Pour bien comprendre tout le ridicule derrière le projet de constitution québécoise, il faut avoir lu le document déposé par le PQ devant l'Assemblée Nationale.
Voici un extrait:
Projet de loi n° 196: Constitution québécoiseLe Québec contribue au maintien de la paix et de la sécurité internationale.
Le Québec favorise le progrès social, le développement économique et la diversité culturelle dans le monde.
Le Québec agit selon les principes du développement humain et du développement durable.
Le Québec à la rescousse "du monde" ! Aucun doute, la survie de l'humanité a toujours dépendu de la contribution essentielle du Québec "à la paix et la sécurité internationale"… Ce texte ressemble plus à un manifeste de la gogauche étudiante qu'à une constitution.
C'est aussi ironique de voir que le PQ se pose en défenseur de la diversité culturelle dans le monde alors qu'il ne supporte pas la diversité culturelle au Québec. (H/T:MG)
Tout comme il est ironique de voir que cette constitution donne aux immigrants 3 ans pour apprendre le français alors que Pauline Marois a été incapable d'apprendre l'anglais en 58 ans.
En passant, je vous signale que pour modifier ce document, le PQ propose un vote avec une majorité de 2/3 des députés de l'Assemblée Nationale et non pas 50%+1…
Je dirais plutot hypocrite…
Version annotée:
Ridicule, et apres ca marche main dans la main avec le Hezbolla
..et puis c’est drôle ce qui a changé depuis le Projet de loi 191 – Constitution du Québec
…on ne croit donc plus à l’égalité hommes/femmes ni à la la laïcité de ses institutions??? En tout cas, pas assez pour les inscrire dans la constitution…
Le PQ tente d’aller chercher les conservateurs sociaux (les so-cons en anglais, j’sais pas si on a un terme français pour dire la même chose) qui était traditionnelement avec eux mais qui sont aller à l’ADQ la dernière fois.
C’est vrai. C’est ridicule et c’est navrant.
Tu présentes les choses comme ça parce que tu es antinationaliste. Pour la nationalistes, chaque culture a besoin d’un État et chaque État a besoin d’une culture. Quand les États et les cultures ne concordent pas, il y a des conflits. Il est ainsi très logique de vouloir une seule culture au Québec et plusieurs cultures à travers le monde, puisqu’il y a plusieurs États à travers le monde.
Tu compares apprendre une langue utile parce qu’elle est internationale à apprendre une langue essentielle parce qu’elle est celle de la communauté nationale. Comparaison fallacieuse; Pauline Marois n’a pas immigré dans un pays anglophone…
Tu compares un vote indirect par la législature à un vote direct par la population. Il est tout-à-fait normal qu’on soit plus exigeant à l’égard d’un vote indirect.
« Le Québec contribue au maintien de la paix et de la sécurité internationale. »
Elle est bonne celle-la ! C’est le Canada qui tient ce rôle depuis les casques bleus de Pierson.
Demandez à un africain ou hindou qeul est le pays qui représente la paix ou le maintien de la pays: Le Canada!
Lorsque tu veux une nation, maitriser la langue qui sera parlée par tes deux seuls pays voisin est relativement essentielle…
On ne parle pas de ti-joe blow du saguenay qui veux que les immigrants parlent francaaaa en ne parlant pas lui même l’anglais. On parle de celle qui rêve d’être la chef d’état du Québec.
le concept de nation est de toute façon désuèt.
Avec l’internet et la mondialisation, les nouvelles générations n’auront peu ou pas d’attachement à leur « nation ».
Triste billet! Comme si on devrait s’excuser de vouloir prendre notre place. C’est ridicule.
Le Québec est une nation, même le machiavélique Stephen Harper l’a dit. Une nation ayant sa propre langue, sa propre culture, sa propre Histoire et son propre territoire se doit d’avoir son propre cadre juridique, ce qui veut dire sa propre Constitution et sa propre citoyenneté et, ultimement, son propre pays.
On nous balance de plus en plus d’immigrants par la tête, alors que nous sommes la seule majorité francophone en Amérique du Nord et que les emplois qui devraient être comblés par ces immigrants pourraient être comblés par les BS.
Mais non, ce sont des lâches. Devant le bureau de Sam Hamad, ils n’ont pas crié: «Des jobs, on veut un emploi, on veut travailler!», mais plutôt: «Un chèque, un plus gros chèque, un chèque de BS!».
La loi 101 et le français doivent être renforcé, si on veut être encore là dans 25 ans. Le Québec, 52e État anglais d’Amérique, pas pou moi, merci!
Que l’on donne aux immigrants le droit à un bon apprentissage du français et qu’ils doivent en 3 ans en acquérir une connaissance suffisante, si ils veulent être citoyens à part entière du Québec, c’est tout à fait normal!
Vous devez parler français pour devenir médecin. Pourquoi serait-ce différent pour devenir député d’un pays dont le français est la langue officielle par-dessus le marché?
C’est ainsi partout sur la planète. Les Américains, que tu chéris tant DG, ne permettent qu’à un Américain né en sol américain de briguer la présidence.
Pourquoi cela nous serait interdit, hein? Oh, mais c’est vrai: «Qu’est-ce qu’on va dire de nous?».
Un peuple adulte agit selon ses propres intérêts et sa propre conscience et n’a pas à s’excuser de vouloir prendre sa place sur l’échiquier mondial. Il prend ses décisions avec sérénité et avec assurance de l’avenir.
Si la Chine a pu envahir par les armes le Tibet et l’occuper militairement en toute impunité, je ne pense pas qu’un p’tit test de français pour les postulants à la citoyenneté québécoise va bouleverser la communauté internationale.
La loi doit être au service du peuple et non l’inverse. Et si il faut avoir recours à la clause dérogatoire pour sauver le français de l’extinction et donc notre avenir, il n’y a pas d’hésitation qui devrait tenir.
Cette clause existe pour s’en servir et que le B’nai Brith se le tienne pour dit, que les musulmans se le tienne pour dit, que les autres communautés culturelles se le tienne pour dit, que le fédéral se le tienne pour dit, que les anglos se le tienne pour dit, que Mourial se le tienne pour dit, que Jean Charest se le tienne pour dit, que les deux bouffons universitaires mourialiais et leur clique élitiste qui co-président la Commission de consultation sur les accommodements raisonnables se le tienne pour dit et que tous les participants fédéralistes de ce blogue et les autres se le tienne pour dit, ce sont vos amis Pierre Éliott Trudeau et Jean Chrétien qui en sont les pères.
Sinon, on sort TOUS les immigrants et TOUTES les immigrantes et on fait du Québec un État-nation, ce qui facilite la cohésion sociale d’un pays.
Non, mais veut veut pas, elle aspire à être le Chef d’État d’une population qui comporte un nombre important de personnes qui conversent en anglais, pas le capitaine d’une équipe de hockey!. Imaginez, de plus, un Québec indépendant avec Pauline incapable de s’exprimer sur la place internationale? C’est une recette pour se renfermer encore plus. Si Harper peut apprendre le français pour parler à la minorité, Pauline devrait apprendre l’anglais. À bien y penser, il y a sûrement plus de gens qui comprennent l’anglais au Québec que le français…
C’est vrai que c’est déplorable que Pauline Marois ne soit pas capable de s’exprimer convenablement en anglais, et je n’allais pas voter pour elle de toute façon, mais cela ne présente en rien un argument pour relativiser l’importance du français. Au contraire, on devrait conclure qu’il est très important d’apprendre l’anglais et encore plus (au moins autant) important de connaître le français.
C’est toi qui le dis. Je parie le contraire.
…euh…et pourquoi ne le sont-ils pas? Je ne vois pas les BS sortir dans la rue revendiquer des jobs données aux immigrants!!! J’imagine juste les gens su’l BS te lire et dire: « Chuuuuut! on est bien comme on est! » (P.S. Bien sur, je parle des BS genre bougon, et non pas des pauvres gens qui en ont vraiment besoin 😉
@ JL Proulx, l’amendement américain qui interdit à une personne qui n’est pas né aux USA de briguer la Présidence a été institutée uniquement parce qu’à l’époque il ya avait beaucoup d’espions loyalistes anglais parmi la population américaine. C’était une crainte pour la sécurité nationale et non une question de nationalisme identitaire.
Je suis prêt à parier un 20$ que la Consitution sera amendée d’ici quelques années pour Arnold Schwarzennerger…
@ MG.
«…euh…et pourquoi ne le sont-ils pas? Je ne vois pas les BS sortir dans la rue revendiquer des jobs données aux immigrants!!! J’imagine juste les gens su’l BS te lire et dire: “Chuuuuut! on est bien comme on est!”»
C’est ce que j’ai dit: on nous balance de plus en plus d’immigrants par la tête, alors que nous sommes la seule majorité francophone en Amérique du Nord et que les emplois qui devraient être comblés par ces immigrants pourraient être comblés par les BS.
Mais non, ce sont des lâches. Devant le bureau de Sam Hamad, ils n’ont pas crié: «Des jobs, on veut un emploi, on veut travailler!», mais plutôt: «Un chèque, un plus gros chèque, un chèque de BS!».
@ Martin.
Ha bon!
Et que dire de Saku?
Comment est-ce que Saku Koivu et autres immigrants peuvent avoir du respect pour nous et se forcer le cul pour apprendre la langue de Molière, alors que nous, Québécois francophones, se torchons avec notre propre langue?
Nos journalistes québécois, malgré leur bonne volonté, sont muselés à l’os. Les nouvelles qu’on peut retrouver dans La Presse (fédéraliste) et Le Devoir (indépendantiste) sont contrôlées par la secte catholique et nos valeureux bien-pensants de la gau-gauche syndicale.
Inutile d’être surpris de la désinformation qui nous plane dessus au Québec. Un peuple mal informé et ignorant des règles les plus élémentaires de sa propre langue et de sa propre Histoire (comme nous) est un peuple fini et condamné à disparaître, car il n’a aucune utilité dans ce monde.
Nous parlons le joual de Tremblay, la déformation étymologique de feu Sol Favreau (j’ai toujours cru qu’il ne rendait pas service aux jeunes en déformant les mots), les sacres à tous vents d’Elvis Gratton, les insanités de Zouf Story et de Pénétration débile et autres TABARNACOS du genre.
Et on s’étonne pourquoi les Québécois se torchent avec la langue.
Nos futurs enseignants de français font 36 fautes dans leur examen final de dissertation écrite. Ça va être beaux lorsqu’ils enseigneront pour de bons à nos jeunes et ça se dit enfants de la loi 101.
Cet immobilisme de merde nous fait perdre notre place au profit des immigrants.
La loi 101 n’est pas bien protégée, car les anglos l’ont vidé de sa substance et de son tact en la rendant quasiment inoffensive comme une vulgaire parure.
Que Saku Koivu, le capitaine du club de hockey Canadien, ne soit même pas capable de parler un maudit mot de français, après 12 ans passés à Montréal, est un scandale et une honte nationale.
Qu’il ne soit même pas capable, après 12 ans, de se présenter à l’Hôpital Sainte-Justine et dire à un enfant malade: «Bonjour mon jeune! Comment ça va?», est tout aussi scandaleux et insultant envers les enfants malades, envers l’Histoire de son équipe et envers le Québec en entier, car il est une inspiration pour la jeunesse et il n’est même pas capable de leur parler français quand il les croise dans la rue ou dans des activités communautaires.
Les illustres grands joueurs qui ont occuper son poste et qui nous faisaient vibrer, bien avant sa naissance, avaient peut-être la fleur de lys plus à la bonne place que lui.
Je pense à Maurice Richard, Guy Lafleur, Bernard Geoffrion, Jacques Plante, Henry Richard, Jean Béliveau, Mario Tremblay, Réjean Houle, Yvan Cournoyer, Guy Charbonneau, Patrick Roy, Georges Vézina, Aurel Joliat, Doug Harvey, Bob Gainey, Ken Dryden, etc.
Quand c’était ce CH qui comptait les buts, qui gagnait les matchs et qui enfilait les coupes Stanley, on pouvait dire que NOUS avions compté un but, que NOUS avions gagné un match et que NOUS avions gagné une coupe Stanley, au détriment du conquérant anglais.
Aujourd’hui, le Canadien de Montréal est devenu the Canadian of Montreal. Mince consolation: ILS perdent leurs matchs, ILS ne comptent pas de buts et ILS sont éliminés des séries.
Bizarre de constater que NOUS gagnions et que EUX perdent!
Proulx c’est le genre de gars qui fait passer tout ceux de droite pour des cons.
Je vais citer Jean-François Revel:
« En pratique, exception ou diversité culturelles sont en Europe et surtout en France des noms de code désignant les aides et les quotas. Sériner que « les biens culturels ne sont pas de simples marchandises », c’est se vautrer dans la platitude. Qui a jamais prétendu qu’ils le fussent ? Mais ils ne sont pas non plus de simples produits du financement de l’Etat ou alors la peinture soviétique aurait été la plus belle du monde. Les avocats du protectionnisme et du subventionnisme se contredisent. Ils font tout ce tintamarre, disent-ils, contre l’argent. Et, en même temps, ils plaident que la création est conditionnée par l’argent à condition qu’il s’agisse d’argent public. Or, si le talent a parfois besoin d’aide, l’aide ne fait pas le talent. « Regardez le cinéma italien, nous explique-t-on. Faute d’aides, il a quasiment disparu. Mais dans les années d’après-guerre, la cause de son éclat ne s’appelait pas subvention : elle s’appelait Rossellini et De Sica, Blasetti et Castellani, Visconti et Fellini ». C’est également à l’imagination des créateurs et non aux chèques des ministres que le cinéma espagnol doit son essor des années 1980. Et si le cinéma français a reconquis en 2001 la première part du marché dans ses frontières et des succès au dehors, ce n’est pas pour avoir été plus subventionné que naguère, c’est pour avoir produit une poignée de films dont la qualité est perceptible par le public, et pas seulement par les auteurs. »
Je dis…
Comment Marois peut demander aux immigrants d’apprendre le français en 3 ans alors qu’elle n’a pas pu apprendre l’anglais, une langue simple, en 58 ans.
Faux! Archi-faux! On choisit nos immigrants, on ne se les fait pas balancer par la tête, et la plupart parlent probablement français mieux que toi.
Archi-faux encore une fois. Au dessus des 3/4 des immigrant ont appris le français après 3 ans et pratiquement tous leurs enfants vont à l’école française.
Les preuves de Statistiques Canada:
Le français n’est pas menacé du tout par l’immigration, c’est la plus grande fausseté véhiculée par le PQ et leur projet de constitution.
Le PQ avait déjà dit non
Le Parti québécois, qui défraie les manchettes depuis quelques semaines avec son projet controversé de citoyenneté québécoise, avait déjà écarté cette idée à l'époque où il était au pouvoir avec Bernard Landry comme chef.
En effet, en 2001, le PQ avait décidé de ne pas créer une citoyenneté québécoise, comme le proposait pourtant le rapport des États généraux sur la situation et l'avenir de la langue française, une commission présidée part Gérald Larose.
C'est que peu après la publication de ce rapport, le gouvernement a demandé à un groupe de travail interministériel de se pencher sur la question. Dans leur rapport, classé confidentiel, mais dont Radio-Canada a obtenu copie, les fonctionnaires du gouvernement concluaient que la mesure était fort probablement anticonstitutionnelle.
Ainsi, à la question « Est-il possible d'adopter légalement une citoyenneté québécoise dans le cadre constitutionnel actuel? », le rapport répond que « la réponse est essentiellement négative. Le Québec ne peut pas instituer une citoyenneté québécoise qui se substituerait à la citoyenneté canadienne ou qui viendrait en réduire la portée. » Le rapport ajoute que la définition juridique de la citoyenneté relève exclusivement du Parlement fédéral.
Selon les fonctionnaires mandatés par le gouvernement, la seule définition réaliste de la citoyenneté québécoise est celle offerte en 2001 par l'ex-ministre péquiste Jacques-Yvan Morin qui disait que « le citoyen québécois est celui qui habite le Québec en permanence et y exerce ses droits politiques. Il est nécessairement citoyen canadien. »
Des contestations juridiques inévitables
Le gouvernement péquiste avait aussi demandé au groupe de fonctionnaires d'étudier les impacts d'une déclaration selon laquelle le français est la langue par laquelle s'exerce la citoyenneté québécoise.
Dans leur rapport, ils répondent que restreindre l'exercice des droits qui se rattachent généralement à la citoyenneté à l'usage d'une langue serait attaqué de toutes parts. Selon eux, des contestations juridiques seraient inévitables et les plaignants, fort probablement, gagneraient leur cause.
Les fonctionnaires jugeaient également peu probable l'utilisation de la clause nonobstant pour se soustraire à la Charte canadienne des droits et libertés.
Devant le peu de chance de succès juridiques d'une loi sur l'identité québécoise, le groupe de travail concluait en recommandant au gouvernement de s'en tenir à des mesures essentiellement symboliques, comme une cérémonie d'accueil des immigrants.
À cette époque, Pauline Marois, l'actuelle chef du PQ, était vice-première ministre et ministre des Finances. Elle était donc à la table du Conseil des ministres et solidaire du rejet d'une idée qu'elle tente aujourd'hui de ressuciter dans la controverse.
@ Philippe David.
«On choisit nos immigrants, on ne se les fait pas balancer par la tête, et la plupart parlent probablement français mieux que toi.»
Je sais que je fais des fautes, mais j’écris vite. Normalement, mon français écrit est impeccable.
Et tu te trompes, c’est le gouvernement qui choisit les immigrants, donc on se les fait imposer.
La valeureuse ministre de l’Immigration veut nous balancer 60000 nouveaux immigrants.
Ça ne va pas la tête? Avec 300 millions d’habitants, les Américains accueillent 1200000 immigrants par année, dont 800000 puisés sur le territoire américain. Ils en repêchent 400000 à l’étranger, soit un immigrant pour 750 Américains.
La ministre Yolande James veut nous imposer 60000 immigrants, soit un par 100 francophones.
Elle veut nous tuer, nous noyer comme une bonne trudeauiste! Comment une société qui compte 300000 chômeurs, dont 60000 immigrants, et 240000 assistés sociaux aptes au travail, dont 60000 immigrants, pour à peine 70000 emplois disponibles, peut-elle avoir besoin de 60000 immigrants en 2008?
Qu’elle aille les chercher parmi les BS les 60000 travailleurs qui manquent!
Mais non, lorsque les BS manifestent dans la rue, c’est pour réclamer un plus gros chèque, pas des jobs. Ce sont des lâches. Devant le bureau de Sam Hamad, ils n’ont pas crié: «Des jobs, on veut un emploi, on veut travailler!», mais plutôt: «Un chèque, un plus gros chèque, un chèque de BS!».
Et puis, le scandale des accommodements raisonnables nous montre très clairement que certains immigrants resteront toujours des étrangers, surtout les tiers-mondistes avec leur religion barbare et rétrograde. Leur place serait plutôt dans leur pays pour notre bien et pour le leur.
La vitalité, la santé la cohésion sociale et l’unité d’un peuple en situation minoritaire sur un vaste territoire qui ne lui ressemble pas repose sur l’ethnicité et un État-nation fort. Hitler avait raison.
A-t-on vraiment besoin d’immigrants, si on compte le nombre de BS et une correction éventuelle du nombre de naissances? La réponse est non.
Ou alors, qu’on imite la Suisse et qu’on accueille un nombre plafond d’Européens francophones et qui s’intégreront parfaitement à notre société, à notre culture et à nos valeurs, et sacrons dehors les tiers-mondistes qui, même en se forçant, resteront toujours de purs étrangers!
Ce n’est pas du totalitarisme, mais un constat empreint de lucidité.
Mais, cela est réaliste qu’avec l’indépendance absolue du Québec, car le Canada ne permettra jamais qu’on prenne notre place. On le voit avec le projet de loi ô combien essentiel et lucide de Pauline Marois.
Au lieu de la remercier et de débattre de son projet en Chambre, on lui crache dessus. Je suis très déçu de la position de l’ADQ dans ce dossier vital pour notre avenir en tant que peuple, nation et futur pays souverain.
Il est en train de prouver que son discours pro-régions et nationaliste, lors de la dernière élection, n’était qu’un slogan.
Je déchire ma carte d’ADQ, si il ne corrige pas le tir. Il y a quand même des limites à jouer les girouettes, surtout lorsqu’on est le chef de l’opposition officielle.
@ Philippe David.
Pour le français à Montréal, regardes donc ceci: http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=24236&numero=1662
Mr. David , permettez moi de produire pour tout le monde ce que vous auriez du produire dans votre préambule .
CHAPITRE I
DES VALEURS FONDAMENTALES
1. Le Québec est une société libre et démocratique.
Le Québec est un État de droit.
Le Québec est une terre où les personnes sont libres et égales en dignité et en droits.
Le Québec assure la promotion et la protection de la langue française et de la culture québécoise.
Le Québec contribue au maintien de la paix et de la sécurité internationale.
Le Québec favorise le progrès social, le développement économique et la diversité culturelle dans le monde.
Le Québec agit selon les principes du développement humain et du développement durable.
CHAPITRE II
DE LA CITOYENNETÉ QUÉBÉCOISE
2. Une citoyenneté québécoise est instituée. La qualité de citoyen ou de citoyenne est attribuée ou se perd selon les conditions déterminées par la loi.
……………………………….
CHAPITRE VIII
DES DROITS ET LIBERTÉS AU QUÉBEC
8. Les articles 1 à 48 de la Charte des droits et libertés de la personne (L.R.Q., chapitre C-12) et les articles 2 à 6 de la Charte de la langue française (L.R.Q., chapitre C-11) font partie intégrante de la présente Constitution.
Dans l’interprétation et l’application de ces articles, il doit être tenu compte du patrimoine historique et des valeurs fondamentales de la nation québécoise, notamment de l’importance d’assurer la prédominance de la langue française, de protéger et de promouvoir la culture québécoise, de garantir l’égalité entre les femmes et les hommes et de préserver la laïcité des institutions publiques.
Les gens n’ont pas réalisé toute la stupidité de cette constitution.
Si cette constitution voit le jour, on pourra poursuivre le gouvernement pour faire déclarer inconstitutionnelle toute loi votée par l’Assemblée Nationale et qui ne contribuerait pas au « maintien de la paix et de la sécurité internationale » et au « progrès social mondial ».
Disons que c’est beaucoup moins formel que le projet Turp, qui se base sur une longue démarche avec des avocats constitutionnalistes.
Là où ça fait mal… C’est Daniel Turp qui a présenté le projet de constitution.
Le gouvernement du Québec qu’on a élu. Et ils choisissent en majorité des immigrants francophones. Ce seul fait assure la survie du français ici.
Que t’aimes ça ou pas, ça prends ces 60000 immigrants pour empêcher notre population d’être en déclin. Il n’y a pas personne ici qui veut retourner au temps des familles à 10-20 enfants pour avoir une population croissante, ça coûte trop cher…
Et tu te demandes pourquoi on te traite de néo-nazi. Un point Godwin svp. La Nation la plus puissante au monde est un melting pot d’immigration. Vas voir combien il reste de descendants des colons originaux aux É-U. C’est ce qui a toujours fait leur force. Mias ils savent les intégrer, eux.
Et combien de ces tiers-mondistes sont installés sur la rive-sud de Kuébec? En as-tu seulement rencontré? Comment tu sais comment ils sont? Moi j’en côtoie à tous les jours et ils ne sont pas aussi barbares que tu le penses.
Je le réaffirme, les stats sont là
La population anglophone ne cesse de diminuer d’année en année. Donc le français n’est pas menacé à Montréal ni n’importe où au Québec. Les stats que j’ai datent de 2001, les anglos sont probablement en dessous des 10% maintenant. Où tu vois le besoin de priver des individus de leurs droits civiques pour soi-disant sauver la langue française? Si tu veux sauver le français au Québec, fais venir plus d’immigrants du Maghreb. Ils parlent mieux français que nous.
Soit-dit en passant, la fameuse loi permettrait à Saîd Jaziri de se présenter aux élections, mais pas un type comme Al Gore. Où est la logique?
D’accord avec le reste de ton argumentation, mais ce dernier argument est un sophisme.
C’est vrai, mais il sert à démontrer l’illogisme de priver certaines personnes de leurs droits basé sur une mesure discriminatoire et inutile.
Je ne sais pas pourqupi on s’acharne sur la « population anglophone ». Je crois qu’il faut faire la distinction entre ceux dont la langue maternelle est l’anglais et ceux qui parlent anglais dans la vie courante. Sans statistiques à l’appui (y’en-a-t’il?) je me demande si la majorité des québecois ne parleraient et/ou comprendraient pas déjà l’anglais (parceque leur travail exige qu’ils échangent avec des gens à l’extérieur du Québec; parcequ’ils préfèrent la télévision, les films en anglais,…). Essayer de forcer les gens à apprendre le français est contre-productif. C’est bien beau pour la culture, mais une culture n’est pas stagnante; elle évolue, et cette évolution va dans le sens de l’utilisation de l’anglais à l’échelle mondiale…
Y’a plein de statistique la dessus. Au Québec en 2001, il y avait 7 125 575 habitants, dont 327 045 unilingues anglais, 3 831 350 Unilingues Français, 2 907 700 personne capables de s’exprimer dans les deux langues et 59 485 qui ne parlait ni anglais ni français. source: statistique Canada
Si on se concentre dans la région de Montréal: 3 380 640 habitants, 254 765 anlophones uniquement, 1 283 145 francophones uniquement, 1 792 750 bilingues et 49 975 qui ne parle ni français, ni anglais.
Si on parle simplement de la langue parlée à la maison dans la région métropolitaine, 552 610 parle anglais, 2 345 645 parle Français et 367 960 parle autre chose, 39 575 parle les deux à la maison, 23 620 parle anglais et une langue non officielle, 40 075 parlent français et une autre langue non officielle.
Ça te suffit ou t’en veux plus?
petit ajout:
Population par langue maternelle au Québec:
Anglais: 557 040
Français: 5 761 765
Autres: 709 420
Pour Montréal:
Anglais: 408 185
Français: 2 275 035
Autres: 625 110
annalyse ça comme tu veux
Une autre preuve moins tangible que le Français ce porte bien.
À Québec, il n’y a pratiquement plus de film en anglais. Ce n’était pas assez rentable je suppose. Le seul Cinéma qui en présentait de manière régulière, Starcité, parce que c’est dans la philosophie de la chaîne, est maintenant fermé depuis plus ou moins deux ans.
Les anglophones veulent tellement nous envahir, qu’ils ne sentent même plus le besoin de nous faire écouter des films en anglais.
Ça toujours été payant pour les partis nationalistes et populistes de stigmatiser les minorités.
Je précise –
La statistique de la langue parlée à la maison est plus appropriée au débat puisqu’elle inclue ceux qui parlent anglais à la maison sans que ce ne soit leur langue maternelle i.e. les immigrants. Si cette donnée est en baisse ça démontre clairement que les immigrants s’intègrent de moins en moins à la communauté anglophone et de plus en plus à la communauté francophone. Donc, d’où vient l’assertion que le français est en danger et que Montréal s’anglicise? Les chiffres démontrent que c’est absolument faux.
@ Philippe David.
1) «Je le réaffirme, les stats sont là»
On peut faire dire n’importe quoi aux stats. As-tu au moins regardé le documentaire de Radio-Cadenas que je t’ai donné?
Je crois que non, car tu restes campé sur ta position. On doit faire des pieds et des mains pour se faire servir en français à Mourial.
2) «Que t’aimes ça ou pas, ça prends ces 60000 immigrants pour empêcher notre population d’être en déclin.»
T’es bouché ou quoi? Je t’ai dit chiffres à l’appui qu’on n’a pas vraiment besoin de ces immigrants.
Comment une société qui compte 300000 chômeurs, dont 60000 immigrants, et 240000 assistés sociaux aptes au travail, dont 60000 immigrants, pour à peine 70000 emplois disponibles, peut-elle avoir besoin de 60000 immigrants en 2008?
Que le gouvernement aille les chercher parmi les BS les 60000 travailleurs qui manquent. Le nombre de BS est supérieur au nombre d’emplois que la ministre souhaite combler avec ses immigrants.
Mais non, lorsque les BS manifestent dans la rue, c’est pour réclamer un plus gros chèque, pas des jobs. Ce sont des lâches. La semaine passée, ils ont manifesté devant le bureau de Sam Hamad. J’ai été insulté de ne pas les entendre crier: «Des jobs, on veut un emploi, on veut travailler!». Ils ont plutôt crié: «Un chèque, un plus gros chèque, un chèque de BS!».
On donne notre argent à des lâches et à des crosseurs qui ont plus de plaisir à se gratter la poche sur leur divan en écoutant la TV toute la journée, plutôt qu’à du monde responsables qui veulent se sortir des crochets de l’État et contribuer à construire et à faire avancer la société.
Il y a deux semaines, la maison d’un père de famille a brûlé. Un bon samaritain a voulu apporter un peu de réconfort à la famille dont les deux enfants sont d’âge primaire.
Le bon samaritain possède une certaine fortune personnelle et il voulait leur acheter une nouvelle maison, de nouveaux vêtements pour les enfants, un sac d’épicerie et…….un emploi pour le père, car il ne travaillait pas.
Devine quoi, le père a refusé, car ce qu’il voulait, ce n’était pas une job, c’était un chèque. Plus lâche que ça tu meurs! Sans compter que ce profiteur a déjà poursuivi son propre frère, parce qu’il lui a déjà volé de l’argent, ce qui est complètement faux, par-dessus le marché.
Si il n’en tenait qu’à moi, les chèques de BS seraient tous coupés et les BS au travail. Si les BS travailleraient, on n’aurait pas besoin des immigrants que le gouvernement veut nous balancer par la tête pour les combler les 70000 emplois disponibles, car, que tu le veules on non, on se les fait imposer, ce n’est pas le peuple qui choisit ses immigrants, mais le gouvernement.
3) «Il n’y a pas personne ici qui veut retourner au temps des familles à 10-20 enfants pour avoir une population croissante, ça coûte trop cher…»
Et à quoi ça sert les politiques natalistes, d’après toi?
L’assurance parentale de Charest, la PUGE de Harper, les allocations familiales pour la naissance du troisième enfant et les suivants et les chèques pour les familles dont les enfants ne fréquentent pas les parkings à enfants de Dame Marois que Dumont promettait aux dernières élections, ce sont toutes des politiques dont le but est l’augmentation des naissances de Québécois francophones de souche pour qu’on ne soit pas noyé dans cette dictature multiculturaliste.
Alors, ne vient pas me dire que si on augmente le montant de ces allocations, que l’on bonifie l’assurance parentale et qu’on enlève le prélèvement d’impôts relié à la PUGE tout en la bonifiant, les parents n’auront plus à se ruiner pour repeupler le Québec par eux-mêmes via de nouvelles naissances.
Et puis, ils garderaient INTÉGRALEMENT leur argent, si on abolit l’impôt sur le revenu des particuliers, les garanties prolongées, les frais bancaires et la TPS. Donc, il y a un côté financier, économique, mais également social, à abolir ces 4 vols-là.
4) «Et combien de ces tiers-mondistes sont installés sur la rive-sud de Kuébec? En as-tu seulement rencontré? Comment tu sais comment ils sont?»
Oh, il y en a, il y en a! J’en croise 5-6 dans le centre-ville, pratiquement à tous les jours. Il y en a pratiquement une centaine de l’autre côté du fleuve Saint-Laurent.
Quand j’étais plus jeune, on n’était pas vraiment habitué à ça. C’est pour ça que je crains pour la cohésion sociale du Québec, si le gouvernement continue dans la direction qu’il veut aller, depuis le début des crises linguistique et identitaire causées par le scandale des accommodements raisonnables.
Tout ça à cause du multiculturalisme et de la Charte des droits qui détruiront notre pays, si rien n’est fait pour pallier à cette situation critique. André Drouin, le conseiller municipal d’Hérouxville, a raison.
Tu sembles assez ignorant de la mentalité des régions et de la Capitale nationale, la magnifique ville de Québec, parce que Mourial t’omnibule le nombril.
C’est la mentalité du Mourialiais arrogant qui s’imagine qu’il n’y a que Mourial au Québec. Je te conseille donc de te la fermer, ça vaut mieux pour toi et pour ta santé.
Les stats que j’ai citées sont disponible à Statistiques Canada, j’ai fourni le lien plus haut. Je me fous de ce que ton reportage dit. J’ai vécu toute ma vie à Montréal et je n’ai jamais eu de problème à me faire servir en français.
C’est plutôt toi qui est bouché. Les vrais chiffres sont à 49 000 en 2008 et une augmentation à 55 000 en 2010. Ces chiffres ne tiennent pas compte de l’émigration et des migrations inter-provinciales. En 2001 sur 37 537 nouveaux immigrants, il en restait 22 123 après avoir déduit l’émigration et les migrations inter-provinciales. L’accroissement naturel pour la même année était de 19 100 pour un accroissement net de 41 223. Il semble qu’il n’y a que toi qui ne semble pas comprendre les effets du vieillissement de la population. Faut-il te donner un cours en démographie? Bottom line, on a besoin des immigrants pour payer tous nos beaux service sociaux quand les baby boomers vont prendre leur retraite (et ils ont commencé), sinon on va être dans le gros rouge dans 25 ans. Ça n’a rien à voir avec le taux de chômage ou le BS.
Je suis d’accord avec toi qu’on devrait remettre plus d’assistés sociaux au travail, mais tu mélanges les problèmes.
4) «Et combien de ces tiers-mondistes sont installés sur la rive-sud de Kuébec? En as-tu seulement rencontré? Comment tu sais comment ils sont?»
Wow! Tant que ça! T’es sûr? Tu les a tous comptés? Et avec combien d’entre eux tu as parlé?
André Drouin est un trouduc ignorant xénophobe et le code de vie de Hérouxville est un torchon. Combien de femmes as-tu vu lapidées, brulées-vives ou à l’acide au Québec, et que crois-tu qui arriverait à ceux qui voudraient s’essayer? La différence entre le génie et la stupidité est que le génie a des limites. Ta stupidité et celle de Drouin sont sans limites.
S’ils pensent comme toi, je préfère rester ignorant de leur mentalité.
Une menace? De toi et quelle armée ti-coune?