter à ses petit enfants (dans le genre « Dans le bon vieux temps, c’était dure mais on travaillait dure et on était fier de ce qu’on faisait ». à moins qu’il ne préfère les histoires de fraudes à la bougons…
Je crois que là dessus, Friedman passe a coté de la question.
Prenons son premier exemple, du couple avec la fille malade. Le gars, travaille alors que ça serait dans son interet de ne pas le faire, est-ce la faute de l’état providence? Pas du tout, ce gars là aurait vécu au Canada, il aurait pas eut a payer pour les soins de sa fille malade et n’aurait pas eut non plus de dilemmes a faire entre la santé de sa fille et l’argent pour l’éducation de son fils, tout en ayant un excellent niveau de vie en travaillant.
Pour le deuxième cas, les BS qui veulent pas aller travailler et la crainte du BS intergénérationel, bah il est interessant de voir comment, ici même au Québec on a géré la situation. Le nombre de gens sur l’aide sociale au milieu des années 90 étaient faramineux, puis s’est mis à baisser dramatiquement pour plusieurs raisons. D’abord, l’économie s’est améliorée, mais aussi parce que le gouvernement a décidé de s’attaquer précisément au problème de l’assistance sociale générationnelle, en incitant les plus jeunes a s’en sortir.
En effet, le gars qui est sur le BS depuis 10 ans, pour avoir déja travailler avec quelques uns, comment dire poliment… c’est pas eux qui vont augmenter la productivité de la province, et ce peu importe la bonne volonté qu’ils y mettent, y’a des exceptions, y’en a toujours, mais globalement, c’est pas exactement le profil recherché par les employeurs, qui d’ailleurs rejettent pratiquement automatiquement leur candidature, sauf quand ils se font graisser les pattes par le gouvernement pour les prendre.
L’assité social le plus prometteur, c’est bien le jeune, il peut apprendre plus facilement et rapidement, et surtout, c’est le chainon a casser pour éviter toute une nouvelle génération d’assistés sociaux.
Au Canada sa fille serait probablement sur une liste d’attente.
Et encore là au Québec, être sur l’aide social donne accès à des soins de santé que d’autres doivent payer (médicamment, dentiste, optométriste).
Mais tu passe à côté de la question: l’état-providence qui décourage le travail.
Bill Clinton a régler le problème: dans sa vie, un individu ne peut recevoir plus de 3 ans d’assistance sociale.
C’est carrément génial
Ça prouve qu’il y a au moins une partie de bon sens dans ce parti de gauche que sont les démocrates. Chose que l’on ne retrouve pas souvent dans notre belle contrée.
Ici Céline Dion se présentrait aux élections en pleurant des larmes de crocodile sur le sort des pauvres gens, et elle serait élue… Il faut se rendre à l’évidence que nous, le peuple Québécois, sommes des cons.
C’est une idée qui avait été poussé par les néoconservateurs.
The Democrats had accepted the neoconservative analysis of the welfare state’s limits, and decided to roll back or at least keep under control the expansion of social government. Clinton accepted the neoconservative goal of ending welfare « as we know it », declaring in 1996 that welfare is meant to be « a second chance, not a way of life » (quoted in Ansell 1998: 186).
Alors c’est que t’a pas lu mon commentaire comme il faut. Friedman avoue que ce gars est presque con de travailler dans la mesure où il perd de l’argent à travailler. S’il vivait ici, il n’aurait pas besoin de payer pour les soins de sa fille, et n’aurait aucun encouragement à quitter son travail, car il n’aurait pas à réduire ses revenus pour avoir droit à ses soins. En quoi ça décourage le travail?
Bien… au moins ils ont écouté!
Sur ce dossier, à tout le moins, ils n’ont pas été trop bouchés comme l’est habituellement la gauche caviar.
S’il vivait ici il aurait les mêmes incitatifs à ne pas travailler étant donné la gratuité de certains services.
Tout comme Friedman a vu en Angleterre où ils ont un régime de santé.
De plus ici pourquoi travailler quand on sait qu’en travaillant on ne sera pas en mesure d’avoir de meilleure soins en se payer un service au privé.
Près de 50% des assistés sociaux aptes et travail reçoivent des prestations depuis plus de 3 ans…
Le tout dans un contexte de pénurie de travailleur.
Kraman a un point… Le BS qui sort de chez lui apres 7-8 ans, c’est pas lui qui fait augmenter la productivité de la shop…
Hum… Le gars a pas intérêt à travailler du au fait que le « BS » lui fournirait à peu près la même chose ?
Ben qu’il se pogne deux jobs ? Ou, ok, deux jobs et demi ?
Même chose pour le deuxième BS british. Ah oui, j’oubliais… à deux jobs, il va se rendre compte qu’il va payer pour son voisin BS qui lui, ne VEUT pas 2 jobs.
CA, ca va enrailler le BS générationel par L’EXAMPLE parental.
Ca va aussi inciter les jeunes à se dénicher quelque chose dans un domaine en demande avec peu d’offre de main d’oeuvre s’il veulent juste un job.
Contrairement à Friedman, que je trouve un peu trop mainstream en tant qu’économiste, je n’éprouve pas grande compassion pour ces deux examples.
Comment ca le BS qui n’a pas travailler depuis longtemps n’aidera pas à la productivité ? Si on parle de lui donner 50,000$/an dès son entré sur le marché du travail, peut-être pas, mais si tu parles d’un job à 10-12$/hr faudrait quand même pas les mépriser plus qu’il ne faut…
Tant qu’un BS gagnera plus a rester sur le BS qu’a aller travailler, il y restera. Je crois que le BS devrait permettre a quelquu’un de survivre en attendant qu’il se trouve du travail, pas de bien vivre. La TV avec la coupole n’est pas un bien essentiel.
Elle date de quand cette vidéo ?
1970 ?
Tellement ridicule, la théorie économique, comme n’importe quelle science, a évoluée depuis. D’autant plus que de tenter de vulgariser les concepts à des néophytes (comme les adeptes de ce forum) nécessite de laisser tomber des pans entiers de la théorie.
C’est très rigolo de voir des illétrés économiques se lancer dans des dissertations dans lesquelles les notions de base sont complètement ignorées. Non, il n’y a aucun argument d’autorité dans ce que je dis. C’est juste très drôle de se dire qu’une petite lecture de livres de base en économie vous permettrait de solutionner plusieurs de vos interrogations.
À voir et à lire l’agressivité et la passion de certains intervenants (et auteur) de ce blogue, je me dis que vous devirez tous vous payer une petite session à l’université (choisissez celle que vous voulez) afin de vous calmer. Profitez-en, c’est pas cher !
Et, pensez-y, quelle crédibilité donneriez-vous à des blogues sur la physique nucléaire, les statistiques non-paramétriques ou la chimie organique, s’ils étaient écrit par des personnes ne connaissant rien aux sciences physiques de secondaire IV ?
Tu veux dire qu’il n’y a aucun argument dutout ?
Tu es en train de dire que Friedman ne connais rien en économie de secondaire IV ?
Mon argument: arrêtez d’essayer de vous construire une culture économique en lisant des blogues de personnes n’ayant aucune connaissance dans le domaine.
Allez vous instruire, vous obtiendrez de meilleure réponse qu’ici !
Non. Je dis que pour que son message soit compris par des gens qui ont des connaissances économiques équivalentes à vos cours de secondaire IV, il doit couper les coins ronds et être à la limite de la démagogie.
Si tu veux comprendre sa théorie, lâche les petits vidéos de 1970 et lis ses ouvrages. Et lis aussi toute la théorie qui a suivie (et depuis ce petit vidéo, crois-moi qu’il y a des nouvelles choses)!
Le fait que je (et autres) commente(nt) sur ce blogue ne te donne aucune indication sur leur « background ».
Et depuis 1970, qu’est-ce qui a changé sur la nature de l’État providence ?
Évidemment, mais à la lecture de vos interrogation oui.
Et à l’excitation dégagée par le visionnement d’un vidéo de 1970(???) aussi.
En recherche, 30-40 ans est une éternité.
Tu peux regarder sur google, qui a une extension (sholar.google) très intéressante.
Tu sais, ceci est un blogue. Tu peux y étaler tes arguments sans peur de représailles.
Je ne vois pas non plus ou tu vois de l’excitation alors que j’ai spécifié que Friedman est très mainstream et ‘politically correct’ comme économiste.
Un humain qui répond à un incitatif c’est une théorie qui est vrai dans le passé, qui est vrai maintenant et qui sera toujours vrai dans le futur.
Tu fais de la projection. Tu fais parti de ces illétrés économiques ne sachant même pas que les gens répondent aux incitatifs qu’on leur donne.
Entre « Papa Chat » et Milton, un prix Nobel d’économie, le choix est vraiment facile à faire.
Je remarque surtout qu’à part dire que tout le monde à tort sauf toi, tu n’es même pas capable de mettre des arguments dans tes commentaires.
@ Papa Chat
D’accord.
En 1970 Friedman a dit que si tu payes une personne à ne rien faire, tu donne à cette personne un incitatif à ne pas travailler. Ici on parle plutôt de gros bon sens que de théorie mais poursuivons.
Papa Chat considère que cette théorie n’est plus vrai aujourd’hui.
Alors grand boubou, expliques à la plèbe indigne de tes lumières en quoi, aujourd’hui, payer un homme à ne rien faire n’est plus incitatif à ne pas travailler.
Même Félix Leclerc serait intéressé par ta théorie PC.
Selon lui « payer un homme à ne rien faire » ferait même partie des cent mille façons de tuer un homme…
Il est sûrement dans le champ.
J’ai une amie en Belgique et elle m’a dit que les impôts en Belgique sont trop élevés pour les flamands qui sont tannés de payer pour des wallons qui sont sur le BS et qui veulent pas travailler, qui est une raison majeure pourquoi la crise en Belgique demeure et ça fait plus d’un an. Elle a aussi dit que quelqu’un sur le BS gagne plus que quelqu’un qui travaille au salaire minimum. Donc, voilà une chose: abolissons le BS. Si on veut faire passer la pilule, on dit qu’on limite le BS.
@ Papa Chat:
Ils ont abolis les cours d’économie avec la réforme et je suis plus instruite en économie que toi… Parce que j’ai lu Capitalism & Freedom de Milton Friedman. SVP, prenez la peine de le lire. C’est 208 pages, mais 208 pages qui nous en apprenent beaucoup. En passant, M. Friedman a un doctorat en économie et a enseigné à l’université de Chicago en économie et a gagné un prix nobel. Alors, qui vais-je croire, moi qui est si jeune… Un enseignant d’université ayant reçu un prix Nobel ou un gogauchiste? Eh bien, M. Friedman parce que lui, il sait de quoi il parle. Pas vous.
@nopolitichome
Le debat en Belgique est un peut plus complexe que ca. Ce que tu presente ce n’est que le discours raciste des Flamands envers les Wallons (decidement, t’a des droles d’amies, une roumaine qui nous vomi dessus en disant que globalement nous sommes raciste, et une belge qui dit que la moitie de ses compatriotes sont des flancs mous qui ne foutent rien!)
Et abolir le BS est en quelques sorte cruel. Une bad luck ca peut arriver a tout le monde. Tu ne sais pas ce qui t’attend plus tard. (genre tu tombes malades et tu n’as pas assez de semaine pour le chomage ni d’assurance collective?) Ce qu’il faut faire c’est le limiter, comme au EU, afin que ca ne devienne pas un « metier » et mettre fin aux cycles familiaux ou on est assiste-social de generation en generation.
Si je ne me trompe pas, pas les flamands sont néerlandophones, et les wallons, francophones?
Décidément, les divers peuples francophones se ressemblent!!!
Je nous souhaite bonne chance!
Tu y vas un peu fort, madame, avec « les Wallons sont sur le BS et ils veulent pas travailler ».
Au fait, nopolitichome a écrit:
C’est normal que les flamands en aient plein le dos (pour être polie).
Pis ici, on a juste à penser à la péréquation… bien sûr que ce n’est pas tous les Québécois qui sont sur le BS… mais n’empêche que la mentalité de dépendance envers l’état est plus forte ici que chez les anglos-saxons. Les Albertains devraient en avoir plein le dos eux aussi.
Beau Tableau David, mais ton tableau confirme ce que je dis. Évidement, en focussant sur les jeunes, les vieux augmentent la moyenne de temps passé sur le BS, ce n’est que pure logique. Mais en attendant que je retrouve des stats plus récentes, va lire ceci.
Le taux a beau être à son plus bas niveau en 30 ans, 40% de gens apte au travail sur l’assistance sociale pendant plus de 3 ans ce n’est pas acceptable.
Tu penses quoi de la mesure prise par Bill Clinton ?
Il me semble que la honte, à elle seule, devrait être assez pour pousser les gens à se sortir du BS!
Bon j’ai trouvé: ici.
En juin, 481 088 personne sur l’aide sociale. C’est certainement encore trop, mais en juin 1997, il y a 11 ans de cela, ils étaient à 777 488. Le nombre est en chute constante. Je crois qu’on va dans la bonne direction, et qu’il n’y a pas lieu de casser d’avantage de sucre sur le dos des assistés sociaux.
@Francis D
Dans mon expérience personelle, tu crois qu’ils étaient payés combien les ex-bs avec qui j’ai travaillé? Le salaire minimum ou des pinottes au dessus du salaire minimum. Mais y’a ça de con dans le marché du travail, moins tu gagnes cher, plus tu bosses comme un chien, et quand ça fait dix ans que t’a pas bossé, bah tu bosses comme un chat(c’est à dire peu ou pas). Les exceptions, car elles existent, sont rares…
@David
Je la trouve démagogique. C’est toujours payant politiquement de casser du sucre sur le dos des assistés sociaux.
Tu trouve ça anormal d’exiger que les gens apte au travail se trouve une job ?
Kraman
Tant que les tax-payers vont faire vivre les BS, il sera toujours pertinent de casser du sucre sur leur dos. S’ils ne sont pas contents ainsi, ils peuvent toujours se trouver une job hein!
Pour moi, un BS apte au travail prestataire depuis plus d’un an est un moins-que-rien. En automobile, si je dois faire le choix entre en écraser un et écraser une crotte de cheval, j’écrase le BS c’est certain.
J’ai zéro respect pour eux. J’ai plus de respect pour une bactérie que pour un BS. Au moins, la batérie, elle n’a pas la capacité d’être consciente qu’elle parasite celui qui la fait vivre.
Selon moi, un citoyen apte au travail devrait avoir droit à 5 ans maximum de BS dans sa vie entière. Point final. S’il les gaspille toutes d’un coup, alors qu’il mange dans les poubelles du McDo. Y’a toujours plein de bons Big-Macs encore commestibles et de liqueurs à moitié pleines, le tout frais du jours, tous les jours. Tim Horton’s nous vend des beignes moins frais que ça.
C’est drole, ça passe son temps à parler de liberté, mais ça veut exiger tout de tout le monde. Inciter, oui, former, certainement, exiger? non!
Je vais vous raconter une anecdote. Une fois, y’a longtemps, j’écoutais une ligne ouverte à la télé, et ça parlait d’une mesure d’incitation au travail pour les assistés sociaux. Et une assistée sociale avait appelé et avait soumis son problème. Elle reste en Gaspésie, elle est sur le BS donc tu te doute qu’elle a pas de voiture. Le gouvernement lui dit, tu va prendre la job qu’on te donne sinon on te coupe 100$ de ton chèque. Elle va donc travailler, mais, pour aller travailler, le système de transport en commun étant ce qu’il est en région, elle doit aller travailler en taxi. T’aurais les moyens d’aller travailler en taxi toi?
Kraman
Ayoye… tu dis vraiment n’importe quoi. Je connais au moins 1000 comptables qui travaillent comme des chiens, comme toi et les supposés petits-salariés ne travailleront jamais, comme des pas-de-classe. Pourtant ils gagnent cher.
Dans mes années en cabinet, je travaillais 7 jours sur 7, 10 à 12 heures par jours durant 5 mois consécutifs pendant la période des impôts et sa préparation. Le reste de l’année, je me tappais de semaines de 50 heures.
Actuellement, je travaille à temps plein, dispo n’importe quel jour de la semaine, dépendant des évènements. Je fais aussi des contrats sous ma propre compagnie quand je ne suis pas au bureau. Pis j’ai un très bon revenu.
J’ai connu des comptables qui ont travaillé comme des forcenées tout le temps de leur grossesse et ce jusqu’au jour de leur accouchement. J’ai vu des comptables venir travailler leur bouteille de Purell à la main, avec des grippes impossibles, avec le flû, avec d’autres conditions où le reste du monde normal reste dans leur lit. Moi même j’ai jamais manqué une journée de travail tant qu’il était mathématiquement possible de me rendre au bureau sans mourrir au volant.
Aucune des personnes que je fais mention n’était et n’est syndiquée, aucune ne s’est jamais plainte de son sort. Tous ces gens travaillent et mettent le paquet pour eux-mêmes, pour l’amour de leur travail et par sens du devoir. Ils travaillent comme des chiens mon homme! Je t’en passe un papier signé en pesant fort en trois copies.
Change ta vision du monde mon garçon, parce que là c’est clair que tu sais pas de quoi tu parles. Moi j’ai vécu les deux mondes. J’ai été petit salarié une partie de ma vie, j’ai fait des boulettes chez McDo, j’ai été vendeur à salaire de crève faim aussi. Pis je peux te garantir que plus mon salaire augmente, plus je bosse comme un chien pis un cochon. Et tout le monde que je connais avec des gros salaires sont aussi des méchants bourreaux de travail.
Pour la majorité des cas non-syndiqués, ceux qui ont des gros salaires ont bûché et en ont bavé en criss à un moment ou un autre pour le mériter.
Ton affirmation était vraiment insultante et biaisée.
J’aimerais avoir la liberté de ne pas payer d’impots pour les gens qui ont pris la décision de ne pas travailler.
Ils sont parfaitement libre de ne pas travailler, mais ils n’ont pas le droit de rien exiger.
Pour ça ya le programme de transport collectif en milieu rural. Les taxis joue le rôle des autobus. Tout ce qu’il faut s’est réserver 24h d’avance. Le prix est une fraction d’un déplacement en taxi.
Kraman, t’es décourageant à soir.
J’ai acheté mon premier bazou 80$, il a duré 2 ans. J’allais travailler avec.
Youhou! C’est pas une question de liberté!
Si ils sont libres de pas travailler, on est aussi libre de pas les faire vivre bout d’torieux! Par contre, si on est obligés de leur payer du BS, je trouve assez normal en retour qu’on les oblige à se trouver une job.
S’ils veulent pas être obligés de travailler, (Oh! quel afront à leur liberté!) alors qu’ils mangent dans les poubelles!
@Kraman
Et qu’est-ce qui devrait me surprendre la dedans au juste ? C’est normal que tu sois payé au minimum si ca fait 5 ans que tu ne fais rien avec aucune formation pertinente.
Que les jobs à salaire minimum soit mal rémunérées versus leur charge de travail, soites. Ca ne donnera qu’un bon example aux enfants dudits ex-assisté social de se diriger vers un secteur dynamique et spécialisé pour que 35-40hrs semaine soit assez pour te donner le salaire médian.
Effectivement, par la loi, de forcer les gens à se trouver un emploi est contre mes principes aussi. Si quelqu’un veut être en sabatique À SES FRAIS, qu’il soit en sabatique pendant 10 ans, je m’en fiche.
Depuis quand casser du sucre sur le dos des assistés sociaux est politiquement rentable ? Tu réalises pas que tous ceux-ci forme un formidable réservoir de vote sur à chaque élection ?
Tellement rentable tsé, regarde Dumont. Y’a eu son dernier élan aux dernières élections, depuis la plupart des gens le considère comme un genre d’Hitler pcq il parle de réduire UN PEU la taille de l’État (même si c’est de la foutaise et que c’est un politicien dépendant de la taille de l’État (ie: son employeur) comme tous les autres).
Pour ce qui est de ton anecdote, invalide. C’est ce que les programmes sociaux créer chez les gens; l’illusion de « sans issue ». (ou le désir de s’en créer)
Pendant longtemps, même en travaillant 45hrs semaine, je n’ai pas eu les moyens de m’offrir une voiture. Qu’ai je fais ? Eh bien, j’ai déménagé à Montréal voyons…
@ Casey
Et c’est moi qui est insultant?
On apelle ça être chanceux. Mais tu oublie autre chose, la dame a probablement jamais eut de permis, il lui faut donc passer un probatoire avec lequel elle ne peut pas conduire seule, donc a peu près pas conduire, va falloir aussi payer pour les examen de la SAAQ qui, a ce que j’ai entendu ces derniers temps, sont vorace au point où on pourrait croire qu’ils s’amusent a faire couler des gens pour augmenter les revenus de la SAAQ.
Bon ok, et dans la boite, qui est-ce qui travaillait le plus? le plus jeune ou le big boss?
Oh et en passant, les comptables, bien qu’ils ne sont pas syndiqués, sont régis par un ordre professionnel que je sache, ce qui revient a peu près au même.
Mais je te concède un truc, cette règle ne s’applique généralement pas au travailleurs autonomes et a ceux qui se partent des buisness(ceux qui ont le projet, la passion, pas ceux qui se contente de financer le truc).
Ça c’est un autre truc que j’ai remarqué. La différence entre le travailleur syndiqué, le non syndiqué ou encore le syndiqué avec un genre de syndicat de boutique qui couche avec le boss, au niveau de la cadence de travail, selon mon observation personnelle, est peu significative, sinon peut-être que les syndiqués ont souvent une meilleure image de leur travail, ce qui peut les motiver a travailler plus, mais d’un autre coté, ils peuvent aussi faire la grève. Il y a des différence entre syndiqués et non syndiqués, mais, selon mon observation, elle ne se manifeste généralement pas significativement dans la cadence du travail.
Personnellement j’augmenterais les chèques de ceux qui en ont vraiment besoin : l’handicapé, la veuve sans famille, etc.
Et un nombre d’années maximum de BS pour ceux qui sont aptes au travail comme moi. Ainsi on garde un filet social pour les coups dur et on déjoue les profiteurs.
Une chose par contre, comment on fait pour déterminé les aptes au travail? Parce que honnêtement, quel employeur voudra de tous les déchets humains qui traînent? Quest-ce qu’on fait avec les irrécupérables qui sont incapables d’arriver à l’heure et frais et dispos au travail (saoulons et drogués)? Personne ne voudra d’eux.
Leur enlever le BS est les mener droit à la crimminalité. La paix sociale a un prix, faut en tenir compte.
Autrement dit je préfère contribuer à entretenir quelques parasites et avoir la paix, plutôt que leur couper les vivres et de les voir défoncer ma porte pour me voler.
De toute façon une fois en prison le parasite coûte plus cher que sur le BS. Et au moins sur le BS il dépense et fait tourner l’économie.
Si l’on suppose que les assistés sociaux deviendraient des criminels sans ces programmes sociaux, l’on parle alors d’un manque de volonté de travailler et non d’une impossbilité.
Car si ta supposition serait vraie (qu’ils deviendront tous criminels) alors ils le seraient déja.
FrancisD
Je ne crois pas qu’ils deviendraient tous crimminels, à moins que de devenir clochard soit un crime.
Mais il ne deviendront certainement pas tous clochards. Ma question est : que deviendront ceux qui ont l’air aptes au travail pour cause de jeunesse et bonne santé, mais qui ne le sont pas vraiment car trop de bibittes dans la tête et aucun employeur pour les engager.
Caligula, t’es dans le champ.
Ce ne sont pas tous les BS qui vont devenir gangster… Plusieurs vont se suicider si on leur coupe le BS. Aussi, si on coupe le BS et qu’on baisse les impôts, peut-être que la charité va embarquer, aussi. Ou bien, une autre idée: Les BS font les travaux publics gratituitement OU on leur paie une formation pi y vont se trouver une job!
nopolitichome
** Les BS font les travaux publics gratituitement OU on leur paie une formation pi y vont se trouver une job! **
Quel angélisme! Bonne chance pour les obliger à travailler gratis (mesure socialiste) ou même leur faire suivre une formation. Que vas-tu faire avec celui qui dort pendant que le prof parle? Ou avec celui qui est trop gelé pour suivre le cours?
Crois moi, plusieurs BS sont simplement irrécupérables.
Je répète : la paix sociale a un coût.
mmm…. Bien qu’on parle du BS, je vais prendre une seconde pour vous rappeller que le système de flexisécurité a été appliqué par les sociaux-démocrates danois – et non pas la droite.
En gros, le système te donne du chômage à 90% de ton salaire si tu es congédié mais tu ne peux pas refuser un emploi à moins de 200 km de ta résidence (ce qui veut donc dire, qu’au Danemark, ben…).
Ça existe déjà. Emploi-Québec leur donne même des cours d’anglais.
Saviez-vous que, dans les pays communistes, il est/était illégal de ne pas travailler?
À part de ça, j’ai une histoire à vous raconter…
Par deux fois, la fonctionnaire de l’immigration à Berlin m’a gueulé après – « Il y a 4 millions de chômeurs dans ce pays, et vous vous voulez vivre ici??? »
Peu après une de ces fois, le Bild Zeitung a publié un dossier sur les chômeurs allemands, où plusieurs disaient – à visage découvert, avec leurs noms – qu’ils n’iraient jamais travailler.
J’aurais tellement aimé lui étamper le journal dans la face!!!!
Remarquez que l’agence pour l’emploi est rendu à exporter des chômeurs vers le Canada et l’Australie pour faire baisser les statistiques.
C’est une mesure légèrement « perverse ». Je m’explique.
En Allemagne, il existe les 1-Euro-Job. On paie des chômeurs 1€ de l’heure pour les faire travailler dans des maisons de retraite, licher des enveloppes dans les bureaux, etc…
En fait, 1€ Job ou non, tu as le droit de gagner un maximum de 400€ par mois tout en touchant du chômage ou de l’aide sociale.
Les entreprises le savent, et engagent à 400€ par mois, ce qui fait donc que le gouvernement est complice: il subventionne l’absence de salaire minimum.
L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde
Frédéric Bastiat
Dans une cour d’école, ce genre de raisonnement servirait à légitimer le taxage.
« L’ensemble de ces facteurs [qui font qu’un individu est considéré comme ayant des contraintes temporaires ou sévères à l’emploi] est analysé par un comité multidisciplinaire composé d’un médecin, d’un spécialiste de la main-d’oeuvre et du psychosocial. Ce comité évalue la situation en considérant les divers aspects de la situation de la personne.
Note :
Les critères d’admissibilité étant complexes, chaque cas doit être évalué par un agent d’un centre local d’emploi (CLE). »
http://www.formulaire.gouv.qc.ca/cgi/affiche_doc.cgi?dossier=7128&table=0#19
Tous les critères qui font qu’un individu est considéré ou non apte au travail sont décrits sur le site.
Si un individu est suicidaire, c’est probablement qu’il n’est pas apte à travailler – de façon temporaire ou éventuellement permanente – . Dans ce cas, il faut traiter les symptômes suicidaires avant que l’individu retrouve – ou non – progressivement sa capacité à travailler sans que cela n’entraîne – c’est ce que l’on souhaite idéalement – son suicide.
J.Voyelle
Je suis allé voir ton lien pour les critères d’admissibilité et je dois t’avouer qu’il ne me convainc pas.
Des troubles psychologiques non diagnostiqués, l’abscence de volonté, l’incapacité de faire face à l’autorité ou à une routine quelconque, l’hygiène douteuse, les comportements anti-sociaux, etc., sont tous des facteurs qui peuvent motiver un employeur à foutre son nouvel employé dehors.
Autrement dit une personne peut très bien satisfaire les exigences de la grille, mais pas nécessairement celles d’un patron.
David
** Dans une cour d’école, ce genre de raisonnement servirait à légitimer le taxage. **
Bon. L’art de déformer les propos… Tout ce que je dis est que la paix sociale a un prix. Dans une cour d’école le prix à payer est une attention accrue des adultes qui s’y trouvent.
Dans la société le prix à payer est un filet social pour les plus démunis.
C’est aussi l’argument que font les membres du crime organisé qui font de l’extorsion. Il exige un paiement pour ensuite garantir la sécurité d’un bar.
T’es libre de payer ce prix si tu veux, moi ça ne m’intéresse pas de faire vivre des gens qui décident de ne pas travailler.
Pour une fois Caligula je vais être d’accord avec toi (Profites-en) D’après moi ce discours sur le BS c’est de la démagogie pure! Avec tous les contrôles et toutes les restrictions qu’on impose les gens qui sont sur le BS le sont pour des motifs légitimes.
Que voulez-vous faire d’un alcolo ou d’un toxicomane qui la plupart du temps ne sait même pas comment il s’appelle, quel jour ou quel mois on est ???
Même si techniquement ils sont « aptes à l’emploi » dans les faits aucun employeur n’en veut et n’en voudra jamais. Aussi faire des efforts pour les réintégrer au marché du travail est une perte de temps. Si vous leur couper leur BS ils vont se retrouver à la rue et vont voler ou tuer pour se procurer leur cochonnerie. Faque au bout du compte on va encore se retrouver encore avec eux sur les bras, mais cette fois en prison là où ils vont nous coûter encore plus cher!!!
Vaudrait mieux mettre des efforts en formation sur les gens qui veulent et qui ont le désir de s’en sortir plutôt que d’essayer de sauver des irrécupérables.
Il y a la théorie, et il y a la réalité!
Entre les 2 se trouve la vérité!
Radisson
** Pour une fois Caligula je vais être d’accord avec toi (Profites-en) **
Tabarn…! J’ai failli tomber en bas de ma chaise.
John Paul Jones
** C’est aussi l’argument que font les membres du crime organisé qui font de l’extorsion. Il exige un paiement pour ensuite garantir la sécurité d’un bar. **
Le prix à payer contre le crime organisé est une police efficace. Tout a un prix, y compris la paix sociale. Des inaptes chroniques au travail il en aura toujours.
On pourrait les gazer, certains ici applaudiraient.
@ Caligula:
On récupère ceux qui sont récupérables. Les autres… je sais pas ce qu’on va faire avec eux. Suggestions?
nopolitichome
** On récupère ceux qui sont récupérables. **
C’est ce qu’on fait déjà via les programmes de retour aux études ou à l’emploi.
** Les autres… je sais pas ce qu’on va faire avec eux. Suggestions? **
Les mettre en prison.
Les gazer (certains drettistes jubileraient).
Ou les laisser sur le BS et se concentrer sur des problèmes plus urgents comme le décrochage scolaire.
Mais je ne cherchais à te convaincre d’absolument rien
Simplement transmettre de l’info pour répondre à ta question. Ce sont les critères qui prévalent au Québec en ce moment pour déterminer si un individu peut être considéré comme ayant des contraintes temporaires ou sévères à l’emploi.
De quelle grille tu parles exactement ?
Un individu tellement intoxiqué qu’il ne se rappelle plus de son nom ni de la date m’apparaîtrait plutôt dû pour une cure de désintoxication.
À moins que je fasse une erreur grossière, un individu dans un tel état ne pourrait pas être considéré apte au travail avant qu’il ne se soit suffisamment désintoxiqué.
J’ai croisé une fille nue ce matin, au coin René-Levesque et Université a 8:30 (…) Je ne crois pas qu’elle aurait été apte a un quelconque travail…
J.Voyelle
** De quelle grille tu parles exactement ? **
Pardon. J’aurais dù utiliser le terme »critères ». Autrement dit un individu peut satisfaire les critères du gouvernement mais pas nécessairement ceux d’un employeur.
J.Voyelle
** Un individu tellement intoxiqué qu’il ne se rappelle plus de son nom ni de la date m’apparaîtrait plutôt dû pour une cure de désintoxication. **
Et peut-on obliger quelqu’un à aller en cure? Et si oui, que fait-on avec lui s’il rechute et rechute après chaque cure?