When it comes to getting the big picture right, when it comes to preparing for environmental catastrophes, economists have a better track record than the scientists who specialize in analyzing environmental trends.
Last week’s column about Bjorn Lomborg’s ideas for combatting global warming generated lots of angry comments, including the suggestion that Dr. Lomborg and I be fed to polar bears. I was more interested in what Seth Masia had to say about the Copenhagen Consensus, which is Dr. Lomborg’s project for bringing experts together to set priorities in tackling global problems:
The root problem with Lomborg’s consensus group is that it’s composed entirely of economists. Most of them have only a shaky understanding of climate science, and they base decisions on the idea that it’s possible to place a cash value on a human life.
Most of the economists who contributed to Lomborg’s books assume that climate change proceeds smoothly and gradually. Scientists know this is not the case: it proceeds in spikes and lulls.
Yes, Dr. Lomborg thinks like an economist instead of a climate scientist, and he doesn’t have a degree in climatology. Critics say his lack of climatological expertise makes him an unreliable guide for foreseeing the consequences of a warmer world, but I think these critics are ignoring history. They claim to be taking in the big picture, to be foreseeing great trends over the next century, but they’re missing one of the most valuable lessons from the past half century: when it comes to getting the big picture right, when it comes to preparing for environmental catastrophes, economists have a better track record than the scientists who specialize in analyzing environmental trends.
The classic example is the “population crisis” of the 1960s and 1970s, when biologists like Paul Ehrlich were convinced humanity was about to suffer massive famines and devastating shortages of energy and other resources because the growing population would exceed the planet’s “carrying capacity.” This concept seemed obvious to biologists who study ecosystems, but economists realized there’s a big difference between animals and humans: Humans are remarkably adaptable and creative. When confronted with shortages and environmental problems, they have a long history of coming up with solutions — new methods of farming, new and cheaper sources of energy, cleaner technologies — that leave them better off in an environment that’s less polluted.
When the economist Julian Simon pointed this out and predicted that humanity wouldn’t run out of food or energy or other resources in an article in the journal Science, the journal was widely criticized by ecologists and other scientists for publishing the work of an ignorant outsider. Paul Ehrlich and his wife, Anne, said that economists like Dr. Simon were members of a “space-age cargo cult.” Trying to explain to these economists that commodities must inevitably become more scarce and expensive, the Ehrlichs wrote, “would be like attempting to explain odd-day-even-day gas distribution to a cranberry.”
So Dr. Simon challenged the supposed experts to pick any resource that was going to become scarce, and offered to bet them it would instead be cheaper in the future. Dr. Ehrlich and two specialists in energy and natural-resource issues, John Harte and John Holdren, picked five metals and bet $1,000 in 1980. Ten years the supposed experts in natural resources had to pay up, because all five metals were cheaper, just as Dr. Simon had predicted. (You can read more about this in my New York Times Magazine article on the bet.)
I bring up this history not because global warming is an exact parallel to the past “crises” of food and energy that never arrived. In some ways it’s a much tougher problem because it doesn’t lend itself to neat market solutions. There could indeed be unexpected spikes that damage humans and ecosystems. But it’s worth remembering that specialists in the biological or physical sciences can be terribly short-sighted when imagining what problems will beset humans in the future. They can forecast how the physical world will change, but they’re not always accurate even at that, and they’re not not experts in analyzing human responses or in determining the policies that make the most economic and social sense.
Et ce sera quoi au juste pour ces économistes pour les prochaines années the big picture right to preparing for environmental catastrophes? Et que nous proposent ces économistes comme actions concrètent afin de mieux pouvoir nous prémunir de toute ces catastrophes, pour réduire les risques liés au changement climatique.
Et dommage que ces économistes ne sont pas très bavards sur les causes réels de ces catastrophes naturelles .
à toutes les « crises » depuis le début de l’humanité on entends dire: « Ce coup là, c’est la bonne »
J’attends toujours.
Très facile de répondre à cette question. Le pétrole et carburant fossile coûte cher. Les mesure de conservation d’énergie vont s’imposer d’elle-même.
Tout comme les progrès technologiques ont fait mentir Malthus, le Club de Rome et Paul Ehrlich.
Les écologistes, de tout temps, nous ont annoncé la fin du monde… On est encore en vie pour rire d’eux et réaliser qu’ils faut mettre un bémol à leurs prédictions…
L’année passé, on nous prévoyait la saison des ouragans la plus dévastatrice de l’histoire de l’univers. On a eu droit a une saison exceptionnellement calme.
P.S.: Essayes-tu de mettre sur le dos de l’homme les tremblements de terre, tsunamies et éruptions volcaniques ?
Non pas ceux la , mais de combien d’autres, désertifications , déforestations , destructions des écos systèmes , dégradation des sols de nos cours d’eau, et l’épuisements des océans ,dégradations de l’air ,les GES les pluies acide , ouragans , tornade , et tempêtes de plus en plus violente ,etc etc.
Et toi Essayes-tu de nous dire que l’homme n’est absolument pas responsable de la détoriation de son environnement et des catastrophes naturelles causés par ces activités humaines ?.
Parlons juste de la biodiversité qui se détériore a une vitesse qui devrais tous nous inquièter
.
La question c’est pas de vouloir , et pouvoir prédire la fin du monde,et de vouloir faire peur au monde, mais il faut au moins en prendre bien conscience,et prendre acte de nos agissements et des assumer pour pouvoir agir. efficacement .
Tiens, les économistes sont tellement formidables qu’ils peuvent prévoir l’avenir mieux que quiconque maintenant.
Tu crois vraiment ce que tu écris ou est-ce que tu trolls? Sérieux penses-y deux minutes.
Les économistes sont incapables de savoir le prix qu’atteindra le pétrole dans 2 mois, ou 2 ans. Sont incapables de prévoir la valeur qu’aura la monnaie américaine dans 2 mois ou 2 ans. Pourtant c’est leur champ de compétence.
Les économistes sont des Jojo Savard lorsque vient le temps de faire des projections que ce soit dans leur domaine ou dans un autre.
J’adore les gens qui font des commentaires mais qui n’ont même pas foutu de lire le billet avant de se faire aller la gueule…
Je cite TEXTO le billet:
« But it’s worth remembering that specialists in the biological or physical sciences can be terribly short-sighted when imagining what problems will beset humans in the future. They can forecast how the physical world will change, but they’re not always accurate even at that, and they’re not not experts in analyzing human responses or in determining the policies that make the most economic and social sense. »
C’est clair, t’as besoin de la traduction où d’un dessin ?
Tu considère les économiste comme des Jojo Savard ?
Très bien mais garde en tête que les écologiste sont encore pires:
« So Dr. Simon challenged the supposed experts to pick any resource that was going to become scarce, and offered to bet them it would instead be cheaper in the future. Dr. Ehrlich and two specialists in energy and natural-resource issues, John Harte and John Holdren, picked five metals and bet $1,000 in 1980. Ten years the supposed experts in natural resources had to pay up, because all five metals were cheaper, just as Dr. Simon had predicted. »
C’est amusant que tu parles de ça parce que les trucs comme la qualité de l’eau, de l’air, la couche d’ozone, les pluies acides sont des problème qui sont bien moins préoccupant qu’il y a 20 ans!
Bref, encore une fois tu cries à la fin du monde alors que c’est l’inverse qui se produit.
j’essaye juste de dire que les gens comme toi mentent pour essayer de nous faire croire que la fin du monde approche.
Parce quand tu essayes de nous faire croire que la qualité de l’eau ou de l’air est pire, c’est un mensonge méprisable.
Une autre connerie écologiste:
The rapidly industrializing America of 1900 predicting that all wild animals would be extinct by 2000.
Ce n’est pas l’écologie qui est mise en échec ici. L’écologie c’est l’étude des écosystèmes. c’est une science sérieuse et objective.
C’est l’environnementalisme en tant que doctrine politique et morale qui ne tient généralement pas la route. Nommons les choses par leur vrai nom.
Bref, les écologistes qui ont politisé leur science.
Tout à fait! Et leurs opposants, qui ont embarqué dans le ring. C’est le débat en entier qui est pourri.
Les opposants dénoncent cette politisation.
ici et ici .
L’économie est une science humaine et cela fait longtemps qu’elle est politisée. Vous avez un problème avec ça?
David va répondre oui, j’en suis sur. Car c’est connu, la science économique est une évidence mathémathique qui relève des lois naturelles de l’univers. N’est-ce pas?
Pour toi l'offre et la demande doit être une loi politisée… Ce n'est pas parce que scientifiquement l'économie a prouvé que le capitalisme était supérieur aux socialisme que l'économie est une science politisée.
Mais pour politisé ou pas, je répète que les économistes ont eu le dessus à de nombreuses reprise sur les environnementalistes.
Euh David,
peut importe ce que je pense. Le fait est que les économistes sont absolument incapables de prédire quoi que ce soit qui relèvent pourtant de leur propre champ de compétence. Que ce soit à court où à long terme.
Libre à toi de de croire aveuglément à leur science. Tu as trouvé ta religion, tant mieux pour toi. Continue ton prosélytisme, tu es talentueux.
C’est absolument faux.
“So Dr. Simon challenged the supposed experts to pick any resource that was going to become scarce, and offered to bet them it would instead be cheaper in the future. Dr. Ehrlich and two specialists in energy and natural-resource issues, John Harte and John Holdren, picked five metals and bet $1,000 in 1980. Ten years the supposed experts in natural resources had to pay up, because all five metals were cheaper, just as Dr. Simon had predicted.”
C’est toi qui a une attitude religieuse, c’est toi qui refuse de voir les faits: que les économistes, malgré tout ce que tu peux leur reproche, ont un bilan supérieur à celui des écologiste.
“But it’s worth remembering that specialists in the biological or physical sciences can be terribly short-sighted when imagining what problems will beset humans in the future. They can forecast how the physical world will change, but they’re not always accurate even at that, and they’re not not experts in analyzing human responses or in determining the policies that make the most economic and social sense.”
Refuser d’admettre ce fait, voilà une preuve d’esprit obtus qui refuse d’admettre les faits.
Ma religion, ce sont les faits. La tiennent n’en tient tout simplement pas compte.
Bon, je vais prendre l’extrait que tu me balances et je vais juste changer quelque mots.
“But it’s worth remembering that economist can be terribly short-sighted when imagining what problems will beset humans in the future. They can’t forecast how the economical world will change, and they’re not experts in analyzing human responses or in determining the policies that make the most economic and social sense.”
Tu vois, ce que tu considèrent des « faits » sont des opinions.
Désolé, mais dans ce billet tu fait du prosélytisme, pas très subtil d’ailleurs. Je peux pas croire que tu n’est pas assez intelligent pour t’en rendre compte.
Ceci dit sans animosité.
Wow…
Donc le paris gagné par les économiste sur les écologiste c’est une… opinion ???
Toutes les fois ou des écologistes ont prédits une fin du monde ne s’étant jamais produite c’est une… opinion ???
“But it’s worth remembering that economist can be terribly short-sighted when imagining what problems will beset humans in the future. They can’t forecast how the economical world will change, and they’re not experts in analyzing human responses or in determining the policies that make the most economic and social sense.”
T’as pas réalisé mais cette affirmation est basé sur toute une série de faits. C’est basé sur toutes les fausse catastrophe prédites par les écologistes alors que c’était les économistes qui ont eux les bonnes prédictions.
Bon dieu, que c’est difficile de déprogrammé quelqu’un de sa foi (surtout si elle est nouvelle comme c’est ton cas). Les économistes ne sont pas devins, pas plus que les écologistes ou que les journalistes.
C'est toi qui nie les faits et la réalité…
Et tu nies encore, malgré les faits, que les économistes ont un dossiers plus reluisant que les écologistes.
C'est toi mon vieux qui ne veut pas être déprogrammé et qui continues à nier les faits.
Autrement, dépêches toi d'écrire au New York Times pour leur dire qu'ils se trompent.
Clopp = mauvais perdant. Ta secte d’écologistes ont prouvé qu’ils étaient passé maître dans l’art de dire n’importe quoi. Les économistes sont ceux avec la meilleure moyenne au bâton.
Depuis le passage de clopp, faudrait écrire:
Économie 2, Écologie 0
Les écologistes sont pas politisé, ils sont une religion. Au fait ils me font passer aux témoins de Jéhova qui prédisent la fin du monde.
Après bombe humaine (la surpopulation), le péril nucléaire, le trou dans la couche d’ozone, les pluies acides voici le réchaufment global.
http://www.religioustolerance.org/end_wrl2.htm
ce qui est drole avec les environnementalistes, c’est que pour eux, à chaque problème, la planète est sur le moins d’être détruite à jamais par l’action humaine…
Ils voient la Terre comme un paradis static et ils sous-estime ses capacités d’adaptation, de mouvement, de changement. La terre peut s’adapter à tout ou presque tout… ca s’appelle l’évolution !
Faux. On ne parle pas de météo ici.
Tout comme la trajectoire des astéroïdes ou la turbulence locale des fluides, l’économie est un système chaotique MAIS statistiquement prévisible. Mieux encore, cette prévisibilité est quantifiable. Donc on peut calculer précisément les « zones de confiance » et prévoir certains paramètres, certains comportements.
Je n’entrerai pas dans les détails, car c’est complexe, mais même les relations complexes qu’on trouve dans la nature comme les équilibres prédateur-proie peuvent être décrites par des équations chaotiques (ex: l’équation dite « application logistique »).
Je vais rassurer tout le monde ici. La vie sur terre est là pour rester, Y’a des insectes qui survivent dans la glace, y’en a d’autre qui vivent presque dans les volcans, peut importe ce qu’on fait avec cette planète, pour peu qu’on la fasse pas littéralement éclater en mille miettes, la vie sur terre va continuer. La survie de la race humaine, c’est autre chose…
Ce que les économistes ont compris, c’est que le monde se comporte comme un système qui est capable de s’auto-balancer. Peut-être que nous (percevons) vivre des changements environementaux hors du commun, mais l’ingéniosité humaine fera en sorte que des solutions seront trouvés en temps et lieu. Et ces changements peuvent être radicaux. Ma prédiction: dans l’espace de 20 ans la majorité des automobiles dans les pays industrialisés seront électriques et nous ne serons plus dépendants sur les réserves pétrolières; s’en suivera une période ou le niveau de polution dans l’air diminuera de façon significative. Le problème avec les environmentalistes, c’est qu’ils prennent un élément et semment la panique en supposant que toutes les autres variables resteront statiques…ce qui est une erreur…
Débat enfantin du style mon père (l’économiste) est plus fort que le tien (l’écologiste) (dans ce cas ci on pourrait dire mon père à plus raison que le tien). Ce qui ne fait pas de sens dans ce billet c’est l’idée de vouloir opposer l’économie et l’écologie. C’est encore une fois une question d’équilibre, ni l’économie ni l’écologie ne sont des sciences exactes, par contre, il est ridicule de croire que la vérité absolue se retrouve dans l’une ou dans l’autre. Il faut en prendre et en laisser, il faut être capable de faire la part des choses. Ces sciences peuvent être élevées au rand de dogme lorsque l’humain remet sa foi dans les mains d’un courant de pensée en faisant l’erreur de croire que les réponses apportées seront valides et fiables 100% du temps. J’ai autant de mépris pour un écolo qui croit 100% de la propagande de Greenpeace que pour certains (David) qui croit 100 % de la propagande « libertarienne ».
Un autre qui fait un commentaire mais qui n'a pas été foutu de lire le billet:
"I bring up this history not because global warming is an exact parallel to the past “crises” of food and energy that never arrived. In some ways it’s a much tougher problem because it doesn’t lend itself to neat market solutions. There could indeed be unexpected spikes that damage humans and ecosystems. But it’s worth remembering that specialists in the biological or physical sciences can be terribly short-sighted when imagining what problems will beset humans in the future. They can forecast how the physical world will change, but they’re not always accurate even at that, and they’re not not experts in analyzing human responses or in determining the policies that make the most economic and social sense."
C'est plus clair où tu veux la traduction ?
Je veux bien la traduction car ce que tu soulignes ne supporte aucunement le libéllé de ton billet.
Effectivement, si il n’y avait pas de scientifiques pour dénoncer le réchauffement de la planète et ses impacts sur la survie de notre système économique/social/environnemental, le marché n’aurait pas l’information nécesssaire pour s’autoréguler et pour ajuster ses politiques. Bref, sans l’existence des écolos, les éconos pourraient difficilement intégrer la dimension verte dans l’économie (à part pour ce qui est des ressources limitées –> pétrole). Ce biais augmenterait ainsi le risque de mener le système en déroute.
Un petit rappel: Le développement durable se détaille sous trois volets, soit l’environnemental, le social et l’économique. Ces trois dimensions complémentaires et interdépendantes doivent être considérées pour assurer un développement viable et « durable » de notre société. (voir les traités de Stockholm, Rio et Johannesburg)
Je proposerais plutôt comme titre:
Écologie 1, Économie 1,
Ce qui serait faux en considération des faits car précisément, les écolos se distinguent par l’inexactitude de leur prédiction apocalyptique.
Le titre du billet dit que les économiste ont eu le dessus dans leur prédiction, ce que le billet explique.
Dis-mois, tu sais lire l’anglais ?
Tout a fait d’accord avec vous EtienneL
Le titre du billet dit que les économiste ont eu le dessus dans leur prédiction, ce que le billet explique.
Ce qui est absurde c’est de vouloir opposer l’économie et l’écologie. C’est une manière contre-productive de faire évoluer le débat sur l’équilibre précaire entre l’économique et l’écologique.
Ce qui est absurde c’est la rectitude politique qui empêche de dire que les écologistes ont un dossier terrible au chapitre de leur prédiction.
Un titre absolument ridicule quand on sait que depuis Malthus c’est l’économie qui corrige les erreurs des écologistes.
non seulement on est meilleurs que les écologistes, mais en plus on est pas mal plus cool, avouons-le
Doublon. Voir le prochain message.
@economizt,
je ne suis pas certain de la portée du « nous » que tu utilises. Je ne suis pas environnementaliste car je suis sceptique face aux idéologies et je ne milite pas; je ne suis pas écologiste car c’est une profession de recherche fondamentale, demandant une formation en science. Je suis relativement optimiste face à l’évolution des technologies, mais je demeure pessimiste quand je vois certains indicateurs.
Nos voitures sont 10x moins polluantes que celles des années 1960. Volvo et d’autres constructeurs annoncent même des voitures de série consommant 1 litre / 100 km pour 2008-2010. Il ne s’agit pas de voitures faussement vertes et coûteuses comme la Prius, mais bien d’une solution sensée et abordable. On voit immédiatement l’argument de vente et si le modèle est bon, ça sera un immense succès auprès des consommateurs. Et une amélioration rapide de la qualité de l’air dans les villes.
De même, d’autres industries font des progrès. Mon pessimisme malthusien demeure, mais il faut voir les bons coups quand il y en a.
Maintenant, le jour où on proposera une autoroute de ceinture autour de Montréal, permettant au camionnage longue-distance d’éviter d’engorger le centre-ville, je considérerai que les écolos et les économistes auront réussi à s’entendre.