John Stossel au sujet du système de santé canadien et de ceux qui pensent que « profit » et « médecine » sont des termes incompatibles.
P.S.: Je crois l’avoir déjà dit mais un jour j’aurai une moustache comme Stossel !
John Stossel au sujet du système de santé canadien et de ceux qui pensent que « profit » et « médecine » sont des termes incompatibles.
P.S.: Je crois l’avoir déjà dit mais un jour j’aurai une moustache comme Stossel !
Bof, que la propagande vienne de la gauche, de la droite, ou, dans ce cas, d’un libertarien moustachu, ca reste de la propagande. Particulierement évident dans ce vidéo au demeurant.
Oui David, tu l’as déjà dit.
Je veux bien croire que en effet, la compétitivité amène une meilleure qualité dans l’offre de biens et de services, mais il reste que de sacraliser la santé un peu ne fait pas de tort: on parle ici non pas de pizza ou de téléphones, mais bien de la vie humaine, et de la qualité de celle-ci. Je ne suis certainement pas contre un peu plus d’ouverture au privé, parce que je suis convaincu que ça favoriserait les avancées technologiques, améliorerait l’efficacité des soins, mais quand même, on ne choisit pas de devenir schizophrène, dépressif, cancéreux. Devant ces maladies que l’on ne choisit pas et pour lequel les remèdes sont parfois très coûteux, un peu d’équité n’est elle pas bien en principe?
Les faits qui contredisent ta vision de la réalité ce n’est pas de la propagande. Mais c’est plus facile de dire que c’est de la propagande pour garder une vision dogmatique.
Et c’est quoi la différence ?
Parce que c’est la santé le gouvernement à le droit de créer un monopole pour gérer tout crohe ? Je peux te dire qu’une pizzéria qui aurait des délais de 2 heures pour faire la livraison fermerait assez rapidement. Mais là le gouvernement s’en fiche bien de livrer la pizza plus rapidement parce qu’il est le seul à vendre de la pizza.
La différence c’est la question entre la vie et la mort: une compétition entre les acteurs implique la liberté de choix: je peux choisir ma pizza mais je peux choisir de ne pas acheter de pizza.
Or, on ne choisit pas d’être malade: des dizaines de maladies frappent des gens qui étaient jusqu’alors parfaitement sain. Leucémie, cancers, maladies mentales… et qu’on le veuille ou non, la pauvreté existe, et ce n’est pas tout le monde qui pourrait assumer les coûts reliés à des conditions médicales bien précises.
Parce que en santé, il n’y a pas de « choix »: l’absence de soins égale la mort ou la dégénérescence dans bien des cas.
Dans un système privé tu peux choisir d’aller à l’hôpital B et pas à l’hôpital B.
T’es complètement hors sujet. Si le gouvernement veut offrir une assurance sant. universelle et mentir au gens en disant que c’est gratis libre à lui. Moi je veux avoir le choix sur mon rapport d’impôt de dire que je ne veux pas de cetet assurance parce que je vais en prendre une au privé. Comme pour mon assurance médicamment.
« Parce que en santé, il n’y a pas de “choix”: l’absence de soins égale la mort ou la dégénérescence dans bien des cas. »
Ok… t’as quel âge? Je crois que tes parents t’ont pas expliqué un petit concept. Même une ado de 14 ans comme moi a compris.
Le gouvernement ferait un système comme il est. Mais, il laisserait le choix à tous de se désabonner au système public en ayant une assurance privée, d’avoir les deux assurances ou avoir seulement l’assurance publique. Ça s’appelle la LIBERTÉ DU CHOIX.
Si par exemple, on annonce à quelqu’un qu’elle a besoin d’une chirurgie pour x raisons, elle aura le choix de se faire soigner où elle veut. Ça, c’est vraiment bien.
Il y aura des soins, mais tu pourra choisir vers quel type de soin tu veux aller: Public ou privé.
« Bof, que la propagande vienne de la gauche, de la droite, ou, dans ce cas, d’un libertarien moustachu, ca reste de la propagande. Particulierement évident dans ce vidéo au demeurant. »
Si j’ai bien compris, n’importe qui émettant une idée fait de la propagande. Or, ce n’est pas le cas. Si je te dis l’idée que nous irons pas en élections en 2008, est-ce de la propagande? Non. Mais j’ai émis une idée.
“Parce que en santé, il n’y a pas de “choix”: l’absence de soins égale la mort ou la dégénérescence dans bien des cas. ”
Si on regarde un autre sens, voici un exemple.
Ma grand-mère a 90 ans. Le médecin lui annonce qu’elle a un cancer général. Elle a deux choix:
1. De se faire soigner et de prendre le risque et la fatigue qui va avec (mon autre grand-mère a été en chimio 3 fois et c’est épuisant)
2. De ne pas se faire soigner et de profiter au maximum du temps qui lui reste.
C’est assez évident qu’elle a pris l’option 1 et le médecin a dit qu’il était d’accord parce que ça ne vaut plus la peine d’essayer.
Hé le jeune, c’est pas comme si tu m’apprenais quelque chose ici! J’étais en faveur d’une plus grande place au privé avant que toi tu saches lire!
Certains systèmes dans le monde ressemblent en effet à ce que tu dis et en effet, ils fonctionnent rondement bien: la France étant cité comme un exemple de cohabitation entre le public et le privé, et même chose pour d’autres systèmes.
Mais si tu avais écouté le vidéo, tu aurais compris que Stossel critique non pas la présence d’un monopole public, mais bien la présence de public! Il ne fait aucune nuance sur les systèmes qu’il présente et parle de la France comme un échec alors que c’est un des systèmes médicaux les plus valorisé de l’OCDE!
C’est ta vision, mais je la considère immorale. Que l’on choisisse son système et son assurance pour soigner sa grippe, son bras cassé ou sa sinusite ça va. Qu’il existe une assurance privé pour couvrir toute les maladies du monde j’ai rien contre, mais c’est à mes yeux obligatoire que tous les citoyens aient droit à une assurance contre certains cancers et certaines maladies et troubles psychologiques d’ordre génétique qui échappent à tout contrôle.
C’est bien beau vouloir du privé, moi aussi j’en veux. Mais si le privé refuse d’assurer une jeune de 15 ans sous prétexte que sa carte génétique révèle qu’il va devenir schizophrène dans sa jeune vingtaine, faudra quelqu’un pour l’aider et le soigner au meilleur de nos connaissances, le contraire serait totalement immoral. Et seul le public peut répondre à ça, à moins que vous connaissez un volontaire pour payer une assurance privé à tous les malades présents ou futurs mais non-responsables de leur condition que les assureurs refuseront de prendre.
Le best des deux mondes:
Assurance publique, services privés.
Plus subtil que ça. Il critique l’abecence de compétition et le fait que la gratuité oblige l’état à rationner.
Et il a raison de le faire et de critiquer cet état de fait, car les vertus de la compétition sont connues et bénéfiques.
Mais on dirait que selon sa philosophie, l’ensemble de l’offre et de la demande en matière de santé doit être privée. Or, quand on parle de santé, il y a des variables dont on doit tenir compte qui font en sorte que le privé ne peut pas répondre à tout.
Ben oui pourquoi on n’y a pas pense avant. On se fait pas soigner et on fait semblant qu’on est pas malade moins longtemps.
Regarde bien Nopolitiquemachin, ce qu’un enfant de 14 ans, comme tu dis, est capable de comprendre contient une grande faille dans ton raisonnement. LBII, dans son argumentation part de la premisse qu’il faut garder un minimum de filet social pour les plus demunis. Si comme tu dis on donne le choix de cotiser ou pas au regime publique, tu viens en meme temps de detruire ce regime. Penses-tu vraiment qu’a part ceux qui non pas les moyens d’avoir une assurance privee (et par consequent n’ont pas plus les moyens de soutenir un regime publique) il y va y avoir des gens pour cotiser?
La seule option serait de permettre un systeme paralelle en permettant au gens de prendre une assurance privee en plus de la cotisation au regime publique. Ce qui rend la chose beaucoup moins interessante.
Nuance: un filet pour ceux dont la condition médicale est sans échappatoire: il existe encore beaucoup de maladies, surtout des maladies mentales, dont les causes sont inconnues et qui frappent bien après la naissance de l’individu. Les troubles alimentaires, les cas de détresse psychiatrique, la dépression, des maladies dégénératives comme la maladie d’Alzheimer
Ces gens-là ont encore de besoin de soins fournis sans discrimination d’assurance: quand tu n’as pas choisi ta condition, il me semble évident que c’est une faille que le public doit combler, parce que certains individus ne pourront jamais assumer seuls la charge d’une assurance privée ou d’une franchise médicale pour des cas aussi lourds
Quel variable ? Pourquoi le privé n’en teindrait pas compte ?
Le régime privé d’assurance médicamment a-t-il détruit le régime public ?
Parce que des assureurs privés pourrait très bien demander des tests génétiques afin de déceler des anomalies susceptibles de conduire à des maladies dans un certain nombre d’années. Ainsi, des gens qui n’ont jamais demandé à posséder certains gènes se verraient pénalisés par des assureurs qui refuseraient de couvrir la maladie dont ils sont sûr d’être atteints.
Ils pourraient mais ils pourraient aussi ne pas le demander.
Et alors ?
Certaine refusent bien les fumeurs ?
Chose certaine, la compétition fera en sorte que certains assurer voudront tirer profit qu’une autre compagnie qui refuserait trop de gens.
J’aime bien ce que Dubuc a dit:
« En santé, le médicament constitue le point de rencontre entre l’univers étatique et l’économie de marché. Paul Arcand, comme la plupart des Québécois, trouve cela insupportable et a du mal à accepter qu’un service essentiel comme la santé soit confronté à des entreprises qui font du marketing et des profits, à des professionnels de la santé qui sont aussi des marchands. On se retrouve à dénoncer des pratiques qui sont parfaitement normales ailleurs, parce que le monde de la santé devrait rester virginal. C’est une attitude plus marquée au Québec et au Canada, dont il faudra un jour revenir. »
La question n’est pas là: un fumeur peut arrêter de fumer, un obèse peut changer son alimentation et faire de l’exercice physique, ou payer plus cher pour ne pas changer son mode de vie dangereux.
mais imaginez la situation: vous êtes un jeune travailleur, salaire correct mais pas trop élevé, vous commencez dans la vie et puis vous en êtes à contracter votre première police d’assurance-santé. Comme de fait, on vous demande un échantillon de sang afin d’analyser votre potentiel de risque à certaines maladies, et on découvre que vous avez 99,99% de chance de développer une schizophrénie ou un trouble bipolaire. Pour cette raison, la compagnie refuse de vous assurer, et les quelques unes qui accepteraient le font à un prix exhorbitant en raison des médicaments nécessaires pour contrôler votre condition qui coûtent une beurrée.
Cette situation pourrait ne pas être exceptionnel et reste cruelle, parce que on ne décide pas de notre code génétique. On ne parle pas d’un gros BS qui s’empiffre ici, mais bien de gens bourrés de potentiels qui sont condamnés d’avance à être malades pour des raisons hors de la portée de la médecine. Ces gens là n’ont-ils pas le droit à un filet de sécurité ne serait-ce parce que absolument rien ne peut empêcher le développement de ces maladies?
Mais bon, en matière de santé mentale, à moins d’avoir un proche de malade, on connaît rarement le sujet. Vous êtes calés en économie, mais il y a des réalités médicales qu’on ne peut pas comprendre et vouloir traiter seulement avec des courbes d’offre et de demande.
Il s’agit d’un cas rare et non pas d’un cas courant.
Un bon système ne peut pas être organisé autour de cas d’exceptions qu’il est d’ailleurs possible de prendre en compte.
Non, l’obésité est parfois une question de génétique.
Et alors ?
Qui te dit qu’un compétiteur ne va pas t’accepter pas une police d’assurance ?
C’est possible, mais considérant les coûts élevés des traitements médicaux pour certaines maladies, c’est aussi très réaliste de penser que certaines personnes n’auront jamais les moyens de s’assurer pour se faire traiter! Cette minorité qui n’a pas les moyens de payer pour leurs traitements médicaux, on les laisseraient mourir? Certaines maladies demandent des traitements à vie, où sur plusieurs années.
C’est réaliste de penser que des gens sans la capacité de payer vont tomber malade parce que à la loterie de la génétique, ils vont avoir tiré le mauvais numéro. À date, le marché n’a que pour réponse la générosité de bonnes âmes qui accepteraient de payer leur traitement! Et quand la cagnotte de générosité est vide, le reste se fait interner en attendant qu’elle se remplisse à nouveau pour payer les médicaments?
Et en effet, il y a des recherches qui tendent à indiquer que l’obésité peut être de source génétique, c’est mon erreur.
En Europe il y a du privé partout et les gens ont la possibilité de choisir. Dis moi, on laisse des gens mourir en Europe ?
Pas du tout, car il y a justement un réseau public de dernier recours pour combler les failles du systèmes privé! C’est ce que je me tue à dire depuis le début en plus: qu’on laisse aux assureurs privés le soin d’offrir des polices d’assurances pour sinusites, jambes cassées et opérations mineures et moyennes, ok!
Mais pas question qu’on ne laisse que le privé s’occuper seul des psychiatrisés et des cas de maladies lourdes! Le public doit intervenir dans ces cas-ci, ne serait-ce parce que les gens qui en sont atteint perdent la capacité d’agir pour eux-même ou ne l’ont jamais eu! Et une intervention intelligente consisterait à offrir un montant par personne que des entreprises en soins de longue durée se disputeraient sur un marché libre afin de mettre en concurrence les soins et les traitements. La personne atteinte de trisomie 21 pourrait ainsi avoir pendant toute sa vie des entreprises susceptibles d’atténuer sa condition sans qu’elle aille à débourser de l’argent.
Qu’on soit clair: je suis pour le « privé en santé », mais je suis contre le « tout privé en santé »: personne ne va me faire croire qu’un système de santé totalement privé résulterait en une amélioration de la santé de toute la population. N’essayez pas de me faire passer pour un communiste de la santé ou pour un des caves de la bande à Amir Khadir, je n’en suis pas un.
LBII a un bon point. Il y a un manque de nuances sur ce blogue.
Quelqu’un qui est atteint du SRAS risque de mettre en danger la population. Il serait inadmissible que des contraintes financière lui soient imposés en vue de son traitement à l’hôpital. On parle de sécurité publique ici.
Il faut penser qu’il y un élément qui a rapport à la collectivité dans la santé. Une personne malade risque d’affecter son entourage. Il est donc important qu’un système public universel soit garantie. Toutefois, par ailleurs, l’offre des services de soins peut aussi être un partage du privé et du public.
Toutefois, on ne peut pas uniquement isoler le facteur individuel dans l’analyse de politiques publiques en santé. Un individu risque d’affecter son entourage, sa famille.
Puis, comparer le choix concernant sa vie à un choix d’une pizzéria, svp. faites preuve un peu de rigueur intellectuelle que diable!
Parce que tu sais tres bien que ce regime n’est pas un vrai regime d’assurance, qui par definition devrait s’autosuffire. Il ne survit que par l’apport d’argent du gouvernement.
Moi aussi… Je vais vous republier ma réponse de ce matin à un certain gauchiste qui questionnait l’éthique de « faire des profits sur le dos du malheur et des maladies des gens »:
Et les gens ont le choix d’utiliser le réseau privé ou le réseau public.
En passant, le privé ferait une meilleure job que le privé pour les psychiatrisés. On aurait paslaissé le privé annuler ses contrats pour mettre ses clients à la rue. Ce que l’état a fait.
Je te signale que lors de l’épidémie de SRAS en Ontario, des infirmières et un docteur (je crois) sont morts parce qu’il n’y avait pas assez de masques et de gants pour qu’ils puissent traiter les malades.
Et dire que tu oses prétendre que le public est nécessaire pour assurer la sécurité public…
La pizzéria est dans l’obligation d’offrir de bon service, pas le système de santé public.
L’assurance médicamment c’est comme l’assurance parentale ou la SAAQ: financé avec les cotisations des prestataires.
Nul doute qu’un système privé pourrait prendre soin des psychiatrisés, la question c’est que ces gens méritent d’avoir des soins même si ils n’ont pas les moyens de se les payer!
Le gouvernement peut payer pour des soins sans être le prestataire de service.
Exactement! Idéalement, c’est ainsi que ça fontionnerait.
Or, ce n’est pas le propos du vidéo si je ne me trompe pas.
« Hé le jeune, c’est pas comme si tu m’apprenais quelque chose ici! J’étais en faveur d’une plus grande place au privé avant que toi tu saches lire!
Certains systèmes dans le monde ressemblent en effet à ce que tu dis et en effet, ils fonctionnent rondement bien: la France étant cité comme un exemple de cohabitation entre le public et le privé, et même chose pour d’autres systèmes.
Mais si tu avais écouté le vidéo, tu aurais compris que Stossel critique non pas la présence d’un monopole public, mais bien la présence de public! Il ne fait aucune nuance sur les systèmes qu’il présente et parle de la France comme un échec alors que c’est un des systèmes médicaux les plus valorisé de l’OCDE! »
1. C’est la jeune. Je suis une fille.

2. Désolé, j’avais juste mal compris le sens du message…
3. Je peux renchérir sur la France: l’OMS a déclaré que c’était le meilleur système au monde.
4. Si Strossel ne désire pas qu’il n’y ait aucun hôpitaux public, il devrait plutôt laisser le choix au monde de choisir.
LB: Les cas que tu soulèves seraient couverts dans un système politique couvrant les market-failures comme proposé par Milton Friedman par exemple.
Le financement public sert aux cas qu’on peut décrire comme des « tragedy of the commons », comme certaines routes, la gestion des criminels, des gens incapables de s’occuper d’eux-mêmes, etc.
Le vidéo parle plus, à mon avis, du 98% restant de la population, le monde ordinaire qui participe à l’activité économique sans avoir besoin de mesures extraordinaires.
Ouais, belle tentative d’esquive. La question demeure: peut-on laisser quelqu’un qui a le SRAS dans la société ?
Eh bien, il y a des cas où la population doit être protégée contre la contamination.
On parle donc ici vraiment de sécurité publique.
C’est pas parce que le service public n’était pas parfaitement préparé à défier le problème du SRAS, qu’il est justifié de ne rien faire.
@nopolitichome
1- Diantre, une future Ann Coutler en formation!
2- Pas de problème! Ça m’arrive souvent aussi de présumer un peu trop ce que les gens veulent dire… t’es pardonnée!
3- C’est aussi ce que j’avais entendu dire, mais j’ai décidé de rester prudent sur mon affirmation.
4- C’est ce que je crois aussi!
@Cowboy
D’ou vient le concept « Tragedy of the commons » dont tu parles? Y a t-il de la littérature sur le sujet? Et qu’a dit Friedman sur les market-failures?
http://en.wikipedia.org/wiki/Tragedy_of_the_commons
In addition, economists such as Milton Friedman, often from the Public Choice school, argue that market failure does not necessarily imply that government should attempt to solve market failures, because the costs of government failure might be worse than those of the market failure it attempts to fix. This failure of government is seen as the result of the inherent problems of democracy perceived by this school and also of the power of special-interest groups (rent seekers) both in the private sector and in the government bureaucracy. Conditions that many would regard as negative are often seen as an effect of subversion of the free market by coercive government intervention.
http://en.wikipedia.org/wiki/Market_failure
La vision de Friedman est quand même réductrice car la santé et l’éducation (dans une moindre mesure) ne sont pas seulement des services marchands. Ces services ont un coût économique qu’il faut gérer au mieux mais ils ont une utilité qui n’est pas économique.
En gros la tragédie du bien commun c’est quand t’as pas de propriétaire d’un truc ou aucun façon efficace de financer un truc selon le principe du marché.
Par exemple l’Armée, même si la défense du territoire profites à tout les citoyens, faire payer les couts militaires sur une base volontaire marcherait probablement pas parce que personne n’aurait intérêt à payer sa part puisque la job serait faite pareil. Tu peux pas défendre un pays juste pour ceux qui paye, c’est toute ou pantoute.
On a la même chose avec les criminels/déficients/tout ceux incapables de s’occuper d’eux-mêmes. Il y a un gain social à s’en occuper, mais le faire financer sur une base volontaire risque de mal tourner.
Mais encore là faut faire très attention, comme disait Martin tu as des market-failures (des situations ne pouvant atteindre l’équilibre optimal par le principe du marché) mais aussi des politic-failures (des situations ne pouvant obtenir l’équilibre optimal par le principe de la coercision).
Bref oui on a des cas que l’intervention gouvernementale PEUT être bénéfique, mais ces cas sont des exceptions beaucoup plus que des règles générales et encore là c’est pas garanti que ca vas aider
« La vision de Friedman est quand même réductrice car la santé et l’éducation (dans une moindre mesure) ne sont pas seulement des services marchands. Ces services ont un coût économique qu’il faut gérer au mieux mais ils ont une utilité qui n’est pas économique. »
Frank, t’es au courant que Friedman est POUR le financement public de l’éducation primaire-secondaire et POUR le financement par le principe du prêt pour l’éducation post-secondaire?
Il est également pour la prise en charge des individus incapables de s’occuper d’eux-mêmes, mais il préconise une approche privée et locale. Comme par exemple le principe d’aidant naturel plutot que l’institutionalisation.
Friedman avait compris depuis très longtemps que l’argent n’est pas la seule mesure de richesse et de bien-être valide.
Oui, il est pas plus dangereux que dans un hôpital public.
Dams ce cas, la dernière place pour aller c’est un hôpital public.
Si tu administre une école privé, le marché t’oblige a produire de bon résultat.
On a muselé l’excellent docteur Pierre Mailloux parce que le crime est rampant en médecine. Des professeurs comme le docteur noble de Toronto qui s’est vu renvoyé par ses collègues parce qu’il dénonçait les abus est une autre preuve de la criminalité dans le monde de la santé. Le Collège des médecins francophones devrait rougir de honte.
Les firmes pharmaceuticales et leur lobby mettent des médicaments sur le marché trop vite et ils ne sont pas sécuritaires. Cependant elles possèdent l’argent pour fermer la gueule à tout le monde et au docteur Pierre Mailloux, et ce, à notre désavantage à nous tous qui sommes champions des cancers au Québec avec nos enfants qui ont des pesticides dans l’urine.
Puis les pétrolières américaines nous gouvernent ici au CANADA et le ministre Béchard qui pense qu’il suffit de leur parler est bien naïf.
Quant à monsieur Harper il éloigne les journalistes et on nous sert une propagande mensongère par nos journalistes francophones qui sont timorés car ils n’ont pas les reins assez solides. Les nouvelles que l’on peut retrouver dans La Presse fédéraliste et Le Devoir indépendantiste sont contrôlées non seulement par la secte catholique, mais également par les intérêts partisans de certains groupes d’intérêts aux idées obscurs bien arrêtées (syndicats) et les p’tits amis du régime libéral comme Pierre Desmarais qui a soutenu la vente illégale du parc national Mont-Orford.
Malheureusement, tout ça est balayé sous le tapis par notre nation d’imbéciles. Pour endormir le peuple, Jean Charest n’a qu’à montrer ses kilos en moins et à faire des béniouiouis à Infoman et ça semble être suffisant pour notre p’tit Québec qui se complaît avec son Zouf Story, son Pénétration débile, son Caissier, son Star Cacadémie et sa Poule aux faux oeufs d’or.
Pas étonnant de voir cet escroc remonter dans les sondages, alors qu’il hésitait, il y a presque trois ans, à rendre accessible un médicament contre le cancer du sein, le Herceptin, en ne tenant pas compte de la santé de la population. Stéphane Gendron avait raison. C’est à croire si il tient vraiment à notre santé en mettant le rapport Castonguay aux oubliettes pour réformer notre système de santé en lambeaux.
En santé, la France et les pays scandinaves sont en avance d’une décennie sur le Québec (le ticket modérateur, la place du privé, la compétence avant l’ancienneté, le droit de non-association reconnu comme le droit d’association, pas de formule Rand, le libre choix pour choisir notre assurance-santé (publique ou privée), etc.).
Pauvre Québec qui gobe toute la propagande syndicale comme si c’était la sainte Bible! Tout comme le Christ, nous sommes crucifiés parmi des voleurs!
Pourtant le doc Mailloux utilise les anti-psychotique à forte dose sur des enfants alors que ces médicamentant n’ont pas encore été testé sur des enfants.
Parlant d’anti-psychotique, je pense que tu devrait aller consulter…
«Pourtant le doc Mailloux utilise les anti-psychotique à forte dose sur des enfants alors que ces médicamentant n’ont pas encore été testé sur des enfants.» (DG)
Aucun(e) patient(e) n’a fait une plainte contre le docteur Pierre Mailloux. Les plaintes sont venues de deux pharmaciennes proches du Collège des médecins francophones qui avait un compte à régler avec lui par l’intermédiaire du syndic Deschênes.
Je crois que tu n’as toujours pas compris que le docteur Pierre Mailloux a des cas très lourds sous son aile.
Si il n’avait pas augmenté la dose des psychotropes pour ce genre de patients, ils pourraient devenir extrêmement agressifs, anxieux, dépressifs (ce sont des schizophrènes, des psychotiques), ce qui pourrait les amener à commettre des actes irréparables, comme le suicide.
C’est ce qui est arrivé à l’une de ses patientes. Lorsqu’il était radié «provisoirement» par le très gauchiste Collège des médecins, son «remplaçant» a baisser le dosage de psychotropes pour cette patiente. Résultat: elle a fait une crise et elle s’est suicidée.
Si cette personne avait encore eu son vrai psychiatre (le Doc Mailloux), elle serait encore en vie, car elle aurait eu sa dose de psychotropes en lien avec la gravité de son cas.
J’accuse le très gauchiste Collège des médecins de meurtre au premier degré, de jouer avec la santé, la sécurité et la vie de la population, de corruption institutionnalisée et d’atteinte à l’honneur et à la dignité de la personne.
De plus, le Collège des médecins ne fait rien pour empêcher la vente libre des faux médicaments sur le marché, médicaments qui sont nocifs, dangereux et dommageables pour la santé des honnêtes gens. Ainsi, le Collège des médecins ne respecte pas son mandat et c’est le docteur Pierre Mailloux qui est le danger public.
Voyons donc, c’est de la schizophrénie ou un refus de voir la vérité en face et, de la part du Collège des médecins, c’est une tentative de camouflage par rapport à ses échecs lamentables en jetant son vitriol sur un collègue 1000 fois plus brillant qu’eux tous réunis par l’intermédiaire du syndic Deschênes.
Et puis, le docteur Pierre Mailloux est contre ces faux médicaments sur le marché qui tuent des vies et des familles.
Nous devrions tous et toutes endosser l’excellent docteur Pierre Mailloux qui est un plus pour le Québec et indispensable pour l’avenir de notre société, car il est honnête et droit, contrairement au Collège des médecins qui ne respecte pas son mandat premier qui est de surveiller les faux médicaments sur le marché qui peuvent être dangereux pour la santé et la vie des honnêtes gens qui gagnent honnêtement leur pitance.
VIVE LE DOCTEUR PIERRE MAILLOUX!
P.S.: Étrange que tu ne parles pas d’un autre médecin et qui a eu une patiente du docteur Mailloux qui a laissé le même dosage de psychotropes pour la dite patiente! Résultat: il n’y a rien eu! Ce médecin est capable de penser par lui-même, au lieu d’obéir aux ordres criminels du Collège des médecins francophones et du syndic Deschênes.
P.P.S.: Je suis complètement sain d’esprit.
Mais le doc Mailloux utilise des médicaments des méchante pharmaceutique qui n’ont jamais été tester sur les enfants !