South Park sont très adroits pour faire valoir ce genre d’absurdité sociale. C’est fou comment une simple parodie peut parfois être plus claire qu’une longue explication pédagogique…
Le plus ironique là-dedans, c’est que les premiers à bénificier des bas prix de la marchandise offerte chez Wal-Mart, eh bien ce sont justement les pauvres.
Le plus bel exemple de self-control, comme il est dit dans ce sketch, c’est l’Allemagne. Les Allemands n’aimait pas Wal-Mart, il n’y allait pas et Wal-Mart a fermé tout ses magasins du pays.
C’est ce qu’on appel économie 101, la preuve que si les gens n’aimait pas ça, Wal-Mart partirait.
Et il se passe quoi maintenant au juste au pays du royaume du libre échange , et le modèle et exemple a suivre, pour toutes les autres grande démocraties du monde ?
Et pis de ça non plus on n’as pas fait une grande manchette dans nos médias.
ÉTATS-UNIS • De plus en plus d’Américains sombrent dans la misère Entre 2000 et 2005, le nombre de personnes vivant largement en dessous du seuil de pauvreté a augmenté de 26 %.
Le pourcentage d’Américains vivant en dessous du seuil de pauvreté a atteint son maximum en trente-deux ans. Des millions d’Américains actifs sont de plus en plus acculés à la misère, tandis que le gouffre entre les « nantis » et les « démunis » ne cesse de se creuser.
Le groupe de presse McClatchy Newspapers a analysé les derniers chiffres disponibles, ceux du recensement de 2005, et est arrivé à la conclusion que près de 16 millions d’Américains vivent aujourd’hui largement en dessous du seuil de pauvreté. Le nombre d’Américains gravement défavorisés a augmenté de 26 % entre 2000 et 2005, et cette hausse ne se limite pas aux comtés très urbanisés, elle touche également les banlieues et les zones rurales.
Quarante-six pour cent des 37 millions de pauvres que comptent les Etats-Unis se sont ainsi retrouvés poussés en dessous du seuil de pauvreté, soit le taux le plus élevé depuis 1975. Ce pourcentage a progressé lentement mais de façon constante au fil des trente dernières années. Toutefois, depuis 2000, le nombre de gens vivant dans la misère a crû « plus qu’aucun autre segment de la population », selon une étude récente publiée dans The American Journal of Preventive Medicine. « C’est exactement à l’opposé de ce que nous avions prévu quand nous avons commencé », déclare le docteur Steven Woolf, coauteur de l’étude. « Ce n’est pas la pauvreté modérée qui a progressé au sein de la population, mais la misère qui affiche l’évolution la plus catastrophique. »
Les Etats-Unis affichent également l’un des plus forts taux de pauvreté infantile, d’après la Luxembourg Income Study, un projet qui, depuis vingt-trois ans, compare les chiffres de la misère dans 31 pays développés. « C’est une honte », s’insurge Timothy Smeeding, ancien responsable de cette étude et actuel directeur du Centre de recherche politique de l’université de Syracuse. « Chaque année depuis que nous avons entrepris cette étude, nous avons été la lanterne rouge. »
Enfin, à l’exception du Mexique et de la Russie, ce sont les Etats-Unis qui consacrent le plus faible pourcentage de leur produit intérieur brut à des programmes fédéraux de lutte contre la pauvreté. Du reste, toujours selon cette étude, les programmes américains comptent parmi les moins efficaces. Une fois encore, seuls la Russie et le Mexique font pire.
Avouons que le paradoxe a de quoi surprendre : l’accroissement de la richesse engendre celle de la pire pauvreté.
Compte rendu de la soirée du 29 septembre 2001 avec Guy Millière.
Lumières Landaises n° 41.
L’exposé de Guy Millière était divisé en deux parties. Dans la première, il a analysé les méthodes utilisées pour faire croire qu’il y a plus de pauvres aux États-Unis qu’en France, puis il a expliqué quels étaient les vrais pauvres, aux États-Unis, combien ils étaient, et comment ils vivaient.
Ceux qui prétendent qu’il y a plus de pauvres aux États-Unis qu’en France définissent comme pauvres les personnes dont le revenu est inférieur à la moitié du revenu médian. (Le revenu médian est celui pour lequel il y a autant de personnes qui touchent plus que ce revenu, que de personnes qui touchent moins). Bien que très utilisée, cette définition, dite « relative », est absurde, car elle conduit à avoir un pourcentage à peu près constant de pauvres dans chaque pays, au fil des années, quelle que soit l’élévation des niveaux de vie, et elle ne permet pas de comparer les niveaux de vie effectifs des pauvres d’un pays à l’autre[1].
La définition officielle de la pauvreté aux États-Unis est une définition dite « absolue »: est pauvre celui dont le revenu est inférieur à 3 fois le coût de la ration alimentaire nécessaire pour vivre. Un seuil particulier est calculé pour chaque famille en fonction de sa composition. En 1997, cela donnait 4450 francs par mois pour un individu vivant seul et 8920 francs pour une famille de 4 personnes. Cela concernait environ 39 millions de personnes, soit 15% de la population.
Mais ce que les critiques de la société américaine ne savent pas, ou ce qui est plus grave, oublient de dire, c’est que si l’on est dans cette catégorie, on reçoit, en plus de son revenu, des aides sociales au moins aussi considérables qu’en France. On a droit aux « food stamps », ou bons d’achat de nourriture, valables chez tous les commerçants. On reçoit aussi une aide au logement, une subvention sous forme « d’impôt négatif », et l’aide médicale.
Le cliché bien connu du pauvre américain qui est jeté à la porte de l’hôpital parce qu’il n’a pas de quoi payer est une abominable diffamation, qui résulte soit d’une ignorance crasse, soit d’une inqualifiable mauvaise foi. Les pauvres qui répondent à la définition officielle ci-dessus, soit donc environ 39 millions de personnes, sont couverts par une assurance fédérale appelée Medicaid, et 38 millions de personnes agées de plus de 65 ans sont couvertes par le Medicare. Ces prises en charge couvrent les consultations, les médicaments, les soins dentaires, et bien entendu les hospitalisations.
En réalité, grâce à toutes ces aides, la plupart des « pauvres statistiques » aux États-Unis vivent dans des conditions de confort inconnues chez les pauvres français : en 1997 40% possédaient leur logement, 70% avaient une voiture, 97% la télévision en couleurs, et les deux tiers avaient chez eux l’air conditionné.
De plus, le seuil de pauvreté est défini au niveau national. Or si vous achetez une maison de quatre pièces cuisines à Los Angeles, vous la payez 200 000 dollars. Si vous l’achetez à Kansas City, la même maison vous coûte seulement 40 000 dollars. Vous pouvez donc posséder une maison avec jardin, piscine, climatisation et deux garages à Kansas City et néanmoins toucher une aide sociale du gouvernement fédéral parce que la pauvreté est calculée au niveau fédéral, et non au niveau de l’État du Kansas.
Qui sont donc les vrais pauvres aux USA? Contrairement à la France, ce ne sont pas des chômeurs à la recherche d’un emploi, car depuis des années, il n’y a plus de chômage aux États-Unis : toute personne qui cherche un emploi le trouve, quelle que soit son origine sociale, son pays d’origine, où la couleur de sa peau. Les sans travail sont des personnes qui n’ont plus assez de ressort pour chercher du travail, soit parce qu’elles font de la dépression, soit parce qu’elles ont des problèmes de drogue ou d’alcoolisme, ou des déficiences mentales légères. Autrefois ces dernières auraient vécu dans des asile d’aliénés. Depuis une quarantaine d’années, la tendance a plutôt été de faire quitter les hôpitaux psychiatriques à tous ceux qui ne présentaient pas de danger pour la Société.
Ces personnes sont au nombre d’environ 700 000. Vous les voyez facilement, car elles se regroupent dans certains quartiers du centre des grandes villes, tout particulièrement New York, Washington, Los Angeles, San Francisco, Miami. Cela tient à ce qu’il y a dans ces endroits des institutions caritatives particulièrement actives, et des systèmes d’aide sociale développés.
Ce qui fait l’humanité d’une société, c’est qu’on n’y laisse tomber personne, où plus précisément qu’on tend la main à celles qui sont tombées. Le système compassionnel américain est beaucoup plus étendu que le système français, et il est beaucoup mieux réparti entre la « solidarité publique » et la compassion privée. Beaucoup plus de gens qu’en Europe donnent leur temps ou leur argent à des associations caritatives, et ils y sont encouragés par des exemptions fiscales beaucoup plus incitatives. Les églises, elles aussi, quelles que soient leur dénomination, sont très actives socialement. Tout don à de telles associations ou aux églises sont complètement déductibles du revenu imposable.
La pauvreté a toujours été le phénomène dominant sur toute la terre, et elle l’est encore sur une grande partie de la planète. Ce qui est nouveau dans l’histoire de l’humanité, c’est l’émergence de sociétés capables de créer la prospérité pour le plus grand nombre : les sociétés dites capitalistes. Ce que l’on a appris aux États-Unis, c’est qu’on ne doit pas devenir riche en prélevant sur les autres, ou en travaillant moins, mais en créant de la richesse, en travaillant plus ou mieux, en favorisant l’esprit d’entreprise. Aussi il y a de plus en plus de riches aux États-Unis, mais il y a aussi de moins en moins de pauvres.
La lutte contre la pauvreté qui se pratique aux États-Unis ne consiste pas à aider les pauvres de façon à les laisser pauvres, mais de leur donner les moyens matériels et moraux de sortir de la pauvreté. Et ceci ne peut se faire qu’individu par individu, en agissant au plus près de l’individu. Ceci ne peut être accompli par une administration. C’est le sens du « conservatisme compassionnel » de Georges Bush, raillé en France, mais parfaitement compris aux États-Unis.
Guy Millière raconte que ce qui stupéfie le plus les amis Français qu’il a reçus chez lui en Californie, est ceci : là bas, vous pouvez rencontrer des gens qui paraissent dans la déchéance la plus complète, et si vous parlez assez longuement avec eux pour inspirer leur confiance, qui vous diront « je sais que je suis tombé dans la déchéance, mais je sais que c’est de ma faute : c’est parce que j’ai eu des problèmes d’alcoolisme (ou de drogue, etc.), mais j’ai l’intention de m’en sortir. Vous me donnez un dollar, je ne vais pas le boire, je vais le mettre dans une boite, et quand j’en aurai mille, je le mettrai à la banque, et quand j’en aurai dix mille j’achèterai un camion, et j’essaierai de remonter ma propre entreprise ». C’est un langage que lui-même a entendu quatre ou cinq fois cette année même à Los Angeles. C’est une mentalité qui a commencé à se développer pendant les années Reagan, faisant suite à « la lutte contre la pauvreté » des années Johnson, qui a consisté à distribuer de l’argent sans discrimination, avec des effets pervers inattendus : par exemple la multiplication des filles mères et des paresseux vivant à leur crochet.
Les antiaméricains, si nombreux en France, relèvent le fait que les riches américains deviennent de plus en plus riches. C’est parfaitement vrai, mais ils oublient de dire qu’il y a de plus en plus de riches. Ils oublient de dire qu’ils ont obtenu cette richesse non pas en exploitant les pauvres, comme le croient les marxistes, mais en créant cette richesse. L’Amérique est une immense machine à fabriquer des riches, y compris chez les pauvres. La majorité des personnes qui sont riches aujourd’hui sont des personnes qui ont fait fortune, dans l’informatique, les télécommunications, les biotechnologies, la biologie médicale, etc. Ce sont des gens qui ont créé des champs entièrement neufs de la connaissance, et qui ont apporté à l’humanité des richesses considérables, sans aucune commune mesure avec ce qu’ils ont gagné eux-mêmes, qui ont amélioré les niveaux de vie, la santé, la longévité, facilité les communications entre peuples, et créé des millions d’emplois. En France, notre Société politico-administrative d’envie et de ressentiment, loin de faciliter l’émergence de tels créateurs de richesses pour tous, leur rend la vie si difficile qu’ils préfèrent partir aux États-Unis.
Guy Millière affirme que chaque fois qu’il traverse l’Atlantique (il le fait plusieurs fois par an), il est surpris de constater la différence de ressentiment qui existe de part et d’autre. En France, le ressentiment est entretenu par divers partis et divers media. Aux États-Unis, lorsqu’une personne peu fortunée passe devant une très belle maison, elle ne maugrée pas contre les inégalités sociales, mais dans la majorité des cas elle se dit : « si je travaille dur et si j’arrête de gaspiller ce que je gagne, moi aussi, un jour, je pourrai vire dans une maison comme ça ».
Cette différence de mentalité et de comportement explique la différence de prospérité entre les deux pays, et cette différence de comportement n’est pas un vain mot. Si l’on s’intéresse non plus au nombre de pauvres à un instant donné, mais aux individus qui composent cette population, on s’aperçoit que la plupart ne restent pas pauvres indéfiniment. Si l’on prend la définition américaine, (celle qui donne 15% de pauvres), un peu plus de la moitié des gens qui la composent en sortent au bout d’un an, 70% au bout de deux ans. Seuls 17% y figurent encore au bout cinq ans!
En fait, le facteur majeur des inégalités est l’âge. Les revenus les plus bas sont ceux des étudiants qui travaillent un peu pour contribuer aux frais de leurs études et à leur entretien (il y en a beaucoup plus qu’en France), ou les jeunes en début de carrière, et ce sont les mêmes que l’on retrouve plus tard dans les hauts revenus. Aux États-Unis, il n’y a pas deux strates figées, les riches et les pauvres, qui s’observent en chiens de faïence. Il y a une immense catégorie, les jeunes et les immigrants, qui entrent dans la vie active avec de faibles revenus, mais peuvent progresser sans limites sur la voie de la prospérité.
[1] C’est pourtant le critère utilisé par la revue « Alternatives Economiques », qui dissimule derrière un appareil statistique biaisé mais qui fait sérieux, une idéologie fortement marxisante et antiaméricaine. Ainsi cette revue indique qu’il y a environ 20% de gens au dessous du seuil de pauvreté aux États-Unis et 12% en France, mais elle se garde bien d’indiquer les niveaux de vie correspondants. Or la consommation moyenne (et non le seuil), par personne, (et non par foyer) des 20% de la population qui consomment le moins est supérieure à 120 000 francs par an, soit 10 000 francs par mois! En France, la moyenne des consommations des 12% les plus pauvres est inférieure à 3500 francs par mois (NDLR).
Et il se passe quoi maintenant au juste au pays du royaume du libre échange , et le modèle et exemple a suivre, pour toutes les autres grande démocraties du monde ?
Par quel artifice mathématique au juste tu peux juger du « libre-échange » en te basant uniquement sur les USA ???
Les sans travail sont des personnes qui n’ont plus assez de ressort pour chercher du travail, soit parce qu’elles font de la dépression, soit parce qu’elles ont des problèmes de drogue ou d’alcoolisme, ou des déficiences mentales légères. Autrefois ces dernières auraient vécu dans des asile d’aliénés. Depuis une quarantaine d’années, la tendance a plutôt été de faire quitter les hôpitaux psychiatriques à tous ceux qui ne présentaient pas de danger pour la Société.
Vous avez pas compris l’ampleur du désastre on ne parle même plus de pauvreté , mais bien de misère .
Et c’est 16 millions d’Américains qui vivent aujourd’hui largement en dessous du seuil de pauvreté. Et demain ça sera combien ?
Le pauvre a un travail avec un salaire munimum ,et condition de travail plus que minimum et se démènent comme un con juste pour se garder la tête au dessus de l’eau.
Et pour la misère .
Une définition simple et clair .
misère:
(nom féminin)
Etat malheureux.• Manque des ressources nécessaires à la vie.
Et c’est malheureux que les USA ne veulent pas suivre l’exemple de la Suède qui elle dans son modèle de société d’État providence ne laisse pas personne dans la rue .
Vous avez pas compris l’ampleur du désastre on ne parle même plus de pauvreté , mais bien de misère .
Et c’est 16 millions d’Américains qui vivent aujourd’hui largement en dessous du seuil de pauvreté. Et demain ça sera combien ?
16 millions sur 300 millions ça bien bien juste 5%… Et moi je suis sur que beaucoup de français échangerait la misère de leur cité pour la misère américaine…
Hahaha. Trop drôle! J’aurrais jamais cru que south park appuyerais une thèse communiste (que le capitalisme mène obligatoirement au monopolie)
Hahaha. Trop drôle ! L’histoire nous prouve que le communisme est le paroxisme du monopole… en plus de mettre tout le monde « également » pauvre. Et y a un comique qui blâme le capitalisme pour ses monopoles. C’est sûrement dû à l’ignorance de ce qu’est le capitalisme et/ou le communisme. Moins d’État, mois de monopole. Mais ça, c’est trop difficile à concevoir pour certaine personne.
Y a rien de personnel, mais parfois, je paierais bien un aller-simple à Cuba à quelques-uns….
misère:
(nom féminin)
Etat malheureux.• Manque des ressources nécessaires à la vie.
C’est faux, la définition de la deep poverty est moins de 40% du revenu médian d’après les auteurs de l’étude.
Comme le souligne Guy Millière, définir la pauvreté par le revenu n’a pas vraiment de sens puisque tout dépend de ce que l’on peut acheter avec son revenu.
Qualifier de pauvre une personne ayant un bon niveau de vie est une imposture de plus de la part de l’escroquerie marxiste. Par contre, Wal-Mart qui fait baisser les prix est un excellent outil de lutte contre la pauvreté.
selon une étude récente publiée dans The American Journal of Preventive Medicine.
C’est une source crédible, à quand un article publié dans la revue des éleveurs de caniches nains membres de la mafia de Broolyn pour prouver la supériorité du goulag communiste.
Hahaha. Trop drôle ! L’histoire nous prouve que le communisme est le paroxisme du monopole… en plus de mettre tout le monde “également” pauvre. Et y a un comique qui blâme le capitalisme pour ses monopoles. C’est sûrement dû à l’ignorance de ce qu’est le capitalisme et/ou le communisme. Moins d’État, mois de monopole.
Par contre, Wal-Mart qui fait baisser les prix est un excellent outil de lutte contre la pauvreté.
C’est faux.
Une étude du cabinet indépendant Global Insight montre que sur la période 1995-2004, le groupe Wal-Mart a freiné les salaires de 2,2 %
Alternatives économiques, n° 155, janvier 1998 (extrait).
Le notion de seuil de pauvreté existe depuis longtemps aux Etats-Unis : pour un ménage, tomber en dessous de ce seuil, déclenche en effet l’attribution de bons de nourriture ou la prise en charge des dépenses de santé par la collectivité. Ce seuil est mesuré à partir du prix d’un panier de biens et de services censés représenter le minimum vital américain. Actuellement, 33 millions de personnes (13,7% de la population) disposent d’un pouvoir d’achat inférieur à ce seuil dans ce pays.
La pauvreté humaine dans les pays riches.
Sur les 17 pays développés classés par le Programme des nations unies pour le développement (Pnud). L’organisation internationale a en effet mis au point un indicateur de pauvreté humaine (IPH), qui intègre les revenus ainsi que d’autres éléments des conditions de vie. Cet indicateur comprend la proportion de pauvres, mais aussi la probabilité de décéder avant 60 ans (indicateur de santé), les difficultés à comprendre un texte écrit (indicateur d’accès à l’enseignement) et le chômage de longue durée.
Le sénateur démocrate Edward Kennedy lui parle de lutte contre le gonflement des rangs des « working poors », ces Américains qui vivent en-dessous du seuil de pauvreté bien qu’ils détiennent un emploi.
Bon bon bon. Il y aura toujours un droit inaliénable pour l’employé : aller travailler ailleurs. S’il est obligé de conserver cet emploi inhumain, imaginez sa condition si de tels emplois n’étaient pas disponibles…
Aller travailler ailleurs ».un peu méprisant cette remarque. et pour aller où ?
Wal-Mart pèse si lourd qu’il contraint nombre d’entreprises américaines à s’aligner sur ses pratiques sociales et commerciales, sous peine de n’être plus compétitives. En un mot, les gens de Bentonville tirent vers le bas la qualité de vie des Américains.
»Vivian Forester, elle, croit qu’à la crainte d’être exploité succède la hantise de ne même plus être exploitables.
Une étude du cabinet indépendant Global Insight montre que sur la période 1995-2004, le groupe Wal-Mart a freiné les salaires de 2,2 %
Et ils font comment la différence entre Wal-Mart et le contexte économique mondiale ?
Et les USA se classe bon dernier !
C’est normal, les USA ne sont pas des « égalitaristes ».
J’aime mieux un pays avec de grands écart entre les riches et les pauvres mais où n’importe qui peut devenir riche qu’un pays qui te condamne à être dans la moyenne.
Par contre, Wal-Mart qui fait baisser les prix est un excellent outil de lutte contre la pauvreté.
C’est faux.
Une étude du cabinet indépendant Global Insight montre que sur la période 1995-2004, le groupe Wal-Mart a freiné les salaires de 2,2 %
Ce n’est pas ce que dit l’étude qui affirme le contraire (je n’ai pas le temps de la lire en détail): http://www.globalinsight.com/gcpath/Wal-Mart_June_2006.pdf (page #28)
By 2004 the cumulative impact of Wal-Mart was:
– 3.1% lower CPI
– 2.2% lower nominal income
– 0.9% higher wages
– 210,000 jobs
– 1.3% higher total real disposable income
– Unemployment rate 0.14 points lower
Cela démontre que Wal-Mart fait baisser la pauvreté
p #34
Salaries Higher
• Mostly Due to 4% Lower Prices
• Portion of Disposable Income
Freed Up to Be Spent on Other
Goods and Services
Hahaha, très bonne trouvaille!
South Park sont très adroits pour faire valoir ce genre d’absurdité sociale. C’est fou comment une simple parodie peut parfois être plus claire qu’une longue explication pédagogique…
hahahaha, South Park!!!
Ils ont créé des petites perles d’émissions depuis la saison 7-8!
L’épisode à propos des caricatures de Mahomet et Familly Guy est aussi vraiment bien.
Bel exemple de la haine innée qu’on les gens pour les grosses entreprises.
Le plus ironique là-dedans, c’est que les premiers à bénificier des bas prix de la marchandise offerte chez Wal-Mart, eh bien ce sont justement les pauvres.
Le plus bel exemple de self-control, comme il est dit dans ce sketch, c’est l’Allemagne. Les Allemands n’aimait pas Wal-Mart, il n’y allait pas et Wal-Mart a fermé tout ses magasins du pays.
C’est ce qu’on appel économie 101, la preuve que si les gens n’aimait pas ça, Wal-Mart partirait.
Hahaha. Trop drôle! J’aurrais jamais cru que south park appuyerais une thèse communiste (que le capitalisme mène obligatoirement au monopolie): http://www.marxists.org/francais/lenin/works/1916/vlimperi/vlimp.htm
-matchafa
matchafa.quebecblogue.com
J'ai toujours été fasciné par la capacité des communistes à déformer la réalité…
Et il se passe quoi maintenant au juste au pays du royaume du libre échange , et le modèle et exemple a suivre, pour toutes les autres grande démocraties du monde ?
Et pis de ça non plus on n’as pas fait une grande manchette dans nos médias.
Avouons que le paradoxe a de quoi surprendre : l’accroissement de la richesse engendre celle de la pire pauvreté.
La pauvreté aux États-Unis:
Par quel artifice mathématique au juste tu peux juger du « libre-échange » en te basant uniquement sur les USA ???
La gauche et ses raccourcis intellectuelles…
Mais les Usa selon vous c,est pas un modèle a suivre?
Désinformation ? Ignorance ? Un mélange des 2 ?
Entre 2004 et 2005, l’économie canadienne a connu une croissance de 2,9%.
Pourtant, le coefficient GINI est passé de 0,329 à 0,325.
Je te suggère de lire le billet qui sera publié demain à midi. Tu trouveras la réponse à ta question…
Vous avez pas compris l’ampleur du désastre on ne parle même plus de pauvreté , mais bien de misère .
Et c’est 16 millions d’Américains qui vivent aujourd’hui largement en dessous du seuil de pauvreté. Et demain ça sera combien ?
Le pauvre a un travail avec un salaire munimum ,et condition de travail plus que minimum et se démènent comme un con juste pour se garder la tête au dessus de l’eau.
Et pour la misère .
Une définition simple et clair .
Et c’est malheureux que les USA ne veulent pas suivre l’exemple de la Suède qui elle dans son modèle de société d’État providence ne laisse pas personne dans la rue .
16 millions sur 300 millions ça bien bien juste 5%… Et moi je suis sur que beaucoup de français échangerait la misère de leur cité pour la misère américaine…
C’est pas le monopole qui est dénoncé, c’est la haine des gens pour le big business.
Hahaha. Trop drôle ! L’histoire nous prouve que le communisme est le paroxisme du monopole… en plus de mettre tout le monde « également » pauvre. Et y a un comique qui blâme le capitalisme pour ses monopoles. C’est sûrement dû à l’ignorance de ce qu’est le capitalisme et/ou le communisme. Moins d’État, mois de monopole. Mais ça, c’est trop difficile à concevoir pour certaine personne.
Y a rien de personnel, mais parfois, je paierais bien un aller-simple à Cuba à quelques-uns….
Et pour la misère .
Une définition simple et clair .
misère:
(nom féminin)
Etat malheureux.• Manque des ressources nécessaires à la vie.
C’est faux, la définition de la deep poverty est moins de 40% du revenu médian d’après les auteurs de l’étude.
Comme le souligne Guy Millière, définir la pauvreté par le revenu n’a pas vraiment de sens puisque tout dépend de ce que l’on peut acheter avec son revenu.
Qualifier de pauvre une personne ayant un bon niveau de vie est une imposture de plus de la part de l’escroquerie marxiste. Par contre, Wal-Mart qui fait baisser les prix est un excellent outil de lutte contre la pauvreté.
selon une étude récente publiée dans The American Journal of Preventive Medicine.
C’est une source crédible, à quand un article publié dans la revue des éleveurs de caniches nains membres de la mafia de Broolyn pour prouver la supériorité du goulag communiste.
Cuba c’est trop bien et trop près de l’occident, la Corée du nord c’est mieux et on ne peux pas s’en échapper.
BANG !
On se cotise? À la gang, on pourrait ramasser de quoi en envoyer quelques-uns…
J’aime south park (mes enfants aussi)
avez-vous vu celui ou il parle de l’enflure de la tete des gens qui ont des voitures hybrides!!!
la morale est aussi efficace que celui avec wal wart
C’est faux.
Une étude du cabinet indépendant Global Insight montre que sur la période 1995-2004, le groupe Wal-Mart a freiné les salaires de 2,2 %
Alternatives économiques, n° 155, janvier 1998 (extrait).
La pauvreté humaine dans les pays riches.
Sur les 17 pays développés classés par le Programme des nations unies pour le développement (Pnud). L’organisation internationale a en effet mis au point un indicateur de pauvreté humaine (IPH), qui intègre les revenus ainsi que d’autres éléments des conditions de vie. Cet indicateur comprend la proportion de pauvres, mais aussi la probabilité de décéder avant 60 ans (indicateur de santé), les difficultés à comprendre un texte écrit (indicateur d’accès à l’enseignement) et le chômage de longue durée.
Et les USA se classe bon dernier !
http://www.inegalites.fr/article.php3?id_article=292
Le sénateur démocrate Edward Kennedy lui parle de lutte contre le gonflement des rangs des « working poors », ces Américains qui vivent en-dessous du seuil de pauvreté bien qu’ils détiennent un emploi.
Bon bon bon. Il y aura toujours un droit inaliénable pour l’employé : aller travailler ailleurs. S’il est obligé de conserver cet emploi inhumain, imaginez sa condition si de tels emplois n’étaient pas disponibles…
Aller travailler ailleurs ».un peu méprisant cette remarque. et pour aller où ?
Wal-Mart pèse si lourd qu’il contraint nombre d’entreprises américaines à s’aligner sur ses pratiques sociales et commerciales, sous peine de n’être plus compétitives. En un mot, les gens de Bentonville tirent vers le bas la qualité de vie des Américains.
»Vivian Forester, elle, croit qu’à la crainte d’être exploité succède la hantise de ne même plus être exploitables.
Et ils font comment la différence entre Wal-Mart et le contexte économique mondiale ?
C’est normal, les USA ne sont pas des « égalitaristes ».
J’aime mieux un pays avec de grands écart entre les riches et les pauvres mais où n’importe qui peut devenir riche qu’un pays qui te condamne à être dans la moyenne.
Ce n’est pas ce que dit l’étude qui affirme le contraire (je n’ai pas le temps de la lire en détail):
http://www.globalinsight.com/gcpath/Wal-Mart_June_2006.pdf (page #28)
By 2004 the cumulative impact of Wal-Mart was:
– 3.1% lower CPI
– 2.2% lower nominal income
– 0.9% higher wages
– 210,000 jobs
– 1.3% higher total real disposable income
– Unemployment rate 0.14 points lower
Cela démontre que Wal-Mart fait baisser la pauvreté
p #34
Salaries Higher
• Mostly Due to 4% Lower Prices
• Portion of Disposable Income
Freed Up to Be Spent on Other
Goods and Services
Comme beaucoup d’organisme onusien, le PNUD a été infiltré par des socialistes donc ce qu’ils disent n’a aucun intérêt.
Les organismes onusiens ne sont jamais « infiltrés » par des socialistes.
Ils sont mis sur pied pour et par eux.