Voici l'évolution de l'indice des libertés économiques en Géorgie depuis 1996:

À titre indicatif, l'indice de libertés économiques était, en 2008, de 65,4 pour la France et 49,9 pour la Russie.
Source:
2008 Index of Economic Freedom
Voici l'évolution de l'indice des libertés économiques en Géorgie depuis 1996:
À titre indicatif, l'indice de libertés économiques était, en 2008, de 65,4 pour la France et 49,9 pour la Russie.
Source:
2008 Index of Economic Freedom
C’est peut-être pour ça que Radisson n’aime pas la Géorgie, il préfère le modèle économique Russe.
John Paul Jones, s.v.p., ne jouez pas ce rôle. Je suis une de vos fans ici, je vous respecte infiniment, je trouve que vous avez à 99.9% toujours d’excellents arguments.
Vous savez très bien que Radisson ne déteste pas la Géorgie pour cette raison économique, il l’a déteste à cause de son manque de démocratie vs de ses régions séparatistes et son agression armée sur L’Ossétie du Sud. D’ailleurs, moi-même qui est une fervente pro-occidentale, pro-américaine, pro-Bush, pro-McCain et pro-Israël, je n’approuve pas l’agression de la Géorgie sur l’Ossétie du Sud et ENCORE MOINS l’agression russe sur la Géorgie.
Bien sûr.
Parce qu’il n’aime pas le manque de démocratie en Géorgie, il donne son appuis à un régime moins démocratique.
Parce qu’il n’approuve pas la modeste incursion militaire Géorgienne en Ossétie, il donne son appuie à une invasion à grande échelle d’une démocratie libérale.
Parce qu’il n’approuve pas le manque de reconaissance de l’Ossétie, il donne son appuie a un régime qui a génocidé une région autonomiste dans le passé.
Puis-je savoir que représente la ligne rouge?
@Gauchiste
C’est la courbe de tendance…
Peut-être pas aussi modeste que vous le croyiez, John Paul. Les preuves commencent à sortir avec des journalistes étrangers en Ossétie du Sud, dont un envoyé de La Presse:
RAGE ET DÉTRESSE EN OSSÉTIE DU SUD
La Presse, jeudi 14 août, 2008
Collaboration spéciale/ Tskhinvali, Ossétie-du-Sud
EXTRAIT:
… La capitale de l’Ossétie-du-Sud, détruite dans sa majeure partie par les intenses bombardements géorgiens, est maintenant entièrement sous contrôle russe. Les quelques Ossètes qui n’ont pas fui Tskhinvali rageaient encore hier de la férocité de l’attaque menée par la Géorgie pour reprendre le contrôle de leur république sécessionniste. Notre envoyé spécial en a rencontrés dans les ruines.
… «Seule la Géorgie et (son président) Saakachvili peuvent faire ça au XXIe siècle!» ajoute-t-elle, avant de se mettre à pleurer à la vue de sa chambre éventrée. Après plus de deux décennies de conflit avec les Géorgiens, Elena exclut encore plus aujourd’hui toute possibilité de réconciliation. «Je ne veux plus rien savoir de cette nation.»
… À Tskhinvali, chaque habitant avait hier ses malheurs à raconter lors du passage d’une trentaine de journalistes russes et étrangers, dont le représentant de La Presse, à l’invitation des autorités russes.
Transportés par autocar puis par véhicule blindé depuis l’Ossétie-du-Nord voisine, les représentants des médias ont pu constater l’ampleur de la dévastation dans Tskhinvali.
… À l’hôpital républicain de Tskhinvali, les cinq jours de bombardements ont été littéralement un enfer. Deux missiles ont atteint les étages du bâtiment et tous les patients ont été transférés dans le sous-sol, désaffecté et insalubre.
… Au cours des deux premiers jours, sans diesel pour faire fonctionner la génératrice électrique, les médecins ont dû opérer à l’aveuglette, alors que les blessés affluaient.
… La docteure Kelekhsaïeva juge-t-elle tout de même fiable le chiffre de 1600 victimes avancé par les autorités russes et ossètes? «C’est peut-être même plus», dit-elle, expliquant que la majorité des morts ont dû être enterrés avec les moyens du bord par les proches.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080814/CPMONDE/808140789/1014/CPMONDE
Georgia:
Political Rights Score: 4
Civil Liberties Score: 4
Status: Partly Free
Ratings Change
Georgia’s political rights rating declined from 3 to 4 due to the restrictions placed on political opposition following the November 2007 emergency declaration, and the civil liberties rating declined from 3 to 4 due to the circumscription of media and expression in the aftermath of the November protests.
http://www.freedomhouse.org/template.cfm?page=22&year=2008&country=7398
http://www.freedomhouse.hu/images/fdh_galleries/NIT2008/NT-Georgia-final.pdf
C’est la moyenne mobile, elle permet de mieux apprécier les tendance.
Ces journalistes sont promené par l'armée russe. Commequand le Hezbollah promenait des journalistes au Liban.
Et il est impossible de savoir quelles dommages ont été causée par les affrontement entre russes et géorgien.
J'imagine que les journalistes ne font pas cette nuance.
C’est vrai. Sauf que connaissant à la perfection la mentalité et les valeurs des Juifs, il m’était facile de voir leur désinformation.
Ne connaissant pas les Ossètes, ni les Géorgiens, il était plus facile de douter. Mais avec l’article que j’ai dénichée dans Metula News Agency: Mourir pour Tbilissi?)… le problème est réglé, je sais maintenant à quoi m’en tenir.
En fait, n’importe qui peut dire n’importe quoi s’il guide un groupe de journalistes n’étant jamais venu dans la région.
Donc, c’est à tous de garder l’oeil critique ouvert – dans tous les cas.
Écoute ben et ouvre bien grande tes oreilles! Y a bien des choses que je tolère dans un débat. Les insultes, les fausses information, les spéulations abusives. Mais ce que je déteste au oint le plus suprême c’est des gars comme toi qui sont une véritable plaie dans un forum et qui qui au lieu d’argumenter se lancent dans un harcèlement stupide et ennuyeux.
Trouve moi l’endroit où je dis:
1- Que je n’aime pas la Gerogie
2- Que je préfère le modèle économique
Quand tu trouveras cela tu me reparleras!
Je le trouve intéressant ton graphique David.
Mais je doute fortement de l’exactitude des données qui ont servies à le construire puisque la Géorgie est un pays qui est en guerre civile depuis son indépendance et qui est fortement désorganisé.
Quoiqu’il en soit il y a aussi d’autres statistiques qui sont troublantes, comme celles qui indiquent un fort déclin de la population. Ainsi la population totale de la Géorgie est passée de 5 millions d’habitants à 4.5 millions entre 1992 (indépendance) et 2003. Un demi million d’habitants pour un si petit pays, c’est beaucoup!!
La cause: l’émigration!!!
Et qui émigre: surtout des minorités. Comme entre et particulièrement les ossètes!
Et où vont-ils! En Ossétie du Nord!
Te rappelles-tu ce qu’on disait des berlinois de l’est qui franchissaient le Mur??? On disait qu’ils votaient avec leurs pieds!
Aujourd’hui les minorités georgiennes semblent aussi voter avec leurs pieds et tout indique qu’elles ne sont pas très à l’aise en Géorgie, cepays que tu semble vouloir nous présenter comme un grande et belle démocratie!
AVec Micha à sa tête de surcroît!
Vraiment!
http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9orgie_(pays)
Les deux camps se livrent ptésentement à une guerre médiatique féroce. Micha qui a plus d’expérience dans ce domaine ( la démagogie et le mensonge) et qui est entouré de conseillers occidentaux en « communications » l’a jusqu’à date – et grâce à la complaisance des médias occidentaux – emporté jusqu’à date.
Mais disons que dans un cas comme dans l’autre je reste très sceptique au sujet des infos qui nous parviennent de là!C’est quand même le pays qui a accouché de Staline!
Et plus j’écoute Micha et plus on essaie de me faire avaler des énormités comme « l’occident est menacée pas le nouvel empire russe » moins j’accorde de crédibilité à ce qui m’arrive de Géorgie! C’est le danger des discours propagandistes:à force d’en rajouter on finit pas dépasser une juste mesure et tout s’écroule. Il faut savoir s’arrêter à temps!
Y a quelqu’un qui devrait dire à Micha la version georgienne du fameux « Porque no te callas? » du Roi d’Espagne!
Mais je suis pas certain que Nicha comprenne ce que cela beut dire même en georgien!
La complaisance des médias occidentaux depuis des années n'a été qu'à l'endroit de la Russie poutinienne, un pays dirigé par des brigands, pas de gauche ni de droite, seulement des criminels. Aujourd'hui on se réveille devant le portrait d'un régime dangereux qui menace tous ses voisins parce qu'ils refusent l'ingérence.
Le genre de point de vue regrettable émis par Radisson s'explique par une haine compulsive envers la liberté commune à tous les anti-américains, anti-démocrates, et anti-capitalistes. Leur haine de ces principes se répercute dans leur appui à n'importe quel criminel au pouvoir dans des pays voyous, comme Chavez, Castro & Frères, Poutine et cie… Pour eux, Mahmoud en Iran est un courageux porteur d'idéaux, tout devient relatif.
C’est toi qui a été assez bête pour dire que Putin au pouvoir en Géorgie serait préférable pour l’occident. Assumes tes déclarations.
Un autre truc archi faux. C’est pas croyable le nombre de stupidités que tu as pu dire sur le Géorgie depuis le début de cette affaire. Il n’y a pas de guerre civile en Géorgie et ce depuis plusieurs années.
À chaque fois que je pense que tu as atteints le fond du baril, tu trouve le moyen d’aller encore plus creux.
Ainsi donc, Saakashvili aurai plus d’expérience en propagande et mensonge que Putin et ses sbires qui sont d’anciens membres du KGB soviétique…
Putin, le « président » qui tue des journalistes, empoisonne des chef d’état et des dissidents, ferme des médias, fourni du matériel nucléaire à l’Iran et participe a l’armement du Hezbollah.
Voilà qui résume parfaitement le cas Radisson.
@ Radisson:
C’est bien connu que le KGB est un modèle de vérité et d’intégrité.
L’occident devrait imiter les méthode du KGB pour le bien de la démocratie…
P.S.: Putin est l’ancien chef du KGB.
Poutine est un pur apparatchik, mais n’a jamais dirigé le KGB. Ça reste un espion habitué aux coups tordus…
Vladimir Poutine fit des études de droit à l’Université de Léningrad où il obtient en 1975 son diplôme avec un mémoire consacré à la politique des États-Unis en Afrique. Anatoli Sobtchak, à l’époque professeur à l’université et futur maire de la ville, est son superviseur académique.
Après une formation à Moscou, il devient membre du KGB, où il sert pendant quinze ans au sein de la « Première direction générale », le service de renseignements extérieurs, notamment en Allemagne, en Autriche et en Suisse. En 1985, il sera envoyé en République démocratique allemande, dans le Groupe des forces armées stationné sur place. Il passe cinq ans à Dresde où, sous la couverture de directeur de la « Maison de l’amitié germano-soviétique », il œuvre pour le KGB.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vladimir_Poutine#Carri.C3.A8re_professionnelle
Ne JAMAIS, je dis bien JAMAIS utiliser wikipedia français comme référence. Il faut toujours préférer la version anglaise beaucoup plus complète.
On July 25, 1998 Yeltsin appointed Vladimir Putin head of the FSB (one of the successor agencies to the KGB), the position Putin occupied until August 1999.
Some observers note that FSB is more powerful than KGB was, because it does not operate under the control of the Communist Party as KGB did in the past.[13] According to Ion Mihai Pacepa, « In the Soviet Union, the KGB was a state within a state. Now former KGB officers are running the state. They have custody of the country’s 6,000 nuclear weapons, entrusted to the KGB in the 1950s, and they now also manage the strategic oil industry renationalized by Putin. The KGB successor, rechristened FSB, still has the right to electronically monitor the population, control political groups, search homes and businesses, infiltrate the federal government, create its own front enterprises, investigate cases, and run its own prison system. The Soviet Union had one KGB officer for every 428 citizens. Putin’s Russia has one FSB-ist for every 297 citizens. »[14]
« There is no such thing as a former KGB man. »
–Vladimir Putin