Il n’y a pas que les supporters « ordinaire » d’Obama qui sont incapables de nommer un de ses accomplissements (ici et ici). Même un sénateur ayant donné son appui au candidat démocrate est incapable de répondre à cette question.
La bulle finira bien par crever un jour où l’autre…
Hétu a mis la vidéo non-éditée sur son site…
http://blogues.cyberpresse.ca/hetu/?p=70417343
http://www.youtube.com/watch?v=jj4VK9wVAi0
Obama n’est pas sans expérience. La preuve, si tu lis sa biographie, tu retrouvera ce qu’il faisait avant son entrée en politique et son bilan de sénateur: http://fr.wikipedia.org/wiki/Barack_Obama
La Rodham a-t-elle plus d’expérience que lui? Je ne crois pas qu’un rôle de First Lady la rend apte à gouverner ce qui reste du grand Empire états-uniens. Tout ce qu’elle a fait, ce sont des voyages autour du monde, soit avec Bill et Chelsea ou toute seule aux frais des contribuables états-uniens.
Bill Clinton a créé un monstre pour pouvoir revenir à la Maison-Blanche par la porte d’en arrière. La Rodham avait davantage l’oreille de Bill concernant les politiques du gouvernement qu’Al Gore, alors que celui-ci avait été élu avec Bill. De plus, Gore en veut beaucoup à Bill d’avoir dépensé toutes ses énergies en 2000 sur l’élection de la Rodham au Sénat, et ce, sans aucun discours ou appui de sa part pour ploguer sa propre campagne à la présidence. Voilà pourquoi Al Gore n’appuiera jamais la Rodham.
C’est comme si Michou avait davantage l’oreille de Charest que Normandeau, Fournier, Beauchamps, Couillard et les autres concernant les politiques du gouvernement. Tu serais le premier à condamner cette situation DG.
GO OBAMA GO!
De toute façon, kessé tu veux faire d’extraordinaire étant Sénateur.
Alors abolissons le sénat !
Proulx, j’attends toujours de savoir ce que tu penses de l’idée d’Obama de faire copain-copain avec les islamistes.
Tout comme j’attends tes commentaires sur les « jesus freak » qu’Obama fréquente.
Proulx est devenu un fan du « big governement, big spending, big taxes »:
Je me sens obligé de corriger le tir: http://emerillon.niala.net/index.php/2008/02/obama-et-les-accomplissements-legislatifs/
Il n’y a aucun accomplissement signifgicatifs la dedans. En plus il s’attribue le mérite des autres.
Un gamechanger ? LOL !
Obama says he is practicing a new kind of politics, but why has his PAC sloshed $698,000 to the campaigns of the superdelegates, according to the Center for Responsive Politics? Is giving Robert Byrd’s campaign $10,000 the kind of change we can believe in?
If he values independent thinking, why is his the most predictable liberal vote in the Senate? A People for the American Way computer program would cast the same votes for cheaper.
….Does The Changemaker have the guts to take on the special interests in his own party — the trial lawyers, the teachers’ unions, the AARP?
The Gang of 14 created bipartisan unity on judges, but Obama sat it out. Kennedy and McCain created a bipartisan deal on immigration. Obama opted out of the parts that displeased the unions. Sixty-eight senators supported a bipartisan deal on FISA. Obama voted no. And if he were president now, how would the High Deacon of Unity heal the breach that split the House last week?
@ DG.
Et toi, j’attends que tu me dises ce que tu penses des ébats sexuels que ton idole McCain a déjà eu avec une lobbyiste. Si les USA étaient une vraie démocratie, McCain aurait été contraint de se faire hara-kiri et de démissionner ou de se faire démissionner comme les deux ex-candidats de l’ADQ aux dernières élections québécoises.
«Proulx, j’attends toujours de savoir ce que tu penses de l’idée d’Obama de faire copain-copain avec les islamistes.»
Parce que tu crois que les pays musulmans sont démocratiques? On se bat pour le belle démocratie pakistanaise en Afghanistan au nom de George W. Bush pour éradiquer la secte musulmane, alors que Musharraf aide le gouvernement corrompu d’Hamid Karzaï, ancien Seigneur de guerre, l’ancien nom des talibans, à armer nos ennemis qui ont attaqué l’Occident en 2001.
Nos alliés sont nos ennemis, alors c’est une mission impossible. Obama a raison de vouloir utiliser la bombe atomique, car c’est la seule solution.
«Tout comme j’attends tes commentaires sur les “jesus freak” qu’Obama fréquente.»
Ce n’est pas Obama qui est homophobe, puisqu’il s’est toujours battu pour les droits des homosexuels, mais sa secte. Toi et moi DG, nous faisons, techniquement, partie du troupeau de la secte catholique qui est elle-même homophobe par son dirigeant international: le pape Benoît XVIe siècle. Sommes-nous homophobes pour autant?
Si pour toi il s’agit d’un handicap, alors qu’il fasse comme André Montmorency et qu’il apostasie de sa secte à grand coup de pied là où le dos perd son nom. Mais, les USA étant le pays le plus brain-washé par la secte catholique, je doute fort que ça passe comme lettre à la poste dans l’opinion publique et ça compromettrait ses chances d’être élu.
Ce genre de chose, toi et moi pouvons se le permettre DG, mais pas quelqu’un qui aspire à diriger le pays le plus brain-washé par la secte catholique.
@ Tom.
«Proulx est devenu un fan du “big governement, big spending, big taxes”.»
Les seules nationalisations que je propose, ce sont celle des banques, des multinationales de la consommation, de l’eau, des firmes pharmaceuticales et des pétrolières pour que le peuple ait plus d’argent dans ses poches. Pourquoi penses-tu que je prône l’abolition pure et simple de l’impôt sur le revenu, des taxes à la consommation, des frais bancaires et des garanties prolongées, hein?
Démissionner pour une histoire sans preuve qui ne concerne que sa vie privé ?
McCain, Obama ou Clinton peuvent bien baiser avec qui ils veulent, ce n’est pas de nos affaires.
WHAT !?!?
Alors pourquoi il fréquente une église homophobe ?
Tu est du pour voter Québec Solitaire.
P.S.: T’est pas obliger d’acheter une garantie prolongée.
David,
As-tu bien lù la dernière phrase de la chronique de Brooks?
Il a bien raison… as one who is knowingly and consciously afflicted by OCS myself, I know.
Mais il ajoute:
Don’t underestimate the power of that « invisible connection », my friend.
En passant, merci. Brooks est un de mes préférés et j’avais manqué cette chronique.
C’est ce que je dis. Un ne devient pas président avec des « invisible connection ».
La bulle va finir par éclater. Obama est monter trop haut, trop rapidement sans avoir d’idées.
…sans avoir d’idées
Tu n’as pas compris… L’idée que les républicains ne sont pas le diable… que l’on n’a pas besoin de passer chaque différend politique à-travers le prisme des culture wars qui durent depuis le début de la guerre du vietnam… est une idée politique qui est mûre dans le contexte américain.
C’est fou comme les critiques que vous faites tous envers Obama trouvent un étrange écho dans les critiques que l’on entendait de la part des démocrates en 1980 envers un ancien acteur qu’on disait tête de linotte qui ne sait que faire de bons discours… un homme nommé Ronald Reagan.
I’m telling you, just like Reagan… a gamechanger.
People who voted for Reagan in 80, especially those we call Reagan Democrats, did so because they also felt « an invisible connection » to the man’s rhetoric.
And that changed the game.
Get ready.
C’est exactement ce que fait Obama, miser sur la « culture war ».
Reagan avait des idées, de l’expérience et des réalisation. Il avait été le gouverneur du plus gros état américain: la Californie.
Ne compare pas Reagan à la coquille vide d’Obama !
On s’en reparlera en 2012.
On s’en reparlera en novembre.
@ DG.
«Démissionner pour une histoire sans preuve qui ne concerne que sa vie privé ?»
Te connaissant, si ça avait été Obama, tu aurais sauté sur cette nouvelle à pieds joints. Tu es seulement un peu trop partisan.
«WHAT !?!?»
Entre rester 100 autres années en Irak, un crime contre l’humanité basé sur 935 mensonges et plus et qui est le mauvais champs de bataille, et bombarder les vrais ennemis qui ont attaqué l’Occident, mon choix est fait.
«Alors pourquoi il fréquente une église homophobe ?»
Relis mon commentaire plus haut!
«Tu est du pour voter Québec Solitaire.»
Je voterai pour le Parti indépendantiste bien avant de voter pour les deux bouffons qui nient le 11 septembre 2001 et qui protègent les crimes de la secte musulmane.
«T’est pas obliger d’acheter une garantie prolongée.»
Tu crois ça?
McCain sera un remake de Dole ’96… un homme tellement obligé de piler sur ses convictions pour plaire à sa base (responsabilité fiscale dans le cas de Dole avec sa Flat Tax) qu’il devient invendable à la générale.
It’s going to be so sad.
Le socialisme d’Obama va unifier le parti républicain comme personne n’aurait pu le faire, même Clinton.
D’ailleurs les plus grands détracteur de McCain se sont rallier à lui depuis qu’il a été attaqué gratuitement par le New York Times.
Tu me connais bien mal. Je n’aurais pas attaqué Obama avec ça pas plus que je l’ai attaqué avec sa consommation de cocaïne. C’est une affaire de vie privée.
Donc le plan de Proulx, on se retire d’Irak et on utilise l’arme atomique au Moyen-Orient.
Mais j’aimerais que tu nous donne la quote où Obama parle d’utiliser l’arme nucléaire.
Réponds à la question: pourquoi Obama fréquente une église homophobe ?
Obama veut faire copain-copain avec les islamistes…
Quand je vais au Futurshop, on m’offre toujours une garantie prolongée. Je dis non merci et c’est la fin de l’histoire.
« le socialisme d’Obama »! Ha ha ha ha! You drank the Kool-Aid, man.
Obama est à droite de Clinton. Le programme (et la rhétorique) de Clinton suinte de Nanny-Statism… du genre « the government will do it for you ». Le programme et la rhétorique d’Obama sont remplie de « it’s your choice » et de « you have to do it for yourself ».
La différence entre leur plan de santé en est un exemple parfait.
C’est certain que ça convaincra jamais un puriste comme toi… mais les raisonnables qui vote à droite… les centristes flan-mous comme moi qui décidons des élections parce qu’on est capable de changer d’idée… we’re flocking to him like bees to honey.
It’s going to be lonely on your side soon.
À la droite de Clinton ?
Un type qui veut créer un ministère du patriotisme pour savoir quel entreprise américaine sont patriote ou pas moi j'appelle ça du socialisme.
Le plan économique d'Obama a été surnommé "Red Dawn II".
Et là je ne parle pas de son discours où il considère les canadiens comme des voleurs de jobs.
En Floride, un état baromètre, McCain mène sur Obama par 16 points !!! (53% vs. 37%)
En Iowa, Virginie, Ohio ils sont a égalité.
Et McCain n'a pas vraiment débuté sa campagne.
En passant, il y a plus de démocrates qui votent pour McCain que de républicains qui votent pour Obama…
Sorry…
Barack Obama est le sénateur le plus à gauche du Sénat.
Quant à le comparer à Reagan, c’est quand même un peu fort. Lorsqu’il se présenta à la présidence en 1980, Reagan avait été gouverneur de la Californie plus de huit ans.
Barack Obama n’a pour sa part même pas complété un mandat complet au Sénat.
Ne comparons quand même pas des poires et des oranges.
All hail the anti-globalization Obama
This is the same guy who keeps promising to heal America’s relationship with the world, right? Maybe it’s just me, but forcing protectionist agreements down our trading partners’ throats doesn’t sound like such a good start.
Huh? De yousque tu sors tes chiffres?
« This is the same guy who keeps promising to heal America’s relationship with the world, right? Maybe it’s just me, but forcing protectionist agreements down our trading partners’ throats doesn’t sound like such a good start. »
Oh please… The anti-globalization strand has (sadly) infected both parties by now… McCain will betray the Wall Street wing of the GOP quickly enough in the name of political imperatives. And Obama will betray labor in a flash to keep the economy running hot.
Sadly for all of us pro-globalization folk, 8 years of G.W. running the treasury to the ground (underground, really) on an insane war is only going to make protectionism worse as their ecomony (and their dollar) keep declining no matter who is president.
And that’s a tragedy for the whole world.
icitte
Faux !
"I'm a student of history. Every time the United States has become protectionist and listened to the siren song that you're hearing partially on this stage tonight, we've paid a very heavy price. The Smoot-Hawley Tariff Acts in the 1930s were direct contributors to World War II. It sounds like a lot of fun to bash China and others, but free trade has been the engine of our economy. Free trade should be the continuing principle that guides this nation's economy." (Republican debate in Dearborn, Michigan Oct 9, 2007)
-John "Stright Talk" McCain
Faux, il n'y a pas de déclin économique aux USA. Simplement un ralentissement du au sub-prime (rien à voir avec la guerre). D'ailleurs la guerre en Irak n'a pas coutée grand chose.
Fiou! Je pensais que tu voulais dire en chiffres brut, lors des primaires. Je me disais qu’un de nous deux avait perdu contact avec la réalité. Au lieu, tu me montres une toute petite fleur dans le wasteland of GOP electoral prospects ante Bush.
Wow… your side has to look really hard to find a ray of hope, dosn’t it?
Ces chiffres montrent surtout ce que j’affiramis plus tôt. Les wishy-washy du centre qui décident des élections de cycle en cycle « brisent » nettement en faveur d’Obama.
…
La citation de McCain que tu me présente est très éloquente… C’est beau les discours, n’est-ce pas? Ça inspire… mais l’aile évangélique et la base sudiste n’embarque plus dans le discours de l’aile de Wall Street (and they have the votes…I give you Mike Huckabee.)
Je n’ai pas dis que McCain n’était pas pro-mondialisation, j’ai dis que la maladie du protectionnisme avait aussi infecté son parti et que l’aile des know-nothings qui est une part nécéssaire de sa coalition fragilisée finira par extraire sa livre de chaire.
This is politics, not ideology.
Faux. Les indépendant ne sont pas aussi nombreux que les électeurs démocrates et républicains. Et la popularité de McCain chez les démoxrates annule une bnonne part des indépendants.
Faux.
McCain a gagné des primaire fermé dans le Sud et 72% des républicain ont une opinion favorable.
Faux,
Va relire la quote.
P.S.: Je vois que tu a décidé d'ignorer délibérément les résultats du sondage en Floride.
Comme j’ai dis… Man, your side has to look really hard to find some hope doesn’t it?
…
Hey, man… c’est ton blogue. Tu peux t’accrocher à chaque morceau de sondage ou statistique que tu veux, ça ne change pas la dynamique de fond.
My guy will clean your guy’s clock in November. …and the guy who set it up is the one in office right now (thanks George)
Et je sais que malgré ton militantisme enragé, you’re smart enough to read the tea leaves…
Tu devrais suivre les conseils de Coulter…
I’m going back to play in the reality-based community.
Good luck with your candidate.
Ann Coulter est une joke digne de Léo-Paul Lauzon, j’vois pas en quoi son opinion change quelquechose.
Pas besoin de chercher bien fort, McCain mène dans la Floride et il est a égalité avec McCain dans plusieurs battleground state.
Je sais, mon blogue ne fera jamais de Obama un candidat avec du contenu.
Ann Coulter est devenu une risée même sur Fox News.
J’ai vraiment très hâte de voir ce qu’aurait l’air un débat entre Obama et McCain…
Il vaut l’avouer, McCain n’est vraiment pas inspirant. Il a un discours hésitant et monotone, c’est difficile de rester attentif à ce qu’il dit. Pourtant, ce qu’il dit est très profond… tout l’inverse d’Obama.
Ce sera: Contenant vs Contenu
Non Sylvain, ca va etre le deglonflage spectaculaire d’une baloune. Comme on a connu ici avec Boisclair. Les deux etaient de pretendu nouveaute sense amener des nouvelles idees (maudite expression galvaudee qui veut rien dire d’ailleur – c’est pour ca que Dumont l’utilise) et les deux venait de « miniorite » dont il n’est pas necessairement bien vue de s’opposer si on veut etre un homme moderne (meme si on sait qu’en dehors des grands centre c’est de la frime).
Le resultat au EU ne sera pas different du resultat du Quebec, les deux n’etant que je gigantesque coquille vide ca va fouarrer. Les parole, du vide ca peut aider a vendre un char mais pour se faire elire President des EU, ca prend un peu plus que ca.
En Bref, les democrates sont dans un no win situation.
Soit ils prennent Clinton (Bill reve deja des apres-midi de first lady au G8 avec Carla) et ils vont se faire dire qu’ils ont encore ignore un noirs.
Soit ils prenne Obama et les feministes vont les traiter de sexiste.
En Bonus dans les deux cas, ils vont se faire baiser aller-retour par McCain au mois de novembre…
Je viens de lire que McCain souhaite la mort de Castro. Perso, je trouve ca un peu fort, on peut souhaiter la fin du regime totalitaire sur l’ile, sans necessairement souhaite la mort d’un homme.
En gros ca entre en collision avec ma morale humanisme, morale typiquement quebecoise et canadienne (meme en tant qu’independantiste je suis capable de dire cela).
Mais paradoxalement, etant donne que les Americains n’ont pas la meme vision de Cuba que nous – particulierement en Floride – ce qui serait un bourde ici, risque de le propulse encore plus en avant de Obama (qui, le double con, dit qu’il va y aller d’une politique diplomatique copain-copain avec la Havane).
Ps La position de Obama est sans doute la position la plus molle et la plus idiote de la diplomatie americaine depuis tres longtemps.
a la rigueur tu peux le penser mais tu ne le dis pas, surtout apres 50 ans d’embargo!
Obama: is America ready for this dangerous leftwinger?
For most ordinary Americans, those not encumbered with an expensive education or infected by prolonged exposure to cosmopolitan heterodoxy, patriotism is a consequence of birth.
Their chests swell with pride every time they hear the national anthem at sporting events. They fill up with understandable emotion whenever they see a report on television about the tragic heroics of some soldier or Marine who gave his life in Iraq or Afghanistan.
Foreigners don’t have to like America – and they’ve certainly exercised that freedom in the past few years. But most Americans can distinguish between the transience of policy failure and the permanence of the national ideal.
And surely even critics of the US could scarcely deny that there have been real causes for American pride in the past 25 years: the fall of the Berlin Wall; the victory in the first Gulf War in 1991; the nation’s unity in grief and resolve after September 11. Heck, I suspect most Americans got a small buzz of patriotic pride this week when they heard that one of their multimillion-dollar missiles had shot a dead but dangerous satellite travelling at 17,000 miles per hour out of the sky so that it fell harmlessly to Earth.
But not, apparently, Michelle Obama, wife of the man who is now the putative Democratic candidate for US president, and at this point favourite to succeed to that job. In what might be the most revealing statement made by any political figure so far in this campaign season, Mrs Obama caused a stir this week. She said that the success of her husband Barack’s campaign had marked the first time in her adult life that she had felt pride in her country.
This, even by the astonishingly self-absorbed standards of politicians and their families, is a remarkably narrow view of what makes a country great. And though she later half-heartedly tried to retract the remark it was a statement pregnant with meaning for the presidential election campaign.
Now, to be fair to Mrs Obama, she would surely have a point if she had said that it was a source of incomparable pride to her and all African-Americans that in a country with a long and baleful history of racial discrimination, one of their own was within serious range of becoming president. All but the most irredeemably racist Americans would surely agree with that.
But that was not what she said. She said this was the only time in her adult life that she had felt pride in America.
It was instructive for two reasons. First, it reinforced the growing sense of unease that even some Obama supporters have felt about the increasingly messianic nature of the candidate’s campaign. There’s always been a Second Coming quality about Mr Obama’s rhetoric. The claim that his electoral successes in places like Nebraska and Wisconsin might transcend all that America has achieved in its history can only add to that worry.
Secondly, and more importantly, I suspect it reveals much about what the Obama family really thinks about the kind of nation that America is. Mrs Obama is surely not alone in thinking not very much about what America has been or done in the past quarter century or more. In fact, it is a trope of the left wing of the Democratic party that America has been a pretty wretched sort of place.
There is a caste of left-wing Americans who wish essentially and in all honesty that their country was much more like France. They wish it had much higher levels of taxation and government intervention, that it had much higher levels of welfare, that it did not have such a “militaristic” approach to foreign policy. Above all, that its national goals were dictated, not by the dreadful halfwits who inhabit godforsaken places like Kansas and Mississippi, but by the counsels of the United Nations.
Though Mr Obama has done a good job, as all recent serious Democrats have done, of emphasising his belief in American virtues, his record and his programme suggest he is firmly in line with this wing of his party.
This, I think, not his inexperience in public office, is the principal threat to Mr Obama’s campaign. His increasingly desperate opponent, Hillary Clinton, keeps hammering away that his message is all talk and no substance – and she was joined this week by Mr Obama’s likely Republican opponent in the November general election, John McCain.
But if you listen to Mr Obama’s speeches, it is not the lack of substance but the quality of it that ought to worry Americans. His victory speech after his latest primary win in Wisconsin this week was a case in point.
There was no shortage of proposals. He plans large increases in government spending on health and education. He wants to tax the rich more to pay for it. He is against companies using the opportunities of free markets to restructure their operations in the US. He is vehemently protectionist. He continues to insist, despite the growing evidence that this left-wing nostrum would be lunacy, that the US must pull its troops out of Iraq with the utmost dispatch.
While he speaks of the need for Americans to move beyond partisanship (“We are not blue states or red states, but the United States” is a campaign meme), when you cut through the verbiage there is nothing to suggest he believes anything that is seriously at odds with the far Left of his party. If you think about it for a second, it’s not really an accident that he has been endorsed by the likes of Ted Kennedy and Jesse Jackson.
Though he talks with great eloquence about the future, he sounds for all the world like one of the long line of Democrats from George McGovern to Walter Mondale to Michael Dukakis, who became history by espousing policies and striking a rhetorical pose that was well out of the mainstream of American politics.
America is certainly moving left in the post-George Bush era. The long period of conservative ascendancy is clearly over, buried by a Republican Party of recent years that has preached intolerance and practised incompetence. That a new era in American politics is beginning is not in doubt. But are Americans really ready to leap all the way across in one go to embrace a European-style Left?