Avec la sortie du documentaire "Québec sur ordonnance" de Paul Arcand, on aura sans doute droit à une orgie de récriminations contre l'industrie pharmaceutique, la méchante "Big Pharma". Question de nuancer le débat, voici l'autre côté de la médaille.
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Dernier billet de cette série consacrée à l’industrie pharmaceutique. Je laisse le mot de la fin à Alain Dubuc qui nous livre son opinion sur le documentaire de Paul Arcand: "En santé, le médicament constitue le point de rencontre entre l’univers étatique et l’économie de marché. Paul Arcand, comme la plupart des Québécois, trouve cela insupportable et a du mal à accepter qu’un service essentiel comme la santé soit confronté à des entreprises qui font du marketing et des profits, à des professionnels de la santé qui sont aussi des marchands. On se retrouve à dénoncer des pratiques qui sont parfaitement normales ailleurs, parce que le monde de la santé devrait rester virginal. C’est une attitude plus marquée au Québec et au Canada, dont il faudra un jour revenir." |
Vaste sujet.
Un truc qui me fascine toujours, c’est de voir comment les gens sont sélectifs lorsque vient le temps le blâmer le Capital et son emprise sur la santé du Peuple.
Pendant que l’industrie pharmaceutique classique investit des sommes faramineuses pour prolonger la vie des cancéreux de 2, 3 ou 6 mois sous des conditions réglementaires parfois débiles, on a plein de compagnies qui font de l’argent comme de l’eau en vendant des produits « naturels », des « suppléments », de l' »homéopathie », de la médecine « alternative » sans presqu’aucun cadre réglementaire et sourtout, avec TRÈS PEU de fondements scientifiques sinon aucun. Mais bon, puisque leur activité est anti-establishment, c’est sûrement correct.
Ceci dit l’industrie regorge de travers et de défauts, mais ce ne sont pas ceux que les gens croient. Ce sont les actionnaires qui en souffrent, les patients eux sont généralement très bien traités.
En passant, ce n’est pas l’industrie qui crée la demande de médicaments. La grande majorité du marketing vise à faire changer les habitudes de prescriptions du produit A au produit B. Dans certains cas on peut vouloir augmenter le taux de traitement d’une maladie sous-traitée ou sous-diagnostiquée mais c’est assez rare, et on peut argumenter que du point de vue sociétal c’est la bonne chose à faire, surtout si on diagnostique mieux ou traite mieux sa propre grand-mère.
Je suis sur que la population sera heureuse lorsqu’elle aura son PharmaQuébec gérer avec la meme compétence, la même vision, et la même assiduité que l’actuelle gestion des infrastructures routières.
Tellement vrai!
Les médicaments doivent respecter la loi du marché. On peut se permettre d’offrir la santé publique à celle-ci. Ce n’est pas parce que, bien souvent, le marché pharmaceutique, contrôlé par quelques géants, formant ainsi un oligopole souvent régit par des cartels, connait des excès pour enrichir le portefeuille d’une minorité, qu’on est obligé de le contrôler.
J’veux dire, la santé du public est pas si importante, si c’est pour rendre la société plus compétitive et efficace. Faire de l’argent sur le dos des malades, on a vu bien pire dans l’histoire de l’humanité. Pensez seulement aux grandes expéditions en direction de l’Afrique, qui permettaient d’amener de la chaire travaillante gratuitement sur nos terres. Ça c’était bien pire! Et ça s’est passé il y a plus de 100 ans. C’est une comparaison juste et légitime, qui nous permet d’accepter qu’aujourd’hui, plusieurs médecins (ayant le devoir d’améliorer la santé de leurs patients, en théorie) se laissent tenter par le signe de $ en prescrivant « aveuglement » des produits qui rendront accroc leur clientèle, qui n’en a souvent pas besoin. D’ailleurs, pourquoi se priver de faire de l’argent sur des pillules qui n’ont même pas été prouvé être bon pour l’humain à long et moyen terme.
Une bonne partie de la planète pense comme ça, ce doit donc être la meilleure voie! Allons-y les yeux fermé! Sautons à pieds joints dans l’ouverture d’un marché régit par moins de 10 grands qui se partagent la santé de centaines de millions de gens. Et qui dit un si grand marché, dit une responsabilité accru de ne pas voir toujours plus grand. Les grandes industries pharmaceutiques savent s’arrêter et n’ont pas le « devoir » de plaire à leurs actionnaires en fisant toujours plus d’argent sur le dos de ceux qui ne peuvent rien faire face à elles.
Quelle bonne idée. J’appui ce principe muni de valeurs qui sont à la bonne place. La piasse, le pouvoir, fuck le bien public.
Criss.
Il n’y a ni oligopole ni cartel dans l’industrie pharmaceutique.
La compétition est beaucoup trop féroce pour ça.
Pour une industrie pharmaceutique, ce qui n’est pas bon pour le public n’est pas bon pour les affaires.
M’enfin, ton commentaire c’est une série de clichés et d’idées reçues…
Dans le documentaire que tu critiques, on parle pas des bons médicaments. Qui serait assez con pour critiquer le fait que l’industrie pharmaceutique développe de plus en plus de bons produits aidant à « rallonger notre vie ».
Ce qu’il critique, et ce que le bon sens critique, habituellement, c’est le fait qu’on nous rend addict à des produits pour nous aider à dormir, à manger, à rester éveiller, à chier. Bref, tous les produits inutiles pour la grande majorité, mais dont les médecins et les publicités essaient de nous vendre et faire consommer. C’est ça qui est payant pour eux, les accotés de la santé. Et c’est ce que plusieurs critiquent, dont le documentaire Popaul.
P.s: Tant mes commentaires sont remplis d’idées et de concepts recus, tant les tiens en sont aussi rempli. C’est normal, je ne voit pas le problème.
Bref, on invente un problème qui n’existe pas…
Et de plus, si une personne a besoin d’une pilule pour dormir c’est quoi le problème ? Tu penses qu’une personne souffrant d’insomnie a une bonne qualité de vie ?
Arcard essaye de faire peur au monde en disant les que les québécois consomment en moyenne 750 pilules par années.
Une personne qui fait de l’arthrite et qui prend 2 Tylénol par jour ça fait environ 700 pilules par année.
On consomme trop de pillules au Québec. C’est un fait.
Point.
« On consomme trop de pilules au Québec. C’est un fait.
Point »
On dirait un dogme religieux. Pas besoin de preuves ni d’arguments !
@ The.
«On consomme trop de pillules au Québec. C’est un fait.
Point.»
Tu aurais pu développer. Je vais le faire pour toi.
Le danger de l’industrie pharmaceuticale, c’est qu’elle nous sert des médicaments nocifs pour notre santé sans avoir prit le temps de les analyser, car elle préfère se remplir les poches avec notre argent plutôt que prendre soin de notre santé.
Notre société est malade et vieillissante, c’est criminel de prendre à la légère les effets secondaires des médicaments, alors qu’on en consomme plus que l’on en a besoin.
On se drogue aux médicaments, car on est géré par des poupées de luxe qui vendent notre patrimoine collectif au plus offrant pour fin commerciales et intérêts privés (Mont-Orford) et des bandits qui nous arnaquent avec les impôts et les commandites pour graisser la caisse de leur parti et ils nous rendent malades par leur incompétence à nous gérer comme du monde, jouant souvent avec notre sécurité et notre vie (viaducs).
Souvent, les médicaments sont des armes pour tuer une vie. C’est ce que la DPJ fait en droguant ces enfants (Je dis bien CES enfants, car elle n’a aucune autorité morale, ni aucune crédibilité, ni aucune légitimité à prétendre que les enfants sous sa griffe lui appartient, car ils sont enlevés de manière la plus crasse à la famille d’accueil, souvent sans aucune raison valable.) au Ritalin ou au Concerta, qui très souvent n’ont besoin d’aucun médicament.
C’est ce qui fait le bonheur des firmes pharmaceuticales multinationales avec leurs médicaments souvent dangereux pour notre santé et quelques fois périmés. Mais, elles prennent bien notre argent, par contre.
Il est temps pour l’industrie pharmaceuticale de nous verser une redevance. Ce serait le meilleur moyen de l’avoir à l’oeil pour notre bien et notre santé à tous et à toutes.
Tu es un curé pour faire une affirmation aussi dogmatique ?
Si les médicaments rendaient les gens plus misérable, alors personne n’en demanderait !
Alors comment expliques-tu que les endroits où l’on prescrit les médicaments les plus modernes sont ceux qui la plus grande augmentation de l’espérance de vie ?
Non. Ce qui est criminel c’est de ne parler que des risques sans parler des bénéfices.
Si les médicaments sont dangereux, pourquoi l’espérance de vie ne baisse pas dans les les endroits où on en prescrit beaucoup ?
Si tu veux une mesure aussi idiote, alors vote pour Québec solidaire.
@ M. Gagnon.
1) «Si tu veux une mesure aussi idiote, alors vote pour Québec solidaire.»
Le cynisme des électeurs envers la classe politique est attribuable, en partie, au fait que les gens ne se donnent pas la peine de lire le programme des partis politiques.
On vote selon l’image et sur des ragôts et non sur les programmes. Vous venez de prouver que vous ne lisez pas les programmes de partis.
Québec so-so promettait la nationalisation (créer une société d’État) de l’industrie pharmaceuticale.
Moi, je prône le versement d’une redevance par l’industrie pharmaceuticale envers le travailleur moyen payeur de taxes, d’impôts et de tarifs de toutes sortes et qui se fait crosser par cette industrie.
Le versement d’une redevance n’est pas synonyme d’une nationalisation. Ce sont deux choses complètement différentes, là.
Une nationalisation est la création d’une nouvelle société d’État, donc d’une nouvelle structure bureaucratique dysfonctionnelle qui ne rend aucun compte envers la population, mais verse son argent au gouverne-maman, qui le verse directement à ses p’tits amis partisans et électoralistes, comme les syndicats et les directeurs de la campagne électorale du parti au pouvoir qu’on retrouve, comme par magie, à la tête du conseil d’administration de la dite société d’État (copinage, patronage, corruption).
Une redevance fait en sorte que le peuple ait à l’oeil l’industrie en question et puisse être maître de ses dépenses, tout en ne créant pas une nouvelle structure bureaucratique, car l’industrie en question demeure privée.
2) «Alors comment expliques-tu que les endroits où l’on prescrit les médicaments les plus modernes sont ceux qui … la plus grande augmentation de l’espérance de vie ?»
Il manque un mot dans votre phrase.
3) «Si les médicaments sont dangereux, pourquoi l’espérance de vie ne baisse pas dans les les endroits où on en prescrit beaucoup ?»
(Détection d’un doublon!)
La surconsommation, vous connaissez? Acheter plus que ce qu’on a besoin!
Moi, je ne prends que du Claritin pour mes allergies. Je ne me drogue pas aux médicaments comme certaines personnes peuvent le faire. Dans le documentaire de Paul Arcand, on voit une fille avec un grand sac remplit de médicaments et qui affirme qu’elle trouve qu’elle n’en a pas assez.
C’est clairement l’illustration du cas de dépendance que le Québec a envers les médicaments, à cause de la piètre gestion de notre société et qui nous décourage et nous rend malades par l’incompétence de nos élus.
Il est beau le «modèle québécois», non?
Prendre des médicaments au besoin, ça va! Mais, en consommer comme on consomme des smarties, il y a toujours des putins de limites. C’est ce que fait la DPJ avec CES enfants.
L’industrie pharmaceuticale a des comptes à rendre à la population pour la corruption qu’elle pratique et elle doit les rendre maintenant, avant que le processus ne soit irréversible et qu’on puisse qualifier le Québec de paradis et de vache à lait de l’industrie pharmaceuticale.
4) À vous lire, vous êtes dans l’industrie pharmaceuticale, c’est clair!
C’est pas les cie pharmacos qui prescrivent les pillules. C’est les docteurs ET les citoyens qui en exigent.
Le Québec est malade dans sa relation avec ses médicaments, mais le blâme est pas à mettre sur les cies.
C’est comme accuser Ford de provoquer des accidents de la route dire que Smirnoff est responsable de l’alcoolisme.
La mesure idéal pour tuer ce qui reste de pharmaceutique au Québec.
Le coup de pied au cul qu’il leur manque pour aller en Ontario et en Alberta.
Et comment tu juges ça toi la surconsommation ?
Une personne qui prend du lipitor c’est de la surconsommation ?
L’attitude québécoise typique: « c’est de la faute de tout le monde sauf moi ».
Faut juste éviter que les sociétés pharmaceutiques donnent de trop gros cadeaux « personnels » aux médecins et aux pharmaciens. C’est pas compliqué, c’est juste une question d’éthique: séparer le décideur (le médecin) de l’influence directe de son fournisseur de solutions (la société pharmaceutique). Quand le médecin décide d’un traitement, son codex devrait être la référence de base… et non pas les échantillons gratuits qu’il a reçus.
Pour le reste, la consommation de médicaments d’ordonnance reste subordonnée au principe d’utilité. Et les médicaments « over the counter » dépendent surtout des mentalités…
No big deal.
Mais plus fondamentalement…
On s’entend tous qu’un médecin va uniquement prescrire un médicament contre le cholestérol chez une personne qui fait de l’hyper-cholestérolémie.
Donc, est-ce que c’est vraiment important si un médecin décide de prescrire du Zocor au lieu du Lipitor parce qu’il a reçu un speech d’un représentant d’une compagnie ?
C’est un débat intéressant. Normalement, le médecin devrait prescrire le médicament en fonction du bien-être du patient. Donc si les médicaments ont exactement les mêmes effets secondaires, les mêmes interactions et une posologie similaire… il devrait prescrire celui qui coûte le moins cher au patient! Et non pas celui qui lui a valu un sac de golf.
Ça c’est la job du pharmacien
Il va souvent arriver qu’il propose le générique. Et encore là, présentement il y a un paquet de pharmacien sous enquête parce qu’elle proposait à leur client des génériques après avoir reçus des cadeaux.
Parce qu’il faut être réaliste, les médecins ne doivent pas avoir une idée du prix bien précise du prix des médicaments. C’est pas eux qui les vendent.
Personne a parlé du plus important.
Si au Québec on prend autant de médicaments, c'est parce que comme pour l'électricité, on ne paye pas la vraie valeur.
Quand c'est le gouverment qui paye t'es pas trop incité à te demander si ça vaut la peine de payer pour une prescription.
Tom ammène un excellent point, quand un truc est gratuit l’abus est facile.
En fait les médicaments, c’est les compagnies d’assurances… L’assurance-médoc, c’est surtout pour les gens à la retraite et les faibles revenus.
Ma blonde a un problème à la thyroïde et doit payer une bonne partie des médocs qu’elle prendra jusqu’à la fin de ses jours, sans quoi les effets du manque de force de sa glande seront des fatigues chroniques et un risque de stérilité.
Pour avoir vu le film d’Arcand, laissez-moi vous dire que cette présente discussion de blogue est en comparaison beaucoup plus intéressante!
La tête grossie par le succès de son premier docu-poubelle, le déjà très gros Paul Arcand voit encore plus gros et se prend déjà pour Michael Moore, lui-même aussi gros que les gros arguments de ses propres films.
La comparaison est excellente, dans l’optique où le film d’Arcand est bel et bien un espèce de sous-Moore -oui, la chose est posible- assez indigeste.
Une accumulation de démagogie propagandiste, mais sans ce talent de manipulateur qui fait de Moore le plus doué de ceux ayant appliqué à la lettre la doctrine si troublante de vérité de Goebbels: «Répétez un mensonge mille fois, et il deviendra réalité.»
«Québec Sous Ordonnance» est un film sur une société malade.
Non pas malade d’avaler des médicaments, mais bien malade d’avaler autant de conneries servies par des anartistes nous balançant leur démagogie alarmiste, leur anticapitalisme de millionaire, leur statistiques vides de sens présentées avec le plus grand sérieux sans mise en contexte, leurs montages ratés avec effets spéciaux nuls, leur musique gluante devant susciter nos émotions les plus basses, etc.
Tout comme la dernière oeuvre smegmatographique de la grosse tumeur Moore, le dernier Arcand sera peut-être dans quelques décennies visionné par quelques amateurs de culture trash dans les festivals de films minables, comme aujourd’hui il est assez rigolo de revoir les vieux films de propagande soviétique des années staliniennes.
@ M. Gagnon.
1) Vous allez commencer par m’expliquer ce que sont du lipitor et du Zocor. Je n’ai aucune formation en médecine.
2) J’ai déjà expliquer ce qu’est la surconsommation, je n’y reviens pas. Si une personne prend du lipitor (????) parce qu’elle en a besoin je n’ai aucune objection.
Mais, si elle en prend alors qu’elle n’en a pas besoin, là, il y a abus de consommation, c’est de la surconsommation.
3) «La mesure idéal pour tuer ce qui reste de pharmaceutique au Québec.
Le coup de pied au cul qu’il leur manque pour aller en Ontario et en Alberta.»
Vous qui étiez pour la vente d’Alcan (fleuron de l’économie québécoise, depuis des années), vous protégez l’industrie pharmaceuticale pour qu’elle reste au Québec. Vous êtes incohérent avec votre idéologie mondialiste sauvage.
J’ai peine à croire que vous avez déjà été gauchiste avec ce genre de propos.
Ne paniquez pas! Une redevance ne constituera pas la perte de l’industrie pharmaceuticale, elle a suffisamment d’argent (notre argent qu’elle a volé avec sa corruption) pour pouvoir se la payer.
Une nationalisation serait bien pire, ça tuerait l’économie.
Et c’est un homme de droite qui vous le dit.
Avant d’être qui que ce soit, je suis d’abord et avant tout un citoyen.
Mais, je suis également un patriote québécois et un révolutionnaire indépendantiste de la droite laïque, anti-religion, anti-syndicaliste, pro-consommateurs, pro-travail, pro-capital, pro-investissement privé, pro-entrepreneurship, pro-libre marché et pro-jeunes familles de la classe moyenne.
Il est donc normal que je défende le travailleur moyen payeur de taxes, d’impôts et de tarifs de toutes sortes contre la corruption de l’industrie pharmaceuticale qui crosse le bon peuple.
Mais, vous ne m’avez pas répondu. Êtes-vous, oui ou non, dans l’industrie pharmaceuticale?
C’est plus de 500 000 personnes au Québec…
Ce qui fait 7% de la population. Les assistés-sociaux en forment 4%, mais peu prennent des médicaments, et les personnes à la retraite et à faible revenu viennent finir le lot.
Si tu as des exemple de prescriptions non-justifiés écrit au Collège des Médecins.
Du tout. Je suis contre de nouvelle taxe contre une industrie qui est un moteur important de notre économie. Parce que ta redevance c’est encore des taxes.
Tu ne l’a peut-être pas réalisé mais le Québec est en compétition pour garder ses entreprise. Les taxer encore plus ce n’est pas un argument pour les inciter à rester ici.
La corruption et les crosses c’est dans ta tête.
Ils représentent plus de 70% des prescription.
@ M. Gagnon.
1) «Si tu as des exemple de prescriptions non-justifiés écrit au Collège des Médecins.»
Le Collège des médecins, je l’ai là où le dos perd son nom.
Je ne suis pas le seul à avoir un tel discours sur la surconsommation des médicaments et l’industrie pharmaceuticale.
Le docteur Pierre Mailloux prêche injustement dans le désert depuis des années sur les pratiques corrompues de l’industrie pharmaceuticale pour s’en mettre plein les poches sur le dos du bon peuple avec leurs médicaments dangereux, non-testés et périmés.
Et c’est lui qu’on accuse d’être fou et d’être dangereux pour la société, c’est à devenir enrager. Le syndic Deschênes jalouse son brillant et inestimable collègue depuis des années à cause de ses écrits cohérents et lucides sur l’état de notre société.
Le syndic Deschênes, je l’ai là où le dos perd son nom. Le docteur Pierre Mailloux est vrai et nous protége des cerveaux tordus et corrompus pour qu’on en ait pour notre argent, tandis que tous nos systèmes et infrastructures tombent comme des châteaux de cartes.
2) «Tu ne l’a peut-être pas réalisé mais le Québec est en compétition pour garder ses entreprise.»
Je n’ai jamais senti cet esprit de compétition dont vous parlez tant, lorsque Alcan était à deux doigts de passer aux mains des Japonais. Au contraire, on a baissé les bras de manière la plus embarrassante en laissant la transaction se compléter bien gentiment assis dans notre coin comme les gentils moutons que nous sommes.
C’est de notre faute si on nous a dépossédé d’Alcan et de Belle, deux fleurons de l’économie québécoise, et ce, depuis des années. Ben, tant pis pour nous autres!
3) «La corruption et les crosses c’est dans ta tête.»
L’argument ultime d’un pauvre type qui n’a plus d’arguments pour défendre l’indéfendable!
Autant c’est désolant et décourageant de lire Élodie, Nelson et Marie-France dans la blogosphère, autant j’ai de la misère avec certaines de vos positions capitalistes sauvages!
Le même docteurs Maillourx qui est passé devant le collège des médecins pour avoir prescrit des dose massive d’antidépresseurs ?
Sans blague, comment peut-on donner du crédit à ce type.
La corruption et les crosses c’est dans ta tête.
C’est pour ça que tu es incapable de fournir la moindre preuve.
Instruis-toi:
Innovation: Le Québec a mal à ses cerveaux
L'Actualité, no. Vol: 31 No: 18
15 novembre 2006, p. 18
Le Québec ne fait plus le poids face à l'Ontario en matière de recherche universitaire, et les milieux scientifique et des affaires lancent un cri d'alarme. Alors qu'en 1991 les dépenses en recherche des universités du Québec correspondaient à 85% de celles des universités ontariennes, elles n'en représentent plus que 63% en 2005, selon les chiffres de Statistique Canada publiés cet été. C'est encore pire dans la recherche en santé: les hôpitaux et universités de l'Ontario y ont consacré environ 1,7 milliard de dollars en 2005, soit deux fois plus que les établissements québécois. En 1991, ces dépenses étaient comparables dans les deux provinces, à environ 400 millions de dollars.
"Il y a urgence à réinvestir, surtout dans les universités et dans le capital de risque", souligne Camille Limoges, père de la dernière politique scientifique du Québec, qui remonte à 2001. Appelé à la rescousse par Québec, qui l'avait nommé en novembre 2005 coprésident du Conseil des partenaires pour l'innovation, Camille Limoges a démissionné de son poste en avril, avec quatre autres membres du Conseil, refusant de cautionner un gouvernement aussi frileux en matière d'innovation. Dans son dernier budget, le gouvernement Charest avait annoncé à peine 75 millions de dollars de plus sur trois ans pour soutenir la recherche et l'innovation.
En Ontario, les dépenses à ce chapitre se sont littéralement envolées dans la dernière année, creusant encore davantage l'écart avec le Québec. En juin 2005, le premier ministre Dalton McGuinty a créé le ministère de la Recherche et de l'Innovation de l'Ontario, dont il a lui-même pris la tête. Dans l'année, il a ensuite annoncé des investissements additionnels de 1,7 milliard de dollars sur cinq ans dans ce domaine, dont 142 millions de dollars pour un nouvel institut de recherche sur le cancer. Signe des temps, c'est un Québécois, le brillant généticien Thomas Hudson, qui en a pris la direction en juillet dernier, créant tout un choc dans la communauté scientifique en abandonnant son poste de directeur du Centre d'Innovation Génome Québec et Université McGill. Le privé investit aussi massivement. À Toronto, le nouveau District de la découverte MaRS, gigantesque centre d'innovation, héberge déjà 50 entreprises et grands organismes, qui dépensent 400 millions de dollars par an en recherche.
Au Québec, le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Raymond Bachand, entend "accélérer le pas" et annoncer bientôt la nouvelle stratégie de Québec sur l'innovation. Mais il faudra peut-être passer au galop pour rattraper le temps perdu! V.B.
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La bataille de l'innovation
Les Affaires
Actualité et analyse, samedi 9 septembre 2006, p. 10
Le milieu québécois de la recherche sonne l'alarme. En investissant beaucoup dans l'innovation, les autres provinces s'arment pour voler nos chercheurs vedettes.
Alors que le gouvernement Charest s'apprête à déposer une révision de sa politique sur la science et l'innovation, les dirigeants de la communauté scientifique universitaire québécoise envisagent l'avenir avec beaucoup d'anxiété.
Le départ pour l'Ontario du fondateur et directeur du Centre d'innovation Génome Québec – Université Mc Gill, Thomas Hudson, qui y dirigera le nouvel institut de recherche sur le cancer, pourrait n'être que le premier signe de ce qu'ils craignent. À savoir que le Québec, après avoir été jalousé puis imité par les autres provinces canadiennes, perde le leadership qu'il a mis des années à bâtir en recherche universitaire, surtout dans le domaine de la santé.
Et qu'il se fasse voler ses autres étoiles par l'Ontario, l'Alberta et la Colombie-Britannique, qui ont toutes investi massivement ces dernières années pour stimuler la recherche et l'innovation sur leur territoire.
"Le départ de Tom Hudson nous fait réaliser que la guerre est ouverte", lance Alain Beaudet, président du Fonds de la recherche en santé du Québec (FRSQ).
Prenons l'exemple de l'Ontario. L'an dernier, le gouvernement de Dalton McGuinty a créé un ministère voué uniquement à la recherche et à l'innovation. C'est le premier ministre lui-même qui en a pris la tête. Puis, il a annoncé en 2005 des investissements additionnels de 1,7 milliard de dollars (G$) au cours des cinq prochaines années pour stimuler la recherche et l'innovation.
À côté de cela, les 75 M$ additionnels prévus dans le dernier budget québécois pour les trois prochaines années font pâle figure. Le ministère de la Recherche et de l'Innovation de l'Ontario vient également de créer un comité d'experts pour le conseiller sur les meilleures stratégies à prendre en recherche.
Bref, le gouvernement McGuinty donne un signal politique clair qu'il va donner pleine priorité à ce secteur.
Un climat de morosité s'est installé
Au Québec, ce qui inquiète la demi-douzaine de dirigeants d'organismes de recherche que le journal LES AFFAIRES a consultés, c'est qu'ils n'ont pas ce signal de la part du gouvernement Charest. Du moins pas jusqu'à maintenant.
"Ce n'est pas juste une affaire d'argent, c'est aussi une affaire de climat", dit Denis Thérien, vice-principal à la recherche et aux affaires internationales de l'Université McGill.
"Les chercheurs étrangers qui arrivent au Canada voient l'effervescence à Toronto et se disent : "Le cancer, c'est à Toronto qu'on va régler ça." Ici, au Québec, on marche le dos courbé en se traînant les pieds. Il y a un climat de morosité qui s'est installé", soutient M. Thérien.
Les autres provinces devancent le Québec
Il n'en a pas toujours été ainsi, rappelle Louise Proulx, vice-présidente, développement de produits de la biotech Topigen et membre du Conseil des partenaires de l'innovation, un comité que le gouvernement Charest a mis sur pied à l'automne 2005 afin de le conseiller pour la mise à jour de la politique de la science et de l'innovation.
"Le Québec a été la première province à créer des fonds subventionnaires (pour la recherche universitaire) qui s'ajoutaient à ceux d'Ottawa et qui ont servi de levier pour obtenir des fonds fédéraux, fait-elle remarquer. À cette époque, les autres provinces n'en avaient pas et leurs chercheurs nous enviaient. Mais aujourd'hui, les autres provinces, après s'être inspirées de nos initiatives, nous ont devancés, et nous avons stagné. Ce qui veut dire que, concrètement, que nous avons reculé."
"C'est dramatique !", lance Mireille Mathieu, présidente de l'Association francophone pour le savoir (ACFAS).
"Alors que des efforts avaient été consentis il y a une dizaine d'années pour recruter des chercheurs de calibre international, on est aujourd'hui tout juste capables de payer leurs salaires, et on peine à leur donner les conditions optimales pour faire leur travail", déplore Mme Mathieu.
Le risque de perdre non seulement nos meilleurs chercheurs mais aussi ceux qui les entourent et les connaissent est très élevé, croient Mmes Mathieu et Proulx, ainsi que MM. Beaudet et Thérien.
D'autant plus que la nouvelle génération de chercheurs est beaucoup plus exigeante et mobile que la précédente.
Déjà trop tard ?
Comment corriger le tir, sinon en y consacrant nous aussi des milliards de dollars ?
Francesco Bellini, président de Neurochem et ancien patron de BioChem Pharma, estime qu'il est déjà trop tard que le gouvernement Charest, en désinvestissant dans les organismes subventionnaires de recherche et en délaissant les sociétés de capital de risque en biotechnologie, par exemple, a déjà causé un tort irréparable à la communauté scientifique.
"Ça prend 15 ans pour attirer les meilleurs chercheur mais seulement deux ou trois ans pour démolir notre réputation", croit-il.
Nouvelle politique
La nouvelle politique, qui doit s'intituler Stratégie de l'innovation, doit être déposée cet automne, promet-on au cabinet de Raymond Bachand, ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation.
Paul Larchevêque, président de Génome Québec – qui a reçu au printemps plus de 40 M$ additionnels pour cinq ans – se dit "optimiste et confiant" que cette politique "tiendra compte des enjeux dont nous discutons".
Mais du même souffle, il ajoute que le secteur privé devra s'engager davantage. À titre d'exemple, il mentionne le projet MaRS en Ontario, pour lequel 12 hommes d'affaires ont investi chacun 1 M$ de leur poche (voir autre texte).
Alain Beaudet, du FRSQ, dit de son côté qu'il a "grosses attentes" vis-à-vis de la nouvelle politique.
Mais cela s'annonce mal : en avril, cinq acteurs clés du Conseil des partenaires de l'innovation (CPI), à qui Québec avait demandé de l'aider à élaborer sa nouvelle politique, ont démissionné en bloc. Ils s'attendaient à voir, dès le budget 2006, des indices prouvant que le gouvernement était sérieux dans sa volonté de valoriser davantage la recherche et l'innovation. Ils ne les ont pas vus.
Le journal LES AFFAIRES a appris que non seulement les membres démissionnaires n'ont pas été remplacés, mais qu'il n'y a même pas eu de réunion cet été entre les fonctionnaires et les membres du CPI pour poursuivre les échanges. Une rencontre – la première depuis celle qui a suivi la crise – est prévue lundi prochain, le 11 septembre, mais on présume que ce ne sera que pour commenter et peaufiner la nouvelle politique.
"Il faut être élitiste"
Cette crise de sous-financement de la recherche universitaire et la concurrence accrue des autres milieux scientifiques canadiens soulèvent un débat crucial quant à la philosophie concernant la recherche, fait valoir Denis Thérien.
"Le Québec a longtemps misé sur la démocratisation du savoir en stimulant, par exemple, la recherche en région. Venant de Trois-Rivières, je suis moi-même en mesure de voir les bienfaits de cette école de pensée. Sauf qu'aujourd'hui, il faut valoriser davantage l'excellence et, oui, être élitiste."
"Dans certains cas, si on dispose de 10 M$ en fonds, au lieu de donner 1 M$ à 10 chercheurs, il faudrait peut-être penser à donner 5 M$ à deux chercheurs", lance-t-il.
Alain Beaudet est d'accord : en situation de pénurie, il faut éviter le saupoudrage.
@ M. Gagnon.
1) «Le même docteurs Maillourx qui est passé devant le collège des médecins pour avoir prescrit des dose massive d’antidépresseurs ?
Sans blague, comment peut-on donner du crédit à ce type.»
Je l’ai déjà dit 20 fois, je vais le répéter une nouvelle fois: le Doc Mailloux est vrai, parle au nom du peuple et dénonce la pensée unique au Québec.
De plus, il a révolutionné le monde de la psychiatrie et est l’un des rares psychiatres d’aujourd’hui à s’appuyer sur Freud.
La chasse aux sorcières dont il est victime n’est que la meilleure façon que le très gauchiste Collège des médecins a trouvé pour lui fermer la trappe, parce qu’il est contre l’idéologie gau-gauchiste prônée par le Collège des médecins.
Le docteur Mailloux est très compétent et honnête. Je lui confierais ma vie ou celle d’un proche sans hésiter.
De plus, il parle au nom des enfants maltraités dans la majorité de ses ouvrages et il les défend bec et ongle. Réécoutez le segment de l’entrevue à TLMEP où il parle des enfants de Sainte-Justine. Fouillez et vous verrez que cet homme est un plus contre les sales mères qui traitent leurs enfants comme des chiens!
De plus, il prône la liberté de choix pour la garde d’enfants et fait davantage confiance au modèle freudien du développement de l’enfant, plutôt qu’au modèle soviétisé et qui a été repris au Québec par la création des CPE qui constituent un crime contre l’humanité et un vol d’argent pur et simple.
Et il a cité une étude à TLMEP et joué un rôle aux Bougons. Le très gauchiste Collège des médecins n’a aucune autorité morale de le radier et de le poursuivre pour de tels actes qui ne constituent nullement des actes médicaux.
Pour l’affaire des psychotropes, vous devriez vous informer sur le métier de psychiatre.
Le Doc Mailloux a des cas très lourds sous son aile. Si il n’aurait pas augmenté la dose des psychotropes pour ce genre de patients, ils pourraient devenir extrêmement agressifs, anxieux, dépressifs (ce sont des schizophrènes, des psychotiques), ce qui pourrait les amener à commettre des actes irréparables, comme le suicide.
C’est ce qui est arrivé à l’une de ses patientes. Lorsqu’il était radié «provisoirement» par le très gauchiste Collège des médecins, son «remplaçant» a baisser le dosage de psychotropes pour cette patiente. Résultat: elle a fait une crise et elle s’est suicidée.
Si cette personne avait encore eu son vrai psychiatre (le Doc Mailloux), elle serait encore en vie, car elle aurait eu sa dose de psychotropes en lien avec la gravité de son cas.
Le syndic Deschênes n’est qu’un gros jaloux qui aurait bien aimé recevoir toute la gloire et l’attention que reçoit le Doc Mailloux, mais il n’a ni les compétences, ni le respect de ses collègues intelligents qui constituent les génies de notre société, pour mériter une telle attention. Il faut rendre à César ce qui appartient à César.
Le syndic Deschênes, ainsi que le très gauchiste Collège des médecins, sont responsables de la mort de cette patiente.
Le syndic Deschênes et le très gauchiste Collège des médecins, je les ai là où le dos perd son nom.
Cette bureaucratie corrompue n’est même pas digne de la République de Cuba, de l’ex-URSS et de l’Allemagne nazie. On est très près du régime de ces pays, car il y a diffusion d’un discours unique au Québec et ce discours-là est très dangereux.
C’est la Grande Noirceur institutionnalisée de la gau-gauche syndicale du Plateau Mou-Rial et on crucifie sur la place publique ou dans des tribunaux populaires (Tout le monde en parle de Guy A. Lecave et de son bouffon de service, Danny Tricote) des gens qui dénoncent cette situation intolérable (Stéphane Gendron, Jeff Fillion et l’excellent docteur Pierre Mailloux).
Cette corruption institutionnalisée et le 400 millions $ qu’on nous siphonne chaque année via nos impôts pour le patrimoine religieux, sans compter tout l’argent qu’on envoie à Sa Majestée Michaëlle Jean. On nourrit la monarchie et la religion en plus de se faire voler le reste par la corruption institutionnalisée.
L’impôt sur le revenu est un vol manigancé par les riches et les puissants qui se vautrent dans un luxe effréné et non mérité pour faire davantage d’argent sur le dos du bon peuple.
C’est ce que des hommes aussi intelligents et éveillés qu’eux dénoncent depuis des années.
Le pire, c’est qu’on les poursuit en diffamation pour avoir énoncer les vérités qui dérangent pour que cette situation intolérable continue jusqu’à la fin des temps et nous maintenir dans la pauvreté la plus crasse et la plus flagrante.
Tout comme le Christ, nous sommes crucifiés parmi des voleurs.
Voilà la justice au Québec!
2) «La corruption et les crosses c’est dans ta tête.
C’est pour ça que tu es incapable de fournir la moindre preuve.»
Et vous, que proposez-vous de mieux à mes opinions?
Toi t’es prêt à suivre n’importe quel imbécile qui parle au nom du peuple ?
Mon blogue n’est pas un endroit pour que tu règles tes problèmes avec ta mère.
Donc tu admets que refuser de prescrire des anti-dépresseurs c’est stupide ?
Un vol des riches ?
Le 20% des canadiens les plus riches au Canada paye 60% de l’impôt. Ils ne volent personne, ils se font avoir.
Bon…
Le Doc Maboule = le Christ maintenant…
Va donc prendre une lithium…
@ M. Gagnon.
1) Vous qui semblez être un bon docteur, répondez à cette question: qu’est ce que du Lipitor, du Zocor et du lithium?
2) «Mon blogue n’est pas un endroit pour que tu règles tes problèmes avec ta mère.»
Ne vous en déplaise, j’ai eu une bonne mère intentionnée! Je parlais des mères qui battent leurs enfants, car ce phénomène existe. Vous ne pouvez pas le nier.
3) «Donc tu admets que refuser de prescrire des anti-dépresseurs c’est stupide ?»
Lorsque la personne en a besoin. Lorsque la personne n’en a pas besoin, on appelle ça de la surconsommation et c’est cette attitude que je dénonce depuis hier et que le docteur Pierre Mailloux a toujours dénoncé, car ça enrichit l’industrie pharmaceuticale qui se vautre dans un luxe effréné et non mérité.
La défunte patiente du Doc Mailloux avait besoin de sa dose d’antidépresseurs que ce dernier lui prescrivait, car son état de santé l’exigeait.
Le «remplaçant» du docteur Mailloux n’avait aucun droit de baisser la dose de psychotropes de cette patiente, surtout si il connaissait son état de santé. Elle serait peut-être encore en vie, si elle aurait toujours eu son vrai psychiatre, n’en déplaise au syndic Deschênes, qui est en mission publique de grossière jalousie envers son estimé collègue.
4) «Bon…
Le Doc Maboule = le Christ maintenant…»
Le Christ, c’est nous, le peuple.
Les voleurs, ce sont:
a) Le gouvernement avec son impôt sur le revenu qui enrichit les riches et appauvrit les pauvres et ses lois qui violent notre patrimoine collectif (Mont-Orford) et qui graisse la caisse de parti et des p’tits amis du parti avec notre argent.
b) L’industrie pharmaceuticale avec sa corruption et ses médicaments parfois dangereux, non-testés et périmés.
c) La DPJ avec ses kidnappings et son racket, trafic et empoisonnement de jeunes enfants.
d) Les banques avec leurs frais exorbitants que bien du monde ne peuvent pas payer.
e) Les multinationales de la consommation avec leurs garanties prolongées qui font perdre de la qualité aux biens et aux services achetés et qui nous coûtent de l’argent supplémentaire pour leur camelote.
f) La religion, surtout chrétienne, avec le siphonage annuel de nos impôts de 400 millions $ pour le patrimoine religieux, argent qui va directement dans les coffres du Vatican qui cache ses pédophiles en France pour ne pas ternir son image.
Et la plupart de ces voleurs ont des liens très étroits.
La religion catholique a incité nos ancêtres à forniquer afin de remplir les coffres du richissime Vatican. De porteurs d’eau nous deviendrons éboueurs experts pour les déchets nucléaires de Washington, grâce aux mauviettes de luxe qui nous gouverne.
Comme les Vikings nous disparaîtrons. Les Sulpiciens ont échangé les terres des autochtones pour des évangiles et encore aujourd’hui les mains de Dieu, que voyaient partout Claude Ryan, sont dans nos poches,
alors que tous nos systèmes s’écroulent.
Le patrimoine religieux suce notre argent de nos revenus à coup de 400 millions $/année, alors que cette secte, car la plupart des religions agissent en secte, a la plus grosse cagnotte de la planète et n’est nullement crédible. La preuve: elle transfère ses pédophiles en France et les protège pour ne pas ternir son image!
Notre poupée de luxe qui s’occupe si bien de l’environnement, mais autrefois de la culture, avec ses fameux discours à 3,75$ le mot, gave le Vatican et la vente des églises devrait revenir dans nos poches pour nos infrastructures d’eau potable et nos nouveaux ponts et viaducs.
Nous sommes encore baisés par notre religion et c’est fait de façon tellement hypocrite que nous sommes impuissants, car nous avons des mauviettes de luxe et des escrocs comme dirigeants et qui sont dans l’assiette au beurre et qui se partagent tous le gâteau à même nos profits, alors que nous nous appauvrissons à vu d’oeil et devenons de plus en plus malades pour faire le bonheur de l’industrie pharmaceuticale avec ses médicaments souvent dangereux, non-testés et périmés.
Ce qui donne libre champ à la DPJ pour droguer CES enfants avec ce genre de drogue pour mieux leur voler leur enfance.
Quant aux banques et aux multinationales de la consommation, elles ne sont que des pions dans la partie d’échecs!
C’est juste un bonheur supplémentaire pour notre système corrompu, si ils augmentent leurs frais ou leurs garanties prolongées, car ça augmente davantage notre appauvrissement et leur enrichissement, et tout ça, sur notre dos.
Et le docteur Mailloux, ainsi que Stéphane Gendron, Jeff Fillion, André Arthur et plusieurs autres sont là pour dénoncer cette corruption et nous protéger des cerveaux tordus.
Ne vous en déplaise!
Proulx, tu mélanges pas mal de choses. Tout d'abord, les types de médicaments. Il faut saisir la différence entre:
1- médicaments pour traitement essentiel (le patient risque la mort ou une dégradation importante de sa santé si le médicament n'est pas utilisé)
2- médicaments de prescription (condition médicale)
3- médicaments de prescription (circonstantiel)
4- médicaments en vente libre
Dans la catégorie #1, on peut inclure par exemple les médicaments anti-rejet, l'insuline, les traitements contre certaines maladies (paludisme), les antibiotiques, etc. Si le patient ne le prend pas, il risque la mort. Si le médicament n'existait pas, il serait même probablement déjà mort.
Dans la catégorie #2 se trouvent les médicaments prescrits pour contrôler diverses affections: le synthroïd pour la thyroïde, les médicaments pour contrôler la tension artérielle, le lithium, etc. Le patient qui omet de prendre ce médicament risque de voir sa qualité de vie se dégrader ou son espérance de vie diminuer rapidement.
Dans la catégorie #3 se trouvent les médicaments prescrits de manière circonstantielle pour des maux ou des situations spécifiques: mal de dos, migraine, pilule anticonceptionnelle, etc.
Et finalement, dans la catégorie #4, on trouve tous les médicaments et suppléments en vente libre: sirop pour la toux, analgésique, vitamines, pastilles, etc. Certains d'entre eux ont une importance capitale, comme par exemple le pedialyte, qui évite qu'un bébé qui a la gastro ne meurt déshydraté. D'autres sont moins essentiels.
Maintenant, regardons un peu qui a le contrôle dans chaque catégorie.
Dans la catégorie #1, il s'agit de médicaments utilisés à l'hôpital même ou bien prescrits dans le cadre de traitements d'importance critique. En général, la question ne se pose même pas. Si tu subis une greffe, tu devras prendre les médicaments A et B avant, puis les médicaments C, D et E ensuite.
Dans la catégorie #2, il est possible de critiquer certaines prescriptions mais bien franchement, n'oublions pas que le Canada est l'un des pays où il se prescrit le moins d'antibiotiques au monde. Les Français capotent quand ils ressortent de nos hôpitaux avec leur petit mal de gorge ordinaire et aucune prescription… sinon de dormir et de boire beaucoup d'eau! Quand on se compare au Mexique où la pénicilline est en vente libre sur étalage, aussi… ouch. Autant avoir des médecins qui agissent avec discernement.
La catégorie #3 résulte en quelque sorte d'une entente tacite entre patient et médecin. Tu as TOUJOURS le choix de prendre ou non la prescription, qui est justement… prescriptive. Mais certains médecins ont parfois la main dans le tiroir d'échantillons gratuits. Ça m'est arrivé deux fois de ressortir avec quelques p'tites boîtes d'un médicament donné par le médecin. Reste que tu n'en mourras pas si tu ne prends pas un anti-inflammatoire pour ton mal de dos ou un onguent pour ton eczéma.
La catégorie #4 touche à l'éducation médicale du grand-public. En général, les gens sont très mal éduqués et n'ont pas le réflexe de poser des questions aux pharmaciens. Ces derniers ont pour mandat de répondre à vos questions. Ils vont aussi vous décourager d'acheter des médicaments dont vous n'avez pas besoin. Mais bon… certaines personnes achètent des médicaments à la brouette. On ne peut interdire aux hypocondriaques de jouer leur jeu à fond.
Notons au passage que la publicité sur les médicaments est HYPER RÉGLEMENTÉE au Canada. Seuls les médicaments en vente libre peuvent être publicisés. Certains fabricants comme Pfizer contournent la loi en ne nommant pas leur médicament-vedette dans les pubs (les "lozanges bleus" par exemple!) mais en général, on ne peut pas dire que l'industrie nous bourre le crâne.
Ce blogue n’est pas un divan de psychiatre.
Et quand la réduction de la prescription d’anti-dépresseur est corrélé avec une hausse spectaculaire du taux de suicide, peut-on parler de surconsommation ?
Bon, nous sommes le christ maintenant…
Pour un type qui parle de laïcité c’est très rigolo tes analogies.
Le 20% des canadiens les plus riches au Canada paye 60% de l’impôt. Le riches ne volent personne, ils se font avoir.
Accusation ridicule et stupide faite sans la moindre preuve.
Si t’es pas content ne vas pas à la banque, personne ne t’y oblige.
Moi je n’ai JAMAIS acheté une garanti prolongé de ma vie et j’ai pas besoin du gouvernement pour me dire quoi acheter et comment.
C’est pas toi qui disait « le peuple = le christ » ?
Jeff Fillion est rendu gogauche ? Ha bon…
Je te proposerait bien d’aller devenir membre de Québec Solitaire mais je pense que tu es trop radicale pour eux. C’est une carte du parti communiste qu’il te faux.
Ma prescription pour JL proulx: