Vous saviez que les scientifiques du GIEC (IPCC) ne sont pas tous d'accord avec les théories voulant que le réchauffement climatique soit causé par l'homme ? Vous savez que des scientifiques du GIEC ont été censurés par l'ONU ?
Maintenant vous savez. Alors quand quelqu'un vous dira qu'il existe un consensus scientifique sur les causes du réchauffement climatiques, tâchez de vous en rappeler…
Ce vidéo est une partie du documentaire « The great global warming swindle » que l’ont peut voir sur ce lien.
http://www.quitterlequebec.com/forum/index.php?topic=2169.0
Merci beaucoup
À lire:
La suite… The UN Climate Change Numbers Hoax
De l'essence à perpétuité
La Presse
Au laboratoire gouvernemental de Sandia, au Nouveau-Mexique, l'ingénieur en mécanique Richard Diver a un grand rêve: fabriquer de l'essence à partir du dioxyde de carbone qui se trouve dans l'atmosphère. Cette quête pourrait complètement effacer la contribution de l'automobile à l'effet de serre.
@ DG.
«Alors quand quelqu’un vous dira qu’il existe un consensus scientifique sur les causent du réchauffement climatiques, tachez de vous en rappelez…»
Selon toi, qu’est-ce qui cloche dans cette phrase? Au niveau de l’orthographe, je veux dire!
On écrit: «les causes» et «tâchez» avec un accent circonflexe sur le «a».
Désolé, mais ces deux fautes-là me donnaient vraiment mal au coeur. Elles auraient pu être faites par un enfant d’âge primaire.
DG, ton blogue est public et ouvert à tous. Tout le monde peut lire ce que tu y écris, alors fais un peu attention à ton français, de grâce!
Pour le contenu de ce billet, l’homme est responsable des changements climatiques, du réchauffement de l’Arctique et du trou dans la couche d’ozone.
Mais, la grande erreur du Protocole de Kyoto est de ne pas contenir les grands pollueurs de la planète: États-Unis, Chine, Japon, Australie.
Autrefois, ces pays étaient les quatre sceptiques de Kyoto. L’Australie vient de ratifier le protocole et je crois que la Chine l’a également fait.
Ne reste plus que le Japon, les États-Unis et, maintenant, le Canada. Les libéraux n’ont rien fait, après avoir ratifié Kyoto, mais l’inaction libérale et l’erreur de Kyoto d’exclure les grands pollueurs ne sont pas des raisons suffisantes pour ne pas bouger.
Les cibles doivent êtres réalistes et contraignantes, car économie et environnement vont de pair. C’est une chose que Stephen Harper ne semble pas avoir comprise.
Erratum: «Les cibles doivent être réalistes et contraignantes…»
Tu as toi-mêmes fait des erreurs d’inattentions tout aussi bête alors…
Ça reste à prouver…
« l’ingénieur en mécanique Richard Diver a un grand rêve: fabriquer de l’essence à partir du dioxyde de carbone qui se trouve dans l’atmosphère. Cette quête pourrait complètement effacer la contribution de l’automobile à l’effet de serre. »
Des idées comme celle-là, je trouve ça épeurant. Le dioxyde de carbone (C02) dans l’atmosphère est important: c’est ce qui permet aux plantes de croître. Le CO2 est différent du CO (monoxyde de carbone), qui lui est un polluant qu’il faut éliminer le plus possible.
Laissons donc tranquille le CO2. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau provenant de l’évaporation des océans (95 % de l’effet de serre). Le CO2 d’origine humaine y contribue pour moins de 0,1 %. Tous les GES d’origine humaine ne sont responsables que pour 0,28 %.
http://mysite.verizon.net/mhieb/WVFossils/greenhouse_data.html
L’effet de serre est un phénomène naturel. Sans lui, la vie n’aurait pas pu apparaître sur la terre. La température serait 33 degrés C plus basse: de 15 degrés C actuellement en moyenne, elle serait de – 18 degrés C.
Le GIEC clâme que tous les 2500 contribuants sont d’accord là-dessus, mais c’est faux. Il y a un très grand nombre qui ne sont pas d’accord avec ces conclusions, mais la GIEC a inclus leur noms aux signataires tout de même. Le consensus n’existe pas.
La grande erreur de Kyoto est que, même si tout le monde participait, pour chaque dollar investi, on sauve pour 34¢ de dommages. Et les Etats-Unis, le Canada et l’Australie seront les pays qui paieront le plus. Pour nous ce sera plus comme 16¢ pour chaque dollar.
Si tout le monde enforce strictement Kyoto, en 2100 on aura freiné le réchauffement de seulement 0,2 degrés C de moins que si on ne fait rien. Mais tout le monde sera plus pauvre de $80 trillions.
Bref, on devrait scrapper carrément Kyoto.
En même temps, pour bien des scientifiques, on aurait plutôt tendance à dire que les données du GIEC seraient sous-estimées par rapport à la réalité.
Une brève à circulé à ce sujet : certains scientifiques au sein même du GIEC dénoncent une « machine » qui serait trop pondérée, et qui ne prendrait pas en compte les effets de seuils dans la dynamique du climat. C’est surtout la fonte de la banquise cet été, dépassant tous les pronostics (même les plus pessimistes), qui a fait surgir cette critique.
La chute de cette année n’a pas été anticipée par aucun modèle du GIEC.
ftp://sidads.colorado.edu//DATASETS/NOAA/G02135/Oct/N_200710_plot.png
http://img91.imageshack.us/img91/537/iphonexi3.png
Ça du sortir durant la saison des demandes de subventions…
P.S.1: Video: NASA says global warming might not be the cause of Arctic ice melt
P.S.2: Antarctic ice at highest levels since 1979
Dans le film, le gros de leur contre-argumentaire est un sophisme: quelques scientifiques disent que le CO2 n’est pas historiquement à l’origine du réchauffement. Ensuite, ils font une translation habile entre le mot « origine » et le mot « cause » pour finalement nsinuer que l’augmentation de CO2 ne peut pas causer de réchauffement.
Pourtant, personne n’a prétendu que e CO2 était le déclancheur des réchauffements passés. On parle d’une corrélation, d’une rétroaction positive.
Supposons qu’une modification dans l’ellipse de la terre autour du soleil, dans la fréquence des tempêtes solaires, dans l’inclinaison de la terre sur son orbite et dans la précession des équinoxes soient en mesure de provoquer un réchauffement. Celui-ci favorise l’augmentation du CO2 atmosphérique, qui à son tour participe à réchauffer le climat. Avec certains seuils, comme des modifications de courants, de l’abédo, ect. le CO2 provoque un emballement du réchauffement, qui n’est pas expliqué par les modifications astrophysiques. En tout cas, ça fitte avec ce que les courbes nous disent. Le GIEC n’a jamais prétendu que le CO2 était le déclencheur du réchauffement, mais qu’il en expliquait une partie.
L’argument scientifique # 1 de « Warming Swindle » est donc à côté de la plaque.
L’autre argment ultra-dominant dans le film (et que tu me répètes encore une fois) est aussi un sophisme, de taille: un Ad Hominem. Ce sont les intentions cachés, les gros sous, et l’intérêt économique des scientifiques du climat qui est derrière leurs conclusions scientifiques. L’accusation est de taille.
Mais avant de prendre quelqu’un les culottes baissées, mieux vaut s’assurer d’être soi-même le moindrement culotté.
Je ne me sens pas mal de vous retransmettre l’enquête d’un internaute sur les protagonistes du film dont on a ici un extrait. Puisqu’ils accusent ad hominem toute une profession, je me sens parfaitement justifié de leur renvoyer la balle. Surtout que les produits émetteurs de GES sont un marché facilement 1000 fois plus important que la « machine économique des études sur le climat ».
Channel 4 est une chaîne de télévision britannique du service public.
Elle a été créée par une loi du parlement et a commencé à diffuser ses programmes le 2 novembre 1982. À la différence de la chaine de service public BBC, Channel 4 ne reçoit aucun fond public. Tout ses programmes sont financés par ses activités commerciales, dont les publicités.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Channel_4
En 1997, Channel 4 diffuse une série intitulée « Against Nature » ou les environnementalistes sont comparés à des Nazis conspirant contre les pauvres de ce Monde. Encore une fois, une série ne présentant qu’un seul point de vue.
Saisie par le cas, la commission indépendante de Télévision constata que les personalités utilisées pour la réalisation de cette série furent exploitées et leurs propos tirés hors du contexte initial.
Channel 4 fut obligée de présenter en direct des excuses.
http://www.monbiot.com/archives/2000/03/16/modified-truth/
http://www.ourcivilisation.com/aginatur/aginatur.htm
En Octobre 2003 Channel 4 pousse la téléréalité à son comble avec une roulette Russe en direct
http://www.toutelatele.com/article.php3?id_article=2797
Novembre 2004, sous prétexte de se substituer à la Science, idée d’un programme tout ce qu’il y a de plus macabre, filmer la décomposition d’un corps Humain
http://www.casafree.com/modules/news/print.php?storyid=197
En Mars 2006, reportage tronqué de channel 4 sur le Vénézuela
Channel 4 prépare les esprits à une invasion du Venezuela John Pilger
http://www.oulala.net/Portail/article.php3?id_article=2351
2007 Elle n’hésite pas à publier des séquences qualifiées unanimement de « Raciste » au cours de l’émission « Big Brother Celebrity »
http://www.liberation.fr/actualite/medias/229505.FR.php
Il semble dès lors évident que Channel 4 est plutôt coutumière de la sensation et en règle général recherche tout ce qui peut booster son audience.
Peu importe la teneur du programme, être à contre courant et choquer semble faire partie de la ligne de conduite de cette chaîne qui en outre, peu importe la morale, du moment que cela raporte!
Tout cela me semble induire (mais cela n’engage que moi) que les grands lobbies soient les commanditaires de ce Documentaire.
Je vous retransmet
Dire qu'une corrélation est l'équivalent d'un lien de cause à effet, voilà le vrai sophisme.
L'argument de “The great global warming swindle” c'est qu'il n'existe pas de lien de cause a effet.
C'est que dans le passé, le CO2 n'a jamais été associé au réchauffement climatique. Que le CO2 n'est pas un gaz causant un effet de serre important et pour terminer le tout, la production humaine de CO2 est insignifiante par rapport à la production naturelle.
Déformer les arguments du documentaire comme tu le fais c'est aussi un sophisme.
David, l’important c’est pas le total en valeur absolue, c’est le pourcentage dans ce qui est modifié.
Martin Durkin
Voici donc le « grand » Réalisateur et directeur de WAG TV
Il se dit lui même Marxiste et à fait partie de mouvements Libertaires
http://en.wikipedia.org/wiki/Martin_Durkin_%28television_director%29
Petite historiographie de celui-ci : Il a un jour fait un documentaire sur les environnementalistes les traitants de Nazis des temps modernes conspirant contre les pauvres de la planète. Un autre de ses documentaires clamait que les implants mammaires étaient en fait bénéfiques, car en plus de rendre nos femmes plus pulpeuses et désirables, eh bien ceux-ci prévenaient le cancer du sein!
Voici un autre fait inquiétant sur ce documentariste : «the programme makers “distorted by selective editing” the views of the interviewees and “misled” them about the “content and purpose of the programmes when they agreed to take part.”» Channel 4 a été obligé de s’excuser publiquement auprès des personnes interviewés. Certaines des personnes interviewés attaquaient leur propre position qu’ils défendent pourtant! Absolument merveilleux le talent de Durkin!
Et encore : «After the series was broadcast, I discovered that the assistant producer and several of its interviewees worked for a right-wing libertarian magazine.»
Que faire avec ce documentariste qui produit de la désinformation très populaire et qui choque? Le ré-engager bien sûr. Il est populaire et cela suffit.
C’est de la désinformation pure et dure… mais le mal est fait. Ce documentaire a paru et quelques milliers, sinon des millions de personnes l’ont regardé. La fin justifie les moyens pour certains. Quelle honte pour le triomphe de la vérité!
http://www.lobbywatch.org/p2temp2.asp?aid=38&page=1&op=2
A propos de Tim BALL
Ball préside le comité du NRSP (Natural Resources Stewardship Project)
Vous remarquerez au passage qu’un autre intervenant du film Ian Clarck fait aussi partie de ce Comité sous la présidence de Ball
http://www.nrsp.com/NRSP-SAC.html
Sur une autre page consacrée au NRSP, encore d’autres noms d’intervenants Dr. Fred Singer, USA, Dr. Richard S. Lindzen, USA
http://www.nrsp.com/people.html
D’une manière générale, vous pouvez forger votre propre opinion sur le NRSP en visitant tranquillement leur site dont ce lien mène à l’acceuil.
http://www.nrsp.com/default.html
De clic en clic, vous aboutirez surement sur la page de « soutien » ou l’Argent est le bienvenu. Donc dénoncer soit disant le mensonge du Réchauffement, mais être payé pour cela semble être une entreprise très lucrative, surtout lorsque l’on connaît la substance des dons que peuvent réaliser les grands lobbies Pétroliers et autres.
Citation:“The NRSP has been exposed recently as being controlled by energy industry lobbyists”.
http://www.sourcewatch.org/index.php?title=Natural_Resources_Stewardship_Project
Ball fait partie d’un groupe de Sceptique réunis sous (FOS) Friends of Science
Encore une association soumise à la dotation généreuse de bienfaiteurs anonymes.
Citation:« « FoS: We are funded through membership fees ($25/yr) and individual donations”
http://www.sourcewatch.org/index.php?title=Friends_of_Science
Deux des Directeurs Du NRSP Travaillent pour les Lobbies de HPG (High Park Group)
http://www.sourcewatch.org/index.php?title=High_Park_Group
Voici l’extrait d’une interview de Tim Ball qui en sauveur de l’Humanité admet être payé par HPG pour ses interventions
Citation:At 4:48 we learn the significance of the « to my knowledge » qualifier.
TB: The High Park Group brought me in and set me up in a room to give a talk and present my views.
Q: You didn’t get paid for those speeches?
TB: Oh I get paid of course.
Q: Did you ever look into where the conference got their money from?
TB: I don’t know.
Q: You got paid yesterday to speak?
TB: Yes.
Q: But you don’t know who paid you?
TB: The High Park Group paid me. I don’t know who paid them.
Q: Which is a public relations group?
TB: I have no idea where they get their money from. … I make a point of not trying to find out who’s paying me. I don’t care.
It’s beyond obvious that High Park is being paid by companies that see Kyoto as being damaging to their interests and that Ball is only paid by them because he denies anthropogenic global warming. So he is gaining from his denial, both in money and attention.
http://scienceblogs.com/deltoid/2006/07/what_does_tim_ball_mean_by_to.php
Enfin, je pourrais continuer encore longtemps sur Tim Ball, vu que ce personnage qui se dit un des premier Scientifique du Climat semble être très actif pour le compte des lobbies.
Hors, lui qui se dit le premier climatologue du Canada, et n’ayant personellement conduit aucune recherche en la matière, n’est autre qu’un historien de la Géographie.
Citation:But Ball can’t even tell the truth about his own resume. His claim to be the first Climatology Ph.D. in Canada is a total falsehood; his degree was in historical geography – not climatology – and it was nowhere near the first ever granted to someone writing vaguely in the field. It also was granted by the university as a doctor of philosophy, not the more prestigious “doctor of science” that Ball claims in these articles
http://timethief.wordpress.com/2007/02/09/the-naked-truth-about-dr-timothy-ball/
http://www.exxonsecrets.org/html/personfactsheet.php?id=1164
DONC: Ma conclusion est que la parole de TIM BALL est pour moi peu objective et sans réelle base « Humanitaire »–> NON CREDIBLE
NIR SHAVIV
Nir Shaviv est un jeune Scientifique déjà bien renommé, Il mène apparemment ses recherches de manière indépendante et travaille beaucoup avec Jan Veizer. Tous deux sont sceptiques quant à l’implication du CO2 sur le Réchauffement climatique.
http://en.wikipedia.org/wiki/Nir_Shaviv
Le Blog de Shaviv
http://sciencebits.com/
Résumé sur la position de Shaviv
http://www.canada.com/nationalpost/story.html?id=156df7e6-d490-41c9-8b1f-106fef8763c6&k=0
Cette étude est pourtant controversée, mais chacun campe sur ses positions
http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/3419975.stm
Si l’on analyse la théorie de Shaviv, l’on se rend compte qu’il ne nie pas complètement l’influence des gaz à effet de serre, qui pour lui sont secondaires, la principale cause étant attribuée aux rayonnements solaires dans des proportions 2/3 (Soleil) 1/3 (effet de serre)
Citation:According to the common perception, the temperature over the 20th century has been warming, and it is mostly anthropogenic in origin, with greenhouse gases (GHGs) being the dominant driver. Others, usually called « skeptics », challenge this view and instead claim that the temperature variations are all part of natural variability. As I try to demonstrate below, the truth is probably somewhere in between, with natural causes probably being more important over the past century, whereas anthropogenic causes will probably be more dominant over the next century. Following empirical evidence I describe below, about 2/3’s (give or take a third or so) of the warming should be attributed to increased solar activity and the remaining to anthropogenic causes.
L’on constate donc ici que Shaviv, se situe lui-même à une position qui n’est ni alarmiste (seul responsable :CO2) , ni Sceptique (cause 100% naturelle) .
C’est un scientifique des plus honorables qui émet son hypothèse et qui s’y tient.
A mon avis, il me semble indépendant des lobbies, ce qui est tout à son Honneur.
Seulement, mon Esprit Cartésien me dit que même si son étude est digne d’intérêt, elle se base en grande partie sur les observations du passé, qui même si d’après les études les carottes de glace issue des régions polaires peuvent nous raconter tout ce qui est arrivé dans le passé, celle-ci ne peuvent cependant jamais nous en révéler le contexte.
De plus, jamais par le passé, l’Homme n’a réalisé de telles émissions de gaz, ni procédé aux déforestations actuelles, autrement dit, jamais l’Homme n’a eu une telle influence sur son environnement (tous domaines confondus), qu’il est pour moi inconcevable d’établir un parallélisme quelconque avec ce qui fut, et ce qui est.
Notre action du dernier Siècle est une première, ce qui bien sur, rend l’analyse très complexe.
En outre, Shaviv, contrairement aux Sceptiques, est aussi convaincu que nous devons nous séparer des énergies fossiles.(Donc, il n’en nie pas l’impact sur l’environnement donc, impact Humain)
Citation:The two primary reasons why fossil fuels are bad are of course pollution and depletion, while minor reasons include for example the fact that many fossil fuel reserves are controlled by unpleasant governments.
Thus, I am very much in favor, and always have been, in using less fossil fuels and keeping the environment clean (I am to say that I grew up in a solar house), but we should do things for the right reasons, not the wrong ones (and I don’t see Kyoto addressing the right reasons). I am therefore in favor of developing cheap alternatives such as solar power, wind, and of course fusion reactors (converting Deuterium into Helium) which we should have in a few decades, but this is an altogether different issue.
Parallèlement à cette recherche sur shaviv, je suis aussi tombé sur une autre etude de son collègue Jan Veizer, qui émet elle encore une autre idée, le cercle vissieux de la vapeur d’eau
http://www.sciencepresse.qc.ca/archives/quebec/capque1200h.html
En très simplifié :
Parmis les gaz à effet de serre, il en existe un très important qui influe sur le Réchauffement, la vapeur d’eau.
Les arbres absorbent le CO2 et rejettent de l’eau Augmentation de l’Humidité Augmentation de la Chaleur.
Augmentation du CO2 Augmentation humidité Augmentation de la chaleur.
Comme CO2 est en abondance, les arbres ne peuvent plus tout absorber, ce qui amène à penser que la plantation massive d’Arbres conduirait à augmenter l’Humidité et donc la Chaleur.
Comme l’on ne peut agir sur l’Humidité, Veizer préconise la réduction de tous les gaz à effet de serre.
Donc en résumé :
Citation:Plus il fera chaud à cause de tous les GES, plus il y aura de photosynthèse et d’humidité rejetée dans l’air. Plus l’atmosphère sera humide, plus il fera chaud. Cercle sans fin.
Et pour compliquer le tout :
Citation:Rappelons qu’une autre étude récemment parue dans Nature démontrait qu’après un seuil critique, les arbres ne transforment plus le CO2 en oxygène, mais expirent bien du carbone. Juste pour compliquer les choses encore un peu plus…
Comme quoi, il existe tout une série d’études, toutes plus différentes les unes que les autres, et toutes, même si scientifiquement correctes, restent des hypothèses
Donc, ma conclusion sur Shaviv, surement un véritable scientifique indépendant des lobbies, mais une Hypothèse qui en vaut probablement une autre.
Et pour citer Shaviv lui-même :
Citation:In fact, there is no substantial evidence which proves that CO2 and other GHGs are the primary cause for the warming, and not some other mechanism.
Le Professeur Reiter est un entomologiste qui a travaillé 22 ans aux E-U au CDC.
Il dirige à Pasteur une nouvelle unité de recherches sur les insectes et les maladies infectieuses
La manoeuvre est classique, on utilise la soit-disant caution d’un scientifique dont, dans le cas présent, la spécialité n’est pas particulièrement proche du sujet, mais qui va s’interroger?
http://www.revuefusion.com/images/Art_998_17.pdf
Lord Lawson of blaby
Lord Lawson (Ancien Ministre des Finances sousThatcher est très certainement la plus grosse erreur de ce film au niveau de la crédibilité.
Ce n’est pas un Scientifique, surement utilisé pour convaincre la très « Distinguished » Aristocratie Britannique.
On lui accorde plus de temps de parole que Nir Shaviv, ce qui est du point de vue argumentation la faiblesse majeure de débat.
Son appartenance aux grands lobbies énergétique est flagrante
Citation:How retired from active front line politics he is the President of the British Institute of Energy Economics and a member of the International Advisory Board of Total.
http://www.speakers-uk.com/profile.phtml?id=180&act_id=1&sid=18
http://en.wikipedia.org/wiki/Nigel_Lawson
Lawson est donc (ou a été?) Président de la BIEE (the British Institute of Energy Economics)
http://www.biee.org/
Ce qui est particulièrement intéressant est de visiter la page “Sponsors » de cette organisation
En recherchant un peu plus ce que représente la BIEE, l’on se rend compte que cet organisme (à but non lucratif, mais ou tout à un prix, donnations bienvenues), s’inscrit dans le cadre d’un organisme encore plus gros qu’est l’IAEE qui est l’équivalent au niveau International (International Association of Energy Economics)
http://www.iaee.org/fr/affiliates/uk.aspx?ID=29
En fouillant toujours plus au niveau des conférences de ce groupe, et en examinant celle de 2001 qui se déroula à Houston Texas (Fief des pros du pétrole Américain)
http://www.iaee.org/documents/1stProgramFinal.pdf
Vous pouvez un moment apercevoir un cadre ou se trouvent mentionnés les membres de soutien et les membres de l’IAEE
Ou encore ce cadre avec les sponsors de l’évènement
Je pense inutile d’aller plus loin concernant Lord Lawson, vous aurez compris que ce personnage n’est nullement de taille dans le débat Scientifique abordé par le Film et à mon sens, erreur de taille de Durkin concernant ce choix.
jivre,
ton argument contre Channel 4 c'est un sophisme dans sa définition la plus pur.
Comme tu ne peux pas remettre en question le message tu t'attaques au messager.
C’est le cas de 70% de l’extrait que tu as en plein en haut de ce billet.
Au lieu d’arguments scientifiques, ils s’attaquent à un supposé complot des climatologues pour soutirer du fric. Toi-même tu fais ça sans arrêt.
Deux poids deux mesures??
Un autre sophisme ad hominem…
Comme tu ne peux pas t’attaquer au message de Lord Lawson, tu attaques le messager.
Dire qu’une personne n’a pas raison parce qu’elle a déjà été au Texas, on ne peut même plus qualifier ça de sophisme mais de stupidité.
La spécialité n’est pas proche du sujet ? je rêve ou quoi ? Reiter est là pour commenter les affirmation loufoques du GIEC sur la malaria. C’est directement dans ces cordes !
Le film est BOURRÉ d'arguments scientifiques.
Des arguments scientifiques que le GIEC a censurés en passant…
Ian Clarck
Ian Clark est bien un Scientifique dans le domaine de l’étude des climats du passé
Citation:Professor Clark has been teaching in the fields of paleoclimatology and geochemistry for the past two decades. His research focuses on Arctic hydrology and paleoclimatology using a variety of geochemical and isotopic methods to characterize past warm periods.
http://www.nrsp.com/people-ian-clark.html
http://www.science.uottawa.ca/est/eng/prof/clark/clark.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Ian_Clark
Ian Clarke fait partie des Sceptiques, et au cours de mes recherches, je tombe sur ce lien
Débat entre le professeur Ian Clark et l’ancien ministre ministre Thomas Mulcair. Les discussions ont porté sur les débats concernant le réchauffement de la planète et de l’impact du Traité de Kyoto sur l’environnement.
http://www.iedm.org/main/show_events_fr.php?events_id=127
En cliquant sur la même page sur le lien photo, vous pouvez constater que Ian Clarke accepte les exposés (Sceptiques) pour l’IEDM!!
http://www.iedm.org/main/events_photo_fr.php?events_id=127
Le point de vue de l’IDEM???:
Citation:La pollution est-elle un « mal »?
Réponse courte: La pollution se définit comme une activité, impliquant habituellement l’emploi d’une ressource, qui nuit à certaines personnes sans qu’elles ne soient dédommagées. C’est un « mal » pour ceux qui sont ainsi défavorisés mais pas pour ceux qui bénéficient de l’activité; pour ces derniers, la pollution est un bien. Dans le contexte d’une activité distributive, « mal » est un terme moral, pas un terme économique.
http://www.iedm.org/main/show_exercise_fr.php?exercise_id=22
http://www.iedm.org/main/links_fr.php
http://www.euro92.com/new/sommaire.html
Sur cette page (Lecture conseillée par l’IEDM) C’est trop tard pour la Terre.
Livre clairement d’origine Sceptique !
http://www.institutmolinari.org/evenements/2007_03_16_c_est_trop_tard_pour_la_terre.htm
Je rappelle également, comme trouvé dans la Recherche concernant Tim Ball, que Ian Clark fait partie du même Comité (Sceptiques) NRSP( Dont Tim Ball est le Président)
Ma conclusion, Clarke est bien un Scientifique, mais vu son appartenance claire aux Sceptiques, et qui plus est faisant partie du groupe de Tim Ball(Comme s’il n’y avait pas moyens de trouver des Scientifiques sous divers horizons), il est du coup engagé, ce qui nuit à sa recherche, car il va s’obstiner à prouver la théorie des Sceptiques sur base des climats du Passé, hors, à mon sens, cela ne peut se faire, vu que l’influence Humaine est un phénomène nouveau.
De plus, je reste convaincu, qu’à force de vouloir prouver une intuition, on peux passer à côté de choses importantes.
Ne serait il pas plus logique, et plus crédible de faire une étude Scientifique sur quelque chose, sans définir au préalable les constatations auxquelles l’on veut aboutir ?
En étudiant les Climats du passé avec l’intention de prouver la non implication de l’Homme dans le Réchauffement, l’on risque d’inconsciemment ne voir qu’une partie des résultat, et passer à côté de l’essentiel.
Ce qui m’amène à douter de la pertinence de l’utilisation de Ian Clarke dans ce Film.
Nir Shaviv, était un choix bien plus judicieux, vu que jusqu’à ce stade de ma recherche, il reste le seul qui semble indépendant de l’un ou l’autre clan
En passant dans le film, NIR SHAVIV dit:
« There were periods for example in Earth’s history when we had three times as much CO2 as we have today, or periods when we had ten times as much CO2 as we have today. And if CO2 has a large effect on climate then you should see it in the temperature reconstruction. »
« A few years ago if you would ask me I would tell you it’s CO2. Why? Because just like everyone else in the public I listened to what the media had to say. »
jivre,
encore une fois tu fais un sophisme ad hominem à l’endroit de Ian Clarck et Tim BALL.
Comme tu es incapable d’attaquer le message, tu attaques le messager.
Bon, jivre descend encore plus bas en accusant un scientifique d'être un sceptique…
Tous les scientifiques sont des sceptiques.
Un chercher qui cesse d'être septique n'est plus un scientifique !
Vraiment, tu perd des plumes…
Le fait est que les GES produit par l'homme représentent une quantité négligable par rapport aux GES produit dans la nature.
Je ne nie pas qu’il y ait escalade d’images fortes et de sensationnalisme.
J’en appelle juste à un débat dégagé de toutes les sortes d’intérêt. Un vrais débat scientifique quoi.
Et ton film est truffé d’attaques à la personne et de suppositions d’intentions cachés. C’est pas sain. Parce que ça va dans les deux sens. Le pouvoir économique du GIEC n’est même pas comparable à celui des industries émettrices de GES. Alors l’accusation est ridicule.
Dns tous les cas, j’aime mieux me tromper en prenant des précautions que de me tromper en étant insouciant. La vérité finira bien pas éclater un jour ou l’autre de manière sans équivoque.
On parle pas du scepticisme philosophique. On parle d’un groupe qui défend un point de vue clair à ce sujet, soit que les activités anthropiques NE SONT PAS responsable d’un dérèglement du climat. Si le groupe s’appelait les matawoiuns, je les appellerais comme ça, mais ilsse sont auto-nommés les Sceptiques.
(tu remarqueras le S majuscule)
Commence par donner l’exemple en attaquant les messages et non pas les messagers.
Force est de constater que c’est pourtant le GIEC et tout ce qui s’y rattache qui fait en sorte que maintenant il n’est plus possible de contredire leurs théories.
Et ça nous aura coûter combien ?
J’ai toujours été de ceux qui pensent que le réchauffement de la planète à été accéléré par l’activité humaine, mais le climat de notre planète n’est pas fixe. Il change continuellement depuis des millions d’années. Donc le réchauffement qui se produit n’est que la fin de la dernière ère glaciaire, éventuellement le Groenland sera libéré des glaces.
@Jivre
Après avoir visionné ce reportage je me suis posé quelques questions comme pourquoi les fanatiques pro-réchauffement focuse seulement sur le CO2 et non pas sur le méthane? (Et non je veux rien savoir du méthane récupéré dans les sites d`enfouissements) Je suis très ordinaire en chimie mais si le CO2 varie selon la température au même titre que l’oxygène pourquoi le CO2 réchauffe la planète et non pas l’oxygène si ces deux gaz varient selon la température? Pourquoi le CO2 compressé dans une bombonne devient-il très froid et non pas l’oxygène? A chaque fois que l’on respire on rejette du CO2 dans l’air, à go tous les 7 milliards d’habitants sur la terre on arrête de respirer en même temps puis les animaux en plus, come on soyons sérieux j’ai appris ça en secondaire 3. Et personne cite l`impact des volcans actif à l`année longue (60)et je cite:
»Gaz volcaniques:Des fumerolles: le nuage trahit la présence d’eau et les cristaux la présence de soufre dans les gazLes magmas contiennent des gaz dissous. Le dégazage des magmas est un phénomène déterminant dans le déclenchement d’une éruption, et dans le type d’éruption. Le dégazage fait monter le magma (analogie avec une bouteille de champagne), ce qui donne le caractère explosif et violent d’une éruption.
Les gaz sont principalement[16] :
la vapeur d’eau, H2O (50 à 90 %) ;
le CO2 (5 à 25 %) ;
le SO2 (3 à 25 %).
Puis viennent d’autres éléments volatils : CO, HCl, H2, H2S. Le dégazage du magma en profondeur, peut se traduire à la surface par des fumerolles, autour des desquelles des cristaux de soufre peuvent se former. Ce dégazage volcanique du manteau terrestre est à l’origine de l’atmosphère primitive de la Terre, qui devait être très riche en CO2. On compte environ 1 500 volcans terrestres actifs dont une soixantaine en éruption par an[2]. Les volcans sous-marins sont bien plus nombreux. »
Pourquoi pas un scientifique ne parle du méthane comme étant un gaz à effet de serre bien plus nocif que le CO2? c’est peut-être à cause de je cite:
» Le méthane est un gaz à effet de serre majeur dont le pouvoir de réchauffement global est 23 fois plus puissant que le dioxyde de carbone. Alors que sa proportion dans l’atmosphère a augmenté de plus de 150% depuis le début de l’ère industrielle, le méthane serait également émis directement par les végétaux, via les feuilles et les herbes sèches, ceci sans présence de bactéries. Le méthane (CH4) est majoritairement (depuis 1990) émis par l’élevage intensif des bovins, les déjections animales, les cultures (comme le riz), la fermentation des déchets organiques, les feux de forêts, l’utilisation du bois pour le chauffage et la cuisson, l’inondation de vallées lors de la mise en eau des barrages (avec la décomposition de la biomasse noyée) et lors du transport et de l’exploitation du gaz et du pétrole (fuites de grisou dans les mines de charbon, de gaz avec les gazoducs, torchères…). Les premières estimations, fruits de l’extrapolation de ces nouveaux résultats, considèrent que le méthane émis par les végétaux serait compris entre 62 à 236 millions de tonnes par an, soit 10 à 30% de la production actuelle. »
Donc ça veut que à chaque fois que de la merde animale ou humaine se décompose du méthane est relaché dans l’air, que à chaque fois qu’un animal ou humain pète du méthane et non du CO2 est libéré dans l’environnement, retenons nous tous de péter et subissons les conséquences de la combustion spontanée comme Kenny dans l’émission 302 de South Park. Est-ce parce que 1 tiers du méthane relaché dans l’air provient des plantes de façon naturelle qu’aucun scientifique pro réchauffement et que ça contrarie que c’est la faute de l’humain? Je me trompe peut-être qui sais, est ce que tous les arbres de la terre se sont mis en grève et ont arrêter de transformer le dangeureux CO2 en oxygène par le merveilleux processus de la photosynthèse que j’ai appris en secondaire 1 et que les arbres ont oublié de nous le dire? Mais c’est sur certains pensent que c’est seulement les fôrets tropicales et les feuillus durant l’été qui transforment le dangeureux CO2 en oxygène, et bien non il y toujours de l’espoir les conifères sont nos amis et je cite:
»Si vous pouviez voir clairement la Terre à partir de l’espace, vous seriez peut-être étonnés de voir la bande verte encerclant l’extrémité nord du globe. Vous supposeriez probablement qu’il s’agit d’une énorme région boisée. Ce que vous ignorez peut-être, c’est qu’il s’agit de la « forêt boréale » et qu’elle correspond presque au tiers de toutes les forêts du monde, couvrant ainsi les parties nord de l’Amérique du Nord et de l’Eurasie. Les arbres de la forêt boréale et toute autre végétation aident à contrôler l’érosion, à améliorer le recyclage des nutriments et à promouvoir la formation du sol. Parfois, les perturbations naturelles, comme les feux de forêt, contribuent à la croissance des plantes. Les feux libèrent les nutriments qui étaient coincés dans les feuilles, les rondins et les aiguilles du tapis forestier, ce qui peut aider à la régénération vigoureuse de la végétation après un feu. La forêt aide également à régulariser le climat de la terre en entreposant du carbone dans les dépôts de tourbe, le sol, les sédiments des lacs et les arbres. Cela empêche le gaz carbonique atmosphérique d’être libéré sous forme de dioxyde de carbone et de méthane, deux gaz liés aux changements climatiques. Pour croître, les plantes doivent faire la photosynthèse, un processus qui convertit l’énergie du soleil en nourriture pour la plante. Pour croître lors des courts étés boréaux, les conifères s’adaptent dans le but de maximiser la photosynthèse. Par exemple, comme leur feuillage reste vert toute l’année, les conifères peuvent effectuer la photosynthèse au printemps sans d’abord devoir faire pousser leurs feuilles. Ils peuvent même faire la photosynthèse en hiver, durant des journées plus chaudes. »
Je le dit et je le demande une seconde fois est ce qu’il y a un rapport ou une étude qui dit qu’il y a un débalancement entre le nombre de tonnes de dangeureux CO2 rejetter dans l’air par l’activité humaine versus le nombre de tonnes d’oxygène transformer par la végétation? Si oui j’aimerais y jeter un coup d’oeil et surtout n’oublier pas que voila 30000 ou 300000 mille ans un gros bloc de glace était à l’endroit ou vous vous trouver et qu’il a fondu come on on lache pas pis on construit des abri anti CO2 pis on se cache et on oublie surtout pas de continuer de péter…………..
Jedigueve
http://www.businessandmedia.org/specialreports/2006/fireandice/fireandice.asp
http://www.cfa.harvard.edu/press/archive/pr0310.html
Et puis 3 autres encore:
1-Ecologie incorrecte sur l’effet de serre
La lutte contre les gaz à effet de serre est devenue en quelques années le nouveau fer de lance de l‘écologie planétaire. Pour mesurer l’enjeu, il faut avoir en tête que, sans rire, c’est LE risque pour l’humanité, « bien supérieur au terrorisme » comme nous l’affirme bon nombre d’experts.
De manière aussi rapide qu’inattendu, cet effet de serre dévastateur a propulsé un simple animateur télé au rang de nouvel Abbé Pierre. Tous les médias communient dans un bel unanimisme sur la catastrophe annoncée. A ce rythme, Nicolas Hulot pourra bientôt prétendre au prix Nobel de la Paix, à moins qu’Al Gore ne le coiffe au poteau.
Ce concert d’opprobre contre ces méchants gaz m’a donné envie à revenir sur le fond de l’affaire. Pour cela, je suis parti des deux postulats de base :
1) Depuis 30 ans, on assiste à une augmentation des températures moyennes à l’échelle de la planète. Cette tendance subie une accélération notable depuis une dizaine d’années.
2) Durant la même période, l’émission d’origine humaine de gaz carbonique dans l’atmosphère a fortement augmenté, ce qui s’est traduit par une augmentation de sa concentration.
Ces deux affirmations reposent sur des données statistiques maintes fois reconfirmées. Elles sont donc difficilement contestables.
La conclusion de nos amis écolos est donc que tous ces méchants gaz qui sortent de nos pots d’échappement et de nos usines sont responsables du réchauffement actuel. A ce rythme, on va tous griller d’ici quelques décennies.
Pourtant d’un simple point de vue de logique formelle, c’est absurde. Ce n’est pas parce que deux phénomènes sont corrélés, que l’un est la cause de l’autre. Les cas de pareille confusion abondent. Les gens qui tondent leur gazon ont plus souvent des infarctus que les autres. Les tondeuses sont-elles pour autant dangereuses pour le cœur (pour aller plus loin sur le sujet, voir l’excellent livre Freakonomics) ?
Avant de passer pour un dangereux bushiste à la solde des lobbies pétroliers, il me faut poursuivre le raisonnement. On peut se dire que même s’il n’est pas prouvé que les gaz à effet de serre soient responsables du réchauffement actuel, il convient de prendre cette hypothèse très au sérieux et d’agir en conséquence. Cela s’appelle le principe de précaution. Après tout, pourquoi pas, même si on sent bien que l’application systématique de ce principe dans tous les domaines a tendance à entretenir une hystérie sécuritaire, où le remède peut se révéler pire que le mal. Le cas du terrorisme est assez édifiant.
Néanmoins, à l’encontre de l’effet de serre, il existe un fait statistique troublant. Au cours des trois derniers millénaires, l’humanité a connu plusieurs variations climatiques importantes et assez brutales. Les pics de température les plus connus sont ceux de la période romaine et du bas Moyen-âge, avec au contraire un Petit Age de Glace qui a culminé au XVIIIème siècle. A l’échelle du temps long (en millions d’années), les fluctuations de températures semblent avoir été encore beaucoup plus importantes.
Evidemment tous ces changements climatiques se sont produit avec que nos sociétés industrielles n’émettent tout ce vilain gaz carbonique dans l’atmosphère. Les experts reconnaissent qu’ils sont assez ignorants sur les causes réelles de toutes ces fluctuations. La théorie la plus en vogue explique cela par des changements de l’activité du Soleil. Les mesures réalisées depuis soixante ans montrent d’ailleurs une corrélation frappante avec la température moyenne mondiale observée. Cette corrélation est bien plus nette que celle sur la concentration du CO2 dans l’atmosphère. Mais prudence cependant, car encore une fois, corrélation n’est pas preuve.
En tout état de cause, il faut donc accepter le fait qu’il existe d’autres causes possibles aux hausses de température observées actuellement. Ne pas le reconnaitre serait éminemment anti-scientifique.
Voilà qui fragilise beaucoup la théorie de l’effet de serre. Mais il nous faut un coupable à notre transpiration. Et c’est bien pratique que ce coupable soit un humain, riche de surcroit. On ne peut pas attaquer le Soleil en justice ! 😉
2-Pour alimenter le débat, ci-joint un extrait d’un livre passionnant « C’est trop tard pour la Terre » envoyé par un copain sur le sujet en réaction à ma note.
http://www.amazon.fr/Cest-trop-tard-pour-Terre/dp/2709629194/ref=sr_1_1/403-3641215-7404453?ie=UTF8&s=books&qid=1183458828&sr=1-1
L’homme coupable du réchauffement climatique ?
Le débat sur le changement climatique et plus particulièrement celui sur l’origine de ce changement serait clos. C’est en tout cas ce que nous répètent les James Hansen, Al Gore, Nicholas Stern et autres stars du sujet. Tous insistent sur l’existence d’un consensus en matière climatique qui doit nous pousser à agir maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.
Cette idée que l’unanimité est la règle dans le domaine du climat n’est pas nouvelle. Déjà en 1989, les médias en Europe et aux États-Unis déclaraient que « tous les scientifiques étaient d’accord » pour dire que le réchauffement est réel et potentiellement catastrophique. Cette idée de consensus est intimement liée au rapport du groupe de travail I du GIEC4. Alors que le rapport de 365 pages mentionne de nombreuses incertitudes sur le sujet, le résumé de 26 pages qui le préface et est mis à la disposition des décideurs politiques les ignore largement et présente les probabilités concernant un réchauffement substantiel comme une science bien fondée.
La thèse d’un réchauffement global sans précédent ne fait pas l’unanimité.
Deux Canadiens arrivent à la conclusion que « sur la base de données corrigées et actualisées, on constate que les valeurs du XVe siècle étaient plus élevées que celles du XXe siècle, contredisant ainsi les conclusions selon lesquelles le » climat du XXe siècle est tout à fait unique ».
Est-ce la faute de l’homme ?
L’étude des auteurs canadiens indique que, dans l’hypothèse d’un véritable réchauffement de la Terre, l’ampleur de l’impact des êtres humains sur ce changement reste encore obscur.
Un certain nombre de scientifiques suspectent en effet que les concentrations de CO2 auraient pu être plus élevées par le passé et ils ont cherché les moyens de reconstruire l’histoire de l’atmosphère de la Terre depuis 500 millions d’années. Les divergences de point de vue sont importantes
mais les spécialistes du sujet semblent néanmoins d’accord pour dire que la période qui couvre les derniers 550 millions d’années et a vu l’apparition de vies complexes a connu des concentrations de dioxyde de carbone jusqu’à 18 fois supérieures aux niveaux présents du court règne
de l’homme.
En revanche, les avis divergent sur le lien entre cette découverte et l’idée que la civilisation industrielle et les émissions de gaz à effet de serre constituent les principaux coupables du changement climatique.
Certains, comme Robert A. Berner, géologue de Yale, pensent que les fluctuations de CO2 sur toute la période des derniers 550 millions d’années suivent de près les tendances climatiques. Il y aurait donc une relation de cause à effet entre de hauts niveaux de gaz et de fortes températures.
D’autres experts affirment qu’il s’agit d’une simplification à l’extrême de variations naturelles complexes. Sur un horizon de millions d’années, il « est trop simpliste de dire que des niveaux bas de CO2 sont la seule cause des périodes glaciaires » selon Robert Giegengack, géologue
de l’université de Pennsylvanie. Lui et d’autres sont bien convaincus que la planète se réchauffe, comme cela s’est souvent produit dans le passé, mais ils insistent pour rappeler que l’on ne sait pas pourquoi. D’autres
causes possibles sont les changements dans les courants de la mer, les cycles solaires ou les rayons cosmiques qui bombardent la Terre.
En 2000, Dr. Veizer et deux collègues belges, dans le journal Nature, ont jeté le doute sur le lien entre CO2 et climat. Ils fondent leurs doutes sur le fait que deux périodes glaciaires (il y a 400 millions d’années et il y a 150 millions d’années) se caractérisent pas des niveaux de dioxyde de carbone
très élevés.
Il existe d’autre part toute une littérature sur les causes naturelles du changement climatique et, en particulier sur le fait qu’il résulterait en grande partie d’une activité solaire plus importante. Elle montre notamment que le cycle de réchauffement et de refroidissement de notre planète
correspond avec un petit décalage au cycle de l’activité solaire.
Les modèles utilisés dans l’analyse du changement climatique ne sont pas fiables
On sous-estime très souvent le caractère extrêmement simplificateur des modèles de prévision du climat. Les processus climatiques sont encore aujourd’hui très mal connus, en particulier le rôle de la vapeur d’eau, des nuages et des aérosols. Faute de bien les connaître, il est extrêmement difficile de les modéliser et de faire des prévisions de température fiables à long terme.
3-Une evidence toute simple: Le nom de Groenland qui veut dire « Terre Verte ».
Il est imperatif de songer a sortir du « tout petrole » tout simplement parce que l’on brule une ressource qui sert a fabriquer des plastiques.
Mais pas au prix d’une escroquerie intellectuelle.
Le CO2 est absorbe par les plantes et sa concentration dans l’air et a l’exterieur, dans les pires cas de pollution, est inferieur a celle d’un amphitheatre hebergeant une conference sur le sujet.
Le vrai probleme peut venir du methane, moins dense que l’air et destructeur de la couche d’ozone. Or ce gaz est un produit de la decomposition de la matiere organique. Sous pression dans l’eau, il forme un hydrate aussi appele « sorbet inflammable ». Ce compose est instable et un tremblement de terre sous marin peut liberer des milliers de tonnes de gaz d’un coup. Ca n’a rien a voir avec l’activite humaine.
Autre point: Le CO2 condense et sublime a environ -40 degres Celsius. Cette temperature est tres courante dans les zones artiques et sub artiques. C’est a dire qu’il y a, en permanence, des variations de volume enormes de la basse atmosphere. Si l’on augmente la concentration de dioxyde de carbone, on augmente ces variations. En terme d’energie, cela correspond a des centaines d’explosions atomiques par jour. Et il n’y a pas de photosynthese a cette temperature.
Jusqu’a preuve du contraire, ce phenomene n’est pas pris en compte par les experts en desinformation.
Et pour revenir a la photosynthese, le CO2 est soluble dans l’eau et la banquise en contient beaucoup. C’est ce qui explique la presence d’enormes quantites de phytoplancton dans les zones boreales et australes.
J’ai recupere la citation dans les commentaires: » La contestation de la vérité officielle est la base du travail scientifique. »
Je dirai pour ma part que ce n’est pas en posant de faux problemes que l’on parvient a de vrais solutions.
Le vrai probleme est qu’il y a une ressource qui s’epuise, le petrole, et que contraint et force, on en aura besoin encore longtemps. Les solutions de substitution partielles existent.
Le diester ou l’alcool, l’hydrogene mais ce n’est pas totalement satisfaisant.
A ma connaissance, personne n’a songe a l’adjonction d’hydrogene dans le gaz de ville. Meme dans une proportion de 2%, c’est ca de gagne.
Et pour faire dans le politiquement tres incorrect, je vous invite a visiter le site suivant: http://www.mdi.lu/
La relation emissions humaines=rechauffement climatique ne tient pas devant l’evidence que constitue la signification meme de « Groenland ». J’accepterai tous les contre arguments sauf celui qui consiste a dire que des grands pretres de la science l’ont dit et que de fait, il serait blasphematoire de les contredire
1-Ecologie incorrecte sur l’effet de serre
La lutte contre les gaz à effet de serre est devenue en quelques années le nouveau fer de lance de l‘écologie planétaire. Pour mesurer l’enjeu, il faut avoir en tête que, sans rire, c’est LE risque pour l’humanité, « bien supérieur au terrorisme » comme nous l’affirme bon nombre d’experts.
De manière aussi rapide qu’inattendu, cet effet de serre dévastateur a propulsé un simple animateur télé au rang de nouvel Abbé Pierre. Tous les médias communient dans un bel unanimisme sur la catastrophe annoncée. A ce rythme, Nicolas Hulot pourra bientôt prétendre au prix Nobel de la Paix, à moins qu’Al Gore ne le coiffe au poteau.
Ce concert d’opprobre contre ces méchants gaz m’a donné envie à revenir sur le fond de l’affaire. Pour cela, je suis parti des deux postulats de base :
1) Depuis 30 ans, on assiste à une augmentation des températures moyennes à l’échelle de la planète. Cette tendance subie une accélération notable depuis une dizaine d’années.
2) Durant la même période, l’émission d’origine humaine de gaz carbonique dans l’atmosphère a fortement augmenté, ce qui s’est traduit par une augmentation de sa concentration.
Ces deux affirmations reposent sur des données statistiques maintes fois reconfirmées. Elles sont donc difficilement contestables.
La conclusion de nos amis écolos est donc que tous ces méchants gaz qui sortent de nos pots d’échappement et de nos usines sont responsables du réchauffement actuel. A ce rythme, on va tous griller d’ici quelques décennies.
Pourtant d’un simple point de vue de logique formelle, c’est absurde. Ce n’est pas parce que deux phénomènes sont corrélés, que l’un est la cause de l’autre. Les cas de pareille confusion abondent. Les gens qui tondent leur gazon ont plus souvent des infarctus que les autres. Les tondeuses sont-elles pour autant dangereuses pour le cœur (pour aller plus loin sur le sujet, voir l’excellent livre Freakonomics) ?
Avant de passer pour un dangereux bushiste à la solde des lobbies pétroliers, il me faut poursuivre le raisonnement. On peut se dire que même s’il n’est pas prouvé que les gaz à effet de serre soient responsables du réchauffement actuel, il convient de prendre cette hypothèse très au sérieux et d’agir en conséquence. Cela s’appelle le principe de précaution. Après tout, pourquoi pas, même si on sent bien que l’application systématique de ce principe dans tous les domaines a tendance à entretenir une hystérie sécuritaire, où le remède peut se révéler pire que le mal. Le cas du terrorisme est assez édifiant.
Néanmoins, à l’encontre de l’effet de serre, il existe un fait statistique troublant. Au cours des trois derniers millénaires, l’humanité a connu plusieurs variations climatiques importantes et assez brutales. Les pics de température les plus connus sont ceux de la période romaine et du bas Moyen-âge, avec au contraire un Petit Age de Glace qui a culminé au XVIIIème siècle. A l’échelle du temps long (en millions d’années), les fluctuations de températures semblent avoir été encore beaucoup plus importantes.
Evidemment tous ces changements climatiques se sont produit avec que nos sociétés industrielles n’émettent tout ce vilain gaz carbonique dans l’atmosphère. Les experts reconnaissent qu’ils sont assez ignorants sur les causes réelles de toutes ces fluctuations. La théorie la plus en vogue explique cela par des changements de l’activité du Soleil. Les mesures réalisées depuis soixante ans montrent d’ailleurs une corrélation frappante avec la température moyenne mondiale observée. Cette corrélation est bien plus nette que celle sur la concentration du CO2 dans l’atmosphère. Mais prudence cependant, car encore une fois, corrélation n’est pas preuve.
En tout état de cause, il faut donc accepter le fait qu’il existe d’autres causes possibles aux hausses de température observées actuellement. Ne pas le reconnaitre serait éminemment anti-scientifique.
Voilà qui fragilise beaucoup la théorie de l’effet de serre. Mais il nous faut un coupable à notre transpiration. Et c’est bien pratique que ce coupable soit un humain, riche de surcroit. On ne peut pas attaquer le Soleil en justice ! 😉
2-Pour alimenter le débat, ci-joint un extrait d’un livre passionnant « C’est trop tard pour la Terre » envoyé par un copain sur le sujet en réaction à ma note.
http://www.amazon.fr/Cest-trop-tard-pour-Terre/dp/2709629194/ref=sr_1_1/403-3641215-7404453?ie=UTF8&s=books&qid=1183458828&sr=1-1
L’homme coupable du réchauffement climatique ?
Le débat sur le changement climatique et plus particulièrement celui sur l’origine de ce changement serait clos. C’est en tout cas ce que nous répètent les James Hansen, Al Gore, Nicholas Stern et autres stars du sujet. Tous insistent sur l’existence d’un consensus en matière climatique qui doit nous pousser à agir maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.
Cette idée que l’unanimité est la règle dans le domaine du climat n’est pas nouvelle. Déjà en 1989, les médias en Europe et aux États-Unis déclaraient que « tous les scientifiques étaient d’accord » pour dire que le réchauffement est réel et potentiellement catastrophique. Cette idée de consensus est intimement liée au rapport du groupe de travail I du GIEC4. Alors que le rapport de 365 pages mentionne de nombreuses incertitudes sur le sujet, le résumé de 26 pages qui le préface et est mis à la disposition des décideurs politiques les ignore largement et présente les probabilités concernant un réchauffement substantiel comme une science bien fondée.
La thèse d’un réchauffement global sans précédent ne fait pas l’unanimité.
Deux Canadiens arrivent à la conclusion que « sur la base de données corrigées et actualisées, on constate que les valeurs du XVe siècle étaient plus élevées que celles du XXe siècle, contredisant ainsi les conclusions selon lesquelles le » climat du XXe siècle est tout à fait unique ».
Est-ce la faute de l’homme ?
L’étude des auteurs canadiens indique que, dans l’hypothèse d’un véritable réchauffement de la Terre, l’ampleur de l’impact des êtres humains sur ce changement reste encore obscur.
Un certain nombre de scientifiques suspectent en effet que les concentrations de CO2 auraient pu être plus élevées par le passé et ils ont cherché les moyens de reconstruire l’histoire de l’atmosphère de la Terre depuis 500 millions d’années. Les divergences de point de vue sont importantes
mais les spécialistes du sujet semblent néanmoins d’accord pour dire que la période qui couvre les derniers 550 millions d’années et a vu l’apparition de vies complexes a connu des concentrations de dioxyde de carbone jusqu’à 18 fois supérieures aux niveaux présents du court règne
de l’homme.
En revanche, les avis divergent sur le lien entre cette découverte et l’idée que la civilisation industrielle et les émissions de gaz à effet de serre constituent les principaux coupables du changement climatique.
Certains, comme Robert A. Berner, géologue de Yale, pensent que les fluctuations de CO2 sur toute la période des derniers 550 millions d’années suivent de près les tendances climatiques. Il y aurait donc une relation de cause à effet entre de hauts niveaux de gaz et de fortes températures.
D’autres experts affirment qu’il s’agit d’une simplification à l’extrême de variations naturelles complexes. Sur un horizon de millions d’années, il « est trop simpliste de dire que des niveaux bas de CO2 sont la seule cause des périodes glaciaires » selon Robert Giegengack, géologue
de l’université de Pennsylvanie. Lui et d’autres sont bien convaincus que la planète se réchauffe, comme cela s’est souvent produit dans le passé, mais ils insistent pour rappeler que l’on ne sait pas pourquoi. D’autres
causes possibles sont les changements dans les courants de la mer, les cycles solaires ou les rayons cosmiques qui bombardent la Terre.
En 2000, Dr. Veizer et deux collègues belges, dans le journal Nature, ont jeté le doute sur le lien entre CO2 et climat. Ils fondent leurs doutes sur le fait que deux périodes glaciaires (il y a 400 millions d’années et il y a 150 millions d’années) se caractérisent pas des niveaux de dioxyde de carbone
très élevés.
Il existe d’autre part toute une littérature sur les causes naturelles du changement climatique et, en particulier sur le fait qu’il résulterait en grande partie d’une activité solaire plus importante. Elle montre notamment que le cycle de réchauffement et de refroidissement de notre planète
correspond avec un petit décalage au cycle de l’activité solaire.
Les modèles utilisés dans l’analyse du changement climatique ne sont pas fiables
On sous-estime très souvent le caractère extrêmement simplificateur des modèles de prévision du climat. Les processus climatiques sont encore aujourd’hui très mal connus, en particulier le rôle de la vapeur d’eau, des nuages et des aérosols. Faute de bien les connaître, il est extrêmement difficile de les modéliser et de faire des prévisions de température fiables à long terme.
3-Une evidence toute simple: Le nom de Groenland qui veut dire « Terre Verte ».
Il est imperatif de songer a sortir du « tout petrole » tout simplement parce que l’on brule une ressource qui sert a fabriquer des plastiques.
Mais pas au prix d’une escroquerie intellectuelle.
Le CO2 est absorbe par les plantes et sa concentration dans l’air et a l’exterieur, dans les pires cas de pollution, est inferieur a celle d’un amphitheatre hebergeant une conference sur le sujet.
Le vrai probleme peut venir du methane, moins dense que l’air et destructeur de la couche d’ozone. Or ce gaz est un produit de la decomposition de la matiere organique. Sous pression dans l’eau, il forme un hydrate aussi appele « sorbet inflammable ». Ce compose est instable et un tremblement de terre sous marin peut liberer des milliers de tonnes de gaz d’un coup. Ca n’a rien a voir avec l’activite humaine.
Autre point: Le CO2 condense et sublime a environ -40 degres Celsius. Cette temperature est tres courante dans les zones artiques et sub artiques. C’est a dire qu’il y a, en permanence, des variations de volume enormes de la basse atmosphere. Si l’on augmente la concentration de dioxyde de carbone, on augmente ces variations. En terme d’energie, cela correspond a des centaines d’explosions atomiques par jour. Et il n’y a pas de photosynthese a cette temperature.
Jusqu’a preuve du contraire, ce phenomene n’est pas pris en compte par les experts en desinformation.
Et pour revenir a la photosynthese, le CO2 est soluble dans l’eau et la banquise en contient beaucoup. C’est ce qui explique la presence d’enormes quantites de phytoplancton dans les zones boreales et australes.
J’ai recupere la citation dans les commentaires: » La contestation de la vérité officielle est la base du travail scientifique. »
Je dirai pour ma part que ce n’est pas en posant de faux problemes que l’on parvient a de vrais solutions.
Le vrai probleme est qu’il y a une ressource qui s’epuise, le petrole, et que contraint et force, on en aura besoin encore longtemps. Les solutions de substitution partielles existent.
Le diester ou l’alcool, l’hydrogene mais ce n’est pas totalement satisfaisant.
A ma connaissance, personne n’a songe a l’adjonction d’hydrogene dans le gaz de ville. Meme dans une proportion de 2%, c’est ca de gagne.
Et pour faire dans le politiquement tres incorrect, je vous invite a visiter le site suivant: http://www.mdi.lu/
La relation emissions humaines=rechauffement climatique ne tient pas devant l’evidence que constitue la signification meme de « Groenland ». J’accepterai tous les contre arguments sauf celui qui consiste a dire que des grands pretres de la science l’ont dit et que de fait, il serait blasphematoire de les contredire
1-Ecologie incorrecte sur l’effet de serre
La lutte contre les gaz à effet de serre est devenue en quelques années le nouveau fer de lance de l‘écologie planétaire. Pour mesurer l’enjeu, il faut avoir en tête que, sans rire, c’est LE risque pour l’humanité, « bien supérieur au terrorisme » comme nous l’affirme bon nombre d’experts.
De manière aussi rapide qu’inattendu, cet effet de serre dévastateur a propulsé un simple animateur télé au rang de nouvel Abbé Pierre. Tous les médias communient dans un bel unanimisme sur la catastrophe annoncée. A ce rythme, Nicolas Hulot pourra bientôt prétendre au prix Nobel de la Paix, à moins qu’Al Gore ne le coiffe au poteau.
Ce concert d’opprobre contre ces méchants gaz m’a donné envie à revenir sur le fond de l’affaire. Pour cela, je suis parti des deux postulats de base :
1) Depuis 30 ans, on assiste à une augmentation des températures moyennes à l’échelle de la planète. Cette tendance subie une accélération notable depuis une dizaine d’années.
2) Durant la même période, l’émission d’origine humaine de gaz carbonique dans l’atmosphère a fortement augmenté, ce qui s’est traduit par une augmentation de sa concentration.
Ces deux affirmations reposent sur des données statistiques maintes fois reconfirmées. Elles sont donc difficilement contestables.
La conclusion de nos amis écolos est donc que tous ces méchants gaz qui sortent de nos pots d’échappement et de nos usines sont responsables du réchauffement actuel. A ce rythme, on va tous griller d’ici quelques décennies.
Pourtant d’un simple point de vue de logique formelle, c’est absurde. Ce n’est pas parce que deux phénomènes sont corrélés, que l’un est la cause de l’autre. Les cas de pareille confusion abondent. Les gens qui tondent leur gazon ont plus souvent des infarctus que les autres. Les tondeuses sont-elles pour autant dangereuses pour le cœur (pour aller plus loin sur le sujet, voir l’excellent livre Freakonomics) ?
Avant de passer pour un dangereux bushiste à la solde des lobbies pétroliers, il me faut poursuivre le raisonnement. On peut se dire que même s’il n’est pas prouvé que les gaz à effet de serre soient responsables du réchauffement actuel, il convient de prendre cette hypothèse très au sérieux et d’agir en conséquence. Cela s’appelle le principe de précaution. Après tout, pourquoi pas, même si on sent bien que l’application systématique de ce principe dans tous les domaines a tendance à entretenir une hystérie sécuritaire, où le remède peut se révéler pire que le mal. Le cas du terrorisme est assez édifiant.
Néanmoins, à l’encontre de l’effet de serre, il existe un fait statistique troublant. Au cours des trois derniers millénaires, l’humanité a connu plusieurs variations climatiques importantes et assez brutales. Les pics de température les plus connus sont ceux de la période romaine et du bas Moyen-âge, avec au contraire un Petit Age de Glace qui a culminé au XVIIIème siècle. A l’échelle du temps long (en millions d’années), les fluctuations de températures semblent avoir été encore beaucoup plus importantes.
Evidemment tous ces changements climatiques se sont produit avec que nos sociétés industrielles n’émettent tout ce vilain gaz carbonique dans l’atmosphère. Les experts reconnaissent qu’ils sont assez ignorants sur les causes réelles de toutes ces fluctuations. La théorie la plus en vogue explique cela par des changements de l’activité du Soleil. Les mesures réalisées depuis soixante ans montrent d’ailleurs une corrélation frappante avec la température moyenne mondiale observée. Cette corrélation est bien plus nette que celle sur la concentration du CO2 dans l’atmosphère. Mais prudence cependant, car encore une fois, corrélation n’est pas preuve.
En tout état de cause, il faut donc accepter le fait qu’il existe d’autres causes possibles aux hausses de température observées actuellement. Ne pas le reconnaitre serait éminemment anti-scientifique.
Voilà qui fragilise beaucoup la théorie de l’effet de serre. Mais il nous faut un coupable à notre transpiration. Et c’est bien pratique que ce coupable soit un humain, riche de surcroit. On ne peut pas attaquer le Soleil en justice ! 😉
2-Pour alimenter le débat, ci-joint un extrait d’un livre passionnant « C’est trop tard pour la Terre » envoyé par un copain sur le sujet en réaction à ma note.
http://www.amazon.fr/Cest-trop-tard-pour-Terre/dp/2709629194/ref=sr_1_1/403-3641215-7404453?ie=UTF8&s=books&qid=1183458828&sr=1-1
L’homme coupable du réchauffement climatique ?
Le débat sur le changement climatique et plus particulièrement celui sur l’origine de ce changement serait clos. C’est en tout cas ce que nous répètent les James Hansen, Al Gore, Nicholas Stern et autres stars du sujet. Tous insistent sur l’existence d’un consensus en matière climatique qui doit nous pousser à agir maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.
Cette idée que l’unanimité est la règle dans le domaine du climat n’est pas nouvelle. Déjà en 1989, les médias en Europe et aux États-Unis déclaraient que « tous les scientifiques étaient d’accord » pour dire que le réchauffement est réel et potentiellement catastrophique. Cette idée de consensus est intimement liée au rapport du groupe de travail I du GIEC4. Alors que le rapport de 365 pages mentionne de nombreuses incertitudes sur le sujet, le résumé de 26 pages qui le préface et est mis à la disposition des décideurs politiques les ignore largement et présente les probabilités concernant un réchauffement substantiel comme une science bien fondée.
La thèse d’un réchauffement global sans précédent ne fait pas l’unanimité.
Deux Canadiens arrivent à la conclusion que « sur la base de données corrigées et actualisées, on constate que les valeurs du XVe siècle étaient plus élevées que celles du XXe siècle, contredisant ainsi les conclusions selon lesquelles le » climat du XXe siècle est tout à fait unique ».
Est-ce la faute de l’homme ?
L’étude des auteurs canadiens indique que, dans l’hypothèse d’un véritable réchauffement de la Terre, l’ampleur de l’impact des êtres humains sur ce changement reste encore obscur.
Un certain nombre de scientifiques suspectent en effet que les concentrations de CO2 auraient pu être plus élevées par le passé et ils ont cherché les moyens de reconstruire l’histoire de l’atmosphère de la Terre depuis 500 millions d’années. Les divergences de point de vue sont importantes
mais les spécialistes du sujet semblent néanmoins d’accord pour dire que la période qui couvre les derniers 550 millions d’années et a vu l’apparition de vies complexes a connu des concentrations de dioxyde de carbone jusqu’à 18 fois supérieures aux niveaux présents du court règne
de l’homme.
En revanche, les avis divergent sur le lien entre cette découverte et l’idée que la civilisation industrielle et les émissions de gaz à effet de serre constituent les principaux coupables du changement climatique.
Certains, comme Robert A. Berner, géologue de Yale, pensent que les fluctuations de CO2 sur toute la période des derniers 550 millions d’années suivent de près les tendances climatiques. Il y aurait donc une relation de cause à effet entre de hauts niveaux de gaz et de fortes températures.
D’autres experts affirment qu’il s’agit d’une simplification à l’extrême de variations naturelles complexes. Sur un horizon de millions d’années, il « est trop simpliste de dire que des niveaux bas de CO2 sont la seule cause des périodes glaciaires » selon Robert Giegengack, géologue
de l’université de Pennsylvanie. Lui et d’autres sont bien convaincus que la planète se réchauffe, comme cela s’est souvent produit dans le passé, mais ils insistent pour rappeler que l’on ne sait pas pourquoi. D’autres
causes possibles sont les changements dans les courants de la mer, les cycles solaires ou les rayons cosmiques qui bombardent la Terre.
En 2000, Dr. Veizer et deux collègues belges, dans le journal Nature, ont jeté le doute sur le lien entre CO2 et climat. Ils fondent leurs doutes sur le fait que deux périodes glaciaires (il y a 400 millions d’années et il y a 150 millions d’années) se caractérisent pas des niveaux de dioxyde de carbone
très élevés.
Il existe d’autre part toute une littérature sur les causes naturelles du changement climatique et, en particulier sur le fait qu’il résulterait en grande partie d’une activité solaire plus importante. Elle montre notamment que le cycle de réchauffement et de refroidissement de notre planète
correspond avec un petit décalage au cycle de l’activité solaire.
Les modèles utilisés dans l’analyse du changement climatique ne sont pas fiables
On sous-estime très souvent le caractère extrêmement simplificateur des modèles de prévision du climat. Les processus climatiques sont encore aujourd’hui très mal connus, en particulier le rôle de la vapeur d’eau, des nuages et des aérosols. Faute de bien les connaître, il est extrêmement difficile de les modéliser et de faire des prévisions de température fiables à long terme.
Jedigueve:
L’impact du méthane sur ‘efet de serre est très bien connu et documenté. Et non, toutes les décompositions ne causent pas du méthane, c’est les décompositions opérées dans un environnement sans oxygène (anaérobiques) qui causent le méthane.
On utilise e CO2 comme unité de calcul de pouvoir d’effet de serre, surtout parce que c’est le plus petit en poid moléculaire, et aussi parce que le méthane, par exemple, s’oxyde en CO2 à la fin de son cycle. Si dans les médias, ça donne l’impression que le CO2 est le seul, en réalité, pour les scientifiques, c’est plus une unité de mesure « éqivalent CO2 », un peu comme la « tonne équivalent pétrole » en énergie.
Pour la quantité relative, imagine que l’atmosphère est un grand réservoir, l’océan et les sous-sols aussi, tout comme la biomasse. L’important n’est pas de savoir la quantité totale en valeur absolue, mais en quantité relative sur les changements entre les flux qui passent d’un réservoir à ‘autre. C’est ce qui a changé dans la composition de l’atmosphère.
Les arbres de la forêt boréale en prennent un coup. Les épinettes noires subissent de plus en plus de sécheresses pendant leur période de croissance (qui ne dure qu’un mois) ce qui fait que le taux de photosynthèse/respiration tend à diminuer. L’activité photosynthétique des conifères pendant l’hiver est une activité de maintenance et non de croissance. Pour stocker le carbone, il faut que le taux p/r soit supérieur à 1, et donc que l’arbre puisse croître.
Je te reviens à-dessus, je dois partir, mais tes questions sont intéressantes. Encore ne fois, je ne défend pas la couverture médiatique sur le réchauffement, mais une bonne partie des conclusions des scientifiques. Je suis en faveur d’un débat sur le sujet et je suis le premier à faire fermer leur gueues à ceux qui parlent de « négationnistes ».
Je suis pour l’action, parce j’aime mieux me tromper en prenant des précautions que de me tromper en étant insouciant.
Si tu veux savoir la version officielle, va voir sur le site, mettons du gouvernement (québec ou canada) ça va te donner une base et à partir de là, tu poursuivras tes explorations. Tu verra que personne ne nie l’effet du méthane par exemple, ni le fait que les fluctuation ont lieu depuis toujours.
Tous les gas dans l’atmosphère participent à l’effet de serre, incluant des gas innofensifs pour l’homme (i.e qu’on peut respirer sans problèmes) comme l’oxygène, la vapeur d’eau, le CO2, le N2…
Tous les gas O2 compris deviennent froid quand on les compresse simplement parce que l’on retire de l’énergie au système gas-bonbonne pour pouvoir y augmenter la pression…
Je devais manquer de sucres dans le cerveau avant de dîner car j’ai dit une bêtise : c’est plutôt quand on donne de l’énergie que le gas se compresse et que le sytème gas-bonbonne devient plus chaud. A l’inverse, on enleve de l’energie pour le décompresser et donc rendre le système gas-bonbonne plus froid (ceux qui utilisent des bonbonnes de gas pour nettoyer leur clavier sous jet d’air comprimé le constatent 😀 )
C’est le contraire simon, quand tu compresses un gaz tu en retires l’énergie et quand tu le décompresses tu dois y ajouter de l’énergie. En compressessant ca chauffe parce que l’énergie « sort » du gaz, et vice versa.
Le co2 serait responsable d’environ 20% de l’effet de serre et l’augmentation de l’effet de serre d’un gaz est une fonction logarithmique et non exploitentielle. Donc doubler la quantité de co2 augmenterait l’effet de serre d’environ 3% au total (3% non exact c’est pour expliquer le principe)
Cowboy…va falloir que je relise mon vieu livre de thermodynamique ce weekend car je ne suis plus sur si j’ai raison ou non 😀 …je crois que ca dépend aussi du référentielle (i.e. il faut distinguer la bonbonne contenant le gas (système A) qui perd de l’énergie qui va dans la pièce (système B) qui en gagne quand on décompresse et l’inverse quand on compresse (la chaleur passe de la pièce à la bonbonne). Aussi, s’il sagit d’un système fermé (bonbonne) ou ouvert (comme l’atmosphère)…
Pour compresser ton gaz tu doit diminuer son énergie cinétique en évacuant sous forme de chaleur. Donc tu dois le refroidir. Vice versa pour l’expansion.
La compression est exothermique et la décompression endothermique
Germany Cries Foul Over EU Plans to Cut Car Emissions
Deutsche Welle
Germany has attacked European Commission proposals to cut car C02 emissions limits, saying they unfairly hit the country's auto industry. The measures are intended to curb global warming.
U.S. Senate Report: Over 400 Prominent Scientists Disputed Man-Made Global Warming Claims in 2007
Cowboy…il me semble qu’un gaz compressé (disons 2 atm) a une plus grande énergie cinétique qu’un gas non compressé (1 atm) : les molécules sont plus proches, elles se « frappent » plus souvent donc le gas à plus d’entropie…non?
C’est le contraire, plus elles ont de l’énergie plus elles bougent vite et plus elles occupent d’espace.
Cowboy…en effet je pense que tu as raison…je vais retourner à mon domaine (l’informatique) et oublier mes vieux cours de sciences pures qui me rende confus 😆
David…tu as vu les apôtres de Hétu te confondent avec le professeur Michael Laurea qui a commencé à bloguer sur le blogue de l’escroc en utilisant le pseudo Michaellau…
http://blogues.cyberpresse.ca/hetu/?p=70415796#comment-51257
Un passage très pertinent de l’article cité ci-haut par David:
Excellent article de Jean Lemire. Biologiste qui a mal tourné et est devenu cinéaste. Diplômes Biologie, spécialité en écologie. http://www.cyberpresse.ca/article/20071216/CPENVIRONNEMENT/712160615/7127/CPENVIRONNEMENT
C’est avec ou après le facteur de correction pour les stations météos déficientes ?
Video: NASA says global warming might not be the cause of Arctic ice melt
Antarctic ice at highest levels since 1979
J’ai tenté, hier soir, de demander à M. Villedieu sur son blogue de radio-canada.ca son opinion sur le rapport du senat en lui copiant le lien. Ils ont vraisemblablement choisi de ne pas me diffuser. Tentez la même chose pour voir.
La fonte de la banquise arctique ne causera aucun problème majeur, mais ça va aider la navigation dans le passage du nord-ouest…
On s’inquiète de gens qui meurent de chaleur alors que le fait qu’il y en a quatre fois plus qui meurent de froid passe inaperçu.
« La fonte de la banquise arctique ne causera aucun problème majeur »
Exact. Si tous les glaciers de l’Arctique fondait, cela ne ferait pas monter le niveau des mers d’un seul millimètre. C’est que les glaciers en Arctique sont déjà tous dans l’eau. Faites l’expérience: mettez une glace dans un verre et remplissez-le d’eau à ras bord. Lorsque la glace fondra, aucune goutte n’aura débordé du verre.
Par contre, 90 % des glaciers sont en Antarctique et ils sont situés sur la terre. Malheureusement pour les alarmistes, l’Antarctique ne s’est pas réchauffé depuis au moins 50 ans, sauf la péninsule (là où s’est promené le Sedna de Jean Lemire) qui ne représente que 2 % de la surface.
Même que l’Antartique a vu sa couche de glace épaissir au cours des dernières années du à l’augmentation des précipitation, elle même du à l’augmentation de la température.
Le cycle climatique est beaucoup plus solide que nos 20 ans d’études peuvent le comprendre.
Les alarmistes comme Al Gore prédisent une hausse du niveau des océans de 20 pieds dù à la fonte des banquises. Ce serait vrai si les glaciers groenlandais au complet fondaient avec ceux de l’Antarctique. Mais selon les derniers rapports du GIEC, ce n’est pas ce qui est en train de ce produire. Les glaciers de l’Antactique augmentent au lieu de diminuer, et ce faisant, ça annule une bonne partie des effets de la fonte des glaciers groenlandais. On prédit une hausse du niveau des océans d’environ un pied d’ici 2100. Si tous les pays appliquaient Kyoto, on retarde cette échéance à 2104!
Soit dit en passant, nous avons déjà subi une hausse du niveau des mers de 1 pied dans les derniers 150 ans. Quelqu’un s’en est-il aperçu?