Les sweatshops ont mauvaise presse. Ces manufactures sont considérées par la gauche comme étant le summum de l'exploitation. Il est évident que selon des standards occidentaux, les salaires des sweatshops sont affreusement bas mais… pour un pays en voie de développement, les sweatshops c'est de l'or en barre !

Dans les sweatshops du Nicaragua, une semaine de travail de 9,1 heures est suffisante pour obtenir l'équivalent du salaire hebdomadaire moyen. Un Nicaraguayen faisant une semaine de travail de 60 heures aura un salaire correspondant à 650% du salaire moyen !
En Chine, une semaine de 60 heures assure un revenu 2 fois plus élevé que la moyenne nationale.
Au Honduras le salaire quotidien dans les sweatshops est de 13,10$ alors que 44% de la population vit avec moins de 2$ par jour.
Lutter contre les sweatshops c'est condamner les gens à la pauvreté. Lutter contre les sweatshops, c'est lutter contre un outil de développement qui permet d'augmenter significativement le niveau de vie des gens. Lutter contre les sweatshops, c'est lutter contre un passage obligé vers la prospérité. L'occident n'exploite personne en achetant les produits des sweatshops. Au contraire, nous donnons aux pays en voie de développement un moyen de créer de la richesse.
Rappelons qu'en une génération, Taiwan est passé des sweatshops à la fabrication d'ordinateurs !
Source:
Sweatshops and Third World Living Standards: Are the Jobs Worth the Sweat? (Journal of Labor Research; Volume XXVII, Number 2 Spring 2006)
Depuis le 18e siècle, le textile est toujours la porte d’entrée de la prospérité.
C’est un peu le berceau d’une économie en développement.
À ceux qui disent vouloir garder le textile au Québec, je répond: vous ne trouvez pas qu’on a dépassé depuis longtemps l’âge du berceau ?
Le problème avec la gauche, c’est qu’elle est idéaliste. Pour les gauchistes, il est complètement injuste qu’une personne dans le tiers-monde ne gagne pas le même salaire que quelqu’un en Occident. Après tout, ne devrait-on pas suivre le principe selon lequel à travail égal, salaire égal? Il est pourtant facile de constater que les sweatshops améliorent le niveau de vie de bien des populations. Mais la gauche, qui croit détenir la vérité absolue, est incapable de pragmatisme.
Pendant que les travailleurs détruisent leurs santé précaire pour une misère, Israel se prépare encore à une violente offensive contre les résistants arabes en Syrie. Le capital Judéo-Américain n’en a pas assez d’extirper des profits faramineux sur le dos de travailleurs désoeuvrés; ils faut utiliser les profits pour nourrir le complexe militaro-industriel qui, depuis la disparition de l’ennemi soviétique, n’a plus que les « sales arabes » comme cible – que ce soit directement avec l’armée américaine ou indirectement via l’entitée zioniste. Un Québec indépendant, solidaires, qui n’opprimerait pas ses travailleurs et ses syndicats, aurrait une voix internationale pour dénoncer ces fléaux modernes et établir aux nez des américains, à leur frontiere, un état juste et empathique.
Wow, t’as vraiment passé trop de temps au cégep, toi !
Et voilà, j’ai encore appris quelque chose qui n’était pas dans le journal. Pendant que les médias se battent pour mettre un micro sous la gueule de Kadhir, on oublie de parler du plus important.
Selon The Economizt, l’inflation verbale dans les courants anti-américains aurait atteint 27% cet année. Seul le taux d’inflation vénézuelien arrive à faire pire.
Faut vraiment que la Banque Centrale de l’Office de la Langue Française augmente les taux.
…et qui dit inflation verbale dit perte de valeur… et de crédibilité 😉