Le Top 5 de l'actualité québécoise (8-14 juillet) selon Influence Communication:

Petite semaine de faits divers
La faible polarisation des nouvelles qui forment le Top 5 est en partie explicable par le fait que près de 19 % de l’actualité s’est composé de faits divers au cours de la semaine eu 8 au 14 juillet. Habituellement, le poids moyen des faits divers et judiciaires est de 13 %. Toutefois, depuis le début de l’année, il oscille autour de 16 %.
C’est donc sans surprise que l’arrivée du iPhone G3 a été la nouvelle la plus citée avec un poids médias de 2,01 %. Au Canada anglais, la nouvelle a généré un volume de 1,45 %. À travers la vingtaine de pays concernés, elle a occupé 1,36 %. Il n’est pas exceptionnel de voir un poids plus élevé au Québec puisque nos médias favorisent une certaine polarisation.
Au 2e rang on retrouve le sommet du G8 avec 1,75 %. En 2007, l’événement a constitué la 9e nouvelle de l’année dans les 120 principaux pays.
Malgré un recul de 10 % sur la semaine dernière, le prix de l’essence se maintient au palmarès avec 1,56 %.
La nomination de George Cope chez BCE et la question de la facturation des messages textuels sur les cellulaires ont occupé 1,39 % des nouvelles.
Malgré qu’elle soit encore très récente, la nouvelle de la CSeries de Bombardier s’est déjà vue octroyer 1,29 % du volume d’information.
Source:
Influence Communication
Les syndicats doivent jubiler, surtout depuis leur dernière gaffe majeure avec l’usine de transformation d’aluminium Aleris, à Trois-Rivières. Cette compagnie américaine a fermé définitivement ses portes, après le lockout des syndiqués.
Normalement, on devrait s’attrister, mais en entendant la nouvelle, je me suis réjouie. Ça va faire-là, le chantage des maudits syndicats. Un autre bel gang de déconnectés. J’espère qu’ils en ont tiré une bonne leçon.
Malheureusement les syndicats ne sont plus là pour tirer des leçons. Ils existent uniquement pour renforcer leur position, augmenter le nombre de cotisants et leurs dirigeants de faire la grosse vie sale en exploitant ceux qu’ils disent protéger.
Syndicats = Plus grosse organisation criminelle que la Terre ait porté.
Je n’ai pas suivi l’histoire d’Aleris : mais il est peu probable que les syndiqués aient décrété un lock-out. S’agissait-il d’une grève ou d’un lock-out?
@Casey Morning
Un syndicat, quand tout va bien pour ses membres, est invisible ; quand tout va trop bien pour ses membres, est trop visble.
Je ne sais plus qui m’a dis ca, mais c’est quelque chose qui a définitivement coulé dans le béton mon impression des syndicats. Soit qu’ils sont absolument nécessaires, en autant qu’ils soient presque invisibles.
(Et encore là, je n’ai pas parlé des organisations nationales de syndicats. Plusieurs (souvent a gauche…) se plaignent des lobbys : or, si un syndicat n’est pas un lobby financé à même le salaire des travailleurs – et certains diraient, sans avoir préalablement obtenu leur consentement – je ne sais pas c’est quoi.)
Voyons Jirky, c’est évident que c’est la compagnie qui a décrété un lock-out le 2 juillet dernier, après que les syndiqués aient refusé les dernières offres patronales, se croyant plus intelligents et plus clairvoyants que les propriétaires.
@Galadriel
C’est plus clair et beaucoup plus sensé comme ca.
… Jyrki.
Voici une nouvelle qui, si elle est confirmée, risque fort de se retrouver dans le Top 5 QC la semaine prochaine: http://www.cyberpresse.ca/article/20080715/CPOPINIONS05/807150676/-1/CPOPINIONS05
Qui l’aurait cru?
Voici ce qui pourrait apparaître dans le Top 5 Qc la semaine prochaine, si cette nouvelle se concrétise: http://www.cyberpresse.ca/article/20080715/CPOPINIONS05/807150676/-1/CPOPINIONS05
Qui l’aurait cru?
Voici ce qui pourrait apparaître dans le Top 5 Qc la semaine prochaine, si cette nouvelle se concrétise: Jeff Fillion à TQS?????? Je ne peux pas poster de lien.
Qui l’aurait cru?
Bah, n’importe qui aurait cru que l’annonce de l’embauche de J. Fillion a la télé aurait fait un tel battage.
Ce qui est difficile a croire, c’Est qu’un réseau qui se plaint de manquer de fonds le signe, compte tenu de ce qu’il coutera a assurer.
Les syndicats n’existeraient pas sans patrons tyranniques.
On voit trop souvent des gens très corrects qui se retrouvent soudain en position d’autorité devenir de véritables petits potentats. C’est pas tout le monde qui sait gérer le pouvoir.
Quand j’étais directeur mes employés étaient syndiqués et m’ont toujours donné un rendement exemplaire. Je les traitais comme je souhaitais moi-même être traité : avec respect, des instructions claires et des attentes élevées.
Un de mes collègues agissait à l’opposé. Il croulait sous les griefs, ses gars lui cachaient de l’information et faisaient tout pour le contrarier, son département tirait de la patte…
Dans une usine où les conditions de travail sont harmonieuses, les syndicalistes à outrance en mal d’attention seront faciles à isoler et discréditer. S’ils réussissent à mettre les autres employés de leur bord, souvent l’employeur est à blâmer car il aura contribué à rendre le terreau fertile à la révolte.
Si tous les patrons du monde avaient toujours été de bons patrons, aucun employé n’aurait fondé un syndicat pour le défendre.