François Barrière, le vice-président au marché des devises à la Banque Laurentienne du Canada, s'est amusé à diviser le Canada en 5 grandes régions économiques pour ensuite évaluer la valeur qu’aurait leur monnaie face à la devise américaine.

Le Québec ne serait même pas capable d'avoir une devise plus forte que les Maritimes
Le cours de chacune des quatre devises fictives a été obtenu en comparant divers indicatifs économiques (croissance du PIB, croissance des emplois, changements dans la balance commerciale des biens et les budgets des gouvernements) entre 2002 et 2006. Bref, la valeur d'une devise est en lien direct avec la force d'une économie.
Vous pensez que Pauline Marois va parler de ça quand elle fera "la pédagogie de la souveraineté" ?
Dans le cas des Maritimes c’est probablement parce qu’ils ont inclus Terre-Neuve-et-Labrador (qui ne fait pas parti des Maritimes, ils auraient dû écrire « Atlantique » dans l’article). Terre-Neuve-et-Labrador a connue une croissance économique impressionnante dans les dernières années grâce au pétrole. Si on avait seulement pris les 3 provinces Maritimes, le Dollar aurait probablement été comparable à celui du Québec.
Le NB a mis en exploitation la semaine dernière un puits de gaz naturel.
Rien d’énorme, on est d’accord la dessus mais je te paris un 10$ que si on avait une pareille ressource au Québec, le public refuserait son exploitation.
Idem pour le pétrole…
Ah mais, il ne faut pas oublier les 2-3 barils de pétrole qu’on retire des roches de la Gaspésie!!!!
Ça veut dire que l’on doit libéraliser notre économie, qu’on doit se prendre en main individuellement, produire plus de richesse en provenance de sources diversifiées, pour qu’une future devise québécoise soit intéressante sur les marchés mondiaux et qu’elle gagne en valeur.
Ça ne serait pas bon pour les exportations aussi?