Depuis 1998, le gouvernement du Québec envoie plusieurs centaines de millions de dollars dans les "régions ressources" pour stimuler leur économie. Quel a été le résultat de ces 7 années de politique keynésienne ?
Entre 1998 et 2005, l'évolution annuelle de la productivité dans le secteur manufacturier a été:

Encore une fois, l'interventionnisme économique n'a pas été une solution profitable. En 2006, les "régions ressources" ont contribué à 12,7% du PIB québécois. Par contre, ces mêmes régions ont reçu 20% de l'aide gouvernementale. Devant un pareil déséquilibre, on peut se demander où sont les ressources dans ces "régions ressources".
Un jour, il faudra que le Québec voie la réalité en face et accepte de lâcher prise: maintenir en artificiellement vie certaines régions n'est pas une solution durable. Les "régions ressources" qui ne peuvent pas vivre de leurs ressources représentent un boulet pour la province; ce n'est pas une nécessité pour le Québec d'occuper tout son territoire.
Source:
Groupe de travail sur les aides fiscales aux régions ressources et à la nouvelle économie
C’est payant pour la Clique de détourner de l’argent au profit des « régions ressources »…et je crains que ce n’est pas l’ADQ qui va arrêter ce vol puisqu’ils y font élire une bonne partie de leur députation (à moins qu’ils viennent plutôt des régions centrales…entk pas de montréal c’est sur)
Ronald Reagan, 1975
Toujours pas de Reagan en vue dans notre république de banane factuelle…
Je suis contre les transferts
Par contre tu devrais visiter une vraie republique de banane avant de faire la comparaison
Il y a beaucoup de trucs a ameliorer au Quebec mais il ne faut pas oublier qu’on jouit d’un tres haut niveau de vie et que notre situation reste tres enviable
C’est une chose importante que de proner l’économie de marché, mais en decrivant le Quebec actuel comme pire qu’il ne l’est on ne se rend pas service.
Comparer le Quebec a une Republique de Banane c’est un manque d’objectivite aussi important que de proner l’interventionisme.
On ne peu pas simplement déplacé une population entière d’une région simplement parce que cette région n’est pas économiquement ( en se moment) « rentable ». Je vis actuellement loin de chez moi… et je me sens étranger. Ce serait exactement la meme chose avec tout ses « déplacer économique ».
Certe subventionner ad vitae eternam des industries moribondes dans ces régions n’est pas une chose très intelligente. Par contre, si ses même investissement vise à créer de nouvelle industrie et secteur économique à long terme, pourquoi pas ?
Parce que ces politiques publics sont un échec! Dans les faits, de nombreuses régions connaissent des déclins démographiques au profit de Montréal, Québec, Hull-Ottawa et leur banlieues respectives.
Pourquoi continuer à investir dans des régions qui seront vides dans 30 ans?
Il y a une raison électoraliste pour laquelle les regions éloignées recoivent des promesses de subventions; leur poids politique est disproportionnement grand par rapport a leur poids démographique. Ce qui rend extremement tentant, par exemple, de soliciter les gaspésiens pour obtenir 2 circonscriptions alors que le meme effort a Montreal ne leur en donnera qu’une.
J’ai un article ici qui illustre cette disproportion:
http://resultbasedpolitic.blogspot.com
C’était aussi aux nouvelles de la SRC hier soir.
La motivation est politique, les partis s’achètent des votes.
On te parle pas de la déplacer activement, on parle de laisser les gens partir.
…donc je suis supposé te donner le cash de mes taxes parce que tu te sens étranger? Eh, non.
1) parce que le gouvernement est tres inneficace pour allouer le capital.
2) Parce que ces taxes seraient mieux utilisées ailleurs
3) PARCE QU’IL N’Y A AUCUNE RAISON POUR QUE L’ARGENT DE MES TAXES QUE JE GAGNE SERVE À SOUTENIR ARTIFICIELLEMENT DES GENS QUI OCCUPENT DES ACTIVITES INNEFICACES
De là à fermer les régions, y’a une marge…
Je dis pas de fermer des villages comme dans les annes 60, je dis que je veux pas jetter mon argent pas les fenetres pour soutenir des activités non-rentables
Dans l’absolu, personne ne souhaite la fermeture des régions.
Mais à quoi bon dépenser du bon argent, qui serait bien utile ailleurs, dans des régions sans espoir qui finirons, de toute façons, par fermer ?
Et pourquoi pas? Faudra que quelqu’un ait à long terme le courage de dire que des ressources qui sont affectés à soutenir une population en déclin dans les régions, alors qu’elles pourraient être mises là ou la population est en croissance!
Si les régions sont pas capables d’être financièrement au dessus de zéro, c’est pas à ceux qui y arrivent de payer la différence.
Alcan par exemple, chaque job coute 370 000$ par an. On exporterait tout ce courant en nouvelle-angleterre pis MAGIE, des centaines de millions (voir des milliards) de plus par an en revenu pour hydroquébec.
Lis bien, je dis d’arreter de soutenir des activités économiques innefficace pour en créer d’autre, qui elle, ont un avenir.
S’il faut prendre une infime partie des taxes et impot que l’on paie pour les investirs ( évidemment, en partenariat avec le privé!!) et qu’à plus long terme on récolte le bénifice en:
1) ne donnant plus d’argent pour les anciennes économies
2) récoltant les fruits fiscales
on est doublement gagnant. Mais mieux encore, on laisse les régions évolué et non mourir.
(autre point fantastique, j’ai pu « dire » tout cela sans crier, wow !)
Encore une fois, excellent billet David! Quand c’est excellent, je le dis!
Mais quand on est véritablement un partisan du libre-marché, il faut avoir le cohérence intellectuelle d’exiger l’abolition de TOUTES les subventions aux entreprises.
Il l’a souvent demandé aussi.
Pourtant, lorsque que le fédéral et le gouvernement américain arrosent des corporations qui ont investi dans la caisse électorale du parti au pouvoir par des contrats militaires, il ne dit rien.
Pire, il ne dénonce même pas ceux qui prétendent que les guerres sont bonnes pour l’économie et il ne fait même pas le lien entre les guerres impérialistes et le sophisme de la vitre cassée.
@Economizt
Tout à fait d’accord avec vous. Cela signifie donc que l’État ne doit accorder des contrats que pour la DÉFENSE de son territoire et non pas pour mener des guerres impérialistes.
Faut assumer vos propos jusqu’au bout, car sinon vous donnez raison à la gau-gauche étatiste.
1) C’est pas la job du gouvernement. Le gouvernement fait ce genre de choses tres mal generalement.
2) Les activites qui ont un avenir sont deja entreprises par les entrepreneurs
3) L’investissement c’est par définition RISQUE et le gouvernement n’a pas a prendre ce genre de risque
La Caisse de depot et placement du Quebec ca t’dis rien?
LOL!!!111!! Si c’est rentable pourquoi le privé n’y va pas tout seul?????!!!!!1111
Benefices MOINDRES que si on laisse l’argent dans les poches des contribuables, qui sont des investisseurs et des consomateurs
L’evolution ca se fait de l’interne, pas par l’exterieur. La Bauce a jamais recu une cenne, y’ont meme pas de routes décentes pis ils chiallent pas pour se faire aider, EUX
C’est fantastique en effet le contrôle que tu exerces sur ta personne. Tai chi ou pilules?
@Economizt
Pas une cenne, la Beauce? Du délire! Que penser des nombreuses subventions-catastrophes quasi-annuelles que la région reçoit en raison des inondations printanières?
De plus, plusieurs considèrent la Beauce comme la région la plus parasitaire du Québec (je ne parle pas des travailleurs) à l’égard des subventions gouvernementales. Alors, foutez-moi la paix avec le miracle économique beauceron!
http://www.quebecoislibre.org/980221-4.htm
LE MIRACLE ÉCONOMIQUE BEAUCERON:
DU PARASITISME EFFICACE
On nous rabâche les oreilles depuis des années avec un supposé miracle économique en Beauce, qui serait dû à l’esprit d’entrepreneurship particulièrement développé dans cette région, couplé avec une solidarité et un sens de l’entraide à toute épreuve. Un économiste de l’UQTR, Pierre-André Julien, vient de publier un ouvrage sur la question et était interviewé à l’émission Les Affaires & la Vie à la radio de Radio-Canada le samedi 14 février.
Une machine à aller chercher les subventions
Avec une béatitude niaise qui trahissait son incompréhension totale des phénomènes économiques, M. Julien s’est pâmé sur les véritables raisons du miracle beauceron: « Elles [les entreprises] ont été assez intelligentes – il faut bien le voir d’ailleurs dans ce sens-là – la Beauce, c’est quasiment une machine à aller chercher toutes les subventions possibles. (…) Dans d’autres régions, ils y vont seuls, donc le gouvernement les écoute plus ou moins, ou leur en donne un peu. Là, ils y vont en masse, puis ils y vont, ils vont tout chercher. Ils ont des organismes de chercheurs de subventions, puis en même temps, elles savent tout de suite les utiliser, ces subventions-là, pour compléter leurs ressources. C’est comme ça qu’il se crée une certaine synergie, un démarrage, une stimulation. »
Le titre du livre de M. Julien est: Le développement régional: comment multiplier les Beauce au Québec. Peut-être pourrait-il nous expliquer comment on réussirait à financer de tels miracles économiques si toutes les régions du Québec se mettaient à imiter les Beaucerons?
Un économiste de l’UQTR LOL
Pour les inondations c’est normal que ce soit l’etat qui s’en occupe, c’est sa job.
Ne noyez pas le poisson, economizt!
Quelle est le problème avec l’UQTR?
Pierre-André Julien a simplement écrit une stupidité, point à la ligne!
Pour les inondations, je comprends mais ne dites pas que la Beauce ne reçoit rien.
Je vous rappelle aussi que ce sont des événements RÉPÉTÉS ET PRÉVISIBLES!
«Les « régions ressources » qui ne peuvent pas vivre de leurs ressources représentent un boulet pour la province; ce n’est pas une nécessité pour le Québec d’occuper tout son territoire.»
Ai-je bien lu??????? SIEG HEIL HERR DG!
Hitler disait la même chose de ses voisins et des Juifs. Sans les régions ressources, le Québec serait encore plus dans le trou. Mourial ne pourrait jamais survivre sans les régions (Quoique ça donne vraiment le goût de laisser Mourial se démerder toute seule et de la laisser au Canada une fois le Québec souverain!).
Facteurs de puissance: grande superficie pour une plus grande disponibilité de ressources naturelles (situation géographique enviable et climat propice à ne pas négliger), une importante population (renouvellement des naissances obligatoire, car pas de main d’oeuvre, tu n’as aucune possibilité) bien formée et instruite (éducation de qualité supérieure et à la fine pointe de la technologie avec des professeurs compétents), infrastructures de qualité (si possible industrielles, car une économie saine correspond à des secteurs primaire, secondaire et tertiaire forts), la présence d’une forte technologie et l’armement adéquate (une bonne armée et, si possible, développer l’arme nucléaire) et une organisation politique et une structure politique fortes avec un leader fort, rassembleur et charismatique pour diriger ce peuple.
Sans ces ingrédients, tu rejettes l’idée de devenir un pays puissant. Ce que j’essaie de te dire DG, c’est que ta diatribe anti-région est farfelue, grotesque, méprisante et contradictoire avec ton idéologie.
Aucun probleme avec cette remarquable institution, voyons.
La Bauce recoit moins. Et pourrait survivre sans subventions.
Je concede sur la frequence des inondations.
« Ne noyez pas le poisson, economizt! »
Je sens que je vais repeter cette phrase souvent si je suis intoxiqué ce soir…
Euh une question en passant, s’il n’y a pas de récession en vue en Amérique du Nord alors pourquoi les US viennent de décider d’investir ou donner 152 milliards pour relancer ou aider
l’économie si tout va si bien de leur côté?????
Pour acheter des votes.
Le poids électoral des régions est énorme. Un électeur en Gaspésie a le double du poids électoral d’un électeur à Montréal. Tout l’enjeu est là.
Le jour est les électeurs des régions seront aussi chers à acheter que ceux des centres urbains, les politiciens cesseront de dilapider les millions.
Le jour où les gens se rendront compte que l’État ne travaille pas pour eux, les politiciens cesseront de dilapider des millions.
Surtout les indépendantistes qui ont créé des structures étatiques inutiles.
Chose que j’appuie.
Depuis la chute de l’URSS, il n’y a plus de guerres impérialistes.
Petit 1, arrêtez de vous prendre la tête avec le poids électoral des gaspésiens, le DGE est en train d'y pourvoir. Les circonscriptions du Québec ont toutes environ la même population, et l'on procède à un redécoupage lorsque ce n'est plus le cas. Petite constatation, également: c'est le PLQ qui est au pouvoir en ce moment, or toutes les régions éloignées sont péquistes. Où voyez-vous l'électoralisme là-dedans?
Je constate que les Montréalais sont nombreux ici. Peut-être est-ce une preuve que ce blogue n'est pas vraiment représentatif de la population du Québec. Je commencerai par vous rappeler que vous ne représentez que la moitié de la population du Québec (j'entends ici Montréal avec les banlieues).
Si les régions-ressources fermaient, comme certains extrémistes se complaisent à le demander, je ne donne pas dix ans à Montréal avant d'avoir sombré dans le marasme économique. Si la métropole ne dépend pas des ressources et peut vivre de l'industrie des services, c'est parce qu'elle agit comme lieu de transit de ces mêmes ressources. La querelle régions-Montréal est inconsistante: tout le monde dépend des autres, ce n'est pas une relation univoque. À moins, bien entendu, que vous en soyez devenu individualiste au point de croire à l'autarcie la plus complète (ce qui semble être le cas avec les exigences d'abolition des impôts, des subventions, de l'État même). Jusqu'à preuve du contraire, l'être humain vit en société pour que certain des membres de celle-ci se consacrent à des activités spécifiques, de manière à augmenter la productivité globale, créant ainsi des interdépendances. Ne venez pas me dire ici qu'on achèterait les produits des régions ailleurs: vous avez vous-même prononcé le mot, acheter. Cela implique une nouvelle dépendance, mais cette fois sur laquelle vous n'avez aucune prise.
Ajoutez à cela que les gens déplacés des régions contre leur gré iraient bien quelque part, Montréal sans doute, et vous vous retrouvez avec une aberration économique et sociale en bonne et due forme dans la métropole du Québec.
Je constate aussi, une fois encore, la bonne vieille rengaine de la droite radicale. Lorsqu'un problème se pointe, la solution est de ne plus s'en occuper; tout s'arrangera tout seul (ici, en supposant que l'hyper-concentration de la population dans le Grand Montréal serait bénéfique d'une façon ou d'une autre). Qui est vraiment idéaliste, pelleteur de nuages?
Essayons de sortir du théorique et d'aller un peu dans la réalité. L'abandon complet des régions n'est pas une solution, même du point de vue de Montréal. Je m'accorde avec vous pour dire que les versements actuels aux régions sont, dans leur vaste majorité, improductifs et inutiles. Cependant, il existe une voie de sortie applicable à peu près partout, mise de l'avant par M. Bachand, à savoir les grappes industrielles. Que faire dans une région mono ou biindustrielle lorsque sa ou ses quelques activités déclinent? Il faut développer de nouveaux secteurs, plus dynamiques et qui se retourneront plus rapidement sur eux-mêmes en cas de changement de perspective. Il s'agit ici d'établir des créneaux d'excellence dans chaque région et d'encourager la fondation d'entreprises québécoises touchant à ce domaine. Il faut également voir à diversifier les économies régionales et à ne pas mettre tous les oeufs dans le même panier. Ces investissements publics-là semblent plus prometteurs, comportent peu de risques et, à moyen terme, réduiront de beaucoup la dépendance fiscale des régions face à la métropole.
Je terminerai avec ceci: mettez-vous à notre place un petit instant (car je suis d'une région). Vous nous dites, avec raison, que les régions accaparent la majorité des problèmes économiques du Québec. Mais avez-vous déjà réalisé à quel point Montréal est la source de nos problèmes sociaux? Cela aussi, ça gaspille de l'énergie et du temps. Pensez aux accomodements raisonnables… aux ghettos d'immigrants… aux chicanes avec le maire… Pourquoi dans les médias devons-nous nous taper les nouvelles sur le déneigement des rues à Montréal, sur les grèves des cols-bleus ou que sais-je encore? Si nous adoptions votre point de vue, nous ne nous préoccuperions jamais de vos problèmes. Pourtant, nous le faisons. Sur les accomodements raisonnables, par exemple, les régions se sont prononcées, bien qu'en majorité elles n'avaient pas besoin de ce débat. Faites donc preuve de bonne volonté vous aussi et essayez de vous mettre à notre place. L'empathie, même pour la droite radicale, ça doit bien exister… C'est l'une des bases de la vie en société.
Il faux faire attention. Pendant des décennies, les régions ressources ont été exploitées aux profits des grande villes. Les ressources (minerai, bois, poisson) étaient prises ici mais transformées ailleurs.
Certains groupes font du lobbying pour bloquer des projets de développements en Gaspésie pour ne pas qu’ils aient de la compétition. (Ex cimenterie de Port Daniel, qui a été partiellement contruite, mais jamais ouverte.)
L’interventionisme « à la péquiste » comme la Gaspésia est la mauvaise façon. Des incitatifs pour encourager les entreprises à s’installer près des ressources, ca c’est la bonne façon.
@JC
Le comté de Bonaventure est tellement grand que ca prend autant de temps pour le traverser que de voyager de Québec à Montréal. Comment voudrais-tu le fusionner avec Matane, ou Matapédia ?
Il ne faut pas oublier aussi que la population Gaspésienne est la première a vivre ce que vous vivrez bientôt: pour la première fois, il y a plus de vieux que de jeunes. A cause de l’exode des jeunes (pas assez d’emplois) et des baby-boomers qui viennent prendre leur retraite dans ce petit paradis.
Pas plus grand que les territoires du nord Québecois. Je m’en tient simplement a la regle democratique de la representation.
Certaines régions se dépeuple et continueront de le faire. C’est une vague de fond; le monde entier s’urbanise. C’est effectivement possible de subventionner au point de ralentir ce phénomene mais le retour sur investissement est faible (souvent nul).
Dans tous les cas, la carte électorale doit refléter la réalité de 2008. Et si c’était le cas actuellement, le gouvernement du Québec n’aurait peut-etre pas investit dans la construction d’infrastructures en Gaspésie.
Si la Gaspésie arrive a developper un avantage compétitif sur les autres régions, les capitaux suivront, et les jobs.
La Gaspésie a eu, et a encore des avantages compétitifs, mais les lobbyistes sont très forts pour favoriser les entreprises « en ville » au détriments de la Gaspésie.
Le gouvernement Charest a favorisé l’économie Gaspésienne en forcant les compagnies a avoir un % de contenu Gaspésien. Normalement il n’aurait pas eu a le faire parce que les conditions sont idéales dans la région, mais les lobbyistes tentent d’attirer en ville les entreprises éoliennes, même si les conditions de vents y sont moins intéressantes qu’en Gaspésie. Malheureusement, les bon vieux « pots de vins » ca existe encore, et ca nuit au réel libre-marché
@Alexis: Je viens d’un trou du lac-st-jean de 1400 habitants, et je crois quand même qu’une région qui n’arrive pas à vivre économiquement n’a pas à être tenu en vie par ceux qui y arrive.
Un autre exemple ou le lobby vient entraver le libre marché. En Gaspésie, il y a eu découverte l’an passé d’un important gisement d’argile Alumineuse de très haute qualité.
Aujourd’hui aux nouvelles, il semble que le gisement ne serait pas exploité sur place, mais la matière première serait envoyée vers d’autres alumineries au Québec. Pourtant il s’agit d’un gisement tellement important qu’il pourrait fournir toutes les alumineries du Québec. Alors pourquoi ne pas bâtir une aluminerie sur place, collée sur un port maritime important (Gaspé)?
Il semble que des lobbyistes engagés par les autres alumineries font des pressions pour ne pas avoir de compétition.