Plus tôt cette semaine, Israël a échangé des prisonniers du hezbollah contre les dépouille de 2 soldats israéliens. Parmi les cinq prisonniers du Hezbollah libérés, figure Samir Kantar. Kantar a été reconnu coupable d'avoir tué, entre autres, un père et sa fille de 4 ans.
Voici la page A20 de La Presse du jeudi 7 juillet 2008 traitant de la réaction en Israël et au Liban:

Photo au sommet de la page du premier ministre israélien Ehud Olmert consolant la veuve du soldat Ehud Goldwasser.
Photo au bas de la page de l’accueil en héros de Samir Kantar au Liban, assassin d’une fillette israélienne de 4 ans.
Est-ce que je rêve ou bien est-ce que ce salaud de Samir Kantar fait le salut nazi lorsqu’il a été photographié ?
Le jour où la mort de des enfants palestiniens t’émouvra, on reparlera de tout ça. En attendant, tout ce que je vois ici, c’est de la démagogie et de l’hypocrisie. « 2 poids 2 mesures », c’est le slogan ici quand on parle du conflit israelo-palestinien. En fait, c’est pas mal toujours le slogan.
PAULPOTTE… il porte bien son nom celui-là.
Le seul fait qu’il s’affuble d’un tel pseudo en dit beaucoup.
Heichman doit sûrement figurer au sommet de son panthéon personnel.
Ad hominem… C’est tout ce que vous avez… Allez, la récréation est terminée, vous pouvez continuer votre séance de masturbation en rond autour de votre gourou.
@ PaulPotte :
Israël n’assassine pas « in cold blod » des enfants.
Ce que cette photo montre, c’est le le hezbollah n’a rien d’humain. Une organisation barbare.
@ Humain 51: Malheureusement, vous ne rêvez pas.
@PaulPotte, si c’est tout ce que vous avez a nous dire, vous pouvez aller ailleurs…
«Nous aurons la paix avec les Palestiniens seulement lorsqu’ils aimeront leurs enfants davantage qu’ils ne nous haïssent.» ( Golda Meir )
L’abominable Yasser Arafat demandait aux femmes palestiniennes de faire chacune douze enfants et de lui en donner dix.
PaulPotte, vous repasserez, vous avez tout faux. Ce sont les Palestiniens qui détestent leurs enfants en les endocrinant dans la haine des Juifs dès leur jeune âge avec des personnages comme Mickey Mouse, en les faisant rêver d’être des Shahids (des martyrs) qui se font exploser et en les prenant comme boucliers humains lors d’affrontements.
Les Juifs respectent les enfants, tous les enfants du monde y compris les Palestiniens. Les Juifs respectent la vie contrairement aux Palestiniens pour qui la vie n’a aucune valeur.
Renseignez-vous nom d’une pipe. Est-il possible d’être aussi ignare que vous ? J’en doute !
Je me doutais bien que ces deux soldats avaient été tués par ces barbares sans nom.
Je ne comprends pas pourquoi Israël a échangé 5 criminels irrécupérables et vivants contre deux valeureux soldats juifs morts. Il est vrai que l’on ignorait le sort de ces deux soldats depuis leur enlèvement en sol israélien par les terroristes du Hezbollah en 2006.
Cyberpresse nous apprend qu’un des criminels, Samir Kantar, condamné à la prison à vie, est arrivé en canot du Liban avec son commando puis il a pénétré dans cette maison, raconte Chlomo Goldvasser, le père d’Ehoud, en désignant une villa du bord de mer. Il a tenté de prendre en otage un père et sa fille de 4 ans. Mais comme la police est intervenue, il a tué le père et aussi la petite fille à coups de crosse. Il a également tué deux policiers.
«L’État d’Israël commet une grave erreur en libérant ce criminel, estime Meir Endor, président d’une association de victimes du terrorisme. Nous allons faire de Nasrallah (le chef du Hezbollah ) le roi du Moyen-Orient. Les prochains enlèvements sont déjà programmés, ils le disent ouvertement. Il y aura même une nouvelle compétition dans le monde arabe: à qui enlève le plus de soldats israéliens!»
Personnellement, je souhaite une nouvelle guerre contre le Hezbollah, et cette fois-ci, j’espère qu’Israël mettra le paquet. Pas des frappes chirurgicales ni des tracts pour prévenir des lieux de bombardements comme ils ont fait à l’été 2006… NON, une vraie guerre cette fois pour que l’on se débarrasse une bonne fois pour toute de ces minables terroristes du Hezbollah. Voilà mon souhait le plus cher. La Terre entière ne s’en portera que mieux et le Liban et Israël pourront enfin respirer.
Le problème Galadriel, c’est que pour faire cela Israel devra se rabaisser au niveau du Hezbollah. L’Armée d’Israel ni le peuple d’Israel n’acceptera jamais, j’en suis persuadé, de se comporter comme – ainsi que le fait le Hezbolla – comme des bouchers nazis.
Hors comme les valeureux combattants de Dieu du Hezbollah se cachent derrière les femmes et les enfants dont ils se servent comme bouclier de chair humaine ce que vous suggérez serait une véritable boucherie.
Oui, je sais bien Radisson. Je sais d’avance qu’Israël n’acceptera jamais de s’abaisser au niveau de ces barabares de terroristes Hezbolliens. C’est juste un voeux pieux, irréalisable. J’aimerais tellement que ce Hezbollah disparaisse de la planète Terre, vous ne pouvez pas savoir à quel point. Que pouvons-nous faire contre ces ignobles lâches ? RIEN, il me semble et c’est cela qui est si désespérant. Dommage !
Pourtant, Radisson, c’est le voeu le plus cher des Libanais:
« Comme l’immense majorité des Libanais, je prie pour que personne ne mette fin à l’attaque israélienne avant qu’elle n’ait fini de désosser les terroristes. Je prie pour que les soldats hébreux pénètrent dans tous les recoins du Sud-Liban et en chassent, à notre place, la vermine qui s’y accroche. Comme l’immense majorité des Libanais, j’ai mis le Champagne au frais pour fêter la victoire des Israéliens. » (Michael Béhé, journaliste libanais, vivant à Beyrouth dans l’aticle: Les gens les plus hypocrites de la Terre).
Un meurtrier est un meurtrier. Je trouve qu’il devrait retourner en prison! C’est vrai que le meurtrier a fait un salut nazi, car plusieurs arabes sont fans d’Hitler.
Quelques unes des déclarations publiques de leur chef adoré, Hassan Nasralla.
Et quand je pense que des nationalistes sécessionnistes comme Duceppe, Falardeau et ce gauchiste qui déraille de Coderre ont manifestés à leur côté dans les rues de Montréal, y a de quoi avoir honte!
Allez voir cette vidéo d’une manif pro Hezbollah à Paris.
Comme on peut le voir, la gauche et le Hezbollah, c’est le même combat!
http://www.dailymotion.com/video/xekuk_manifsoutienhizballah-a-paris
Radisson, je n’ai jamais aimé la France, ce pays de chauvinistes déconnectés qui sont l’inspiration de nos p’tits Québécois séparatistes. Mais à la vue de ce video ( commentaire #14), je commence à les haïr sérieusement. Honte à la France pour son pro-terrorisme. Ils méritent bien leur surnom, ces « Maudits Français » !
Un meurtrier vous dites? Ou ça ou ça ou ça? Il faut le rapatrier au canada sans faute c’est sûrement une victime de waterboarding qui a mal été éduqué par son poupa!
Faut pas généraliser.Un français qui regarderait la manif de Montréal avec Duceppe et Falardeau défilant sous le drapeau du Hezbollah pourrait penser la même chose.
La plupart des français détestent ces salopards autant que nous!
Je ne connais pas un seul maudit Français qui ne soit as pro-Hezbollah, et j’en connais en masse des Français.
Ce n’est pas non plus l’opinion de Guy Millière.
La survie d’Israël est en jeu, et les dirigeants français adoptent une posture qui montre que, décidément, certaines choses ne changent jamais. On ne voit à la télévision que la situation du Liban et des Libanais. On n’entend parler, peu ou prou, que les citoyens français d’origine libanaise. L’armée israélienne est présentée comme l’armée qui agresse et qui détruit.
Si je dirigeais al Manar ou al Djazira, je porterais plainte pour concurrence déloyale contre les chaînes françaises. Quant aux déclarations des dirigeants politiques ! Chirac, Douste-Blazy, Villepin, c’est un vrai festival.
L’État libanais étant occupé et tenu en partie par des criminels assoiffés de sang et ne parvenant pas à s’en débarrasser, il faut bien que quelqu’un le fasse à sa place, et Israël est très bien placé pour faire le nécessaire. Le contexte est propice : les États-Unis font et feront tout pour qu’Israël ait les mains libres, et c’est une attitude digne de Bush, l’héritier spirituel de Reagan. Les pays arabes de la région, à l’exception de la Syrie, dénoncent le Hezbollah sans retenue, eux qui voient la révolution en cours résultant de la doctrine Bush.
Il reste la France pour s’opposer, et c’est si peu de chose, la France désormais.
En fait, c’est le salut officiel du Hezbollah. Quelle coïncidence n’est-ce pas?
Parlons-en des jeunesses hitlériennes, euh palestiniennes…
Euh, le site Bivouac-id ainsi que plusieurs autres sites islamistes sont en France. La France a aussi refusé la citoyenneté à une femme marocaine parce qu’elle portait la burka.
Par contre leur Président…
… se déshabille, se met à quatre pattes et fournit le lubrifiant.
L’Amérique et l’Europe ont en commun l’intérêt de voir se développer un islam modéré compatible avec la démocratie et de voir refluer l’islam radical. L’Europe n’a aucun intérêt à faire preuve de complaisance vis-à-vis de l’islam radical et des dictateurs du monde arabe et, elle ne peut avoir la force de ne pas faire preuve de complaisance, qu’en travaillant en synergie avec les Etats-Unis.
C’est l’Europe qui a une vision à court terme et qui semble incapable de voir les enjeux planétaires à moyen terme. Pour le moment, c’est le front français qui rétrécit. L’axe stratégique des Etats-Unis est la coalition de tous les pays se reconnaissant dans la Civilisation. Une majorité de pays d’Europe se reconnaissent dans la Civilisation au côté de l’Amérique, l’Ukraine, l’essentiel de l’Europe centrale, le Japon, l’Inde, l’Australie, l’Indonésie se reconnaissent dans la Civilisation au côté de l’Amérique. La France pour le moment est dans le camp des perdants, avec les dictateurs arabes et les islamistes.
Guy Millière
@Galadriel
Juste pour confirmer…. Millière a écrit ca quand?
J’suis pas un inconditionnel de (la) droite, mais pour x raisons, j’aime bien Sarkozy. Il faut comprendre qu’ils (la France, et les français) partent de vraiment loin, et qu’en bout de ligne, ils avaient le choix entre lui et (eurk) Royale. Il était (et est toujours) ce dont la France avait le plus besoin, ca c’est clair.
@PhilippeDavid
C’est bizarre, mais je vois dans cette partie de citation quelque chose de vraiment intéressant. Sarkozy, dans son discours, dis essentiellement qu’il faut respecter l’islam, car il s’agit d’une religion (et d’une civilisation) riche dans la première partie. Dans la seconde, qui est celle que j’ai reproduite, il condamne l’islamisme radical. La première partie a… probablement… servi à mieux faire digérer la deuxième. Ou a… lubrifier… ceux que la deuxième partie du passage pouvait choquer.
Avant l’arrivée de Sarkozy que j’aime bien aussi, enfin une amélioration au Quai d’Orsay. C’était en juin 2005. Je vais vous donner un petit truc, pour trouver les citations sur internet.
Vous prenez la première phrase de la citation, soit: L’Amérique et l’Europe ont en commun l’intérêt de voir se développer un islam modéré compatible avec la démocratie et de voir refluer l’islam radical…. et vous la copiez/collez au complet dans la barre d’adresse de Google, vous aurez automatiquement le site d’où elle est prise. Essayez, vous verrez.
Enfin un peu de bon sens de nos alliés saoudiens et d’un journal libanais:
Jerusalem Post, Mercredi 17 juillet.
Le Hezbollah s’est efforcé par tous les moyens de dépeindre l’échange de prisonniers avec Israël comme une victoire, en soulignant le fait que le leader Hassan Nasrallah avait tenu sa parole et réussi à faire libérer le meurtrier Samir Kuntar.
Un important journal arabe a pourtant tourné ladite « victoire » au ridicule. « L’accord de Radwan », titrait le quotidien A-Shark Alawsat jeudi. Le journal expliquait avec cynisme que l’échange avait « coûté au Hezbollah plus de 7 milliards de dollars, plus de 1 200 morts et 4 500 citoyens libanais blessés ».
Radwan était le nom de guerre d’Imad Moughniyeh, le cerveau du groupe terroriste éliminé il y a plusieurs mois. Le Hezbollah accuse Israël de l’avoir assassiné. L’Etat hébreu nie cependant toute implication.
Le journal saoudien Al Wattan indiquait pour sa part que le Hezbollah devait se désarmer et que la résolution 1701 de l’ONU, par laquelle la guerre s’était achevée, n’avait pas été appliquée.
Au Liban enfin, dans le journal Al Anwar, on pouvait lire qu’il était « honteux de voir les membres du gouvernement de Beyrouth se joindre aux célébrations du Hezbollah ».
http://www.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1215331008569&pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull
Galadriel #24
Il faut toujours faire attention avec les nouvelles du Moyen Orient. Les pays « sunnites » du golf doivent dénoncer le Hezbollah (pro-Iran). Et nous savons à quel point les Sunnite et les Shiite s’haissent.
Les Sunnites ont tout intérêt à maintenir Israel en place pour contrer l’effet iranien dans la région (Nucléaire ++). Ils ont peur de se faire tout aussi illiminer de la carte par les Shiites influencés par Quom et Théran (Car un bombe de Allah est « utilisable » contrairement à une bombe de guerre froide pour servir de contrepoids avec « RAISON »).
Israel a ce qu’il faut pour se défendre. Par défaut, Israel est un pion utile au Saoudien et cie… Certains pays de la péninsules ont des populations Shiites fort importante.
Le fameux « surge » de McCain est arrivé en même temps que Cheney est allé voir les Saoudiens pour leur demander de cesser d’alimenter (par l’argent, les armes et des renforts djihadistes Saoudiens) probablement pour leur dire: » Hey Saudi princes… You got Isreal and us in there to counter Iran… Give us a break ! »)
Lorsque le fameux mur Égyptien fut érigé pour empêcher les palestiniens (très soutenues par l’Iran malgré leur Sunnisme) d’entrer en Égypte… La machine propagandiste du Sadar El Mashrek (journal arabo-musulman pro Hezbollah de Montréal) s’est vite empressé de dénoncer l’Égypte parce que celle-ci s’était montrée austère à l’Iran, juste avant l’incident…
Bref, ca pu dans ce coin là ! Et Isreal est de plus en plus seul à jouer ses cartes et se tirer du jeux. Si Obama devait entrer… Israel sera définitivement laissé à lui-même et il devra, comme les alliés l’ont fait dans la deuxième guerre mondiale avec les soviétiques, s’allier avec les Saoudiens.
Conclusion: Le Hezbollah prend du pouvoir, ils ont réussi, en douce, leur coup d’état il y a quelques semaine… et ils influence de plus en plus le Hamas et les palestiniens…
Alors on voit bien ce qui se dessine sans se compliquer la vie…
Lorsque l’Iran décidera d’agir ou qu’Isreal décidera de se défendre… Les Canadiens et Québécois n’ont plus le luxe de jouer la carte du ralativisme ou de pointer du doigt l’Oncle Sam. Il faudra prendre position et choisir dans quel camp nous serons.
Mon camps à moi: Les grand Satan !
Petite analyse personnelle !
Votre petite analyse personnelle, n’est pas bête du tout Le Citoyen. Mais ce qui m’étonnera toujours, c’est pourquoi les gens croient que le Hezbollah est victorieux. Selon moi, il est perdant.
Selon Wikipedia, il y a environ 1,5 milliard de musulmans dans le monde. Ils se répartissent en plusieurs courants, notamment le sunnisme, qui représente entre 80 et 85% des musulmans, et le chiisme rencontré principalement en Iran.
Le Sunnites étant très fortement majoritaires, le Hezbollah shiite n’a que l’Iran comme allié, non ? Si l’Iran n’obtient pas sa bombe nucléaire, le Hezbollah est cuit.
N.B.: Je suis d’accord avec vous que si Obama devait devenir Présidents des USA, Israël serait mis de côté automatiquement. J’espère que les Juifs américains en sont conscients.
Galadriel, je suis d’accord avec le Citoyen. Le Hezbolah a remporté la guerre. Non seulement ne sont-ils pas désarmés (une des premiers objectifs d’Israel) mais de plus ils ont investis le Gouvernement Libanais. En fait, ils sont plus forts qu’avant la guerre.
Et à qui doit-on ça???
À toujours cette même bande de pacifistes de gauche qui ont demandé la cessation des hostilités et le retrait d’Israel.
On sait maintenant de quel côté sont les Duceppe, Falardeau et cie! Ne l’oubliez pas. Et rappelez vous aussi que la jihad a des coffres bien garnis et qu’elle trouve toujours des opportunistes pour accepter leur fric.
Tirez en les conclusions qui s’imposent…
Parlant de la gogauche, vous devriez voir la controverse sur Cyberpesse au sujet de Dieudonné.
Allez vous êtes surpris d’apprendre que tout le monde fesse sur la »presse sioniste », mais que PERSONNE ne trouve que c’est une idée bizarre de faire baptiser sa fille par un nazi ?
J’avais tout compris cela Radisson. N’en reste pas moins que le Hezbollah est tout de même perdant dans le sens qu’il y a 85% de Sunites chez les Musulmans. Donc, si l’Iran n’obtient pas la bombe nucléaire, le Hezbollah est cuit. Tout dépend de l’Iran pour le Hezbollah. À lui seul, il ne pourra rien.
Israël, au lieu de s’occuper des morts, de tomber dans une fausse compassion, devrait s’intéresser aux vivants. Outre cet idiot de caporal Shalit, qui s’intéresse au sort de Jonathan Pollard ? 20 années de prisons ce n’est pas suffisant ?
Bravo pour ce commentaire qui ne fait que montrer tout ce qu’il y a de croche chez les gens qui dénoncent Israël.
Fausse compassion. C’est vrai que pour la gogauche, c’est de la fausse compassion que de s’indigner contre un meutrier d’enfant qui célèbre sa liberté a coup de salut nazi.
En passant, Jonathan Pollard a eu un procès dans les règles de l’art.
Parle pas de compassion quand il n’y en a pas, je n’ai à aucun moment parler de cette ordure de Samir Kantar. Son cas ne m’intéresse pas, parcontre celui de Pollard oui.
Samuel, ça ne vous tenterais pas de vous instruire un peu ? Ce ne sont pas les Juifs qui sont fautifs ici, mais les barbares de terroristes islamistes. Vous faites pi-pic avec vos commentaires haineux dignes du Hamas et du Hezbollah. Continuez votre propagande terroriste, vous prêchez dans le désert sur ce blogue… sauf pour les quelques gogauches pro-terroristes comme vous.
Si vous aviez une once de bon sens, vous aideriez vos compatriotes palestiniens à se bâtir un pays, au lieu de cracher sur les Juifs. Tant que vous haïrez Israël, vous n’aurez jamais votre pays. Mais je pense que vous n’en voulez pas vraiment de pays, votre seul but est d’enlever le pays à Israël. Dieu que je plains les Palestiniens comme vous !
Galadriel, je n’ai pas de sympathie pour le Hizbullah comme vous voulez le faire croire, en fait je m’en fous. Je demande que l’état israélien se batte autant pour Pollard, en prison depuis plus de 20 ans.
En prison pour avoir commis un crime et eu un procès juste et équitable.
David: « Un procès juste et équitable » est quelque chose que Samuel ne peut pas comprendre. « Juste »… ? « Equitable »… ? Des mots qui ne signifient absolument rien pour lui, il ne croit pas en la démocratie.
Quel procès équitable ?
Les USA, depuis les accords bilatéraux entre les USA et Israël, étaient dans l’obligation de donner les informations visant la sécurité d’Israël. A plusieurs reprise Pollard a demandé que les secrets sur l’armement Syrien, Iranien, etc soient transmis à Israël.
Pollard n’est accusé ni de trahison, ni de divulgation de codes secrets ou de programmes militaires, ni de dénonciation d’agents ou de quoi que ce soit pouvant nuire aux Etats-Unis, mais seulement de transfert d’informations classifiées à un pays allié, sans intention de nuire.
Dire qu’il y a eu procès est faux, il y a eu une sentence après transaction à l’amiable entre les USA et Israël.
Le dossier de Pollard, rédigé par Weinberger, n’a jamais été transmis au avocats de Pollard.
La seule façon de donner à Pollard une peine à perpétuité était d’insuner qu’Israël était un état ennemi. A titre d’information, avant sa mort, Caspar Weinberger a estimé qu’effectivement la sévérité de la sentence était disproportionnée.
Elle est ou la justice ?
C’est bien la seule fois ou je serai en total accord avec Netanyahu. Pollard doit être libéré.
Pollard is no Jewish patriot. He is a traitor who sold out his country, and fellow intelligence officers, for money, then claimed he was being persecuted by anti-Semites.
Victim he is not. To the contrary, Pollard is a poster boy for anti-Semitism. His treason unfairly exposes all American Jews to hate, and accusations of doubtful loyalty.
Jonathan Pollard is a traitor of the worst kind – not a second Dreyfus – and should stay in prison.
http://www.aci.net/kalliste/pollard_em.htm
Deuxième tentative d’envoi:
Pollard is no Jewish patriot. He is a traitor who sold out his country, and fellow intelligence officers, for money, then claimed he was being persecuted by anti-Semites.
Victim he is not. To the contrary, Pollard is a poster boy for anti-Semitism. His treason unfairly exposes all American Jews to hate, and accusations of doubtful loyalty.
Jonathan Pollard is a traitor of the worst kind – not a second Dreyfus – and should stay in prison.
http://www.aci.net/kalliste/pollard_em.htm
Jon Pollard, a civilian intelligence analyst in the Navy, wanted to be a spy so badly that he even seemed to think he was a spy long before he actually was. As a college student at Stanford he boasted that he had contacts in the Israeli intelligence services and that his father was a CIA agent who worked in Prague. Both claims were false. He entered phoney education and employment information on job applications and mailed himself telegrams under aliases he made up for himself. Strangely, none of the odd details about Pollard’s personality were noted on his Navy background check report.
Pollard became a Navy analyst in 1979, after leaving a graduate program in law at Tufts University. Initially, he was given an unusually high level of security clearance, but it was revoked within a few months after Pollard made unauthorized and suspicious contact with an attaché from the South African Embassy. It is unclear what business Pollard had with the embassy official, and it was never investigated.
In 1984 Pollard was promoted to a position as an analyst in the Naval Criminal Investigation Service (NIS), and his security clearances were reinstated. He was placed in a new, high-priority unit, the Anti-Terrorism Alert Center, where he gained access to satellite photographs and CIA reports. At least three of Pollard’s acquaintances recall that within months of his assuming his new post he mailed them unsolicited collections of classified information for no apparent reason.
Shortly after he began working at the NIS Pollard met an Israeli intelligence officer in New York named Avi Sella, who was posing as a graduate student at New York University. Sella requested classified information from Pollard — any information he could deliver — and told him that he would be paid for whatever he could provide.
A few days later, Sella and Pollard met in Washington. Pollard provided detailed information on chemical warfare manufacturing plants in Iraq. For this initial transaction Pollard was given a $10,000 diamond and sapphire ring for his fiancée, Anne Henderson, and paid over $10,000 in cash. Sella also agreed to pay Pollard $1,500 a month for his espionage activities as long as they continued.
For about a year after the time Pollard met Avi Sella, he gathered computer printouts, satellite photographs, and classified documents from his department three times a week and brought them to various Washington apartments. There, they were copied and returned to Pollard, who restored them to the Navy the following day. In exchange for his services Pollard received, in addition to the agreed salary, a lavish collection of gifts for himself and his wife, including a honeymoon in a private compartment aboard the Orient Express.
By his own estimates Pollard passed to his Israeli handlers more than 800 classified publications and more than 1,000 cables, probably the largest cache of materials ever passed through espionage. At one point, when Pollard’s new wife was hoping to clinch a job interview at an international public relations firm with branches in China, he brought home five secret studies on China. Her presentation was assessed as brilliant.
Pollard was eventually captured on November 18, 1985, rather unceremoniously, walking out of his office with 60 top-secret documents in his briefcase. His supervisors had become suspicious of his voracious consumption of materials. Commenting not as much on the massive loss of classified documents to Israel and elsewhere but more on the extraordinary lack of security surrounding Pollard’s carefree espionage activities, then Secretary of Defense Caspar Weinberger said, « It is difficult for me…to conceive of greater harm done to national security. »
Pollard pleaded guilty to espionage and was sentenced to prison for life. His wife served a five-year sentence for unauthorized possession of government documents. Upon her release, Anne Henderson Pollard divorced her husband. In 1993 Secretary of Defense Les Aspin reported that Pollard had tried 14 times to disclose classified information in letters written to various recipients from his prison cell.
http://www.pbs.org/wgbh/nova/venona/dece_pollard.html
CET HOMME mérite de rester en prison pour le reste de sa vie.
FAUX.
http://en.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Pollard#Trial
De plus:
The primary investigator in the Pollard case, Ron Olive, stated in his 2006 book Capturing Jonathan Pollard, that Pollard offered classified material to four other countries besides Israel, including Pakistan.
Ben là, je regrette, mais il va falloir qu’Israël choisisse entre avoir les États-Unis comme alliés… ou avoir en liberté le p’tit con de menteur-fabulateur, inconscient et irresponsable qui rêvait de devenir 007 .
Parce qu’il ne peut pas avoir les deux. Est-ce assez clair ?
Israël a tout intérêt à faire le bon choix, parce qu’il n’a que les États-Unis comme alliés. Le choix ne devrait donc pas être trop difficile à faire.
Je comprends Netanyahu de demander sa libération, il veut se rallier un peu la gauche israélienne.
Quant à vous, vos intentions sont très claires, vous désirez la bisbille entre ces deux pays. Il n’y a rien que vous aimeriez plus que de voir Israël perdre les États-Unis comme alliés. Enfin ! Votre rêve d’exterminer Israël, ne serait plus qu’un jeu d’enfant.
Vous vous croyez bien malin, mais vous êtes aussi transparent que de l’eau de roche.
Faux quoi ?
Bizarre quand même, qu’après la sentence, Pollard a été accusé de tous le maux. Quand ce n’état pas vente de documents à la Russie, c’était le Pakistan ou des pays Sud Américain.
Le seul chef d’inculpation dont il a été accusé est le transfert d’informations classifiées à un pays allié.
Pourquoi la personne qui a construit le dossier à la décharge de Pollard, Caspar Weinberger, a avoué des années plus tard, que la sentence était disproportionnée ?
Pourquoi le juge d’appel, Stephen Williams, parle du dossier Pollard comme d’un erreur judiciaire fondamentale ?
Maintenant c’est clair que Pollard a enfrein la loi (lui même l’a admis), que cet un personnage contreversé, mais désolé son délit ne vaut pas la peine à perpétuitée.
Jonathan Pollard was a civilian American Naval intelligence analyst. In the mid 1980’s (circa 1983-1984), Pollard discovered that information vital to Israel’s security was being deliberately withheld by certain elements within the U.S. national security establishment.
Israel was legally entitled to this vital security information according to a 1983 Memorandum of Understanding between the two countries.
The information being withheld from Israel included Syrian, Iraqi, Libyan and Iranian nuclear, chemical, and biological warfare capabilities – being developed for use against Israel. It also included information on ballistic missile development by these countries and information on planned terrorist attacks against Israeli civilian targets.
When Pollard discovered this suppression of information and asked his superiors about it, he was told to « mind his own business », and that « Jews get nervous talking about poison gas; they don’t need to know. »
He also learned that the objective of cutting off the flow of information to Israel was to severely curtail Israel’s ability to act independently in defense of her own interests.
Pollard was painfully aware that Israeli lives were being put in jeopardy as a result of this undeclared intelligence embargo. He did everything he possibly could to stop this covert policy and to have the legal flow of information to Israel restored. When his efforts met no success, he began to give the information to Israel directly.
Jonathan Pollard was an ideologue, not a mercenary. The FBI concluded after nine months of polygraphing that Pollard acted for ideological reasons only, not for profit. This fact was recognized by the sentencing judge who declined to fine Pollard. (See the addendum for further details.)
Furthermore, on May 11, 1998, Israel formally acknowledged Jonathan Pollard had been a bona fide Israeli agent. This fact wiped out any remaining doubt about Jonathan Pollard’s motives. Being an official agent is, by definition, the polar opposite of being a mercenary.
In 1985, his actions were discovered by the U.S. government. His instructions from Israel were to seek refuge in the Israeli embassy in Washington. When Pollard and his former wife sought refuge there, they were at first received and then summarily thrown out into the waiting arms of the FBI.
Jonathan Pollard never had a trial. At the request of both the U.S. and Israeli governments, he entered into a plea agreement, which spared both governments a long, difficult, expensive and potentially embarrassing trial.
Jonathan Pollard fulfilled his end of the plea agreement, cooperating fully with the prosecution.
Nevertheless, Pollard received a life sentence and a recommendation that he never be paroled – in complete violation of the plea agreement he had reached with the government.
Jonathan Pollard was never indicted for harming the United States.
Jonathan Pollard was never indicted for compromising codes, agents, or war plans.
Jonathan Pollard was never charged with treason. [Legally, treason is a charge that is only applicable when one spies for an enemy state in time of war.]
Jonathan Pollard was indicted on only one charge: one count of passing classified information to an ally, without intent to harm the United States.
Prior to sentencing, then-Secretary of Defense Caspar Weinberger delivered a 46-page classified memorandum to the sentencing judge. Since then, neither Pollard nor any of his cleared attorneys have ever been allowed to access the memorandum to challenge the false charges it contains-a clear violation of Pollard’s constitutional rights.
The day before sentencing, Weinberger delivered a four-page supplemental memorandum to the sentencing judge. In it, he falsely accused Pollard of treason. Also in the supplemental memorandum, Weinberger advocated a life sentence in clear violation of Pollard’s plea agreement. The implication that follows from Weinberger’s false characterization of Pollard’s offense as « treason » is that the country Pollard served, Israel, is an enemy state.
Pollard was shown the supplemental Weinberger memorandum only once, just moments before sentencing – hardly adequate time to prepare an appropriate defense to rebut the false accusations in it.
No one else in the history of the United States has ever received a life sentence for passing classified information to an ally – only Jonathan Pollard. The median sentence for this offense is two to four years. Even agents who have committed far more serious offenses on behalf of hostile nations have not received such a harsh sentence.
Pollard’s attorney never appealed from the life sentence. The time to file for such an appeal was within ten days of sentencing. Years later, with a different attorney, Pollard filed a habeas corpus challenge to the sentence.
The Court of Appeals, in a two-to-one decision, rejected the challenge, largely on procedural grounds.
The majority placed heavy emphasis on the failure to appeal from the life sentence in a timely manner, and on the resulting far heavier burden faced by Pollard in seeking to challenge the sentence via habeas corpus. [Note: « Habeas corpus » is a procedure by which an incarcerated person may bring a court challenge to the legality of his or her incarceration – often long after the underlying case has been concluded.]
In a dissenting opinion, Court of Appeals Judge Stephen Williams called the case « a fundamental miscarriage of justice, » and wrote that he would have ordered that Pollard’s sentence be vacated.
In November 1995, Israel granted Jonathan Pollard Israeli citizenship. The official presentation took place in January of 1996. This publicly signaled to the U.S. Israel’s willingness to accept full responsibility for Pollard.
U.S. government sources falsely accuse Pollard in the media of passing « rooms full of classified information » and « hundreds of thousands of documents » to Israel. This volume of information is an absurdity! Pollard would have needed to make numerous « drops » using a moving van to have transferred such a large volume of information. In actual fact, Jonathan Pollard made a grand total of eleven « drops » to the Israelis, using only a small briefcase to hold the documents.
The government used an insidious formula to exaggerate the volume of information that Jonathan Pollard passed to Israel. The formula was: if only one page or a single sentence of a document was passed to the Israelis, it was counted as if the whole document had been transmitted. Even referenced documents and sources were counted as having been transmitted in toto. Using this calculation, a single page could be counted as 50 hard-bound 500 page volumes!
There is no Mr. « X ».
The CIA claim that another highly-placed spy in the U.S. had to exist in order to give Jonathan Pollard his highly specific tasking orders is a complete fabrication. To understand how Pollard was tasked by Israel to secure specific documents, see: Was there another U.S. spy tasking Pollard? – Mr. ‘X’ Exposed.
On May 12, 1998 , in the same statement in which the Government of Israel publicly acknowledged Jonathan Pollard as an Israeli agent, it accepted full responsibility for him, and indicated its commitment to securing his release and repatriation to Israel.
Jonathan Pollard has repeatedly expressed his remorse publicly and in private letters to the President and others. He regrets having broken the law, and is sorry he did not find a legal means to act upon his concerns for Israel. (See Remorse Page.)
Jonathan Pollard has been openly linked to the Middle East Peace Process since 1995.
The Israeli government recognized long ago that Jonathan’s sentence was unjust, that the documents he delivered to Israel did not remotely cause the damage that the prosecution claimed but never proved. As a result of this recognition, various Israeli administrations have negotiated, as a matter of basic fairness, to secure Jonathan’s release.
Since 1995, within the context of the peace process, the US has repeatedly exploited the plight of Jonathan Pollard to extract heavy concessions from Israel.
However despite express promises made by the United States to Israel, Jonathan Pollard remains in jail.
It was the late Prime Minister Yitzhak Rabin who, in 1995, first began openly to negotiate for Jonathan’s release as part of the peace process.
Although President Clinton promised Prime Minister Rabin that he would release Jonathan as part of a Middle East peace settlement, the President refused to honor his promise after Rabin was assassinated.
Rabin’s successor, Prime Minister Shimon Peres, continued to link Jonathan to the peace process, and even went so far as to include a spy swap proposal as part of the deal for Pollard’s release.
The Wye Plantation summit is a prime example of U.S. exploitation of Jonathan Pollard.
Both before and again during the Wye summit negotiations in the fall of 1998, President Clinton promised to release Jonathan Pollard. Pollard was the deal-maker at Wye which enabled the accords to be completed.
At the last minute, with the eyes of the world focused on the Wye Accords signing ceremony which was about to take place in Washington, Clinton reneged on Pollard’s release, creating a storm of negative publicity for Israel.
How the Wye fiasco came about:
In September, 1998, just before the mid-term Congressional elections, President Clinton (who at the time was facing impeachment hearings and in need of a foreign policy PR victory) asked Israeli Prime Minister Binyamin Netanyahu to attend a three-way summit with the Palestinians at Wye River, Maryland.
Clinton knew that a successful summit at Wye just before the Congressional elections would be good not only for his image, but would also reap great political benefits for the Democrats in their bid to regain control of Congress. As an inducement to Netanyahu, Clinton promised to release Jonathan Pollard within the context of the summit.
Understanding the value of Jonathan Pollard for his own re-election bid, and needing him as a sweetener to sell any kind of « peace » deal to the Israeli people, Netanyahu ignored the entreaties of Republican friends like Newt Gingrich and agreed to attend the summit. (Gingrich would later repay Netanyahu by leading the Republican charge of slander and lies against Jonathan Pollard.)
Once the Wye summit was underway, Clinton quickly « forgot » his promise to free Jonathan Pollard and there was little Netanyahu could do.
Talks at Wye broke down over the release of Palestinian murderers with Jewish blood on their hands and over Israel’s request for the extradition of Ghazi Jabali, the chief of Police in Gaza who was wanted for his role in planning and executing terrorist attacks in Israel.
To break the stalemate, the Palestinians suggested Jonathan Pollard as the solution. They proposed that Pollard be sold to Netanyahu once again: the US would give Jonathan to Israel in return for Israel’s freeing of hundreds of Palestinian terrorists and immunity for Ghazi Jabali.
The US and Israel agreed to the Palestinian plan to swap Pollard for terrorists and murderers.
President Clinton personally worked out the details of the deal in a late-night private session with a Palestinian and an Israeli representative.
According to the deal, Prime Minister Netanyahu was to receive a side letter from President Clinton the next morning (one of approximately 30 side letters the Americans had promised) guaranteeing Pollard’s release for November 11, 1998, one week after the US House elections.
The Pollard negotiation was the deal-maker at Wye which allowed the summit to be successfully wrapped up and a signing ceremony to be planned for the next morning in Washington, on Friday October 23, 1998.
Only hours before the signing ceremony, P.M. Netanyahu received all of the American side-letters that had been promised to him, except one – the one guaranteeing the release of Jonathan Pollard.
Netanyahu threatened not to attend the signing ceremony unless he got the Pollard side letter. Clinton said, « Trust me. » Netanyahu, knowing he was about to be double-crossed by Clinton over Pollard for the second time, refused.
Netanyahu demanded that in the absence of a side letter of guarantee, Pollard should be freed into his custody immediately, or no signing ceremony. Arik Sharon supported Netanyahu and they threatened to leave Wye without signing the accords.
In order to take the pressure off of President Clinton, CIA chief George Tenet quickly leaked the news of Pollard’s imminent release to the media in a deliberate – and ultimately successful – attempt to torpedo the deal.
He sent emissaries to Capitol Hill to hold emergency meetings with leading Senators and Congressmen to enlist their support in publicly denouncing Pollard’s release. Many lies were told by the CIA emissaries about Jonathan Pollard to convince the legislators to act swiftly and in unison. Believing the lies, the legislators complied and began an unprecedented series of public actions to prevent the release of Jonathan Pollard.
Meanwhile at Wye, under heavy pressure and still fearful that Netanyahu would not back down, Clinton quickly negotiated a private fall-back position with Netanyahu: Clinton would publicly promise to do a « speedy review »of the Pollard Case and he would use that review to free Pollard a few months later, parallel to the release of the 750 Palestinian terrorists who were part of the price Israel had agreed to pay for Pollard.
Under heavy public pressure and betrayed by his own Minister of Defense, Yitzhak Mordecai*, who closed ranks with Clinton, Netanyahu folded and accepted this private deal. The signing ceremony was held in Washington as scheduled. *(Mordecai himself is now on trial in Israel in 2001 for sexual assault.)
Netanyahu’s capitulation at Wye, the public spectacle of his being brought to heel by the Americans, and the lopsided deal he brought home from Wye now that Pollard was no longer perceived to be a part of it, would shortly cost him his premiership.
After Wye, the White House falsely accused Netanyahu of having injected Pollard into the Wye summit at the last moment.
However, eye witnesses to the Pollard deal at Wye, including the Israeli and the Palestinian who had negotiated the deal with Clinton and the former Israeli Cabinet Secretary, all later contradicted the White House version of events and affirmed that President Clinton had committed himself to the release of Jonathan Pollard as an integral part of the Wye Accords.
Note: Prime Minister Netanyahu was the first prime minster of Israel to agree to free Palestinian terrorists with Jewish blood on their hands. That is the price the Americans demanded for Pollard at Wye. To this day, this represents a keen embarrassment for Netanyahu and his party, even more so since he did not receive Pollard but the Palestinian murders were released nonetheless. That is why no official source from the Netanyahu government ever wants to publicly admit to it. They keep the details to a minimum, but all concur that Pollard’s freedom was bought and paid for by « concessions »at Wye.
When Netanyahu returned to Israel after Wye, he created a firestorm of publicity by releasing 200 Palestinian common criminals from Israeli prisons.
The Palestinians were outraged, and insisted that these common criminals were not the prisoners that they had bargained for at Wye. The Americans angrily protested. Netanyahu reminded the Americans that the Wye Accords do not specify exactly which prisoners Israel must release. Critics wondered if the Prime Minister had lost his mind to antagonize the Americans this way.
Only those close to Prime Minister Netanyahu understood that this was Netanyahu’s private, pointed reminder to Bill Clinton that if he was thinking of double-crossing him yet a third time over Pollard, he should think again. No Pollard, no release for the Palestinian murderers and terrorists.
Unfortunately for Jonathan Pollard, Netanyahu’s government fell before he was able to act on this.
In a meeting with Netanyahu right after his electoral defeat in the Spring of 1999, Jonathan Pollard’s wife, Esther, received assurances from the former prime minister that the new prime minister, Ehud Barak, had been fully briefed about what had been agreed to at Wye and about the fall-back position; that is to say, Israel had yet to free the 750 terrorists with blood on their hands and was still supposed to receive Pollard home in a « parallel gesture » from President Clinton.
Not long after Barak took office, the 750 Palestinian murderers and terrorists walked out of prison as free men. Jonathan Pollard remained in his American jail cell.
In an attempt to justify Clinton’s reneging at Wye, a story was leaked to the press that George Tenet, a Clinton appointee, had threatened to resign as head of the CIA if Pollard were released.
The story, though not logical, sounded plausible and it became popular to cite the opposition of the American Intelligence community as the reason Clinton did not honor his commitment at Wye to free Pollard.
This was soon exposed as the lame excuse it was when Clinton freed a group of unrepentant FALN terrorists in the fall of 1999, in an attempt to improve his wife’s popularity with New York State’s Hispanic community in her election bid for the Senate. (See Senate Race Page.)
To this day, the same lame excuse continues to be used to justify the unjustifiable failure of Clinton to honor his commitment.
In September of 1999, despite strenuous opposition from all of his government advisors and agencies, President Clinton freed 14 unrepentant Puerto Rican terrorists, members of the FALN, charged with bank robbery and various acts of terrorism, including over 130 bombings in the US, and the deaths of American police officers.
Clinton ignored a solid wall of opposition from the Justice, Intelligence and Defense departments and Congress, invoked his powers of executive clemency and set the FALN terrorists free. In doing so, he unequivocally put the lie to the notion that any government agency might tie his hands or influence his decision in matters of clemency. (See FALN Page and Clemency Page.)
More than two years elapsed after Wye. President Clinton did no review. Jonathan Pollard remained in prison while the US continued to extract Israeli concessions for his release.
Those who still believed the myth that it was the American Intelligence Community that was tying the hands of President Clinton, also clung to the belief he would finally honor his many promises to release Jonathan Pollard – including the commitment he had made at Wye – at the end of his term, when he could do so without fear of political reprisal.
Beginning in 1991 Rabbi Mordecai Eliyahu, the former Chief Rabbi of Israel, and Jonathan’s rabbi, offered himself to the U.S. Justice Department as Jonathan’s guarantor. The offer was ignored.
Rabbi Eliyahu repeated the same offer every year after that in private letters to President Clinton.
Every offer went unacknowledged until the fall of 2000, when Esther Pollard received a letter from the White House indicating that the President was aware of the former chief Rabbi’s offer and that it would be part of the President’s consideration in reaching a final decision on her husband’s case.
President Clinton never kept his promises.
When he left office in January 2001, Jonathan Pollard was not included among those that to whom Clinton granted clemency:
in spite of his repeated express commitments to Israel to free Pollard in return for numerous heavy concessions
in spite of his commitment to free Pollard as an integral part if the Wye Accords
in spite of the appeals of the Jewish community, and
in spite of the gross injustices of the Pollard case which include:
a grossly disproportionate sentence
a broken plea agreement
use of secret evidence
a false charge of treason
ineffective assistance of counsel
ex parte communication between prosecutors and judge
a lack of due process
a sentencing procedure infected by false allegations and lies
On his last day in office, Clinton granted clemency to 140 people. Many who received executive clemency had been convicted of very serious offenses, including murder, robbery and drug dealing. Some of those pardoned had served no prison time at all before being pardoned. Among those pardoned were Clinton’s brother, and a former head of the CIA. (See Clemency Page.)
In September of 2000, Jonathan Pollard’s attorneys, Eliot Lauer and Jacques Semmelman, filed a motion in the US District Court of Columbia to vacate his sentence.
The motion, supported by documentation, presents a compelling and very disturbing picture of serious government misconduct that went unchecked by Mr. Pollard’s then-counsel. As a result of that misconduct, and as a result of his attorney’s ineffectiveness Jonathan Pollard was sentenced to life in prison on the basis of false allegations, and under circumstances that violated his plea agreement. (See Legal Doc: Declaration of Jonathan Jay Pollard In Support of Motion for Resentencing. See also Legal Doc: Memorandum of Law in Support of Jonathan Jay Pollard’s § 2255 Motion for Resentencing.)
Since he was sentenced in 1987, none of Jonathan Pollard’s security-cleared attorneys have been able to see the classified portions of the docket in order to challenge them in a court of law or to defend him in a clemency proceeding.
In September of 2000, Jonathan Pollard’s attorneys filed a separate motion requesting that attorney Eliot Lauer be allowed access to the secret portions of the Pollard court docket. (See Legal Doc: Motion to Unseal the Pollard Record.)
On January 12, 2001, Chief Judge Norma Holloway Johnson denied the attorneys’ request to allow Eliot Lauer access to the complete Pollard docket, upholding the government’s claim that Lauer’s seeing the secret portion of the record poses a risk to American national security.
Both Lauer and Semmelman hold TOP SECRET level security clearances, which they obtained from the Justice Department in order to be eligible to see their client’s full record.
A motion for reconsideration was filed January 18, 2001. (See Legal Doc: Motion for Reconsideration of Court Order.)
Amicus briefs supporting Jonathan’s new legal cases have been filed by the American Civil Liberties Union, as well as by top American legal authorities. (See Amici Briefs on the Court Case Page.)
Five Prime Ministers of Israel and three Presidents of Israel have requested Jonathan Pollard’s release from the United States. Israel has pledged to be responsible for its agent who has served many years in prison under harsh conditions, and who has fully and repeatedly expressed his remorse. (See Remorse Page.)
Between close friends and strong allies, that ought to be enough.
On November 21, 2007, Jonathan Pollard entered the 23rd year of his life sentence, with no end in sight.
Comme d’habitude, tu as besoin de croire qu’il y a toujours un double discours dans mes propos. Je demande justice seulement, son délit ne vaut pas la perpétuitée.
Jonathan Pollard is the only person in the history of the United States to receive a life sentence for spying for an American ally.
On November 21, 2007, Pollard entered the 23rd year of his life sentence, with no end in sight.
The maximum sentence today for such an offence is 10 years.
The median sentence for this offence is 2 to 4 years.
Et même si c’est vrai qu’une grande partie de la gauche demande sa libération, des personnalités d’autres horizons politiques dans divers pays demandent sa libération. Dans les signataires on peut trouver Ehud Olmert, Dore Gold, Eliyakim Rubinstein, Yaacov Ne’eman, Daniel Pipes, Rudolph Guiliani, Henry Kissinger, Jonah Goldberg, Rabbi Yoffie, Rabbi Singer, Rabbi Avraham Weiss, etc, etc.
Qu’Israël soit un pays allié et ait besoin de ces information n’a rien à voir. Ce n’était pas à Pollard d’en décider. Pollard a trahi la confiance de son gouvernement que son accès de sécurité lui conférait. Pour obtenir cet accès, Pollard a signé une entente de confidentialité avec son gouvernement.
Quel chaos ça ferait si on laissait tous les analystes décider d’eux-mêmes de la dissémination d’informations secrètes?
C’est pour ça que Jonathan Pollard est en prison.
L’abject Samuel a au moins raison sur le double standard. Depuis le début de la guerre d’Irak, tous les américains de la CIA qui se sont rendus coupables de fuites dans le cadre de leur intifada contre Bush n’ont jamais été mis en prison.
Je me demande pourquoi Samuel n’a pas donné sa source d’information…
The primary investigator in the Pollard case, Ron Olive, stated in his 2006 book Capturing Jonathan Pollard, that Pollard offered classified material to four other countries besides Israel, including Pakistan.
Ce que Samuel ne semble pas comprendre, c’est que même si nous admirons, respectons et aimons Israël, nous ne sommes pas aveugles pour autant.
Si un Juif commet un acte de trahison envers son pays, il doit être jugé et condamné au même titre que si c’était un Palestinien, un Allemand, un Anglais ou n’importe quelles autres nationalités, races ou appartenances religieuses.
En démocratie, la justice prévaut toujours et ne fait pas de passe-droit.
Cet inconscient de Pollard a gravement mis en péril la sécurité des États-Unis en fournissant des informations top-secret à quatre pays, dont le Pakistan. Il mérite amplement la prison à vie.
Sans oublier que: voir mon commentaire # 41:
Il est CLAIR que ce type n’a aucun remords et est encore un très grand risque pour les États-Unis. Qu’il pourrisse en prison jusqu’à la fin de ses jours. Voilà ce qu’il mérite.
Par oubli, les textes viennent du site de soutien à Pollard, certainenement moins crédible que Wikipédia, n’est ce pas ?
Voilà un autre texte tiré du site de Guysen :
Samuel… allooooo ! Y’a quelqu’un ?
Et bien, qu’ils ne partent pas en vacances. Un séjour en maison de repos leur ferait le plus grand bien à ces jeunes déconnectés de la réalité.
Ils ne sont guère mieux que nos jeunes déconnectés gogauches qui veulent le repatriement d’Omar Kadr. Le même gang d’inconscients ! Vivement la camisole de force !
Pollard ne nie pas avoir divulgué des informations à Israël. On parle là d’une sentence disproportionnée. Il n’a plus rien à faire en prison.
Allloooo !
Cet homme est irrécupérable, aucun regret, aucun remords et 14 récidives en plus.
Un gars qui est en prison depuis 7 ans (de 87 à 93) a tellement d’informations nouvelles à divulguer. Trop crédible.
Le point n’est pas là pauvre Samuel. Le point est que c’est homme est prêt à recommencer… 14 récidives depuis son incarcération. Qu’est-ce que vous ne comprenez pas dans cela ? Cet homme serait un dangereux ennemi de la société s’il était remis en liberté, mais ça, vous vous en foutez, vous aimez ce genre de personnes qui pourraient nuire à la sécurité des États-Unis.
Pollard a aujourd’hui la nationalité israélienne, sa femme vit en Israël. Son seul but est de s’installer là bas. De plus va falloir amener les preuves de ses soit disant récidives.
Une question pourquoi l’ancien commandant du navire Liberty avait demandé à Clinton de ne pas libérer Pollard tant que qu’Israël ne reconnaitrait pas la culpabilité de l’état hébreux dans l’attaque du navire ?
Je recite le site de Guysen :
Samuel, on s’en fout de Pollard, il est en prison et c’est très bien. Pareil pour Omar Khadr.
Ah, oui ! L’ancien Directeur de la CIA, George Tenet avait menacé de démissionner si Pollard était libéré. …
Secretary of Defense Caspar Weinberger said, “It is difficult for me…to conceive of greater harm done to national security.”
Bill Clinton a bien failli gracier Pollard sous la pression d’Ehud Barak. Il n’en fut empêché que par la commission de sécurité nationale du Congrès.
Clinton withdrew his consent because of the CIA director’s vehement objection. Tenet also told Clinton that he would resign immediately if Pollard is released. Other intelligence and security agencies also opposed Pollard’s release.
Une suggestion pour vous:
Pourquoi n’allez vous pas avec votre gang de gogauches faire exploser une bombe aux États-Unis pour la libération de ce traîte, au lieu de venir chialer sur ce blogue et essayer de nous faire brailler sur son sort ? Vous pourriez enfin vous éclater à votre goût, non ?
sacré Pollar ce Pollard. Dommage qu’on s’en foute. Personnellement, je pense que si les américains croient qu’il doit rester en prison, ben c’est qu’il le mérite… et qu’il y reste. et si des tarés entamment une grève de la faim pour le libérer, ben qu’ils arrêtent de manger jusqu’à ce qu’ils en crêvent. C’est une bonne façon de combattre la faim dans le monde. ( plus de nourritures pour les autres). Des tarés de moins sur terre, c’est toujours ça de pris… C’est une bonne façon de combattre la faim dans le monde (plus de nourritures pour les autres).
Galadriel,
Tenet a été le seul ancien chef de la CIA ?
L’article fait référence à Robert Woolsey.
Ensuite ton délire sur mon supposé anti-américanisme, comment dire, tu aimes tellement les clichés, jamais une miette de nuance. Les adeptes du « t’es avec nous ou contre nous », je laisse ça aux personnes faibles d’esprits.
Je m’en souviendrai. Mais j’éspère que tu ne viendras jamais tenir un discours larmoyant sur Shalit, parceque je serai quoi te répondre.
Toujours aussi déconnecté pauvre Samuel. Shalit était un valeureux soldat qui faisait parti de la très respectable armée d’Israël: Tashal. Ce pays que vous haissez tant et rêvez de détruire. CE N’ÉTAIT PAS UN TRAÎTE comme ce Pollard. Est-il possible d’être aussi tordu que vous ? Un autre cas désespéré. Il n’y a rien à faire avec vous.
Elle est bien bonne celle-là ! Vous adorez les Palestiniens et haïssez Israël… comment pouvez-vous aimer les États-Unis. Cela ne doit pas êrtre drôle d’être aussi déconnecté que vous.
Bonsoir! Me revoilà revenue D’Eretz ! Trop court, le voyage, même si nous avons été là 1 mois. Mais bon. Pour raison professionnelle, mon mari a dû revenir. Mais nous y retournons dans 2 semaines, mon mari doit faire sa période de réserve obligatoire, pour tous les réservistes de Tsahal 1 mois au moins par année pendant 20 ans. Sam, en passant je me passerai de tes bons vœux pour mon mari en cas ou l’envie te prenait de nous les donner… En espérant que tout se passera bien pour lui. Bon, je suis en train de lire vos échanges au sujet de Pollard… Sur ce coup, je suis d’accord avec Samuel. C’est bien la seule fois ou nous serons probablement d’accord. Pourquoi je le suis? Pour plusieurs raisons, que je ne débattrai pas ici ce soir. Mais? En 1985, son comportement éveilla la méfiance de ses supérieurs. Lui
et sa femme furent suivis de près. En novembre 1985, il fut
interrogé par le FBI et quelques jours plus tard, le 21 novembre, il
tenta de se réfugier avec sa femme à l’ambassade d’Israël à
Washington, en demandant l’asile politique. Le personnel de
l’ambassade refusa de les faire entrer et ils furent arrêtés par les
agents du FBI qui les attendaient près des locaux.
Le couple fut jugé et reconnu coupable de plusieurs actions
d’espionnage. Anne fut condamnée à cinq ans de prison et Jonathan à
la détention à vie, bien qu’il plaida coupable et que dans ce cas,
selon les principes de la procédure pénale américaine, la peine
aurait dû être automatiquement réduite. D’autre part, quand il fut
question d’autres actes d’espionnages aux Etats-Unis pour le compte
d’autres pays, les peines ne dépassèrent pas les dix ans de prison.
Ajoutons que les informations qui furent transmises par Pollard, ne
portaient absolument pas atteinte à la sécurité des Etats-Unis et
que de plus, lorsqu’il est question de transmission de
renseignements à un pays allié, il ne s’agit pas de trahison.
En réaction au dévoilement de cette affaire, Israël déclara qu’il ne
savait rien des activités de Pollard aux Etats-Unis, publia
officiellement ses excuses et à la suite de négociations, Israël
accepta de permettre aux Américains d’interroger les Israéliens qui
avaient été mêlés à cette affaire.
En Israël, deux commissions d’enquête furent chargées d’étudier
cette affaire. Selon leurs conclusions, les responsables
gouvernementaux auraient dû reconsidérer la justification du Lakam.
Durant les premières années de son incarcération, le gouvernement
d’Israël refusa d’agir officiellement pour sa libération. Dans les
années 1990, la politique d’Israël à cet égard changea, grâce au
combat continuellement mené par Pollard, sa famille et diverses
personnalités publiques. Après plusieurs années passées dans le
quartier réservé aux criminels déments et après des années de
mauvais traitement, la pression internationale lui permit d’obtenir
de meilleures conditions de détention.
Parallèlement, plusieurs demandes d’amnistie ont été transmises à
l’administration américaine, mais elles ont été repoussées. En
février 2006, Pollard fit appel à la Cour suprême, mais le 8 juin,
il fut rejeté.
Le Rav Haï Chemla, dit ceci sur le compte de Pollard.
Cette semaine, nous avons reçu également une lettre ouverte de celui
qui est depuis 21 ans en prison pour avoir accomplit son devoir de
Juif : Yonathan Pollard. Il y a 21 ans, lui qui travaillait pour la
CIA avait constaté que les Etats-Unis avaient empêché la diffusion à
l’Etat d’Israël de renseignements concernant l’armement extrêmement
dangereux que l’Irak de Saddam mettait au point contre Israël. Or,
il existait un accord entre les Etats-Unis et Israël pour divulguer
l’un à l’autre tout renseignement pouvant présenter un danger. Mais
les Etats-Unis ne respectèrent pas cet accord. Yonathan Pollard prit
alors sur lui de transmettre directement aux Israéliens les
informations qu’il possédait. Grâce à lui, la destruction de la
centrale nucléaire d’Osirak (que la France avait vendue à Saddam)
fut possible et permis d’épargner des millions de vies Juives !
Malheureusement, Yonathan Pollard fut démasqué. Il chercha refuge à
l’Ambassade d’Israël à Washington, mais les employés de l’Ambassade
l’expulsèrent et le remirent dans les mains des services de sécurité
américains ! Les autres espions israéliens qui travaillaient avec
lui, furent rapatriés rapidement, mais pas Yonathan, qui avait
pourtant un accord avec Israël garantissant sa sécurité au cas où il
serait démasqué. Au contraire, l’Etat d’Israël nia toute implication
dans cette histoire. Il fut donc traduit en justice et condamné à
la prison à perpétuité. Bien d’autres espions furent libérés à
l’occasion de divers échanges avec l’Amérique mais jamais Yonathan
Pollard ne vit sa peine modifiée. Au contraire, il est un personnage
qui dérange la quiétude de «l’amitié américo-israélienne» ! Si le
gouvernement israélien a réussi à faire libérer des personnages
beaucoup plus louches que notre valeureux Yonathan, il a tiré un
trait sur celui qui a donné sa vie pour sauver son peuple : raison
d’état oblige !
Il fut conseillé à Yonathan Pollard de plaider coupable afin
d’obtenir un allègement de peine; c’est que qu’il fit : en vain. On
lui demanda ensuite de formuler ses excuses au gouvernement
américain, ce qu’il fit : en vain ! Il semble même qu’un célèbre élu
(à nos dernières élections) ait en sa possession un document unique
qui permettrait, s’il était remis aux Américains, de faire libérer
Yonathan. Mais il semble que cet élu ait peur de voir son prestige
éclaboussé par la révélation de ce document, et qu’il préfère en
nier l’existence ! Certains affirment même que cet élu serait à
l’origine de l’emprisonnement de Yonathan Pollard !
Tout d’abord l’interdiction de livrer un Juif aux Goyim. Nous
citerons le Michné Tora du Rambam sur les Lois concernant les
dommages, חובל ומזיק (8,9) : «Il est interdit de livrer un homme aux
mains des non-Juifs, que ce soit son corps ou son argent, même s’il
s’agit d’un méchant ou d’un pécheur, même s’il fait du dommage. Tout
celui qui livre aux non-Juifs l’argent ou le corps d’un homme, n’a
pas droit au Monde Futur !
Puis il y a les Lois concernant le rachat des prisonniers : le
Michné Tora dans les Lois concernant les Dons aux Pauvres, הלכות
עניים (8,10) s’exprime ainsi : «Le rachat des prisonniers précède
les dons aux pauvres et leur habillement ; il n’ y a pas de plus
grande Mitsva que le rachat des prisonniers. Car le prisonnier est
affamé, assoiffé, dénudé et se trouve en danger de mort ! Celui qui
ferme ses yeux devant le rachat des prisonniers transgresse
l’interdiction de «ne pas endurcir son cœur et de ne pas fermer sa
main», «ne pas se tenir indifférent devant le sang de son prochain»,
«de ne pas le laisser traiter avec dureté devant toi» ; il méprise
également la Mitsva positive «d’aimer son prochain comme soi-même»
et «de sauver ceux qui sont pris par la mort» ainsi que d’autres
choses : il n’y a pas une plus grande Mitsva que le rachat des
prisonniers !
Nous ajouterons dans le cas de Yonathan Pollard que l’attitude des
gouvernements israéliens est dangereuse, car elle dissuade tout Juif
de venir en aide à l’Etat d’Israël si celui-ci agit de la sorte !
Yonathan Pollard a émis des excuses écrites pour regretter son geste
extraordinaire, ce qui pourrait signifier qu’il aurait mal agit !
Nous citerons quelques phrases bouleversantes de sa dernière lettre
ouverte, en espérant que D. nous délivre de tous les exils en ce
mois de Nissan et qu’Il nous envoie immédiatement Moshi’ah !
«Ma 21ème fête de Pessa’h en prison approche. Si aucun miracle n’a
lieu, voici ce que je vais vivre durant cette semaine et celles qui
vont suivre : la faim, l’hyperthermie, les travaux contraignants, la
solitude, la maladie et le sentiment de traîtrise. Chaque année, je
ne reçois pas suffisamment de nourriture durant la fête et la faim
est mon plus fidèle ami. Cette année la situation sera encore pire :
la nourriture Casher Le Pessa’h a été volée par les détenus…Je suis
totalement seul, sans famille, sans amis, sans visites. Ceci est mon
dernier cri, mon cri du cœur, du fond du cœur, du fond de mon âme.
Je vous appelle au secours du fond de ma cellule !»
Que D. entende cette détresse et agisse au plus vite ! Et que chacun
de nous prenne conscience et réagisse face à cette situation !
Rav Haï Chemla
Bon. Svp, ne me traité pas d’inconsciente pour autant. Eh non, je ne suis pas non plus antiaméricaine pour autant. Mais j’ai trouvé toujours cette chose un peu bizarre. Pollard, veut tout simplement rentrer à la maison en Eretz. Mais bon. Je partage les points de vus différent du mien. Et je ne suis pas ici ce soir, pour vous faire changer d’avis, ni pour plaider sa cause. Mais les USA ne sont pas blancs comme neige non plus. Il ya bien sûr une partie des USA, qui soutient Israël parce que c’est deux pays ont des points communs, démocratie, droit de l’homme, valeurs humaine, liberté d’expression et de l’être humain, etc.… Mais il y a aussi un côté sombre des USA et tout cela pour ne pas non plus déplaire au saoudiens. Attention, je suis ouverte aux avis différents des miens Je le dis Israël sera bientôt de plus en plus seul contre ses ennemis lorsque les intérêts des USA changeront de côté. Et heureusement, beaucoup de juifs soutiennent cet état de fait. Israël doit compter que sur lui-même et son D. Rien d’autre! … Lire à ce sujet : Notre monde : la face sombre de l’Amérique
Par Caroline B. Glick
http://www.jpost.com/servlet/Satellite?pagename=JPost/JPArticle/ShowFull&cid=1126491575362
Adaptation française de Simon Pilczer, volontaire de l’IHC O.N.U. : une attitude ambiguë vis-à-vis d’Israël
mercredi 18 janvier 2006, 16h00
Par Sotek,
Cet article a été rédigé par un reporter d’AgoraVox, le journal média
citoyen qui vous donne la parole.
Pour le reste mon cher Sam, je te trouve autant déconnecté que loin de la pensée juive et l’humaniste juif! … Allez Sam, vas faire un petit tour à Gaza, ton aide leur sera précieuse! … OU bien préférais-tu mieux le hezb? … En passant, que penses-tu du monstre samir kountar libéré? Et de plus qui fait son salut nazi? … Que penses-tu du Liban presque entier, qui célèbre cet assassin d’enfants? … Décidément j’ai bien peur que le Liban a vendu son âme au diable! …
Ah? C’est nouveau, que les commentaires doivent être approuvés?
Seulement pour les gens qui n’ont pas encore la maturité pour faire des commentaires basés sur les arguments et non pas sur les insultes.
Ce que Cyberpresse écrit au sujet de cet
assassin est pas exact. Voilà la véritable version, hélas, elle est plus cynique, encore.
Je mentionne un résumé des articles concernés, allez les lire cela en vaut la peine. Surtout difusez-le autour de vous.
Dans l’histoire de la brutalité et de la sauvagerie terroriste, Kuntar est une figure marquante.
Kuntar est un druze libanais appartenant au front de libération de la Palestine.
Le 22 Avril 1979, il s’infiltre par bateau en
Israël
, accompagné de 3 complices. C’est vers minuit qu’ils entrent dans un immeuble de la petite ville de Nahariya et prennent en otage un père, Danny Haran,
âgé de 28 ans, et sa petite fille Einat âgées de 4 ans alors que la mère et leur deuxième fille de 2 ans parviennent à se cacher dans un recoin de la chambre
à coucher. Kuntar entraîne alors le père et la petite fille sur la plage. là il abat le père d’une balle à bout portant dans le dos sous les yeux de sa
fille. Puis, agrippe la petite de 4 ans et lui écrase le crâne contre un rocher puis continue à s’acharner sur le corps sans vie en brisant les os avec
la crosse de son fusil.
Dans l’appartement de la famille Haran, où les 3 complices attendaient le retour de kuntar, la petite fille de 2 ans est morte accidentellement asphyxiée
par sa mère, terrorisée dans le recoin de la chambre, qui tentait de contenir les pleurs du bébé.
Un policier fut également tué par les terroristes.
Le lendemain, Abu Abbas proclamait depuis Beyrouth que l’attaque avait été menée en protestation aux accords de paix entre
Israël
et l’Egypte à Camp David.
Source
Wikipedia
et
Washington post
http://www.bivouac-id.com/2008/06/29/comment-liberer-samir-kuntar/#comment-5518
Un autre source :Les marchands d’os d’Allah et leurs complices (info # 013006/8)
Par Ilan Tsadik
Monday 30 June [12:19:00 BST]
Arad Kuntar
Nous apprécions également l’extraordinaire noblesse d’âme de Madame Smadar Haran, dont la famille a été massacrée par un commando du Front pour la Libération
de la Palestine, sous les ordres de son chef sadique Samir Kuntar, lorsqu’elle a envoyé un pli au gouvernement pour signifier qu’elle ne s’opposait pas
à l’échange de nos soldats morts contre des assassins vivants.
Il faut, en effet, une certaine hauteur d’âme pour écrire, après le massacre de son mari et de ses deux filles par Kuntar : « Ce meurtrier abhorré n’est
pas, et n’a jamais été mon prisonnier personnel. Il est le prisonnier de l’Etat d’Israël et son destin doit être déterminé en vertu des intérêts sécuritaires,
aussi bien que par les considérations éthiques et morales dictées par ses citoyens, tant maintenant qu’à l’avenir ».
A l’occasion d’une conférence de presse, Smadar Haran a encore ajouté : « Sur le chemin pour venir ici, je me suis rendue auprès des tombes de ma famille,
le cœur brisé, sachant que leur meurtrier pouvait être bientôt libéré. Je leur ai demandé leur pardon pour être incapable d’empêcher, cette fois-ci, sa
libération ».
Poursuivant, elle a donné un exemple de civisme qu’à la Ména nous ne sommes pas près d’oublier : « Je n’ai pas le monopole de la peine, ni de la souffrance,
ni même de la justice. Notre destinée commune pèse dans la balance. Nous faisons tous partie de ce pays », a conclu Madame Haran. Quant au « doyen des détenus libanais », Samir Kuntar, le 22 avril 1979, à la tête de trois autres complices, Asslan, Al-Muayed et Al Abras, il franchissait
à bord d’un Zodiac, à près de 90 à l’heure, la frontière marine d’Israël. Les terroristes abordèrent dans la paisible ville côtière de Nahariya, pour y
mener ce que le FLP baptisera l’ »Opération Nasser ».
Vers minuit, ce jour-là, ces authentiques héros, après avoir liquidé un policier sur la plage, commirent un acte d’une bravoure inouïe en s’attaquant à
la famille Haran, dans un immeuble locatif sis au 61 de la Rue Jabotinsky, faisant face à la Méditerranée. Le détenu libanais s’empara du père, âgé de
28 ans, Danny, et de sa fille aînée, Einat, qu’ils traînèrent jusqu’à la plage.
Smadar, la mère, parvint à ramper vers une cachette en y emmenant sa cadette, Yaël, deux ans, ainsi qu’un voisin. Malheureusement, en bâillonnant Yaël pour
l’empêcher de pleurer, sa mère l’étouffa.
Sur la plage, entre-temps, la déchéance dans le comportement humain atteignait son comble. Après avoir ordonné à ses complices de faire le guet, Kuntar
exécuta Dany d’une balle tirée à bout touchant dans le dos, sous les yeux de sa fille. Et pour s’assurer que le père avait rendu l’âme, le « doyen des détenus
libanais », selon la formule imagée de Schattner, noya le visage de Danny sous l’eau durant de longues minutes.
On n’était toutefois pas encore au sommet de l’horreur. Samir Kuntar, retournant sur ses pas, réalisant qu’il n’avait pas encore accompli tous les objectifs
de l’Opération Nasser, s’en prit alors à la petite Einat. Il commença par lui administrer de violents coups sur la tête avec la crosse de son fusil, puis
transporta son ennemie de quatre ans sur un rocher, où il termina de lui fracasser le crâne. Les paramédicaux parvenus sur place après la neutralisation
de deux des terroristes et l’arrestation des deux autres, avaient rapporté à l’époque que l’état du cadavre de l’enfant était « irregardable ». http://www.menapress.com/article.php?sid=2099
Honte à Mahmoud Abbas,
définitivement disqualifié par ses félicitations à Samir Kuntar
Jean-Pierre Bensimon
Objectif-info, le 18 juillet 2008
Mahmoud Abbas s’est empressé d’adresser ses félicitations à la famille de Samir Kuntar, dès son élargissement vers le Liban mercredi dernier. L’hommage
du représentant palestinien à la fine crème du terrorisme, à un tueur d’enfant jamais repenti, au plus abominable ennemi de toute paix et de toute conciliation
entre les Arabes et Israël, à ce symbole de la barbarie islamiste à l’état pur, n’est pas un évènement secondaire qui sera emporté par le tourbillon de
l’actualité.
La vidéo ci-jointe, mise en ligne par les autorités israéliennes et traduite en français par Objectif-info, donne une idée du personnage qui justifie les
félicitations du chef palestinien. Elle en dit autant sur ce chef que sur le terroriste dont elle évoque les glorieux faits d’armes.
Mahmoud Abbas vient de signer un acte politique de premier ordre, ratifiant des appartenances parfaitement incompatibles avec toute référence aux droits
de l’homme, à la démocratie, aux valeurs du libéralisme civil et politique occidental.
L’attitude du président palestinien était en réalité parfaitement prévisible. Le vieux compagnon de terrorisme d’Arafat, auteur d’une thèse négationniste
rédigée à Moscou, a été baptisé « palestinien modéré » par les Occidentaux lorsqu’il s’est agi de trouver un successeur à Arafat. Mahmoud Abbas avait l’avantage
d’avoir pris ses distances avec le raïs sanguinaire et corrompu jusqu’à plus soif qui lui servait de guide. Il ne lui reprochait pas ses méthodes terroristes
ni ses penchants pédocides – lui qui appelait en permanence les enfants palestiniens à aller se faire déchiqueter par une bombe pour tuer des Juifs –,
mais une utilisation maladroite de la force contre Israël alors que l’on pouvait obtenir plus par des moyens politiques.
Récemment, il s’est vanté d’avoir été tiré la première balle contre Israël et d’avoir organisé des camps de formation pour les premiers militants du Hezbollah.
Dans le même mouvement, en plein « processus d’Annapolis », il se déclarait prêt à une nouvelle guerre contre Israël, dès que le rapport de force se serait
modifié. Cet homme n’a jamais rien renié des formes les plus abjectes du terrorisme palestinien. Il revendique avec la détermination la plus totale de
s’inscrire dans la continuité de la collection de « shahids », autant de cadavres qui pavent la sinistre voie de son ancien maître. Dès qu’un hôte de marque
lui rend visite à Ramallah, il le presse d’aller s’incliner sur sa tombe, pour lui faire endosser l’orientation jihadiste et raciste qui témoignent des
errements du mouvement « national » palestinien. Georges Bush s’y est radicalement refusé. Nicolas Sarkozy a préféré se rendre à Bethlehem pour éviter l’épreuve
en juin dernier, mais il a donné des gages en envoyant son ministre de l’intérieur, Mme Alliot-Marie, faire le sale boulot à Ramallah.
Comme dirigeant réaliste, Mahmoud Abbas est prêt à toutes les contorsions pour mendier des subsides à l’Occident et s’en moquer mezzo voce. Il fallait le
voir se confondre en amabilités factices pour le président français. Il n’en a pas moins refusé d’écouter le discours d’Olmert à la conférence du Paris
du 13 juillet, et le voila qui félicite le clan Kuntar. Autant de soufflets sur les joues déjà rouges de notre président qui a fait de ce personnage la
pierre angulaire de ses espoirs juvéniles ou retors de conciliation, de dialogue et de paix des bonnes volontés.
L’Occident a besoin d’un Palestinien « modéré » pour donner des demi gages aux dictatures et aux monarchies arabes. Il a donc posé un bonnet de « palestinien
modéré » sur le crâne d’Abbas, lequel l’a accepté contre des milliards de dollars qui servent essentiellement à financer une bureaucratie terroriste en
cours d’écroulement et la poursuite de l’incitation à la haine d’Israël et des Juifs. Malheureusement pour MM. Bush et Sarkozy, le « modéré » recueille dollars
et euros mais sème la haine de tout ce qui est occidental, maintient la haine et le fanatisme qui détruisent le malheureux peuple arabe « palestinien »,
et contribue à perpétuer le pourrissement de la région auquel il a déjà tant contribué. Ce sont ces réalités que les Occidentaux devraient affronter au
lieu de se répandre en embrassades et en accolades avec un admirateur des tueurs d’enfants.
La vidéo mit par Olmert est ici, dont parle objectif.info.
http://www.dailymotion.com/video/x660tj_samir-kuntar-lamentable-heros_news
Je l’ai toujours cru et dit, abbas, hamas, fatah, hezb, djihad même combat! …
Ok, je comprends très bien et je suis pour cette décision. Mais en quoi, M. Gagnon, j’ai insulté ou je démontré une forme d’imaturité sur le blogue? Merci et bonne fin de soirée à vous. Bathya Cohen.
Bonjour Bathya, j’espère que votre séjour en israël a été bon.
Je suis en désaccord avec vous sur toute la ligne en ce qui concerne Pollard. Vous vous positionnez du côté religieux, pas moi. J’adore Israël et les Juifs, mais je trouve leur religion aussi ridicule que n’importe quelle autre religion. Donc, mon point de vue n’est pas biaisé par la religion, il est strictement logique.
Ce Johnatan n’a aucun remords, aucun regret et a récidivé 14 fois en prison. Il est irrécupérable. Ce n’est pas un héros, mais un traîte aux États-Unis et il mérite de rester en prison.
Les États-Unis ne sont pas obligés de dévoiler tous leurs secrets, aucun pays n’est tenu de tout révéler. D’autant plus que les alliances se défont facilement de nos jours.
Israël avait déjà suffisament de références en ce qui concerne la centrale nucléaire d’Osirak, Pollard n’a joué aucun rôle là-dedans. Puis il a aussi donné des renseignements au Pakistan et à 3 autres pays.
Il n’avait pas à prendre la décision de dévoiler les moindres détails, ce n’était pas son rôle. Il a trahi les États-Unis, ce pays allié d’Israël et a failli compromettre l’appui des États-Unis à Israël… c’est très grave ce qu’il a fait. Et pour cela, trahir son pays… en plus un pays allié d’Israël, il mérite ce qu’il a car c’est impardonnable. Où serait Israël aujourd’hui si les États-Unis avait décidé à ce moment de laisser tomber Israël ? Vous êtes-vous déjà seulement posé la question ?
Non, cet inconséquent et irresponsable est à sa place sous les verrous et je souhaite autant pour le bien des États-Unis, d’Israël et de toute la planète, qu’il y reste. C’est êtres épris de grandeur dans leur narcissisme démesuré sont un danger public. Il n’était qu’un employé, son rôle était d’être un bon et loyal employé. Aucune pitié pour ce déconnecté de la réalité.
P.S. : Bathya, la modération n’était pas pour vous. Mais il arrive parfois, lorsque l’on met un lien, que l’ordinateur le prenne pour un spam et il est automatiquement mis en modération. Le truc est d’envoyé le commentaire sans lien et après qu’il apparaît, y rajouter le lien. Bonne soirée !
Oui, merci il a été excellent. Malgré le fou au bulldozer, tout s’est bien passé, pour nous.q
Bon. Écoutez, je ne tiens pas à m’obstiner sur la question, même si mes positions sont autant ferme que les vôtres. Je ne crois pas qu’il méritait une peine de prison à vie pour cela. De plus, pour ma part, ce n’est pas qu’une religion le pourquoi de mon désaccord, mais parce que je ne suis pas si sur des sources apportées ce soir que j’ai lu ici. Pour ma part, j’ai lu également d’autres sources qu’on pourrait tout autant trouver valables. Puis je ne connais aucune personne au USA, qui a eu une telle peine après ce genre de délit. Bon. Vous dites qu’il a récédivé en prison 13 14, fois? Je n’ai jamais lu cette information, ce n’est qu’ici que j’ai prise connaissance de cette affirmation. Est-elle vraie? J’en suis pas si certaine. Je ne peux divulguer tout ce que je sais à ce sujet, car, mon mari faisant parti de l’armée, à des amis qui en savent pas mal long sur cette histoire. Si Israël peut commettre une erreur, les USA aussi. Et puis, selon certaines sources, si un certain dossier était divulguée Pollard pourrait sortir. Mais bon. Bon voisinage oblige. Et puis, vous savez même si je suis très croyante, je ne crois pas avoir un jugement biaisé sur Pollard. J’ai donné l’aspect religieux, mais mon désaccord est loin de s’arrêter là. Car, si mon jugement sur la question de Pollard, se limitait à la religion, vous auriez probablement raison de le considérer biaisée. Bref, vous avez le droit Madame d’être en désaccord sur toute la ligne avec moi, chacun à le droit à ses opinions. J’ai aucun problème avec ça. Même Samuel, dont les opinions m’exaspère, je ne lui en veut pas pour autant. La haine, la rancune je connais pas. De toute façon, sur un blogue, on ne peut être tous d’accord. Le but c’est de partager des idées, des opinions en se respectant. Mais je ne sais pas si c’est vous ou un autre, mais j’ai cru avoir lu qu’un blogueur avait comparé kadr à Pollard! Là je trouve que c’est de manquer de nuance grave. mais bon. ON va quand même pas en discuter des mois… Vous trouvez la religion juive autant illogique que les autres. Vous en n’avez le droit. Ne vous inquiétez pas les juifs ne convertissent persone de force contrairement à l’islam, ni au christianisme qui l’a fait pendant longtemps. Par contre, ce n’est quand même pas notre religion aujourd’hui qui fait le plus peur, qui commet le plus de dégâts dans ce monde! …Allez bonne nuit. Pour ma part la mienne est chamboulée du au décallage horraire…
Deux ans sans aucune information, un cauchemar inhumain pour les familles. Et voilà, ce « Délégué » du Hesbollah, avec un cynisme révoltant, déclarant. « Nous allons rendre Ehoud Goldwasser et Eldad Regev qui sont prisonniers chez nous depuis deux ans.
Allez! Encore une méga dose d’Adrénaline dans mon corps….
A la question d’un journaliste » Sont-ils vivants? Il répondra « Vous allez le savoir de suite ».
Mon sang ne fait qu’un tour, jusqu’où ces gens peuvent-ils aller? Quelles sont les limites de la culture de la haine?
Vous pensez vraiment qu’avec des individus pareils une paix est possible? Deux soldats morts rendus pour 200 corps libanais et palestiniens. Un juste rapport de la proportion d’humanité de ce groupe de terroristes 1% et encore
je suis large. Car en plus des 199 morts nous leur avons rendus 4 vivants qui vont être reçus en héros.
« Des larmes de joie pour les libanais, des larmes de peine pour les israéliens » Telles sont les pancartes de Bienvenue de la petite sauterie organisée au Sud Liban. La haine et le cynisme portés au paroxysme. Mais, ce sinistre abjecte va encore plus loin en déclarant ceci : Title: Echange de prisonniers : Wafik Safa, le coordinateur du Hezbollah, exulte à Rosh Hanikra. Il se félicite que son organisation ait réussi jusqu’au dernier instant à torturer les familles des otages, et tous les Israéliens, en laissant planer le doute sur le sort des 2 militaires. (Guysen.International.News)
Le monde entier est anesthésié par cette mouvance terroriste et leur grand frère d’Iran, qui ne feront aucun cadeau le moment venu.
Ils ont tout simplement la haine de ceux qui ne sont pas comme eux, même parmi leurs « frères ». Exécuter, tuer exploser, égorger. Comment une telle graine de Satan peut elle exister? Si les allemands, les anglais, les américains, les polonais, etc… ont pu faire la paix c’est parce qu’ils sont tous identiques, des européens avec des différents territoriaux exacerbés par une déviance passagère d’un homme hégémonique et démoniaque comme l’histoire de l’humanité en a connu des dizaines. Dans ce cas précis, nous parlons d’une haine qui va bien au-delà de toute logique. La haine viscérale du juif, avec comme toile de fond l’excuse légitimant
leur folie: Israël n’a pas de place dans cette portion de terre d’Islam.
Culture de la vie contre culture de la mort, en fait là est l’essentiel dVivants, morts ? Le Hezbollah a laissé planer le doute sur le sort des soldats kidnappés jusqu’au dernier moment. Bien que blessés, ils avaient été capturés vivants! . Si nous Ce dimanche là, le ministre libanais des Affaires étrangères Faouzi Salloukh a donné, vers midi, des nouvelles des deux militaires séquestrés par l’organisation terroriste d’obédience chiite. Il
aurait évoqué la question devant des journalistes à l’issue d’un
entretien avec le délégué du gouvernement allemand, également responsable des relations internationales au sein du ministère allemand des Affaires étrangères.
Le ministre Salloukh, proche du Hezbollah, a déclaré que les deux
jeunes militaires israéliens étaient en bonne santé et se trouvaient
en lieu sûr. Le monde ne s’est pas ému d’apprendre que Nasrallah a ordonné leur exécution, dans des conditions que l’on n’ose imaginer. La couverture médiatique de l’événement reste bien faible, tandis qu’aucun représentant
politique occidental n’a condamné l’assassinat par le Hezbollah des soldats israéliens, voire le cynisme de ses auteurs. C’est la mort seule que l’on déplore, et non sa cause. Les déclarations des responsables libanais qui ont suivi le retour
triomphal des prisonniers libanais et palestiniens ne montrent pas la voie de la paix, ni ne tracent le chemin de la raison. Belliqueux, le Président libanais Michel Suleiman à qui Nicolas Sarkozy avait donné l’accolade le 14 juillet dernier, n’a pas hésité à affirmer qu’il emploierait la force contre Israël pour récupérer les fameuses fermes de Sheeba, toujours revendiquées par la Syrie. Parlons en de ce territoire. Title: Le Hezbollah continuera à combattre Israël, indépendemment du dossier des fermes de Chebaa. Le numéro deux de la milice chiite libanaise, cheikh Naïm Qassem a déclaré au journal Al Hayyat : »Nous n’avons pas besoin du prétexte des fermes de Chebaa, pour lutter contre Israël, car c’est un élément
agressif ». Il avait qualifié Israël samedi de »source permanente de danger ». (Guysen.International.News). Triomphal, Nasrallah a réussi à créer un semblant d’unité libanaise autour de « sa victoire ». Tous les officiels libanais étaient présents, dont le Premier ministre Fouad Siniora et le leader druze Walid
Joumblatt, pour accueillir chaleureusement Samir Kountar, vêtu de l’uniforme des combattants terroristes du Hezbollah…
Après avoir passé 29 années en prison pour l’assassinat de quatre israéliens à Nahariyya, Samir Kountar a affirmé qu’il ne regrettait rien de « l’opération » qu’il avait menée en 1979… et a promis qu’il retournerait en Palestine pour y mourir en martyre. Il a ajouté qu’il rejoindrait le Hezbollah prochainement. Samir Kuntar bientôt doté d’un passeport diplomatique palestinien… Le Premier ministre Hamas Ismaïl Haniyeh affirme avoir donné l’ordre à son ministre de l’Intérieur Saïd Siyam de s’occuper de la question, après s’être inspiré de l’assassin libanais pour durcir ses revendications dans le
dossier de Guilad Shalit. Samir Kuntar s’est adressé à la foule venue le saluer au stade de Beyrouth et a insinué que le Hezbollah attaquera Israël plus violemment à l’avenir. Il a précisé qu’« Israël se languira d’Imad Moughniyeh ».
le président Michel Sleimane remercie le Hezbollah qui a contribué à la libération des 5 détenus libanais. La garde d’honneur de l’armée libanaise est déjà déployée, et l’orchestre prêt à jouer. L’hélicoptère du président libanais Michel Sleimane va transporter les 5 Libanais de Rosh Hanikra jusqu’à Beyrouth. ce mercredi a été décrété jour férié par le gouvernement, afin de célébrer selon les termes du communiqué » la libération des détenus des prisons de l’ennemi israélien et du retour des restes des martyrs ». une »parade de la victoire » des corps des terroristes remis mercredi par Israël, se dirige vers Beyrouth. Les Libanais lancent du riz et des pétales de roses sur les 190 cercueils enveloppés des drapeaux libanais et du Hezbollah.
(Guysen.International.News). Non, la cérémonie organisée en l’honneur d’un assassin n’engage pas le Moyen-Orient dans la voie de la paix. C’est l’armée terroriste du Hezbollah qui a fait le salut nazi pour accueillir son leader, entouré de l’ensemble de la classe politique libanaise. A la lecture des banderoles en l’honneur d’un Nasrallah « libérateur », les propos tenus par Bernard Kouchner au nom de la présidence du Conseil de l’Union européenne frisent le surréalisme. En quoi ce que l’on appellera bientôt l’affaire de l’échange des prisonniers permettra-t-elle de « diminuer les tensions entre les parties » ou de « poursuivre la mise en œuvre de la résolution 1701 » ? Pourquoi parle-t-il de conflit israélo-libanais, et non d’une histoire qui intéresse le Hezbollah au premier chef ? Maintenant, que le hamas a vu la faiblesse d’Israël, Ismaïl Haniyeh par exemple, le leader du Hamas qui depuis Gaza a demandé la libération des 11 000 prisonniers palestiniens en échange de la restitution d’un caporal israélien retenu en otage! … Il ne nous reste que l’espoir de voir Gilat Shalit rentrer à la maison, tout en espérant que l’épisode du Hezbollah ne donne pas d’autres idées à, leurs frères d’inhumanité de la bande de Gaza.
Enfin je pense à ceux qui ont vu leurs morts ressurgir après 30 ans, la famille du policier et celle de cette famille exécutée en pleine nuit. Voilà l’homme que nous avons libéré; voilà le prix que nous avons payé pour que Deux familles puissent enterrer leurs morts sur le sol d’Israël, pour qu’ils aient le droit de dire le Kaddish sur leurs enfants et pour qu’une épouse ne soit pas Aggouna (déclarée que son mari soit disparu sans sépulture et sans qu’elle puisse jamais se remarier).
Que leur souvenir soit béni.
Je suis partagée, entre la rage, la honte et le geste morale en quelque sorte.
La libération de cet assassin que les libanais considèrent comme une victoire, est pour eux une récompense pour l’ enlèvement et le meurtre des deux soldats israéliens, au lieu de les punir !
Ma peur est qu’Israël n’avait jamais accepté de négocier des cadavres contre des assassins.
Et surtout pas d’enfants! … Le ministre de la défense déclarait ceci : «En tant que ministre de la Défense, je le répète, si par malheur l’un d’entre nous tombe aux mains de l’ennemi, nous ferons tout notre possible, tout ce qui est humainement et raisonnablement possible, pour le ramener à la maison. C’est un engagement du peuple d’Israël tout entier» Israel , le pays des controverses mais aussi un pays guidé par la morale universelle , telle est notre devise , devant le salut nazi du hezbollah et cette cruauté gratuite de ne vouloir divulguer le sort des soldats jusqu’à mercredi. Nous n’avons aucun choix , quitte à négocier avec des assassins , la mort
dans l’âme. Bien beau tout ça, on reconnaît la grande moralité du juif. Mais Barak semble avoir oublié ceci: échanger un assassin contre des morts? C’est une marque de faiblesse qui Encouragera de nouvelles prises d’otages. Nous devons être aussi impitoyables que nos ennemis, car ceux- ci ne connaissent que le langage de la force.
Croyez vous qu’on aurait vaincu l’Allemagne nazie avec des bons sentiments. Quand il a fallu bombarder Dresde ou Berlin et anéantir ces villes, n’a t’on Pas tué des civils allemands innocents? Il y a là, un véritable danger. Israël, est entré dans un engrenage sans fin. il est loin le temps où Israel refusait de négocier avec les terroristes à MUNICH. Le grand gagnant la dedans est le hezbollah. Pour preuve. Le jour même où le Hezbollah rendait les corps des soldats Eldad Regev et Ehoud Goldwasser, contre le retour de cinq terroristes et les dépouilles de 199 Palestiniens et Libanais, un sondage révélait que le chef de l’organisation terroriste, Hassan Nasrallah était perçu dans le monde arabe comme « le leader
arabe le plus admirable ». 26 pourcent des personnes interrogées dans six pays différents ont désigné Hassan Nasrallah comme leader le plus admiré dans le monde arabe.
Pour 16 pourcent des sondés, c’est le président syrien Bashar Al Assad qui jouit de ce statut. 10 pourcent enfin, jugent que c’est le leader iranien Ahmadinejad qui mérite d’être « admiré ».
Ce sondage a été publié par le Centre Saban de l’institue Brookings de Washington, une organisation publique à but non lucratif qui conduit des recherches dans des domaines aussi variés que les sciences sociales, l’économie ou la politique internationale. La mission de cet institut est de « proposer des recommandations innovantes et pratiques visant à atteindre trois but : renforcer la démocratie américaine, consolider l’économie la protection sociale, la sécurité de tous les Américains, et favoriser un système de coopération
internationale ouvert, sûr et prospère ».
Ce sondage, mené auprès de près de 4000 Arabes (non Palestiniens) en Egypte, Arabie Saoudite, Liban, Maroc, Jordanie et Emirats arabes unis, a été publié le jour même où Israël procédait à un douloureux échange de prisonnier avec le Hezbollah. 99 pourcent des Chiites libanais interrogés ont par ailleurs déclaré qu’ « Israël était plus faible qu’il n’en avait l’air et que sa défaite n’était qu’une
question de temps ». « Il s’avère que les leaders les plus meurtriers et barbares sont aussi les champions du monde arabe » a indiqué le Professeur Rafi Israeli de l’Université Hébraïque de Jérusalem, pour qui ces résultats ne sont en rien surprenants. Peu après les attaques terroristes du 11 Septembre, un sondage similaire avait placé Oussama Ben Laden en première position des leaders arabes. Qu’ils soient chefs politiques ou non, ces profils semblent donc exercer une véritable fascination sur le monde arabe qui accueille avec enthousiasme les messages de violence et de haine proférés par ces ‘leaders’. Une fascination qui s’est manifestée dans toute sa splendeur lors des cérémonies organisées en l’honneur du terroriste libanais Samir Kuntar, ce mercredi à Beyrouth, en présence du Premier ministre libanais Fouad Siniora et du président Michel Suleiman. Ce qui me fait encore plus mal au coeur, c’est qu’aucun occidentaux, les bon donneur de leçon à Israël d’humanité n’ont su condanné et se dissocier de cela. N’oublions pas, que durant son emprisonnement, Samir Kuntar a fait la connaissance d’une arabe israélienne, membre d’une organisation défendant des terroristes emprisonnés et l’a épousée. Ce, avant d’en divorcer, quelques temps après ! Pendant qu’ils étaient mariés, l’épouse de l’assassin d’Einat a bénéficié d’une rente mensuelle, allouée par l’Etat hébreu aux femmes de prisonniers !!! Samir Kuntar a même fait des études en sociologie, depuis sa cellule, obtenant
ainsi un Master de l’université hébraïque !
Et tout ça payé grassement par l’État israélien, sur lequel il déverse si librement sa haine! … J’espère que le Mossad sera lui faire sa fête très bientôt! …Ce n’est pas pour rien que le lâche de nasrallah se terre comme un ver de terre dans sa tanière! … Il a peur et il fait mieux de surveiller ses petites fesses! … Ce n’est qu’une question de temps pour qu’il aille rejoindre ses 72 vierges dans son paradis de son allah! … Alors les bonnes âmes pensantes, qui veulent nous faire à croire, que le terroristes provient de la pauvreté, d’un manque d’éducation, et que je sais-je encore toute des inventions de la gauche malade, allez faire vos devoirs et ça presse! Ce type a eu toute la chance de changer, de se réhabilité mais non! Il a choisi les voies de la haine et de la mort. Quand on le voit, avec sa moustache, la mèche sur le front, le bras tendu, on se demande si ce n’est pas le petit fils d’hitler… //newsimg.bbc.co.uk/media/images/38772000/jpg/_38772485_wide_pa_300.jpg La paix n’est hélas pas pour demain, ni après demain…
« Nous attendons de nos ennemis qu’ils soient humains, comme nous. Mais nos ennemis nous ont montré qu’ils sont exactement le contraire. Je me tiens là devant toi, je pleure mais je suis fier de notre peuple, je suis fier d’appartenir à ceux qui aiment et non à ceux qui haïssent », a déclaré Ofer Reguev, le frère d’Eldad dans le discours d’adieu à son frère.
(Guysen.International.News). Alors, pour celui qui demandait si Israël pouvait être aussi lâche et barbarres que ces bêtes sauvages, eh bien non.
Là je vous rejoint à 200%. Les sunnites ont tout intérêt à ce que l’Iran n’ai jamais la bombe… Mais ni ces deux grand mouvements aime Israël d’ailleurs, les juifs ne peuvent entrés en arabie saoudite. Et il ya quelques années, un prof saoudien avait eu le droit à 200 coups de fouets pour avoir dit que les juifs étaient bons! …donc il est bien beau l’article de Galadriel mais cette réaction de leur part est purement par intérêt et non par amour pour les juifs et Israël…Car, nous savons tous effectivement comment les sunnites et les shiites se détestent…Pour le reste de votre commentaire. Les juifs le savent que tôt ou tard, il seront seul. Vous verrez dans à peine quelques années, Israël sera de plus en plus seul.
Il y a la Syrie qui est le grand ami de l’Iran. Mais bon. En effet la Syrie sans l’Iran à mon avis est pas très menaçante!
Oui, ils le sont. Mais de toute façon, le mal sera toujours perdant. On ne le voit pas toujours mais c’est une évidence même. Et puis, ce n’est pas que les juifs qui décideront en novembre du président des USA, mais un peuple entier. Je sais qu’en Israël le monde espère tous que ce soit MC…
Tout à fait. Le hezbollah est vainqueur pour le moment. Il a gagné sur toute la ligne. De plus la 1701 n’a jamais été respecté par la finul la nule… Bien au contraire, le hezbollah, estt parfaitement libre d’agir à sa guise, devant une finul toujours aussi complice des terroristes. sans qu’ils bronchent. D’ailleurs un ministre d’Israël l’a signalé, et la finul s’est empressé de dire que c’était nom fondé… Faut rappeler que le hezbollah selon l’armée israélienne, possède actuellement plus de 40000 roquettes dont beaucoup pouvant atteindre Tel-Aviv ! … Moi, j’ai compris le pourquoi que le hezbollah, et l’armée libanaise fait une scène à l’ONU à chaque fois que des avions israéliens s’y baladent, sur leur territoire…
Samuel, arrêtez un peu, là! Vous pouvez ne pas être d’accord avec Israël ok. Vous pouvez haïr ce pays ok. Vous pouvez être pro-palestinien, ok. Mais stp, soyez respectueux un peu. pour un pauvre soldat de 19 ans qui s’est trouvé prisonier de barbarres de la pire espèce… Si vous ne l’êtes pas pour lui, soyez le du moins pour sa famille qui vivent des moments atroces. Vous savez j’ai vue beaucoup des juifs de gauches, des style Abraham Burg, mais jamais un juif qui allait jusqu’à traitter un soldat fait prisonier par l’ennemi de idiot et de nom semblable. Vous me faites pitié vous me faites honte! Allez-vous en,vous trouverez bien si vous prenez le temps de faire le tour sur le Net des sites ou vous pourez cracher votre haine en toute liberté sur Israël, croyez-moi ça manque pas. Car franchement, ce n’est pas très joli vos déclarations!
Comment pouvez-vous vous en fichez? Là il doit y avoir une donne qui m’échappe! Êtes-vous conscient de tout le mal que ces lâches font subir à Israël?
Avez-vous vu, le salut nazi que ces bêtes font? Samuel vous me dépassez! …
Vous pensez vraiment que les USA sont les alié d’Israël par compassion? Pas moi. Le jour ou les USA leurs intérêts seront menacés, le fait de soutenir Israël il s’en détourneront. De toute manière Israël dans un avenir pas si lointain hélas sera seul, face à ses ennemis… Et il le sait très bien.
Vous seriez surpris de voir le nombre d’israéliens et de juifs en diaspora soutenir Pollard, et qui sont loin d’être à gauche. Et, je doute très fort que tous ces juifs sont tous mal informés, des petits cons, des juifs voulant jouer à 007! …. Ou bien, se basant sur la religion pour désirer sa libération. Pour ma part, ce dossier m’a toujours semblé pas très clair. Puis, ce n’est pas tant le fait de sa condamnation que sadisproportion dont je suis en désaccord.
Je n’ai jamais nié cela, et lui non plus, d’ailleurs. Mais une sentence à vie! … Quand on pense aux autres qui ont agit de façon similaire? … Et pour le reste, vous avez raison, il n’a qu’Israël qui libère ses pires assassins de ses prisons! …
Je ne suis pas Samuel, mais c’est une chose dont vous signalez et que je déplore dans ce jugement. Pour quoi lui et les autres sont en liberté? … Ce n’est pas tant la condamnation que je déplore mais sa durée!
Mais, personne ici n’a dit même Samuel, que parce qu’il était juif il devait avoir un traittement de faveur, différent des autres citoyens. Vous avez donner une source parlant de récidive 13 à 14 fois. Mais, il devait quand même pas avoir grand secrets,à transmettre en prison. Puis ce qui m’étonne d’avantage, il aurait divulgué quoi? Étant en prison, il n’avait plus de grande possibilitée de maneuvre, pour transmettre quoi que se soit. Enfin bon… Ça me semble louche, tout ça.
Je connaît des sources qui sont quand même informées ou cela se contredit. Enfin bref, une vérité ne peut être éternellement cachée. Mais pour moi, ça ne change en rien à sa disproportion.
Sur ce point bien Daccord. Ce n’est pas qu’il est eu une peine que je déplore le plus, mais sa disproportion.
Ouais, bah enfin. On ne passera tout de même pas la journée à débattre sur Pollard. Je sais qu’il a toujours eu des oposants comme des pours.
Ayoye! Vous avez quel âge, Samuel? 2 ans? 6 ans? Quelle raisonnement enfantin de votre part! Franchement, là vous mélangez tout. Parce que ici, les gens sont pas en faveur de Pollard, en quoi le malheureux Shalit en n’est responsable? Svp, revenez à la raison, de grâce! Sur Pollard, je partage votre avis, mais ne mélangez pas tout! …
Bathya Cohen,
Ce n’est pas une question de tout mélanger, mais dans un débat dire « Pollard on s’en fout », ça veut dire quoi ? On peut être pour ou contre sa libération, mais « on » s’en fout, ça n’a pas de sens.
Je ne porte pas dans mon coeur le caporal Shalit, mais je pense aussi que son temps de détention a suffisamment duré. J’espere pour lui et sa famille qu’il passera le prochain Roch Hachana avec les siens. Traiter ce soldat d’idiot n’est pas très intelligent de ma part, mais j’ai comme un ras le bol d’entendre régulièrement en France cette mobilisation pour ce Franco-Israélien alors qu’à côté de ça l’étudiant Franco-Palestinien Salah Hamouri est détenu dans les prisons israéliennes depuis 2005, et dont les seuls crimes sont d’être un possible membre d’un mouvement proche du FPLP, et d’être passé devant la maison du Rav Ovadia Yossef, leader spirituel du parti Shass. Et pour lui aucune mobilisation. Ok Shalit n’y est pour rien, mais on ne peut pas demander justice pour un et nier la justice pour un autre. On ne fait pas la une des journaux sur le sort d’un soldat, et se taire sur tous les palestiniens en prison en Israël, dont le seul crime est d’être activiste. La majorité de ces palestiniens enprisonnés, qui se battent pour défendre leur liberté, ne sont ni des terroristes, ni des assassins. Ils n’ont rien à faire en prison.
Tu me demandes ce que je pense de Samir Kantar, j’en ai parlé plus haut, tu ne l’as peut-être pas vu, donc je le répète c’est être est une ordure.
Maintenant Galadriel, je n’ai jamais rêvé de la destruction d’Israël. C’est sur des points comme cela que je ne vois aucune nuance dans ton propos.
Pour ton anti-américanisme, oui je suis en désaccord sur la politique extérieure des USA. Mais pour plusieurs points j’ai un grand respect pour cet état, et notamment un qui va peut-être te sembler ridicule, c’est cette liberté qu’ils ont donné à la communauté juive. Voir des orthodoxes et des ultra orthodoxes étant tellement acceptés, pour la majorité des américains il n’y a plus de question, c’est tellement évident que ces gens font partis de ce paysage qu’est leur pays à eux tous. Pour ça, j’ai un profond respect.
Nombre de pays devraient s’inspirer de cette ouverture qui est à des années lumières de cette politique abjecte de l’assimilation.
Bathya, je vous explique plus clairement ma position. Et quoi de mieux que cet extrait pour préciser ma pensée:
Le Mossad est extrêmement puissant. Depuis leur création, les services secrets israéliens ont pour but premier la sauvegarde de leur pays, quoiqu’il en coûte. Ils sont considérés comme les meilleurs services secrets du monde et l’actualité l’a démontré, que ce soit à Dar el-Zour , à Damas ou à Isaphan. Néanmoins, leurs dirigeants sont parfois irresponsables: ils n’hésitent pas à infiltrer leurs plus proches alliés, sans se soucier des conséquences.
Réalise-t-on dans le Hadar Dafna de Tel-Aviv, boulevard Roi-Saül, là où travaille le Mossad, combien ceci peut affecter les relations entre les deux pays ? Qu’Israël, s’il est lâché par son cousin américain, pourrait se retrouver seul face à la menace iranienne.
Le Mossad aime jouer avec le feu. Mais lorsque l’on habite dans la poudrière du Moyen Orient, mieux vaut ne pas se muter en pompier pyromane.
http://molynary.com/content/view/87/50/
À propos de Pollard, voici ce que dit Washington:
A Washington, deux raisons sont avancées quant à cette attitude intransigeante. Et d’une, l’opinion publique ne suivrait pas, qui voit en Jonathan Pollard un officier qui a failli à ses obligations. Et de deux, le FBI estime que Jonathan Pollard détient encore des informations pertinentes. Donc, pas question de le relâcher avant terme.
Après avoir longtemps joué à l’autruche, Israël a finalement reconnu avoir été l’employeur de l’ex-officier américain. Depuis, celui-ci a été, et est toujours dédommagé financièrement. Jonathan Pollard et sa femme Anne ont perçu quelques 275 000 dollars. Davantage pour le couple actuel.
Sources: Israël Valley
http://espionnage.over-blog.com/categorie-184337.html
Vous voyez Bathya, c’est ce que Samuel aimerait voir arriver. S.V.P., ne jouez pas son jeu et acceptez d’avoir perdu Pollard, c’est mieux que de perdre des alliés aussi puissants que les États-Unis. Eux aussi doivent se protéger contre les terroristes et ne peuvent pas se permettre d’avoir des traîtres dans leur pays, fussent-ils Juifs. Comprenez cela, Bathya. Je trouve que malgré tout, les États-Unis ont eu le pardon assez facile pour Israël, d’abord pour l’offense, puis ensuite pour avoir longtemps joué à l’autruche en niant leur implication. Appréciez-le et n’insistez pas pour Pollard qui n’était finalement qu’un traître complètement irresponsable dans sa manipulation insouciante des documents les plus secrets des États-Unis . Et rappelez-vous aussi qu’il a donné des renseignements à 4 autres pays, dont le Pakistan.
Alors là, je ne partage pas du tout votre opinion que je trouve quelque peu méprisante. Les États-Unis sont les alliés d’Israël parce qu’ils sont les gardiens de la démocratie sur cette Terre. Ils respectent le pays civilisé qu’est Israël, ils protégeront la démocratie de ce seul pays démocratique et civilisé de ce coin de la planète. Et s’ils y trouvent en plus quelques intérêts personnels, c’est bien tant mieux. C’est bien beau le missionariat, mais il ne faut pas oublier que leur alliance avec Israël est à la base de beaucoup d’ennuis pour eux avec les pays arabes. Je pense que leurs ennuis dépassent largement les bienfaits qu’ils peuvent en tirer. Les USA lâcheront Israël le jour où ce pays ne méritera plus leur confiance et leur protection. Et un bon moyen d’y arriver est de continuer d’insister pour la libération de ce traîte de Pollard. Est-ce vraiment ce que vous voulez Bathya ? Pas moi.
Le blog drzz avait vu juste sur l’implication du Mossad dans l’affaire Bétancourt.
http://leblogdrzz.over-blog.com/article-21396793.html
Voici ce que les services secrets israéliens et américains peuvent faire lorsqu’ils allient leurs forces:
LE MOSSAD A PARTICIPÉ À LA LIBÉRATION D’INGRID BÉTANCOURT, SELON UN JOURNAL ESPAGNOL
20 juillet, 2008
Le Mossad, service des renseignements extérieurs israéliens, a aidé à la libération de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, selon le journal espagnol La Vanguardia de dimanche, qui assure que les services secrets français et américains y ont également participé.
« Le Mossad et les services secrets des Etats-Unis et de la France ont travaillé pendant plus d’un an avec les autorités colombiennes pour élaborer le plan » qui a permis la libération de Mme Betancourt et de 14 autres otages, selon la Vanguardia, qui se base sur « une source des services secrets israéliens ».
Quinze otages retenus par les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), dont Mme Betancourt, ont été libérés le 2 juillet lors d’une opération de l’armée colombienne.
Israël, la France et les Etats-Unis y ont participé pour diverses raisons, selon la Vanguardia: la France à cause de la présence de Mme Betancourt, les Etats-Unis, de trois otages américains et Israël pour conserver de bonnes relations bilatérales avec la Colombie et les Etats-Unis.
Pour cette opération, deux personnes, qui ne se connaissaient pas, ont été préparées séparément pour infiltrer les Farc, selon l’article signé par un envoyé spécial de La Vanguardia à Tel-Aviv.
Les deux sont parvenues à infiltrer la guérilla et ont créé « une réalité qui correspondait parfaitement à l’environnement » des Farc, mais « qui n’était pas réelle », de manière à ce que « les services secrets ont fini par contrôler ce que savaient ou ne devaient pas savoir les Farc », poursuit le journal catalan.
Parallèlement, les services secrets israéliens et américains appliquaient des « tactiques de guerre électronique contre les Farc », avec des avions espions sans pilote survolant les zones de forêt signalées par les infiltrés.
Des images satellites ont été remises aux experts pour permettre de découvrir les camps des otages, poursuit la Vanguardia.
http://www.varmatin.com/ra/monde/135327/le-mossad-a-participe-a-la-liberation-d-ingrid-betancourt-selon-un-journal-espagnol?utm_source=rss&utm_medium=feed&xtor=RSS-220&
Ol Samuel, d’accord. Je crois avoir tout dit sur Pollard, je n’y reviendrai pas. Pour le reste de votre commentaire, je le commenterai même pas, ça n’en vaut pas la peine! .
Pour Galadriel. Je comprends tout ça. Mais une dimension vous échappe encore. Les juifs, en quelques sortes, ne font pas vraiment confiance à personne. Pourquoi? Je crois que le passé leur a donné raison … Et l’avenir en sera tout autant hélas. Voilà la raison de l’audace du Mossad que je respecte énormément… Car malheureusement, la méfiance a aussi ces mauvais côtés et parfois cela fait faire des conneries regrettables. Si vous avez lu mon commentaire, je mentionne également pourquoi les USA sont les alliés d’Israël, et ces côtés sont très nobles. Mais il y a l’autre côté des USA. Que vous semblez ignorer quelque fois. Mais bon. Vous avez le droit à vos opinions, je le redis encore. Je ne nie pas que les USA est été et le sont encore détesté parce qu’il soutienne Israël. Mais Israël est un peu mené par le bout du nez aussi par eux. Et ça, je le déplore. Sur quoi je me base? Sur certains évènements comme les articles ici en font fois. [DESINFOS.COM] Cinq ans après le discours utopique de Bush sur la résolution du conflit arabo-israélien, il est temps qu’il déclare publiquement une nouvelle stratégie. J’avoue que sur la présidence de Bush Israël est mieux que sur celle de Carter, ou de Clinton, ça je suis loin de le nier! Rice parfois qui a eu des déclarations pendant ses visites en Israël, d’inconsciente. Bon. Je ne prendrai pas chaque choses qu’elle a énoncé que je considère dangereux pour Israël mais ils ont quand même été dites. De plus, je trouve que les occidentaux y compris les USA devrait voir clair dans le jeu d’Abbas qui est un peu plus clair, et reconnaître une fois pour toute, que les palestiniens ne sont ni intéressés par un État, ni la paix avec Israël. C’est sur cela que je trouve qu’il joue parfois double jeu. Revenons à Clinton, par exemple. Mais Clinton, malgré tous ses efforts, n’a rien obtenu et son sommet de Camp David a entraîné une
catastrophe. La situation sanglante qu’il a léguée à Bush nelaissait aucune place à une initiative diplomatique. La contribution essentielle de l’administration de Bush, orchestrée par Rice, a été l’enracinement de l’idée d’un état palestinien dans
l’esprit international et le tracé de ses futures frontières. Les
administrations précédentes avaient coutume de grogner à propos des
«implantations» en disant qu’elles étaient un «obstacle à la paix»,
mais elles ont très peu fait pour les paralyser. Bush et Rice ont imposé à Ariel Sharon de geler la construction dans les «implantations» situées au-delà de la barrière de «séparation» et l’ont poussé à se retirer sur la ligne verte de la bande de Gaza.
Leur étroite surveillance a empêché Israël de construire le quartier «A-1» près de Maalé Adoumim et récemment, les Américains ont bloqué la nouvelle «implantation» de Péretz dans la Vallée du Jourdain. Si au moins les palestiniens recherchaient réellement la paix, cela serait tout de même moin pire, mais c’est loin d’être le cas.
La lettre de Bush d’avril 2004 a présenté le contour d’un futur état
dans le cadre d’un accord sur deux des trois questions : la
frontière sera approximativement conforme à la barrière de
séparation, aux «échanges» de territoire et les «réfugiés»
s’installeront en Palestine et pas en Israël. L’arrêt des pressions
contre la barrière et contre la construction dans les blocs
«d’implantations» a traduit le vague langage de la lettre de Bush en
une réalité physique. Bon. Jusque là, ça va. Bien d’accord. La ministre des Affaires étrangères américaine Condoleezza Rice rencontre en ce moment le Premier ministre Ehoud Olmert. Elle a déclaré cet après midi dimanche 25 mars après sa rencontre avec le
chef de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas (Abou Mazen) que l’initiative de paix saoudienne est la base du renouvellement des négociations de paix entre Israël et les Palestiniens. Je suis bien d’accord qu’elle a mentionné que cette accord est la base et non la fin, mais tout de même, rien de bien bon pour Israël. Connaissez-vous l’accord de paix des saoudiens? Condoleezza Rice se rendra lundi 26 mars en Jordanie où elle s’entretiendra avec Abou Mazen et avec le roi de Jordanie Abdallah
II. La rencontre portera sur l’initiative de paix saoudienne.
La proposition saoudienne soutient l’idée de deux Etats pour deux
peuples : à côté de l’Etat d’Israël serait crée un Etat palestinien
aux frontières de 67 et une solution négociée devrait être trouvée
au problème des réfugiés palestiniens. En contrepartie, les relations entre Israël et les Etats arabes seront normalisées. Cette proposition faite il y à 5 ans a été acceptée par la ligue arabe. Je vous suggère de lire également : Par Caroline B. Glick
http://www.jpost.com/servlet/Satellite?pagename=JPost/JPArticle/ShowFull&cid=1126491575362
Adaptation française de Simon Pilczer, volontaire de l’IHC
Pour ma part, cela est un danger sûr, pour Israël. D’un côté les USA soutienne Israël, et de l’autre côté, … Il serait tant de reconnaître pour toute personne sensées que les palestiniens ne veulent ni d’un État palestinien vivant en paix avec Israël, mais un État à sa place. C’est sur cela qu’il faudrait être clair une fois pour toute. Un article recueillie en faveur des USA pour Israël. Je vous en colle un bout. N.U. : une attitude ambiguë vis-à-vis d’Israël
mercredi 18 janvier 2006, 16h00
Par Sotek,
Cet article a été rédigé par un reporter d’AgoraVox, le journal média
citoyen qui vous donne la parole.
L’État hébreu fut déclaré coupable d’ « apartheid » par l’Iran, et de
« génocide » par Cuba. Garante du droit international, l’Organisation des Nations Unies, malgré
une corruption endémique, une passivité aberrante et des aspirations
autoritaires, conserve une aura importante en Occident, notamment en
Europe et dans les milieux démocrates américains. Sans nous attarder sur
l’ensemble des controverses dont l’institution internationale est
actuellement l’objet, abordons un autre scandale, passé étrangement sous
silence sur le vieux continent, qui vient à nouveau ébranler une vision
idéaliste partagée par beaucoup d’Occidentaux.
Il y a quelques jours de cela, le New York Sun révélait le contenu d’une
lettre adressée au secrétaire général de l’O.N.U. , Kofi Annan, par John
Bolton, ambassadeur des Etats-Unis auprès des Nations Unies. Le diplomate
américain y critiquait violemment l’attitude de l’organisation
internationale vis-à-vis d’Israël, brandissant la menace d’un gel de la
participation financière de son pays au budget onusien. La colère de M.
Bolton trouve sa source dans la célébration annuelle de la « Journée
internationale de solidarité avec le peuple palestinien », qui s’est tenue
au siège de l’O.N.U. et durant laquelle fut exposée une grande carte de la
Palestine qui « omettait » la présence d’Israël. « Sachant qu’il y a
actuellement un dirigeant cherchant à obtenir des armes nucléaires qui
appelle à effacer Israël de la carte, le problème est encore plus grave »,
écrit M. Bolton. Le secrétaire général, qui avait participé à ladite
célébration en compagnie de nombreux hauts-représentants de différents
pays du Tiers-monde, a fait savoir à l’ambassadeur américain, par
l’intermédiaire d’un porte-parole, qu’il lui était « reconnaissant » d’avoir
porté ce fait à son attention, et que le département des Nations Unies
responsable de l’évènement n’utiliserait plus cette carte à l’avenir
durant cette célébration. Deux semaines après la réception du message de
M. Bolton par M. Annan, deux questions essentielles demeurent encore sans
réponse : « Qui est le haut-responsable du secrétariat qui a approuvé
l’utilisation de la carte pour l’évènement ? Les Nations Unies ont-elles
l’intention d’utiliser cette carte pour d’autres fonctions ou évènements
qu’elles soutiennent ? ». « Nous n’avons pas reçu de réponse jusqu’à
présent », a affirmé Richard Grenell, représentant de M. Bolton. Evènement
tout aussi préoccupant : quinze jours seulement après « l’incident »au siège
de New-York, une conférence onusienne, qui s’est déroulée à Caracas au
Venezuela, a appelé implicitement à la fin d’Israël en déclarant, par le
biais du département de l’information publique des N.U. , que « la solution de deux États au conflit israélo-palestinien n’est plus viable ». Ce qui, évidemment, aboutirait à la mort démographique de l’État juif. Voyez-vous, je suis loin d’être antiaméricaine, j’aime beaucoup les USA et Israël leur doit beaucoup. Mais je vois aussi l’autre mauvais côté de tout ça. Car, les USA exige beaucoup d’Israël et parfois pas toujours en sa faveur. Mais c’est vrai néanmoins, que c’est sont meilleur allié sur la planète. Ce que je n’ai jamais nié mon amie. Quand vous dites que j’ai des propos méprisants envers les USA, mais pas du tout. Aimer un pays, ce n’est pas de lui donner toujours raison, ni de nier son côté sombre. Attention, je ne dis pas qu’Israël n’a pas de défaut, loin sans faut. Il a des côtés lui aussi moins reluisants, et faut faire avec. Comme en ce moment, Israël n’a pas de véritable leadership. Le gouvernement est corrompu jusqu’à l’os, et veille plus à leurs intérêts personnelles que ceux du pays qu’ils prétendent défendent. Il se ridiculise sur la scène internationale bien des fois, en dialoguant avec des fous comme le hezbollah, ce que j’en suis certaine les USA n’aurait pas fait si il aurait été a sa place. Il est en train de perdre toute crédibilité internationale, la confiance des juifs et surtout de ses citoyens. Et le plus grave, il a perdu le respect de ses ennemis, qui jurent encore de le détruire, que ce soit par des moyens politique comme le fait Abbas ou par le terroriste comme le fait le hamas et le hezbollah ou le djihad. S’il continue de faire preuve d’autant d’incohérences, et d’illogisme, De cette manière il risque de tout perdre. Les USA aime les gagnants pas les perdants. Ce qui me fait le plus mal dans tout ça, c’est de voir hélas, Israël n’est plus l’Israël d’antan. Et pour lui c’est vitale, s’il veut continuer à vivre dans ce milieu de plus en plus hostile à son égard. Prenons la guerre contre le hezbollah au Liban de juillet 2006. Je crois que les USA ont été drôlement déçus d’Israël, et de la façon que le pays a géré le conflit. Jamais Israël n’avait été autant humilié. Si les USA ce sont rangé avec les autres pour exigé l’arrêt des hostilités, je crois que c’était pour protéger Israël, car il savait qu’Israël aurait été perdant, en fin de compte, et lui a empêché d’être plus humilié. Et sur ce point, je l’en remercie. J’espère que si Israël doit attaquer l’Iran, il ne le fera pas seul. Et si il doit agir seul, il faudra que cela change de gouvernement. Car sinon, se sera catastrophique pour lui. Voyez-vous, je suis loin d’être tendre envers Israël. Et pourtant, j’aime ce pays comme la prunelle de mon œil. Critiquer un pays n’est pas nécessairement être contre lui. Il y a une nuance ici à bien saisir. Je suis très critique envers Israël, et pourtant je l’aime de tout mon coeur. Mais aucun pays au monde, ne doit se battre pour sa simple survie depuis 60 ans aucun. Donc, sa méfiance je la comprends, je l’accepte, sans toute fois toujours la justifier… C’est ce qui explique l’audace du Mossad. La méfiance hélas entraîne toujours des erreurs, plus ou moins graves. Et, ne vous inquiétez pas, je ne fais certainement pas le jeu de Samuel. Je suis trop intelligente pour cela. Mais ce n’est pas parce que nous ne sommes pas toujours d’accord avec les USA, et que je trouve parfois leurs décisions exagérées que nous sommes contre eux, et antiaméricain pour autant. En tout cas, pour ma part du moins. Sans rancune.
Oui, bravo et bravo aux deux plus grandes démocratie du monde!
Bathya Cohen, ce que vous dites est intéressant, mais bien trop long.Vous perdez beaucoup de lectorat.
C’est malheureux
Radisson, je tenterai de faire plus attention. Vous avez raison. Mais voyez-vous sur Canoë, fallait tout expliquer pour les gauchistes de services. Donc, j’ai prise la mauvaise habitude, de ne plus résumer, mais de donner l’histoire au complet. J’essaierai de ne pas oublier que canoë et antagoniste la marche est haute!Merci de me le signaler. Bonne soirée, Bathya Cohen.
Bathya, l’on sait tout cela que l’ONU n’a plus rien de respectable et qu’elle est infiltrée de dictatures et de tyrans de la pire espèce.
On sait aussi que les Palestiniens ne veulent pas d’État vivant paisiblement côte à côte avec Israël… ils veulent tout l’espace et détruire Israël… on sait cela, inutile de le redire.
Les États-Unis et Israël sont loin d’être parfaits, mais ce sont quand même les deux meilleurs modèles de démocratie sur cette Terre.
Que les Juifs soient méfiants, je le conçois très bien, mais qu’ils deviennent paranos, n’est pas acceptable à mes yeux. Se méfier de leur seul allié comme ils le font présentement, sera sûrement à long terme, la raison pour laquelle ils perdront cette alliance un jour.
Bathya, une alliance c’est comme un couple, c’est basé sur la confiance réciproque. Vous vous imaginez fouiller les poches de votre mari tous les soirs ? Vérifiez les appels entrants sur son cell ? Le suivre et l’espionner partout où il va ? Vous savez ce qu’il arrivera ? Il vous quittera inévitablement et avec raison.
Je ne voudrais pas que cela arrive à Israël. Ce pays peut garder sa méfiance face à tous les pays de cette planète s’il le veut, mais il doit faire confiance aux États-Unis, sinon, il se retrouvera seul un jour. Est-ce cela que vous souhaitez Bathya ?
Vous critiquez sévèrement les propositions des États-Unis en ce qui concerne le conflit israélo/arabe… mais quelles sont les solutions d’Israël qui soient réalisables ? Aucune. Ce dossier est dans cul-de-sac !
Suite du commentaire #83:
En plus Bathya, vivant en Amérique du Nord, pour moi la sécurité des États-Unis est très importante à mes yeux, elle est même primordiale. C’est notre voisin, ami et plus grand partenaire économique. Quand les États-Unis éternuent, c’est nous qui attrappons le rhume. De savoir qu’il y a des traîtes dans ce pays, n’a rien de rassurant pour les Canadiens. Nous ne serons en sécurité ici au Canada, que si les États-Unis le sont.
Si les États-Unis jugent bon de garder Pollard en prison, c’est qu’il y a une maudite bonne raison. Je leur fais confiance là-dessus et vous devriez en faire autant.
Ok. mais pourquoi les pays mêmes alliés en tienne pas compte? Il faut donc le dire et le redire! Ah oui, y compris à Israël!
Quand m’avez-vous entendu dire que les USA et Israël était pas les meilleures model de démocratie? Je le dis même dans mon dernier billet! Désolée, j’ai donné une critique très juste des USA, tout en précisant c’est bienfaits aussi. Mais vous semblez avoir oublié ma critique envers Israël, elle n’est pas tendre non plus! Quand même bizarre, que vous ne voyez que celle des USA… Je suis un peu surprise Galadriel, que vous ne voyez pas cette nuance!
Encore une fois vous semblez que focalisée que sur les USA! Dommage. Car j’ai critiqué Israël très sévèrement. Je suis certaine que sur le blogue, beaucoup pourront le voir. Comment se fait-il que vous, vous ne le voyez pas? Pour le reste de la citation, je n’ai jamais nié ça! Ce qu’il faut faire, c’est qu’Israël et son allié les USA admettre une fois pour toute que ce n’est pas possible la paix dans cette région car, les palestiniens ne le veulent tout simplement pas. Il faudra un jour ou l’autre remettre la vérité à sa place. Sinon en effet on tournera en rond des années encore. Les gens y compris Israël doivent arrêtez de faire miroiter aux palestiniens un État, tant que la haine y sera enseigner et valoriser, et qu’il n’aura pas d’État. Et, que celui-ci ne verra pas le jour tant que cela n’y sera pas gagné. En agissant en ignorant cette évidence, qui est la base fondamentale, d’une discussion honnête et responsable dans cette région, Israël et les autres alliés n’aident en rien les palestiniens, cela fait que renforcir leur lute contre Israël, et leur fait miroiter qu’ils peuvent gagner avec l’usure du temps. Et surtout, cela les réconforte à savoir qu’ils peuvent continuer leur terroriste aveugle, puisque le monde ne voient pas leur double jeu.. Notez, que j’ai inclue Israël ! Même que je vais plus loin, Israël est un des plus grands responsables de cette vérité dissimulée aux arabes. Si Israël serait ferme, je crois que les USA pourrait sans doute appuyer fortement. Mais Israël est ambivalent depuis une dizaine d’années. Et ce n’est pas avec le gouvernement actuel que cela changera. Voyez-vous, je suis loin d’être tendre envers ce pays qui pourtant j’aime de tout mon cœur. Aimer s’exprime également en disant la vérité, même si elle peut blesser.
Là complètement en désaccord. Il est certain qu’en couple cela ne se fait pas! Comparer un couple à une alliance avec un pays? … Pour moi c’est imcomparable. Tous les pays sans exception ne sont pas à l’abri, de mettre fin à une alliance. Israël non plus. Je ne prends rien pour acquis dans la vie. Rien est un absolu éternel. Vous n’arrêtez pas de me demander si c’est ce que je veux que les USA lâche Israël? Je crois que je n’ai pas à répondre à cela. Je souhaite le meilleur bien pour ce pays que j’aime. Je crois que cette question ne sert en fait qu’essayer de me faire dire mais oui, Israël devrait se mettre à genoux devant les USA, tant qu’à être? Non, c’est vrai, vous avez déjà dit sur Canoë que beaucoup de pays devraient se mettre à genoux devant les USA et Bush… Si vous ne l’avez pas dit alors pardonnez-moi. Désolée, je crois que vous avez un peu de difficulté à nuancer quand il s’agit des USA, et que vous acceptez très mal un avis différent de la vôtre.. Mais pour ma part la comparaison entre l’alliance du couple et d’un pays, n’a aucun sens. Enfin. Et puis, encore une fois vous n’avez pas nuancé. Ça ne veut pas dire parce que on peut se méfier qu’on n’est paranoïaque! Quand je pense que tout ça, est parti sur une discussion à propos de Pollard! … J’avoue qu’on n’est bien loin du billet du départ. Pour ma part, je ne cherche pas à voir raison. J’exprime mon opinion, j’écoute celle de l’autre, et j’argumente quand cela est possible, sans que la discussion s’enlise. Je ne possède pas la vérité absolue, et je n’ai pas la science infuse…. C’est pourquoi, je m’arrête ici. Je crois que c’est inutile.
Je préfère la bonne entente à la querelle. Surement chère Galadriel, que nous allons pouvoir échanger sur bien des points sur lesquels nous serons en accord à 200%. Mais là sur ce point vaut mieux laisser tomber, l’accord ne sera pas possible. Bonne soirée à vous, Bathya Cohen.
Ça je le comprend. Mais comprenez-vous aussi l’inquétude d’Israël? Il ne peut se permettre de perdre une guerre, et ça je crois que vous le savez très bien. Mais une chose m’interpelle dans votre commentaire. Je comprends, et je suis d’accord, quand vous dites que la sécurité des USA pour vous est primordiale. Normal c’est le voisin, ici. Mais supposons. Ok? Si un jour l’alliance que les USA, ont avec Israël est devenu trop dangereuse pour lui, et qu’il doit s’en éloigner, je suppose que vous allez aussi approuver pour votre sécurité ici?Notez que je pourrais comprendre sans approuver. Défenderiez-vous les USA autant avec ferveur que vous le faites maintenant? Ou vous seriez capable de voir l’injustice? Peut-être allez-vous me dire que cela est impossible? Non, rien est impossible dans ce monde ou chacun serait pris à sauver sa peau avant tout. Imaginez, que Israël attaque l’Iran, sans une accord formelle des USA, par peur de recevoir la bombe sur la tête. Et que là les USA pour sa sécurité fait une rupture partielle avec Israël? Seriez-vous assez intègre pour continuer à défendre la seule démocratie au moyen-orient? Je sais, ce que je dis là est apocalyptique. Et croyez-moi, je n’ose pas imaginer les conséquances de tout ça. Et surtout, je ne le souhaite pas. Voyez-vous, je pense à long terme. Sur l’Iran, vous allez sans doute me dire que l’Iran est également une menace pour les USA. Oui, je le sais, et il l’est pour tout le monde libre, en fait. Franchement, l’avenir n’est pas si rose pour Israël, ni pour le monde libre chère Galadriel. Et j’en suis pleinement consciente.
Bathya, vous semblez ne vouloir comprendre que ce qui fait votre affaire.
Si un jour les États-Unis laissent tomber Israël ce sera uniquement de sa faute. Les États-Unis ne laisseraient jamais Israël en détresse quoi qu’il arrive, à moins qu’Israël ne se soit retourné contre eux… ou à moins qu’Obama prenne le pouvoir. Ce n’est pas le genre des États-Unis de rebrousser chemin devant le danger, vous devriez déjà savoir cela.
J’aime ces deux pays, mais si Israël continue de se méfier, de paranoïer, de mentir, de critiquer, de quémander le traîte des États-Unis (Pollard) et d’espionner sans cesse ce pays allié, il se retrouvera seul et n’aura que lui à blâmer. Voilà tout ce que je dis. Et si vous ne pouvez pas comprendre cela, c’est bien dommage. J’ose espérer qu’Israël le comprendra. Je compte sur son intelligence pour que cela n’arrive jamais.
Personnellement, je le répète, je laisse Pollard à la décision des États-Unis qui savent ce qui est bon pour eux et qui sont beaucoup mieux placés pour le savoir que vous et moi.
J’admets être à la fois surprise et décue du peu de reconnaissance, de crédibilité et d’intégrité que vous semblez accorder au support des États-Unis à Israël. Je vous confierai candidement que j’aurais préféré ne jamais le savoir. Et j’ose espérer que la plupart des Israéliens ne pensent pas ainsi. Vous ne les rendez pas très sympatiques par vos derniers propos. Faites tout de même attention, il y a déjà suffisamment d’antisémitisme et d’antisionisme sur cette Terre, sans donner des raisons pour en rajouter encore plus.
Les couples non plus Bathya. Que pensez-vous que les divorces sont ? Des ruptures d’alliances. Il n’y a aucune certitude dans cette vie, ni dans les alliances entre pays, couples, amis ou collègues. Ce qui rend une alliance forte, est la confiance mutuelle, sans cet ingrédient, cela est voué à l’échec.
Je ne me souviens pas, mais sûrement pas dans ces mots. Mais je suis d’accord pour dire que sans les États-Unis, il y a longtemps qu’il n’existerait plus une seule once de liberté sur cette planète. On leur doit énormément.
@Galadriel et Bathya
Beaucoup de pays s’espionnent et les EU ne se privent pas d’espioner les autres. Cela crée des tensions périodiques.
Les israéliens ont aussi arrêté des espions de la CIA et le lobbying israélien pour faire libérer Pollard fait partie du jeu.
Cela fait peut-être partie du jeu, Frank, mais admettez que c’est un jeu dangereux entre alliés. Et plus particulièrement pour Israël qui n’a qu’un seul allié. Si j’étais Israël, je ferais un peu plus attention.
Je reprendrai une phrase de mon commentaire #76:
Merci pour la nuance.
Mais ! Je n’ai jamais dit le contraire. Un couple n’est pas plus acquis que toute autre alliance. Et, je n’ai jamais nié non plus que la confiance mutuelle en soit la clef… En quelque sorte la recette gagnante… J’ai failli le marquer dans mon commentaire précédant, mais j’avais cru que vous auriez compris ça…
Tiens donc! Il n’a qu’Israël ici, à votre avis qui peut faire une gaffe monumentale! C’est clair, pour vous. Israël à bien moins d’intérêts à lâcher les USA que les USA pourrait en retirer. Comme se faire moins détester, entre autre, de la gauche, des arabes etc. Je crois même que les USA aurait plus d’avantage à le lâcher. Mais les USA ont beaucoup d’audace, et il va au bout de ce qu’il croit. Je vous rappelle que la vie pour Israël n’était pas si clémente sur la présidence de Clinton. Je suppose aussi que c’est la faute d’Israël? Autant que n’importe qui, personne ne sait qui remportera en novembre. Nous espérons tous que ce soit MC. Mais personne n’a une boulle de cristal. Si Les USA se retrouve avec un gouvernement démocrate comme Obama, tout sera moins facile pour Israël. Et ce ne sera sans doute pas sa faute! Un point sur lequel je suis d’accord, ce n’est pas le genre des USA, à rebrousser chemin, en effet. Sur ça bien d’accord. Vous dites à moins qu’Israël laisse tomber les USA, ou qu’il se retourne contre lui? Non, je n’y crois pas. Il n’a aucun intérêt à le faire, lui. Mais une alliance entre deux pays ne suppose pas un accord à 100% sur tous les sujets. Comme dans un couple, d’ailleurs. Et cela ne défait pas l’alliance pour autant. Mais cela ne veut pas dire que cette alliance ne peut pas un jour se briser. Et ce ne sera pas nécessairement la faute d’Israël.
Wow! Rien de trop beau! Là vous allez fort. Parce que j’ai amené un point différent sur Pollard, vous n’en démordez toujours pas. Sans regarder les autres points sur lesquels Israël est les USA, s’entende très bien. Là pour vous, Israël est rendu paranoïaque, menteur, critique sans cesse les USA etc… Franchement, ça ne doit pas être facile d’être votre amie, vous. Dès que quelqu’un vous amène une critique il doit être tout de suite vu comme un ennemi… Parce que pour vous, une critique est nécessairement démonisé une personne ou le pays. Ben, pas pour moi, et heureusement pour beaucoup de gens non plus. Jamais je n’ai démonisé les USA, bien au contraire. Encore une fois vous focalisez. J’ai critiqué sévèrement aussi Israël. C’est ça la démocratie. Des avis qui se confrontent. Vous le dites vous même beaucoup d’américains sont très critique envers leur pays,et ils ne sont pas antiaméricains pour autant! Tout comme Israël. C’est la beauté de la démocratie, rien n’est noir ou blanc. Lâchez un peu Pollard, il n’a pas que ça. Et sachez que mes critiques n’étaient même pas face à Polllard. J’ai dis ce que je pensais sur Pollard, et pour moi cette discussion est clos, le concernant. Tout comme les autres l’ont fait ici. Beaucoup sont d’accord avec vous, concernant Pollard. C’est bien correct comme ça. Je n’ai aucun problème avec des avis différents, moi.
Galladriel, vous mélangez tout. Ce n’est pas parce que j’ai critiqué un point ou deux sur les USA, que je suis anti américaine, que je manque de reconnaissance, et que je trouve que les USA sont comme ci ou comme ça. C’est là ou vous ne nuancez absolument pas. Dommage. Bien au contraire, les USA ont toujours traitté Israël plus comme un État faisant parti du leur que comme un ami. Ce qui veut dire qu’ils sont encore plus proches, et protecteur envers eux que tous les autres pays dans le monde, avec qui ils ont une alliance forte. Ce n’est pas beau, ça? Voyez-vous pour affirmer cela il faut en quelque sorte que je leur accorde beaucoup de crédibilité, d’intégrité etc. Là vous jugez très vite mes propos et mes intentions. Très dommage. Vous dites que mes commentaires ne sont pas sympathiques envers les USA. Ça c’est relatif, ma chère. Certaines personnes qui liraient mes critiques envers Israël, pourrait en dire autant. Dois-je vous rappeler que j’ai beaucoup plus de félicitations envers les USA que de critiques? Si je vous disais, que je critique beaucoup plus Israël que les USA, me croyez-vous? D’ailleurs, faites en vous même le décompte dans mes commentaires et vous verrez par vous même. Si je vous disais qu’Israël est en quelque sorte l’artisan de son malheur? Et que s’il arrêtait de plier face aux terroristes parce qu’il a peur de ne pas avoir l’accord des pays occidentaux, S’il arrêtait de faire des échanges qui le ridiculise encore plus, comme celui de la semaine dernière. Mais non. Le problème avec les juifs et Israël y compris, est de toujours chercher à se faire aimer à tout prix. Chercher à avoir la probation des autres, sans regarder ses intérêts à lui. Je sais une chose. Jamais les USA ne se serait abaissé aussi bas qu’Israël dans ce marché de dupe. Voyez-vous, c’est pourtant loin d’être flatteur pour Israël ce que je dis là. Israël devrait prendre exemple sur les USA, quand il s’agit de négocier avec ces fous d’allah. J’admire les USA d’être capable de ne jamais plier, malgré le fait qu’il soit détesté par plusieurs, et critiqué Ça prend une certaine dose d’audace et ça je les admire. Prenons juste la guère en Irak, ils le sont encore. Et pourtant, ils ont su passer outretout ça. Israël ne serait pas assez fort pour le faire. Alors, madame, avant de dire que mes commentaires, sont pas sympathique il faudrait lire plus loin que sur les commentaires échangés à propos de Pollard, ou de quelques critiques que j’ai fait. Je sais que pour vous ce n’est pas bien important, sachant que vous les religions sont tous illogiques etc. Mais savez-vous que dans beaucoup de synagogues, ont demande toujours la protection des USA et on demande à D. de les bénir abondamment? Vous dites de faire attention car, mes commentaires pourraient amener plus d’antisémitisme, ou d’anti sioniste. Je ne le crois pas du tout. De toute façon, les antis sionistes, et antisémites, sont presque tous anti américains, ce qui est loin d’être mon cas! Et puis, ils ont pas besoin de prétextes pour dénigrer les juifs et les USA, ces gens là. Je croyais que vous le saviez, ça. Acceptez que les gens ne puissent avoir tous la même vision que la vôtre. Et, ils ne sont pas nécessairement contre les valeurs que nous tous défendons. Je suis sur plusieurs comités contre l’antisémitisme, et donc votre jugement me concernant n’est vraiment pas justifié. Vous dites qu’on leur doit beaucoup au USA. Bien d’accord avec vous. D’ailleurs, je n’ai jamais nié cela dans aucun de mes commentaires. Car en occident, c’est le seul pays qui ne plie pas face aux terroristes. Et, je dois avouer que parfois, il doit se sentir très seul. Mais comme vous vous êtes arrêtez que sur les quelques critiques envers eux que j’ai fait, vous n’avez pas vu le reste. Allez, je vous souhaite malgré tout, une excellente journée.
Wow, tout ca me fait penser que j’ai recu un courriel me demandant avec qui j’avais mangé ce midi. (détendre l’athmosphère)
Que de malentendus dans nos échanges. Vous ne semblez pas du tout comprendre ma position concernant ces deux pays que j’aime.
Je me suis basée sur vos trois commentaires suivants:
– Vous pensez vraiment que les USA sont les alié d’Israël par compassion? Pas moi. Le jour ou les USA leurs intérêts seront menacés, le fait de soutenir Israël il s’en détourneront. (Bathya)
– Je le dis Israël sera bientôt de plus en plus seul contre ses ennemis lorsque les intérêts des USA changeront de côté. Lire à ce sujet : Notre monde : la face sombre de l’Amérique (Bathya)
– Mais Israël est un peu mené par le bout du nez aussi par eux (USA). Et ça, je le déplore. (Bathya)
Mon point Bathya est simple et très clair:
Je ne voudrais pas que les États-Unis deviennent une poudrière comme le Moyen-Orient. Pour ne pas le devenir, il faut que sa sécurité, ses services secrets soient confiés à des gens intègres. Il ne peut pas se permettre d’être trahis par ses propres employés qui travaillent dans ces domaines, comme Pollard. Donner des renseignements à Israël est un moindre mal, quoique cela ne justifiait en rien sa décision de le faire, cela était immoral et inapproprié, mais donner des renseignements au Pakistan et trois autres pays est absolument inacceptable. Pollard n’est pas un patriote, mais un traîte à la nation. De plus il a récidivé 14 fois depuis qu’il est en prison. Il n’a regardé que le gain monétaire. Si les services secrets des États-Unis deviennent une passoire, il ne pourront plus aider Israël ni aucun autre pays.
Alors, pourquoi croyez-vous que la peine de Pollard est trop sévère ? Moi, je la trouve parfaite. C’est une peine exemplaire et elle en dissuadera plus d’un. Voilà pourquoi les États-Unis sont la Première puissance du monde, ils ne plient pas pour faire plaisir à tous et chacun. Le message que ce pays envoie, est qu’on ne « joke » pas avec la sécurité des États-Unis peu importe si le méfait a été commis par un des leurs. Le relâcher donnerait le feu vert à d’autres traîtes comme lui. Je peux comprendre Samuel de vouloir sa libération, mais je ne peux pas comprendre la vôtre.
Puis comme mentionné à mon commentaire, #76 :
Et en terminant:
Effectivement, mais pas pour les raisons que vous croyez. Je suis une personne avec des principes très rigoureux. Mes critères de sélection pour l’amitié sont très élevés. Les qualités sur lesquelles je suis intrangigeante, sont: le respect, l’appréciation, la confiance, la loyauté et l’intégrité.
Pollard ne pourrait jamais faire partie de mes amis. Il a manqué de respect aux États-unis, leur a été déloyal, a manqué d’intégrité, ne leur a pas fait confiance et n’a pas apprécié le poste élevé que les États-Unis, par confiance, lui avait accordé. Jamais il n’aurait rejoint mon cercle d’amis, en fait, avec des amis comme lui, tu n’as plus besoin d’ennemis.